«Le Front de libération national (FLN) a appelé vendredi 8 novembre le
Président algérien, Abdelaziz Bouteflika, à se représenter pour un
quatrième mandat lors de la Présidentielle prévue en avril prochain. Un
appel qui ne fait pas l’unanimité au sein du parti.» (AFP)
Pratiquement tous les quotidiens et média de la planète, reprennent en chœur le même message, diffusé par AFP (Agence France Presse), signe de l'importance de l'information et de l'attention que lui réserve les maitres de l'intrigue. La composition du message n'a pas été livrée à n'importe quelle organe, parce que le sujet est de plus haute importance pour les "prédateurs éternels", pour la gestion, le suivi et l'orientation des changements qui s'opèrent en Algérie, pays qui occupe et préoccupe. Dans la pratique le message a été dicté intégralement à toutes les rédactions de la nébuleuse internationale juive des média. Le sujet est crucial, aucune contradiction ou discordance ne doit risquer d'atténuer l'authenticité de l'information, présente ou à avenir, fabriquée dans les coulisses des think tanks. Car à partir du moment où Bouteflika est miraculeusement remonté sur scelle, l'agenda de la subversion s'est trouvé perturbé et risque de s'écrouler. Lui, déguste son thé à la menthe et temporise pour permettre une décantation des événements et confondre les "sorciers du Pharaon" qui découvrent les premiers, leurs tours de magie (la propagande). "Le tamis est entrain de tourner". Les candidats à la présidence, après s'être délecter sadiquement,et sans retenue de l'incapacité physique du Président, commencent à paniquer. La peur s'est saisit d'eux. Qu'Allah incruste dans leur coeur l'effroi et les rétribuent pour leurs mensonges, leurs convoitises, et leur soif de pouvoir.
Exemple : Signe de sa pathologie croissante, Casimodo Touati déclare que les élections sont déjà "truquées" !
Ailleurs sur le Web, le sioniste Algérie-Focus et sa plume venimeuse Amina Boumazza argumente son désaccord de la candidature et cite comme évidence des sources connues(*). Entendre, pour leur engagement sioniste et par leur animosité envers ce qu'Allah a béni sur Terre, et leur soutien de ce qu'Il a maudit. Les analyses de ces rédactions (certifiées kosher) constitueraient la preuve que la perverse opinion de la donzelle est véridique. Hélas pour ces imposteurs, même le mensonge a ses limites et ses ressources sont épuisables !
Selon l'avis de nombreux philanthropes, passionnés de l'Algérie, la candidature de Bouteflika serait une défaite de la démoncratie que la juiverie internationale ne cesse de nous recommander, avec insistance, depuis 14 ans. Chacun à sa façon les Libyens, les Irakiens, les Égyptiens, les Afghanistans et les Yéménites jouissent égoïstement des bienfaits des changements démocratiques, particulièrement ceux inspirés des recommandations des sauveurs de l'humanité regroupés autour de BH Levy.
Pourquoi les algériens s'entêtent-ils à refuser cette offre de mutation sociopolitique inspirée des discours des tenants du Nouvel Ordre Mondial Juif, qui lui puise sa grâce dans le Talmude sacré ? La réponse semble résider dans le refus de Bouteflika d'abdiquer. Selon la nébuleuse bienfaitrice internationale, menée par les talmudipèdes, il est l'obstacle ultime; le cheveu qui tombe dans les soupes électorales mijotées par les chefs de la cuisine mondialiste; ou encore l’intrus qui gâche la fête célébrée par le peuple libéré et l'opposition intronisée.
Une autre raison plus tangible est, selon les théories conspirationnistes, percevable dans certains écrits attribués aux démons de Sion qui déclarent dans leurs Protocoles :
Chapitre I Première séance :
«06- L'idée de liberté est irréalisable, parce que personne ne sait en user avec juste mesure : il suffit de laisser le peuple se gouverner lui-même pendant quelque temps pour que cette liberté se transforme aussitôt en licence. Dès lors naissent des dissensions qui ne tardent pas à dégénérer en guerres sociales (civiles), dans lesquelles les États se consument et où leur grandeur se réduit en cendres. Qu'un État s'épuise dans ses convulsions intestines ou que les guerres civiles le mettent à la merci des ennemis extérieurs, il peut, dans l'un et l'autre cas, être considéré comme irrémédiablement perdu ; il est en notre pouvoir.»
