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20 avr. 2019

Menace à la souveraineté : en dénigrant l'auto financement (non conventionnel), les opposants prêchent tacitement le recours à la dette extérieure !

Un volet important des défis faisant face au pays est la gestion adéquate des finances de l'État. Dans ce domaine pas très visible à l'opinion se déroule des conflits qui dévoilent des intrigues qui menacent la stabilité du pays.
Le cas du financement des déficits budgétaires et sociaux (pensions) est symptomatique de conflits ouverts entre partisans d'une gestion saine des finances de l'auto financement (non conventionnel) et la sauvegarde de la souveraineté nationale, versus les partisans du recours aux banques étrangères et donc recours à la dette extérieure.
En souvenir de la faillite cauchemardesque des années '90, Bouteflika avait fixé le remboursement de la dette comme priorité dans son programme de politique économique et financière. Dès que les coffres furent renfloués, le remboursement anticipé fut immédiatement concrétisé, quoique difficilement négocié, libérant le pays des griffes des banksters.

Le programme de réajustement d'Ouyahia n'a fait que refléter les consignes de Bouteflika réitérant le refus au recours de la dette. Le financement non conventionnel fut planifié et réglementé avec l'aide de deux professeurs éminents Raouf Boucekkine et Nour Meddahi, qui en dressèrent les montants, les bénéficiaires par secteur, et les échéances. 


L'opposition au financement non conventionnel, péjorativement libellée "planche à billets", était basée sur des hypothèses discutables et des prévisions spéculatives non fondées, alors qu'il répondait à deux critères cohérents et judicieux, "créer sa propre monnaie" et "éviter la dette extérieure", un piège au fond duquel l'Algérie avait sombré et s'en était échappée miraculeusement. 

Cette opposition gravitait, et gravite toujours autour 
- d'anciens employés des organismes financiers FMI et  BM (Benbitour, Ali Benouari, etc...) et 
- des experts des gourous du management prêchant le libéralisme et l'économie de marché avec prépondérance du secteur privé (cercle de Rebrab, entrepreneurs affilés à l'ASPEN Institute et Napeo /USA, Smain Lalma. Nacera Haddad, Hind BenMiloud, etc..).

Répondant aux députés Ahmed Ouyahia  réfute TOUTES les accusations des économistes (aux ordres de l'opposition subversive),  il a affirmé que le financement non conventionnel 
« n’induira aucune hausse de l’inflation comme l’ont prédit certains experts » et que la courbe descendante de l’inflation, ces dernières années, poursuit-il : « 6,5% fin 2016, pour passer à 5,5% fin 2017 puis à 4,3% fin 2018, sont des chiffres qui viennent réfuter les prévisions d’ experts ayant prédit une inflation à quatre chiffres, en raison du recours au financement non conventionnel » a-t-il déclaré. En recourant à ce mécanisme, le niveau de la dette publique interne « a atteint 36% du PIB de l’Algérie, un chiffre appelé à baisser, au regard du recul progressif du déficit prévu dans le budget de l’État jusqu’en 2022 » a expliqué Ouyahia, qui souligne que «l’essentiel est que nous avons préservé la souveraineté de l’État sur la prise de décision économique , grâce au financement non conventionnel », avant de préciser que « nous aurions pu perdre notre souveraineté économique, si nous avions eu recours au FMI »

Acte de subversion :
L'ancien directeur de la Banque Nationale Loukal, promu ministre des finances par Bedoui (gouvernement de transition actuel) fait l'objet d'accusation de la part des économistes Raouf Boucekkine et Nour Meddahi, architectes du plan de financement non conventionnel (lire article au Lien !!) Les deux experts déclarent : 

«Monsieur Loukal inclut les dividendes de la BA dans le montant de la création monétaire, ce qui est une escroquerie doublée d’une contradiction. C’est une escroquerie car les dividendes sont des bénéfices que la BA doit verser à son actionnaire principal (l’Etat), et que c’est une opération classique de tout bilan comptable. Nous croyions naïvement que Monsieur Loukal avait fini par apprendre à lire un bilan après avoir dirigé la plus grande banque du pays pendant une quinzaine d’années…"

