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25 déc. 2010

Arkounisme Sans Arkoun ou L'Islamologie Appliquée Vue Par Les "Ennemis de Dieu".

L'Arkounisme est sous soins intensifs mais n'est pas mort ! El Watan prends en charge la noble mission de ressusciter l'œuvre de l'islamologue M.Arkoun grâce à un rendez-vous littéraire réunissant des fervents admirateurs du défunt. Des article en date du 20.12.2010 (Lien et Lien),  mijotés par Nadjia Bouaricha et Madjid Makedi, chroniqueurs habituellement chargés respectivement :
-des affaires de viol et de harassement sexuel,
-et spécialiste de l'intox anti algérienne (constater sa perfidie littéraire au Lien, dans lequel il compare l'Algérie à la Côte D'Ivoire ). Deux orientalistes en herbe qui dissimulent modestement un savoir encyclopédique sur le coran et les sciences islamiques. L'orientalisme moribond sous perfusion doit sa survie au vacarme que tentent de propager les média traditionnellement laïcs. 
-Annoncera-t-on une conversion massive à l'Islam de ces suppôts impies ? 
-Question facilement élucidée : peu probable.
-Pourquoi ? Parce que trop arrogants et impliqués dans une  propagande islamophobe virulente. Ces ennemis de l'Islam ont revêtu l'apparat de philosophe pour corrompre les convictions des musulmans en espérant semer le doute et l'incertitude dans leur esprit, par le pédantisme et des connaissances superficielles vides de spiritualité, gangrénées par l'illusion de la rationalité. La révolte contre Dieu, pour se justifier, s'orne de justificatifs. La "raison" étant la principale, les autres sont les arguments dissimulés dans le scientisme. Comme les Rabbins, ils ne croiront en Dieu que lorsqu'Il se sera révélé à leurs yeux, pas par la révélation de Sa Parole et la venue de ses Prophètes et Messagers !   