«Il faut comprendre que la foule est aveugle, insensée, déraisonnée, qu'elle tend l'oreille à droite et à gauche. Un aveugle ne peut conduire un aveugle sans le conduire, au précipice ; de même les parvenus (Benflis, Touati, Benbitour, Rebainne,Yasmina, et consorts), issus de la foule – fussent-ils doués d'un esprit génial, mais non initiés à la politique – ne peuvent prétendre la diriger, sans perdre tout leur troupeau.»
«15- Seuls les hommes préparés dès l'enfance peuvent comprendre le langage et la réalité politiques. Un peuple livré à lui-même, c'est-à-dire à des parvenus issus de son milieu (les apprentis présidents), travaille à sa propre ruine par suite des querelles de partis qui naissent de la soif du pouvoir et des honneurs, et par les désordres qui en proviennent. Est-il possible aux masses populaires de raisonner avec calme et sans disputes, et de diriger les affaires de l'État qu'il ne faut pas confondre avec les intérêts personnels ? Sont-elles en mesure de se défendre contre les ennemis extérieurs ? C'est impossible. Un plan divisé en autant de têtes qu'il y en a dans la foule perd son unité ; il devient incohérent et inexécutable par suite des différentes interprétations qu'on peut y donner.»
«Un plan vaste et clair ne peut être élaboré que par un seul homme ; il coordonne tous les rouages des mécanismes de la machine gouvernementale. On en doit conclure qu'il est préférable pour le bien-être, d'un pays que le pouvoir soit concentré entre les mains d'un seul individu responsable. La civilisation ne peut exister sans le despotisme absolu, car elle n'est pas l’œuvre des masses, mais de leurs chefs, quels qu'ils soient. La foule est barbare, elle le prouve en toute occasion. Aussitôt qu'elle s'empare de la liberté (de l'idée de liberté), elle la transforme immédiatement en anarchie, qui est le plus haut degré de barbarie.»
La leçon à retenir :
L'internet est un moyen d'éducation intarissable !
Éducation ! Éducation ! Le mot d'ordre est lancé, car c'est «l'Art de former une personne, spécialement un enfant ou un adolescent, en développant ses qualités physiques, intellectuelles et morales, de façon à lui permettre d'affronter sa vie personnelle et sociale avec une personnalité suffisamment épanouie.» (cnrtl.fr)
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(*) Note :
-afrik.com, un site "africain" (sic) qui affiche ses "liens utiles" : Presse Algérie/El Khabar/Liberté/El Watan/Le Quotidien d’Oran, soit le réseau rothschildien-laïc du pays. Que le monde est petit !
Pratiquement tous les quotidiens et média de la planète, reprennent en chœur le même message, diffusé par AFP (Agence France Presse), signe de l'importance de l'information et de l'attention que lui réserve les maitres de l'intrigue. La composition du message n'a pas été livrée à n'importe quelle organe, parce que le sujet est de plus haute importance pour les "prédateurs éternels", pour la gestion, le suivi et l'orientation des changements qui s'opèrent en Algérie, pays qui occupe et préoccupe. Dans la pratique le message a été dicté intégralement à toutes les rédactions de la nébuleuse internationale juive des média. Le sujet est crucial, aucune contradiction ou discordance ne doit risquer d'atténuer l'authenticité de l'information, présente ou à avenir, fabriquée dans les coulisses des think tanks. Car à partir du moment où Bouteflika est miraculeusement remonté sur scelle, l'agenda de la subversion s'est trouvé perturbé et risque de s'écrouler. Lui, déguste son thé à la menthe et temporise pour permettre une décantation des événements et confondre les "sorciers du Pharaon" qui découvrent les premiers, leurs tours de magie (la propagande). "Le tamis est entrain de tourner". Les candidats à la présidence, après s'être délecter sadiquement,et sans retenue de l'incapacité physique du Président, commencent à paniquer. La peur s'est saisit d'eux. Qu'Allah incruste dans leur coeur l'effroi et les rétribuent pour leurs mensonges, leurs convoitises, et leur soif de pouvoir.
Exemple : Signe de sa pathologie croissante, Casimodo Touati déclare que les élections sont déjà "truquées" !
Ailleurs sur le Web, le sioniste Algérie-Focus et sa plume venimeuse Amina Boumazza argumente son désaccord de la candidature et cite comme évidence des sources connues(*). Entendre, pour leur engagement sioniste et par leur animosité envers ce qu'Allah a béni sur Terre, et leur soutien de ce qu'Il a maudit. Les analyses de ces rédactions (certifiées kosher) constitueraient la preuve que la perverse opinion de la donzelle est véridique. Hélas pour ces imposteurs, même le mensonge a ses limites et ses ressources sont épuisables !
