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7 juil. 2010

LaGrandeMaison Sur La Prairie Francophile, La Saga de L'Association Du Culte Laique Reformé.

Le Prix " Mohamed Dib" serait patronné par une fondation scélérate, "la grandemaison " de Tlemcen, qui a usurpé les droits d'auteur de l'oeuvre de l'écrivain algérien défunt Mohammed Dib (Consultez le site Lien). On découvre une félonie opérée par l'association culturelle de Tlemcen qui s'est accaparée illégalement et frauduleusement tous les droits d'auteur protégeant l'œuvre littéraire de Mohamed Dib, sans l'accord et le consentement juridique de ses héritiers ! Le monde doré de la culture tente de s'intégrer en force dans l'économie de marché, mais les procédures commerciales employées ne semblent pas adhérer à l'éthique et régles définies par la loi !  
L'information publiée par Fayçal Dib, Pour la famille DIB,  date de 2008 mais est toujours d'actualité pour qui souhaiterait s'immerger dans l'atmosphère de la littérature algérienne, qui compte de nombreux auteurs tous versés dans l'analyse politique et sociale du pays, mais sont surtout des virtuoses du sermon moral, de la défense de la laïcité, des libertés démocratiques (sans limites) et la diatribe contre le "système" (dont ils sont paradoxalement partie prenante lorsqu'il alimente leur budget). Pour revenir à Fayçal Dib, soulignons que ses déclarations sont appuyées de documents écrits, de photos et de témoignages appuyant ses accusations. Ce qui fait de lui une victime (d'un déni de justice) aux mains de l'association de malfaiteurs "la grandemaison", dirigée par Benmansour, Yelles (notre sympathique érudit, le "sonfils" de la francophonie-francophilie), et des professors de l'université de Tlemcen (garant de l'éducation de nos enfants !)
  Lisons ce qu'écrit Faiçal :  (Lien)

«Je suis le neveu de feu Mohammed Dib, je vous signale que la fondation Dib n'existe pas et n'a jamais existé..»
 «Je vous suggère de vous rapprocher de l'association culturelle la grande maison dont la présidente Benmansour Sabéha bafouillait des explications incompréhensibles à la juge d'instruction quant aux ventes de documents au nom d'une fondation Dib imaginaire..» 
«De plus je vous signale que les invitations qui nous ont été remises mentionnent bien association culturelle la grande maison, de même le siège social dont l'enseigne fondation Mohammed Dib a été ôtée et remplacée par l'enseigne Association culturelle la Grande Maison». 
Dans une page originale (LIEN) ou sa copie sur ce blog (LIEN)
«La conclusion de l’Appel confirme le verdict de la première instance, Mme Benmansour Sabéha, après avoir affirmé en première instance que des fonds générés par les ventes de la revue "Rencontres", auteur "Fondation Dib", sont détenus par la maison d'édition IdLivre, en France,   a nié les faits reprochés en appel et affirmé qu’elle est Présidente d’une association activant sous le nom de “La Grande Maison et non sous le nom de “Mohammed Dib“, ainsi il n’y a aucune trace de la création par Mme Benmansour Sabéha d’une Fondation Mohammed Dib ou d'une Fondation Dib. La partie civile (représentée par M. Fayçal Dib) n’étant pas arrivée à produire la preuve de l’utilisation du nom Fondation Mohammed Dib.  »

 Très impliquée dans l'écriture et les arts, notre grandemaison de la prairie culturelle marque de son sceau la pensée universelle à résonance laïque.  Dans ce cadre et sous les auspices de cette association de professors universitaires et d'intellectuels  nous examinerons son lauréat pour l'année 2008, la star menteuse, pardon montante, de la littérature algérienne d'expression francophone, le francophile et adversaire de l'arabité et de ses connotations ("Islam et Musulmans"), l'iconoclaste Kamel DaÔud.


A bientôt.

Les Dessous de La Culture et le Génie de Nos Erudits Francophiles.


Note: Les juifs -talmudes américains peuvent se vanter de posséder des génies (jinns) de la finance, tel ce fameux Maddof.
La notoriété de Wall street est en déclin, il y a chez nous des petites maisons et des ateliers qui se font une place au soleil et qui étonnent par leur ingéniosité commerciale :
le ponzi scheme littéraire. 

                Monsieur  le  Procureur de la République de Tlemcen,

Nous avons l’honneur de venir déposer plainte pour préjudice moral profond, contre Mme BENMANSOUR Sabéha née BENKALFATE, Présidente de l’association culturelle régionale « la grande maison ».

Cette plainte est relative à l’utilisation illégale de notre nom de famille DIB et ce, par le fait que l’association culturelle ayant agrément de la Wilaya de Tlemcen, avec dénomination juridique : « association culturelle la grande maison », se soit redénommée, depuis 2001, Fondation DIB et Fondation Mohammed DIB sans qu’un nouvel agrément des autorités compétentes (information confirmée par la Wilaya de Tlemcen en 2005) vienne justifier ce nouveau statut juridique qui rentre ainsi dans le cadre d’une activité clandestine ; pour M. le WALI de Tlemcen : « il n’existe pas de Fondation DIB » . De plus, une Fondation devant son existence juridique à une affectation irrévocable de biens droits ou ressources (Habous ou Waqf en droit musulman),  or feu M. Mohammed DIB n’avait fait et n’a laissé aucun legs à Mme BENMANSOUR Sabéha née BENKALFATE.

