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11 avr. 2010

Compassion Pour Nos Compatriotes: Victimes De La Propagande Et De La Manipulation Maçonnique. L'Âme N'a Pas De Prix. Sauvez La Vôtre !

Pour éviter tout plagiat et surtout honorer le courage et le mérite de Paul Copin-Albancelli, au lien Wikipédia., je reporterais intégralement le texte de l'article sans commentaires afin de permettre à qui le souhaite l'étude de ce document révélateur sur le mythe qui entoure la Franc-maçonnerie et les fausses abstractions qui l'encensent pour abuser le public et les adhérents à la "fraternité" tout en dissimulant ses fondements dogmatiques qui sont ceux d'une religion occulte satanique.

Biographie (Paul Copin-Albancelli)

Parcours maçonnique

Franc-maçon dès 1884[1], de la loge l'Avant-Garde maçonnique[2] de Paris[3] appartenant à l'obédience maçonnique du Grand Orient de France[4]. Il accomplit successivement les offices de secrétaire, d'orateur et de premier surveillant dans sa loge[5]. En 1887, il intègre un chapitre des hauts grades maçonniques dit Rose-Croix[6] du nom de La clémente amitié, dont le frère Amiable était le président portant le titre de Très-Sage[7]. Il en sera le secrétaire[8]. Par la suite des ouvertures lui sont faites pour un passage au grade de chevalier kadosh[9]. Dès 1889, encore dans la maçonnerie, il dénonce en tant que journaliste ses agissements dans une campagne électorale à Vervins, opposant un conservateur, Godelle, à un député gouvernemental sortant et franc-maçon, Dupuy. Il accuse alors publiquement la maçonnerie d'intolérance, de fanatisme antireligieux et d'ingérence occulte dans les affaires politiques. Godelle l'emporte[10]. Il est alors frappé d'une peine de mise en sommeil de quelques mois, au terme de laquelle il donne sa démission de sa loge, courant janvier 1890[11].

Parcours anti-maçonnique

Copin-Albancelli use de son expérience pour se faire l’un des plus violents dénonciateurs de la franc-maçonnerie qu’il associe, comme plusieurs antidreyfusards de l’époque, à un complot juif, avant de faire évoluer sa position. Il débute une série de conférences en France, dont la première fut devant les membres de la Ligue de la patrie française avec le soutient de Jules Lemaître et la seconde devant les membres de l'Action française[12].
Au tournant du XXe siècle, il fonde les journaux antimaçonniques et antisémites À bas les tyrans (avec André Baron/Louis Dasté), et La Bastille. Il dirige l'Union française antimaçonnique, qui fusionne en 1906 avec deux ligues crées par Émile Driant. La nouvelle entité prendra alors le nom de Ligue française anti-maçonnique[13] qu'il animera également. Elle éclate en 1909 et Copin-Albancelli fonde la Ligue de défense nationale contre la franc-maçonnerie[14]. Il s'occupera aussi de la société d'édition "La Renaissance française".
Parallèlement à ces activités, Copin-Albancelli collaborait également à la Revue Internationale des Sociétés Secrètes de Mgr Ernest Jouin, célèbre contempteur de la franc-maçonnerie et dénonciateur de supposées conspirations liées à des forces occultes.
Craignant la ruine de la France au profit de puissances étrangères par le moyen de la franc-maçonnerie et autres sociétés secrètes, dont la Grande-Bretagne, le pangermanisme et la communauté juive en utiliseraient les effectifs, Copin-Albancelli dénoncera jusqu’à sa mort les sociétés secrètes, la propagande anti-française et les différents complots qui interfèrent, selon, lui dans la politique mondiale.
Le 28 février 1922, il exposa ses théories dans une lettre adressée au premier ministre britannique Lloyd George, qui en accusa réception[15], et dans laquelle il proposa que les sociétés secrètes soient inscrites au programme du désarmement au même titre qu'une arme ou qu'un régiment[16]. Il fit cela dans un but de dénonciation[17].

