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7 juil. 2010

Les Dessous de La Culture et le Génie de Nos Erudits Francophiles.


Note: Les juifs -talmudes américains peuvent se vanter de posséder des génies (jinns) de la finance, tel ce fameux Maddof.
La notoriété de Wall street est en déclin, il y a chez nous des petites maisons et des ateliers qui se font une place au soleil et qui étonnent par leur ingéniosité commerciale :
le ponzi scheme littéraire. 

                Monsieur  le  Procureur de la République de Tlemcen,

Nous avons l’honneur de venir déposer plainte pour préjudice moral profond, contre Mme BENMANSOUR Sabéha née BENKALFATE, Présidente de l’association culturelle régionale « la grande maison ».

Cette plainte est relative à l’utilisation illégale de notre nom de famille DIB et ce, par le fait que l’association culturelle ayant agrément de la Wilaya de Tlemcen, avec dénomination juridique : « association culturelle la grande maison », se soit redénommée, depuis 2001, Fondation DIB et Fondation Mohammed DIB sans qu’un nouvel agrément des autorités compétentes (information confirmée par la Wilaya de Tlemcen en 2005) vienne justifier ce nouveau statut juridique qui rentre ainsi dans le cadre d’une activité clandestine ; pour M. le WALI de Tlemcen : « il n’existe pas de Fondation DIB » . De plus, une Fondation devant son existence juridique à une affectation irrévocable de biens droits ou ressources (Habous ou Waqf en droit musulman),  or feu M. Mohammed DIB n’avait fait et n’a laissé aucun legs à Mme BENMANSOUR Sabéha née BENKALFATE.

Sous le nom juridique et sous la forme clandestine de Fondation DIB Mme BENMANSOUR Sabéha née BENKALFATE active depuis 2001, et ce,  en prenant de l’ampleur, en :

-          L’an 2003 : par la publication de revues intitulées "Rencontres", auteur : "Fondation DIB" mises en vente depuis 2003 au travers du réseau Internet à 2,95 euro et 3.95 dollars, et dont le partenaire éditorial:  IDLIVRE, partenaire étranger activant hors de la Wilaya de Tlemcen, en France, pour le compte de l'association culturelle régionale.
-          en l’an 2004 : par la création d’un site internet « Fondation DIB »  site web : www.fondation-dib.com  conçu en 2004 par la société médiaWeb, dont le Gérant est M. DENDANE et, utilisant les informations données par Mme BENMANSOUR Sabéha.
-          en l’An 2006 : par les différents articles de la presse nationale, publiés depuis 2002 et, dont le dernier date du 02 mai 2006 rédigé sur El-Watan par M. C. BERRIAH et ce, malgré le démenti de la famille DIB qui date du 06 octobre 2005 sur le même journal.

 Mme BENMANSOUR Sabéha née BENKALFATE n’a pas d’autorisation du défunt pour l’utilisation de son nom et de son prénom,
- la famille DIB, blessée, ne tolère pas les abus et manipulations dont fait objet son nom,
- la famille DIB, par voie de presse et, sur le journal national « Djazaïr News » en date du 06 mars 2006, a averti Mme BENMANSOUR Sabéha quant aux actions en justice dont elle ferait l’objet si elle ne mettait pas un terme définitif à l’utilisation du nom DIB ce, en vain.

Aujourd’hui la famille DIB, suite au préjudice moral, profond, causé par cette imposture qui a dépassé nos frontières vient demander et,  par voie de justice, de mettre un terme définitif à l’utilisation illégale de son patronyme, n’ayant de choix qu’au travers du chemin de la justice, à laquelle elle s’en remet, confiante quant aux Institutions de sa Patrie.

Veuillez agréer, Monsieur le Procureur de la République de Tlemcen, l’expression de notre parfaite considération.                                                                          

                       Pour  la Famille DIB.

                                                                                                                 
                       M.   Fayçal DIB                                                  Signé:   Fayçal Dib          
Signé:  Taleb Bendiab Khadidja née Dib
                                                                            
                                                          Directeur Technique.
                                                Neveu de feu M. Mohammed DIB.

Copies adressées :  - M. le Ministre de l’Intérieur et des Collectivités Locales.
                                - M. le Ministre Délégué auprès du Ministère de l’Intérieur.
                                - M. le Ministre de la Jeunesse et des Sports.
                                - M. le Directeur de la Culture de la Wilaya de Tlemcen.
                                - M. le Wali de la Wilaya de Tlemcen.
                                - M. le DRAG , wilaya de Tlemcen.  
                          
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Le 25 juillet 2007/ après convocations du commissariat central de Tlemcen adressées à M. Fayçal Dib (27/12/2006), Mme Benmansour Sabéha, et M. Benama Mohamed Directeur de l’Agence de Tlemcen de l’Office National des Droits d’Auteur (ONDA), et après dépositions signées par chacun, après aussi, la convocation de Mme Veuve Taleb Bendiab et sa déposition au commissariat central de Bel-Abbès. Après cette procédure ordonnée par le Procureur de la République, le Juge d’Instruction décide le 25 juillet 2007 d’instruire l’affaire au Tribunal Pénal.  


Première instance : (en date du 30 décembre 2007)

 Jugement en première audience prononcé le 03 mars 2008, le Ministère Public (représenté par le Procureur de la République) ayant requis une amende de 1 million de dinars algérien ( ~ 10 000 euros) contre Benmansour Sabéha, la partie civile que je représente ayant réclamé 01 Da symbolique (~ 0,01 euro) pour l’utilisation illégale et illicite du patronyme Dib. La juge d’audience ayant demandé à l’ONDA de se constituer étant plus habilité à défendre l’intérêt des ayants droits (les héritiers directs) relativement à la publication d’extraits des œuvres de feu Mohammed Dib.

L’ONDA qui lors de la procédure judiciaire a été convoqué au commissariat central de Tlemcen pour faire sa déposition, suite à la requête du Procureur de la République, a affirmé devant la juge d’audience l’illégalité totale de l’utilisation du nom de l’auteur sans acte notarié ainsi que de l’utilisation de l’œuvre, néanmoins prétextant un écrit des héritiers directs de feu Mohammed Dib pour une intervention de l’ONDA à l’effet de mettre un terme à cette imposture.

Le jugement prononcé en première Instance est : l’innocence de Mme Benmansour Sabéha.

Ayant pris en compte les propos de l’ONDA, j’ai avisé les ayants droits qui ont formulé le 30 décembre 2008, par écrit certifié à l’ONDA, Office National de protection des Droits d’Auteur et droits voisins, Agence de Tlemcen et Direction Générale Alger, avec recommandée et accusé de réception que nul ne pouvait disposer des droits d’auteurs qui restaient leur propriété incontestable et absolue, ainsi toute utilisation du nom de l’auteur et de son œuvre reste soumise aux textes de loi relatifs à la protection des droits d’auteurs.

La justice ayant qualifié cette affaire par les articles de loi relatifs à la contre- façon, et atteinte aux droits d’auteur, a statué par manque de preuves, malgré que Mme Benmansour Sabéha a reconnu dans sa déposition au commissariat central de Tlemcen, les faits reprochés, à savoir l’utilisation du nom de l’écrivain et la publication des extraits de son œuvre revendus à 2 Euro (selon son affirmation) par une maison d’édition basée en France et, la création du Site Internet www.fondation-dib.com,  moi-même ayant déposé les éléments relatifs aux faits reprochés, cela au commissariat central de Tlemcen, de même qu’une déposition a été faite par la sœur du défunt au niveau du commissariat de Bel-Abbès.

Appel de la décision première Instance au niveau de la Cour de Tlemcen /(introduit en date du 05 mars 2008)

L’ONDA ayant été appelé comme témoin à la barre en première audience, ne s’est pas présenté à l’appel introduit relatif au premier verdict, ce malgré la convocation émise par la Cour de Tlemcen et, la lettre certifiée des ayants droits, portant cachet de l’ONDA qui en a accusé réception, lettre datée du 30 décembre 2008, appel en date du 27 janvier 2009.

La conclusion de l’Appel confirme le verdict de la première instance, Mme Benmansour Sabéha, après avoir affirmé en première instance que des fonds générés par les ventes de la revue "Rencontres", auteur "Fondation Dib", sont détenus par la maison d'édition IdLivre, en France,   a nié les faits reprochés en appel et affirmé qu’elle est Présidente d’une association activant sous le nom de “La Grande Maison et non sous le nom de “Mohammed Dib“, ainsi il n’y a aucune trace de la création par Mme Benmansour Sabéha d’une Fondation Mohammed Dib ou d'une Fondation Dib. La partie civile (représentée par M. Fayçal Dib) n’étant pas arrivée à produire la preuve de l’utilisation du nom Fondation Mohammed Dib.

Le Procureur de la République représentant le Ministère Public ayant demandé l’application de la loi relative aux droits d’auteurs.