Symptomatique de l'arrogance, "chutzpah"
Parmi les "érudits" au rendez-vous mensuel des débats d’El Watan la présence de Yadh Ben Achour, invité non fortuit du cheval de Troie Rotschildien El Watan, ce frère Tunisien, en réalité un crypto-juif, qui déclaré à l'Institut Pontifical d'Etudes Arabes Islamiques :"la ré-interprétation de tout le corpus savant élaboré au cours de l'histoire islamique".... et " pour adapter l'Islam à la philosophie des Droits de l'homme". Rien que ça ! Voir vidéo au Lien . Ce spécialiste de politique, religion et droit dans le monde arabe s'est positionné à l'intérieur de l'agitation intellectuelle stérile de l'islamologie qui tente de démontrer la nécessité de "moderniser" l'Islam et les Musulmans, en optant pour une ouverture sur la "modernité" chimérique.
Lisons quelques extraits des commentaires qui ont jailli de ce brouhaha de sourds et d'aveugles atteints de fantasmes inconscients qui confondent "Islam religion divine de la foi" et les spéculations philosophiques propagées par le laïcisme, couvoir de la négation de Dieu. La confusion régnant dans l'esprit de ces hypocrites provient du fait qu'il combattent ce qui leur déplait, l'Islam, en tentant de l'ensevelir dans la décharge d'ordures de la laïcité après l'avoir emballé dans l'abstraction utopique de la "modernité, mais Dieu l'interdisant, ils râlent leur désarroi dans des débats stériles.
L'orientation du débat est subtilement modulée dés l'ouverture par Mohammed Hachemaoui , de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris (ses critiques acerbes de Bouteflika fabriquées dans la capitale française sont réunies dans un recueil de commérages enrobés de verbiage socio-politique intitulé  « Clientélisme et corruption dans le système politique algérien (1999/2004) » )
-«Pourquoi la pensée «arkounienne» rencontre-t-elle une farouche opposition en Algérie et dans la majorité des pays arabes ? Pourquoi ses ouvrages ne sont pas disponibles en Algérie ? L’Islam et le Coran sont-ils incompatibles avec les idées réformatrices ?»
-«Il faut dire que les exposés des deux conférenciers ont suscité de nombreuses questions. C’est en particulier l’intervention critique de M. Benkheira à l’égard de l’œuvre de Mohammed Arkoun qui a provoqué le plus d’interrogations. Son jugement négatif de la contribution de l’enfant de Taourirt Mimoun (Tizi Ouzou) aux études islamiques a soulevé des réactions à la limite de l’indignation (Sacrilège ?) 
Benkheira, un cheveu dans la soupe arkounienne :
-«Je connaissais bien Arkoun et j’ai fait ma thèse sous sa direction. Mais j’ai essayé de faire une évaluation critique de sa contribution aux études islamiques»
Viennent la provocation et l'insulte, et qui mieux pour les professer que le représentant des "maitres de l'intrigue" :
-«Intervenant dans ce sens, Yadh Ben Achour consolide cette idée : «Je défie quiconque de me donner un verset coranique clair (!!!).  Mohamed Arkoun a raison de dire que le texte coranique est ouvert. Donnez-moi un seul texte coranique qu’on puisse utiliser comme un texte législatif.»
-«Pour donner corps à cette œuvre «arkounienne» faite de longues années de recherche et de lutte contre l’obscurantisme, M. Ben Achour s’est livré à un exercice didactique en vue de dire que Mohammed Arkoun était un défenseur de l’Islam.» (Islam "rajeuni" ?)
-«Depuis presque un siècle, la réforme du monde musulman est à l’ordre du jour. Quels que soient les auteurs ou leurs tendances, tous sont d’accord à reconnaître qu’il y a crise, et ce, parce que la pensée de l’Islam se trouve ankylosée par la passion dogmatique», souligne M. Benachour au début de son intervention, qui a capté l’attention de l’assistance.»(sous hypnose ?)
Puis le leurre sournois et historiquement frauduleux du fameux "retard" justifiant une reforme de l'Islam :
-«Le conférencier explique que si la crise du monde musulman est à scinder en deux facteurs – d’abord matériel : retards accumulés dans les domaines économique, technologique ; l’aspect philosophique : retard notable accusé dans les domaines de la culture, l’art, le droit, la littérature et la théologie.» 
Savourant la crédulité de son audience, le fils de Satan (un loup introduit par Belhouchet dans la bergerie de l’hôtel Es-Safir d’Alger) continue :
-«Arkoun a adopté une autre méthode qui tend à déterminer les mécanismes par lesquels s’est institué le savoir musulman et le rapport à la direction sociale. En d’autres termes, il a proposé de déconstruire la constitution classique liée à une alliance entre le pouvoir politique et le religieux. Il s’est donc attaqué à l’orthodoxie pour faire émerger l’image d’un Islam rajeuni (par un lifting ?), une religion tolérante, de paix, et non pas une religion sclérosée et de violence».
Note l’invité du perfide et complice El Watan, vrai entremetteur de l'agression culturelle et religieuse montée en terre d'Islam même !
Et plus loin :
-«Pour ce qui est du constat de la crise, Arkoun estime qu’à partir du VIe siècle de l’hégire, il y a une corrélation étroite entre régression des sociétés musulmanes et ascension de l’Europe. Mais pas seulement, car quelque chose s’est produite entre les IVe  et VIe siècles. La régression a été encouragée par l’institution des écoles théologiques via l’’achâarisme’ qui a favorisé la servilité intellectuelle, les disciples n’apportaient plus la contradiction à leurs maîtres.»
Devant le parterre d'ânes et de moutons (appellation réservée aux Goyim dans le Talmud, manuel éducatif des coreligionnaires de notre Yadh !) c'est le défoulement sans retenue et la diffamation qui accompagnent le plaisir sadique de l'effronté crypto-juif :
-«La lapidation, précisent-ils par exemple, n’a aucune existence dans le Coran. (Faux)
De même pour la polygamie qui est très codifiée dans le texte sacré. »
«Il y a un système de pensée installé par nos ancêtres  
( Faux ! Installé par les nôtres ) et qui est fait pour durer. C’est ce système que Mohammed Arkoun a essayé de boxer pour le faire tomber»(Hélas il est tombé le premier !).
Peine perdue, il est là pour durer, malgré vos vaines tentatives de corruption. Ceci est dit dans le Coran, Coran que vous ne pouvez ni lire, ni comprendre, aveuglés par vos conceptions et convictions fausses.

Une autre abomination est vomie par Yadh, qui dévoile sa malveillance diabolique et l'objectif réel de son exposé, partager et compromettre ceux qui partageraient son blasphème congénital :
-«M. Ben Achour a conclu son exposé en disant qu’Arkoun défendait les droits de l’homme, le dialogue entre les religions, la démocratie, soit un Islam conforme à son message spirituel où l’homme est ami et non pas esclave de Dieu.» 
Cette transgression au fondement de l'Islam, la soumission absolue à Allah, a du soulever la désapprobation de quelques participants, mais les deux journalistes ne le mentionnent pas. Par un jeu de mots en apparence anodine, Yadh décrète que l'homme est lui même une divinité égale à Dieu. C'est la marque de l'arrogance rabbinique défiant l'autorité divine qui est frauduleusement introduite dans le débat et ratifiée,  avec le consentement tacite de l'audience.
Essentiel et fondamental le désir "d'être esclave d'Allah", l'état suprême de l'authenticité de la foi, un rang que le musulman convoite ardemment par sa soumission totale à la Volonté Divine, par ses actes, sa pensée et ses convictions.
  L'hôtel Ess-Safir retentit depuis du sarcasme de Yadh Ben Achour pour l'affront qu'il a lancé à la face de l'audience, sous les applaudissements nourris d'hypocrites prédisposés à fêter ce genre d'infamie pour leur appartenance laïque, leur vraie et unique dénomination religieuse.

23 déc. 2010

Arkoun Initie Les Quotidiens Indépendants A L'Islamologie Appliquée. Conversion Massive A L'Islam ? Les Rédactions Etudient La Question.

