Il n'y a point de contrainte en Islam, et les "peuples du livre" devraient en témoigner, pour avoir durant 15 siècles, vécu et prospéré au sein de communautés majoritairement musulmanes.
Hélas, leur ingratitude notoire les en empêche, et leur animosité aveugle conditionne leurs campagnes actuelles de génocide contre des peuples dont le tort réside à professer l'unicité et la grandeur d'Allah. Avant d'aborder le thème de cette agression permanente, révisons les étapes qui précédèrent la déclaration de guerre prononcée par G.W. Bush, après le fameux attentat du 9/11.
Le Sionisme international et ses agences de subversion, CIA-MOSSAD-MI6, avec la complicité de régimes fantôches installés dans la périphérie de l'ex-empire Ottoman, ont créé, structuré, financé, dirigé, des groupes de mercenaires qu'ils ont parés du rite wahabite-salafiste prêché à Riad. Axé exclusivement sur la guerre sainte (le djihad) le rite innovateur saoudien détient une particularité, ses faits d'armes que l'histoire semble ignorer: les premiers massacres collectifs perpétrés contre les populations de Mecca, Medina, Taif et Hidjaz, lors de la conquête de la péninsule arabique au début du 20éme siècle ! Ultérieurement la participation saoudienne dans le plan dressé par Brezjinski pendant la présidence Carter, de déstabilisation de l'URSS, a consisté à financer et endoctriner une génération de moudjahidines qui s'avéreront des vecteurs de trouble dans leur pays d'origine une fois la guerre d'Afghanistan achevée. Les média sionistes lancèrent consécutivement une campagne de dénigrement contre l'Islam, le confondant avec terrorisme grâce à l'amalgame wahabisme=Islam. Cet événement signale le début de la conspiration qui a pour dénouement le mythe et subterfuge "Talibans-Ben Laden-El Qaida" que le sionisme maintient en vie comme alibi de sa politique de belligérance permanente et d'occupation illégale "par proxy" de pays musulmans. Dés lors une campagne d'agression orchestrée de Tel Aviv--New York contre les Musulmans et l'Islam fut lancée. L'accusation de fanatisme religieux et de terrorisme après la conspiration du 9/11 rendit propice l'annonce d'une guerre totale contre "l'axe du Mal", selon l'expression du criminel de guerre, G.W. Bush. L'Irak, le Liban, l'Afghanistan, le Pakistan, la Palestine, le Yemen, l'Iran, les pays musulmans de l'ancienne URSS, le Soudan, la Somalie, les pays de l'Afrique sub-saharienne, etc...subissent la vindicte nourrie par la rancune millénaire de l'éternel transgresseur et conspirateur, le juif sioniste et son pouvoir planétaire. Dirigée par l'oligarchie des banquiers et formulée par les commandements des rabbins talmudes, cette guerre, déclarée sous prétexte de lutte contre le terrorisme, a mobilisé les média qui l'ont promue et publiée pour conditionner les peuples et leurs armées à servir de proxy, de relais, d'intermédiaires, de chair à canon, dans cette entreprise de destruction et de génocide.
