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11 avr. 2010

Compassion Pour Nos Compatriotes: Victimes De La Propagande Et De La Manipulation Maçonnique. L'Âme N'a Pas De Prix. Sauvez La Vôtre !

Pour éviter tout plagiat et surtout honorer le courage et le mérite de Paul Copin-Albancelli, au lien Wikipédia., je reporterais intégralement le texte de l'article sans commentaires afin de permettre à qui le souhaite l'étude de ce document révélateur sur le mythe qui entoure la Franc-maçonnerie et les fausses abstractions qui l'encensent pour abuser le public et les adhérents à la "fraternité" tout en dissimulant ses fondements dogmatiques qui sont ceux d'une religion occulte satanique.

Biographie (Paul Copin-Albancelli)

Parcours maçonnique

Franc-maçon dès 1884[1], de la loge l'Avant-Garde maçonnique[2] de Paris[3] appartenant à l'obédience maçonnique du Grand Orient de France[4]. Il accomplit successivement les offices de secrétaire, d'orateur et de premier surveillant dans sa loge[5]. En 1887, il intègre un chapitre des hauts grades maçonniques dit Rose-Croix[6] du nom de La clémente amitié, dont le frère Amiable était le président portant le titre de Très-Sage[7]. Il en sera le secrétaire[8]. Par la suite des ouvertures lui sont faites pour un passage au grade de chevalier kadosh[9]. Dès 1889, encore dans la maçonnerie, il dénonce en tant que journaliste ses agissements dans une campagne électorale à Vervins, opposant un conservateur, Godelle, à un député gouvernemental sortant et franc-maçon, Dupuy. Il accuse alors publiquement la maçonnerie d'intolérance, de fanatisme antireligieux et d'ingérence occulte dans les affaires politiques. Godelle l'emporte[10]. Il est alors frappé d'une peine de mise en sommeil de quelques mois, au terme de laquelle il donne sa démission de sa loge, courant janvier 1890[11].

Parcours anti-maçonnique

Copin-Albancelli use de son expérience pour se faire l’un des plus violents dénonciateurs de la franc-maçonnerie qu’il associe, comme plusieurs antidreyfusards de l’époque, à un complot juif, avant de faire évoluer sa position. Il débute une série de conférences en France, dont la première fut devant les membres de la Ligue de la patrie française avec le soutient de Jules Lemaître et la seconde devant les membres de l'Action française[12].
Au tournant du XXe siècle, il fonde les journaux antimaçonniques et antisémites À bas les tyrans (avec André Baron/Louis Dasté), et La Bastille. Il dirige l'Union française antimaçonnique, qui fusionne en 1906 avec deux ligues crées par Émile Driant. La nouvelle entité prendra alors le nom de Ligue française anti-maçonnique[13] qu'il animera également. Elle éclate en 1909 et Copin-Albancelli fonde la Ligue de défense nationale contre la franc-maçonnerie[14]. Il s'occupera aussi de la société d'édition "La Renaissance française".
Parallèlement à ces activités, Copin-Albancelli collaborait également à la Revue Internationale des Sociétés Secrètes de Mgr Ernest Jouin, célèbre contempteur de la franc-maçonnerie et dénonciateur de supposées conspirations liées à des forces occultes.
Craignant la ruine de la France au profit de puissances étrangères par le moyen de la franc-maçonnerie et autres sociétés secrètes, dont la Grande-Bretagne, le pangermanisme et la communauté juive en utiliseraient les effectifs, Copin-Albancelli dénoncera jusqu’à sa mort les sociétés secrètes, la propagande anti-française et les différents complots qui interfèrent, selon, lui dans la politique mondiale.
Le 28 février 1922, il exposa ses théories dans une lettre adressée au premier ministre britannique Lloyd George, qui en accusa réception[15], et dans laquelle il proposa que les sociétés secrètes soient inscrites au programme du désarmement au même titre qu'une arme ou qu'un régiment[16]. Il fit cela dans un but de dénonciation[17].

Action Française

Après avoir été boulangiste, Copin-Albancelli fut également l’un des premiers militants nationalistes et royalistes de l'Action française. Il collabora à la Revue d’Action française qui devient L'Action françaiseMouvement de défense des traditions nationales (ou Entente nationale), regroupant plusieurs royalistes de l'Action française ou indépendants. Il a contribué au livre de Maurras Enquête sur la monarchie dont il a écrit un chapitre.

 

Fin..."De Biographie",

lire la suite et l'article  (Plus D'Info)......





Algérie: Economistes Néo-Libéralistes Plus Royalistes Que Le Roi.