"Enfin, la nomination du Monsieur Loukal au poste de Ministre des Finances pour justement faire l’annonce de l’arrêt du programme de la planche à billets en clamant qu’il était contre la planche à billets, son document de ce mois-ci préparant le terrain à une telle annonce. Nous devons avouer qu’il est difficile de faire plus fourbe» ! Fourbe ? La définition n'est pas élogieuse, elle devrait lever une plainte de la part de Loukal pour diffamation  : "(Personne) qui emploie des ruses perfides, odieuses, pour tromper autrui, souvent en vue de servir ses propres intérêts."

Conclusion :
Il y a eu à mon avis un sabotage du programme du financement non-conventionnel d'ailleurs dénigré et calomnié dès le début par une campagne en apparence propagandiste, diffusant l'appellation "planche à billets ", péjorative parce que réservée à la création de monnaie destinée à la consommation. Or Ouyahia précisa qu'en grande partie "le financement serait destiné à l'investissement/infrastructure", et ce qui fut le cas en constatant le bilan chiffré du programme.
Remarque : pour s'attaquer à Bouteflika l'État profond s'est engagé dans un sabotage des finances du pays au risque de le couler littéralement, tout en préparant l'option "recours extérieur" qui risque de pointer le nez si la situation de confusion politique se poursuit .

18 avr. 2019

Offensive contre le financement non conventionnel ! Mensonges! Conditionnement de l'opinion au recours à la dette extérieure ! Trahison au profit des banksters.



LE FINANCEMENT NON CONVENTIONNEL EST LE PLUS JUDICIEUX, ÉCONOMIQUEMENT LE PLUS ORTHODOXE chez les économistes non affilés à l'école du libéralisme prédateur monté de toute pièce par les banquiers Kosher.  
Des plans néfastes aux intérêts économiques et financiers du pays sont l'objet d'une propagande pernicieuse lancée par les média lavigeristes, les sbires et membres des cercles JMJ-Rebrab et des prétendus oracles du management, parmi lesquels le plus en vue  est Smain Lalmas.
La Banque d'Algérie publie un rapport équivoque carrément incohérent, qualifiant le financement non conventionnel  de "planche à billets" ! Une appellation fausse et péjorative qui occulte la vérité, car le financement était destiné majoritairement à l'investissement, PAS À LA CONSOMMATION.
Le bilan de cette opération le confirme :  Lien .
Pas de recours à l'endettement extérieur !
Le Recours à l'auto-financement  EST UNE NÉCESSITÉ CONTOURNANT LE PIÈGE DE LA DETTE (AU PRÈS DES BANKSTERS), UN PRINCIPE QUE BOUTEFLIKA AVAIT RÉITÉRÉ MAINTES FOIS CAR GARANT DE LA SOUVERAINETÉ NATIONALE.
 Ali Benouari l'homme des banquiers déballe une série de non sens, du verbiage économique, rien d'établi comme vérité absolue, seulement des théories  et le plus grave contourne la signification du financement non conventionnel, rien d'étonnant de ce cancre qui doit sa réputation grâce à la complaisance des Banksters qu'il servit si généreusement en 1990 dans le cadre du ré-échelonnement qu'il géra en tant que ministre des finances. (1991 - 1992 : Ministre au Trésor, gouvernement Ghozali I3 et gouvernement Ghozali II )



Incompétence ? Non ! Sabotage donc trahison !
Boucekkine et Meddahi, maitres d'oeuvre du plan de financement non conventionnel répondent à Loukal, ex-directeur de la Banque d'Algérie promu par son copain Bedoui en ministre des finances :
"Ils ont indiqué que M.  Loukal, ancien Gouverneur de la Banque d’Algérie et actuel ministre des Finances, a procédé au financement monétaire à très grande échelle, 6.556 mds de DA (55 milliards de dollars), soit 32% du PIB en dix-sept mois, montant très largement au-dessus de ce que nous avons recommandé, soit 2.550 mds DA à fin 2019."