Action Française

Après avoir été boulangiste, Copin-Albancelli fut également l’un des premiers militants nationalistes et royalistes de l'Action française. Il collabora à la Revue d’Action française qui devient L'Action françaiseMouvement de défense des traditions nationales (ou Entente nationale), regroupant plusieurs royalistes de l'Action française ou indépendants. Il a contribué au livre de Maurras Enquête sur la monarchie dont il a écrit un chapitre.

 

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Théories

Franc-maçonnerie

Abaissement

Pour Copin-Albancelli, le temple maçonnique est un lieu d’abaissement intellectuel, une « société enfantine » [18] dont une des conséquences néfastes est la « déformation progressive des intelligences par le moyen des sélections et de suggestions combinées dans ce but » [19]. Pour lui, rien ne vaut une clientèle médiocre et veule, lâche et vile, pour servir de vivier et y pêcher des êtres qui jamais n’échapperont « aux directions du pouvoir occulte »[20]. Pour Copin, toutes les initiations connues reçues en maçonnerie ne peuvent être que fausses et les "secrets" qu'elles dévoilent des faux secrets[21]. Au contraire ces "exercices de puérilité" n'ont en vue qu'une déformation progressive, une "école du soldat" dans "l'armée du pouvoir occulte". Ainsi son avancement en maçonnerie, que seuls les initiés de plus grades décident, n'est autorisé qu'à la condition que l'intelligence du récipiendaire ait reçu la déformation voulue, en communion d'idées avec sa hiérarchie, et ce à chaque passage de degré maçonnique. Au moyen des degrés, la transmission des volontés et le mécanisme assurant cette transmission est rendu invisible[22]. Par ailleurs une loge est simplement un lieu où on écoute des prédications et où l'on prêche sur des thèmes qui reviennent comme un leitmotiv à caractère de propagande politique[23].

Société secrète

Il l'a qualifie de société secrète visible camouflée afin que personne ne sache, y compris ses adeptes, à quoi elle sert réellement[24]. Son caractère de société secrète est révélé par le fait qu'elle dissimule son but, aux profanes comme à ses adhérents[25], son caractère inutilement compliqué en facilite la tâche volontairement[26]. Pour lui toute société "qui a des secrets" est une société secrète[27]. Il critique l'absence de responsabilité maçonnique envers les déclaration de ses membres ou des revues liées qui ne représenteraient qu'eux même selon la maçonnerie, empêchant ainsi de se faire une idée précise d'elle, Copin n'y voyant qu'une volonté supplémentaire de tromperie[28]. En effet la maçonnerie n'est représentée en aucun lieu par un corps constitué visible ou par une personnalité officiellement chargée de parler en son nom[29]. Il explique que tout autre société secrète de conception simplifiée est condamnée à plus ou moins long terme à voir ses secrets révélés (de sa méthode d'action, de ses moyens d'action, nom de ses membres)[30]. Au contraire la maçonnerie se préserve des bavardages, des imprudences, des maladresses et des trahisons de ses membres ainsi que des espions, paradoxalement un bavardage éventuel renforcerait encore son camouflage en ne révélant sur elle que des détails innocents, biaisant d'autant plus le jugement des profanes[31]. Il en découle que la maçonnerie constitue un colossal organisme de mensonge[32], rendant aléatoire la recherche historique documentaire sur celle-ci[33]. Citant Louis Blanc il affirme que des "arrières-loges" peuvent même être crées, comme durant la révolution française[34].