Dans les pays n'offrant aucun prétexte à l'ingérence ou à l'agression, car affichant des politiques internationales "modérées", ou possédant des ressources naturelles indispensables aux économies et cartels occidentaux, la stratégie de déstabilisation a pris une tournure différente, celle de guerre subversive générant des révolutions "colorées" locales. La stratégie est axée sur la création de dissensions basées sur les différences existant entre les minorités locales, dissensions préparant éventuellement une agression dans le cadre d'actions "humanitaires" que l'ONU homologue assidument, sous les injonctions d'une majorité de représentants de pays de l'assemblée, pays sous soumission ou représentatifs des intérêts, de la dictature sioniste. La Turquie, l'Algérie, l'Égypte, le Maroc, etc..., sont des pays offrant un potentiel exploitable pour l'agitation de conflits à caractère religieux, communautaires ou la confrontation de minorités locales. Les Kurdes, les Berbères-Amazighs, les Coptes sont les cibles de manipulations et subissent un travail de sape pour les amener à militer contre les pouvoirs centraux de leur pays d'origine. La stratégie de déstabilisation transite par le pourrissement des relations inter-communautaires sous prétexte de revendications multiformes. Les parties impliquées dans cet affrontement reçoivent des traitements adaptés à la nature du système politique, l'histoire, la religion, la composition raciale, les langues des pays visés par ce stratagème. Israël, ses moyens humains et matériels, la Diaspora sont placés en alerte et mobilisés pour accomplir les basses besognes militaires, ou celles du renseignement et de la guerre psychologique. Sa position géographique et son soutien logistique international la prédestine pour cette mission de proximité, position capitale pour la réussite des opérations sur le terrain. La présence locale d'agents provocateurs est indispensable pour activer la dissension et magnifier les divergences. Pour ce qui concerne l'Algérie deux foyers de discorde ont été créés, l'un relatif à la culture avec ses différent paramètres, l'autre religieux. Preuve que ces foyers de tension sont fomentés et cultivés artificiellement est l'inexistence (durant 15 siècles de cohabitation, ou plutôt de fusion des peuples) de querelles ou de divergences occasionnées par l'opposition fictive de la culture amazigh nord-africaine à la culture universelle arabo-musulmane. La colonisation et ses agents juifs ont été les architectes et les inventeurs de cette chimère (lire article au Lien1, Lien2, Lien3, Lien4) . Ce mensonge à caractère historique a pris une dimension politique depuis la naissance de groupes culturels réunis autour de personnalités suspectes, de par leur éducation, leur biographie, leurs affinités. Leur mission est essentiellement de s'affairer à donner une consistance et un contenu culturelle à un projet subversif qui avait pour objectif l'affaiblissement des pays dont la puissance redoutable résidait dans leur unité, raciale, religieuse, géographique, et culturelle. En un mot «diviser pour régner». Les principaux rentiers de cette opération de déstabilisation fondée sur l'ingénierie sociale opérée par les agents de la colonisation et aujourd'hui les média (spécialement Internet), sont les éternels conspirateurs judéo-talmudes. La preuve de ce "détournement du capital historique" réside dans le fait que certains penseurs berbères tentent de mendier un "lien de parenté" et une affinité raciale avec la diaspora kosher. Race dont l'existence est sans fondement, est exclusivement dogmatique et scientifiquement désapprouvée (1). Elle est maintenue en vie que grâce à des assertions spéculatives et fausses propagées par les média, le clergé rabbinical et les historiens "officiels" !