- Loukal a donc dépassé le plafond fixé de 2.550 Milliards, bien avant son terme fin-2019.
- Pour qu'elle raison ? 
- Pour saboter les objectifs fixés, générer des retombées négatives (pas encore enregistrées, dit-on) et ensuite se retourner contre le choix du non conventionnel. Ce choix /stratégie étant, je le répète, une option capitale, inévitable, défendue et préconisée par Bouteflika après avoir assaini la situation catastrophique héritée en 1999.  Elle est également défendue par tous les économistes de la planète, il faut préciser... ceux qui en militants sont engagés contre le système usurier bancaire mondial profitant aux Rothschild, ses fondateurs /inventeurs.

Conclusion : Des deux options, financement non-conventionnel ou recours à la dette extérieure, l'Algérie a opté pour la 1ere, la plus judicieuse, ce qui déplaît aux Banksters et à ses sous fifres lavigeristes dont les méia sont mobilisés pour conditionner l'opinion à accepter le recours aux Banksters.




19 mars 2014

Algérie : Ali Benouari, Jugé Dangereux Est Naturellement Rayé De La Liste Des Candidats À La Présidence.


À titre posthume cet article est publié pour annoncer le décès politique d'un candidat sujet à caution.

Hélas, le candidat a été jugé incompatible avec la fonction de président au vu de ses associations privées et professionnelles. Il n'a trompé personne ! Vraie  girouette politique, il peut retrouver sa patrie d'adoption et y présenter sa candidature à toutes les élections qu'il désirera. Ceci est impossible en Algérie, un pays qui malgré ses nombreuses défaillances garde un minimum de respect pour ses valeurs et veille à sa sécurité. Autre point important, nous ne vivons plus à l'ère de Chadli Benjedid (Allah y-rahmou) !
 «Ma candidature a été refusée par le Conseil constitutionnel parce que je dérange. Je fais peur au pouvoir», a déclaré dimanche 16 mars Ali Benouari en conférence de presse.»
Une confession en forme de repentir qui absout ses manigances passées. Aussi, qu'il vive avec ses regrets et se réfugie dans l'immense miséricorde divine, si sa foi a survécu au régime "trop riche " en chocolat suisse !
1- Officier de l'usure.
- Algérie-Focus peint un tableau élogieux de Benouari , dévoilant comme coutume son travail d'intox, et le profile douteux du candidat au élection 2014.
«En 1981, l’Europe l’appelle : le voici courtisé par le privé ! Ali Benouari se laisse séduire et enchaîne les responsabilités dans les  salles des marchés de plusieurs groupes bancaires :  Groupe Al Saudi Banque à Paris et à Genève, puis Société Générale à Genève.»
- Wikipédia :
-1976 - 1981 : Responsable de la trésorerie de changes et des marchés financiers à la banque centrale d'Algérie. 
-1981 - 1989 : Trésorier et responsable des salles de marché de groupes bancaire (AL Saudi Banque, Société Générale.
-1999 - 2004 : Président et fondateur du conseil de surveillance de la banque Société Générale Algérie.
-1992 - à ce jour : Président d'Écofinace S.A. société de conseil et de montage en partenariats industriels et financiers.»
Cadre à "Société Générale" et ministre délégué au Trésor Algérien, deux fonctions incompatibles et aux missions antagonistes, lorsqu'il est évident qu'on ne peut simultanément être avocat de deux parties en conflit d'intérêt, l'Algérie (victime) prise dans l'étau de la dette, et la SG (prédatrice) défendue par les Clubs de Paris/Londres, gérants de la dette contractée par les pays saignés par les vampires de la finance internationale et du secteur bancaire (FMI, Banque Mondiale, banques privées).
2- Le Nouvel Ordre Mondial et ses vecteurs d'action :
AF : «Son ascension fulgurante lui ouvre des portes : en 1991, il est propulsé ministre du Trésor dans le gouvernement de Sid Ahmed Ghozali. Au coeur du pouvoir, il vit la démission de Chadli Bendjedid le 11 janvier 1992. Un mois plus tard, lui-même quitte les sphères du pouvoir. Il est remplacé au Trésor par Ahmed Benbitour (Notez, un autre homme des banques shylock !), autre candidat déclaré à la présidentielle de 2014.»
L'ascension de notre diplomé (1978 - 1980 : Maitre-assistant à l'Institut d'Études Politique d'Alger) jugée de "fulgurante" par la rédaction sioniste d'Algérie-Focus, implique l'existence de promoteurs maniant la rampe de lancement !
- Qui sont ses promoteurs ?
- Inévitablement des gens liés aux banques shylock par les affinités habituelles suspectes.
- Les banques étant propriété des juifs, avec à leur tête Rothschild, nous sommes confrontés à l'évidence de la présence parmi les "promoteurs" d'associés du cercle des banksters, donc de la subversion juive talmude internationale et de sa branche algérienne.
- Quelle peut être la composante de ces cercles ?
- Naturellement et exclusivement deux organisations occultes de l'ombre, complémentaires, documentées, et agissant secrètement qu'on ne peut pas confondre :
- la Franc-Maçonnerie , et
- les Sayanim (crypto-juifs dissimulant leur judaïsme et servant le MOSSAD/Israël).
L'ancien ministre délégué au Trésor (1991-1992) devrait par ailleurs être cité comme co-accusé des crimes économiques commis par la gabegie politique du "réformisme" (socialisme spécifique réformé et recyclé pour l'usage personnel de la nomenklatura). Il s'est réfugié pendant 20 ans au paradis bancaire suisse (*), un pays qui brille "or", mais dont les fondations sont solidement ancrées dans l'illégalité et le recel, voir le blanchiment des fonds internationaux douteux issus de toutes les malversations financières imaginables, drogue, trafics multiples, détournements, financement des guerres et conflits régionaux.
Citation :
«Si je ne me présentais pas à ce scrutin, je me sentirais coupable de non-assistance à pays en danger».
Tous les mêmes, ces candidats accourus en Saint Bernard dans un pays dont le climat ne leur sied pas du tout, hélas !