Origines

A propos des origines de la maçonnerie, il cite le roman qu'il qualifie d'étude Nova Atlantis de Francis Bacon décrivant une île dont les habitants sont gouvernés par une société secrète qui créait des filiales à l'étranger dans des nations rivales aux fins de renseignement afin de profiter de l'une ou l'autre nation à un moment donné en état d'infériorité. Il décrit que moins de 20 ans après la publication de cet ouvrage, la franc-maçonnerie spéculative fait son apparition en Angleterre et qu'elle manifeste certains des caractères indiqué dans le livre, comme d'affecter un but d'étude mais de s'occuper de politique. Il cite pour preuve que lors de la Deuxième guerre civile anglaise, des loges tenaient pour les Stuarts tandis que d'autres combattaient pour Cromwell[35]. Pour Copin, au début de la maçonnerie spéculative, des hommes se sont infiltrés en tant qu'associés, protecteurs, membres donateurs ou honoraires des anciens maçons constructeurs (opératifs), qui manquaient alors de travail et d'argent, afin de s'emparer du privilège de former une société secrète tolérée et reconnue. L'ancienne corporation de maçons ne serait en fait qu'un corps parasité[36].

Buts

Il ne la voit pourtant pas comme une force au service d'une nation mais plutôt au service d'ambitions égoïstes et particulières[37]. Il souligne que c'est pas le biais de l'évocation d'un idéal (par exemple la formule Liberté, égalité, fraternité ou l'humanitarisme[38] [39]), au final dénaturé, que la maçonnerie affaiblit la France[40]. Il évoque ironiquement qu'elle a mis à toutes époques en contact dans les loges deux catégories de citoyens, ceux qui détenaient le pouvoir et ceux qui étaient destinés à le leur arracher[41]. Il établit que les loges permettent une sélection politique des personnes qu'un pouvoir occulte souhaite voir jouer un rôle dans la société d'après son caractère et sa personnalité ainsi que ses partis-pris[42]. Le critère du choix du candidat, au niveau de sa profession, doit être son influence afin d'atteindre à travers lui la société[43]. Au niveau de sa personnalité, cela doit être son idéalisme et sa capacité à se laisser illusionner[44]. Elle sert également de canal de transmission de la société supérieure qui la subordonne[45] Elle sert à créer frauduleusement des états d'esprit, de passion, d'exaltation, de fanatisme et de fureur, d'où résulte l'aveuglement de ceux qui s'y engagent[46].

Idéologie

Copin souligne l'idéologie anti-traditionaliste de la maçonnerie d'un point de vue politique et religieux[47]. Ce parti-pris aboutirait directement à l'antipatriotisme et au désarmement de la France dans les années qui ont précédé la Première Guerre mondiale, désarmement voulu, pensé et organisé dans les loges qui réuniraient les théoriciens de l'antipatriotisme et les ministres qui organisent le désarmement du pays[48].

Subordination

A travers son concept de sociétés secrètes superposées, il désigne la franc-maçonnerie comme une organisation subordonnée[49] ou la qualifie d'"institution secrète inférieure"[50]. Il évoque l'impossibilité de définir clairement l'origine de la maçonnerie comme une preuve supplémentaire de son contrôle par superposition[51]. Il souligne que certains documents furent brulés lors de la fondation de la Grande Loge de Londres tandis que d'autres produits à des époques diverses pour servir de base à l'histoire de la maçonnerie furent reconnus par la suite faux ou adultérés[52]. Son caractère séculier et universel implique une puissante volonté créatrice et une persistante autorité directrice que l'on ne rencontre pas chez le maçon moyen[53]. Copin explique que si les maçons de grade inférieur obéissent au fanatisme qui leur est inculqué, ceux des hauts grades obéissent également à l'orgueil de la domination qu'il exercent[54].

