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22 avr. 2019

Le syndrome Amazigh est singularisé, le Hirak est un tremplin pour sa consolidation ! Rien à voir avec démocratie, il est l'objectif ultime !

 Comme chaque année, le 20 Avril, les quotidiens Lavigeristes s'en donnent à coeur joie : la fraude amazigh glorifiée à grands titres.
La balkanisation du pays est toujours à l'ordre du jour, le Hirak et l'occasion de la fortifier dans la situation d'incertitude qui règne principalement due à la désinformation qu'ils propagent en boucle depuis trois décennies. 
Fraude et intrigue, ce complot hérité des historiens de la colonisation et des jésuites, l'amazighéité est sans cesse l'objet de l'intox du quotidien lavigeriste El-Watan :deux drapeaux pour un même pays (sic). Le quotidien porte parole de la division qualifie ceux qui dénoncent le drapeau conçu par le juif Jacques Bénet ....d'incitateurs à la division !


Les manifestations berbéristes, régionalistes et sectaires sont auréolées en "marches pour la démocratie". Ceux qui les fomentèrent se pavanent sur les terrasses parisiennes en compagnie de leurs parrains (Said Saadi avec BHL) pendant que ceux qui ont ordonné les fusillades se sont rangés dans l'opposition "au système".

La foule hystérique est maintenue dans son état second, conditionnée par les clameurs, des slogans et la musique kabyle outil idéal connu, de manipulation émotionnelle des masses.

À travers le "Hirak" ou "Printemps kharab", des juristes-magistrats-avocats participent au complot orchestré contre l'Algérie par le pouvoir mondial.

L'Algérie est contrôlée par un pouvoir d'essence occulte, de nature allogène, d'origine paris-sionniste  et de ses loges! Ce pouvoir prédateur s'est installé avec les premiers officiers de l'armée française franc maçons affairés dès le débarquement de l'armée française à la fondation de loges et au recrutement de nouveaus "chers frères". Ils ont eu deux siècles pour accomplir leur mission.
La Magistrature est part du vieux "système", elle remonte à 1962 ! Si une institution devait "dégager"  " c'est bien elle, avant toutes les autres.  C'est pour éviter la colère du peuple quelle lui apporte son soutien opportuniste et d'apparat, dans le but de le récupérer. 
Rappel historique : 
Elle est infiltrée par de faux moudjahidine, et parmi eux des ex-collaborateurs de la France, créateurs d'un réseau tentaculaire aux dimensions ahurissantes et aux agissements criminels monstrueux! Leurs enfants issus de nouvelles alliances tressées autour des colonels et généraux, de l'oligarchie, des partis politiques, ont été parachutés dans les rouages de l'État, la justice, l'ANP, les ministères, etc... Pour réconforter leur pouvoir et tenir en laisse le peuple, ils se sont appropriés des média. Les partis sont noyautés et souvent entièrement sous leur domination. 
Ne vous fiez pas aux apparences trompeuses, la mine bonhomme de ce juriste ! Ci dessus,un agent ennemi de ce peuple, mû  par l'égoisme, le mensonge,  la prédation, et impliqué dans l'intrigue  mondialiste. Cette caste de droit hommistes réunit des larbins dociles et obéissants à leur hiérarchie JMJ de Paris-Sion. 

Une branche de ce pouvoir que j'ai abrégé en JMJ, soit Judéo-Maçonnique-Jésuite, inclut  des lavigeristes agissant selon un agenda parallèle plus pernicieux de teneur doctrinale sous le parrainage exclusif des Jésuites (l'intrigant le plus puissant de la planète).

