Manœuvre du FMI veut puiser dans les réserves de change des pays jouissant d'excédents : Chine, Russie, Inde, Brésil, Mexique, Vénézuela, Libye et Algérie sont ciblés. Qu'annonce cette campagne de marketing menée par le FMI prétextant sa préoccupation pour la situation catastrophique des pays pauvres et de ceux affectés de plein fouet par la crise du crédit ?
L'œuvre du Fond, via ses opérations-interventions effectuées depuis 1945 , similaires à celles effectuées par la Banque Mondiale, ont été minutieusement décortiquées et analysées par des centaines d'experts à travers des milliers de publications, beaucoup en avocat du mondialisme, et une multitude d'autres (majoritairement altermondialistes) en opposants à ses activités .
Il est juste d'affirmer que l'examen critique des charte-fondements-fonctions-mécanismes-philosophie articulant l'activité de l'institution est abondamment disponible pour qui veut s'instruire en ciblant les sources authentiques de savoir et non celles illusoires des agences de propagande officielle ou des média dominants mobilisés pour confondre le public sur la nature réelle des organismes "internationaux". Soulignons par ailleurs l'incapacité de l'intellectuel "suiviste" en général et de l'universitaire conformiste en particulier, à repérer les subtilités de la finance et déchiffrer l'information "cryptée" transmise par les manuels académiques qui demeurent le meilleur moyen de perpétuation des abstractions erronées qui servent ceux qui dirigent secrètement le Monde, les éternels conspirateurs.
Évitons une dépense d'énergie inutile à vouloir ré-inventer la roue, et contentons nous de cueillir quelques fleurs de cet immense jardin de la connaissance, le web.
Tout ce qui touche aux mécanismes et fonctions de cette pieuvre de la finance dont les tentacules étreignent la planète, est résumé concisement sur "Lien" , "Lien", "Lien", "Lien", "Lien". (En Anglais, mais des extraits seront traduits dans ce qui suit, là où leur contenu est jugé utile, ).
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Quelques nouvelles pertinentes de la scène économique internationale, en préparation du document :
Photo pleine d'enseignements et symbolique de l'inconscience de certains leaders du G20 menés par les stars et les clowns de la scène politique mondiale. Un vrai spectacle de marionnettes, et tout le monde s'amuse en pleine crise mondiale!
Le directeur général du Fonds monétaire international Dominique Strauss-Kahn (L'agent du Pouvoir Absolu de l'ombre)
Les ministres des Finances se sont dit satisfaits des divers plans de relance et ont jugé d'un commun accord samedi 25 avril, au cours de la réunion du Conseil monétaire et financier du FMI, que la reprise dépendait de "la nécessité absolue d'assainir le système financier", selon le patron du FMI, le Français Dominique Strauss-Kahn. Le communiqué publié par le FMI à l'issue de cette réunion précise que les 185 Etats membres étaient "déterminés à prendre des mesures supplémentaires pour assurer la reprise économique".Emission d'obligations
Le Conseil, instance politique dirigeante du Fonds monétaire international, réuni pour le week-end, a décidé d'accroître de 250 milliards de dollars les ressources disponibles, en augmentant et rendant "plus flexible" la ligne de crédit connue sous le nom de "NAE" (Nouveaux accords d'emprunt).
Victoire pour les puissances émergentes comme la Chine et le Brésil, qui souhaitaient cette mesure, comme alternative aux prêts à long terme, Dominique Strauss-Kahn a annoncé que le FMI émettrait des obligations afin de lever des fonds destinés à aider les pays en difficulté. Le FMI n'avait jamais émis d'obligations auparavant.
«Un an après la faillite de Lehman Brothers, le G20 et les experts pointent leur regard sur le seul bonus des banquiers. Rien n’a changé, claironnent-ils en chœur.
La finance et l'activité professionnelle qui lui est associée ne peuvent être intelligemment appréhendée et assimilée, sans au préalable, l'étude de la nature et du processus de création de la monnaie.
Le rôle des institutions et organismes impliqués dans le monde de la finance et la multitude d'agents impliqués dans cette "industrie" ne peuvent être véritablement circonscris que si la création de l'argent est clairement cernée.
C'est l'étude de ce phénomène qui est au centre des controverses économiques, politiques et sociales qui agitent la planète depuis les temps modernes, ou précisément depuis que l'argent est devenu ce véhicule d'échange qui permet à toute société de fonctionner dans le cadre des échanges de biens et de services, localement et mondialement.