Après m’être déplacé à l’agence de l’ONDA Tlemcen, juste après avoir quitté l’enceinte de la Cour de Tlemcen, le jour même, le 27 janvier 2009 à 11h du matin, pour m’enquérir de l’absence du Directeur M. Benama Mohamed, ce dernier, bien dans son bureau, m’apprend que l’ONDA a établi un écrit destiné à toutes les maisons d’éditions algériennes les mettant en garde contre toute publication des extraits de l’œuvre de feu Mohammed Dib par une Fondation Dib ou Fondation Mohammed Dib qui n’a pas d’existence juridique légale.
Par contre aucune explication sur l’absence de l’ONDA ne m’a été donnée, l’ONDA étant témoin dans cette affaire, ayant eu un dossier contenant toutes les preuves relatives à l’activité illicite au nom de la Fondation imaginaire: des extraits de la revue mensuelle portant photographie de feu Mohammed Dib en couverture et nom d’auteur La Fondation Dib, d'une copie intégrale du site www.Fondation-Dib.com avant sa suppression et son remplacement par un autre site portant la même adresse Web, des sites Internet et leurs adresses Web qui mettent en vente les publications de la Fondation imaginaire. En connaissance dans les moindres détails de l’affaire judiciaire et des dépositions de chacun, M. Benama Mohamed ayant entendu lors de la première instance Mme Benmansour Sabéha reconnaître devant la juge d’audience avoir vendu des extraits des œuvres de feu Mohammed Dib. Moi même ayant affirmé qu'à l'adresse indiquée par Mme Benmansour Sabéha, concernant le siège de la Fondation Dib ou Fondation Mohammed Dib, il n'existe qu'une association culturelle régionale du nom d'association culturelle la grande maison, photographie à l'appui.

Sommes-nous en droit de nous questionner sur la protection  fictive qu’offre l’ONDA à nos auteurs algériens ?, que pourrait, alors, offrir cet office aux auteurs étrangers quant à la garantie de protection des droits d’auteur et aux conventions établies avec les organismes de protections étrangers, cela en référence à la Loi qui elle existe bien, parfaite, mais a quoi ne manque que son application.       

Loi n°03-17 du 9 Ramadhan 1424 correspondant au 4 novembre 2003 portant approbation de l’ordonnance n° 03-05 du 19 Joumada El Oula 1424 correspondant au 19  juillet 2003, relative à la protection des droits d’auteur. Un décret exécutif n°05-356 du 17 Chaabane 1426 correspondant au 21 septembre 2005, pris en application de l'ordonnance du 19 juillet 2003, relative aux droits d'auteur et aux droits voisins ayant pour objet:
- Le réaménagement des statuts, de l'organisation et du fonctionnement de l'Office national des droits d'auteur et des droits voisins (ONDA), à l'effet notamment, de mieux organiser les mesures de protection et de défense des intérêts moraux et matériels des auteurs et d'encourager la création d’œuvres
 Je rappelle que même les traductions (Voir onglet / Benmansour Sabéha et la définition de la fondation), d'une oeuvre ou de l'extrait d'une oeuvre, selon la loi sur les droits d’auteur, sont soumises à cette législation qui interdit formellement toute édition, publication et commercialisation en dehors du cadre réglementaire des droits d'auteur, droits reconnus et protégés à l'échelle nationale et internationale. (Art. 5 / Loi n°03-17 - / Voir onglet / Ordonnance relative aux droits d'auteur et droits voisins).

L’Inexistence de la Fondation Dib est un fait établi, la préférence de l’association culturelle la Grande Maison pour cette redénomination ne s’explique pas, l’association est soumise à la loi 90-31 que je n’ai pas besoin de rappeler, loi interdisant formellement une quelconque redénomination, le nom d’existence étant celui défini par l’agrément. De plus l’agrément étant délivré par le Wali (l’équivalent du Préfet) l’association est par conséquent régionale et ne peut prétendre à une activité hors des frontières de la wilaya. A cet effet, l’enseigne Fondation Mohammed Dib a été ôtée par les services de la Wilaya de Tlemcen et remplacée par l’enseigne Association Culturelle la Grande Maison.

 La dérive de l’association culturelle régionale la Grande Maison lèse profondément tous les artistes et auteurs d’œuvres, dont les droits et la garantie à leur protection s’en trouvent ainsi fragilisés par cette situation naissante, qui n’a d’équivalent nulle part.

Pour la famille Dib,
Fayçal Dib, neveu de Mohammed Dib.
                    Directeur Technique,  Ingénieur d’Etat.

5 juil. 2010

Hommage A Pierre Rossi et Révérence A Son Monument "Histoire Vraie Des Arabes"

Découvrir Pierre Rossi et son oeuvre magistrale "La Cité d'Isis, Histoire Vraie des Arabes" est une expérience dont il est difficile d'en décrire les sensations tant elle affecte une multitude de convictions et   bouleverse des certitudes que la "culture universelle" nous dicte et nous inculque. Combien de vérités historiques ont été imposées depuis des siècles par des scribes au service «de partis pris confessionnelles et politiques». Un exemple concernant l'hébraïsme, une mythologie associée à la fabrication de la race juive, fondement de l'idéologie raciste du sionisme.
 Cet ouvrage scientifique, un vrai séisme dans l'univers des légendes enseignées dans les écoles, et des nombreuses matières qui prêchent des certitudes scientifiques indéniables servant d'outils d'endoctrinement confessionnel et politique. Pierre Rossi démantèle
et remet en cause de manière radicale l'approche à la méthodologie de la connaissance et de ses branches qui inter agissent, aussi vastes que l'archéologie, l'ethnologie, l'histoire.  La manipulation et la distorsion de l'histoire est connue et nombre d'écrivains la dénoncent, mais très peu ont pénétré les fondements et les mécanismes et disséqué les étapes de l'entreprise de déception du scientisme, ou religion de la science.  Pierre Rossi dévoile cette mystification des sciences, dans un discours révélateur du contexte des débats d'actualité sur les choix de civilisation que les forces judéo-sionistes imposent aux destinés de l'humanité à travers le projet occulte et subversif du Nouvel Ordre Mondial.
La lecture impérieuse de l'ouvrage est plus que recommandée, spécialement pour les "apologistes" de la culture occidentale qui vont mendier une reconnaissance de leur assiduité à digérer et assimiler les utopies diffusées par les tenants de l'hégémonie mondiale talmude. Ces remarques visent les écrivains et auteurs littéraires, qui par leur servitude ( cas de la francophonie) et leur adhésion aveugle aux doctrines erronées publiées, destinées à la propagande et à l'aliénation. Pire, ils consentent à remplir la fonction de caisse de résonance modulée à distance, et deviennent des partisans et militants de vues contrefaites de notre propre histoire et véhiculent à leur tour des abstractions qui corrompent et empêchent la diffusion du savoir fondé sur les faits réels et la vérité, non sur l'indigestion de calomnies "scientifiques".
Le mot "Arabe" et tout ce qu'il évoque fut pris en otage par les alchimistes juifs, maitres de l'imprimerie et des média (voir le rôle de Hollywood dans le cinéma), pour le charger de préjugés, stéréotypes, euphémismes, tous dévalorisants et diffamatoires. Une offensive  millénaire qui a tissé un filet de perceptions erronées dans la pensée de l'occident et plus déplorable,  a influencé des générations de "réformateurs" arabes. Réformateurs séduits par le modernisme et l'avancé technique et scientifique des puissances militaires européennes qui, à travers le colonialisme, avaient pris en main les destinées de la civilisation arabe.  L'éducation prenant le relais du fusil, le combat s'est transformé en une lutte pour l'esprit et l'âme de l'intellectuel arabe, graduellement recyclé en agent servile de la culture du vainqueur. Les fruits de cette entreprise subtile sont aujourd'hui mûres et près pour la grande distribution. Il suffit de lire les insultes et les diatribes des Larbi, Messaoud,  Da Said et autres "Arab" contre la culture arabe et par prolongement, contre le message de l'Islam. Sous des accoutrements raffinés et une approche plus subtile, les nouveaux recrus de la culture "universelle" judéo-chrétienne (écrivains et auteurs du Maghreb), adoptent allégrement ce concept fictif confectionné par le sionisme qui dissimule ses prolongements idéologiques. En Algérie, les premières couvées de la francophonie, produites par "hybridation" coloniale, ont livré plusieurs espèces de perroquets dont le riche vocabulaire atteint des milliers de mots, s'ajoutant à ceux des dictionnaires. Certains élèves des missions chrétiennes ont parallèlement adopté la confession de leurs maitres d'école, d'autres moins engagés dans leur "modernisation", sont devenus adeptes des philosophies et utopies de la puissance culturelle  dominante. Les loges maçonniques aidant et perpétuaient l'allégeance de la "fraternité" au dogme de l'internationale socialiste dans un premier stade (19-20 eme siècle), puis à celle de la laïcité, dans un second (après la déconvenue du communisme). Toutes obédience confondues, toujours sous la supervision et le regard bienveillant du judéo-talmudisme-sionisme international, nombre d'intellectuels sont devenus, en bons oiseaux imitateurs, des fervents prosélytes des idéologies de la démocratie modulable occidentale, de la tolérance religieuse et de la confusion des genres (calamité visant l'anéantissement de l'humanité, et que les lois renégates du "monde civilisé" protègent, au point de condamner ceux qui la dénoncent, de discrimination et d'homophobie). Voir à ce propos "Le Manifeste des Libertés", site disponible pour une revue de la laïcité et des signataires du manifeste: 90 % de juifs Séfarades et Ashkénazes  ! Rendez-vous au passage à LHD-Toulon, pour un complément de la  revue. 
Le terme de perroquet est lié à la faculté de répéter les mots sans en saisir le sens. Encyclopédie "wikipédia", en ligne,  nous offre (Lien): 
« Le terme perroquet désigne d'une manière générique l'ensemble des espèces d'oiseaux de l'ordre des Psittaciformes.... Cette catégorie d'oiseaux est connue du grand public pour la faculté de certains spécimens d'imitation de la voix humaine, d'où l'expression commune "perroquet" désignant une personne répétant les mots de quelqu'un d'autre.
Dans un prochain article, une séance d'observation des perroquets sillonant le ciel littéraire algérien sera tentée. La tentative précédente d'étude de ces bêtes à plumage (ornithologie) était très superficielle et n'a qu'effleuré le sujet, uniquement sous l'angle historique (article de ce blog). Deux spécimens y sont mentionnés, Kamel DaÔud et Mourad Yelles (dit "Son fils"), deux oiseaux rares de l'ordre royal des perruches qui seront prochainement l'objet de plus d'attention. Et si la chance est au rendez vous, d'autres perroquets pourraient surgir de leur refuge et éveiller notre curiosité.
A bientôt, donc !     
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Opinion : Une éloge posthume du professeur Pierre Rossi relève du devoir et de l'obligation des honnêtes chercheurs et défenseurs de la connaissance et de la vérité. Il est révoltant de constater l'anonymat qui entoure son travail lorsqu'on mesure la pertinence qui marque le sujet qu'il élucide. Mais il est normal qu'il soit intentionnellement ignoré par les rédactions mobilisées en d'autres lieux et sont régies par l'agenda  des idéologies utopiques, de l'islamo-phobie, et l'exacerbation des divergences ou conflits  régionaux.  Les partenaires de l'instauration du NOM-NWO doivent détester la confrontation aux idées et arguments contrariant leurs mythes et actes de foi, la judéo-chrétienté et l'hébraïsme racial.  Le message authentiquement humaniste du professeur Rossi:

«Quand nous aurons appris à peser l'exact poids des mondes qui nous entourent, nous découvrirons peut être, outre la vraie fraternité, tout à la fois nos horizons et nos limites.»
est dérangeant et fatal pour la doctrine du "clash des civilisations"  en préparation.  Aujourd'hui absente des débats, son œuvre devrait être inclue dans le cursus scolaire de l'éducation, tant sa justesse et son bien-fondé sont d'actualité. Pour ne pas dire devrait être célébrée, dans le monde....musulmano-chrétien.
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2 juil. 2010

Littérature Algérienne Francophile. Offensive Et Subversion De La Laicité.

La culture algérienne d'expression française est prise en otage par des groupes subversifs affiliés aux organisations et associations du Nouvel Ordre Mondial (NOM-NWO). Tel est le constat alarmant, que l'examen des écrits publiés sur le Net par une majorité de nos écrivains, journalistes et hommes de lettre, permet de faire. Une affirmation au premier abord surprenante, mais bien réelle, perceptible à travers la majorité de la production littéraire locale qui échoue sur les rives de ce support médiatique, objet de toutes les convoitises dont celles attentionnées de l'hégémonie juive-sioniste. Les innocents et naïfs internautes qui découvrent le web et s'imaginent que l'indépendance apparente dans le choix et l'accès aux sites qu'ils consultent les immunisent de toute manipulation, devraient impérativement se débarrasser de leurs illusions: le web est un outil de manipulation de l'opinion, de propagande, d'intox,  très puissant.   Il permet aux conspirateurs éternels, les tenants du Nouvel Ordre Mondial de moduler et d'orienter, à grande échelle, la pensée et l'opinion des nations. Pour accomplir cette tâche titanesque, les banquiers juifs,  haute hiérarchie du NWO,  ont conçu un plan de travail étalé sur plusieurs siècles et qui mobilise des ressources humaines importantes. Un résumé concis et éloquent de ce plan est "Les Protocoles Des Sages De Sion". Qui n'a pas lu ce manuel de la conspiration juive-talmude ne peut prétendre appréhender même superficiellement le phénomène du complot diabolique élaboré pour réduire l'humanité à l'esclavage. Tout a été plannifié et programmé : les génocides, les guerres mondiales, les pandémies contrôlées, la faillite économique, la dégénérescence des mœurs,  la corruption de la moralité,  l'anéantissement de la religion et  de la croyance en Allah (athéisme de circonstance pour faire "moderne" et "civilisé".) Ce complot se déroule devant nous, mais le conditionnement vécu à travers l'éducation, la culture ambiante, les média et le mensonge permanent des idéologies et des utopies brouille notre perception de la vérité
Un facteur de réussite du stratagème judéo-talmude est basé sur le recrutement d'associés et de complices dans les associations fraternelles internationales, les loges maçonniques. Tous les observateurs internationaux et les historiens avertis qui dénoncent l'instauration de la tyrannie des banquiers, pointent le doigt vers cette infrastructure d'organisations, institutions, associations, fonds,
assemblées, partis politiques, gouvernements, qui réunissent les "chers frères et sœurs", les "idiots utiles ", exécutants des basses besognes de l'oligarchie juive. L'homme sous l'angle des sciences humaines en général et des connaissances empiriques, a été disséqué sous l'œil pénétrant des juifs qui conclurent en la loi suivante: l'individu et ses faiblesses, est semblable à un instrument 
à cordes, qu'il suffit de trouver la corde propice (fibre intérieure) et la faire vibrer pour qu'il (l'individu) se plie à la partition du maitre kosher. Les cordes: l'adoration des richesses, le vice multiforme, la gloire, l'immunité devant la loi, le pouvoir politique (mégalomanie), etc, etc... On pourrait dire qu'il y a autant de défauts dans l'homme qu'il y a d'individus sur Terre ! Il suffit d'observer patiemment les comportements, les tendances, les penchants, jusqu'à trouver la faille dans la forteresse dont s'entoure l'individu pour protéger son intimité. Les loges maçonniques tendent leurs filets et "recrutent". Un candidat potentiel, sous supervision d'un sponsor, est examiné. Si favorablement noté, il accuse son premier compromis : un sermon (mignon secret). Ceci marque sa soumission à "l'ordre". Son entrée dans la nouvelle religion se fait à son insu car l'inconscient est souvent piégé par la vitrine alléchante de l'organisation qui vante sa philosophie de tolérance, de fraternité, d'égalité, des abstractions et utopies promues par l'éternel prédateur juif. La malheureuse victime (consentante) est immergée dans les sables mouvants du matérialisme primitif, pris à la gorge par le chantage auquel il s'expose. S'étant compromis en dénudant ses faiblesses et en satisfaisant ses penchants, il s'embarque sur le navire de la perdition.
Les fondements réels du culte qu'il a embrassé ne lui sont jamais dévoilés, sinon à un stade avancée de sa promotion.Pour lui s'annoncent toutes les calamités condamnées par Dieu et Ses Prophètes : la complicité douteuse, la trahison, la collusion illégale, la corruption, le détournement illicite, le faux témoignage, les mensonges, la débauche morale, les vices, et pour les meilleurs élèves, l'athéisme et le blasphème irrémédiable. La pente de la décadence draine son lot d'intéressés, les tamââyin, vers la ruine totale.  Une citation (Lien) résume la tragédie:
« Plus la vie est agréable et douce et enchanteresse, plus horrible est l'idée de la perdre. Et c'est ainsi que se corrompent les cultures et que viennent les décadences» . 
L'avertissement à lancer à ces "idiots utiles" consiste :
-premièrement, à les réveiller d'abord de leur folie des grandeurs, les loges leur injectant le venin de l'illusion, celui du postulat que la grande famille maçonnique est  une race supérieure appelée à gouverner la planète , et 
-deuxièmement, à les diriger vers des sources fiables d'information où ils puissent s'éduquer, s'instruire et découvrir le tort qu'ils s'occasionnent en troquant leur âme pour les plaisir de ce bas Monde (Lien éducatif).   
Laïcisme: La porte grande ouverte sur la dépravation et l'immoralité. 
Ce phénomène est perceptible dans la littérature dite de langue française ou francophone( pour distinguer celle des Francophones-Français et celle des francophones-singes-Français). Par singes, il faut comprendre ceux qui écrivent en Français dans le but de s'attirer le plaisir de l'ex-colonisateur Français et mériter la promotion au rang d'enfant adopté de la culture française( pas parce qu'ils sont de père inconnu, mais parce qu'ils sont culturellement orphelins) . J'écris en Français mais pense comme un Arabe. Libéré du colonialisme, j'ai hérité (butin de guerre) du Français comme moyen d'accès au savoir universel multidisciplinaire. (Savoir récupéré, car traduit et diffusé après avoir été détourné des archives Arabes.) J'utilise le Français, et non le contraire. 
Les singes-Français eux, peuvent être arabes, kabyles, nord- africains, ex-colonisés, algériens post-indépendance allaités et intoxiqués par le biberon de la culture française, les amoureux de la France qui n'arrivent pas à se libérer de l'envoutement de la culture populaire "pastis-Noël-14 Juillet", les fervents fidèles à l'histoire de leurs "ancêtres les Gaulois".
La singerie concernent ceux utilisant la langue dans un cadre professionnel, journalistes et écrivains, et le qualificatif de singe leur échoit pour plusieurs raisons :
-1- la fausse perception, que leur utilisation de la langue est un billet sans retour vers une promotion culturelle-sociale--politique- civilisationelle, d'un palier local en aval(dans ce cas arabo-berbère), vers un en amont (français).
-2- l'adoption, lors de l'apprentissage de la langue française, de toutes les valeurs philosophiques-sociales-historiques-religieuses,  de la "croyance" en liberté-égalité-fraternité, ou l'adhésion au culte de la laïcité baisse-culotte. Ces nouvelles convictions (pensées et vœux du coeur) de diverse nature,  déclarées par écrit, appellent et nécessitent une homologation ou un certificat de conformité. Ce qui explique la ferveur de ces quadripèdes pour les "prix internationaux", porte vers l'authenticité, tels les élèves qui aspirent aux "bons points" comme signe du bon dénouement de leurs études et une récompense à leurs efforts. Jouant le jeu, les média, le monde littéraire et les critiques de France distribuent les bons points, et les homologations à profusion, faisant des jaloux parmi les Français-Français.
 Les déconvenues : 
Toutes les  récompenses, l'exception faisant la règle, sont décernées sur la base de critères autres que littéraires. La critique littéraire endosse la fonction de juge des bonnes causes, celles que les ONG onusiennes et étasuniennes brandissent sélectivement contre ceux qui n'ont pas renoncé à leur souveraineté nationale et livré leur avenir aux mains du Nouvel Ordre Mondial Juif, à l'hypocrisie et la supercheries des "droits de l'homme", des "libertés individuelles", de "l'égalité des droits des femmes", de la "lutte contre le terrorisme". Heureusement, l'opinion internationale se réveille et graduellement prend conscience de l'imposture de ces fables , outil de propagande justifiant les guerres de colonisation en terre d'Islam.
   Vrais mercenaires de la plume, nombre d'écrivains algériens en exil (doré) ou ceux localement, embusqués dans les cercles littéraires, se prêtent volontairement au plan dressé par les stratèges judéo-sionistes du NWO. Cette Ordre (dont beaucoup sont membres par le biais des loges maçonniques !!) les gratifie généreusement, en accordant une promotion médiatique excessive, et des privilèges illimités à la diffusion de leurs "œuvres". D'autres Algériens à la pointe  de la recherche scientique et la technologie de haut niveau, parfois même pionniers dans des découvertes capitales, sont ignorés des média et intentionnellement écartés de la vue de l'opinion. 
