Boukharouba, traître à la nation et éradicateur des moudjahidines et des grandes figures de la révolution, a renié le sermon solennel des martyrs et tous les engagements contenus dans les déclarations du congrès de la Soummam. La décision du "Conseil national de la révolution algérienne"(CNRA) représentant tous les vrais responsables, fut rejetée par Ben Bella parce que qu'elle stipulait la "primauté du politique sur le militaire et celle de l'intérieur sur l'extérieur" :
«La délégation extérieure installée au Caire et dirigée par Ahmed Ben Bella remettra en cause certaines décisions d'ordre politique telles la primauté du politique sur le militaire et celle de l’intérieur sur l’extérieur. La stratégie adoptée par le congrès de la Soummam dans le respect de la déclaration du 1er novembre 1954 s'oppose à toute forme de tutelle extérieure notamment la mainmise du nassérisme sur la révolution algérienne. L'influence égyptienne sur la révolution algérienne sera effective dès le CNRA du Caire d’août 1957 et l'assassinat au Maroc d'Abane Ramdane en décembre de la même année. La direction de la révolution algérienne connaîtra des conflits (entre pro-nassériens et indépendantistes) et des purges (assassinats des colonels Lamouri, Aouachria, Nouaouria... par Boumedienne en novembre 1958)»
Quelle démonstration de mauvaise foi de la part de Ben Bella qui remettait en cause le bien fondé de ce choix collectif, qui aurait du lui convenir en tant que politicien, mais la primauté "de l'intérieur sur l'extérieur" rendant à la lutte sur le sol algérien son mérite et son crédit, ne convenait pas aux "frontaliers", un groupe sur lequel planait l'ombre de l'obscure Boukharouba, alias "André" !
Lors de la COMMÉMORATION DU CINQUANTENAIRE DE L’EMG
dont un résumé est fourni au Lien, on peut lire :
«Cela a été précisément le cas, hier, au forum d’ El Moudjahid qui a abrité une commémoration du cinquantenaire de la création de l’EMG et où le commandant Azzedine a relaté la vérité historique telle que vécue. Non seulement cela mais aussi la vérité historique dans ses prolongements futurs, ses implications post-indépendance. Il en ressort, en définitive, que l’état-major général, dirigé à l’époque par Houari Boumediene, s’est inscrit, dès sa mise sur pied, dans la logique de la prise de pouvoir. Aussi ce dernier s’était-il attelé à gripper la machine du Gouvernement provisoire de la république algérienne (GPRA) et à sectionner les cordons de cohésion du Conseil national de la révolution algérienne (CNRA). En fait, plus prosaïquement, l’état-major général, dès sa création, activait à couper l’herbe sous le pied des structures intérieures de la Révolution, c’est-à-dire les wilayas de l’intérieur, et ce, dans la perspective de mettre main basse sur le pouvoir une fois l’indépendance acquise.»
Les intrigues sournoises personnelles d'ambitieux acteurs ont miné le mouvement de libération national jusqu'à l'exposer à l'échec. Les manœuvres pour la prise de contrôle de la révolution ont été recensées et classées par de nombreux témoins et historiens. Celle engagée par Boukharouba a réussi, grâce à ses puissants alliés de Paris-Sion et aux franc maçons qu'il consultait en secret. Partenariat qui se poursuivra longtemps, après l'indépendance !
Première preuve : Cette affirmation peut être démontrée lorsqu'on relève les accords secrets, que les analystes dévoilent jour après jour, qui ont trait aux concessions faites par le Rais à la France pour permettre la poursuite de ses expériences d'armes atomiques et chimiques durant plusieurs années après 1962 ! Le plus grave, ce que je dévoile dans un article ancien (Lien) ou d'un document téléchargeable "israéliens à reggane.pdf" est que l'inavoué bénéficiaire de cette "coopération" militaire qui a ruiné la santé et la vie de tant d'Algériens, était l'état sioniste, Israél !