Sous le nom juridique et sous la forme clandestine de Fondation DIB Mme BENMANSOUR Sabéha née BENKALFATE active depuis 2001, et ce,  en prenant de l’ampleur, en :

-          L’an 2003 : par la publication de revues intitulées "Rencontres", auteur : "Fondation DIB" mises en vente depuis 2003 au travers du réseau Internet à 2,95 euro et 3.95 dollars, et dont le partenaire éditorial:  IDLIVRE, partenaire étranger activant hors de la Wilaya de Tlemcen, en France, pour le compte de l'association culturelle régionale.
-          en l’an 2004 : par la création d’un site internet « Fondation DIB »  site web : www.fondation-dib.com  conçu en 2004 par la société médiaWeb, dont le Gérant est M. DENDANE et, utilisant les informations données par Mme BENMANSOUR Sabéha.
-          en l’An 2006 : par les différents articles de la presse nationale, publiés depuis 2002 et, dont le dernier date du 02 mai 2006 rédigé sur El-Watan par M. C. BERRIAH et ce, malgré le démenti de la famille DIB qui date du 06 octobre 2005 sur le même journal.

 Mme BENMANSOUR Sabéha née BENKALFATE n’a pas d’autorisation du défunt pour l’utilisation de son nom et de son prénom,
- la famille DIB, blessée, ne tolère pas les abus et manipulations dont fait objet son nom,
- la famille DIB, par voie de presse et, sur le journal national « Djazaïr News » en date du 06 mars 2006, a averti Mme BENMANSOUR Sabéha quant aux actions en justice dont elle ferait l’objet si elle ne mettait pas un terme définitif à l’utilisation du nom DIB ce, en vain.

Aujourd’hui la famille DIB, suite au préjudice moral, profond, causé par cette imposture qui a dépassé nos frontières vient demander et,  par voie de justice, de mettre un terme définitif à l’utilisation illégale de son patronyme, n’ayant de choix qu’au travers du chemin de la justice, à laquelle elle s’en remet, confiante quant aux Institutions de sa Patrie.

Veuillez agréer, Monsieur le Procureur de la République de Tlemcen, l’expression de notre parfaite considération.                                                                          

                       Pour  la Famille DIB.

                                                                                                                 
                       M.   Fayçal DIB                                                  Signé:   Fayçal Dib          
Signé:  Taleb Bendiab Khadidja née Dib
                                                                            
                                                          Directeur Technique.
                                                Neveu de feu M. Mohammed DIB.

Copies adressées :  - M. le Ministre de l’Intérieur et des Collectivités Locales.
                                - M. le Ministre Délégué auprès du Ministère de l’Intérieur.
                                - M. le Ministre de la Jeunesse et des Sports.
                                - M. le Directeur de la Culture de la Wilaya de Tlemcen.
                                - M. le Wali de la Wilaya de Tlemcen.
                                - M. le DRAG , wilaya de Tlemcen.  
                          
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Le 25 juillet 2007/ après convocations du commissariat central de Tlemcen adressées à M. Fayçal Dib (27/12/2006), Mme Benmansour Sabéha, et M. Benama Mohamed Directeur de l’Agence de Tlemcen de l’Office National des Droits d’Auteur (ONDA), et après dépositions signées par chacun, après aussi, la convocation de Mme Veuve Taleb Bendiab et sa déposition au commissariat central de Bel-Abbès. Après cette procédure ordonnée par le Procureur de la République, le Juge d’Instruction décide le 25 juillet 2007 d’instruire l’affaire au Tribunal Pénal.  


Première instance : (en date du 30 décembre 2007)

 Jugement en première audience prononcé le 03 mars 2008, le Ministère Public (représenté par le Procureur de la République) ayant requis une amende de 1 million de dinars algérien ( ~ 10 000 euros) contre Benmansour Sabéha, la partie civile que je représente ayant réclamé 01 Da symbolique (~ 0,01 euro) pour l’utilisation illégale et illicite du patronyme Dib. La juge d’audience ayant demandé à l’ONDA de se constituer étant plus habilité à défendre l’intérêt des ayants droits (les héritiers directs) relativement à la publication d’extraits des œuvres de feu Mohammed Dib.

L’ONDA qui lors de la procédure judiciaire a été convoqué au commissariat central de Tlemcen pour faire sa déposition, suite à la requête du Procureur de la République, a affirmé devant la juge d’audience l’illégalité totale de l’utilisation du nom de l’auteur sans acte notarié ainsi que de l’utilisation de l’œuvre, néanmoins prétextant un écrit des héritiers directs de feu Mohammed Dib pour une intervention de l’ONDA à l’effet de mettre un terme à cette imposture.

Le jugement prononcé en première Instance est : l’innocence de Mme Benmansour Sabéha.

Ayant pris en compte les propos de l’ONDA, j’ai avisé les ayants droits qui ont formulé le 30 décembre 2008, par écrit certifié à l’ONDA, Office National de protection des Droits d’Auteur et droits voisins, Agence de Tlemcen et Direction Générale Alger, avec recommandée et accusé de réception que nul ne pouvait disposer des droits d’auteurs qui restaient leur propriété incontestable et absolue, ainsi toute utilisation du nom de l’auteur et de son œuvre reste soumise aux textes de loi relatifs à la protection des droits d’auteurs.

La justice ayant qualifié cette affaire par les articles de loi relatifs à la contre- façon, et atteinte aux droits d’auteur, a statué par manque de preuves, malgré que Mme Benmansour Sabéha a reconnu dans sa déposition au commissariat central de Tlemcen, les faits reprochés, à savoir l’utilisation du nom de l’écrivain et la publication des extraits de son œuvre revendus à 2 Euro (selon son affirmation) par une maison d’édition basée en France et, la création du Site Internet www.fondation-dib.com,  moi-même ayant déposé les éléments relatifs aux faits reprochés, cela au commissariat central de Tlemcen, de même qu’une déposition a été faite par la sœur du défunt au niveau du commissariat de Bel-Abbès.