Arkoun Initie Les Quotidiens Indépendants A L'Islamologie Appliquée. Conversion Massive A L'Islam ? Les Rédactions Étudient La  Question. Entretemps Leur Ligne Éditoriale Poursuit Son Bout De Chemin Laïco-Laxiste.
Dernière nouvelle :
«Après une enquête minutieuse "Liberté-Algérie" découvre le réseau de contrebande le plus dangereux que les annales du banditisme aient enregistré dans l'histoire du pays. Il s'agit d'un groupe important de hadji qui opérait en période de pèlerinage et exerçait le commerce illicite de produits vestimentaires, communément connu sous le nom de "trabendo". Les services d'intelligence économique du groupe Rabrab a estimé les pertes sèches infligées au trésor publique, par le non règlement des taxes de douane, comme très importantes. L'impact de cette importation illégale de produits textiles sur la production nationale, est également jugé catastrophique, mais ne met pas en danger les projets en cours de Cevital  dans le textile synthétique.»
«Fichés et faisant l'objet d'une filature 24/24, les redoutables et dangereux trabendistes sont poursuivis par la justice pour crime économique et risquent la perpétuité. Un membre de l'Assemblé Nationale sponsorisé par le généreux Club des Entrepreneurs Privés doit faire voter une motion en faveur d'un contrôle plus sévère à l'octroi du passeport "Hadj". »
«Les autorisations devant être assujetties à une déclaration sur l'honneur engageant le candidat au pèlerinage à ne ramener aucun produit qui causerait un préjudice à la production nationale privée. Selon le "député", des détecteurs de mensonge devraient accompagner les fouilles corporelles et les scanners, lors des déclarations au douane, pour découvrir les contrevenants. Ce pèlerinage du Hadj semble donc irriter nos businessmen, qui entre autre, craignent une reconversion de ces trabendistes dans le trafic du rond à béton ou de l'huile de table.
Pour parer au pire, ils ont par l'intermédiaire de la presse "indépendante" lancé une campagne de prévention et de dissuasion en promotant un produit de voyage alternatif celui de Noél-Saint et du Réveillon Moubarak, et ceci depuis 2009.(voir image).
Entretemps, à El Watan les penseurs invités aux débats poursuivent leurs efforts de modernisation  de l'Islam par la mise en application des théories arkouniennes. Tous les participants s'accordent à trouver certains rituels exténuants pour les croyants. Initiative louable d'un commentateur avisé : il propose, en guise de méthode d'éducation spirituelle et physique, une initiation au yoga ou aux arts martiaux pour permettre à nos Hajis une meilleure préparation aux épreuves du pélerinage. Le vent de la modernité souffle de toutes les directions et annonce donc un avenir radieux pour tous, sans oublier nos militants de la liberté (toutes options). En marge des débats d'El Watan sur l'Islamologie, l'annonce de l'autorisation aux tordus américains de rejoindre les rangs des GI's, a été acclamée par une longue ovation de l'assistance. Chez El Watan il ne s'agit que de l'abrogation d'une loi sur un tabou, un pêché mignon. 
Euphorie partagée à El Watan, en défenseur de la moralité et des causes justes.
Cette promesse électorale, tenue par Obama, aux adeptes de la fusion-confusion des genres (lui même très actif dans le mouvement arc-en-ciel), va ouvrir de nouvelles perspectives aux candidats à l'exil vers les USA, et à la citoyenneté  américaine parmi les nombreux démocrates  qui endurent en Algérie une persécution intolérable (régime religieux dictatorial). Ce qui me fait penser à Said Saadi, qui très influencé par la démocratie yankee, à laquelle il réserve un engagement actif et un dévouement religieux (l'agent de la CIA, alias "SS"), devrait profiter de l'occasion et terminer ses vieux jours, confortablement allongé sous le soleil californien.

M.Arkoun, Une Campagne Médiatique Qui Ne Dit Pas Son Nom: Une Bulle Inllectuelle Qui Fait Penser A La Grenouille Qui Se Fait Aussi Grosse Que Le Boeuf.