Interventions maçonniques dans l'histoire

Révolution française
Copin rend la maçonnerie responsable de la révolution française, s'appuyant sur des ouvrages de Louis Blanc[55] [56], de Bertrand de Molleville, de Jean-François Marmontel, d'Arthur Young, de Pierre Victor de Besenval de Brünstatt et d'Augustin Cochin. Le choix du terme "Grand Orient de France" remplaçant celui "Grande Loge anglaise de France" brièvement adopté, avait pour but de gommer toute idée de subordination à un groupement étranger. La fermeture des loges dès la révolution de même que l'éxécution de notables maçons par la révolution ne constitue pas un argument déterminant pour dédouaner la maçonnerie de son implication[57]. S'appuyant sur Louis Blanc il affirme que des "arrières-loges" peuvent même être crées[58] et que les loges fermées se transformèrent simplement en clubs, citant en exemple le cercle social des "Amis de la vérité", fondé le 15 octobre 1790 et qui était une ancienne loge[59]. Ce cercle fut fondé par Guillaume-François-Charles Goupil de Préfeln, Mailly de Chateau-Regnault, Nicolas de Condorcet, Nicolas de Bonneville et Claude Fauchet, ces 2 derniers rédacteurs de la Bouche de fer, journal portant le nom de leur ancienne loge maçonnique[60]. Copin désigne Jean-Paul Marat, Robespierre, Georges Jacques Danton, Honoré-Gabriel Riquetti de Mirabeau, Gilbert du Motier de La Fayette, Jérôme Pétion de Villeneuve, Paul Barras, Emmanuel Marie Michel Philippe Fréteau de Saint Just et Philippe Egalité comme maçons[61]. S'appuyant sur l'ouvrage de Molleville, il désigne le meurtre de Louis Bénigne François Berthier de Sauvigny et de Joseph François Foullon comme des assassinats "prémédités et exécutés maçonniquement"[62].
Révolution de 1848 et Second Empire
Pour Copin, la maçonnerie demanda au prince Louis Napoléon, par encore devenu Napoléon III, "à mettre la couronne impériale sur son noble front" et ce 6 semaines avant le Second Empire[63], alors même qu'elle a mis en place la révolution de 1848[64], cette contradiction s'expliquant par le fait qu'elle se préoccupe moins des régimes en place que de ses objectifs à long terme et qu'elle lâche et cherche à renverser ceux qui ne la servent plus.
Guerre de 1870
Il évoque, s'appuyant sur les ouvrages de Georges Goyau, que la Guerre franco-allemande (1870)[65]. éclate après que l'opposition d'alors, à subordination maçonnique, se soit opposée à la nouvelle organisation de l'armée française proposée par le maréchal Niel, plaçant la France en état d'infériorité
Affaire des fiches
Copin évoque qu'au préalable à l'affaire des fiches et aux ministères des frères Maurice Berteaux et Eugène Étienne, comme il le dénonça dans son journal La Bastille, la maçonnerie avait le projet de sa mainmise sur l'armée comprenant l'attribution au ministre de la guerre du choix des officiers, autrefois réservé aux commissions de classement, l'organisation d'un système de renseignements maçonnique permettant d'écarter les officiers hostiles à la maçonnerie, le remplacement des ministres militaires par des ministres civils, l'obligation faite au ministre de se reposer pour le choix des officiers et des directions d'école militaires sur certains collaborateurs désignés par les loges. La maçonnerie imprima ses projets dans un brochure réservée aux maçons mais parvenue en dehors des loges[66].
Première guerre mondiale
Pour lui, le militantisme pacifiste qui s'est exercé en France avant la Première Guerre mondiale jusqu'au 24 juillet 1914 (la guerre éclate le 4 août 1914) où les parisiens furent invités à s'occuper de la préparation et de l'organisation du désarmement par les frères Le Foyer, Hubbard et Gaston Moch, constitue une preuve de la subordination au pangermanisme de la maçonnerie française[67]. Il y ratache la volonté du frère Pierre Brizon qui, 4 mois avant la guerre, proposait une armée de milice pour la France [68].
Traité de Versailles
Il déclare qu'après-guerre la maçonnerie souhaite encore la diminution de la force française et l'acceptation des exigences allemandes après le traité de Versailles[69].
Chute de la monarchie en Espagne
Il accuse la maçonnerie de vouloir détruire le gouvernement de la maison de Bourbon en Espagne[70]. catholique pour la remplacer par un gouvernement révolutionnaire et athée, déclarant qu'un déclaration fut faite en ce sens au convent du Grand Orient de France en 1902 entre maçons espagnols et français
Politique française sous la IIIème république
Pour lui, le parlement français (assemblée nationale et sénat) de la IIIe république vers 1908 sont composés pour moitiés de députés et sénateurs maçons, soit 450 sur 900[71], chiffre qu'il juge disproportionné avec le nombre de maçons parmi les français, qu'il estime à 30'000 tant en France que dans les colonies[72]. Il juge que les démasquer au moyen de listes est une entreprise hasardeuse, estimant que sur 5 maçons, il y en à 3 ou 4 pour échapper aux recherches[73]. Il en conclut que si ces 450 maçons se révélaient être 450 membres de congrégation religieuse ou 450 citoyens britanniques, on aurait raison de conclure que la France est aux mains de l'Église catholique ou de la Grande-Bretagne[74], sauf qu'il seraient reconnaissables et qu'on pourrait alors s'opposer à eux. Ce pouvoir de la maçonnerie serait encore renforcé par le fait que les maçons députés se réclamant de l'appui de la maçonnerie doivent signer des déclarations de conformité de leur principes philosophiques avec ceux du conseil de l'ordre[75].