Scrutés en rétrospective: certains commentaires "d'experts" économiques prêtent à rire par leur naïveté ou soulèvent des questions sur la compétence de leur travaux ou l'honnêteté de leur avis sur des questions économiques importantes et souvent cruciales. Sans grands efforts et avec seulement un peu d'imagination, toute personne intéressée par l'information économique peut deviner où trouver ce genre d'écrit et ceux qui les diffusent: notre presse "indépendante" subversive, avec à leur tête El Watan. Sans jamais faire preuve de retenue ou de prudence le quotidien s'est spécialisé dans la divination économique et s'est converti en conseiller économique, défenseur de l'intérêt général dont l'expertise se résume à tenter d'induire en erreur le gouvernement et l'opinion publique sur des questions d'actualité et à le conduire dans des avenues hasardeuses et souvent catastrophiques pour ceux qui s'y hasarderaient. Tout le monde doit avoir en mémoire la campagne dirigée par El Watan et sa pléiade "d'experts" nationaux et internationaux qui accusèrent les autorités financières algériennes de négligence et d'incompétence dans la gestion des réserves excédentaires en devises accumulées (garantis par le gouvernement des États Unis) auprès du trésor américain. Nombre de conseilleurs algériens et étrangers suspects, «qui ne sont jamais les payeurs», chantaient d'une seule voix le refrain «de la nécessité de la diversification des placements des réserves en devise, dans la multitude de valeurs financières internationales négociées sur les marchés des bourses» de Londres, New York,, etc... Un piège que l'Algérie contourna par miracle (et grâce à la vigilance de surveillants avisés).
La crise du crédit qui se profilait à l'horizon coïncidait par hasard avec cette effusion de recommandations "désintéressées" et de conseils gratuits. La campagne d'El Watan fut abrégée par l'impact de la crise qui dévoila toutes les horreurs des malversations et des combines frauduleuses régissant les marchés financiers, que les vrais experts dénonçaient (depuis longtemps) comme organismes gérés par une pègre (dominée par les "banksters" judéo-talmudes), selon les mêmes règles qui régissent les casinos de Las Vegas, sinon pires.  Périodiquement, les agents de propagande engagèrent des campagnes de désinformation enrobées d'arguments "économiques" (dogmatiques et superficiels) ciblant la crédulité ou l'ignorance du lecteur, et ayant uniquement pour but de créer la zizanie dans l'opinion qui réagirait par le mécontentement et par l'opposition au gouvernement. Citons l'exemple de la libéralisation de l'économie ou économie de marché, que nos diffuseurs d'utopie économico-financière vantaient sans relâche, en réponse (résonance) à la tendance mondiale véhiculée par les néo-conservatifs de G.Bush. Le criminel de guerre chargé de la défense des intérêts de ses maîtres, les banquiers juifs de New York et de Londres. Ajoutez à cette nébuleuse occulte les experts des organismes internationaux, FMI et Banque Mondiale.
Localement, tous les "experts" d'El Watan s'accordaient à promouvoir les bienfaits de l'ouverture du marché algérien au partenariat étranger, dans le but de résoudre TOUS les problèmes macro-économiques (chômage, inflation, déficits en infrastructures, etc..) par la réalisation de projets gigantesques, donc par le biais d'investissements colossaux pour nous atteler au progrès économique mondial et nous sortir DÉFINITIVEMENT du sous développement. El Watan, désigné porte parole de la mondialisation (par ses sponsors de NY), inonda l'opinion de théories économiques toutes aussi convaincantes et alléchantes que celles propagées par les officines américaines et européennes. Toujours selon La Méthode: Intox véhiculée par un bombardement médiatique ininterrompu, servant la devise «plus le mensonge est réitéré, plus il aura de chance de devenir une vérité» (voir son site pour la profusion d'articles sur les bienfaits de la mondialisation et le libéralisme économique). Cet enthousiasme, débordant d'arguments proposés par les nombreux "doctors" et spécialistes, semblait cette fois réconforter la politique gouvernementale d'ouverture économique, pour adhérer à l'OMS, se conformer aux nouvelles règles du commerce international et peut être même éviter d'attirer l'attention des néo-cons juifs de NY, commanditaires de la politique belliqueuse de G. Bush, qualifiée de "nouvelle croissade contre le Mal" (traduire par "le monde musulman").
L'expérience de l'ouverture du marché s'est avérée grossièrement désastreuse pour le pays. Le pillage effectué par nos "chers" partenaires au détriment de notre balance des paiements qui fut "saignée" un-scrupuleusement par des boucaniers internationaux spécialistes de l'incursion à court terme et au maximum de profits. Que dans le langage populaire on qualifie pertinemment de " Achrab oua Harab". D'autre part le désistement d'investisseurs potentiels et l'abandon de leur participation dans des projets importants, conduisirent à la conclusion et à l'arrêt de cette entreprise de libéralisation sauvage. Déconfiture politique ou économique, le Président Bouteflika en fit un bilan négatif et condamna publiquement ses imperfections et les dangers menaçant le pays qui en proviennent.  Il promit de corriger les erreurs commises en ré-orientant le pays vers l'auto suffisance et la réhabilitation du secteur publique. Une politique pragmatique doublée d'une réduction de la dépendance envers le secteur privé étranger, l'Algérie ayant les moyens de cette nouvelle politique. La loi complémentaire des finances 2009, la révision des dispositions fiscales et un réaménagement de tous les outils de politique économique, suivirent, dans une conjoncture mondiale critique. Les premières résistances à la loi 2009 eurent pour origine les parties directement touchés par les nouvelles mesures. Réaction logique et un bon indicateur de la justesse de ce changement de cap. Les réserves avancées par le FMI sont surprenantes et doivent être examinées attentivement, car inhabituelles, précipitées et abusant de ses prérogatives. Mais l'intrigante tournure qu'a pris l'événement se situe essentiellement dans un fait inattendu : la  levée de boucliers de la presse spécialisée indépendante dans la défense des sociétés et groupes financiers étrangers affectés par les mesures gouvernementales (souveraines) qui étaient dictées par la nécessité de  protéger l'économie nationale (car atténuant les abus et les dérives causés par des règles économiques et commerciales préjudiciables). Un droit d'intervention gouvernemental que tous les pays jouissant d'un minimum d'indépendance se réservent dans ce genre de situation, mêmes chez les états-champions du libéralisme sauvage.
La crise financière actuelle illustre parfaitement ce état de fait, nombreux sont les pays occidentaux dans lesquels une multitude de mesures protectionnistes sont introduites pour leurs  propres intérêts, au mépris d'accords multilatéraux souvent contraignant, tels ceux liant la communauté européenne, par exemple.
Comment expliquer les déclarations faites par Nordin Grim, d'El Watan, (Lien) dans un article intitulé :
« Loi de finances complémentaire : Des conséquences désastreuses pour l’économie du pays»
«La loi de finances complémentaire pour l’année 2009 porte en elle de nombreuses dispositions visant à casser la dynamique d’ouverture économique et sociale lancée à la fin des années 1980.»
 -Quels arguments présente-t-il pour faire
un tel pronostique :
«Elle remet en cause des (1)principes fondamentaux de l’économie de marché comme l’autonomie de gestion des entreprises publiques économiques ayant le statut de société par actions (cas des banques auxquelles on interdit de pratiquer certaines formes de crédits), l’obligation de résultats (cas des EPE insolvables dissoutes que l’Etat a décidé de remettre sur selle) et la commercialité (cas de l’obligation de consommer en priorité des produits locaux sans référence au rapport qualité-prix). C’est toute la philosophie des réformes économiques(2) de 1988 qui est ainsi battue en brèche, déviant du coup le cap(3) de la transition à l’économie de marché.»