L'origine (obscure) de personnages mythologiques qui "auraient" adopté la religion judaïque, parce que leur statut d'esclaves le leur dictait est le point départ d'un autre canular ! Consultez le web (*) et constater la controverse qui entoure ce sujet, abordé sous les angles, historique, religieux, culturel, racial, ethnologique, et même génétique. La "Bulle" idéologique de la propagande sioniste s'est rapidement dégonflée, la pointe affilée de la vérité l'ayant percée ! Seuls nos luminaires amazighs dans leur état de trouble mental avancé et d'exaltation narcissique persistent aveuglément dans leur folie de défendre leur origine juive et leur particularité "génétique" berbère, thèse réfutée par un métissage de population irréversible, scellé par 4000 ans (au moins) d'histoire. Cette nouvelle mythologie amazigh qui frôle le fascisme délirant n'est qu'une facette de l'offensive lancée à partir des salons de la conspiration kosher de Tel Aviv et New York. Salons dont les participants doivent se rompre le cou de sarcasmes au dépend de leurs cousins "présumés" d'Afrique du Nord, qui bercés par l'illusion de retrouvailles familiales se sont embarqués allégrement et aveuglément dans le rafiot du "clash de civilisations". Un sujet qui fait couler beaucoup d'encre et mobilise les plumes acerbes des écrivains en mal de prestige est le terrorisme. Nombre de romanciers, d'écrivains, de journalistes et de scribouillards investissent le champ littéraire pour servir à l'opinion leur contribution à l'amalgame Islam-terrorisme et déverser leurs larmes sur les dangers de l'islamisme et de l'islam tout cours. Les publications de qualité médiocre et de contenu pathétique inondent les rayons des éditeurs. Tous s'acharnent sur l'Iran-l'Irak-Afghanistan-Ghaza comme dépositaires du mal et du danger menaçant la planète Terre. Aucune compassion pour leurs populations soumises au génocide, car elles sont Musulmanes. Ces nouveaux croisés ne s'encombrent d'aucunes préoccupations démocratiques et humanitaires au profit des musulmans exterminés, uniquement des utopies des libertés et "ismes" que leurs dictent les maitres de la nébuleuse juive internationale. La gratuité de leur haine contre les musulmans-arabes et les abominations qu'ils leurs dédient, dévoilent leur état d'aliénation et le barbarisme de leur idéologie. Rien sauf la rancune juive traditionnelle traduite dans le vocable de ces mercenaires nord africains ne peut justifier un tel état d'esprit et d'adversité. Naviguez sur le web et visitez les sites amazighs, pour constater l'étendue de l'animosité et de la malveillance contre-nature de ces tarés incultes sortis du barbarisme de l'antiquité . Examinons un exemple de personnage de la culture berbère qui servent l'antagonisme fictif opposant amazigh et arabes.
-Les personnages de l'antiquité : Kahina ou Dihya.
(lien1 à "afriquedunord .com "un des sites les plus virulents et parmi les plus nauséabonds, maitre de l'insulte et de la haine gratuite réservé à l'Islam , apanage des sionistes et psychopathes servant l'état d'Israél.)
12 novembre 2006 .
«Dihya, surnommée la Kahina, n’est pas la première à avoir unifié les berbères et elle ne sera pas la dernière. Avant elle, il y eut Jugurtha contre Rome, Donat contre l’église de Saint Augustin, Khattabi contre le colonialisme français. Tous voulaient l’affranchissement du peuple amazigh de toute tutelle... (pour changer de maitre, selon la règle"imiter le vainqueur")
«Par son nouveau livre portant sur la Kahina (1), Gisèle Halimi vient de rejoindre la collection des auteurs qui se projettent dans des personnages historiques à la recherche d’une identité mythique et de symboles pour continuer à [sur]vivre.»
«Dihya, surnommée la Kahina, est une Femme, chawie, féministe (le ridicule à son apogée ) ,libre, guerrière, stratège politique et de surcroît Reine. Reine des Aurès. Reine des Berbères. (glorification ou déification ?) Reine des femmes et des hommes qui se battent pour leur dignité. Dihya est morte dignement, et ses assassins étaient lâches. Elle les a humiliés en leur infligeant des défaites militaires ; elle les a humiliés en rendant l’âme comme une berbère, fidèle à elle même. Gisèle Halimi ne nous apprend rien !»«Dans son roman, Khaled cherche à connaître et à découvrir la Kahina. Ce n’est pas une coïncidence si Khaled est le seul prisonnier arabe, un neveu du chef de l’armée arabo-musulmane, à ne pas avoir été libéré par Dihya et qu’elle adopta par la suite. En retour, il la trahissait en communiquant à son clan, et en permanence, les informations stratégiques sur le camp berbère. Cette confusion de genre et de personnage n’est pas innocente.»
«Au fil du roman [historique], Gisèle Halimi met en avant la judaïcité de la Kahina au détriment de sa berbérité. D’ailleurs était-elle vraiment juive ?»
La grenouille ne se limitant pas à vouloir se faire plus grosse que le bœuf, elle s'est embarquée dans la machine à remonter le temps !