Appel de la décision première Instance au niveau de la Cour de Tlemcen /(introduit en date du 05 mars 2008)

L’ONDA ayant été appelé comme témoin à la barre en première audience, ne s’est pas présenté à l’appel introduit relatif au premier verdict, ce malgré la convocation émise par la Cour de Tlemcen et, la lettre certifiée des ayants droits, portant cachet de l’ONDA qui en a accusé réception, lettre datée du 30 décembre 2008, appel en date du 27 janvier 2009.

La conclusion de l’Appel confirme le verdict de la première instance, Mme Benmansour Sabéha, après avoir affirmé en première instance que des fonds générés par les ventes de la revue "Rencontres", auteur "Fondation Dib", sont détenus par la maison d'édition IdLivre, en France,   a nié les faits reprochés en appel et affirmé qu’elle est Présidente d’une association activant sous le nom de “La Grande Maison et non sous le nom de “Mohammed Dib“, ainsi il n’y a aucune trace de la création par Mme Benmansour Sabéha d’une Fondation Mohammed Dib ou d'une Fondation Dib. La partie civile (représentée par M. Fayçal Dib) n’étant pas arrivée à produire la preuve de l’utilisation du nom Fondation Mohammed Dib.

Le Procureur de la République représentant le Ministère Public ayant demandé l’application de la loi relative aux droits d’auteurs.

Après m’être déplacé à l’agence de l’ONDA Tlemcen, juste après avoir quitté l’enceinte de la Cour de Tlemcen, le jour même, le 27 janvier 2009 à 11h du matin, pour m’enquérir de l’absence du Directeur M. Benama Mohamed, ce dernier, bien dans son bureau, m’apprend que l’ONDA a établi un écrit destiné à toutes les maisons d’éditions algériennes les mettant en garde contre toute publication des extraits de l’œuvre de feu Mohammed Dib par une Fondation Dib ou Fondation Mohammed Dib qui n’a pas d’existence juridique légale.
Par contre aucune explication sur l’absence de l’ONDA ne m’a été donnée, l’ONDA étant témoin dans cette affaire, ayant eu un dossier contenant toutes les preuves relatives à l’activité illicite au nom de la Fondation imaginaire: des extraits de la revue mensuelle portant photographie de feu Mohammed Dib en couverture et nom d’auteur La Fondation Dib, d'une copie intégrale du site www.Fondation-Dib.com avant sa suppression et son remplacement par un autre site portant la même adresse Web, des sites Internet et leurs adresses Web qui mettent en vente les publications de la Fondation imaginaire. En connaissance dans les moindres détails de l’affaire judiciaire et des dépositions de chacun, M. Benama Mohamed ayant entendu lors de la première instance Mme Benmansour Sabéha reconnaître devant la juge d’audience avoir vendu des extraits des œuvres de feu Mohammed Dib. Moi même ayant affirmé qu'à l'adresse indiquée par Mme Benmansour Sabéha, concernant le siège de la Fondation Dib ou Fondation Mohammed Dib, il n'existe qu'une association culturelle régionale du nom d'association culturelle la grande maison, photographie à l'appui.

Sommes-nous en droit de nous questionner sur la protection  fictive qu’offre l’ONDA à nos auteurs algériens ?, que pourrait, alors, offrir cet office aux auteurs étrangers quant à la garantie de protection des droits d’auteur et aux conventions établies avec les organismes de protections étrangers, cela en référence à la Loi qui elle existe bien, parfaite, mais a quoi ne manque que son application.       

Loi n°03-17 du 9 Ramadhan 1424 correspondant au 4 novembre 2003 portant approbation de l’ordonnance n° 03-05 du 19 Joumada El Oula 1424 correspondant au 19  juillet 2003, relative à la protection des droits d’auteur. Un décret exécutif n°05-356 du 17 Chaabane 1426 correspondant au 21 septembre 2005, pris en application de l'ordonnance du 19 juillet 2003, relative aux droits d'auteur et aux droits voisins ayant pour objet:
- Le réaménagement des statuts, de l'organisation et du fonctionnement de l'Office national des droits d'auteur et des droits voisins (ONDA), à l'effet notamment, de mieux organiser les mesures de protection et de défense des intérêts moraux et matériels des auteurs et d'encourager la création d’œuvres
 Je rappelle que même les traductions (Voir onglet / Benmansour Sabéha et la définition de la fondation), d'une oeuvre ou de l'extrait d'une oeuvre, selon la loi sur les droits d’auteur, sont soumises à cette législation qui interdit formellement toute édition, publication et commercialisation en dehors du cadre réglementaire des droits d'auteur, droits reconnus et protégés à l'échelle nationale et internationale. (Art. 5 / Loi n°03-17 - / Voir onglet / Ordonnance relative aux droits d'auteur et droits voisins).

L’Inexistence de la Fondation Dib est un fait établi, la préférence de l’association culturelle la Grande Maison pour cette redénomination ne s’explique pas, l’association est soumise à la loi 90-31 que je n’ai pas besoin de rappeler, loi interdisant formellement une quelconque redénomination, le nom d’existence étant celui défini par l’agrément. De plus l’agrément étant délivré par le Wali (l’équivalent du Préfet) l’association est par conséquent régionale et ne peut prétendre à une activité hors des frontières de la wilaya. A cet effet, l’enseigne Fondation Mohammed Dib a été ôtée par les services de la Wilaya de Tlemcen et remplacée par l’enseigne Association Culturelle la Grande Maison.