Les sociétés secrètes superposées

Copin-Albancelli défini le concept de sociétés secrètes superposées et cite les Illuminés de Bavière comme ayant subordonné des loges maçonniques françaises par le passé. Cette même société aurait mis au point la notion d'humanitarisme (universalisme) en tant que ferment de désorganisation nationale, repris plus tard par des loges maçonniques en tant qu'entité qu'il qualifie de subordonnée[76]. C'est au moyen des grades ou degrés maçonniques que se superposent deux sociétés secrètes. Pour lui, chaque grade constitue une association propre formant une superposition d'associations[77]. Cette superposition laisse deviner un groupement chef procédant pour se faire obéir non par ordres mais par suggestions, permettant son invisibilité[78]. Suggérant une ressemblance entre le groupement chef et les Illuminés de Bavière, il explique que le recrutement de ce groupement doit être invisible pour le profane et seulement visible à ceux qui en sont proposés, en ayant été choisis au préalable sans en être informé, subissant une préparation de deux ou trois ans, et ne laissant entrer dans la société secrète supérieure que les sujets capable d'obéissance aveugle, de soumission totale et d'abandon complet[79]. Au sommet, soit au-dessus de la société secrète supérieure, se trouve finalement la direction, composé de 13 personnes seulement dans les Illuminés de Bavière, et seuls à savoir que le but final est leur dictature personnelle, alors que les premiers grades croient travailler au perfectionnement de l'humanité et les intermédiaires au renversement des pouvoirs illégitimes faisant obstacle à ce perfectionnement[80]. Il cite la Haute-Vente (Alta Vendita) comme société de type maçonnique supérieure par rapport aux Carbonari, société de type maçonnique subordonnée[81].

La guerre occulte

Pour Copin-Albancelli, la guerre au sens militaire du terme se double d'une "guerre occulte[82]" accomplie dans le secret mais dont on aperçoit l'élément agissant, la propagande. Il cite l'Allemagne comme une des puissances majeures dans se domaine y compris après la fin de la Première Guerre mondiale[83], qui aurait été la manifestation visible d'une guerre invisible entre sociétés secrètes[84]. Celles-ci permettraient à un petit nombre d'asseoir leur domination sur la majorité[85]. Pour lui la révolution française n'est pas une manifestation de l'âme française mais d'une puissance occulte ennemie qui pousse au désordre et au crime parce qu'ils portent en eux l'affaiblissement, encourageant également la désorganisation et la division en promouvant des haines irrémédiables[86]. Il définit la tactique de la guerre occulte comme étant de "faire agir et non pas agir"[87].
(Note perso: Ceci traduit la stratégie de conflit-guerre "par proxy")
Les buts de cette guerre sont de répandre l'anarchie dans les collectivités humaines en persuadant les individus à se soustraire aux règles, devoirs, discipline qui donne cohésion et force à une collectivité, réduisant les gens en une masse désagrégée et impuissante. Alors peut surgir et s'imposer une organisation qui, prêchant l'anarchie en faisant croire que cet état est momentané, peut alors établir une dictature occulte[88].