Une seconde preuve de l'existence d'une collaboration entre Boukharouba et ses maîtres parisiens apparait à la suite des événements de 1967, consécutifs à la tentative de renversement dirigé par le chef d'état major Tahar Zbiri contre le tyran. Appréhendant toute nouvelle tentative de suppression de son totalitarisme militaire et de la chute de son trône, Boukharouba apeuré et dans un état de panique fit appel à ses alliés de la "fraternité" qui rassemblèrent des dizaines d'actifs de l'armée française, d'origine algérienne mais toujours en exercice dans les casernes françaises. Ces nouvelles recrues rejoignirent secrètement les rangs de l'ANP sous couvert d'un accord de coopération et suite à une prétendue amnistie offerte par l'état algérien.
Ce groupe de "repentis" rassemblait une pléiade d'agents au passé incertain, voir carrément des collaborateur (harkis) qui se retrouvèrent affectés à différentes tâches en Algérie, telle la filature et surveillance d'anciens moudjahidines des Willaya historiques III-IV-I-VI, et le quadrillage de l'administration militaire ! En un mot une Sécurité Militaire parallèle que ne contrôlait pas Kasdi Merbah, mais que le chef de la SM n'en ignorait pas pour autant l'existence.
Une troisième preuve:
Le maintien en poste dans l'administration civile, locale, ministérielle, gouvernementale, de tous les renégats dont les fameux agents de la SAS (Sections Administratives Spécialisées) qui avaient servi d'une manière ou d'une autre la France. Une majorité de secrétaires généraux de mairie, de sous-préfecture, de préfecture, de ministère et au plus haut échelon du gouvernement avaient repris en main les affaires administratives du pays et sa gestion. Ces agents constituaient le support administratif de la dictature et il a fallut attendre le fameux coup de maître de Chadli, un traité d'accord d'indemnisation qu'il avait signé avec Mitterrand, pour qu'ils deviennent "visibles". Une pension délivrée à la poste leur était accordée, faisant d'eux la risée de la population qui découvrait le passé de ces taupes. Beaucoup n'ont pas survécu à la crise cardiaque qui les terrassa !
La "coopération" franco-algérienne établie par Boukharouba ne se limitait pas à ces forfaitures
subversives, elle se poursuivit jusqu'à la fin de son règne. L'intrigant "n'enfilait pas une aiguille" sans consulter De Gaulle (devant lequel il s'était maintes fois prosterné cérémonieusement), ou avant l'assurance de son consentement.
Révérence d'un despote criminel à un président criminel de guerre !
Les grandes décisions historiques du tyran n'étaient prises qu'après avoir reçu l'aval des "Chers frères" de Paris lorsque n'entrevoyant aucun préjudice, surtout financier ou économique.
Les prestigieuses nationalisations des hydrocarbures illustrent parfaitement la connivence existante entre les "chers frères" d'Alger et de Paris ! Ce dernier point sera plus clairement et amplement analysé dans la suite de la rétrospective de la saga Boukharouba.
La franc-maçonnerie de Paris lui rendait fidèlement la contre partie des services rendus en mobilisant ses média et en construisant une "aura" révolutionnaire et un prestige international qui réconfortaient le pouvoir de la dictature du "compagnon" en Algérie, pays mené vers la faillite généralisée et placé sur un plateau à la portée des banquiers-prédateurs du Nouvel Ordre Mondial juif. Car à propos de la dette, qualifiée "d'aide" par les banques talmudes, elle était injectée quotidiennement dans l'économie, et les titres en première page d'El Moudjahid (archivé et consultable) témoignent de cette frénésie d'endettement dans des projets pharaoniques sans perspective économique et dont le lourd tribut usurier devint un levier de pouvoir juif qui faillit réduire la population à l'esclavage, dans le années '90.
