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19 mai 2011

La Nébuleuse Kabyle Sectaire Rallie Le Pouvoir Du Nouvel Ordre Mondial Et Ses Tentatives D'Ingérence.

L'illettré américanisé Mac-Mahony se rend à Washington dans le but de déposer une plainte contre Bouteflika pour crime contre l'humanité et demander le soutien d'Obama pour contraindre le gouvernement algérien d'accepter un référendum sur l'autonomie de la Kabylie. L'indigne adepte de la ségrégation raciale et président de l'association des Menteurs Arrogants de Kabylie, s'est déplacé à Washington. Comme un écolier mouchard qui, debout devant le bureau, se met à dénoncer ses camarades de classe pour gagner les faveurs de son maitre d'école. Le harki s'est roulé dans la farine pour faire croire qu'il était victime d'une tentative de friture des mains du chef Bouteflika. Une tournée dégradante pour toute personne digne qui refuserait d'avancer des arguments fallacieux et implorer une force étrangère oppressive contre son pays (d'origine), force dont l'éthique et les agissements sont dénoncés aux USA même, sans mentionner ce qu'en pensent les Irakiens, Afghans,  Palestiniens, et aujourd'hui, Pakistanais. Car sa compassion est elle, réservée aux juifs victimes d'antisémitisme, juifs à qui il promet d'autoriser l'établissement d'une ambassade israélienne à Tizi Ouzou !
Le président guitariste du MAK, qui ne bénéficie pas d'un consensus parmi ses proches collaborateurs dont plusieurs ont déserté le parti,  reporte sur Boutéflika, le président élu de tous les Algériens, le blâme de la mort de dizaines de citoyens victimes de la réponse de l'autorité devant le déferlement de violence et de saccage qui balayèrent la région et affectèrent plusieurs willayas, et même la capitale. Occultant sa propre responsabilité dans le déclenchement de l'agitation que ses complices, criminels agitateurs, sectaires et racistes, avaient provoquée en catapultant des  jeunes inconscients, excités et conditionnés, dans un déferlement de fureur et de rage disproportionnées. Machination sans aucun doute, car il est impossible que dans l'instant qui suivit l'annonce de la mort de Guermah, des milliers de personnes, femmes, hommes et enfants, envahissent "spontanément" la rue pour crier leur colère contre une bavure policière, sous tous ses aspects, injuste, mais ne nécessitant pas la réaction démesurée que les "agents de la discorde parmi nous", les pyromanes embusqués dans la foule, lui ont arrimée. Les bavures policières arrivent en tout temps et dans tous les pays, provoquent-elles des insurrections à chaque fois ? N'aurait-il pas été plus sage de s'enquérir des procédures légales à entamer ? Créer un mouvement associatif encadré d'avocats et de personnalités publiques pour réclamer justice? Ou encore ébruiter l'affaire et gagner l'opinion à sa cause ? Beaucoup de questions demeurent sur ce drame qui a endeuillé le pays. La théorie du complot compromettant des responsables civils et militaires n'est pas exclue. Elle se résumerait à la tentative par quelques forces obscures de déstabiliser Bouteflika.  Complot auquel participe Benflis, dont l'éviction du poste de premier ministre, dévoilera ultérieurement son hostilité virulente, personnelle et sournoise, et son attitude d'ennemi juré, lors de sa campagne électorale qui l'opposera au président en exercice, Bouteflika. Ce drenier avait démontré toute son attitude conciliatrice même avec les terroristes qui avaient mis à sac le pays, dans sa politique de réconciliation et de concorde, pourquoi provoquerait-il un nouveau syndrome, celui de 2001, qui faillit renverser l'ordre précaire qu'il construisait ? Il ne pouvait certainement pas se permettre de saborder son propre navire sur l'écueil de l'anarchie.  
"La vérité étant fille du temps et non de l'autorité", l'histoire finira par nous dévoiler les dessous de cette tragédie.
 Demeure la problématique soulevée par des groupes subversifs d'exploiter et de détourner le drame de 2001, qui est loin de mériter l'appellation de "printemps", un oxymore rapprochant "printemps" et "noir". Détournement à visée politique opportuniste qui envenime un fait regrettable en lui fixant des revendications sécessionnistes ou autonomistes absurdes.

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