M.Arkoun, Une Campagne Médiatique Qui Ne Dit Pas Son Nom: Une Bulle Intellectuelle Qui Fait Penser A La Grenouille Qui Se Fait Aussi Grosse Que Le Boeuf.
Il est sincèrement difficile de parler des morts et de leur oeuvre sans porter atteinte à leur mémoire, lorsque ceux-ci se sont hissés au rang de figure publique et ont  traité de questions importantes, capitales pour une communauté aussi importante que celles des Musulmans. L'oeuvre de M.Arkoun étant controversée car dérangeant un consensus établi grâce au dur labeur de milliers de savants et  d'érudits, qui servant Allah et son Prophète (SallalAllah Aalaihi Wa Salam), ont  scrupuleusement disséqué les plus plus infimes composants du corpus religieux musulman :ses variantes rituelles, le phénomène religieux, les fais historiques, les formes religieuses; le dogme, les mystères, les principes, les systèmes religieux, les conceptions, les convictions, les doctrines, les opinions, les actes, les devoirs, les exercices, les offices, l'éducation, l'instruction religieuse,  l'inquiétude religieuse; l'exaltation, la ferveur religieuse, le fanatisme religieux, la tolérance, l'intolérance religieuse; les guerres, les luttes religieuses; la liberté religieuse, l'égo, etc, etc... Et le plus important : le Coran et le Hadith.
Ces travaux titanesques infusèrent au savoir de l'humanité le "saut historique" de la connaissance scientifique rationnelle du monde matériel, pierre angulaire de l'actuelle "science moderne" et de ses applications.  Un travail historique accompli par les philosophes arabes a été la traduction, l'interprétation, le commentaire, la discussion et l'organisation de la pensée grecque en un corps d'enseignement académique transmis à l'Europe et à sa civilisation naissante, dés le Moyen Age. Ce que l'Islam avait refusé d'ingurgité, le Christianisme sous la pression de la franc maçonnerie juive, s'en ait intoxiqué     
Un personnage illustre, "la démonstration vivante de l'Islam", l'Immam Abu Hamed Al Ghazali, a répondu clairement et "rationnellement" aux philosophes, les déroutant et les ridiculisant, définitivement réfutant leurs travaux de "rationalisation" de la foi, leur "modernisation d'alors" de la pensée religieuse et leur spéculations philosophiques. L'effort de rapprochement de la philosophie (les grecs, Aristote) de l'essence de la religion (la foi, les convictions) est illustré déjà par l'approche des Mûtazila et leur tentative de synthèse de la raison et de la foi ! En jugeant faussement la raison comme étant l'apothéose de l'activité cérébrale humaine, elle devrait selon eux assujettir la foi et les convictions à ses principes et concepts abstraits.  Une hiérarchie méthodologique que M.Arkoun est le dernier né d'une longue lignée de chercheurs à avoir tenté de créer sous couvert des sciences sociales, sans succès, autre que celui que lui prêtent les membres du "compagnonnage", les Rabbins, les personnalités sionistes de la politique, les parties laïques laxistes, les média dominants étrangers et leurs complices locaux (les chevaux de Troie Rothschildiens et leurs pédigrées de la presse indépendante), les ignorants et idiots utiles de la propagande mondialiste juive. En un mot, la fameuse "nébuleuse", qui en d'autres occasions, se serait accordée à lui attribuer un Prix Nobel, si son prénom n'avait pas été dérangeant dans l'esprit de la juiverie internationale, dont la haine ancestrale envers la religion d'Allah et de Mohamed (SAAWS), est réelle, bien palpable et libre de toutes "spéculations morales".
Les titres pompeux déferlant dans les média de toute tendance, attribuent au chercheur orientaliste, des qualités intellectuelles exceptionnelles et un mérite hors du commun, signe qu'une campagne posthume exploitant l'œuvre du philosophe à des fins occultes. Pardon, je devrais préciser et dire: anthropologue, sociologue, islamologue, historien, arabophile, francophile, écrivain, passe partout culturel et religieux, messager, prophète (?), rénovateur, réformiste, révolutionnaire, chercheur, homme de science, érudit, savant, sommité, penseur, une encyclopédie vivante, éclaireur de l'Islam, etc...  