Le mensonge répété incessamment est perçu comme vérité, une règle de la perfidie juive-talmude. Pour ceux qui auraient des doutes sur l'authenticité de ce genre d'absurdités, qu'ils visitent brièvement les sites militants amazigh islamophobes, je précise "brièvement", car en s'y attardant les lecteurs risquent d'être traumatisés, par la virulence des propos et la haine démentielle vomie contre l'Islam et ses nobles symboles. Preuve de leur aliénation irréversible, leur mépris acharné de la majorité (99%) des Algériens Berbères et Amazighs qui depuis 15 siècles vivent harmonieusement leur culture berbère et leur attachement à l'Islam, qu'ils défendent d'ailleurs avec acharnement depuis Tarek Ibnou Ziyad.
Comme précisé au début de cet article, ces déchainés, vrais Frankeinstein libérés des laboratoires "pavloviens" , occupent l'espace nord africain, sévissent en Algérie et y cultivent les ferments de la discorde. Cette mouvance a infiltré les associations diverses et vise surtout les média. Donnons en un exemple :
«Quand les Algériens sont malades de l’islam» (9 août 2008).
«Le moral des Algériens est au plus bas. Le changement du système, à la fois politique et religieux, reste la seule planche de salut si on veut réellement sauver le pays.» Publié dans "Afriquedunord.com", naturellement et conforme à ligne rédactionnelle de ce site sioniste. Ce qui est troublant est que l'article est une synthèse de celui publié par "Le Quotidien d’Oran" sous la plume de Yazid Haddar, un provocateur professionnel qui de sa plume empoisonnée défie et vilipende à longueur d'année 35 millions d'Algériens Musulmans, voir dans la suite du texte :
«...et la dissolution du ministère des affaires religieuses : assez de propagandes en terre de liberté !»«Il ne suffit pas d’avoir un pays, un drapeau, un hymne pour dire qu’il y a un État. Gouverner, c’est prévoir. L’État algérien paraît plus virtuel que réel. Le citoyen ne le voit nulle part. Le despotisme, les passe-droits, la corruption, le trafic d’influence sont monnaie courante et leurs acteurs politiques ne semblent pas s’inquiéter outre mesure. Comme si l’État n’affiche aucune ambition à rattraper le concert des nations développées*. Alors, il développe son sous-développement : l’Islam, avec la bénédiction de ses pseudo-intellectuels et les pseudo-sages musulmans qui devraient tous être jugés par le TPI pour inoculation et propagation du virus anti-humain et violation mentale des peuples sous régime arabo-musulman.» «L’Islam en pays dits musulmans est un véritable frein penser…» «Devant cette escalade de destructions, certains analystes, comme les gouverneurs, parlent du manque d’encadrement associatif, d’irrationalités collectives et de contagion. Certains expliquent cette violence par l’étouffement social. Au début du XXe siècle, Gustave Le Bon fut le premier à comparer la propagation des troubles sociaux à une infection microbienne (Cf. La psychologie des Foules de Gustave Le Bon)*. Ici nous nommerons la principale infection est celui de l’Islam.» «Dans quelles conditions les groupes deviennent-ils violents ? On constate souvent que les facteurs latents de la violence sont : la dévalorisation (chômage, stigmatisation et discrimination), l’incohérence des statuts (diplômé sous-employé), la justification morale de la violence (doctrinale, religieuse, ...), des normes sociales délinquantes et violentes, des faiblesses au niveau des compétences verbales et de l’insertion sociale. Tout ceci est le résultat d’une société abandonnée à l’obscurantisme et au défaitisme que les différents gouverneurs ont bien voulu instaurer depuis l’accès de ce pays à l’indépendance : affaiblir par l’endoctrinement pour mieux régner* (Ici l’Islam).»
