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7 juil. 2010

LaGrandeMaison Sur La Prairie Francophile, La Saga de L'Association Du Culte Laique Reformé.

Le Prix " Mohamed Dib" serait patronné par une fondation scélérate, "la grandemaison " de Tlemcen, qui a usurpé les droits d'auteur de l'oeuvre de l'écrivain algérien défunt Mohammed Dib (Consultez le site Lien). On découvre une félonie opérée par l'association culturelle de Tlemcen qui s'est accaparée illégalement et frauduleusement tous les droits d'auteur protégeant l'œuvre littéraire de Mohamed Dib, sans l'accord et le consentement juridique de ses héritiers ! Le monde doré de la culture tente de s'intégrer en force dans l'économie de marché, mais les procédures commerciales employées ne semblent pas adhérer à l'éthique et régles définies par la loi !  
L'information publiée par Fayçal Dib, Pour la famille DIB,  date de 2008 mais est toujours d'actualité pour qui souhaiterait s'immerger dans l'atmosphère de la littérature algérienne, qui compte de nombreux auteurs tous versés dans l'analyse politique et sociale du pays, mais sont surtout des virtuoses du sermon moral, de la défense de la laïcité, des libertés démocratiques (sans limites) et la diatribe contre le "système" (dont ils sont paradoxalement partie prenante lorsqu'il alimente leur budget). Pour revenir à Fayçal Dib, soulignons que ses déclarations sont appuyées de documents écrits, de photos et de témoignages appuyant ses accusations. Ce qui fait de lui une victime (d'un déni de justice) aux mains de l'association de malfaiteurs "la grandemaison", dirigée par Benmansour, Yelles (notre sympathique érudit, le "sonfils" de la francophonie-francophilie), et des professors de l'université de Tlemcen (garant de l'éducation de nos enfants !)
  Lisons ce qu'écrit Faiçal :  (Lien)

«Je suis le neveu de feu Mohammed Dib, je vous signale que la fondation Dib n'existe pas et n'a jamais existé..»
 «Je vous suggère de vous rapprocher de l'association culturelle la grande maison dont la présidente Benmansour Sabéha bafouillait des explications incompréhensibles à la juge d'instruction quant aux ventes de documents au nom d'une fondation Dib imaginaire..» 
«De plus je vous signale que les invitations qui nous ont été remises mentionnent bien association culturelle la grande maison, de même le siège social dont l'enseigne fondation Mohammed Dib a été ôtée et remplacée par l'enseigne Association culturelle la Grande Maison». 
Dans une page originale (LIEN) ou sa copie sur ce blog (LIEN)
«La conclusion de l’Appel confirme le verdict de la première instance, Mme Benmansour Sabéha, après avoir affirmé en première instance que des fonds générés par les ventes de la revue "Rencontres", auteur "Fondation Dib", sont détenus par la maison d'édition IdLivre, en France,   a nié les faits reprochés en appel et affirmé qu’elle est Présidente d’une association activant sous le nom de “La Grande Maison et non sous le nom de “Mohammed Dib“, ainsi il n’y a aucune trace de la création par Mme Benmansour Sabéha d’une Fondation Mohammed Dib ou d'une Fondation Dib. La partie civile (représentée par M. Fayçal Dib) n’étant pas arrivée à produire la preuve de l’utilisation du nom Fondation Mohammed Dib.  »

 Très impliquée dans l'écriture et les arts, notre grandemaison de la prairie culturelle marque de son sceau la pensée universelle à résonance laïque.  Dans ce cadre et sous les auspices de cette association de professors universitaires et d'intellectuels  nous examinerons son lauréat pour l'année 2008, la star menteuse, pardon montante, de la littérature algérienne d'expression francophone, le francophile et adversaire de l'arabité et de ses connotations ("Islam et Musulmans"), l'iconoclaste Kamel DaÔud.


A bientôt.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Cette dérive culturelle algérienne accompagnée de cette injustice flagrante est la preuve de tout le mal dans lequel nous vivons, notre société algérienne n'a comme réponse que la propagande culturelle à travers des programmes propagandistes provenant du Ministère de la culture qui étouffe toutes les pensées et la créativité de tout un peuple. Jusqu'à quand les médiocres nous imposeront-ils leur volonté? Jusqu'à quand l'injustice? Jusqu'à quand les médiocres? Jusqu'à quand?
Cette injustice est maintenant ancrée dans notre société, les conséquences étant les abus et la corruption auxquels est soumis de force tout un peuple, les passes droits auxquels ce peuple est confronté tout les jours de son existence regardant et priant le ciel pour que cela cesse, mais vraisemblablement cela ne cessera pas tout seul, alors, au moins dénonçons jusqu'à ce que nous ayons le courage suffisant ...!

Anonyme a dit…

La justice doit trancher car cela n'a que trop durer.

Anonyme a dit…

La Justice? Mais, elle est entre les mains des corrompus et des lèche-bottes, de ce fait elle n'est plus impartiale et, n'obéit plus aux livres de lois: c'est en tout cas ce que prouve formellement l'escroquerie opérée par l'association la grande maison en complicité avec les autorités politiques et judiciaires algériennes. Non, la justice algérienne n'est plus un outil fiable, du moins la justice humaine. Il reste la justice divine à condition que ce peuple la mérite: aide-toi et Dieu t'aidera.

wah fkir a dit…

Une piste à suivre plus convaincante que celle de l'abstraction creuse des "autorités politiques et judiciaires algériennes" :
Un pouvoir de l'ombre qui sert les intérêts de ses membres ? La justice n'étant que le bouclier des abus de pouvoir et des inégalités sociales découlant des privilèges que s'octroient les élites des cercles occultes des "très chers frères", au détriment du reste de la "populace" !