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14 déc. 2010

M. Arkoun : Laicité, Début Et Fin. Ouf !

Laicité ?  En se rendant sur le site (wikipedia on constate clairement un lapsus révélateur :
  «La justification de ce principe est que, pour que l’État respecte toutes les croyances de manière égale, il ne devrait en reconnaître aucune L'emploi conjugué de la proposition et de sa négation illustre la platitude de l'utopie, la laïcité mentionnée dans les "Protocoles des Sages de Sion" qui raillent les Goyim naïfs dupés par cette tournure philosophique diffusée pour détruire les religions et propager l'athéisme. Le résultat est de manière criarde observable dans les états laïques qui prêchent à l'école cette entourloupe de l'esprit, qui a détruit le christianisme, pour transformer l'homme à "l'image de Dieu" en un mouton pour l'abattage ! L'hypocrisie qui caractérise ce mode de pensée est une des plus puissantes astuces que les "enfants de Satan" menés par la caste des penseurs rabbiniques ont su inventées et  propagées pour complétement détruire la foi en Dieu, affaiblir le pouvoir du christianisme, le subjuguer et en prendre le contrôle. Ce qu'ils ont hélas accompli sans résistance majeure sinon contre une opposition marginale.  La laïcité est une religion, une croyance, un culte, un dogme. En France, où elle a été définie officiellement lors de la déclaration des droits de l'homme de 1789 (révolution judéo-maçonnique) et rénover en 1905 et 1958, elle est le modèle expérimental testé et, une fois prouvé efficace, généralisé au reste du monde. Athéisme et laïcité cohabitent, car ils sont deux faces de la même pièce ! Comment deux attitudes différentes de l'esprit, la croyance en Dieu et sa négation l'athéisme, peuvent-ils eux cohabiter ? C'est un leurre occulte diabolique que la franc-maçonnerie colporte en prétendant se défendre des critiques en incluant le concept de "l'être suprême" dans leur croyance, un garde fou qui en réalité réfère à Satan, pas à Dieu, comme voudrais le croire les moutons des loges de degré inférieur. L'adhésion à la laïcité et à la franc-maçonnerie est le troc
de l'âme de l'adhérent en échange de privilèges matériels qui échoient au "compagnon" par le biais d'un "pilier" du dogme : l'entre-aide. 
Verbiage philosophique et spéculation métaphysique stériles sont des stupéfiants de la pensée, aux conséquences dramatiques dénaturant l'homme et le dépouillant de sa dimension spirituelle, car le réduisant à un simple être biologique du règne animal. 
Exemple d'adhérent à l'hérésie laïque est le très célébré professeur M.Arkoun, un chercheur qui jusqu'à sa mort a tenté de concilier ses convictions laïques avec son héritage culturel islamique en "inventant "l'islamologie appliquée". Mais  il n'a rien trouvé de convaincant pour satisfaire l'orthodoxie musulmane et la rallier à ses propos révolutionnaires sur la modernité et la modernisation de l'Islam. Une vraie banque de données ce savant. Unique par son immense connaissance et érudition, mais son goût prononcé pour la démonstration rationnelle, dérivée des sciences sociales, dans l'étude de l'histoire de la pensée islamique, l'a entrainé dans les dédales de la logique rabbinique qui questionne la volonté divine avant d'en exécuter les commandements. A l'inverse de l'injonction coranique "nous avons entendu et nous obéirons", Arkoun propose "nous comprendrons au préalable, et exécuterons ensuite". De cette dérive de la pensée religieuse, le philosophe est livré aux tribulations et spéculations intellectuelles stériles. Le rabbinat est né de cette mésaventure de la prospection rationnelle, et l'hérésie s'est installée parmi les tribus d'Israël, récoltant la malédiction du Créateur. A la place de l'orthodoxie fondée sur la connaissance du coran et du hadith conservée et immortalisée par les compagnons du Prophète (Salut et Paix d'Allah sur Lui) et leurs successeurs durant au moins 7 siècles, Arkoun propose de faire table rase sur cet héritage et de construire un nouvel Islam répondant aux critères de la modernité. Jaugeant la religion d'Allah par les normes philosophiques, principalement défendus par le judaïsme, ennemi éternel du Goyim. Le contingent administratif du judaïsme-talmudisme regroupe les esclaves et idiots utiles qui embrassent les abstractions aberrantes de l'idéologie-culte, la laïcité. L'adhésion de la majorité d'entre eux étant motivée par l'accès au confort matériel  ! 