Avec cette arrière plan historique révoltant en mémoire, on ne peut que condamner et fustiger les auteurs de biographies fabriquées et d'oraisons funèbres sensationnelles qui n'en finissent pas de défrayer la chronique pour "immortaliser", "faire revivre"; "rappeler l'importance--le rôle primordial--la grandeur--et le mérite" de Boukharouba, l'intrigant du EMG !
S.Chitour, MC. Mesbah, A. Mebroukine, P. Balta,
et tous les serviteurs d'un système frauduleux de gouvernance, destructeur d'hommes et de leurs valeurs morales, foyer de toutes les carences et défaillances que l'Algérie endure aujourd'hui, sont les ennemis de la vérité et les receleurs de l'injustice qui a régné dans ce pays pendant des générations.
Abusant de la naïveté de nombreux lecteurs, ils dirigent leur unique réquisitoire contre Bouteflika (sans motif et inlassablement depuis 1999), tandis que leur absolution est réservée à Boukharouba l'artisan de la catastrophe nationale.
Chitour dans une parade rampante écœurante nous livre son commentaire d'un remake,
un film d'horreur dont il tente de nous faire croire que le scénario est celui d'un conte de fées où l'Algérie (la Belle au bois dormant) est séduite par le Prince charmant (Boukharouba) venu à sa rescousse pour la sauver des mains de la Sorcière (le sous développement), mais a été incapable d'accomplir sa mission ayant rendu l'âme en chemin ! "
Incroyable baliverne que ce message publié par Chitour ! Un relent de propagande socialiste ou un blanchiment d'une arnaque historique aux implications désastreuses ?
Il est incroyable et révoltant que ce "professeur à polytechnique" supposé pouvoir traiter de questions scientifiques sérieuses et intellectuellement exigeantes, sombre dans le surréalisme politique lorsqu'il s'aventure dans la chronique de ce personnage célèbre par l'opacité de toute sa biographie et de son œuvre. Son récit nous rappelle la littérature dédiée à "l'épopée soviétique" qui glorifiait les maîtres du Kremlin en les divinisant. Ceci dans le but d'absoudre leurs crimes génocidaires et leur dévouement à l'instauration d'un pouvoir talmude, après la prise en otage de la Russie pour en faire un abattoir de Goyim ! (Lien ou Éduquez-vous !).
Les balbutiements de Mr Chitour pour présenter l'apologie de "notre Lénine" nous rendent perplexes et nous amènent à examiner son état mental signalant une panne cérébrale importante. Serait-elle due à l'injection d'une surdose d'endoctrinement socialiste dispensée lors de ses randonnées au sein du volontariat estudiantin qui s'Ébranlait dans nos campagnes lors de la révolution agraire ? Ou serait-ce un retour de manivelle incontrôlable déclenché par le mécanisme de conditionnement communiste que dispensait le régime aux cercles d'étudiants des années 60-70 ? Ce déclic l'aurait apparemment plongé dans un état comateux que la nostalgie provoque chez certains amnésiques et épileptiques. Ceci en assumant naturellement qu'il est de bonne foi, n'a aucun intérêt personnel, ni de lien de parenté avec le juge-bourreau de la guerre d'indépendance, ni d'affinité occulte le liant aux loges-districts maçonniques. Ce qui serait très flatteur pour sa réputation au vu de sa montée médiatique suspecte.
Dans son oraison funèbre tardive notre Chitour endosse le témoignage de Paul Bata et Ali Mebroukine, deux personnages énigmatiques qui partagent leur adulation de Boukharouba et se targuent de leurs relations passées intimes avec le Rais et même avec sa femme la charmante Anissa-Esther (Lien).
Ce que l'on note à la lecture du billet de Chitour est l'exclusive insistance de l'auteur sur la description du caractère du Rais, de ses qualités imaginaires (qu'il fignole subjectivement), de sa vision (sic), de ses intentions, de ses rêves, de sa modestie, de sa pudeur, et blablabla..., en un mot en caressant le caractère émotionnel et non rationnel du lecteur, une méthode classique de manipulation talmude !