Eux, dérangent les stéréotypes et les préjugés habilement construits par la propagande juive talmude . Les débats sur le terrorisme est mieux adapté au "clash", entendre contre l'Islam et les Musulmans, et ces écrivains jouant le rôle de catalyseur de la discorde, d'agents provocateurs, chacun selon son profil : politique, littéraire, activiste
des droits des minorités, etc.... 
Coincidence ou hasard, tous militants au sein des ONG, groupes laïques, associations humanitaires ! (Voir articles -Lien1, Lien2, Lien3, Lien4, à propos de Boualem Sansal, Yazid Haddar, Ahmed Benbitour, Wassila Tamzali,  et autres militants de la "démocratie").
Un personnage particulier qui émerge graduellement dans la "nébuleuse" est Kamel Daoud, personnage dont la réputation est depuis quelques années seulement, étrangement polie et lustrée par le douteux monde littéraire. Sommes-nous témoins de l'apparition d'un génie littéraire de la francophonie ? Question à débattre.
Qui est-il, et qu'a-t-il accompli pour mériter cette montée vertigineuse ? Combien fiers serions-nous de découvrir un chérubin de l'école algérienne qui a maté la langue de Molière sans même vivre la présence de la culture française en Algérie et qui l'a donc amadoué et domestiquée "dans sa tête", grâce à une simulation neuronale "in vitro", la prouesse que peu de logicielles informatiques de simulation accomplissent.
«Ces simulations informatiques sont rapidement devenues incontournables pour la modélisation des systèmes naturels en physique, chimie et biologie, mais également des systèmes humains en économie et en science sociale » (wikipedia). 
Un bref profile de l'Homme : 
--Asso-lagrandemaison de Tlemcen:«Kamel DAOUD est un journaliste; Chroniqueur-reporter, né le 17 juin 1970 à Mostaganem. Après l'obtention d'une licence en Langue Française en 1993, à l'Université d'Es-Sénia - Oran,
il prépare actuellement une thèse de Magister. En 1995, il est recruté comme journaliste au "Quotidien d'Oran" et en seulement quatre années de métier, il gravit tout les échelons jusqu'a devenir Rédacteur en Chef. Considéré comme la plume la plus talentueuse de la presse écrite, ce passionné d'Analyses politiques, économiques, d'histoire et de littérature a réussi avec son œuvre "L'Arabe et le Vaste Pays de Ô" a suscité l’enthousiasme général et même une sincère admiration de la part des membres du Jury du prix Littéraire Mohammed DIB qui l’ont couronné pour cette session 2008.» 
Prière lire article au Lien (blog de Gadiri), concernant les démêlées judiciaires de la "fondation" avec la famille Dib!! Eloquent !!
Notons la présentation opportune de l'écrivain par la fondation, lors de la remise du Prix. Elle démontre la perspicacité incisive de la "grandemaison" à affirmer et prouver son jugement tranchant dans l'appréciation des étalons littéraires, une qualité que lui envierait les grandes-maisons européennes, toutes obédiences confondues. Signalons également l'assiduité de notre génie qui s'est refusé à décrocher sa licence en langue française en moins de 5 années d'université, démontrant son perfectionnisme dans les tâches qu'il entreprend. Souhaitons lui bonne chance pour son magister qu'il insiste à recevoir qu'après pas-moins-de-15 ans de recherche approfondie. L'intégrité et la grandeur de l'homme n'a d'égale que les dimensions du chèèèèque que lui remet la Fondation Dib ! Applaudissons ce pilier de la renaissance culturelle francophone !
Emerveillons-nous devant l'éventail des sujets qu'il maitrise,  politiques, économiques, d'histoire et de littérature !!!!! 
Derrière notre pigiste se dissimule un encyclopédiste que le Monde s'impatiente de découvrir.
-Lematindz : «Notre confrère du Quotidien d’Oran, Kamel Daoud, l’une des plus talentueuses plumes de la presse nationale, s’est vu décerner aujourd’hui samedi le prix littéraire Mohammed Dib qui récompense les « œuvres d’écriture. »(Eloge de la La feuille de choux de notre ami L'imposteur Benchicou, )
- Mourad Yelles (Universitaire et Asso-lagrandemaison de Tlemcen) confirme le bon choix de la fondation. 
Un défenseur de la tolérance et de laicité, Yelles a des vues très appréciées au sein de la mouvance "démocratique" supranationale, même l'ignoble Jacques Attali en sait quelque chose ayant trouvé en Yelles un fervent admirateur du dialogue inter-religieux (Lien reprenant un article du cheval de Troie, El Watan- ). 
il écrit sur le même site (Lien) :  
«Même si elle n’a pas encore suscité les réactions et commentaires variés et nombreux que l’on se serait attendu à lire ou à entendre à travers les différents canaux médiatiques du pays, la récente remise du prix Mohammed Dib à l’écrivain et journaliste Kamel Daoud n’en apparaît pas moins comme l’un des évènements majeurs de la saison littéraire nationale.» Modeste Mourad ! C'est "internationale" qu'il faut lire bien sûr !
sans oublier la générosité des sponsors (à commencer par le Ministère de l’Energie et la Sonatrach) , le jury international en charge de l’évaluation des candidatures est à présent à même de mener un travail de plus en plus performant pour la promotion des énergies créatrices dans le champ littéraire algérien.» 
 Mr Chakib khellil qu'on accuse de défaillance dans la gestion des recettes du pays,  marque ici un point contre ses détracteurs, les énergies renouvelables neuronales ont toujours fait l'objet de ses préoccupations et initiatives louables. Lui-même homme de culture, ayant "chèrement" démontré son enthousiasme pour les arts, lors de l'inauguration des chambres à gaz géonocidaires des finances publiques ou festival-conférence d'Oran, une entreprise qui a failli tourner la ville en un grand pôle culturel et touristique mondial, détrônant Cannes, sans la malencontreuse irruption volcanique islandaise. Peut être trouvera-t-il paix et refuge dans la grandemaison de sa ville natale, si seulement les envieux (la cour des comptes) qui hantent ses cauchemars le laissent jouir des bienfaits "mérités"de sa retraite forcée et pas les "travaux forcés".
-Mourad "Sonfils" (quolibet affectueux pour faire plus français):  
«Kamel Daoud : Une fable baroque au vaste pays des Iles».
A quoi "Sonfils" fait allusion n'est pas clair. La musique? La littérature? L'architecture  ? La sculpture ? Peut être tout à la fois. Lui même cultivé ,"Sonfils" nous donne un aperçu de sa maitrise du verbe : «Ce qui frappe d’emblée, à la lecture des deux textes édités par Dar El Gharb (La Fable du nain, 2003 ; Ô Pharaon, 2004) ainsi que du manuscrit primé cette année (L’Arabe et le vaste pays de Ô), c’est la présence d’un univers intérieur à la fÔis fÔrt et structuré. A l’évidence, Ôn ne pénètre pas sans cÔnséquences dans ce mÔnde puissant et sÔuvent vertigineux. Ôn n’en sÔrt pas indemne nÔn plus. Kamel DaÔud n’est pas de ces écrivains qui laissent une chance au lecteur naïf de musarder sur des chemins buissÔnniers Ôu qui lui dÔnne charitablement l’ÔccasiÔn de se divertir au détÔur de quelques métaphÔres hÔspitalières. Il est de la race des bracÔnniers et autres cÔupeurs de rÔute qui n’hésitent pas à viÔlenter et à rançÔnner (pÔur la bÔnne cause, ainsi que nÔus le verrÔns plus lÔin) les innÔcents prÔmeneurs égarés. Serait-ce dÔnc là une littérature de l’agressiÔn gratuite et du sadisme cynique (dÔnt l’éditiÔn française, pÔur ne pas la citer, nÔus fÔurnit régulièrement des échantillÔns d’une rare efficacité !) ? Sans dÔute faudrait-il parler ici d’une « écriture de la cruauté ».  
Décidément cette lettre là affecte la vision. 
 Ôu est-ce l'imaginatiÔn ? Peut être une fÔrme d'ÔbsessiÔn ?
(5 minutes plus tard et quelques instillations oculaires).
Braconnier, agression, coupeur de routes, sadisme, "ô", notre critique sort-il du baroque et nous entraine-t-il dans les labyrinthes  de la psychologie ? Ou sommes-nous face au Baroquisme freudien à l'épreuve des fables de 
la Lafontaine ? Si ! Si! Lafontaine, et Daoud nous en donne une transposition remarquable dans " Les Rats Et Les Chacals". Mais Daoud  préfère lui s'identifier au patient plutôt qu'au médecin, dans  «Mr Kamel Rend Hommage à Baya» (Lien) : «Sans cela, on ne s'expliquera  jamais la proximité immédiate qui était le don humain de cette femme, dans une profession qui collectionne les névroses comme des caprices de caractère et de métier. » Miraculeusement Daoud découvre le mal affligeant la littérature et son diagnostic (Voir exemple dans "plus Info" ci-joint) , le situe à mi-chemin vers la guérison. Pour l'aider, guidons ses pas et énumérons les effets de la névrose :
«Le terme névrose désigne des troubles de la personnalité sans lésion organique démontrable. De plus, le sujet reste conscient de sa maladie et vit dans la réalité.»(wikipedia)
«Pour l'un et l'autre il désigne toutes maladies du système nerveux sans base organique connue
«Dans l'optique freudienne au sens rigoureux du terme :
-Le symptôme est l'expression symbolique d'un conflit psychique ;
-Ce conflit demeure intrapsychique limité entre le Surmoi et le ça à l'intérieur du moi ;
-Le symptôme est un compromis entre la pulsion et la défense qui s'y trouve opposée ;
-La fixation et la régression n'ont qu'un caractère partiel ;
-La libido (le persistant Ô) conserve sa problématique objectale et n'est jamais totalement désinvestie ;
-La réalité est déformée dans le fantasme et non niée.»
Ôn ne peut que cÔmpatir avec ces prÔfessiÔnnels de la littérature, au vue des risques prÔfessionnels auquel ils sÔnt expÔsés, la manipulatiÔn de l'alphabet s'avère plus tÔxique que celui des barres d'uranium enrichi, pire les effets ne sÔnt pas Ôrganiquement décelables !