-(1)«Principes fondamentaux»? Des lois divines immuables ? Ou les règles dictées par la pègre juive et livrées pour consommation aux goyim crédules et idiots utiles sous forme de théories utopiques emballées dans les manuels pour retardés mentaux se réclamant des sciences économiques? Ou complices sponsorisés par les dirigeants du Nouvel Ordre Mondial? Ou des renégats mercenaires de la plume, de la trempe de certains de nos journalistes qui demeurent aveugles ou ferment les yeux devant le pillage orchestré par les banques et leurs succursales industrielles, le pouvoir économique et financier occulte qui dirigent le Monde sous couvert d'organisations douteuses mobilisées pour des objectifs prétendus humanitaires, fictifs et frauduleux ?
-(2)«Philosophie» ? Pourquoi pas dogme métaphysique préparant l'instauration de la dictature juive ? Ou doctrine religieuse prêchant la supériorité de la race juive et le droit de s'accaparer de la planète et de toutes ses richesses ?
-(3)«déviant du coup le cap» ? Sortir du droit chemin? Celui régi par les lois Talmudiques au détriment des goyim, leur réservant le droit de souffrir en silence de l'abus et du vol de leurs biens, au profit du peuple élu pour qui la rapine du goyim est kosher (licite) ? Une version talmude du "Tarik al Mustakim" ?
Notre "lumière éteinte" semble ignorer, ou intentionnellement occulter les méfaits de cette économie de marché, fondée sur un principe fondamental: la raison du plus fort et du plus puissant qui dicte aux faibles les règles du jeu, se réservant le privilège de les transgresser à volonté, selon ses caprices ou sa convenance personnel. Ce que nous recommande le traître est la soumission à cette tyrannie furtive et l'abandon de toute résistance ou initiative pour tenter d'éviter le traquenard que les prédateurs internationaux nous ont tendu. Soulignons pour rappel, la complicité des "réformateurs" de 1988 qui ont livré le pays aux FMI-Banque Mondiale !
«L’immobilisme qui a déjà fait beaucoup de mal à notre économie est, par conséquent, appelé à sévir encore plus, avec pour résultats de nets reculs en matière d’investissement, de croissance industrielle et d’approvisionnement des usines et des chantiers de construction.»  
Remarquez la technique d'ingénierie sociale, d'infusion de la crainte et d'injection de la panique, que notre scribouillard tente de transmettre au lecteur, manipulant ses émotions et omettant les arguments fiables qui l'informeraient. Vaine tentative de manipulation ! Qui dévoile la nature réelle des méthodes employées à travers ces analyses subjectives et irrationnelles vernies de "verbiage scientifique", pour s'introduire dans l'esprit du lecteur et y semer la peur et la confusion.  Consécutivement, pour le rendre émotionnellement vulnérable et apte au mécontentement, à la dissension et éventuellement à la révolte. Car il s'agit de créer le chaos social précédant l'ordre, le "Nouvel Ordre Mondial Juif" proclamé du haut des tribunes internationales par l'oligarchie qui dirige le Monde. (Lire la déclaration de D. Rockefeller,  ICI ou ICI ).
Quelques jours plus tard (08 Août 2009),  le ministre des finances, Karim Djoudi, répondit clairement aux dénigrements de la presse indépendante et des groupes d'intérêts étrangers qui avaient exprimé leurs
"préoccupations". (Consulter le lien).
Ell Watan ne s'est point rétracté ou corrigé. L'intox continue. Elle abordera d'autres sujets et tentera d'autres astuces. Nous en avons dénoncée une, celle de la campagne lancée par El Watan au profit du FMI qui tentait  une ingérence  (Lien) et (Lien).
Entre temps, la caravane passe. Et poursuivra son chemin, Incha Allah.

3 avr. 2010

Irrespect Ou Manque De Pudeur ? Omar Belhouchet Ministre De La Désinformation?

El Watan, la caisse de résonance du NWO (Nouvel Ordre Mondial Juif) un quotidien national se dissimulant derrière le qualificatif "d'indépendant", se plaint du pouvoir algérien.
Par la voix de son directeur, Omar Belhouchet, le porte parole des intérêts médiatiques kosher (des banquiers juifs du FMI, BM, BNP Paribas, etc...), dans une partition devenue barbante, reprend ses lamentations et effusion lacrymale incontrolables. Le deuil qu'il s'est imposé depuis le décès de sa bien aimée la-liberté-d'expression, dont la perte s'avère insurmontable, l'a contraint à une nouvelle sortie médiatique pour rappeler au monde sa profonde tragédie. Les condoléances, et le soutien inconditionnel de la "Freedom House" (de son sponsor Zbignew Brejzinsky) devraient lui apporter le soutien moral qui l'accompagnera dans l'épreuve douloureuse qu'il traverse. Un rappel de ses supérieurs à New York, pour une cure de lavage de cerveau et d'endoctrinement idéologique pour la poursuite de l'agenda occulte de la gente talmude devrait rehausser le moral de notre plume empoisonnée. Un nouveau Prix international méritoire pour couronner son oeuvre (et c... l'opinion)  est à l'étude par le bras médiatique de l'intox juif, "Journalistes, sans Frontières, et sans Foi ni Loi".  Sa dernière campagne en faveur des intérêts du FMI devrait éventuellement lui rapporter quelques dividendes et l'aider à faire face aux échéances bancaires que lui réclame BNP Paribas de Tonton Rothschild.
Voir les articles de El Kadi Ihsan et sa plaidoirie de défense des revendications du FMI, organisme financier international victime des malversations du prédateur Domique Kahn, organisme dont les dollars se sont évaporés sous la chaleur des orgies new-yorkaises et de la crise du crédit.

1 avr. 2010

FMI: Est-il Vraiment Dans Le Besoin ?