Mr Chitour, vous nous chantez une sérénade qui sonne à nos oreilles comme une cacophonie !
L'homme que vous décrivez n'est pas un prétendant à la main de votre fille que vous tentez de convaincre de l'accepter comme époux !
Qu'il soit beau, gentil, aimable, studieux, imposant, sérieux, ne sont pas les critères d'évaluation et du bilan du règne du plus grand tyran que l'Algérie ait enduré de son histoire moderne. "Un arbre est jugé par ses fruits, pas par son ombrage !"
Les faits, Mr Chitour ! Donnez nous les faits sur -les projets industriels pompeux et inopérants qu'il a lancés !
-Sur les décisions économiques désastreuses qu'il a prises!
-Sur la terreur qu'il a fait régner!
-Sur les privations qu'il a imposées au peuple pour "économiser de l'argent" qu'il dilapidait ailleurs pour se construire une image d'icône de la révolution internationaliste talmude !
-Ou encore régler les problèmes des autres, ce que le peuple n'avait pas à assumer !
-Sur le fiasco de la révolution agraire et la nationalisation des biens licites des citoyens !
-Sur la ruine de l'agriculture, à savoir celle d'un pays exportateur de fruits, de légumes et de viandes, devenu importateur de tomate en conserve !
Pour remuer quelques souvenirs désagréables que vous semblez avoir répudiés, permettez-moi de vous rappeler l'injustice qui régnait à l'université où les étudiants indigents issus du peuple recevaient 100 DA de bourse par mois, pendant que certains de leurs camarades, ceux recrutés par la SM, menaient un train de vie d'enfants d'Onassis avec 3000 DA / mois (N'est-ce pas Mr Chafik MESBAH ?).
Vous souffrez d'amnésie sélective, vous qui détaillez les goûts artistiques de vôtre Saint-des- Saints mais perdez de vue les forfaits de sa dictature militaire et de la discrimination sociale des castes, au sommet la soldatesque (tous grades confondus), à la base la paysannerie et les "intouchables" réactionnaires !
Votre compte rendu de la vie de votre idole est en décalage par rapport à celui de sources respectables (Ferhat Abbas, Benkhedda, Boudiaf, etc...). Le criminel aux méfaits reconnus et à la perfidie établie en toute objectivité par les observateurs et témoins intègres de l'histoire ne correspond pas au personnage que vous décrivez en termes si complaisants !
Chitour endossant Balta (Lien) :
"Discret mais efficace, timide mais fier, réservé mais volontaire, autoritaire mais humain, généreux mais exigeant, prudent dans l´audace, voilà comment m´est apparu Boumediène lorsque j´ai eu à le connaître et à l´observer. Homme du soir, il aimait se retrouver, de temps à autre, tant qu´il était encore célibataire, avec quelques amis auprès desquels il se montrait enjoué et rieur, selon ce que m´ont affirmé plusieurs d´entre eux.»
Quel tableau séduisant du commanditaire de l'assassinat de tant d'Algériens patriotes dont le tort avait été de s'opposer à ses putches militaires de 1962 et 1965, ou d'avoir mérité la gloire par leur abnégation et leurs sacrifices au combat contre la France, sur le territoire national, pas hors des frontières !
A propos de ses revenus :
Un révolutionnaire sans le sous n'a pas besoin d'un homme d'affaire millionnaire, Mr Zeggar, comme confident et représentant aux États Unis, auprès de Rockefeller.
-Que sont devenues les 5/6-em des recettes des hydrocarbures (gaz naturel) après que la socièté El Paso n'ait payé que 1/6-em du prix du gaz dans un "contrat du siècle" que Boukharouba avait signé en personne !
-Et l'achat des 50 Boeing, également négociés par lui ?
Ce n'est pas Mr Chafik Mesbah, tant introduit auprès de sources "fiables" qui nous donnera les réponses, car lui aussi nage dans la vénération virtuelle orchestrée par le pouvoir occulte (Photo)
qui s'accoude sur le système légué par la Zaim postiche !