-Minute, Ça reprend ! 
-Je vÔus quitte pÔur le mÔment. Et vÔus dis à bientÔt ! 
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Névrose

30 juin 2010

Panique Générale et Vent De Folie: Des Amazigh Racistes Inventent La Machine à Remonter Le Temps.

Il n'y a point de contrainte en Islam, et les "peuples du livre" devraient en témoigner, pour avoir durant 15 siècles, vécu et prospéré au sein de communautés majoritairement musulmanes. 
Hélas, leur ingratitude notoire les en empêche, et leur animosité aveugle conditionne leurs campagnes actuelles de génocide contre des peuples dont le tort réside à professer l'unicité et la grandeur d'Allah. Avant d'aborder le thème de cette agression permanente, révisons les étapes qui précédèrent la déclaration de guerre prononcée par G.W. Bush, après le fameux attentat du 9/11.
Le Sionisme international et ses agences de subversion, CIA-MOSSAD-MI6, avec la complicité de régimes fantôches installés dans la périphérie de l'ex-empire Ottoman, ont créé, structuré, financé, dirigé, des groupes de mercenaires qu'ils ont parés du rite wahabite-salafiste prêché à Riad. Axé exclusivement sur la guerre sainte (le djihad) le rite innovateur saoudien détient une particularité, ses faits d'armes que l'histoire semble ignorer: les premiers massacres collectifs perpétrés contre les populations de Mecca, Medina, Taif et Hidjaz, lors de la conquête de la péninsule arabique au début du 20éme siècle ! Ultérieurement la participation saoudienne dans le plan dressé par Brezjinski pendant la présidence Carter, de déstabilisation de l'URSS, a consisté à financer et endoctriner une génération de moudjahidines qui s'avéreront des vecteurs de trouble dans leur pays d'origine une fois la guerre d'Afghanistan achevée. Les média sionistes lancèrent consécutivement une campagne de dénigrement contre l'Islam, le confondant avec terrorisme grâce à l'amalgame wahabisme=Islam. Cet événement signale le début de la conspiration qui a pour dénouement le mythe et subterfuge "Talibans-Ben Laden-El Qaida" que le sionisme maintient en vie comme alibi de sa politique de belligérance permanente et d'occupation illégale "par proxy" de pays musulmans. Dés lors une campagne d'agression orchestrée de Tel Aviv--New York contre les Musulmans et l'Islam fut lancée. L'accusation de fanatisme religieux et de terrorisme après la conspiration du 9/11 rendit propice l'annonce d'une guerre totale contre "l'axe du Mal", selon l'expression du criminel de guerre, G.W. Bush. L'Irak, le Liban, l'Afghanistan, le Pakistan, la Palestine, le Yemen, l'Iran, les pays musulmans de l'ancienne URSS, le Soudan, la Somalie, les pays de l'Afrique sub-saharienne, etc...subissent la vindicte nourrie par la rancune millénaire de l'éternel transgresseur et conspirateur, le juif sioniste et son pouvoir planétaire. Dirigée par l'oligarchie des banquiers et formulée par les commandements des rabbins talmudes, cette guerre, déclarée sous prétexte de lutte contre le terrorisme, a mobilisé les média qui l'ont promue et publiée pour conditionner les peuples et leurs armées à servir de proxy, de relais, d'intermédiaires, de chair à canon, dans cette entreprise de destruction et de génocide.

Dans les pays n'offrant aucun prétexte à l'ingérence ou à l'agression, car affichant des politiques internationales "modérées", ou possédant des ressources naturelles indispensables aux économies et cartels occidentaux, la stratégie de déstabilisation a pris une tournure différente, celle de guerre subversive générant des révolutions "colorées" locales. La stratégie est axée sur la création de dissensions basées sur les différences existant entre les minorités locales, dissensions préparant éventuellement une agression dans le cadre d'actions "humanitaires" que l'ONU homologue assidument, sous les injonctions d'une majorité de représentants de pays de l'assemblée, pays sous soumission ou représentatifs des intérêts, de la dictature sioniste. La Turquie, l'Algérie, l'Égypte, le Maroc, etc..., sont des pays offrant un potentiel exploitable pour l'agitation de conflits à caractère religieux, communautaires ou la confrontation de minorités locales. Les Kurdes, les Berbères-Amazighs, les Coptes sont les cibles de manipulations et subissent un travail de sape pour les amener à militer contre les pouvoirs centraux de leur pays d'origine. La stratégie de déstabilisation transite par le pourrissement des relations inter-communautaires sous prétexte de revendications multiformes. Les parties impliquées dans cet affrontement reçoivent des traitements adaptés à la nature du système politique, l'histoire, la religion, la composition raciale, les langues des pays visés par ce stratagème. Israël, ses moyens humains et matériels, la Diaspora sont placés en alerte et mobilisés pour accomplir les basses besognes militaires, ou celles du renseignement et de la guerre psychologique. Sa position géographique et son soutien logistique international la prédestine pour cette mission de proximité, position capitale pour la réussite des opérations sur le terrain. La présence locale d'agents provocateurs est indispensable pour activer la dissension et magnifier les divergences. Pour ce qui concerne l'Algérie deux foyers de discorde ont été créés, l'un relatif à la culture avec ses différent paramètres, l'autre religieux. Preuve que ces foyers de tension sont fomentés et cultivés artificiellement est l'inexistence (durant 15 siècles de cohabitation, ou plutôt de fusion des peuples) de querelles ou de divergences occasionnées par l'opposition fictive de la culture amazigh nord-africaine à la culture universelle arabo-musulmane. La colonisation et ses agents juifs ont été les architectes et les inventeurs de cette chimère (lire article au Lien1, Lien2, Lien3, Lien4) . Ce mensonge à caractère historique a pris une dimension politique depuis la naissance de groupes culturels réunis autour de personnalités suspectes, de par leur éducation, leur biographie, leurs affinités. Leur mission est essentiellement de s'affairer à donner une consistance et un contenu culturelle à un projet subversif qui avait pour objectif l'affaiblissement des pays dont la puissance redoutable résidait dans leur unité, raciale, religieuse, géographique, et culturelle. En un mot «diviser pour régner». Les principaux rentiers de cette opération de déstabilisation fondée sur l'ingénierie sociale opérée par les agents de la colonisation et aujourd'hui les média (spécialement Internet), sont les éternels conspirateurs judéo-talmudes. La preuve de ce "détournement du capital historique" réside dans le fait que certains penseurs berbères tentent de mendier un "lien de parenté" et une affinité raciale avec la diaspora kosher. Race dont l'existence est sans fondement,  est exclusivement dogmatique et scientifiquement désapprouvée (1). Elle est maintenue en vie que grâce à des assertions spéculatives et fausses propagées par les média, le clergé rabbinical et les historiens "officiels" !