Manœuvre du FMI veut puiser dans les réserves de change des pays jouissant d'excédents : Chine, Russie, Inde, Brésil, Mexique, Vénézuela, Libye et Algérie sont ciblés. Qu'annonce cette campagne de marketing menée par le FMI prétextant sa préoccupation pour la situation catastrophique des pays pauvres et de ceux affectés de plein fouet par la crise du crédit ?
L'œuvre du Fond, via ses opérations-interventions effectuées depuis 1945 , similaires à celles effectuées par la Banque Mondiale, ont été minutieusement décortiquées et analysées par des centaines d'experts à travers des milliers de publications, beaucoup en avocat du mondialisme, et une multitude d'autres (majoritairement altermondialistes) en opposants à ses activités .
Il est juste d'affirmer que l'examen critique des charte-fondements-fonctions-mécanismes-philosophie articulant l'activité de l'institution est abondamment disponible pour qui veut s'instruire en ciblant les sources authentiques de savoir et non celles illusoires des agences de propagande officielle ou des média dominants mobilisés pour confondre le public sur la nature réelle des organismes "internationaux". Soulignons par ailleurs l'incapacité de l'intellectuel "suiviste" en général et de l'universitaire conformiste en particulier, à repérer les subtilités de la finance et déchiffrer l'information "cryptée" transmise par les manuels académiques qui demeurent le meilleur moyen de perpétuation des abstractions erronées qui servent ceux qui dirigent secrètement le Monde, les éternels conspirateurs.
Évitons une dépense d'énergie inutile à vouloir  ré-inventer  la roue, et contentons nous de cueillir quelques fleurs de cet immense jardin de la connaissance, le web.  
Tout ce qui touche aux mécanismes et fonctions de cette pieuvre de la finance dont les tentacules étreignent la planète, est résumé concisement sur "Lien" , "Lien", "Lien", "Lien", "Lien". (En Anglais, mais des extraits seront traduits dans ce qui suit, là où leur contenu est jugé utile, ).
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 Quelques nouvelles pertinentes de la scène économique internationale, en préparation du document :


Photo  pleine d'enseignements et symbolique de l'inconscience de certains leaders du G20 menés par les stars et les clowns de la scène politique mondiale. Un vrai spectacle de marionnettes, et tout le monde s'amuse en pleine crise mondiale!
 
 



Le directeur général du Fonds monétaire international Dominique Strauss-Kahn (L'agent du Pouvoir Absolu de l'ombre)
Les ministres des Finances se sont dit satisfaits des divers plans de relance et ont jugé d'un commun accord samedi 25 avril, au cours de la réunion du Conseil monétaire et financier du FMI, que la reprise dépendait de "la nécessité absolue d'assainir le système financier", selon le patron du FMI, le Français Dominique Strauss-Kahn. Le communiqué publié par le FMI à l'issue de cette réunion précise que les 185 Etats membres étaient "déterminés à prendre des mesures supplémentaires pour assurer la reprise économique".Emission d'obligations
Le Conseil, instance politique dirigeante du Fonds monétaire international, réuni pour le week-end, a décidé d'accroître de 250 milliards de dollars les ressources disponibles, en augmentant et rendant "plus flexible" la ligne de crédit connue sous le nom de "NAE" (Nouveaux accords d'emprunt).
Victoire pour les puissances émergentes comme la Chine et le Brésil, qui souhaitaient cette mesure, comme alternative aux prêts à long terme, Dominique Strauss-Kahn a annoncé que le FMI émettrait des obligations afin de lever des fonds destinés à aider les pays en difficulté. Le FMI n'avait jamais émis d'obligations auparavant.
«Un an après la faillite de Lehman Brothers, le G20 et les experts pointent leur regard sur le seul bonus des banquiers. Rien n’a changé, claironnent-ils en chœur