wikipedia : « (né en 1928 à Taourirt-Mimoun, en KabylieAlgérie) - mort le 14 septembre 2010 à Paris est un intellectuelalgérien, philosophe et historien de l'islam. Un des professeurs les plus influents dans l'étude islamique contemporaine, il est professeur émérite d’histoire de la pensée islamique à la Sorbonne (Paris III), et enseigne l’« islamologie appliquée », discipline qu'il a développée, dans diverses universités européennes et américaines, en référence à l'anthropologie appliquée de Roger Bastide. Parmi ses sujets de prédilection, l’impensé dans l’islam classique et contemporain.» 
Et tout ce volumineux bagage auréolé que d'une simple "légion d'honneur" et  de "docteur honoris causa" d'université. Pas même trace d'une candidature à un tout petit nobel, ou peut être prochainement à titre posthume ? Ingrate l'oligarchie juive internationale. Pourtant le travail accompli est gigantesque, les bibliothèques en débordent. Et l'héritage humain fécond de grands hommes qui se déclarent élèves assidus du Maitre et ses héritiers spirituels, espérant un jour accéder au firmament de la gloire (et de l'obole non négligeable car les retombées sonnantes et trébuchantes du labeur cérébral existent, lorsque labeur conforme aux aspirations humanistes humanitaires des Rabbins de la Cosa Nostra talmude ). Tant inépuisable cet océan d'érudition, il est difficile de résumer l'immortalité et la perinnité de la pensée arkounienne, sans l'aide de 
wikipedia :
«Mohammed Arkoun se situe dans la branche critique du réformisme musulman. Prônant le modernisme et l'humanisme islamique, il a développé une critique de la modernité dans la pensée islamique, et plaide pour un islam repensé dans le monde contemporain. Il y a consacré de très nombreux ouvrages dont La Pensée arabe (Paris, 1975), Lectures du Coran (Paris, 1982), Penser l'islam aujourd'hui (Alger, 1993), ou encore The Unthought in Contemporary Islamic Thought (Londres, 2002).»
L'arrière pensée suivante m'effleure l'esprit : ne serait-ce pas là, la vrai raison de la consécration de Saint Arkoun,  par la "nébuleuse" ? A savoir son attaque contre l'orthodoxie religieuse, la cible que les ennemis de l'islam tentent de démanteler depuis quinze siècles, sans y parvenir. La fustigation des musulmans, un autre créneau porteur dans l'ascension vers la gloire. Relire le coran ? Et ignorer toute les genèses authentiques et autorisées remontant aux Compagnons ? Et pourquoi pas dans foulée le re-écrire ou remanier? Ou tout simplement le traduire pour le moderniser et l'adapter à la culture ambiante. Toutes les innovations imaginables seront applaudies par la galerie kosher. 
L'ivresse de la gloire est fatale, l'égo envahissante tristement source de malédiction. La prétention de reformer en nivelant le travail inégalé de générations de savants mus par la foi et la crainte d'Allah. Maitres des sciences préconisées pour toute approche du tafsir du coran, dans les centres de lumière divine et berceau de la foi, la Mecque et Médine, puis Bagdad, Amman, l'Andaloussie. Le savoir de notre chercheur n'est qu'une goutte dans l'océan du savoir des Saints et Immams de la Oumma.
J'ajouterais une brève remarque en citant un auteur français qui déclarait :
 «Parfaitement douée pour l'analyse et pour la logique, la tête française est d'une pauvreté d'imagination qui étonne, si on la compare aux têtes du Nord et à leur magique pouvoir de rêve, aux têtes du Midi et à leur magique pouvoir de vision.» 
   (P. Bourget, Essais de psychologie contemporaine, 1883, p. 109.)
La laicité ayant servi de gardien d'enclos dans son approche philosophique et idéologique il est impératif de souligner l'importance dans son ascension professionnelle, dans l'antre de l'humanisme et temple de la raison, la Sorbonne. Sans elle, la notoriété n'aurait jamais atteint son firmament. Un pêché mignon ou un compromis gênant chez le penseur, lorsqu'on sait l'antagonisme qui l'oppose à la religion.  
El Watan, le perfide quotidien Rothschildien, par son agitation médiatique effrénée pour la promotion de l'orientaliste rend encore plus suspect ce soudain enthousiasme pour un Islam modifié par les "humanistes" de la Sorbonne ! Grotesque et futile !  A propos des chroniqueurs d'El Watan, auraient-ils lu Al-Ghazali ?
 