L'écrivain, psychologue-conseiller à ses heures perdues , aborde son thème favori :
«Prenons la sexualité comme exemple : les jeunes se marient de plus en plus tard (Cf. 33,5 ans pour les hommes et 29,9 ans pour les femmes, selon le dernier rapport du CNES, 2008, cela n’est que pure fantaisie, car la réalité est bien loin du compte : les femmes à plus de 45 ans sont encore vierges, les hommes ne savent pas s’ils sont hétéro ou homo par manque total de sexualité) pas de logement, pas de travail. Cependant, nous savons tous que hors mariage, les rapports sexuels sont interdits, ce qui a pour effet de créer un déséquilibre au niveau personnel dans les deux formes de contrôle : contrôle interpersonnel (qui réduit la liberté d’intégrer les valeurs sociales, mais aussi augmente les frustrations et une forme de violence, que les psychanalystes nomment pulsion violente) et contrôle interne (ou moral). Interdiction absolue de communiquer ou de recevoir une d’éducation sur la sexualité au sein de ces sociétés*(Ici l’Islam).» «Soljenistyne avait raison quand il dit : laissons les arabes à leur sort : ils ont l’Islam… (seul patrimoine qu’ils ont légué à la moitié de la terre pour mieux l’annihiler).»
Édifiant, n'est-ce pas ? Tout le répertoire "néo-con", "clash des civilisations », compressé dans cette déclaration-profession de foi de ce démon de Yazid Haddar.
Publiée par qui ? Par un quotidien national ! Le Quotidien d'Oran. Un nid de reptiles gardé par Kamel Daoud, une vipère rampante du zoo littéraire francophone. Zoo renfermant quelques espèces de lézards, fort heureusement en voie de disparition car très venimeux.
Dans un article à venir, je décrirais prochainement la nature et les méfaits de cette espèce animale locale aux caractéristiques semblables à celle vivant en Jewland.
En dépit de leur agression soutenue contre le peuple, ces téméraires de la plume se plaignent des entraves à la liberté d'expression.
Une liberté que ce ghaddar (traitre) piétine de ses bottes d'éclaireur talmude en agressant avec effronterie les valeurs chères à un peuple, à la manière des Kamikazes, mais plus subtile car sans explosifs. Mais tout autant efficace pour créer le désarroi et la colère dans les esprits. Ce personnage étrange est visiblement programmé pour attaquer de front l'opinion musulmane, sans pudeur ni retenue, et pour peut être inscrire son nom sur la liste des martyrs sans lesquels ces mouvements contestataires n'accèdent pas à la notoriété. Déconcertantes les provocations de cet élève en psychiatrie freudienne, habité par "l'esprit" cartésien le hantant et qui l'a affligé de cécité, le privant de vérités spirituelles.
Exemples ces extraits d'articles publiés par une pléthore de sites web, le support médiatique de sa "mission" et de celle des "célébrités" algériennes de la littérature francophone, Babes, Tamzali, Sansal, Ghazali, etc..., toutes acoquinées aux réseaux proxénètes sionistes de France et citées en tant qu'experts de l'Islam, qu'elles abhorrent ! Elles ne ratent jamais l'occasion pour saigner du musulman ou de l'arabe, dans un exhibitionnisme intellectuel indécent qui verse dans la mendicité, la main tendue vers leurs maitres, qui trouvent toujours au fond de la poche un petit Prix international à leur offrir, pour services rendus à la "l'axe du bien". Fatalité de l'histoire qui semble enfanter avec chaque génération son lot de harkis, de la pensée dans ce cas, et armés d'une plume. Défiant et arrogant, ignorant l'histoire des Arabes et leur langue, le Kamikaze écrit :
«Il est indispensable que nous restions vigilants face aux distorsions que subissent insidieusement notre histoire et notre identité. Si nous n’y prenons garde, un jour nos ancêtres deviendront arabes !».....
«La civilisation arabe et musulmane est omniprésente dans l’enseignement scolaire au détriment de la civilisation berbère et ses influences dans le bassin méditerranéen et dans la civilisation arabo-musulmane. Cela constitue une lacune édifiante et sans doute volontaire qui laisse les jeunes algériens à la merci des manipulations de certains courants idéologiques»
(consultez impérativement l'historien Pierre Rossi et son œuvre monumentale "La cité d’Isis, histoire vraie des Arabes", disponible en librairie, enag-Algérie).