Dépassant l'examen chronologique de la transformation et de l'évolution de cet instrument de paiement vers son état actuel, il est plus que adéquat de se restreindre à l'étude des vues et opinions d'historiens et experts qui ont affinés au détail près ce sujet. Un fait marquant commun à la majorité d'entre eux, la remarque pointant vers l'illusion déceptive créée par les banquiers, dans le but de confondre le public dans sa perception de la nature réelle de cet instrument de paiement. La réalité de la finance est loin de correspondre aux concepts assimilés par la majorité de l'opinion et mêmes ceux ingurgités par les plus éduqués, universitaires et spécialistes. C'est l'objet de la plus grande manipulation frauduleuse enregistrée dans l'histoire de l'humanité, dans son volet économique, politique et social. La monnaie est le catalyseur et le moteur de toutes les injustices majeures et des malheurs interminables de l'humanité depuis l'émergence des temps modernes (de 1492 à 1789), et de l'époque contemporaine (de la Révolution française à nos jours). L'impact et le rôle de la monnaie sur l'évolution de la civilisation humaine est partiellement perçu à travers son influence sur le commerce, l'industrie, les sciences et les échanges entre les peuples et la multitude de nations. La monnaie s'est malheureusement transformée en calamité depuis l'introduction de l'usurerie comme moyen de fructifier la richesse accumulée par une élite financière au dépend de celle engagée dans l'activité de production. Les gouvernants, les entrepreneurs, les particuliers nécessitant des fonds pour financer les projets d'investissement publiques ou privés, se sont tournés vers le banquier qui en échange fixe le coût d'emprunt du capital par un taux d'intérêt et garantie son prêt en l'assurant ou en exigeant un hypothèque . L'intérêt est une trappe, une astuce, qui mathématiquement semble négligeable, mais dont le cumul étalé sur le temps, "explose" au nez du créditeur selon une progression numérique exponentielle, qui n'est pas apparente à première vue, mais dont le résultat finie inexorablement par ruiner l'inconscient qui n'aura pas su ou pu fructifier le crédit contracté et est sous la menace d'une saisie de l'hypothèque. La disponibilité de l'argent offert par le banquier et la facilité d'en disposer est un appât, un piège. Combien de nations, d'états, de particuliers ou d'entreprise sont tombés victimes de ce traquenard. Le calcul du coût n'est pas toujours évident mais s'avère à terme souvent astronomique et le risque de perdre le capital physique de la garantie est également sous estimé. Le banquier juif est le premier à avoir compris le pouvoir subtile (destructif) de ce mécanisme financier, commercial en apparence, et en a maîtrisé la pratique, depuis les temps reculés de la captivité des Pharisiens à Babylone, où l'usure était pratiquée, 18 siècles avant JC. La distinction intérêt-usurerie a été de tout temps un sujet de débat théologique ou parfois philosophique et d'éthique, alors que sa condamnation dans les livres saints est unanime. Sous les assauts répétés des Rabbins, les résistances religieuses (chrétiennes) se dissipèrent graduellement jusqu'à atteindre le consensus actuel de la légalisation de cette pratique blasphématoire et illicite, pilier du système démoniaque qui domine le Monde et le dirige vers sa perte. De Venise, au 15em siècle, Shylock avait lancé son invasion de l'Europe. Grâce à Rothschild , le maître et stratège de la finance en Europe puis dans le Monde, enregistra ses conquêtes financières, les plus importantes celles d'Amsterdam, Londres et ultérieurement des organismes financiers des États-Unis d'Amérique (consultez les chroniques de ses opérations machiavéliques dirigées de Francfort; information disponible sur le web).
Par l'infiltration d'agents et de proches, la collaboration des sociétés occultes secrètes que les banquiers avaient subjuguées, et le contrôle sans partage des média, le travail de sape des institutions par les révolutions et les conflits fut effectué avec patience et constance . Orchestrant l'abolition ou l'infiltration des royautés, corrompant les gouvernements et assassinant les opposants (jusqu'à 4 présidents assassinés aux USA; le Tzar et toute sa famille, en Russie), le banquier juif construisit progressivement son pouvoir totalitaire de l'ombre, celui d'un tyran absolu impitoyable.