Bouteflika a subi leurs coups bas, souvent carrément de sabotage, de ses projets et de ses programmes de développement. Son entourage a sapé son travail ou l'a dévalué par la propagande mensongère. Entouré d'intrigants, savoir gouvernement, conseillers, administration, partis politiques, sa mission a été sans cesse l'objet d'attaques subtiles, de blocage, de détournement, de corruption. La seule réalisation incontestable est la modernisation de l'ANP et sa professionnalisation, un rempart contre l'offensive de déstabilisation orchestrée par l'ennemi dirigée saux ordres de la hiérarchie Paris-Sionniste du JMJ.
La situation actuelle de trouble régnant dans le pays n'est pas de  caractère politique, mais est le fruit d'une tentative de restauration du pouvoir absolu JMJ, que Bouteflika a affaibli. Le combat occupe le champ occulte-doctrinale-spirituel, et l'Algérie est ciblée par le Nouvel Ordre Mondial satanique, par ses armées d'adeptes et même de Djinns (*) ! 
(*)Voir vidéo : Le raqi Benhalima Abdarraouf expose ce phénomène de l'intervention du monde invisible dans les manifestations d'Algérie, dans une séance de captage. Libre à chacun d'en apprécier la pertinence, il est sûr que les esprits "rationnels" "cartésiens", des bien pensants acculturés par le scientisme railleront cette évidence. Tant pis pour eux !
 Mondialement recensée, la pénétration des agents des loges est particulièrement importante dans la justice, forteresse sans laquelle la franc-maçonnerie serait désarmée. Il n'y a pas l'ombre d'un soupçon que nos magistrats de l'Algérie française inévitablement s'y inscrivaient pour y être nommés. Dans ce qui doit être la révélation du siècle touchant l'Algérie post-indépendante, cette vérité est corroborée par Benyoucef Mellouk et les dossiers des magistrats faux moudjahidines ! Les conspirateurs utilisent ce moyen pour parer leur réputation d'une fausse respectabilité et détourner les regards de leurs méfaits, tout en en tirant des avantages pécuniaires. Du vrai pillage !

Le pouvoir judiciaire rejoint le Hirak ! Une fadaise ! Une arnaque ! 
Maître de l'art de la diversion et du camouflage son objectif est d'abord le blanchiment de ses robes noires, et de récupérer le Hirak en l'orientant selon ses propres intérêts, ultime et principal enjeu est le maintien de son pouvoir sans partage, pouvoir étroitement imbriqué dans celui du JMJ !
REMARQUE
 Article 07 accorde le pouvoir au peuple le statut de "source de tout pouvoir"! 
Nous devons en prendre possession et le renforcer en affirmant notre droit de contrôler TOUTES LES INSTITUTIONS DE L'ÉTAT, SANS EXCEPTION, SANS DÉROGATION SPÉCIALE, FUSSE AUX MAGISTRATS, FONCTIONNAIRES AU SERVICE DU CITOYEN , ET NON À CELUI DE LEUR CORPORATION !
LES AVOCATS SONT UN APPENDICE DE CE SYSTÈME OCCULTE, CE SONT DES ACTEURS ENGAGÉS POUR LA DÉFENSE DU SYSTÈME JUDICIAIRE, ILS EN TIRENT LES PRIVILÈGES, LES BÉNÉFICES, ET L'IMMUNITÉ !


20 avr. 2019

Menace à la souveraineté : en dénigrant l'auto financement (non conventionnel), les opposants prêchent tacitement le recours à la dette extérieure !

Un volet important des défis faisant face au pays est la gestion adéquate des finances de l'État. Dans ce domaine pas très visible à l'opinion se déroule des conflits qui dévoilent des intrigues qui menacent la stabilité du pays.
Le cas du financement des déficits budgétaires et sociaux (pensions) est symptomatique de conflits ouverts entre partisans d'une gestion saine des finances de l'auto financement (non conventionnel) et la sauvegarde de la souveraineté nationale, versus les partisans du recours aux banques étrangères et donc recours à la dette extérieure.
En souvenir de la faillite cauchemardesque des années '90, Bouteflika avait fixé le remboursement de la dette comme priorité dans son programme de politique économique et financière. Dès que les coffres furent renfloués, le remboursement anticipé fut immédiatement concrétisé, quoique difficilement négocié, libérant le pays des griffes des banksters.

Le programme de réajustement d'Ouyahia n'a fait que refléter les consignes de Bouteflika réitérant le refus au recours de la dette. Le financement non conventionnel fut planifié et réglementé avec l'aide de deux professeurs éminents Raouf Boucekkine et Nour Meddahi, qui en dressèrent les montants, les bénéficiaires par secteur, et les échéances. 


L'opposition au financement non conventionnel, péjorativement libellée "planche à billets", était basée sur des hypothèses discutables et des prévisions spéculatives non fondées, alors qu'il répondait à deux critères cohérents et judicieux, "créer sa propre monnaie" et "éviter la dette extérieure", un piège au fond duquel l'Algérie avait sombré et s'en était échappée miraculeusement. 