Selon l'avis de nombreux philanthropes, passionnés de l'Algérie, la candidature de Bouteflika serait une défaite de la démoncratie que la juiverie internationale ne cesse de nous recommander, avec insistance, depuis 14 ans. Chacun à sa façon les Libyens, les Irakiens, les Égyptiens, les Afghanistans et les Yéménites jouissent égoïstement des bienfaits des changements démocratiques, particulièrement ceux inspirés des recommandations des sauveurs de l'humanité regroupés autour de BH Levy.
Pourquoi les algériens s'entêtent-ils à refuser cette offre de mutation sociopolitique inspirée des discours des tenants du Nouvel Ordre Mondial Juif, qui lui puise sa grâce dans le Talmude sacré ? La réponse semble résider dans le refus de Bouteflika d'abdiquer. Selon la nébuleuse bienfaitrice internationale, menée par les talmudipèdes, il est l'obstacle ultime; le cheveu qui tombe dans les soupes électorales mijotées par les chefs de la cuisine mondialiste; ou encore l’intrus qui gâche la fête célébrée par le peuple libéré et l'opposition intronisée.
Une autre raison plus tangible est, selon les théories conspirationnistes, percevable dans certains écrits attribués aux démons de Sion qui déclarent dans leurs Protocoles :
Chapitre I Première séance :
«06- L'idée de liberté est irréalisable, parce que personne ne sait en user avec juste mesure : il suffit de laisser le peuple se gouverner lui-même pendant quelque temps pour que cette liberté se transforme aussitôt en licence. Dès lors naissent des dissensions qui ne tardent pas à dégénérer en guerres sociales (civiles), dans lesquelles les États se consument et où leur grandeur se réduit en cendres. Qu'un État s'épuise dans ses convulsions intestines ou que les guerres civiles le mettent à la merci des ennemis extérieurs, il peut, dans l'un et l'autre cas, être considéré comme irrémédiablement perdu ; il est en notre pouvoir.»
«Il faut comprendre que la foule est aveugle, insensée, déraisonnée, qu'elle tend l'oreille à droite et à gauche. Un aveugle ne peut conduire un aveugle sans le conduire, au précipice ; de même les parvenus (Benflis, Touati, Benbitour, Rebainne,Yasmina, et consorts), issus de la foule – fussent-ils doués d'un esprit génial, mais non initiés à la politique – ne peuvent prétendre la diriger, sans perdre tout leur troupeau.»
«15- Seuls les hommes préparés dès l'enfance peuvent comprendre le langage et la réalité politiques. Un peuple livré à lui-même, c'est-à-dire à des parvenus issus de son milieu (les apprentis présidents), travaille à sa propre ruine par suite des querelles de partis qui naissent de la soif du pouvoir et des honneurs, et par les désordres qui en proviennent. Est-il possible aux masses populaires de raisonner avec calme et sans disputes, et de diriger les affaires de l'État qu'il ne faut pas confondre avec les intérêts personnels ? Sont-elles en mesure de se défendre contre les ennemis extérieurs ? C'est impossible. Un plan divisé en autant de têtes qu'il y en a dans la foule perd son unité ; il devient incohérent et inexécutable par suite des différentes interprétations qu'on peut y donner.»
«Un plan vaste et clair ne peut être élaboré que par un seul homme ; il coordonne tous les rouages des mécanismes de la machine gouvernementale. On en doit conclure qu'il est préférable pour le bien-être, d'un pays que le pouvoir soit concentré entre les mains d'un seul individu responsable. La civilisation ne peut exister sans le despotisme absolu, car elle n'est pas l’œuvre des masses, mais de leurs chefs, quels qu'ils soient. La foule est barbare, elle le prouve en toute occasion. Aussitôt qu'elle s'empare de la liberté (de l'idée de liberté), elle la transforme immédiatement en anarchie, qui est le plus haut degré de barbarie.»
La leçon à retenir :
L'internet est un moyen d'éducation intarissable !
Éducation ! Éducation ! Le mot d'ordre est lancé, car c'est «l'Art de former une personne, spécialement un enfant ou un adolescent, en développant ses qualités physiques, intellectuelles et morales, de façon à lui permettre d'affronter sa vie personnelle et sociale avec une personnalité suffisamment épanouie.» (cnrtl.fr)
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(*) Note :
-afrik.com, un site "africain" (sic) qui affiche ses "liens utiles" : Presse Algérie/El Khabar/Liberté/El Watan/Le Quotidien d’Oran, soit le réseau rothschildien-laïc du pays. Que le monde est petit !
-RFI
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