Nordine Grim l'Oracle Du Malheur, Se Charge D'Ouvrir Les Portes Au Prédateur HSBC.
Son Placard Publicitaire Mensonger Aurait Dû Être Pénalisé Par L'Inspection Du Contrôle Et De La Repression Des Fraudes. Voir Son Article Baveux " HSBC veut ratisser large ".
L'auteur de " l'interminable transition ", un islamophobe
réputé pour sa résonance des thèses "néo-conservatives" de l'oligarchie talmude, s'allonge aux pieds de ses maitres et nous récite la fable du "Renard et du corbeau". Avisé des filouteries de sa race, nous ne lâcherons pas l'objet de toutes les convoitises : notre indépendance.
Il y a 2060 ans, Cicéron l'avait déjà dénoncé ! |
A ce propos, combien révélatrice et pertinente est la citation du penseur et historien Marcus Tillius Cicéron (Rome, 106-43 avant J-C), car d'actualité et offrant à l'esprit critique, aujourd'hui surtout, matière à discuter pour saisir les principes de la guerre psychologique et de l'ingénierie sociale. Les traits et caractéristiques du "harki" y sont magistralement détaillés. Précisons pour clarifier, que le renégat, le traitre, le "goumi", qui opère en secret, en silence, au service de pouvoirs subversifs ou de forces belligérantes brandie ni fusil, ni canon. La plume et le verbe sont la dague empoisonnée avec lesquels ce mercenaire détruit sa victime. Affirmations tirées par les cheveux ? Accusations conséquentes au délire conspirationniste ? Prêtons attention à ce que Cicéron énonce pour répondre à ces questions :
« Une nation peut survivre à ses imbéciles, et même à ses ambitieux. Mais elle ne peut survivre à la trahison de l'intérieur. Un ennemi aux portes est moins redoutable, parce qu'il est connu et il porte ses bannières ouvertement. Mais le traître se déplace parmi ceux dans l'enceinte, librement. Ses chuchotements astucieux bruissant par toutes les ruelles, entendues dans les halls mêmes du gouvernement. Parce que le traître n'apparaît pas traître, il parle dans des accents familiers à ses victimes, et il porte leur visage et leurs vêtements, et il fait appel à la bassesse qui se situe profondément aux cœurs de tous les hommes. Il décompose l'âme d'une nation, il travaille secrètement et en inconnu pendant la nuit pour miner les piliers de la cité, il infecte le corps politique de sorte qu'il ne puisse plus lui résister. Un meurtrier est moins à craindre que le traitre.»
Pour mieux appréhender la pensée de Cicéron, tournons nous vers un cas illustrant la situation où se présentent deux forces potentiellement antagonistes et essayons d'y déceler les forces en action qui peuvent remplir le rôle joué par les partis mis en scène par l'avocat romain (qui embrassa ensuite la politique). Un pays, l'Algérie, d'un côté, et les banksters internationaux, représentés dans ce cas par BNP-Paribas, HSBC, etc..., de l'autre. Deux camps opposés, aux intérêts divergents, comme l'a si bien démontré la crise financière qui ruina ce pays durant les années précédant l'élection de Bouteflika en 1999. Le piège de l'endettement est une trappe financière meurtrière, cause de destruction économique, sociale, et politique. Une calamité qui ruine toutes les nations qui succombent à la tentation infernale tendue par l'abomination de l'usurerie, fruit jugé "kosher" par les Shylock depuis Babylone, et cause de leur malédiction par Dieu. Les FMI et Banque Mondiale, hommes de main de la maffia juive de la finance dirigée par le Parrain Rothschild, interviennent pour achever la victime moribonde en dérobant son indépendance au nom de réajustements, renégociations, et autres artifices techniques et comptables illusoires.
D'une part donc, le pays enlisé dans la dette, terrain de conflit d'intérêts, et cible du pillage, représente un camp. L'autre camp est constitué des banquiers prédateurs, loups déguisés en chien de secours Saint Bernard, qui tentent de dépecer leur proie potentielle mais doivent avant tout s'introduire dans la bergerie. Quelqu'un doit ouvrir la porte, de préférence de l'intérieur.
Et c'est à ce stade qu'intervient le traitre qui "se déplace parmi ceux dans l'enceinte ".
El Watan dans sa livraison du 26.06.2011, de la plume envenimée de Nordinne Grim, s'évertue à introduire une bête de proie, la HSBC, une banque anglaise de la "City" de Londres en déclarant :
«Comptant tirer profit d’un marché local sous bancarisé mais en voie de modernisation, ses dirigeants ont d’emblée compris qu’il fallait surtout miser sur les techniques et outils de traitement des opérations bancaires les plus modernes et les plus efficaces. C’est pourquoi ils n’ont pas hésité à s’installer durablement en Algérie en acceptant les conditions draconiennes de capitalisation, l’environnement des affaires peu favorable et la forte concurrence existante.»