Les réalisations ruineuses et les dégâts multisectoriels irréparables causés par la politique mensongère, la démagogie chimérique et l'utopie stérile de Boukharouba seront abordés prochainement.
A Suivre......
«La délégation extérieure installée au Caire et dirigée par Ahmed Ben Bella remettra en cause certaines décisions d'ordre politique telles la primauté du politique sur le militaire et celle de l’intérieur sur l’extérieur. La stratégie adoptée par le congrès de la Soummam dans le respect de la déclaration du 1er novembre 1954 s'oppose à toute forme de tutelle extérieure notamment la mainmise du nassérisme sur la révolution algérienne. L'influence égyptienne sur la révolution algérienne sera effective dès le CNRA du Caire d’août 1957 et l'assassinat au Maroc d'Abane Ramdane en décembre de la même année. La direction de la révolution algérienne connaîtra des conflits (entre pro-nassériens et indépendantistes) et des purges (assassinats des colonels Lamouri, Aouachria, Nouaouria... par Boumedienne en novembre 1958)»
Quelle démonstration de mauvaise foi de la part de Ben Bella qui remettait en cause le bien fondé de ce choix collectif, qui aurait du lui convenir en tant que politicien, mais la primauté "de l'intérieur sur l'extérieur" rendant à la lutte sur le sol algérien son mérite et son crédit, ne convenait pas aux "frontaliers", un groupe sur lequel planait l'ombre de l'obscure Boukharouba, alias "André" !
Lors de la COMMÉMORATION DU CINQUANTENAIRE DE L’EMG
dont un résumé est fourni au Lien, on peut lire :
«Cela a été précisément le cas, hier, au forum d’ El Moudjahid qui a abrité une commémoration du cinquantenaire de la création de l’EMG et où le commandant Azzedine a relaté la vérité historique telle que vécue. Non seulement cela mais aussi la vérité historique dans ses prolongements futurs, ses implications post-indépendance. Il en ressort, en définitive, que l’état-major général, dirigé à l’époque par Houari Boumediene, s’est inscrit, dès sa mise sur pied, dans la logique de la prise de pouvoir. Aussi ce dernier s’était-il attelé à gripper la machine du Gouvernement provisoire de la république algérienne (GPRA) et à sectionner les cordons de cohésion du Conseil national de la révolution algérienne (CNRA). En fait, plus prosaïquement, l’état-major général, dès sa création, activait à couper l’herbe sous le pied des structures intérieures de la Révolution, c’est-à-dire les wilayas de l’intérieur, et ce, dans la perspective de mettre main basse sur le pouvoir une fois l’indépendance acquise.»
Les intrigues sournoises personnelles d'ambitieux acteurs ont miné le mouvement de libération national jusqu'à l'exposer à l'échec. Les manœuvres pour la prise de contrôle de la révolution ont été recensées et classées par de nombreux témoins et historiens. Celle engagée par Boukharouba a réussi, grâce à ses puissants alliés de Paris-Sion et aux franc maçons qu'il consultait en secret. Partenariat qui se poursuivra longtemps, après l'indépendance !
Première preuve : Cette affirmation peut être démontrée lorsqu'on relève les accords secrets, que les analystes dévoilent jour après jour, qui ont trait aux concessions faites par le Rais à la France pour permettre la poursuite de ses expériences d'armes atomiques et chimiques durant plusieurs années après 1962 ! Le plus grave, ce que je dévoile dans un article ancien (Lien) ou d'un document téléchargeable "israéliens à reggane.pdf" est que l'inavoué bénéficiaire de cette "coopération" militaire qui a ruiné la santé et la vie de tant d'Algériens, était l'état sioniste, Israél !