 La dérive de l’association culturelle régionale la Grande Maison lèse profondément tous les artistes et auteurs d’œuvres, dont les droits et la garantie à leur protection s’en trouvent ainsi fragilisés par cette situation naissante, qui n’a d’équivalent nulle part.

Pour la famille Dib,
Fayçal Dib, neveu de Mohammed Dib.
                    Directeur Technique,  Ingénieur d’Etat.

5 juil. 2010

Hommage A Pierre Rossi et Révérence A Son Monument "Histoire Vraie Des Arabes"

Découvrir Pierre Rossi et son oeuvre magistrale "La Cité d'Isis, Histoire Vraie des Arabes" est une expérience dont il est difficile d'en décrire les sensations tant elle affecte une multitude de convictions et   bouleverse des certitudes que la "culture universelle" nous dicte et nous inculque. Combien de vérités historiques ont été imposées depuis des siècles par des scribes au service «de partis pris confessionnelles et politiques». Un exemple concernant l'hébraïsme, une mythologie associée à la fabrication de la race juive, fondement de l'idéologie raciste du sionisme.
 Cet ouvrage scientifique, un vrai séisme dans l'univers des légendes enseignées dans les écoles, et des nombreuses matières qui prêchent des certitudes scientifiques indéniables servant d'outils d'endoctrinement confessionnel et politique. Pierre Rossi démantèle
et remet en cause de manière radicale l'approche à la méthodologie de la connaissance et de ses branches qui inter agissent, aussi vastes que l'archéologie, l'ethnologie, l'histoire.  La manipulation et la distorsion de l'histoire est connue et nombre d'écrivains la dénoncent, mais très peu ont pénétré les fondements et les mécanismes et disséqué les étapes de l'entreprise de déception du scientisme, ou religion de la science.  Pierre Rossi dévoile cette mystification des sciences, dans un discours révélateur du contexte des débats d'actualité sur les choix de civilisation que les forces judéo-sionistes imposent aux destinés de l'humanité à travers le projet occulte et subversif du Nouvel Ordre Mondial.
La lecture impérieuse de l'ouvrage est plus que recommandée, spécialement pour les "apologistes" de la culture occidentale qui vont mendier une reconnaissance de leur assiduité à digérer et assimiler les utopies diffusées par les tenants de l'hégémonie mondiale talmude. Ces remarques visent les écrivains et auteurs littéraires, qui par leur servitude ( cas de la francophonie) et leur adhésion aveugle aux doctrines erronées publiées, destinées à la propagande et à l'aliénation. Pire, ils consentent à remplir la fonction de caisse de résonance modulée à distance, et deviennent des partisans et militants de vues contrefaites de notre propre histoire et véhiculent à leur tour des abstractions qui corrompent et empêchent la diffusion du savoir fondé sur les faits réels et la vérité, non sur l'indigestion de calomnies "scientifiques".
Le mot "Arabe" et tout ce qu'il évoque fut pris en otage par les alchimistes juifs, maitres de l'imprimerie et des média (voir le rôle de Hollywood dans le cinéma), pour le charger de préjugés, stéréotypes, euphémismes, tous dévalorisants et diffamatoires. Une offensive  millénaire qui a tissé un filet de perceptions erronées dans la pensée de l'occident et plus déplorable,  a influencé des générations de "réformateurs" arabes. Réformateurs séduits par le modernisme et l'avancé technique et scientifique des puissances militaires européennes qui, à travers le colonialisme, avaient pris en main les destinées de la civilisation arabe.  L'éducation prenant le relais du fusil, le combat s'est transformé en une lutte pour l'esprit et l'âme de l'intellectuel arabe, graduellement recyclé en agent servile de la culture du vainqueur. Les fruits de cette entreprise subtile sont aujourd'hui mûres et près pour la grande distribution. Il suffit de lire les insultes et les diatribes des Larbi, Messaoud,  Da Said et autres "Arab" contre la culture arabe et par prolongement, contre le message de l'Islam. Sous des accoutrements raffinés et une approche plus subtile, les nouveaux recrus de la culture "universelle" judéo-chrétienne (écrivains et auteurs du Maghreb), adoptent allégrement ce concept fictif confectionné par le sionisme qui dissimule ses prolongements idéologiques. En Algérie, les premières couvées de la francophonie, produites par "hybridation" coloniale, ont livré plusieurs espèces de perroquets dont le riche vocabulaire atteint des milliers de mots, s'ajoutant à ceux des dictionnaires. Certains élèves des missions chrétiennes ont parallèlement adopté la confession de leurs maitres d'école, d'autres moins engagés dans leur "modernisation", sont devenus adeptes des philosophies et utopies de la puissance culturelle  dominante. Les loges maçonniques aidant et perpétuaient l'allégeance de la "fraternité" au dogme de l'internationale socialiste dans un premier stade (19-20 eme siècle), puis à celle de la laïcité, dans un second (après la déconvenue du communisme). Toutes obédience confondues, toujours sous la supervision et le regard bienveillant du judéo-talmudisme-sionisme international, nombre d'intellectuels sont devenus, en bons oiseaux imitateurs, des fervents prosélytes des idéologies de la démocratie modulable occidentale, de la tolérance religieuse et de la confusion des genres (calamité visant l'anéantissement de l'humanité, et que les lois renégates du "monde civilisé" protègent, au point de condamner ceux qui la dénoncent, de discrimination et d'homophobie). Voir à ce propos "Le Manifeste des Libertés", site disponible pour une revue de la laïcité et des signataires du manifeste: 90 % de juifs Séfarades et Ashkénazes  ! Rendez-vous au passage à LHD-Toulon, pour un complément de la  revue. 
Le terme de perroquet est lié à la faculté de répéter les mots sans en saisir le sens. Encyclopédie "wikipédia", en ligne,  nous offre (Lien): 
« Le terme perroquet désigne d'une manière générique l'ensemble des espèces d'oiseaux de l'ordre des Psittaciformes.... Cette catégorie d'oiseaux est connue du grand public pour la faculté de certains spécimens d'imitation de la voix humaine, d'où l'expression commune "perroquet" désignant une personne répétant les mots de quelqu'un d'autre.
Dans un prochain article, une séance d'observation des perroquets sillonant le ciel littéraire algérien sera tentée. La tentative précédente d'étude de ces bêtes à plumage (ornithologie) était très superficielle et n'a qu'effleuré le sujet, uniquement sous l'angle historique (article de ce blog). Deux spécimens y sont mentionnés, Kamel DaÔud et Mourad Yelles (dit "Son fils"), deux oiseaux rares de l'ordre royal des perruches qui seront prochainement l'objet de plus d'attention. Et si la chance est au rendez vous, d'autres perroquets pourraient surgir de leur refuge et éveiller notre curiosité.
A bientôt, donc !     
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Opinion : Une éloge posthume du professeur Pierre Rossi relève du devoir et de l'obligation des honnêtes chercheurs et défenseurs de la connaissance et de la vérité. Il est révoltant de constater l'anonymat qui entoure son travail lorsqu'on mesure la pertinence qui marque le sujet qu'il élucide. Mais il est normal qu'il soit intentionnellement ignoré par les rédactions mobilisées en d'autres lieux et sont régies par l'agenda  des idéologies utopiques, de l'islamo-phobie, et l'exacerbation des divergences ou conflits  régionaux.  Les partenaires de l'instauration du NOM-NWO doivent détester la confrontation aux idées et arguments contrariant leurs mythes et actes de foi, la judéo-chrétienté et l'hébraïsme racial.  Le message authentiquement humaniste du professeur Rossi:

«Quand nous aurons appris à peser l'exact poids des mondes qui nous entourent, nous découvrirons peut être, outre la vraie fraternité, tout à la fois nos horizons et nos limites.»
est dérangeant et fatal pour la doctrine du "clash des civilisations"  en préparation.  Aujourd'hui absente des débats, son œuvre devrait être inclue dans le cursus scolaire de l'éducation, tant sa justesse et son bien-fondé sont d'actualité. Pour ne pas dire devrait être célébrée, dans le monde....musulmano-chrétien.
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2 juil. 2010

Littérature Algérienne Francophile. Offensive Et Subversion De La Laicité.

La culture algérienne d'expression française est prise en otage par des groupes subversifs affiliés aux organisations et associations du Nouvel Ordre Mondial (NOM-NWO). Tel est le constat alarmant, que l'examen des écrits publiés sur le Net par une majorité de nos écrivains, journalistes et hommes de lettre, permet de faire. Une affirmation au premier abord surprenante, mais bien réelle, perceptible à travers la majorité de la production littéraire locale qui échoue sur les rives de ce support médiatique, objet de toutes les convoitises dont celles attentionnées de l'hégémonie juive-sioniste. Les innocents et naïfs internautes qui découvrent le web et s'imaginent que l'indépendance apparente dans le choix et l'accès aux sites qu'ils consultent les immunisent de toute manipulation, devraient impérativement se débarrasser de leurs illusions: le web est un outil de manipulation de l'opinion, de propagande, d'intox,  très puissant.   Il permet aux conspirateurs éternels, les tenants du Nouvel Ordre Mondial de moduler et d'orienter, à grande échelle, la pensée et l'opinion des nations. Pour accomplir cette tâche titanesque, les banquiers juifs,  haute hiérarchie du NWO,  ont conçu un plan de travail étalé sur plusieurs siècles et qui mobilise des ressources humaines importantes. Un résumé concis et éloquent de ce plan est "Les Protocoles Des Sages De Sion". Qui n'a pas lu ce manuel de la conspiration juive-talmude ne peut prétendre appréhender même superficiellement le phénomène du complot diabolique élaboré pour réduire l'humanité à l'esclavage. Tout a été plannifié et programmé : les génocides, les guerres mondiales, les pandémies contrôlées, la faillite économique, la dégénérescence des mœurs,  la corruption de la moralité,  l'anéantissement de la religion et  de la croyance en Allah (athéisme de circonstance pour faire "moderne" et "civilisé".) Ce complot se déroule devant nous, mais le conditionnement vécu à travers l'éducation, la culture ambiante, les média et le mensonge permanent des idéologies et des utopies brouille notre perception de la vérité
Un facteur de réussite du stratagème judéo-talmude est basé sur le recrutement d'associés et de complices dans les associations fraternelles internationales, les loges maçonniques. Tous les observateurs internationaux et les historiens avertis qui dénoncent l'instauration de la tyrannie des banquiers, pointent le doigt vers cette infrastructure d'organisations, institutions, associations, fonds,
assemblées, partis politiques, gouvernements, qui réunissent les "chers frères et sœurs", les "idiots utiles ", exécutants des basses besognes de l'oligarchie juive. L'homme sous l'angle des sciences humaines en général et des connaissances empiriques, a été disséqué sous l'œil pénétrant des juifs qui conclurent en la loi suivante: l'individu et ses faiblesses, est semblable à un instrument 
à cordes, qu'il suffit de trouver la corde propice (fibre intérieure) et la faire vibrer pour qu'il (l'individu) se plie à la partition du maitre kosher. Les cordes: l'adoration des richesses, le vice multiforme, la gloire, l'immunité devant la loi, le pouvoir politique (mégalomanie), etc, etc... On pourrait dire qu'il y a autant de défauts dans l'homme qu'il y a d'individus sur Terre ! Il suffit d'observer patiemment les comportements, les tendances, les penchants, jusqu'à trouver la faille dans la forteresse dont s'entoure l'individu pour protéger son intimité. Les loges maçonniques tendent leurs filets et "recrutent". Un candidat potentiel, sous supervision d'un sponsor, est examiné. Si favorablement noté, il accuse son premier compromis : un sermon (mignon secret). Ceci marque sa soumission à "l'ordre". Son entrée dans la nouvelle religion se fait à son insu car l'inconscient est souvent piégé par la vitrine alléchante de l'organisation qui vante sa philosophie de tolérance, de fraternité, d'égalité, des abstractions et utopies promues par l'éternel prédateur juif. La malheureuse victime (consentante) est immergée dans les sables mouvants du matérialisme primitif, pris à la gorge par le chantage auquel il s'expose. S'étant compromis en dénudant ses faiblesses et en satisfaisant ses penchants, il s'embarque sur le navire de la perdition.