La finance et l'activité professionnelle qui lui est associée ne peuvent être intelligemment appréhendée et assimilée, sans au préalable, l'étude de la nature et du processus de création de la monnaie. 
  Le rôle des institutions et organismes impliqués dans le monde de la finance et la multitude d'agents impliqués dans cette "industrie" ne peuvent être véritablement circonscris que si la création de l'argent est clairement cernée. 
C'est l'étude de ce phénomène qui est au centre des controverses économiques, politiques et sociales qui agitent la planète depuis les temps modernes, ou précisément depuis que l'argent est devenu ce véhicule d'échange qui permet à toute société de fonctionner dans le cadre des échanges de biens et de services, localement et mondialement.
Dépassant l'examen chronologique de la transformation et de l'évolution de cet instrument de paiement vers son état actuel, il est plus que adéquat de se restreindre à l'étude des vues et opinions d'historiens et experts qui ont affinés au détail près ce sujet. Un fait marquant commun à la majorité d'entre eux, la remarque pointant vers l'illusion déceptive créée par les banquiers, dans le but de confondre le public dans sa perception de la nature réelle de cet instrument de paiement. La réalité de la finance est loin de correspondre  aux concepts assimilés par la majorité de l'opinion et mêmes ceux ingurgités par les plus éduqués, universitaires et spécialistes. C'est l'objet de la plus grande manipulation frauduleuse enregistrée dans l'histoire de l'humanité, dans son volet économique, politique et social. La monnaie  est le catalyseur et le moteur de toutes les injustices majeures et des malheurs interminables de l'humanité depuis l'émergence des temps modernes (de 1492 à 1789), et de l'époque contemporaine (de la Révolution française à nos jours). L'impact et le rôle de la monnaie sur l'évolution de la civilisation humaine est partiellement perçu à travers son influence sur le commerce, l'industrie, les sciences et les échanges entre les peuples et la multitude de nations. La monnaie s'est malheureusement transformée en calamité depuis l'introduction de l'usurerie comme moyen de fructifier la richesse accumulée par une élite financière au dépend de celle engagée dans  l'activité de production. Les gouvernants, les entrepreneurs, les particuliers nécessitant des fonds pour financer  les projets d'investissement publiques ou privés, se sont tournés vers le banquier qui en échange fixe le coût d'emprunt du capital par un taux d'intérêt et garantie son prêt en l'assurant ou en exigeant un hypothèque . L'intérêt est une trappe, une astuce, qui mathématiquement semble négligeable, mais dont le cumul étalé sur le temps, "explose" au nez du créditeur selon une progression numérique exponentielle, qui n'est pas apparente à première vue, mais dont le résultat finie inexorablement par ruiner l'inconscient qui n'aura pas su ou pu fructifier le crédit contracté et est sous la menace d'une saisie de l'hypothèque. La disponibilité de l'argent offert par le banquier et la facilité d'en disposer est un appât, un piège. Combien de nations, d'états, de particuliers ou d'entreprise sont tombés victimes de ce traquenard. Le calcul du coût n'est pas toujours évident mais s'avère à terme souvent astronomique et le risque de perdre le capital physique de la garantie est également sous estimé. Le banquier juif est le premier à avoir compris le pouvoir subtile (destructif) de ce mécanisme financier, commercial en apparence,  et en a maîtrisé la pratique, depuis les temps reculés de la captivité des Pharisiens à Babylone, où l'usure était pratiquée, 18 siècles avant  JC. La distinction intérêt-usurerie a été de tout temps un sujet de débat théologique ou parfois  philosophique et d'éthique, alors que sa condamnation dans les livres saints est unanime. Sous les assauts répétés des Rabbins, les résistances religieuses (chrétiennes) se dissipèrent graduellement jusqu'à atteindre le consensus actuel de la légalisation de cette pratique blasphématoire et illicite, pilier du système démoniaque qui domine le Monde et le dirige vers sa perte. De Venise, au 15em siècle, Shylock avait lancé son invasion de l'Europe. Grâce à Rothschild , le maître et stratège de la finance en Europe puis dans le Monde, enregistra ses conquêtes financières, les plus importantes  celles d'Amsterdam, Londres et ultérieurement des organismes financiers des États-Unis d'Amérique (consultez les chroniques de ses opérations machiavéliques dirigées de Francfort; information disponible sur le web).
Par l'infiltration d'agents et de proches, la collaboration des sociétés occultes secrètes que les banquiers avaient subjuguées, et le contrôle sans partage des média, le travail de sape des institutions par les révolutions et les conflits fut effectué avec patience et constance . Orchestrant l'abolition ou l'infiltration des royautés, corrompant  les gouvernements et assassinant les opposants (jusqu'à 4 présidents assassinés aux USA; le Tzar et toute sa famille, en Russie), le banquier juif construisit  progressivement son pouvoir totalitaire de l'ombre, celui d'un tyran absolu impitoyable. 
La création du Federal Reserve System (= la banque centrale privée des USA) et l'autorisation d'émettre le billet vert (la "planche à billets") est la culmination du processus de domination de la finance internationale ! Ce coup d'état silencieux  est une étape cruciale pour l'établissement furtif et discret de la dictature du Nouvel Ordre Mondial.
La déclaration de M.A Rothschild : «Accordez-moi le pouvoir d'émettre la monnaie, qu'importe qui vote les Lois !» en est le leitmotiv.
Entendre par ça, que quelque soit la tendance politique du législateur ou dirigeant enchaîné par les mimiques droite-gauche, républicaine-démocratique, communiste-capitaliste, etc..., la création de la monnaie est la clé de tous les pouvoirs, et la puissance destructrice des banquiers.  
Le plus vaste pillage à l'échelle planétaire se déroule devant nous. Toutes les ressources et richesses que la Terre peut offrir ou les hommes produire, sont  
raflées au prix  du papier-Dollar, unité monétaire internationale imposée depuis la suppression de l'étalon-or. Levier du pillage et arme de  manipulation et de coercition du Monde: la monnaie de singe que les Rothschild-Rockefeller crachent à la face du Monde !
La documentation  cette conspiration gigantesque et  le cheminement historique des événements couvrant cette incroyable opération de conquête et de domination est, miraculeusement, largement accessible sur le Net. Un site
spécialisé dans l'analyse détaillée des mécanismes et organisation de ce monde
étourdissant et effrayant des banques est consultable (ici). Pour l'aspect historique identifiant la chronologie des événements les plus significatifs de l'Histoire de l'humanité, qui élucident les mystères de ce paradigme de l'argent,
paradigme dissimulé derrière le brouillard de la propagande et du mensonge, consultez impérativement Andrew Hitchcock et son  "The History of the "Money Changers" Didactique et édifiant !
Parallèlement depuis Gutenberg, la complicité des média dominants a été primordiale et indispensable à la diffusion de concepts erronés, d'abstractions incohérentes   et de théories utopiques créant la confusion dans les esprits et dissimulant les complots élaborés par l'oligarchie bancaire. La nature réelle et le fonctionnement du système bancaire sont des objets ayant reçu le plus d'attention dans ce travail de manipulation et de propagande médiatique. Écoutons ce que David Rockefeller en pense et  déclare lors d'une réunion de la Trilateral Commission, en  1991:
« Nous sommes reconnaissants à Washington Post, à Time Magazine du New York Times, et à d'autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et ont respecté les promesses de la discrétion pendant plus de quarante années. Il aurait été impossible de développer notre plan pour le monde si nous avions été exposés aux projecteurs lumineux de la publicité pendant toutes ces années. Mais, le monde est maintenant plus sophistiqué et est préparé pour marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d'une élite d'intellectuels et de banquiers du monde est sûrement préférable à l'auto-détermination nationale pratiquée ces siècles derniers. »
 La leçon essentielle à tirer de cette recherche, est que la personne consciente de cette fraude aux conséquences désastreuses, doit entièrement réviser sa perception et compréhension de l'Histoire moderne de l'humanité, celle "officielle" que propagent les média et que les manuels scolaires falsifient. 
Il devra également se préparer à remettre en question ses acquis culturels traditionnels  et s'armer de discernement en prévision des traumatismes  qu'il risque d'éprouver face à la découverte de vérités choquantes, particulièrement celles relatives aux sacrifices (à caractère rituel) d'au moins 100 Millions de vies humaines durant les guerres mondiales et les révolutions communistes du 20 ièm siècle. Toutes fomentées, exécutées et administrées par  l'éternel conspirateur, le maudit, satanique, prédateur de la race humaine, le banquier juif "Shylock", le prédateur allégrement assisté de ses proxies:  les compagnons de l'occulte (sociétés secrètes), les mercenaires, les collaborateurs et les "idiots utiles" de service, naufragés de l'illusion des ismes et autres utopies, vainement qualifiés "d'intellectuels" et  tenus en bride  par les récompenses, distinctions et "prix internationaux".
C'est à la lumière d'un modèle d'observation réfutant les idées acquises et les mythes populaires entourant l'Histoire publiée en tant que propagande officielle, qu'on peut comprendre les dessous des manigances perpétrées par les banquiers et les atrocités commises par ces monstres exterminateurs de l'humanité. Par gratitude, reconnaissons le mérite de militants de la vérité qui dédient leur temps et énergie à confondre les banquiers et leur plan subversif pour l'établissement d'un Nouvel Ordre Mondial, instauré au prix de génocides de masse et de  crimes économiques inégalés durant toute l'Histoire de l'humanité.  L'Histoire authentique, entièrement  bâtie sur les méfaits et intrigues des banquiers kosher, est opposée et en contradiction avec celle diffusée et façonnée par les média et les historiens complices de l'illusion, intellectuels complices gratifiés par l'éternel conspirateur. 
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La création de la monnaie est la pierre angulaire de la fraude perpétrée par les banquiers. Elle s'effectue selon deux procédés: 
1- la fabrication ou l'imprimerie de la monnaie physique, les billets et les pièces, opération relevant de la banque centrale, que le public assimile faussement à un organisme d'état national et publique  contrairement à son statut réel et légal d'institution privée. De cet euphémisme, les propriétaires de la banque (tous juifs) tirent le privilège de créer de la richesse d'absolument rien, sans la contre partie ou garantie de convertibilité en or-argent que le système de régulation bancaire préconisé à ses débuts.
Si la monnaie est crée à partir d'aucune réserve interne, le prêt est fictif et artificiel, et l'intérêt qui y est lié une escroquerie. La pratique dans le monde réel est tout autre. La procédure courante de crédit est en fait un subterfuge ou plan ponzi de dimension ahurissante, révoltante lorsque confronté au bon sens et à l'équité. La création de la monnaie par les banques centrales est simplement une opération arithmétique d'écriture comptable non parrainée par l'existence de valeurs physiques réelles ! C'est un pur tour de main, de la prestidigitation !
2- L’effet multiplicateur du crédit. Sans trop nous étendre sur les détails de la nature et du fonctionnement de ce paramètre de gestion du crédit, car disponible et amplement discuté par les spécialistes ( en exemple, Lien, Lien, ou Lien), soulignons seulement le caractère cumulatif abusif de ce procédé comptable au dépend  de la confiance accordée par la réglementation financière de toute société, réglementation supposée défendre l'intérêt général mais habilement détournée de son objectif. Dés le départ, les banquiers n'ont jamais abandonné leur intentions illégales de ce saisir de la mine d'or du commerce et de l'industrie en créant le crédit pour les financer. Saisir l'économie par l'offre du crédit, et s'approprier pas seulement un, ou deux, ou trois pays, mais les continents et le Monde !  Beaucoup d'observateurs sont mystifiés par le comportement arrogant et les paroles abusives des personnalités juives de la scène publique et n'arrivent pas à saisir le motif de leur comportement provocateur. La politique Israélienne (Netanyahu et compagnie) en est l'exemple. Les Juifs connaissent l'astuce qui leur a légué le Monde, la monnaie de singe (et sa maîtrise), qu'ils refilent aux autres (les Goyim) pendant qu'eux accumulent l'or, le diamant, et les valeurs matérielles sures. Ils rient à se décrocher la mâchoire (renversés sur le dos) de la crédulité  du Goyim, qui  a été convaincu d'adopter l'usage du crédit fictif et des produits associés (aider par nos "intellectuels" et leurs profondes théories-chimères).