Une seconde preuve de l'existence d'une collaboration entre Boukharouba et ses maîtres parisiens apparait à la suite des événements de 1967, consécutifs à la tentative de renversement dirigé par le chef d'état major Tahar Zbiri contre le tyran. Appréhendant toute nouvelle tentative de suppression de son totalitarisme militaire et de la chute de son trône, Boukharouba apeuré et dans un état de panique fit appel à ses alliés de la "fraternité" qui rassemblèrent des dizaines d'actifs de l'armée française, d'origine algérienne mais toujours en exercice dans les casernes françaises. Ces nouvelles recrues rejoignirent secrètement les rangs de l'ANP sous couvert d'un accord de coopération et suite à une prétendue amnistie offerte par l'état algérien.
Ce groupe de "repentis" rassemblait une pléiade d'agents au passé incertain, voir carrément des collaborateur (harkis) qui se retrouvèrent affectés à différentes tâches en Algérie, telle la filature et surveillance d'anciens moudjahidines des Willaya historiques III-IV-I-VI, et le quadrillage de l'administration militaire ! En un mot une Sécurité Militaire parallèle que ne contrôlait pas Kasdi Merbah, mais que le chef de la SM n'en ignorait pas pour autant l'existence.
Une troisième preuve:
Le maintien en poste dans l'administration civile, locale, ministérielle, gouvernementale, de tous les renégats dont les fameux agents de la SAS (Sections Administratives Spécialisées) qui avaient servi d'une manière ou d'une autre la France. Une majorité de secrétaires généraux de mairie, de sous-préfecture, de préfecture, de ministère et au plus haut échelon du gouvernement avaient repris en main les affaires administratives du pays et sa gestion. Ces agents constituaient le support administratif de la dictature et il a fallut attendre le fameux coup de maître de Chadli, un traité d'accord d'indemnisation qu'il avait signé avec Mitterrand, pour qu'ils deviennent "visibles". Une pension délivrée à la poste leur était accordée, faisant d'eux la risée de la population qui découvrait le passé de ces taupes. Beaucoup n'ont pas survécu à la crise cardiaque qui les terrassa !
La "coopération" franco-algérienne établie par Boukharouba ne se limitait pas à ces forfaitures
subversives, elle se poursuivit jusqu'à la fin de son règne. L'intrigant "n'enfilait pas une aiguille" sans consulter De Gaulle (devant lequel il s'était maintes fois prosterné cérémonieusement), ou avant l'assurance de son consentement.
Révérence d'un despote criminel à un président criminel de guerre !
Les grandes décisions historiques du tyran n'étaient prises qu'après avoir reçu l'aval des "Chers frères" de Paris lorsque n'entrevoyant aucun préjudice, surtout financier ou économique.
Les prestigieuses nationalisations des hydrocarbures illustrent parfaitement la connivence existante entre les "chers frères" d'Alger et de Paris ! Ce dernier point sera plus clairement et amplement analysé dans la suite de la rétrospective de la saga Boukharouba.
La franc-maçonnerie de Paris lui rendait fidèlement la contre partie des services rendus en mobilisant ses média et en construisant une "aura" révolutionnaire et un prestige international qui réconfortaient le pouvoir de la dictature du "compagnon" en Algérie, pays mené vers la faillite généralisée et placé sur un plateau à la portée des banquiers-prédateurs du Nouvel Ordre Mondial juif. Car à propos de la dette, qualifiée "d'aide" par les banques talmudes, elle était injectée quotidiennement dans l'économie, et les titres en première page d'El Moudjahid (archivé et consultable) témoignent de cette frénésie d'endettement dans des projets pharaoniques sans perspective économique et dont le lourd tribut usurier devint un levier de pouvoir juif qui faillit réduire la population à l'esclavage, dans le années '90.
Avec cette arrière plan historique révoltant en mémoire, on ne peut que condamner et fustiger les auteurs de biographies fabriquées et d'oraisons funèbres sensationnelles qui n'en finissent pas de défrayer la chronique pour "immortaliser", "faire revivre"; "rappeler l'importance--le rôle primordial--la grandeur--et le mérite" de Boukharouba, l'intrigant du EMG !