Pierre Rossi répond aux déclarations mensongères, aveugles, et chauvines de ce pantin Israélite (voir capture d'écran ci dessus) :
______________________________________________________ Gardons à l'esprit le fait que le traitre qui s'est infiltré parmi nous, n'ignore pas ces vérités historiques mais les dissimule, sa mission d'agent provocateur l'y contraint. Par un lapsus, il dévoile ses affinités naturels lorsque prosterné devant la déesse "Diaspora", il disserte sur Jacques Derrida, qu'il glorifie de juif algérien (un honneur) dont il nous fait découvrir l'enfance (lien). Ne manquez pas de lire ce qu'il pense de Zemmour la nouvelle star du sionisme de France, au (Lien), et l'introduction élogieuse qu'il reçoit de son complice Akram B. du "Quotidien D'Oran" ! Très révélateur du stade avancé d'égarement et de dépravation affectant ce "Français" d'adoption, notre Yazid Haddar, alias Yashimoun Hadarokh.
_________________________________________________
(*) Une invention appelée «Le peuple juif" (Lien-Anglais)
«La Déclaration d'indépendance d'Israël stipule que le peuple juif est né sur la terre d'Israël et a été exilé de sa patrie. Chaque écolier israélien apprend que cela s'est produit pendant la période de la domination romaine, en 70 CE. La nation est restée fidèle à sa terre, à laquelle elle a commencé à retourné après deux millénaires d'exil. Faux, dit l'historien Shlomo Zand, dans un des livres les plus fascinants et stimulants publiés depuis longtemps. Il n'y a jamais eu de peuple juif, seulement une religion juive, aussi l'exil ne s'est également jamais produit - par conséquent, il n'y a pas eu de retour. Zand rejette la plupart des histoires Bibliques de la formation d'une identité nationale , celle de l'exode d'Égypte et plus affirmativement celle des horreurs de la conquête sous Josué. C'est entièrement de la fiction et un mythe qui a servi de prétexte à la création de l'État d'Israël, affirme-t-il..» ____________________________________________
(*) Le Monde diplomatique prend également le relais et expose la controverse (Lien-français):
«Déconstruction d’une histoire mythique,
Comment fut inventé le peuple juif. (Par Shlomo Sand )»
«Les Juifs forment-ils un peuple ? A cette question ancienne, un historien israélien apporte une réponse nouvelle. Contrairement à l’idée reçue, la diaspora ne naquit pas de l’expulsion des Hébreux de Palestine, mais de conversions successives en Afrique du Nord, en Europe du Sud et au Proche-Orient. Voilà qui ébranle un des fondements de la pensée sioniste, celui qui voudrait que les Juifs soient les descendants du royaume de David et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars. »«Tout Israélien sait, sans l’ombre d’un doute, que le peuple juif existe depuis qu’il a reçu la Torah ( 1) dans le Sinaï, et qu’il en est le descendant direct et exclusif. Chacun se persuade que ce peuple, sorti d’Egypte, s’est fixé sur la « terre promise », où fut édifié le glorieux royaume de David et de Salomon, partagé ensuite en royaumes de Juda et d’Israël. De même, nul n’ignore qu’il a connu l’exil à deux reprises : après la destruction du premier temple, au VIe siècle avant J.-C., puis à la suite de celle du second temple, en l’an 70 après J.C.»