Du rôle initial du crédit ont jailli et se sont également répandues divers pratiques plus sophistiquées les unes que les autres, mais toujours plus gloutonnes et insatiables,  à l'image de la titrisation des avoirs bancaires, et des assurances liées à toutes les activités commerciales imaginables. Par l'exploitation de modèles mathématiques paramétrés sur le calcul des probabilités, la " nouvelle" finance a prit l'allure d'un casino-des-horreurs géré par une tribu de Frankeinstein.
«La déréglementation a ouvert les portes à de nouvelles pratiques ou innovations, dont la plus importante est la titrisation. Au lieu de tenir registre de leurs créances, les banques les groupent en paquets et les convertissent en titres négociables sur le marché.»(Lien)
Propos révélateur du journal Le Monde citant Michel Rocard, ancien Premier ministre de la France: « Des professeurs de maths enseignent à leurs étudiants comment faire des coups boursiers. Ce qu’il font relève, sans qu’ils le sachent, du crime contre l’humanité ».
Notre ministre, prudent dans ses propos, ne précise pas que ces étudiants sont 
 ultérieurement embauchés comme cadres par les grandes banques de Londres et New York qui affinent leurs méthodes de racket financier et poursuivent leur rapine des richesses Goyim ! 
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Fin de la première partie. Partie 2.
 
   

19 mars 2010

EL Watan-Supplément-Economie. Avocat du FMI ? Complice et Agent Subversif Qui Pue La Trahison.


Le supplément Hebdomadaire "Economie" d'El Watan, est révélateur de la ligne éditoriale de sa rédaction: une caisse de résonance des campagnes envahissantes, menaçantes et toujours paternalistes des FMI-BM.  Inlassablement, le quotidien harcèle son lectorat en ventilant les doléances des organismes financiers cités. Ne passe un jour, une publication, un article "d'expert" complice, sans que soient reportées les déclarations de DS Kahn  (FMI) , de R.Zoellick (BM), ou quelque autre obscure employé de ces organismes, avec les photos et posters de ces prédateurs talmudiens, brandis pour nous narguer de leur arrogante chupatz
L'attitude d'El Watan amalgame son  activité déclarée de journalisme "indépendant", avec celui de l'engagement doctrinaire au service du Nouvel Ordre Mondial. Cette posture soulève les questions capitales suivantes:
Pourquoi cette obstination ? Est-elle purement conjoncturelle ou partie intégrante d'une stratégie permanente dirigée de New-York et Washington par les deux institutions ? El Watan joue-t-il localement un rôle et  remplie-t-il une mission, au service des intérêts de ces empires financiers mondiaux ?
Les Algériens gardent le souvenir amer des politiques intolérables d'austérité qu'ils ont endurées sous l'inquisition financière de Michel Camdessus. Tous les experts indépendants dénoncent son œuvre destructrice de l'économie des pays endettés. Les études objectives et détaillées condamnent toutes, la cupidité et voracité insatiables des banquiers qui dirigent le pillage financier effectué sous la façade trompeuse "d'aide au développement", "coopération", ou autre euphémisme frauduleux. Administrateurs des relations monétaires  internationales et  des règles d'échange, les deux organisations sont motivées par le profit et le gain et aucuns scrupules ou éthiques ne les freinent dans la poursuite de leurs objectifs. 
Le vernis officiel qui les agrémente est un leurre que peu de gens perçoivent , et quand les experts avertis le découvrent , peu ont le courage d'exposer sa vraie nature. Il est inconcevable de la part des journalistes algériens spécialistes de la question de couvrir les méfaits de cette pègre de l'argent  après que l'Algérie ait enduré ses sévices et  son ingérence prédatrice.
Sans tarder examinons un exemple de la malveillance de plumes nocives qui s'évertuent à diffuser des concepts financiers erronés et frauduleux, gravement préjudiciables aux intérêts de ceux qui auraient l'imprudence de les assimiler ou de  les endosser.
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De manière suspecte, EW fait  fi de l'avertissement  de Nadjia Bouaricha dans une édition plus ancienne, datée du Mardi 16 mars 2007, «Le poids pesant du sur-endettement des ménages algériens.»
«Mais dans cette aubaine que constitue le crédit à la consommation, il y a le revers de la médaille, et c’est le sur-endettement. Les consommateurs se trouvent en proie à des charges de dépenses supplémentaires fragilisant leur capacité à faire face à différentes formes de dépenses quotidiennes. Pour l’achat d’une voiture ou d’un logement, le consommateur se voit tenu de rester endetté et son salaire partagé avec la banque prêteuse des années durant. La Banque d’Algérie estime à 40% le taux des crédits octroyés par les banques qui vont vers le crédit à la consommation. Plus de 200 milliards de dinars ont été injectés en 2006 dans le portefeuille des crédits au logement et à la consommation. Et dans ce magma de crédits, l’absence de mécanisme de protection des consommateurs risque de mettre les débiteurs dans une situation de surendettement, donc d’appauvrissement.»