21 déc. 2010

Trahison, Said Saadi Compare L'Algérie A L'Irak Et invite Les Américains A L'Envahir Pour Défendre la Démocratie !!

Haute Trahison : Said Saadi (SS) Compare L'Algérie A L'Irak Et invite Les Américains A L'Envahir Pour Défendre la Démocratie !!
SS : Votez pour Ovama !!
En accord avec sa ligne de politique étrangère fantoche, le secrétaire général du RCD Said Saadi est passible de condamnation et devrait faire face au peloton d'exécution pour haute trahison. Il est exposé dans toute sa perfidie et hypocrisie par le compte rendu qu'a adressé l'ambassadeur américain à ses supérieurs dans un télex publié par Wikileaks et sa série de "révélations". Le psychiatre a mendié une aide à son "légitime allié" pour une intervention armée semblable à celle réservée à Sadam Hussein (Qu'Allah lui accorde sa Méséricorde). 
Au vue des conséquences catastrophiques que cette agression a provoquées en Irak et les millions de victimes que la guerre continue d'enregistrer (guerre que les USA mènent en "proxy" pour Israël), il est révoltant de constater le peu de compassion de SS pour le peuple Arabe de cette grande nation, dépositaire de 5000 ans de civilisation et dont la capitale est un symbole de la grandeur de l'Islam et du génie Arabo-Musulman !
J'avais déjà le 21 avril 2009 (Lien), (Lien), (Lien), dénoncé les fréquentations douteuses de SS, qui en visite aux USA, sous le patronage du "Hudson Institute", avait publiquement imploré G.W. Bush et les néo-cons pour qu'ils s'ingèrent dans les processus électoraux, en Algérie. Requête qu'il avait renouvelée (Lien) lors de l'élection d'Obama à la présidence (Maghrébia !!) !
Il écrit à Obama :« Nous sommes nombreux à avoir noté votre disponibilité pour contribuer à l'émergence d'une gouvernance transparente et au respect mutuel des peuples. Sur ce chantier particulièrement, la nouvelle Amérique trouvera des nombreux partenaires fiables et déterminés dans nos contrées ». « Je suis sûr que l'immensité du travail qui vous attend trouvera, à travers votre talent, les réponses les plus adaptées puisque la confiance, fondement de toute épopée, a accompagné votre candidature dès le premier jour », conclut le Docteur Saadi. 
La réponse n'avait pas tardé à venir, puisqu'Obama avait immédiatement décidé d'envoyer 150.000 soldats supplémentaires en Irak-Afghanistan, pour y "défendre la démocratie"..... Écœurant !
Et SS a poursuivi sa campagne aveugle en plaidant sa cause chez tous les ennemis de l'extérieur.
Même l'immonde Cocorico Cocu , Sarkosy a eu droit à quelques coups de brosse. Dégradant !
«Ford a rappelé à Saadi les multiples efforts fournis pour maintenir ouvert le bureau du National Democratic Institut (NDI) et avoir soulevé à plusieurs reprises les problèmes du processus électoral et sa crédibilité. L’ambassadeur a exhorté le RCD – et d’autres partis politiques qui demandent un soutien américain – à faire mieux entendre leurs voix : «La démarche américaine pour demander la levée des obstacles à la démocratie ne serait crédible que si les partis politiques algériens élevaient eux-mêmes la voix.» Lors d’un dîner, le 18 décembre, l’ancien ministre et magistrat, Leïla Aslaoui (une autre possédée par le démon de la vengeance), a estimé qu’il y a une démobilisation de la part d’une partie de la société algérienne sur la lutte contre le terrorisme.»
Sous l'angle psychologique, et dans un langage que notre docteur ambulant comprendra, il est clair que de déception en déception, le secrétaire du RCD devrait être diagnostiqué comme souffrant d'une frustration aiguë due à ses échecs politiques et à ses tentatives avortées de prise de pouvoir. Son sevrage traumatique, de tout honneur ou gloire politique, l'a transformé en un vicieux rancunier, aigri et consumé par la vengeance contre le "système", "système" qui lui a fait enduré quelques désagréments, certes, mais de la vindicte obsessionnelle à la trahison, le possédé a fait un saut qui le place sous la même enseigne que les harkis qui vendirent leur âme pour une bouchée de pain ! Le vernis "intellectuel",  dont se revêt l'effronté judas dépourvu d'intelligence et de bon sens, ne le prive pas de mériter le verdict de l'Histoire : traitre à la nation ! Le Colonel Amirouche, dont SS a tenté d'exploiter l'aura, l'engagement nationaliste et les faits d'armes pour se parer de quelque légitimité politique, doit se retourner dans sa tombe ! 
En marge de ce commentaire, notons la malhonnêteté des média "indépendants" (chevaux de Troie Rothschildiens) partageant les mêmes utopies idéologiques (laïcité-laxisme) que ceux défendues par SS. Ces média qui n'ont pas critiqué les supposées déclarations de l'ambassadeur américain, de la même manière qu'ils l'ont tenté contre Boutéflika, dans un contexte différent et avec des propos neutres sans conséquence pour la sécurité du pays. 
El Watan cite les faits sans élaborer et en modérant son entrain habituel à "prêter des intentions" à ceux qu'il diffame (ex. Boutéflika), le quotidien du commérage se montre très indulgent envers le renégat SS, le z-héro de la "démocratie". Malhonnêteté intellectuelle et perfidie mises à nu.  