Le borgne étant roi aux pays des aveugles, Arkoun a trouvé au près du compagnonnage de la Sorbonne et des cercles de dialogue inter-religieux des auditeurs très intéressés par ses théories, qui véhiculaient le potentiel destructeur qui manquaient aux tentatives "orientalistes" initiées par les Européens lors de leurs incursions coloniales. Le personnage avait par sa maitrise de la langue arabe confronté les gardiens de l'orthodoxie, ceux d'El Azhar en particulier, quoique leur attribuant le qualificatif de fondamentalistes, un terme péjoratif convenant à sa démarche. Nous pouvons comprendre comment tant de personnalités juives de France, dont le Rabbin de France et les hommes politiques, réputés sionistes, s'étaient accordés à se joindre à la foule des pleureuses qui se lamentaient sur la "perte d'un grand homme". Leur regret allant surtout au fait que le nouveau messager de l'islamologie appliquée n'avait pas concrétisé sa mission de reforme de la religion, nivelant les différences entre les trois religions et les rassemblant sous quelque dénomination religieuse du Nouvel Ordre Mondial Juif.
Ceux qui ont pour occupation de polémiquer avec Dieu ont certainement programmé un système de concepts philosophiques, dans leur quête d'uniformisation de la croyance de leurs futures esclaves, et les lois qui régleront les rituels du Temple dédié à quelque mystérieux et occulte "Être suprême" ou "Architecte de l'Univers"
Lors d'un interview au quotidien Liberté, le journaliste (du média phare de l'idéologie nourri du sein du capitalisme libéral pur et dur, mais dont paradoxalement les racines plongent dans le socialisme "spécifique") pose la question :           
 «Selon vous l’islamologie, l’étude du Coran et de la Sunna, devrait s’appuyer nécessairement sur les outils de lecture et d’analyse des sciences sociales. Si on voulait à partir de là caractériser votre thèse, comment l’énonceriez-vous ? L’obligation d’extériorité en quelque sorte n’induit-elle pas qu’on doit presque être non musulman pour comprendre l’islam ? Ou condamner les musulmans à ignorer les travaux scientifiques ?»
Notez les conceptions fantaisistes empruntées au scientisme cartésien et les appréciations collées aux musulmans à travers la propagande juive de leur handicape à comprendre les sciences, eux qui en ont été les pionniers.  L'incompatibilité "Islam- travaux scientifiques"  est subtilement glissée dans la logique orientée du débat car supposant une complicité du professeur prédisposé à s'aligner sur cette ligne de pensée dépréciative et péjorative.       
M.Akroun (extraits pertinents): « Votre question exprime clairement l’état de la croyance islamique voulue, diffusée, imposée depuis les indépendances dans les pays d’islam. Toute forme de la connaissance scientifique qui introduit un regard historique, sociologique, linguistique, anthropologique critique sur la croyance orthodoxe et les rites qui l’expriment doit être a priori écartée (Oui si elles proviennent de sources impies ou malveillantes). On refuse de s’interroger sur les fonctions positives et les dérives imaginaires de toute religion quand elle renonce aux exigences intellectuelles et scientifiques de la raison (tout aussi bien de la spéculation intellectuelle ou de la...déraison). Les dérives mythoidéologiques des religions aliènent les rapports du sujet humain avec soi-même ; c’est ce qui nourrit les violences politiques depuis la disparition des codes éthico-culturels traditionnels assimilés dès l’enfance dans le cadre des cultures orales. Ces codes ont été remplacés par l’enseignement à l’école et à la mosquée d’un islam caricatural, réduit à des expressions rituelles, à des formules décontextualisées, sans liens avec son riche patrimoine intellectuel, culturel, moral et spirituel. C’est un islam victime de tous les effets pervers de la modernité matérielle, technologique et médiatique et soigneusement tenu à l’écart de tous les acquis incontournables, émancipateurs de cette même modernité (l'Islam masochiste ?). À cet égard, la comparaison avec le parcours du christianisme face à la modernité et aux révolutions scientifiques est très instructive. Je ne peux développer ici cette confrontation négligée jusqu’ici par les deux religions et même par les chercheurs.»