...«S’ensuivit pour lui une errance de près de deux mille ans : ses tribulations le menèrent au Yémen, au Maroc, en Espagne, en Allemagne, en Pologne et jusqu’au fin fond de la Russie, mais il parvint toujours à préserver les liens du sang entre ses communautés éloignées. Ainsi, son unicité ne fut pas altérée. A la fin du XIXe siècle, les conditions mûrirent pour son retour dans l’antique patrie. Sans le génocide nazi, des millions de Juifs auraient naturellement repeuplé Eretz Israël (« la terre d’Israël ») puisqu’ils en rêvaient depuis vingt siècles.» «Vierge, la Palestine attendait que son peuple originel vienne la faire refleurir. Car elle lui appartenait, et non à cette minorité arabe, dépourvue d’histoire, arrivée là par hasard. Justes étaient donc les guerres menées par le peuple errant pour reprendre possession de sa terre ; et criminelle l’opposition violente de la population locale.»....«D’où vient cette interprétation de l’histoire juive ? Elle est l’œuvre, depuis la seconde moitié du XIXe siècle, de talentueux reconstructeurs du passé, dont l’imagination fertile a inventé, sur la base de morceaux de mémoire religieuse, juive et chrétienne, un enchaînement généalogique continu pour le peuple juif. L’abondante historiographie du judaïsme comporte, certes, une pluralité d’approches. Mais les polémiques en son sein n’ont jamais remis en cause les conceptions essentialistes élaborées principalement à la fin du XIXe siècle et au début du XXe.Le judaïsme, religion prosélyte.» ....«Bref, en soixante ans, l’histoire nationale a très peu mûri, et elle n’évoluera vraisemblablement pas à brève échéance. Pourtant, les faits mis au jour par les recherches posent à tout historien honnête des questions surprenantes au premier abord, mais néanmoins fondamentales.»
...«Les historiens sionistes n’ont cessé, depuis, de réitérer ces « vérités bibliques », devenues nourriture quotidienne de l’éducation nationale.»
..«Mais voilà qu’au cours des années 1980 la terre tremble, ébranlant ces mythes fondateurs. Les découvertes de la « nouvelle archéologie » contredisent la possibilité d’un grand exode au XIIIe siècle avant notre ère. De même, Moïse n’a pas pu faire sortir les Hébreux d’Egypte et les conduire vers la « terre promise » pour la bonne raison qu’à l’époque celle-ci... était aux mains des Egyptiens. On ne trouve d’ailleurs aucune trace d’une révolte d’esclaves dans l’empire des pharaons, ni d’une conquête rapide du pays de Canaan par un élément étranger.»
..«Il n’existe pas non plus de signe ou de souvenir du somptueux royaume de David et de Salomon. Les découvertes de la décennie écoulée montrent l’existence, à l’époque, de deux petits royaumes : Israël, le plus puissant, et Juda, la future Judée. Les habitants de cette dernière ne subirent pas non plus d’exil au VIe siècle avant notre ère : seules ses élites politiques et intellectuelles durent s’installer à Babylone. De cette rencontre décisive avec les cultes perses naîtra le monothéisme juif.»
«L’exil de l’an 70 de notre ère a-t-il, lui, effectivement eu lieu ? Paradoxalement, cet « événement fondateur » dans l’histoire des Juifs, d’où la diaspora tire son origine, n’a pas donné lieu au moindre ouvrage de recherche. Et pour une raison bien prosaïque : les Romains n’ont jamais exilé de peuple sur tout le flanc oriental de la Méditerranée. A l’exception des prisonniers réduits en esclavage, les habitants de Judée continuèrent de vivre sur leurs terres, même après la destruction du second temple.» «Une partie d’entre eux se convertit au christianisme au IVe siècle, tandis que la grande majorité se rallia à l’islam lors de la conquête arabe au VIIe siècle. La plupart des penseurs sionistes n’en ignoraient rien : ainsi, Yitzhak Ben Zvi, futur président de l’Etat d’Israël, tout comme David Ben Gourion, fondateur de l’Etat, l’ont-ils écrit jusqu’en 1929, année de la grande révolte palestinienne. Tous deux mentionnent à plusieurs reprises le fait que les paysans de Palestine sont les descendants des habitants de l’antique Judée (2).»