Les fondements réels du culte qu'il a embrassé ne lui sont jamais dévoilés, sinon à un stade avancée de sa promotion.Pour lui s'annoncent toutes les calamités condamnées par Dieu et Ses Prophètes : la complicité douteuse, la trahison, la collusion illégale, la corruption, le détournement illicite, le faux témoignage, les mensonges, la débauche morale, les vices, et pour les meilleurs élèves, l'athéisme et le blasphème irrémédiable. La pente de la décadence draine son lot d'intéressés, les tamââyin, vers la ruine totale.  Une citation (Lien) résume la tragédie:
« Plus la vie est agréable et douce et enchanteresse, plus horrible est l'idée de la perdre. Et c'est ainsi que se corrompent les cultures et que viennent les décadences» . 
L'avertissement à lancer à ces "idiots utiles" consiste :
-premièrement, à les réveiller d'abord de leur folie des grandeurs, les loges leur injectant le venin de l'illusion, celui du postulat que la grande famille maçonnique est  une race supérieure appelée à gouverner la planète , et 
-deuxièmement, à les diriger vers des sources fiables d'information où ils puissent s'éduquer, s'instruire et découvrir le tort qu'ils s'occasionnent en troquant leur âme pour les plaisir de ce bas Monde (Lien éducatif).   
Laïcisme: La porte grande ouverte sur la dépravation et l'immoralité. 
Ce phénomène est perceptible dans la littérature dite de langue française ou francophone( pour distinguer celle des Francophones-Français et celle des francophones-singes-Français). Par singes, il faut comprendre ceux qui écrivent en Français dans le but de s'attirer le plaisir de l'ex-colonisateur Français et mériter la promotion au rang d'enfant adopté de la culture française( pas parce qu'ils sont de père inconnu, mais parce qu'ils sont culturellement orphelins) . J'écris en Français mais pense comme un Arabe. Libéré du colonialisme, j'ai hérité (butin de guerre) du Français comme moyen d'accès au savoir universel multidisciplinaire. (Savoir récupéré, car traduit et diffusé après avoir été détourné des archives Arabes.) J'utilise le Français, et non le contraire. 
Les singes-Français eux, peuvent être arabes, kabyles, nord- africains, ex-colonisés, algériens post-indépendance allaités et intoxiqués par le biberon de la culture française, les amoureux de la France qui n'arrivent pas à se libérer de l'envoutement de la culture populaire "pastis-Noël-14 Juillet", les fervents fidèles à l'histoire de leurs "ancêtres les Gaulois".
La singerie concernent ceux utilisant la langue dans un cadre professionnel, journalistes et écrivains, et le qualificatif de singe leur échoit pour plusieurs raisons :
-1- la fausse perception, que leur utilisation de la langue est un billet sans retour vers une promotion culturelle-sociale--politique- civilisationelle, d'un palier local en aval(dans ce cas arabo-berbère), vers un en amont (français).
-2- l'adoption, lors de l'apprentissage de la langue française, de toutes les valeurs philosophiques-sociales-historiques-religieuses,  de la "croyance" en liberté-égalité-fraternité, ou l'adhésion au culte de la laïcité baisse-culotte. Ces nouvelles convictions (pensées et vœux du coeur) de diverse nature,  déclarées par écrit, appellent et nécessitent une homologation ou un certificat de conformité. Ce qui explique la ferveur de ces quadripèdes pour les "prix internationaux", porte vers l'authenticité, tels les élèves qui aspirent aux "bons points" comme signe du bon dénouement de leurs études et une récompense à leurs efforts. Jouant le jeu, les média, le monde littéraire et les critiques de France distribuent les bons points, et les homologations à profusion, faisant des jaloux parmi les Français-Français.
 Les déconvenues : 
Toutes les  récompenses, l'exception faisant la règle, sont décernées sur la base de critères autres que littéraires. La critique littéraire endosse la fonction de juge des bonnes causes, celles que les ONG onusiennes et étasuniennes brandissent sélectivement contre ceux qui n'ont pas renoncé à leur souveraineté nationale et livré leur avenir aux mains du Nouvel Ordre Mondial Juif, à l'hypocrisie et la supercheries des "droits de l'homme", des "libertés individuelles", de "l'égalité des droits des femmes", de la "lutte contre le terrorisme". Heureusement, l'opinion internationale se réveille et graduellement prend conscience de l'imposture de ces fables , outil de propagande justifiant les guerres de colonisation en terre d'Islam.
   Vrais mercenaires de la plume, nombre d'écrivains algériens en exil (doré) ou ceux localement, embusqués dans les cercles littéraires, se prêtent volontairement au plan dressé par les stratèges judéo-sionistes du NWO. Cette Ordre (dont beaucoup sont membres par le biais des loges maçonniques !!) les gratifie généreusement, en accordant une promotion médiatique excessive, et des privilèges illimités à la diffusion de leurs "œuvres". D'autres Algériens à la pointe  de la recherche scientique et la technologie de haut niveau, parfois même pionniers dans des découvertes capitales, sont ignorés des média et intentionnellement écartés de la vue de l'opinion. 