Cette opposition gravitait, et gravite toujours autour 
- d'anciens employés des organismes financiers FMI et  BM (Benbitour, Ali Benouari, etc...) et 
- des experts des gourous du management prêchant le libéralisme et l'économie de marché avec prépondérance du secteur privé (cercle de Rebrab, entrepreneurs affilés à l'ASPEN Institute et Napeo /USA, Smain Lalma. Nacera Haddad, Hind BenMiloud, etc..).

Répondant aux députés Ahmed Ouyahia  réfute TOUTES les accusations des économistes (aux ordres de l'opposition subversive),  il a affirmé que le financement non conventionnel 
« n’induira aucune hausse de l’inflation comme l’ont prédit certains experts » et que la courbe descendante de l’inflation, ces dernières années, poursuit-il : « 6,5% fin 2016, pour passer à 5,5% fin 2017 puis à 4,3% fin 2018, sont des chiffres qui viennent réfuter les prévisions d’ experts ayant prédit une inflation à quatre chiffres, en raison du recours au financement non conventionnel » a-t-il déclaré. En recourant à ce mécanisme, le niveau de la dette publique interne « a atteint 36% du PIB de l’Algérie, un chiffre appelé à baisser, au regard du recul progressif du déficit prévu dans le budget de l’État jusqu’en 2022 » a expliqué Ouyahia, qui souligne que «l’essentiel est que nous avons préservé la souveraineté de l’État sur la prise de décision économique , grâce au financement non conventionnel », avant de préciser que « nous aurions pu perdre notre souveraineté économique, si nous avions eu recours au FMI »

Acte de subversion :
L'ancien directeur de la Banque Nationale Loukal, promu ministre des finances par Bedoui (gouvernement de transition actuel) fait l'objet d'accusation de la part des économistes Raouf Boucekkine et Nour Meddahi, architectes du plan de financement non conventionnel (lire article au Lien !!) Les deux experts déclarent : 

«Monsieur Loukal inclut les dividendes de la BA dans le montant de la création monétaire, ce qui est une escroquerie doublée d’une contradiction. C’est une escroquerie car les dividendes sont des bénéfices que la BA doit verser à son actionnaire principal (l’Etat), et que c’est une opération classique de tout bilan comptable. Nous croyions naïvement que Monsieur Loukal avait fini par apprendre à lire un bilan après avoir dirigé la plus grande banque du pays pendant une quinzaine d’années…"

"Enfin, la nomination du Monsieur Loukal au poste de Ministre des Finances pour justement faire l’annonce de l’arrêt du programme de la planche à billets en clamant qu’il était contre la planche à billets, son document de ce mois-ci préparant le terrain à une telle annonce. Nous devons avouer qu’il est difficile de faire plus fourbe» ! Fourbe ? La définition n'est pas élogieuse, elle devrait lever une plainte de la part de Loukal pour diffamation  : "(Personne) qui emploie des ruses perfides, odieuses, pour tromper autrui, souvent en vue de servir ses propres intérêts."

Conclusion :
Il y a eu à mon avis un sabotage du programme du financement non-conventionnel d'ailleurs dénigré et calomnié dès le début par une campagne en apparence propagandiste, diffusant l'appellation "planche à billets ", péjorative parce que réservée à la création de monnaie destinée à la consommation. Or Ouyahia précisa qu'en grande partie "le financement serait destiné à l'investissement/infrastructure", et ce qui fut le cas en constatant le bilan chiffré du programme.
Remarque : pour s'attaquer à Bouteflika l'État profond s'est engagé dans un sabotage des finances du pays au risque de le couler littéralement, tout en préparant l'option "recours extérieur" qui risque de pointer le nez si la situation de confusion politique se poursuit .

19 avr. 2019

Selon Kadi Ihçan, fondateur et journaliste à Radio-M (entre autre) lui et son organisa-sion, peuvent gérer le Hirak algérien!


De visu, la déclaration de Kadi Ihçan en vidéo : Lien ..
"Radio-M" est-t-elle un média d'information ou carrément de désinformation et de propagande ?