La création du Federal Reserve System (= la banque centrale privée des USA) et l'autorisation d'émettre le billet vert (la "planche à billets") est la culmination du processus de domination de la finance internationale ! Ce coup d'état silencieux est une étape cruciale pour l'établissement furtif et discret de la dictature du Nouvel Ordre Mondial.
La déclaration de M.A Rothschild : «Accordez-moi le pouvoir d'émettre la monnaie, qu'importe qui vote les Lois !» en est le leitmotiv.
Entendre par ça, que quelque soit la tendance politique du législateur ou dirigeant enchaîné par les mimiques droite-gauche, républicaine-démocratique, communiste-capitaliste, etc..., la création de la monnaie est la clé de tous les pouvoirs, et la puissance destructrice des banquiers.
Le plus vaste pillage à l'échelle planétaire se déroule devant nous. Toutes les ressources et richesses que la Terre peut offrir ou les hommes produire, sont
raflées au prix du papier-Dollar, unité monétaire internationale imposée depuis la suppression de l'étalon-or. Levier du pillage et arme de manipulation et de coercition du Monde: la monnaie de singe que les Rothschild-Rockefeller crachent à la face du Monde !
La documentation cette conspiration gigantesque et le cheminement historique des événements couvrant cette incroyable opération de conquête et de domination est, miraculeusement, largement accessible sur le Net. Un site
spécialisé dans l'analyse détaillée des mécanismes et organisation de ce monde
étourdissant et effrayant des banques est consultable (ici). Pour l'aspect historique identifiant la chronologie des événements les plus significatifs de l'Histoire de l'humanité, qui élucident les mystères de ce paradigme de l'argent,
paradigme dissimulé derrière le brouillard de la propagande et du mensonge, consultez impérativement Andrew Hitchcock et son "The History of the "Money Changers".
Didactique et édifiant !
Parallèlement depuis Gutenberg, la complicité des média dominants a été primordiale et indispensable à la diffusion de concepts erronés, d'abstractions incohérentes et de théories utopiques créant la confusion dans les esprits et dissimulant les complots élaborés par l'oligarchie bancaire. La nature réelle et le fonctionnement du système bancaire sont des objets ayant reçu le plus d'attention dans ce travail de manipulation et de propagande médiatique. Écoutons ce que David Rockefeller en pense et déclare lors d'une réunion de la Trilateral Commission, en 1991:
« Nous sommes reconnaissants à Washington Post, à Time Magazine du New York Times, et à d'autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et ont respecté les promesses de la discrétion pendant plus de quarante années. Il aurait été impossible de développer notre plan pour le monde si nous avions été exposés aux projecteurs lumineux de la publicité pendant toutes ces années. Mais, le monde est maintenant plus sophistiqué et est préparé pour marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d'une élite d'intellectuels et de banquiers du monde est sûrement préférable à l'auto-détermination nationale pratiquée ces siècles derniers. »
La leçon essentielle à tirer de cette recherche, est que la personne consciente de cette fraude aux conséquences désastreuses, doit entièrement réviser sa perception et compréhension de l'Histoire moderne de l'humanité, celle "officielle" que propagent les média et que les manuels scolaires falsifient.
Il devra également se préparer à remettre en question ses acquis culturels traditionnels et s'armer de discernement en prévision des traumatismes qu'il risque d'éprouver face à la découverte de vérités choquantes, particulièrement celles relatives aux sacrifices (à caractère rituel) d'au moins 100 Millions de vies humaines durant les guerres mondiales et les révolutions communistes du 20 ièm siècle. Toutes fomentées, exécutées et administrées par l'éternel conspirateur, le maudit, satanique, prédateur de la race humaine, le banquier juif "Shylock", le prédateur allégrement assisté de ses proxies: les compagnons de l'occulte (sociétés secrètes), les mercenaires, les collaborateurs et les "idiots utiles" de service, naufragés de l'illusion des ismes et autres utopies, vainement qualifiés "d'intellectuels" et tenus en bride par les récompenses, distinctions et "prix internationaux".
C'est à la lumière d'un modèle d'observation réfutant les idées acquises et les mythes populaires entourant l'Histoire publiée en tant que propagande officielle, qu'on peut comprendre les dessous des manigances perpétrées par les banquiers et les atrocités commises par ces monstres exterminateurs de l'humanité. Par gratitude, reconnaissons le mérite de militants de la vérité qui dédient leur temps et énergie à confondre les banquiers et leur plan subversif pour l'établissement d'un Nouvel Ordre Mondial, instauré au prix de génocides de masse et de crimes économiques inégalés durant toute l'Histoire de l'humanité. L'Histoire authentique, entièrement bâtie sur les méfaits et intrigues des banquiers kosher, est opposée et en contradiction avec celle diffusée et façonnée par les média et les historiens complices de l'illusion, intellectuels complices gratifiés par l'éternel conspirateur.