«Le crédit à la consommation est l’attrape-nigaud de l’Algérien qui veut consommer in»

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Notre chambre de résonance titrait récemment (Lien): «Crédit à la consommation : Le FMI demande à l’Algérie de lever l’interdiction.» Le débat stérile sur la décision souveraine de l'Algérie est conduit par EW,  qui en spécialiste de la méthode Delphi, collabore avec l'avocat FMI et les faux témoins à charge dans sa plaidoirie en faveur des victimes, les banquiers philanthropes.
-Clore le débat, en soutenant l'abandon définitif des mesures gouvernementales de crédits à la consommation, volet  "véhicules particuliers" ? 
-Non EW s'y refuse!  EW revient à la charge et relance la polémique par la voix de son spécialiste de l'intrigue économique, El Kadi Ihsane.
(El Watan, 08Mars 2010) : «Comment, un jour, le crédit à la consommation sera rétabli ! » )
-Une idée fixe de l'auteur ? L'obsession du chercheur à résoudre une question d'ordre théorique ou pratique dont l"importance est cruciale pour l'avenir de l'Algérie, sinon de l'humanité ?
- Rien de tout celà ! L'auteur est un pantin actionné par la relance et l'insistance du FMI dans sa tentative d'écorcher une nouvelle victime au seul bénéfice des banques étrangères, avec qui le fond, partage les mêmes intérêts ! Les intérêts de qui ? De ceux qu'on nomment Banksters, un sobriquet dans le jargon anglophone, combinant,  "banker" et "gangster".
Un titre révélateur et qui démontre l'acharnement des pouvoirs (occultes) bancaires  à  renverser la décision souveraine algérienne d'abroger les "crédits à la consommation"  ce que Salah Mouhoubi, (édition du l'édition du 27 Février 2010 d'EW), avait modestement élucidé et clairement réfuté,  car les arguments du FMI (publiés avec sympathie par EW). 
étaient irrecevables. Selon lui : "Quant aux autres banques, dites algériennes à capitaux étrangers, ce sont, à mon avis, les établissements financiers qui ont profité le plus de ces crédits à la consommation." (Société Générale, BNP Paribas, etc...)
Observons par ailleurs  quelques commentaires de  l'ancien Senior Vice Président et Économiste en Chef de la Banque Mondiale, Joseph Stiglitz (Prix Nobel). Il est connu pour sa vision critique de la gestion de la mondialisation, des économistes du libre marché (qu'il appelle des «fondamentalistes du marché libre") et certaines institutions internationales comme le Fonds monétaire international et la Banque mondiale.:«Pour une majorité dans le monde la mondialisation telle qu'elle a été gérée ressemble à un pacte avec le diable. Quelques pays sont devenus plus riches. Les statistiques du PIB, pour ce qu'elles valent, rehaussent les apparences mais les modes de vie et les valeurs fondamentales sont menacées .... Ce n'est pas la façon dont elles devraient être.»
Ou : «Lors de sa réunion en Septembre à Singapour (2006), le FMI a reconnu les lacunes dans sa gouvernance (même si elle a sévèrement critiqué la gouvernance dans les pays en développement), et a donné plus de pouvoir de vote à quatre des plus sous-représentés des pays en développement.  Mais certains des défauts les plus importants existent toujours- les États-Unis reste le seul pays avec le droit de veto, la façon dont son directeur est choisi ne concorde pas avec les types de procédures démocratiques que nous tenons pour acquis dans nos propres démocraties, et il n'est toujours pas conformes aux principes de la transparence qui sont reconnus aux États-Unis, la Suède, et d'autres démocraties.»
El Kadi dans son apologie burlesque du FMI flatte..... la bienfaisance du fond :
«Le conseil d’administration du FMI est bienveillant avec l’Algérie. Il lui a recommandé très prudemment de rétablir le crédit à la consommation «lorsque la centrale des risques liée aux crédits aux particuliers deviendra opérationnelle ». 
«Motif : l’interdiction des prêts à la consommation constitue un obstacle au développement du secteur financier.»(sic. Le pillage serait selon lui une bénédiction dont nous prive la loi complémentaire.)

«L’argumentaire du ministre des Finances algérien aurait donc évoqué le risque de sur-endettement des ménages comme cause principale de l’interdiction. Tout le monde sait qu’il n’en est rien.»(Mensonge typique de l'analyse perfide qu'il distille. Les premiers à le savoir sont les consommateurs US qui sont tombés dans le traquenard du crédit attractif et démesuré. Leur famille règle la facture de leur folie.. Ils méditent leur malheurs dans les villes de toile (tentes) qu'ils occupent aux abords des mégapoles américaines !)