De la bouche de son fondateur et journaliste Kadi Ihçan : il a le pouvoir de gérer les manifestations du Hirak ! C'est donc l'arbre qui cache la forêt d'une organisation puissante, puisqu'il ne peut le faire seul !
- Qui est derrière ? Quelle est cette organisation et sa nature ? Qui la chapeaute ? Etc... ?
- Nous le révélons dans des dizaines d'articles : les ONG et les agents de Paris-Sion, l'État Profond (nébuleuse de l'opposition regroupant le pouvoir occulte Judéo-maçonnique-jésuite/lavigeriste, le Club VIP (Rotary et Lions), et comme a été révélé le cercle des magistrats faussaires (rebus de la colonisation et certainement des loges qui les recrutent systématiquement).
À ce propos les vidéos (un dizaine)  présentant Benyoucef Mellouk (Lien) et ses révélations sur la pieuvre des magistrats faux-moudjahidine /collabos-de-la-France et leur réseau tentaculaire monté depuis 1962, après leur débarquement dans les valises de Boukharouba.

Autre lien direct de la vidéo


Le peuple est un naïf proxy aux mains d'une opposition subversive machiavélique..

Le peuple est un proxy exploité par une opposition véreuse, cynique, machiavélique, subversive.
 Le comble est qu'il n'a rien gagné jusqu'à présent, à part propager une atmosphère de prélude à l'anarchie, d'insouciance devant les dangers qui menacent le pays.
 La 2em république qu'on lui fait miroiter n'est que la poursuite de la république actuelle, scellée par une constitution d'inspiration maçonnique, calquée sur la française (vérité publiée sur le site du conseil constitutionnel). Les clameurs de stade et les slogans distribués par les média lavigeristes le Jeudi, à la veille des manifs du Vendredi, sont stériles, enfantins, et n'abordent pas les questions essentielles, la restauration de la souveraineté du peuple, en pratique pas dans les articles équivoques de la Constitution. Seuls accomplissements : les objectifs planifiés par l'opposition. Soit principalement démolir la gouvernance de Bouteflika (hélas gangrenée par des agents de cette même nébuleuse).


La nébuleuse gravitant autour des politiciens-média-lavigeriste-DRSistes-pouvoir occulte (JMJ) manipule les masses et tente d'en prendre le contrôle pour parachever ses propres desseins dont le rétablissement du pouvoir dictatorial sans partage des années '90. Toujours à son avantage et pour assouvir son appétit insatiable de richesse et de privilèges indus que la décennie sanglante lui avait accordés. Bouteflika avait affaibli et abrégé ce pouvoir, le réduisant au statut d'opposition, donc dans une posture défensive, privée de sa puissante domination du pays, dont persiste les ramifications de pouvoir des réseaux loges-Rotary-Lions-lavigeristes.

Cette opposition affilée à Paris-Sion, cynique, sans foi ni loi, et ses membres (adeptes) prêts à utiliser tous les moyens, en accord avec la devise de leurs maîtres jésuites  "la fin justifie les moyens ", pour achever leurs plans pour un nouveau prototype "Printemps Kharab" ! 
Elle avait revendiqué l'application de l'article 102 de la Constitution, dès 2014.
Elle s'était opposée au 5em mandat.
Avait réclamé le respect des articles 7, 8 (souveraineté du peuple)
S'est lancée dans l'escalade de revendications non constitutionnelles en se servant de la foule infiltrée par ses agents, pour exiger le départ de Bouteflika, puis du gouvernement, et aujourd'hui celui du président par intérim Bensalah, de Belaiz, de Bedoui et de son gouvernement de transition. L'ivresse de la victoire anticipée murmure dans les oreilles de ces intrigants de confronter Gaid Salah, vice ministre de la Défense, donc de défier l'ANP. 
Cette erreur risque de leur coûter cher.

Le vide constitutionnel et l'absence de gouvernance est l'objectif servant un remake des printemps kharab vécus dans d'autres pays noyés dans l'anarchie et la désolation.

Une rédaction s'évertue dans sa tache de mobilisation interminable, manifester pour manifester, sans objectif constructif, réfléchi, ordonné : Radio M et ses journalistes l'étourdie Daikha Dredi, Kadi Ihçan, et les invités des différentes branches de l'opposition, principalement des lavigeristes, des membres d'ONG affilée à la NED et à la LADDH-FIDH (formés aux techniques OTPOR-CANEVAS de Soros, avec poing levé ).

Vidéo d'une émission, où les participants s'acharnent sur Gaid Salah et les forces de sécurité, et se gargarisent de féminisme pathologique, leur dogme religieux satanique.