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11 avr. 2010

Compassion Pour Nos Compatriotes: Victimes De La Propagande Et De La Manipulation Maçonnique. L'Âme N'a Pas De Prix. Sauvez La Vôtre !

Pour éviter tout plagiat et surtout honorer le courage et le mérite de Paul Copin-Albancelli, au lien Wikipédia., je reporterais intégralement le texte de l'article sans commentaires afin de permettre à qui le souhaite l'étude de ce document révélateur sur le mythe qui entoure la Franc-maçonnerie et les fausses abstractions qui l'encensent pour abuser le public et les adhérents à la "fraternité" tout en dissimulant ses fondements dogmatiques qui sont ceux d'une religion occulte satanique.

Biographie (Paul Copin-Albancelli)

Parcours maçonnique

Franc-maçon dès 1884[1], de la loge l'Avant-Garde maçonnique[2] de Paris[3] appartenant à l'obédience maçonnique du Grand Orient de France[4]. Il accomplit successivement les offices de secrétaire, d'orateur et de premier surveillant dans sa loge[5]. En 1887, il intègre un chapitre des hauts grades maçonniques dit Rose-Croix[6] du nom de La clémente amitié, dont le frère Amiable était le président portant le titre de Très-Sage[7]. Il en sera le secrétaire[8]. Par la suite des ouvertures lui sont faites pour un passage au grade de chevalier kadosh[9]. Dès 1889, encore dans la maçonnerie, il dénonce en tant que journaliste ses agissements dans une campagne électorale à Vervins, opposant un conservateur, Godelle, à un député gouvernemental sortant et franc-maçon, Dupuy. Il accuse alors publiquement la maçonnerie d'intolérance, de fanatisme antireligieux et d'ingérence occulte dans les affaires politiques. Godelle l'emporte[10]. Il est alors frappé d'une peine de mise en sommeil de quelques mois, au terme de laquelle il donne sa démission de sa loge, courant janvier 1890[11].

Parcours anti-maçonnique

Copin-Albancelli use de son expérience pour se faire l’un des plus violents dénonciateurs de la franc-maçonnerie qu’il associe, comme plusieurs antidreyfusards de l’époque, à un complot juif, avant de faire évoluer sa position. Il débute une série de conférences en France, dont la première fut devant les membres de la Ligue de la patrie française avec le soutient de Jules Lemaître et la seconde devant les membres de l'Action française[12].
Au tournant du XXe siècle, il fonde les journaux antimaçonniques et antisémites À bas les tyrans (avec André Baron/Louis Dasté), et La Bastille. Il dirige l'Union française antimaçonnique, qui fusionne en 1906 avec deux ligues crées par Émile Driant. La nouvelle entité prendra alors le nom de Ligue française anti-maçonnique[13] qu'il animera également. Elle éclate en 1909 et Copin-Albancelli fonde la Ligue de défense nationale contre la franc-maçonnerie[14]. Il s'occupera aussi de la société d'édition "La Renaissance française".
Parallèlement à ces activités, Copin-Albancelli collaborait également à la Revue Internationale des Sociétés Secrètes de Mgr Ernest Jouin, célèbre contempteur de la franc-maçonnerie et dénonciateur de supposées conspirations liées à des forces occultes.
Craignant la ruine de la France au profit de puissances étrangères par le moyen de la franc-maçonnerie et autres sociétés secrètes, dont la Grande-Bretagne, le pangermanisme et la communauté juive en utiliseraient les effectifs, Copin-Albancelli dénoncera jusqu’à sa mort les sociétés secrètes, la propagande anti-française et les différents complots qui interfèrent, selon, lui dans la politique mondiale.
Le 28 février 1922, il exposa ses théories dans une lettre adressée au premier ministre britannique Lloyd George, qui en accusa réception[15], et dans laquelle il proposa que les sociétés secrètes soient inscrites au programme du désarmement au même titre qu'une arme ou qu'un régiment[16]. Il fit cela dans un but de dénonciation[17].

Action Française

Après avoir été boulangiste, Copin-Albancelli fut également l’un des premiers militants nationalistes et royalistes de l'Action française. Il collabora à la Revue d’Action française qui devient L'Action françaiseMouvement de défense des traditions nationales (ou Entente nationale), regroupant plusieurs royalistes de l'Action française ou indépendants. Il a contribué au livre de Maurras Enquête sur la monarchie dont il a écrit un chapitre.

 

Fin..."De Biographie",

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