L'origine (obscure) de personnages mythologiques qui "auraient" adopté la religion judaïque, parce que leur statut d'esclaves le leur dictait est le point départ d'un autre canular ! Consultez le web (*) et constater la controverse qui entoure ce sujet, abordé sous les angles, historique, religieux, culturel, racial, ethnologique, et même génétique. La "Bulle" idéologique de la propagande sioniste s'est rapidement dégonflée, la pointe affilée de la vérité l'ayant percée ! Seuls nos luminaires amazighs dans leur état de trouble mental avancé et d'exaltation narcissique persistent aveuglément dans leur folie de défendre leur origine juive et leur particularité "génétique" berbère, thèse réfutée par un métissage de population irréversible, scellé par 4000 ans (au moins) d'histoire. Cette nouvelle mythologie amazigh qui frôle le fascisme délirant n'est qu'une facette de l'offensive lancée à partir des salons de la conspiration kosher de Tel Aviv et New York. Salons dont les participants doivent se rompre le cou de sarcasmes au dépend de  leurs cousins "présumés" d'Afrique du Nord, qui bercés par l'illusion de retrouvailles familiales se sont embarqués allégrement et aveuglément dans le rafiot du "clash de civilisations". Un sujet qui fait couler beaucoup d'encre et mobilise les plumes acerbes des écrivains en mal de prestige est le terrorisme. Nombre de romanciers, d'écrivains, de journalistes et de scribouillards investissent le champ littéraire pour servir à l'opinion leur contribution à l'amalgame Islam-terrorisme et déverser leurs larmes sur les dangers de l'islamisme et de l'islam tout cours. Les publications de qualité médiocre et de contenu pathétique inondent les rayons des éditeurs. Tous s'acharnent sur l'Iran-l'Irak-Afghanistan-Ghaza comme dépositaires du mal et du danger menaçant la planète Terre. Aucune compassion pour leurs populations soumises au génocide, car elles sont Musulmanes. Ces nouveaux croisés ne s'encombrent d'aucunes préoccupations démocratiques et humanitaires au profit des musulmans exterminés, uniquement des utopies des libertés et "ismes" que leurs dictent les maitres de la nébuleuse juive internationale. La gratuité de leur haine contre les musulmans-arabes et les abominations qu'ils leurs dédient, dévoilent leur état d'aliénation et le barbarisme de leur idéologie. Rien sauf la rancune juive traditionnelle traduite dans le vocable de ces mercenaires nord africains ne peut justifier un tel état d'esprit et d'adversité. Naviguez sur le web et visitez les sites amazighs, pour constater l'étendue de l'animosité et de la malveillance contre-nature de ces tarés incultes sortis du barbarisme de l'antiquité . Examinons un exemple de personnage de la culture berbère qui servent l'antagonisme fictif opposant amazigh et arabes.

-Les personnages de l'antiquité : 
Kahina ou Dihya.
(lien1 à "afriquedunord .com "un des sites les plus virulents et parmi les plus nauséabonds, maitre de l'insulte et de la haine gratuite réservé à l'Islam , apanage des sionistes et psychopathes servant l'état d'Israél.)

12 novembre 2006 .
«Dihya, surnommée la Kahina, n’est pas la première à avoir unifié les berbères et elle ne sera pas la dernière. Avant elle, il y eut Jugurtha contre Rome, Donat contre l’église de Saint Augustin, Khattabi contre le colonialisme français. Tous voulaient l’affranchissement du peuple amazigh de toute tutelle...
(pour changer de maitre, selon la règle"imiter le vainqueur")

«Par son nouveau livre portant sur la Kahina (1), Gisèle Halimi vient de rejoindre la collection des auteurs qui se projettent dans des personnages historiques à la recherche d’une identité mythique et de symboles pour continuer à [sur]vivre.»
«Dihya, surnommée la Kahina, est une Femme, chawie, féministe (le ridicule à son apogée ) ,libre, guerrière, stratège politique et de surcroît Reine. Reine des Aurès. Reine des Berbères.
(glorification ou déification ?) Reine des femmes et des hommes qui se battent pour leur dignité. Dihya est morte dignement, et ses assassins étaient lâches. Elle les a humiliés en leur infligeant des défaites militaires ; elle les a humiliés en rendant l’âme comme une berbère, fidèle à elle même. Gisèle Halimi ne nous apprend rien !»«Dans son roman, Khaled cherche à connaître et à découvrir la Kahina. Ce n’est pas une coïncidence si Khaled est le seul prisonnier arabe, un neveu du chef de l’armée arabo-musulmane, à ne pas avoir été libéré par Dihya et qu’elle adopta par la suite. En retour, il la trahissait en communiquant à son clan, et en permanence, les informations stratégiques sur le camp berbère. Cette confusion de genre et de personnage n’est pas innocente.»
«Au fil du roman [historique], Gisèle Halimi met en avant la judaïcité de la Kahina au détriment de sa berbérité. D’ailleurs était-elle vraiment juive ?»
La grenouille ne se limitant pas à vouloir se faire plus grosse que le bœuf, elle s'est embarquée dans la machine à remonter le temps !
Le mensonge répété incessamment est perçu comme vérité, une règle de la perfidie juive-talmude. Pour ceux qui auraient des doutes sur l'authenticité de ce genre d'absurdités, qu'ils visitent brièvement les sites militants amazigh islamophobes, je précise "brièvement", car en s'y attardant les lecteurs risquent d'être traumatisés, par la virulence des propos et la haine démentielle vomie contre l'Islam et ses nobles symboles. Preuve de leur aliénation irréversible, leur mépris acharné de la majorité (99%) des Algériens Berbères et Amazighs qui depuis 15 siècles vivent harmonieusement leur culture berbère et leur attachement à l'Islam, qu'ils défendent d'ailleurs avec acharnement depuis Tarek Ibnou Ziyad.
Comme précisé au début de cet article, ces déchainés, vrais Frankeinstein libérés des laboratoires "pavloviens" , occupent l'espace nord africain, sévissent en Algérie et y cultivent les ferments de la discorde. Cette mouvance a infiltré les associations diverses et vise surtout les média. Donnons en un exemple :
«Quand les Algériens sont malades de l’islam» (9 août 2008).
«Le moral des Algériens est au plus bas. Le changement du système, à la fois politique et religieux, reste la seule planche de salut si on veut réellement sauver le pays.»
 
Publié dans "Afriquedunord.com", naturellement et conforme à ligne rédactionnelle de ce site sioniste. Ce qui est troublant est que l'article est une synthèse de celui publié par "Le Quotidien d’Oran" sous la plume de Yazid Haddar, un provocateur professionnel qui de sa plume empoisonnée défie et vilipende à longueur d'année 35 millions d'Algériens Musulmans, voir dans la suite du texte : 
«...et la dissolution du ministère des affaires religieuses : assez de propagandes en terre de liberté !»«Il ne suffit pas d’avoir un pays, un drapeau, un hymne pour dire qu’il y a un État. Gouverner, c’est prévoir. L’État algérien paraît plus virtuel que réel. Le citoyen ne le voit nulle part. Le despotisme, les passe-droits, la corruption, le trafic d’influence sont monnaie courante et leurs acteurs politiques ne semblent pas s’inquiéter outre mesure. Comme si l’État n’affiche aucune ambition à rattraper le concert des nations développées*. Alors, il développe son sous-développement : l’Islam, avec la bénédiction de ses pseudo-intellectuels et les pseudo-sages musulmans qui devraient tous être jugés par le TPI pour inoculation et propagation du virus anti-humain et violation mentale des peuples sous régime arabo-musulman.» «L’Islam en pays dits musulmans est un véritable frein penser…» «Devant cette escalade de destructions, certains analystes, comme les gouverneurs, parlent du manque d’encadrement associatif, d’irrationalités collectives et de contagion. Certains expliquent cette violence par l’étouffement social. Au début du XXe siècle, Gustave Le Bon fut le premier à comparer la propagation des troubles sociaux à une infection microbienne (Cf. La psychologie des Foules de Gustave Le Bon)*. Ici nous nommerons la principale infection est celui de l’Islam «Dans quelles conditions les groupes deviennent-ils violents ? On constate souvent que les facteurs latents de la violence sont : la dévalorisation (chômage, stigmatisation et discrimination), l’incohérence des statuts (diplômé sous-employé), la justification morale de la violence (doctrinale, religieuse, ...), des normes sociales délinquantes et violentes, des faiblesses au niveau des compétences verbales et de l’insertion sociale. Tout ceci est le résultat d’une société abandonnée à l’obscurantisme et au défaitisme que les différents gouverneurs ont bien voulu instaurer depuis l’accès de ce pays à l’indépendance : affaiblir par l’endoctrinement pour mieux régner* (Ici l’Islam).»