14 déc. 2010

M. Arkoun : Laicité, Début Et Fin. Ouf !

Laicité ?  En se rendant sur le site (wikipedia on constate clairement un lapsus révélateur :
  «La justification de ce principe est que, pour que l’État respecte toutes les croyances de manière égale, il ne devrait en reconnaître aucune L'emploi conjugué de la proposition et de sa négation illustre la platitude de l'utopie, la laïcité mentionnée dans les "Protocoles des Sages de Sion" qui raillent les Goyim naïfs dupés par cette tournure philosophique diffusée pour détruire les religions et propager l'athéisme. Le résultat est de manière criarde observable dans les états laïques qui prêchent à l'école cette entourloupe de l'esprit, qui a détruit le christianisme, pour transformer l'homme à "l'image de Dieu" en un mouton pour l'abattage ! L'hypocrisie qui caractérise ce mode de pensée est une des plus puissantes astuces que les "enfants de Satan" menés par la caste des penseurs rabbiniques ont su inventées et  propagées pour complétement détruire la foi en Dieu, affaiblir le pouvoir du christianisme, le subjuguer et en prendre le contrôle. Ce qu'ils ont hélas accompli sans résistance majeure sinon contre une opposition marginale.  La laïcité est une religion, une croyance, un culte, un dogme. En France, où elle a été définie officiellement lors de la déclaration des droits de l'homme de 1789 (révolution judéo-maçonnique) et rénover en 1905 et 1958, elle est le modèle expérimental testé et, une fois prouvé efficace, généralisé au reste du monde. Athéisme et laïcité cohabitent, car ils sont deux faces de la même pièce ! Comment deux attitudes différentes de l'esprit, la croyance en Dieu et sa négation l'athéisme, peuvent-ils eux cohabiter ? C'est un leurre occulte diabolique que la franc-maçonnerie colporte en prétendant se défendre des critiques en incluant le concept de "l'être suprême" dans leur croyance, un garde fou qui en réalité réfère à Satan, pas à Dieu, comme voudrais le croire les moutons des loges de degré inférieur. L'adhésion à la laïcité et à la franc-maçonnerie est le troc
de l'âme de l'adhérent en échange de privilèges matériels qui échoient au "compagnon" par le biais d'un "pilier" du dogme : l'entre-aide. 
Verbiage philosophique et spéculation métaphysique stériles sont des stupéfiants de la pensée, aux conséquences dramatiques dénaturant l'homme et le dépouillant de sa dimension spirituelle, car le réduisant à un simple être biologique du règne animal. 
Exemple d'adhérent à l'hérésie laïque est le très célébré professeur M.Arkoun, un chercheur qui jusqu'à sa mort a tenté de concilier ses convictions laïques avec son héritage culturel islamique en "inventant "l'islamologie appliquée". Mais  il n'a rien trouvé de convaincant pour satisfaire l'orthodoxie musulmane et la rallier à ses propos révolutionnaires sur la modernité et la modernisation de l'Islam. Une vraie banque de données ce savant. Unique par son immense connaissance et érudition, mais son goût prononcé pour la démonstration rationnelle, dérivée des sciences sociales, dans l'étude de l'histoire de la pensée islamique, l'a entrainé dans les dédales de la logique rabbinique qui questionne la volonté divine avant d'en exécuter les commandements. A l'inverse de l'injonction coranique "nous avons entendu et nous obéirons", Arkoun propose "nous comprendrons au préalable, et exécuterons ensuite". De cette dérive de la pensée religieuse, le philosophe est livré aux tribulations et spéculations intellectuelles stériles. Le rabbinat est né de cette mésaventure de la prospection rationnelle, et l'hérésie s'est installée parmi les tribus d'Israël, récoltant la malédiction du Créateur. A la place de l'orthodoxie fondée sur la connaissance du coran et du hadith conservée et immortalisée par les compagnons du Prophète (Salut et Paix d'Allah sur Lui) et leurs successeurs durant au moins 7 siècles, Arkoun propose de faire table rase sur cet héritage et de construire un nouvel Islam répondant aux critères de la modernité. Jaugeant la religion d'Allah par les normes philosophiques, principalement défendus par le judaïsme, ennemi éternel du Goyim. Le contingent administratif du judaïsme-talmudisme regroupe les esclaves et idiots utiles qui embrassent les abstractions aberrantes de l'idéologie-culte, la laïcité. L'adhésion de la majorité d'entre eux étant motivée par l'accès au confort matériel  ! 
Le borgne étant roi aux pays des aveugles, Arkoun a trouvé au près du compagnonnage de la Sorbonne et des cercles de dialogue inter-religieux des auditeurs très intéressés par ses théories, qui véhiculaient le potentiel destructeur qui manquaient aux tentatives "orientalistes" initiées par les Européens lors de leurs incursions coloniales. Le personnage avait par sa maitrise de la langue arabe confronté les gardiens de l'orthodoxie, ceux d'El Azhar en particulier, quoique leur attribuant le qualificatif de fondamentalistes, un terme péjoratif convenant à sa démarche. Nous pouvons comprendre comment tant de personnalités juives de France, dont le Rabbin de France et les hommes politiques, réputés sionistes, s'étaient accordés à se joindre à la foule des pleureuses qui se lamentaient sur la "perte d'un grand homme". Leur regret allant surtout au fait que le nouveau messager de l'islamologie appliquée n'avait pas concrétisé sa mission de reforme de la religion, nivelant les différences entre les trois religions et les rassemblant sous quelque dénomination religieuse du Nouvel Ordre Mondial Juif.
Ceux qui ont pour occupation de polémiquer avec Dieu ont certainement programmé un système de concepts philosophiques, dans leur quête d'uniformisation de la croyance de leurs futures esclaves, et les lois qui régleront les rituels du Temple dédié à quelque mystérieux et occulte "Être suprême" ou "Architecte de l'Univers"
Lors d'un interview au quotidien Liberté, le journaliste (du média phare de l'idéologie nourri du sein du capitalisme libéral pur et dur, mais dont paradoxalement les racines plongent dans le socialisme "spécifique") pose la question :           