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La création de la monnaie est la pierre angulaire de la fraude perpétrée par les banquiers. Elle s'effectue selon deux procédés:
1- la fabrication ou l'imprimerie de la monnaie physique, les billets et les pièces, opération relevant de la banque centrale, que le public assimile faussement à un organisme d'état national et publique contrairement à son statut réel et légal d'institution privée. De cet euphémisme, les propriétaires de la banque (tous juifs) tirent le privilège de créer de la richesse d'absolument rien, sans la contre partie ou garantie de convertibilité en or-argent que le système de régulation bancaire préconisé à ses débuts.
Si la monnaie est crée à partir d'aucune réserve interne, le prêt est fictif et artificiel, et l'intérêt qui y est lié une escroquerie. La pratique dans le monde réel est tout autre. La procédure courante de crédit est en fait un subterfuge ou plan ponzi de dimension ahurissante, révoltante lorsque confronté au bon sens et à l'équité. La création de la monnaie par les banques centrales est simplement une opération arithmétique d'écriture comptable non parrainée par l'existence de valeurs physiques réelles ! C'est un pur tour de main, de la prestidigitation !
2- L’effet multiplicateur du crédit. Sans trop nous étendre sur les détails de la nature et du fonctionnement de ce paramètre de gestion du crédit, car disponible et amplement discuté par les spécialistes ( en exemple, Lien, Lien, ou Lien), soulignons seulement le caractère cumulatif abusif de ce procédé comptable au dépend de la confiance accordée par la réglementation financière de toute société, réglementation supposée défendre l'intérêt général mais habilement détournée de son objectif. Dés le départ, les banquiers n'ont jamais abandonné leur intentions illégales de ce saisir de la mine d'or du commerce et de l'industrie en créant le crédit pour les financer. Saisir l'économie par l'offre du crédit, et s'approprier pas seulement un, ou deux, ou trois pays, mais les continents et le Monde ! Beaucoup d'observateurs sont mystifiés par le comportement arrogant et les paroles abusives des personnalités juives de la scène publique et n'arrivent pas à saisir le motif de leur comportement provocateur. La politique Israélienne (Netanyahu et compagnie) en est l'exemple. Les Juifs connaissent l'astuce qui leur a légué le Monde, la monnaie de singe (et sa maîtrise), qu'ils refilent aux autres (les Goyim) pendant qu'eux accumulent l'or, le diamant, et les valeurs matérielles sures. Ils rient à se décrocher la mâchoire (renversés sur le dos) de la crédulité du Goyim, qui a été convaincu d'adopter l'usage du crédit fictif et des produits associés (aider par nos "intellectuels" et leurs profondes théories-chimères).
Du rôle initial du crédit ont jailli et se sont également répandues divers pratiques plus sophistiquées les unes que les autres, mais toujours plus gloutonnes et insatiables, à l'image de la titrisation des avoirs bancaires, et des assurances liées à toutes les activités commerciales imaginables. Par l'exploitation de modèles mathématiques paramétrés sur le calcul des probabilités, la " nouvelle" finance a prit l'allure d'un casino-des-horreurs géré par une tribu de Frankeinstein.
«La déréglementation a ouvert les portes à de nouvelles pratiques ou innovations, dont la plus importante est la titrisation. Au lieu de tenir registre de leurs créances, les banques les groupent en paquets et les convertissent en titres négociables sur le marché.»(Lien)
Propos révélateur du journal Le Monde citant Michel Rocard, ancien Premier ministre de la France: « Des professeurs de maths enseignent à leurs étudiants comment faire des coups boursiers. Ce qu’il font relève, sans qu’ils le sachent, du crime contre l’humanité ».
Notre ministre, prudent dans ses propos, ne précise pas que ces étudiants sont
ultérieurement embauchés comme cadres par les grandes banques de Londres et New York qui affinent leurs méthodes de racket financier et poursuivent leur rapine des richesses Goyim !
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Fin de la première partie. Partie 2.
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