S.Chitour, MC. Mesbah, A. Mebroukine, P. Balta,
et tous les serviteurs d'un système frauduleux de gouvernance, destructeur d'hommes et de leurs valeurs morales, foyer de toutes les carences et défaillances que l'Algérie endure aujourd'hui, sont les ennemis de la vérité et les receleurs de l'injustice qui a régné dans ce pays pendant des générations.
Abusant de la naïveté de nombreux lecteurs, ils dirigent leur unique réquisitoire contre Bouteflika (sans motif et inlassablement depuis 1999), tandis que leur absolution est réservée à Boukharouba l'artisan de la catastrophe nationale.
Chitour dans une parade rampante écœurante nous livre son commentaire d'un remake,
un film d'horreur dont il tente de nous faire croire que le scénario est celui d'un conte de fées où l'Algérie (la Belle au bois dormant) est séduite par le Prince charmant (Boukharouba) venu à sa rescousse pour la sauver des mains de la Sorcière (le sous développement), mais a été incapable d'accomplir sa mission ayant rendu l'âme en chemin ! "
Incroyable baliverne que ce message publié par Chitour ! Un relent de propagande socialiste ou un blanchiment d'une arnaque historique aux implications désastreuses ?
Il est incroyable et révoltant que ce "professeur à polytechnique" supposé pouvoir traiter de questions scientifiques sérieuses et intellectuellement exigeantes, sombre dans le surréalisme politique lorsqu'il s'aventure dans la chronique de ce personnage célèbre par l'opacité de toute sa biographie et de son œuvre. Son récit nous rappelle la littérature dédiée à "l'épopée soviétique" qui glorifiait les maîtres du Kremlin en les divinisant. Ceci dans le but d'absoudre leurs crimes génocidaires et leur dévouement à l'instauration d'un pouvoir talmude, après la prise en otage de la Russie pour en faire un abattoir de Goyim ! (Lien ou Éduquez-vous !).
Les balbutiements de Mr Chitour pour présenter l'apologie de "notre Lénine" nous rendent perplexes et nous amènent à examiner son état mental signalant une panne cérébrale importante. Serait-elle due à l'injection d'une surdose d'endoctrinement socialiste dispensée lors de ses randonnées au sein du volontariat estudiantin qui s'Ébranlait dans nos campagnes lors de la révolution agraire ? Ou serait-ce un retour de manivelle incontrôlable déclenché par le mécanisme de conditionnement communiste que dispensait le régime aux cercles d'étudiants des années 60-70 ? Ce déclic l'aurait apparemment plongé dans un état comateux que la nostalgie provoque chez certains amnésiques et épileptiques. Ceci en assumant naturellement qu'il est de bonne foi, n'a aucun intérêt personnel, ni de lien de parenté avec le juge-bourreau de la guerre d'indépendance, ni d'affinité occulte le liant aux loges-districts maçonniques. Ce qui serait très flatteur pour sa réputation au vu de sa montée médiatique suspecte.
Dans son oraison funèbre tardive notre Chitour endosse le témoignage de Paul Bata et Ali Mebroukine, deux personnages énigmatiques qui partagent leur adulation de Boukharouba et se targuent de leurs relations passées intimes avec le Rais et même avec sa femme la charmante Anissa-Esther (Lien).
Ce que l'on note à la lecture du billet de Chitour est l'exclusive insistance de l'auteur sur la description du caractère du Rais, de ses qualités imaginaires (qu'il fignole subjectivement), de sa vision (sic), de ses intentions, de ses rêves, de sa modestie, de sa pudeur, et blablabla..., en un mot en caressant le caractère émotionnel et non rationnel du lecteur, une méthode classique de manipulation talmude !
Mr Chitour, vous nous chantez une sérénade qui sonne à nos oreilles comme une cacophonie !
L'homme que vous décrivez n'est pas un prétendant à la main de votre fille que vous tentez de convaincre de l'accepter comme époux !