Les taux de recouvrement des banques en Algérie pour ce type de crédit sont les meilleurs en Méditerranée. (Raison supplémentaire qui aiguise l'appétit des banquiers, ceux qui commanditent notre scribouillard louche).
La vraie raison de l’interdiction du crédit à la consommation est irrationnelle. Comme la peur. La peur des déficits externes, par gonflement des importations en temps de reflux des recettes énergétiques. Une peur saisonnière.
(Très juste, car "qui a peur, vit en paix ". Notez l'incursion freudienne subversive  qui tente de défier l'orgueil des décideurs et provoquer un sursaut de courage ou de.....témérité. Enfantin ! Prudence et sagesse conviendraient mieux comme attributs. Qui devant le gouffre financier engloutissant récemment  les puissances financières de la planète ne serait pas appréhensif des risques  encourus par la poursuite de mesures hasardeuses ?)


«Qui va passer, avec le retour du baril à 100 dollars »( prévision ou  prophétie ? )

«La plupart des décisions de politiques économiques sont prises sur ce modèle univoque. Un risque, une riposte. Dans le cas des prêts à l’importation, les effets collatéraux n’ont jamais été examinés. Ils sont très certainement de plus d’impact que du seul effet restrictif sur les seules importations. Un exemple, l’arrêt du développement des réseaux bancaires (les prédateurs) à cause d’un plan d’affaires sabré. Un autre exemple, la sanction contre les producteurs locaux de biens électroniques et électroménagers, de meubles et de toutes sortes de produits dont la commercialisation a bénéficié ces dernières années du coup de pouce du crédit à la consommation. Un troisième exemple, le sentiment d’appauvrissement des couches moyennes qui ont commencé à s’équiper à crédit, notamment en voitures, et qui subitement réalisent qu’elles ne peuvent plus anticiper l’amélioration prévue de leurs revenus. La détermination des enseignants, mais aussi des médecins, à voir immédiatement des rattrapages conséquents sur leurs fiches de paie, pourrait bien illustrer les effets inattendus de la décision hystérique du mois d’août 2009. Comme cela est de coutume, les effets indésirables imposent leurs nuisances. Et le gouvernement recule. Plutôt tard que tôt. Scénario en lice déjà. Le ministre des Finances a admis, après la recommandation du FMI, que l’Algérie "aura à apprécier cette demande " de revoir sa décision au sujet des crédits à la consommation. »
«Mais quel est donc ce développement du secteur financier que veut préserver le FMI à travers sa recommandation ?»
«Ce n’est plus une priorité du gouvernement. Ni même d’ailleurs de la banque d’Algérie qui met en moyenne plus de six mois pour délivrer l’agrément d’une nouvelle agence bancaire après visite des locaux, comme si les extensions de réseau – notamment des banques privées – lui donnait plus de tracas.» 
 (la juste mesure, serait qu'elle mette 60 ans avant de la délivrer. 
Ce naif El Kadi serait-il victime du FMI, le maître chanteur institutionnalisé de la planète ?  Ou lui verse-t-il des primes pour ces exercices de voltige  intellectuelle et ses débordements lacrymaux   ?)

L’agence d’El Koléa de Société Générale Algérie a attendu de janvier 2009 à janvier 2010 son agrément bancaire. Tout était prêt, les locaux et les équipements bien sûr, mais aussi, les équipes et les produits. Un an de jachère pour cause administratif. Et c’est ainsi partout. (Arrêtez le, il vas nous faire chialer !)

«L’Algérie était, en 2009, classée au 135e rang planétaire par la Banque mondiale en matière d’attribution des crédits. Cela ne s’améliorera pas en 2010. Même si le crédit immobilier à taux 1% déboule dans le paysage.»( Mais c'est le plus important, aveugle ! La construction est stimulée et l'économie tourne à plein rendement
Ce qui n'est pas le cas pour les voitures, un produit fini. Dont le commerce de bazar génère peu ou presque pas d'emplois et n'est pas un investissement physique productif. Les usines de montage, le vrai investissement, la France les a réservées à ses....colonies.)

«Pourquoi ? Parce que le Premier ministre n’est pas intimement convaincu qu’il doit soutenir la demande solvable par le crédit. Pourquoi ? Parce qu’il ne sait pas très bien ou va aller l’argent qu’il va prêter aux Algériens. L’offre de produits locaux ne décolle pas. Ce sont les importations qui vont en profiter. Eternel cycle malthusien.» (Erreur ! C'est la fin du pillage camouflé et du détournement de ressources au dépens de l'économie nationale,  vers l'étranger via les importation et les profits exorbitants de l'usurerie !)

 «Nous ne savons pas élargir l’offre de produit, mais nous savons réduire les importations.»( parce que nous sommes maîtres chez nous et avons nos priorités  !)

«Le crédit à la consommation sera rétabli un jour.» (Non ! Et qu'ils cessent de nous harasser , lui et son employeur de l'ombre. L'opportunité pour monter nos véhicules ici, n'a jamais été aussi propice).

 «Avant même que la centrale des risques ne soit mise en place. Inutile d’en chercher la raison. Elle sera tout aussi irrationnelle.» (Irrationnelle ? Oui, après la vague de désinformation  qui a ciblé l'opinion, heureusement sans résultat.  Mais pas plus dangereuse que la campagne d'intox des idiots de service, du FMI, qui en d'autres lieux seraient  passible d'exécution, pour.....haute trahison. Pour preuve la
Définition: Crime consistant à entretenir des relations coupables avec une puissance étrangère ou ennemie;  Action de trahir en trompant la confiance de quelqu'un, en manquant à la foi donnée à quelqu'un, à la solidarité envers quelqu'un; résultat de cette action.  Action de trahir en livrant ou en abandonnant une personne, une collectivité. Action de ne pas traduire fidèlement, de déformer, de dénaturer quelque chose. )
  Rappel solennel , en ce 19 mars 2010, de l'ère des Harkis, tenant leur fusil aux poings. Ceux brandissant une plume empoisonnée ouvre un nouveau cycle de trahison au service d'intérêts douteux.
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Dans Supplément-Economie d'El-Watan du15 Mars 2010:
«Lutte anti-corruption en Afrique : le FMI propose son aide».
 N'en croyez pas un mot ! Cette annonce publicitaire doit être un poisson d'Avril, avant terme !
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