L'écrivain, psychologue-conseiller à ses heures perdues , aborde son thème favori :
«Prenons la sexualité comme exemple : les jeunes se marient de plus en plus tard (Cf. 33,5 ans pour les hommes et 29,9 ans pour les femmes, selon le dernier rapport du CNES, 2008, cela n’est que pure fantaisie, car la réalité est bien loin du compte : les femmes à plus de 45 ans sont encore vierges, les hommes ne savent pas s’ils sont hétéro ou homo par manque total de sexualité) pas de logement, pas de travail. Cependant, nous savons tous que hors mariage, les rapports sexuels sont interdits, ce qui a pour effet de créer un déséquilibre au niveau personnel dans les deux formes de contrôle : contrôle interpersonnel (qui réduit la liberté d’intégrer les valeurs sociales, mais aussi augmente les frustrations et une forme de violence, que les psychanalystes nomment pulsion violente) et contrôle interne (ou moral). Interdiction absolue de communiquer ou de recevoir une d’éducation sur la sexualité au sein de ces sociétés*(Ici l’Islam).» «Soljenistyne avait raison quand il dit : laissons les arabes à leur sort : ils ont l’Islam… (seul patrimoine qu’ils ont légué à la moitié de la terre pour mieux l’annihiler).»

Édifiant, n'est-ce pas ? Tout le répertoire "néo-con", "clash des civilisations », compressé dans cette déclaration-profession de foi de ce démon de Yazid Haddar

Publiée par qui ? Par un quotidien national ! Le Quotidien d'Oran. Un nid de reptiles gardé par Kamel Daoud, une vipère rampante du zoo littéraire francophone. Zoo renfermant quelques espèces de lézards,  fort heureusement en voie de disparition car très venimeux.
Dans un article à venir, je décrirais prochainement la nature et les méfaits de cette espèce animale locale aux caractéristiques semblables à celle vivant en Jewland.  

En dépit de leur agression soutenue contre le peuple, ces téméraires de la plume se plaignent des entraves à la liberté d'expression. 
Une liberté que ce ghaddar (traitre) piétine de ses bottes d'éclaireur talmude en agressant avec effronterie les valeurs chères à un peuple, à la manière des Kamikazes, mais plus subtile car sans explosifs. Mais tout autant efficace pour créer le désarroi et la colère dans les esprits. Ce personnage étrange est visiblement programmé pour attaquer de front l'opinion musulmane, sans pudeur ni retenue, et pour peut être inscrire son nom sur la liste des martyrs sans lesquels ces mouvements contestataires n'accèdent pas à la notoriété. Déconcertantes les provocations de cet élève en psychiatrie freudienne, habité par "l'esprit" cartésien le hantant et qui l'a affligé de cécité, le privant de vérités spirituelles.
Exemples ces extraits d'articles publiés par une pléthore de sites web, le support médiatique de sa "mission" et de celle  des "célébrités" algériennes de la littérature francophone, Babes, Tamzali, Sansal, Ghazali, etc..., toutes acoquinées aux réseaux proxénètes sionistes  de France et citées en tant qu'experts de l'Islam, qu'elles abhorrent ! Elles ne ratent jamais l'occasion pour saigner du musulman ou de l'arabe, dans un exhibitionnisme intellectuel indécent qui verse dans la mendicité, la main tendue vers leurs maitres, qui trouvent toujours au fond de la poche un petit Prix international à leur offrir, pour services rendus à la "l'axe du bien". Fatalité de l'histoire qui semble enfanter avec chaque génération son lot de harkis, de la pensée dans ce cas, et armés d'une plume.  Défiant et arrogant, ignorant l'histoire des Arabes et leur langue, le Kamikaze écrit : 
«Il est indispensable que nous restions vigilants face aux distorsions que subissent insidieusement notre histoire et notre identité. Si nous n’y prenons garde, un jour nos ancêtres deviendront arabes !».....
«La civilisation arabe et musulmane est omniprésente dans l’enseignement scolaire au détriment de la civilisation berbère et ses influences dans le bassin méditerranéen et dans la civilisation arabo-musulmane. Cela constitue une lacune édifiante et sans doute volontaire qui laisse les jeunes algériens à la merci des manipulations de certains courants idéologiques» 
(consultez impérativement l'historien Pierre Rossi et son œuvre monumentale "La cité d’Isis, histoire vraie des Arabes", disponible en librairie, enag-Algérie).
Pierre Rossi répond aux déclarations mensongères, aveugles, et chauvines de ce pantin Israélite (voir capture d'écran ci dessus)  :

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Gardons à l'esprit le fait que le traitre qui s'est infiltré parmi nous, n'ignore pas ces vérités historiques mais les dissimule, sa mission d'agent provocateur l'y contraint. Par un lapsus, il dévoile ses affinités naturels lorsque prosterné devant la déesse "Diaspora", il disserte sur Jacques Derrida, qu'il glorifie de juif algérien (un honneur) dont il nous fait découvrir l'enfance (lien).  
Ne manquez pas de lire ce qu'il pense de Zemmour la nouvelle star du sionisme de France, au (Lien), et l'introduction élogieuse qu'il reçoit de son complice Akram B. du "Quotidien D'Oran" ! Très révélateur du stade avancé d'égarement et de dépravation affectant ce "Français" d'adoption, notre Yazid Haddar, alias Yashimoun Hadarokh.
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(*) Une invention appelée «Le peuple juif" (Lien-Anglais)

«La Déclaration d'indépendance d'Israël stipule que le peuple juif est né sur la terre d'Israël et a été exilé de sa patrie. Chaque écolier israélien apprend que cela s'est produit pendant la période de la domination romaine, en 70 CE. La nation est restée fidèle à sa terre, à laquelle elle a commencé à retourné après deux millénaires d'exil. Faux, dit l'historien Shlomo Zand, dans un des livres les plus fascinants et stimulants publiés depuis longtemps. Il n'y a jamais eu de peuple juif, seulement une religion juive, aussi l'exil ne s'est également jamais produit - par conséquent, il n'y a pas eu de retour. Zand rejette la plupart des histoires Bibliques de la formation d'une identité nationale , celle de l'exode d'Égypte et plus affirmativement celle des horreurs de la conquête sous Josué. C'est entièrement de la fiction et un mythe qui a servi de prétexte à la création de l'État d'Israël, affirme-t-il..»
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(*) Le Monde diplomatique prend également le relais et expose la controverse (Lien-français):