Et suit la publicité mensongère : «...la succursale HSBC Moyen Orient a vite fait de maîtriser ce qui se fait de mieux en la matière et d’en faire profiter ses clientèles constituées pour l’essentiel de multinationales clientes du groupe (une soixantaine) et de grosses PME purement algériennes (Rebrab ?) ou en partenariat avec des sociétés étrangères. Elle accompagne également de nombreuses sociétés de négoce (environ 1 milliard de dinars) ainsi que les entreprises de production (3 milliards de dinars), attirées par le sérieux, mais aussi et surtout, par la célérité de cette banque capable d’effectuer une ouverture de Credoc en, à peine, 24 heures en s’appuyant sur un réseau tentaculaire de banques, opérationnelles dans pratiquement tous les pays du monde.»
Faire profiter les clientèles ? Naïveté ou leurre ? Célérité du dépeçage?
En langage plein et sans détour : le traitre qui nous déballe ces mensonges est à ma connaissance conscient du risque qu'encoure le pays lorsque ces institutions y pénètrent par effraction en se présentant en philanthropes ou bénévoles de la Croix Rouge accourus au secours des nécessiteux indigènes locaux. Faux ! Le sous développement et les carences du pays sont leur dernier soucis et ils n'apportent pas de
" l'aide " mais la guillotine qui servira à juguler le pays et le saigner mortellement. Une nouvelle fois, une oxymore, usurerie-bienfaisance est structurée et embaumée dans une logique perfide pour mystifier l'opinion.
Le profit est la seule motivation de ces institutions du Diable. Comment HSBC ou tout autre organisation servant la cupidité insatiable des vampires talmudes, peut-elle distribuer 36 Millions de £, soit environ 40 Millions d'Euros, 4018 Millions de DA (au taux officiel bancaire), 402 Milliards de centimes, à son directeur général, Mr Michael Geoghegan ( en Décembre 2010, dans la presse internationale), comme compensation à sa non ré-élection à la présidence du groupe ! La banque a versé 9 Millions de £ , à chacun de ses trois "top responsables", en 2010 (Lien). Ceci prouve la gloutonnerie, la cupidité et l'abus de confiance pratiqués par ces groupes financiers, vraies démons et enfants de Satan, œuvrant sans scrupules à la destruction de l'humanité. Le préjudice qu'ils infligent à leurs "partenaires" n'est pas une le fruit de la discussion philosophique ou de spéculations métaphysiques, il est assommant par les dimensions de sa nocivité. Pour illustration, la faillite enregistrée par les pays occidentaux (USA, Grèce, Espagne, etc..., et le décompte continue) et l'instabilité sociale qui y règne, est symptomatique de la malveillance du système usurier, qui entre autre, lègue un fardeau accablant aux innocentes générations à venir, des dettes impossibles à rembourser, ceci jusqu'à la fin des temps. C'est uniquement pour la jouissance de la prédation qu'ils se déplacent et pour instaurer le désordre prélude du Nouvel Ordre Mondial. Il est connu que le loup une fois introduit dans la bergerie tue, pour le plaisir, autant de bêtes que les circonstances l'autorisent.
La création d'emplois est un autre argument fallacieux présenté par le sinistre Grim pour nous faire avaler cette fraude. Il est l'Agent de la subversion, l'oracle du malheur (voir mon article Lien), l'ennemi parmi nous, et journaliste à El Watan, le "Blackwater" du mercenariat médiatique. Faux et pernicieux tout au long de son exercice d'intox au service de forces occultes talmudes, sa tentative de diversion est dévoilée au grand jour une fois confrontée à la politique réelle de cette banque qui, par le passé, a largué sans scrupules ni remords des milliers d'employés, ses consommables jetables, lorsque les conditions du marché étaient défavorables (Irlande, Egypte, etc..., Lien ). Selon lui « De 140 employés aujourd’hui l’effectif de la succursale devrait atteindre 350 collaborateurs à l’horizon 2014. »
Un dernier mot : Après les "Big Pharma" et leur manœuvres suspectes pour monter une "silicon valley" du médicament et de la génétique, nous constatons une nouvelle offensive de ces NOM, cette fois des maitres de la subversion, les Banksters eux mêmes. Au premiers abords, ces manœuvres commerciales en apparence anodines signalent un déploiement coordonné de ressources et moyens multiples de la part de la nébuleuse mondialiste, ce qui devrait contraindre les autorités à beaucoup de prudence et de la circonspection devant l'exercice de charme de courtisans au profil détourné. Le "sinistre" joue l'ingénu en occultant la réalité du système bancaire qu'il vante, lui habituellement si pointilleux dans ses prêches pour dénigrer le " système ", surtout Bouteflika. Il se découvre une âme tolérante et pleine d'indulgence face à l'oligarchie financière. Attitude typique de celui qui " parle dans des accents familiers à ses victimes, et il porte leur visage et leurs vêtements, et il fait appel à la bassesse (l'appât du gain) qui se situe profondément aux cœurs de tous les hommes. ", à savoir, la démarche du ....traitre !
Méfions-nous des média complices-traitres et de leurs commanditaires ! Opposons-nous à leurs manigances sournoises, en les confrontant patriotiquement avec la force de la vérité : boycottons leurs produits et leurs activités commerciales illicites et malveillantes !
Pendant ce temps le pays des Martyrs cher à Allah, est protégé et le Tout Puissant veille à sa sérénité. Ses ennemis se bercent d'illusions.