Eux, dérangent les stéréotypes et les préjugés habilement construits par la propagande juive talmude . Les débats sur le terrorisme est mieux adapté au "clash", entendre contre l'Islam et les Musulmans, et ces écrivains jouant le rôle de catalyseur de la discorde, d'agents provocateurs, chacun selon son profil : politique, littéraire, activiste
des droits des minorités, etc.... 
Coincidence ou hasard, tous militants au sein des ONG, groupes laïques, associations humanitaires ! (Voir articles -Lien1, Lien2, Lien3, Lien4, à propos de Boualem Sansal, Yazid Haddar, Ahmed Benbitour, Wassila Tamzali,  et autres militants de la "démocratie").
Un personnage particulier qui émerge graduellement dans la "nébuleuse" est Kamel Daoud, personnage dont la réputation est depuis quelques années seulement, étrangement polie et lustrée par le douteux monde littéraire. Sommes-nous témoins de l'apparition d'un génie littéraire de la francophonie ? Question à débattre.
Qui est-il, et qu'a-t-il accompli pour mériter cette montée vertigineuse ? Combien fiers serions-nous de découvrir un chérubin de l'école algérienne qui a maté la langue de Molière sans même vivre la présence de la culture française en Algérie et qui l'a donc amadoué et domestiquée "dans sa tête", grâce à une simulation neuronale "in vitro", la prouesse que peu de logicielles informatiques de simulation accomplissent.
«Ces simulations informatiques sont rapidement devenues incontournables pour la modélisation des systèmes naturels en physique, chimie et biologie, mais également des systèmes humains en économie et en science sociale » (wikipedia). 
Un bref profile de l'Homme : 
--Asso-lagrandemaison de Tlemcen:«Kamel DAOUD est un journaliste; Chroniqueur-reporter, né le 17 juin 1970 à Mostaganem. Après l'obtention d'une licence en Langue Française en 1993, à l'Université d'Es-Sénia - Oran,
il prépare actuellement une thèse de Magister. En 1995, il est recruté comme journaliste au "Quotidien d'Oran" et en seulement quatre années de métier, il gravit tout les échelons jusqu'a devenir Rédacteur en Chef. Considéré comme la plume la plus talentueuse de la presse écrite, ce passionné d'Analyses politiques, économiques, d'histoire et de littérature a réussi avec son œuvre "L'Arabe et le Vaste Pays de Ô" a suscité l’enthousiasme général et même une sincère admiration de la part des membres du Jury du prix Littéraire Mohammed DIB qui l’ont couronné pour cette session 2008.» 
Prière lire article au Lien (blog de Gadiri), concernant les démêlées judiciaires de la "fondation" avec la famille Dib!! Eloquent !!
Notons la présentation opportune de l'écrivain par la fondation, lors de la remise du Prix. Elle démontre la perspicacité incisive de la "grandemaison" à affirmer et prouver son jugement tranchant dans l'appréciation des étalons littéraires, une qualité que lui envierait les grandes-maisons européennes, toutes obédiences confondues. Signalons également l'assiduité de notre génie qui s'est refusé à décrocher sa licence en langue française en moins de 5 années d'université, démontrant son perfectionnisme dans les tâches qu'il entreprend. Souhaitons lui bonne chance pour son magister qu'il insiste à recevoir qu'après pas-moins-de-15 ans de recherche approfondie. L'intégrité et la grandeur de l'homme n'a d'égale que les dimensions du chèèèèque que lui remet la Fondation Dib ! Applaudissons ce pilier de la renaissance culturelle francophone !
Emerveillons-nous devant l'éventail des sujets qu'il maitrise,  politiques, économiques, d'histoire et de littérature !!!!! 
Derrière notre pigiste se dissimule un encyclopédiste que le Monde s'impatiente de découvrir.
-Lematindz : «Notre confrère du Quotidien d’Oran, Kamel Daoud, l’une des plus talentueuses plumes de la presse nationale, s’est vu décerner aujourd’hui samedi le prix littéraire Mohammed Dib qui récompense les « œuvres d’écriture. »(Eloge de la La feuille de choux de notre ami L'imposteur Benchicou, )
- Mourad Yelles (Universitaire et Asso-lagrandemaison de Tlemcen) confirme le bon choix de la fondation. 
Un défenseur de la tolérance et de laicité, Yelles a des vues très appréciées au sein de la mouvance "démocratique" supranationale, même l'ignoble Jacques Attali en sait quelque chose ayant trouvé en Yelles un fervent admirateur du dialogue inter-religieux (Lien reprenant un article du cheval de Troie, El Watan- ). 
il écrit sur le même site (Lien) :  
«Même si elle n’a pas encore suscité les réactions et commentaires variés et nombreux que l’on se serait attendu à lire ou à entendre à travers les différents canaux médiatiques du pays, la récente remise du prix Mohammed Dib à l’écrivain et journaliste Kamel Daoud n’en apparaît pas moins comme l’un des évènements majeurs de la saison littéraire nationale.» Modeste Mourad ! C'est "internationale" qu'il faut lire bien sûr !