 «Selon vous l’islamologie, l’étude du Coran et de la Sunna, devrait s’appuyer nécessairement sur les outils de lecture et d’analyse des sciences sociales. Si on voulait à partir de là caractériser votre thèse, comment l’énonceriez-vous ? L’obligation d’extériorité en quelque sorte n’induit-elle pas qu’on doit presque être non musulman pour comprendre l’islam ? Ou condamner les musulmans à ignorer les travaux scientifiques ?»
Notez les conceptions fantaisistes empruntées au scientisme cartésien et les appréciations collées aux musulmans à travers la propagande juive de leur handicape à comprendre les sciences, eux qui en ont été les pionniers.  L'incompatibilité "Islam- travaux scientifiques"  est subtilement glissée dans la logique orientée du débat car supposant une complicité du professeur prédisposé à s'aligner sur cette ligne de pensée dépréciative et péjorative.       
M.Akroun (extraits pertinents): « Votre question exprime clairement l’état de la croyance islamique voulue, diffusée, imposée depuis les indépendances dans les pays d’islam. Toute forme de la connaissance scientifique qui introduit un regard historique, sociologique, linguistique, anthropologique critique sur la croyance orthodoxe et les rites qui l’expriment doit être a priori écartée (Oui si elles proviennent de sources impies ou malveillantes). On refuse de s’interroger sur les fonctions positives et les dérives imaginaires de toute religion quand elle renonce aux exigences intellectuelles et scientifiques de la raison (tout aussi bien de la spéculation intellectuelle ou de la...déraison). Les dérives mythoidéologiques des religions aliènent les rapports du sujet humain avec soi-même ; c’est ce qui nourrit les violences politiques depuis la disparition des codes éthico-culturels traditionnels assimilés dès l’enfance dans le cadre des cultures orales. Ces codes ont été remplacés par l’enseignement à l’école et à la mosquée d’un islam caricatural, réduit à des expressions rituelles, à des formules décontextualisées, sans liens avec son riche patrimoine intellectuel, culturel, moral et spirituel. C’est un islam victime de tous les effets pervers de la modernité matérielle, technologique et médiatique et soigneusement tenu à l’écart de tous les acquis incontournables, émancipateurs de cette même modernité (l'Islam masochiste ?). À cet égard, la comparaison avec le parcours du christianisme face à la modernité et aux révolutions scientifiques est très instructive. Je ne peux développer ici cette confrontation négligée jusqu’ici par les deux religions et même par les chercheurs.»
Comparaison insoutenable pour la raison simple que le coran est inaltéré et inaltérable et qu'on y découvre plus de références et de données scientifiques que la petite cervelle de l'auteur peut en contenir !
Erreur monumentale mais explicable de la part de ce Français qui de l'Algérie ne garde que la nostalgie de son enfance, ère précédant la guerre de libération, mais qui ignore ou occulte les réalités de l'indépendance et de l'héritage colonial auquel il ne fait jamais allusion : le fait historique du recul de la connaissance du texte religieux après les attaques subie par la religion en général, à l'image du vol des manuscrits et recueils détenues par les médersas, les zawiates et les bibliothèques privées, l'interdiction de l'enseignement de l'Arabe, la destruction des lieux de culte et des monuments historiques. Sous cette angle pratique, il est normal et stratégiquement correcte de faire appel aux moyens disponibles, ceux offerts par la coopération établie avec les pays arabes ou les ressources offertes par certaines zawiates et médersas ayant échappées aux affres du génocide organisé par la France, en vue de tenter de reconstruire le patrimoine perdu. Qu'au sein de ces groupes se soient infiltrés des militants de l'islam politique des sectes salafistes et wahabistes, la rénovation et surtout restauration d'un Islam orthodoxe basé sur la connaissance du texte et non uniquement sur les traditions populaires orales, n'en est pas moins louable. M.Arkoun occulte cet aspect colonial, ne l'ayant jamais rangé parmi ses préoccupations par simple politesse et indulgence complice, envers ses éducateurs, les Pères Blancs et les orientalistes.
  Blotti dans son fauteuil de chercheur au service de sa mère patrie la France, il n'a jamais, en bon élève de l'école napoléonienne, tourné un doigt accusateur vers les horreurs de la colonisation et ses campagnes de génocide directe militaire, ni indirecte par le biais de la privation des besoins matériels élémentaires et de l'accès au savoir.
Ce n'est pas que M.Arkoun ne s'intéresse pas à l'Algérie, elle hante toute son œuvre, mais il est remarquable par son indulgence envers l'occupant et ses délits criminels, ses massacres de population civile, ses visées hégémoniques religieuses, sa pratique de l'aliénation planifiée. Sans référence historique, l'islamologie d'Arkoun échoue dans sa tentative prétentieuse de reformer l'Islam, dans le cadre limité de l'Algérie d'abord, et loin de lui la prétention d'adresser le thème dans un cadre géographique plus large. La modernité issue de la laïcité est une vaine tentative d'influencer le Musulman, pour la simple raison que chez ce dernier "la foi précède la raison", raison qui n'est pas un prérequis dans sa réflexion ni dans ses actes rituels.
Les Musulmans déclarent solennellement abandonner aux juifs et chrétiens leurs exigences de comprendre avant de croire, une transaction qu'ils se refusent d'engager. 
"Craignez Allah, Allah vous rétribuera de savoir "!
Telle est la devise de l'homme averti. De manière générale La conscience et la foi précèdent et s'approprient la science, non l'opposé. Tout autre dissertation philosophique aussi  érudite et savante qu'elle apparait, n'est que l'apanage de ceux que le Coran décrit avec pitié et dérision comme  "ânes chargés de livres volumineux ".