Qu'il soit beau, gentil, aimable, studieux, imposant, sérieux, ne sont pas les critères d'évaluation et du bilan du règne du plus grand tyran que l'Algérie ait enduré de son histoire moderne. "Un arbre est jugé par ses fruits, pas par son ombrage !"
Les faits, Mr Chitour ! Donnez nous les faits sur -les projets industriels pompeux et inopérants qu'il a lancés !
-Sur les décisions économiques désastreuses qu'il a prises!
-Sur la terreur qu'il a fait régner!
-Sur les privations qu'il a imposées au peuple pour "économiser de l'argent" qu'il dilapidait ailleurs pour se construire une image d'icône de la révolution internationaliste talmude !
-Ou encore régler les problèmes des autres, ce que le peuple n'avait pas à assumer !
-Sur le fiasco de la révolution agraire et la nationalisation des biens licites des citoyens !
-Sur la ruine de l'agriculture, à savoir celle d'un pays exportateur de fruits, de légumes et de viandes, devenu importateur de tomate en conserve !
Pour remuer quelques souvenirs désagréables que vous semblez avoir répudiés, permettez-moi de vous rappeler l'injustice qui régnait à l'université où les étudiants indigents issus du peuple recevaient 100 DA de bourse par mois, pendant que certains de leurs camarades, ceux recrutés par la SM, menaient un train de vie d'enfants d'Onassis avec 3000 DA / mois (N'est-ce pas Mr Chafik MESBAH ?).
Vous souffrez d'amnésie sélective, vous qui détaillez les goûts artistiques de vôtre Saint-des- Saints mais perdez de vue les forfaits de sa dictature militaire et de la discrimination sociale des castes, au sommet la soldatesque (tous grades confondus), à la base la paysannerie et les "intouchables" réactionnaires !
Votre compte rendu de la vie de votre idole est en décalage par rapport à celui de sources respectables (Ferhat Abbas, Benkhedda, Boudiaf, etc...). Le criminel aux méfaits reconnus et à la perfidie établie en toute objectivité par les observateurs et témoins intègres de l'histoire ne correspond pas au personnage que vous décrivez en termes si complaisants !
Chitour endossant Balta (Lien) :
"Discret mais efficace, timide mais fier, réservé mais volontaire, autoritaire mais humain, généreux mais exigeant, prudent dans l´audace, voilà comment m´est apparu Boumediène lorsque j´ai eu à le connaître et à l´observer. Homme du soir, il aimait se retrouver, de temps à autre, tant qu´il était encore célibataire, avec quelques amis auprès desquels il se montrait enjoué et rieur, selon ce que m´ont affirmé plusieurs d´entre eux.»
Quel tableau séduisant du commanditaire de l'assassinat de tant d'Algériens patriotes dont le tort avait été de s'opposer à ses putches militaires de 1962 et 1965, ou d'avoir mérité la gloire par leur abnégation et leurs sacrifices au combat contre la France, sur le territoire national, pas hors des frontières !
A propos de ses revenus :
Un révolutionnaire sans le sous n'a pas besoin d'un homme d'affaire millionnaire, Mr Zeggar, comme confident et représentant aux États Unis, auprès de Rockefeller.
-Que sont devenues les 5/6-em des recettes des hydrocarbures (gaz naturel) après que la socièté El Paso n'ait payé que 1/6-em du prix du gaz dans un "contrat du siècle" que Boukharouba avait signé en personne !
-Et l'achat des 50 Boeing, également négociés par lui ?
Ce n'est pas Mr Chafik Mesbah, tant introduit auprès de sources "fiables" qui nous donnera les réponses, car lui aussi nage dans la vénération virtuelle orchestrée par le pouvoir occulte (Photo)
qui s'accoude sur le système légué par la Zaim postiche !
Les réalisations ruineuses et les dégâts multisectoriels irréparables causés par la politique mensongère, la démagogie chimérique et l'utopie stérile de Boukharouba seront abordés prochainement.
A Suivre......