3- La mondialisation et le libéralisme prédateur :
«En 1981, l’Europe l’appelle: le voici courtisé par le privé !  Ali Benouari se laisse séduire et enchaîne les responsabilités dans les salles des marchés de plusieurs groupes bancaires : Groupe Al Saudi Banque à Paris et à Genève, puis Société Générale à Genève.
Sur le volet économique, Ali Benouari reste fidèle à son école de pensée. Lui président libéraliserait l’économie et privatiserait les entreprises publiques. Le dinar deviendrait une monnaie convertible, ce qui aurait pour effet, selon lui, de supprimer le marché noir de la devise.»
Maghreb-Émergent (clone d'El-watan "économie")
«Il a entamé sa carrière professionnelle à la Banque d’Algérie avant de tenter l’aventure de l’émigration en Suisse en 1984, et de revenir à 2 reprises en Algérie dans des circonstances marquantes. La première comme ministre du Trésor dans le gouvernement de Réda MALEK qui lui a déclaré : « vous m’avez convaincu » au terme d’une réunion ministérielle qui devait décider du rééchelonnement de la dette extérieure algérienne dont il était l’avocat le plus fervent.»
Résumé : D'étranges personnages sont apparus sur la scène politique, accourus de tous les horizons, espérant voir Bouteflika disparaitre. Par la grâce d'Allah qui a répondu aux implorations du peuple, cette éventualité est écartée avant un 5em mandat. Ne serait-il pas sage et prévoyant de ceux qui restent en lice de se retirer et économiser temps et argent au pays, Bouteflika étant l'élu désigné par la volonté de la majorité des Algériens qui le remercient pour l’œuvre magistrale qu'il a accomplie, et le progrès enregistré sur tous les fronts, "Hab ély Hab, wa krah ély krah".