(Note perso: Le credo du Nouvel Ordre Mondial juif, "Ordre issu du désordre" )

Les protocoles des sages de Sion

Croyant que diverses organisations secrètes tentent de constituer un « pouvoir mondialiste », Copin-Albancelli explore une théorie du complot qu’on retrouve à la même époque dans le Protocole des sages de Sion. Pourtant, Copin-albancelli fut le dénonciateur de sa fausseté en relevant son origine propagandiste antisémite et l'accusa de dédouaner d'autres forces agissantes dans la politique mondiale dont le pangermanisme. Pour lui le Pangermanisme fut l'instigateur de la large diffusion des protocoles après 1918. Il distingue les antisémites de conviction des antisémites par intérêt dont les pangermanistes. Le dépôt d'un exemplaire des Protocoles au British Museum en 1906 permettait de prouver qu'ils avaient été écrits avant la grande guerre et avant le bolchévisme qu'ils annonçaient[89]. Il s'oppose à la thèse du judéo-bolchévisme, déclarant que si les chefs visibles du soviétisme russe furent juifs, il y a de fortes probabilités que ces chefs occultes ne le fussent pas[90], rappelant que les chefs du gouvernement soviétique reçurent ordres et argent de l'état-major allemand[91].

Le pouvoir occulte

Selon Copin, plusieurs pouvoir occultes s'attèlent à travailler à leur profit en secret et en utilisant diverses sociétés secrètes, dont la maçonnerie. La nécessité d'une intelligence initiatrice et d'une volonté directrice est indispensable à son maintien[92]. Leur caractère séculier et leur effort continu implique une volonté constante travaillant sur du long terme de l'ordre de plusieurs générations et qui coopte constamment des remplaçant tout en sélectionnant les plus aptes à servir ses desseins. Pour celà il établit que ces pouvoir occultes ne peuvent nécessairement être que des pouvoirs monarchiques et dynastiques comme celui de la Grande-Bretagne ou de l'Allemagne et des milieux pangermanistes liés à sa noblesse, ou avoir un caractère tribal ou ethnique ou encore d'une religiosité séculaire[93] comme celui de la communauté juive et du judaïsme.

Le Pouvoir occulte et la Grande-Bretagne

Copin décrit l'origine britannique de la maçonnerie ainsi que la subordination des loges étrangères à une influence directrice britannique au moyen de la régularité maçonnique[94]. Il établit également l'anglophilie de la maçonnerie française, qui s'exprime alors même que des alliés ou des intérêts français sont en jeux[95]. Voir aussi: Origines

Le Pouvoir occulte et le Pangermanisme

Selon Copin, l'intérêt occulte pangermaniste est opposé à celui de la communauté juive[96]. Voir aussi: Interventions maçonniques dans l'histoire, guerre de 1870, première guerre mondiale et Traité de Versailles

Le Pouvoir occulte et le Judaïsme

Copin exprime que les intérêts du judaïsme dans la révolution française, vue comme un complot maçonnique, est évidente, tout comme la participation massive et organisée de la communauté juive à la révolution russe de 1905[97].