Comparaison insoutenable pour la raison simple que le coran est inaltéré et inaltérable et qu'on y découvre plus de références et de données scientifiques que la petite cervelle de l'auteur peut en contenir !
Erreur monumentale mais explicable de la part de ce Français qui de l'Algérie ne garde que la nostalgie de son enfance, ère précédant la guerre de libération, mais qui ignore ou occulte les réalités de l'indépendance et de l'héritage colonial auquel il ne fait jamais allusion : le fait historique du recul de la connaissance du texte religieux après les attaques subie par la religion en général, à l'image du vol des manuscrits et recueils détenues par les médersas, les zawiates et les bibliothèques privées, l'interdiction de l'enseignement de l'Arabe, la destruction des lieux de culte et des monuments historiques. Sous cette angle pratique, il est normal et stratégiquement correcte de faire appel aux moyens disponibles, ceux offerts par la coopération établie avec les pays arabes ou les ressources offertes par certaines zawiates et médersas ayant échappées aux affres du génocide organisé par la France, en vue de tenter de reconstruire le patrimoine perdu. Qu'au sein de ces groupes se soient infiltrés des militants de l'islam politique des sectes salafistes et wahabistes, la rénovation et surtout restauration d'un Islam orthodoxe basé sur la connaissance du texte et non uniquement sur les traditions populaires orales, n'en est pas moins louable. M.Arkoun occulte cet aspect colonial, ne l'ayant jamais rangé parmi ses préoccupations par simple politesse et indulgence complice, envers ses éducateurs, les Pères Blancs et les orientalistes.
  Blotti dans son fauteuil de chercheur au service de sa mère patrie la France, il n'a jamais, en bon élève de l'école napoléonienne, tourné un doigt accusateur vers les horreurs de la colonisation et ses campagnes de génocide directe militaire, ni indirecte par le biais de la privation des besoins matériels élémentaires et de l'accès au savoir.
Ce n'est pas que M.Arkoun ne s'intéresse pas à l'Algérie, elle hante toute son œuvre, mais il est remarquable par son indulgence envers l'occupant et ses délits criminels, ses massacres de population civile, ses visées hégémoniques religieuses, sa pratique de l'aliénation planifiée. Sans référence historique, l'islamologie d'Arkoun échoue dans sa tentative prétentieuse de reformer l'Islam, dans le cadre limité de l'Algérie d'abord, et loin de lui la prétention d'adresser le thème dans un cadre géographique plus large. La modernité issue de la laïcité est une vaine tentative d'influencer le Musulman, pour la simple raison que chez ce dernier "la foi précède la raison", raison qui n'est pas un prérequis dans sa réflexion ni dans ses actes rituels.
Les Musulmans déclarent solennellement abandonner aux juifs et chrétiens leurs exigences de comprendre avant de croire, une transaction qu'ils se refusent d'engager. 
"Craignez Allah, Allah vous rétribuera de savoir "!
Telle est la devise de l'homme averti. De manière générale La conscience et la foi précèdent et s'approprient la science, non l'opposé. Tout autre dissertation philosophique aussi  érudite et savante qu'elle apparait, n'est que l'apanage de ceux que le Coran décrit avec pitié et dérision comme  "ânes chargés de livres volumineux ".