«Déconstruction d’une histoire mythique,

Comment fut inventé le peuple juif.
(Par Shlomo Sand
«Les Juifs forment-ils un peuple ? A cette question ancienne, un historien israélien apporte une réponse nouvelle. Contrairement à l’idée reçue, la diaspora ne naquit pas de l’expulsion des Hébreux de Palestine, mais de conversions successives en Afrique du Nord, en Europe du Sud et au Proche-Orient. Voilà qui ébranle un des fondements de la pensée sioniste, celui qui voudrait que les Juifs soient les descendants du royaume de David et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars.
»«Tout Israélien sait, sans l’ombre d’un doute, que le peuple juif existe depuis qu’il a reçu la Torah ( 1) dans le Sinaï, et qu’il en est le descendant direct et exclusif. Chacun se persuade que ce peuple, sorti d’Egypte, s’est fixé sur la « terre promise », où fut édifié le glorieux royaume de David et de Salomon, partagé ensuite en royaumes de Juda et d’Israël. De même, nul n’ignore qu’il a connu l’exil à deux reprises : après la destruction du premier temple, au VIe siècle avant J.-C., puis à la suite de celle du second temple, en l’an 70 après J.C.»
...«S’ensuivit pour lui une errance de près de deux mille ans : ses tribulations le menèrent au Yémen, au Maroc, en Espagne, en Allemagne, en Pologne et jusqu’au fin fond de la Russie, mais il parvint toujours à préserver les liens du sang entre ses communautés éloignées. Ainsi, son unicité ne fut pas altérée. A la fin du XIXe siècle, les conditions mûrirent pour son retour dans l’antique patrie. Sans le génocide nazi, des millions de Juifs auraient naturellement repeuplé Eretz Israël (« la terre d’Israël ») puisqu’ils en rêvaient depuis vingt siècles.» «Vierge, la Palestine attendait que son peuple originel vienne la faire refleurir. Car elle lui appartenait, et non à cette minorité arabe, dépourvue d’histoire, arrivée là par hasard. Justes étaient donc les guerres menées par le peuple errant pour reprendre possession de sa terre ; et criminelle l’opposition violente de la population locale.»....«D’où vient cette interprétation de l’histoire juive ? Elle est l’œuvre, depuis la seconde moitié du XIXe siècle, de talentueux reconstructeurs du passé, dont l’imagination fertile a inventé, sur la base de morceaux de mémoire religieuse, juive et chrétienne, un enchaînement généalogique continu pour le peuple juif. L’abondante historiographie du judaïsme comporte, certes, une pluralité d’approches. Mais les polémiques en son sein n’ont jamais remis en cause les conceptions essentialistes élaborées principalement à la fin du XIXe siècle et au début du XXe.Le judaïsme, religion prosélyte.» 
....«Bref, en soixante ans, l’histoire nationale a très peu mûri, et elle n’évoluera vraisemblablement pas à brève échéance. Pourtant, les faits mis au jour par les recherches posent à tout historien honnête des questions surprenantes au premier abord, mais néanmoins fondamentales.»
...«Les historiens sionistes n’ont cessé, depuis, de réitérer ces « vérités bibliques », devenues nourriture quotidienne de l’éducation nationale.»
..«Mais voilà qu’au cours des années 1980 la terre tremble, ébranlant ces mythes fondateurs. Les découvertes de la « nouvelle archéologie » contredisent la possibilité d’un grand exode au XIIIe siècle avant notre ère. De même, Moïse n’a pas pu faire sortir les Hébreux d’Egypte et les conduire vers la « terre promise » pour la bonne raison qu’à l’époque celle-ci... était aux mains des Egyptiens. On ne trouve d’ailleurs aucune trace d’une révolte d’esclaves dans l’empire des pharaons, ni d’une conquête rapide du pays de Canaan par un élément étranger.» 
..«Il n’existe pas non plus de signe ou de souvenir du somptueux royaume de David et de Salomon. Les découvertes de la décennie écoulée montrent l’existence, à l’époque, de deux petits royaumes : Israël, le plus puissant, et Juda, la future Judée. Les habitants de cette dernière ne subirent pas non plus d’exil au VIe siècle avant notre ère : seules ses élites politiques et intellectuelles durent s’installer à Babylone. De cette rencontre décisive avec les cultes perses naîtra le monothéisme juif.»
«L’exil de l’an 70 de notre ère a-t-il, lui, effectivement eu lieu ? Paradoxalement, cet « événement fondateur » dans l’histoire des Juifs, d’où la diaspora tire son origine, n’a pas donné lieu au moindre ouvrage de recherche. Et pour une raison bien prosaïque : les Romains n’ont jamais exilé de peuple sur tout le flanc oriental de la Méditerranée. A l’exception des prisonniers réduits en esclavage, les habitants de Judée continuèrent de vivre sur leurs terres, même après la destruction du second temple.» «Une partie d’entre eux se convertit au christianisme au IVe siècle, tandis que la grande majorité se rallia à l’islam lors de la conquête arabe au VIIe siècle. La plupart des penseurs sionistes n’en ignoraient rien : ainsi, Yitzhak Ben Zvi, futur président de l’Etat d’Israël, tout comme David Ben Gourion, fondateur de l’Etat, l’ont-ils écrit jusqu’en 1929, année de la grande révolte palestinienne. Tous deux mentionnent à plusieurs reprises le fait que les paysans de Palestine sont les descendants des habitants de l’antique Judée (2).» 
...«A défaut d’un exil depuis la Palestine romanisée, d’où viennent les nombreux Juifs qui peuplent le pourtour de la Méditerranée dès l’Antiquité ? Derrière le rideau de l’historiographie nationale se cache une étonnante réalité historique. De la révolte des Maccabées, au IIe siècle avant notre ère, à la révolte de Bar-Kokhba, au IIe siècle après J.-C, le judaïsme fut la première religion prosélyte. Les Asmonéens avaient déjà converti de force les Iduméens du sud de la Judée et les Ituréens de Galilée, annexés au « peuple d’Israël ». Partant de ce royaume judéo-hellénique, le judaïsme essaima dans tout le Proche-Orient et sur le pourtour méditerranéen. Au premier siècle de notre ère apparut, dans l’actuel Kurdistan, le royaume juif d’Adiabène, qui ne sera pas le dernier royaume à se « judaïser » : d’autres en feront autant par la suite.» ...«Les écrits de Flavius Josèphe ne constituent pas le seul témoignage de l’ardeur prosélyte des Juifs. D’Horace à Sénèque, de Juvénal à Tacite, bien des écrivains latins en expriment la crainte. La Mishna et le Talmud (3) autorisent cette pratique de la conversion — même si, face à la pression montante du christianisme, les sages de la tradition talmudique exprimeront des réserves à son sujet.»
...«La victoire de la religion de Jésus, au début du IVe siècle, ne met pas fin à l’expansion du judaïsme, mais elle repousse le prosélytisme juif aux marges du monde culturel chrétien. Au Ve siècle apparaît ainsi, à l’emplacement de l’actuel Yémen, un royaume juif vigoureux du nom de Himyar, dont les descendants conserveront leur foi après la victoire de l’islam et jusqu’aux temps modernes. De même, les chroniqueurs arabes nous apprennent l’existence, au VIIe siècle, de tribus berbères judaïsées : face à la poussée arabe, qui atteint l’Afrique du Nord à la fin de ce même siècle, apparaît la figure légendaire de la reine juive Dihya el-Kahina, qui tenta de l’enrayer. Des Berbères judaïsés vont prendre part à la conquête de la péninsule Ibérique, et y poser les fondements de la symbiose particulière entre juifs et musulmans, caractéristique de la culture hispano-arabe.» 
...«La conversion de masse la plus significative survient entre la mer Noire et la mer Caspienne : elle concerne l’immense royaume khazar, au VIIIe siècle. L’expansion du judaïsme, du Caucase à l’Ukraine actuelle, engendre de multiples communautés, que les invasions mongoles du XIIIe siècle refoulent en nombre vers l’est de l’Europe. Là, avec les Juifs venus des régions slaves du Sud et des actuels territoires allemands, elles poseront les bases de la grande culture yiddish (4).»
...«Ces récits des origines plurielles des Juifs figurent, de façon plus ou moins hésitante, dans l’historiographie sioniste jusque vers les années 1960 ; ils sont ensuite progressivement marginalisés avant de disparaître de la mémoire publique en Israël. Les conquérants de la cité de David, en 1967, se devaient d’être les descendants directs de son royaume mythique et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars. Les Juifs font alors figure d’« ethnos » spécifique qui, après deux mille ans d’exil et d’errance, a fini par revenir à Jérusalem, sa capitale.» 
...«Les tenants de ce récit linéaire et indivisible ne mobilisent pas uniquement l’enseignement de l’histoire : ils convoquent également la biologie. Depuis les années 1970, en Israël, une succession de recherches « scientifiques » s’efforce de démontrer, par tous les moyens, la proximité génétique des Juifs du monde entier. La « recherche sur les origines des populations » représente désormais un champ légitimé et populaire de la biologie moléculaire, tandis que le chromosome Y mâle s’est offert une place d’honneur aux côtés d’une Clio juive (5) dans une quête effrénée de l’unicité d’origine du « peuple élu ». 
....«Cette conception historique constitue la base de la politique identitaire de l’Etat d’Israël, et c’est bien là que le bât blesse ! Elle donne en effet lieu à une définition essentialiste et ethnocentriste du judaïsme, alimentant une ségrégation qui maintient à l’écart les Juifs des non-Juifs — Arabes comme immigrants russes ou travailleurs immigrés.»
....«Ecrire une histoire juive nouvelle, par-delà le prisme sioniste, n’est donc pas chose aisée. La lumière qui s’y brise se transforme en couleurs ethnocentristes appuyées. Or les Juifs ont toujours formé des communautés religieuses constituées, le plus souvent par conversion, dans diverses régions du monde : elles ne représentent donc pas un « ethnos » porteur d’une même origine unique et qui se serait déplacé au fil d’une errance de vingt siècles.»
 
«Le développement de toute historiographie comme, plus généralement, le processus de la modernité passent un temps, on le sait, par l’invention de la nation. Celle-ci occupa des millions d’êtres humains au XIXe siècle et durant une partie du XXe. La fin de ce dernier a vu ces rêves commencer à se briser. Des chercheurs, en nombre croissant, analysent, dissèquent et déconstruisent les grands récits nationaux, et notamment les mythes de l’origine commune chers aux chroniques du passé. Les cauchemars identitaires d’hier feront place, demain, à d’autres rêves d’identité. A l’instar de toute personnalité faite d’identités fluides et variées, l’histoire est, elle aussi, une identité en mouvement.»
Shlomo Sand
: Historien, professeur à l’université de Tel-Aviv, auteur de "Comment le peuple juif fut inventé".
(1) Texte fondateur du judaïsme, la Torah — la racine hébraïque yara signifie enseigner — se compose des cinq premiers livres de la Bible, ou Pentateuque : Genèse, Exode, Lévitique, Nombres et Deutéronome.
(2) Cf. David Ben Gourion et Yitzhak Ben Zvi, « Eretz Israël » dans le passé et dans le présent (1918, en yiddish), Jérusalem, 1980 (en hébreu) et Ben Zvi, Notre population dans le pays (en hébreu), Varsovie, Comité exécutif de l’Union de la jeunesse et Fonds national juif, 1929.
(3) La Mishna, considérée comme le premier ouvrage de littérature rabbinique, a été achevée au IIe siècle de notre ère. Le Talmud synthétise l’ensemble des débats rabbiniques concernant la loi, les coutumes et l’histoire des Juifs. Il y a deux Talmud : celui de Palestine, écrit entre le IIIe et le Ve siècle, et celui de Babylone, achevé à la fin du Ve siècle.
(4) Parlé par les Juifs d’Europe orientale, le yiddish est une langue slavo-allemande comprenant des mots issus de l’hébreu.
(5) Dans la mythologie grecque, Clio était la muse de l’Histoire.
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( A suivre.....)