Publications

  • Le Boulangisme du peuple, Paris, L. Sauvaitre, 1891.
  • La Franc-Maçonnerie et la question religieuse, Paris, Perrin, 1892 ; 1905.
  • La Question franc-maçonnique devant les électeurs, Paris, L. Sauvaitre, 1893.
  • Comment je suis entré dans la Franc-Maçonnerie et comment j'en suis sorti, Paris, Perrin et Cie, 1895 ; 1905 ; 1908.
  • La dictature-maçonnique. Conférence prononcée le 16 décembre 1899, Paris, Bureaux de l'Action française, 1899 ; [1900] ; Paris, F. Dupont, [1901].
  • (avec Léon de Montesquieu, le Dr Le Fur, le Dr Rondeau, Marc Sangnier, Henri de Larègle et Gustave de Lamarzelle), Nos Traditions nationales, comment les défendre ? Conférences. Avec le compte rendu de la 1re réunion de l'Entente nationale tenue à la salle de la Société de géographie le 8 juillet 1904, avec une lette de Paul Bourget, Bourges, Éditions de l'Entente nationale, [1904].
  • (avec M. Millerand, Roger Lambelin, l'amiral de La Jaille et le Dr Le Fur), L'Armée et la Franc-maçonnerie, Bourges, Éditions de L'Entente nationale, [1905].
  • Le Drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, Lyon et Paris, Emmanuel Vitte et La Renaissance française, 1908.
  • La conjuration juive contre le monde chrétien
  • La Question des boys-scouts ou éclaireurs en France, Paris, La Renaissance française, 1913.
  • Les Éclaireurs de France, Paris, R. Tancrède, [1914].
  • Une correspondance adressée à M. Clemenceau par Copin-Albancelli : I. Possibilité de l'union entre les Français. Premières lettres à M. Clémenceau. La question religieuse durant la guerre ; II. Quatrième lettre à M. Clémenceau. La franc-maçonnerie, la démocratie et la République, Paris, La Renaissance française, [1916].
  • La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925.
  • "Préface" à Benjamin Fabre, Un initié des sociétés secrètes supérieures "Franciscus, eques a capite galeato" (1753-1814), Paris, La Renaissance française, 1913.

Notes et références

  1.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.152
  2.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.384
  3.  La franc-maçonnerie vous connaissez?: Enquête, Par Jean-André Faucher, Achille Ricker, p.85
  4.  http://www.godfstats.com/files/webform/fichier/dp_zeller.pdf
  5.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.43
  6.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.152
  7.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.241
  8.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.43
  9.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.283
  10.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.39-40
  11.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.152-153
  12.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.22
  13.  Les sociétés secrètes catholiques
  14.  revue Politica Hermetica n°4, 1990, Maçonnerie et antimaçonnisme: de l'énigme à la dénonciation, p.38 Texte en ligne
  15.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.20
  16. Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.31
  17.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.35-36
  18.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.14
  19.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.88
  20. Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.120
  21.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.222
  22.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.222-223-224
  23.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.31-32
  24.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.XII-XIII
  25.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.77-78
  26.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.72
  27.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.59
  28.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.91
  29.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.103
  30.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.65
  31.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.74-75
  32.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.108
  33.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.111
  34.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.312
  35.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.26-27
  36.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.143-144
  37.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.28-29
  38.  pris ici au sens d'universalisme et non d'aide humanitaire
  39.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.71
  40.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.66
  41.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.70
  42.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.414-415
  43.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.189
  44.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.192
  45.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.259
  46.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.178
  47.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.396
  48.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.407
  49.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.81
  50.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.202
  51.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.140-141
  52.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.142
  53.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.184
  54.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.275-276
  55.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.305
  56.  Il s'agit du livre de Louis Blanc, Histoire de la révolution, chapitre les révolutionnaires mystiques
  57.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.179
  58.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.312
  59.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.334
  60.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.334-335
  61.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.316
  62.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.348
  63.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.385
  64. Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.103
  65. Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.415
  66.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.144-145
  67.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.247
  68.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.185
  69.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.170
  70. Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.84-85
  71.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.113
  72.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.114
  73.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.115
  74.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.121
  75.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.135
  76.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.81
  77.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.229
  78.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.163
  79.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.229-230
  80.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.230-231
  81.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.56
  82.  au sens de "guerre cachée", l'occultisme n'est ici pas évoqué
  83.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.VII-VIII
  84.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.XV
  85.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.XVII
  86.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.74
  87.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.169
  88.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.234
  89.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.206-207
  90.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.222
  91.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.223
  92.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.184
  93.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.299
  94.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.26-27
  95.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.413
  96.  Paul Copin-Albancelli, La Guerre occulte. Les Sociétés secrètes contre les nations, Paris, Perrin et Cie, 1925, p.245
  97.  Paul Copin-Albancelli, Le drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908, p.361-362

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