sans oublier la générosité des sponsors (à commencer par le Ministère de l’Energie et la Sonatrach) , le jury international en charge de l’évaluation des candidatures est à présent à même de mener un travail de plus en plus performant pour la promotion des énergies créatrices dans le champ littéraire algérien.» 
 Mr Chakib khellil qu'on accuse de défaillance dans la gestion des recettes du pays,  marque ici un point contre ses détracteurs, les énergies renouvelables neuronales ont toujours fait l'objet de ses préoccupations et initiatives louables. Lui-même homme de culture, ayant "chèrement" démontré son enthousiasme pour les arts, lors de l'inauguration des chambres à gaz géonocidaires des finances publiques ou festival-conférence d'Oran, une entreprise qui a failli tourner la ville en un grand pôle culturel et touristique mondial, détrônant Cannes, sans la malencontreuse irruption volcanique islandaise. Peut être trouvera-t-il paix et refuge dans la grandemaison de sa ville natale, si seulement les envieux (la cour des comptes) qui hantent ses cauchemars le laissent jouir des bienfaits "mérités"de sa retraite forcée et pas les "travaux forcés".
-Mourad "Sonfils" (quolibet affectueux pour faire plus français):  
«Kamel Daoud : Une fable baroque au vaste pays des Iles».
A quoi "Sonfils" fait allusion n'est pas clair. La musique? La littérature? L'architecture  ? La sculpture ? Peut être tout à la fois. Lui même cultivé ,"Sonfils" nous donne un aperçu de sa maitrise du verbe : «Ce qui frappe d’emblée, à la lecture des deux textes édités par Dar El Gharb (La Fable du nain, 2003 ; Ô Pharaon, 2004) ainsi que du manuscrit primé cette année (L’Arabe et le vaste pays de Ô), c’est la présence d’un univers intérieur à la fÔis fÔrt et structuré. A l’évidence, Ôn ne pénètre pas sans cÔnséquences dans ce mÔnde puissant et sÔuvent vertigineux. Ôn n’en sÔrt pas indemne nÔn plus. Kamel DaÔud n’est pas de ces écrivains qui laissent une chance au lecteur naïf de musarder sur des chemins buissÔnniers Ôu qui lui dÔnne charitablement l’ÔccasiÔn de se divertir au détÔur de quelques métaphÔres hÔspitalières. Il est de la race des bracÔnniers et autres cÔupeurs de rÔute qui n’hésitent pas à viÔlenter et à rançÔnner (pÔur la bÔnne cause, ainsi que nÔus le verrÔns plus lÔin) les innÔcents prÔmeneurs égarés. Serait-ce dÔnc là une littérature de l’agressiÔn gratuite et du sadisme cynique (dÔnt l’éditiÔn française, pÔur ne pas la citer, nÔus fÔurnit régulièrement des échantillÔns d’une rare efficacité !) ? Sans dÔute faudrait-il parler ici d’une « écriture de la cruauté ».  
Décidément cette lettre là affecte la vision. 
 Ôu est-ce l'imaginatiÔn ? Peut être une fÔrme d'ÔbsessiÔn ?
(5 minutes plus tard et quelques instillations oculaires).
Braconnier, agression, coupeur de routes, sadisme, "ô", notre critique sort-il du baroque et nous entraine-t-il dans les labyrinthes  de la psychologie ? Ou sommes-nous face au Baroquisme freudien à l'épreuve des fables de 
la Lafontaine ? Si ! Si! Lafontaine, et Daoud nous en donne une transposition remarquable dans " Les Rats Et Les Chacals". Mais Daoud  préfère lui s'identifier au patient plutôt qu'au médecin, dans  «Mr Kamel Rend Hommage à Baya» (Lien) : «Sans cela, on ne s'expliquera  jamais la proximité immédiate qui était le don humain de cette femme, dans une profession qui collectionne les névroses comme des caprices de caractère et de métier. » Miraculeusement Daoud découvre le mal affligeant la littérature et son diagnostic (Voir exemple dans "plus Info" ci-joint) , le situe à mi-chemin vers la guérison. Pour l'aider, guidons ses pas et énumérons les effets de la névrose :
«Le terme névrose désigne des troubles de la personnalité sans lésion organique démontrable. De plus, le sujet reste conscient de sa maladie et vit dans la réalité.»(wikipedia)
«Pour l'un et l'autre il désigne toutes maladies du système nerveux sans base organique connue
«Dans l'optique freudienne au sens rigoureux du terme :
-Le symptôme est l'expression symbolique d'un conflit psychique ;
-Ce conflit demeure intrapsychique limité entre le Surmoi et le ça à l'intérieur du moi ;
-Le symptôme est un compromis entre la pulsion et la défense qui s'y trouve opposée ;
-La fixation et la régression n'ont qu'un caractère partiel ;
-La libido (le persistant Ô) conserve sa problématique objectale et n'est jamais totalement désinvestie ;
-La réalité est déformée dans le fantasme et non niée.»
Ôn ne peut que cÔmpatir avec ces prÔfessiÔnnels de la littérature, au vue des risques prÔfessionnels auquel ils sÔnt expÔsés, la manipulatiÔn de l'alphabet s'avère plus tÔxique que celui des barres d'uranium enrichi, pire les effets ne sÔnt pas Ôrganiquement décelables !

-Minute, Ça reprend ! 
-Je vÔus quitte pÔur le mÔment. Et vÔus dis à bientÔt ! 
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Névrose