...«A défaut d’un exil depuis la Palestine romanisée, d’où viennent les nombreux Juifs qui peuplent le pourtour de la Méditerranée dès l’Antiquité ? Derrière le rideau de l’historiographie nationale se cache une étonnante réalité historique. De la révolte des Maccabées, au IIe siècle avant notre ère, à la révolte de Bar-Kokhba, au IIe siècle après J.-C, le judaïsme fut la première religion prosélyte. Les Asmonéens avaient déjà converti de force les Iduméens du sud de la Judée et les Ituréens de Galilée, annexés au « peuple d’Israël ». Partant de ce royaume judéo-hellénique, le judaïsme essaima dans tout le Proche-Orient et sur le pourtour méditerranéen. Au premier siècle de notre ère apparut, dans l’actuel Kurdistan, le royaume juif d’Adiabène, qui ne sera pas le dernier royaume à se « judaïser » : d’autres en feront autant par la suite.» ...«Les écrits de Flavius Josèphe ne constituent pas le seul témoignage de l’ardeur prosélyte des Juifs. D’Horace à Sénèque, de Juvénal à Tacite, bien des écrivains latins en expriment la crainte. La Mishna et le Talmud (3) autorisent cette pratique de la conversion — même si, face à la pression montante du christianisme, les sages de la tradition talmudique exprimeront des réserves à son sujet.»
...«La victoire de la religion de Jésus, au début du IVe siècle, ne met pas fin à l’expansion du judaïsme, mais elle repousse le prosélytisme juif aux marges du monde culturel chrétien. Au Ve siècle apparaît ainsi, à l’emplacement de l’actuel Yémen, un royaume juif vigoureux du nom de Himyar, dont les descendants conserveront leur foi après la victoire de l’islam et jusqu’aux temps modernes. De même, les chroniqueurs arabes nous apprennent l’existence, au VIIe siècle, de tribus berbères judaïsées : face à la poussée arabe, qui atteint l’Afrique du Nord à la fin de ce même siècle, apparaît la figure légendaire de la reine juive Dihya el-Kahina, qui tenta de l’enrayer. Des Berbères judaïsés vont prendre part à la conquête de la péninsule Ibérique, et y poser les fondements de la symbiose particulière entre juifs et musulmans, caractéristique de la culture hispano-arabe.»
...«La conversion de masse la plus significative survient entre la mer Noire et la mer Caspienne : elle concerne l’immense royaume khazar, au VIIIe siècle. L’expansion du judaïsme, du Caucase à l’Ukraine actuelle, engendre de multiples communautés, que les invasions mongoles du XIIIe siècle refoulent en nombre vers l’est de l’Europe. Là, avec les Juifs venus des régions slaves du Sud et des actuels territoires allemands, elles poseront les bases de la grande culture yiddish (4).»
...«Ces récits des origines plurielles des Juifs figurent, de façon plus ou moins hésitante, dans l’historiographie sioniste jusque vers les années 1960 ; ils sont ensuite progressivement marginalisés avant de disparaître de la mémoire publique en Israël. Les conquérants de la cité de David, en 1967, se devaient d’être les descendants directs de son royaume mythique et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars. Les Juifs font alors figure d’« ethnos » spécifique qui, après deux mille ans d’exil et d’errance, a fini par revenir à Jérusalem, sa capitale.»
...«Les tenants de ce récit linéaire et indivisible ne mobilisent pas uniquement l’enseignement de l’histoire : ils convoquent également la biologie. Depuis les années 1970, en Israël, une succession de recherches « scientifiques » s’efforce de démontrer, par tous les moyens, la proximité génétique des Juifs du monde entier. La « recherche sur les origines des populations » représente désormais un champ légitimé et populaire de la biologie moléculaire, tandis que le chromosome Y mâle s’est offert une place d’honneur aux côtés d’une Clio juive (5) dans une quête effrénée de l’unicité d’origine du « peuple élu ».
....«Cette conception historique constitue la base de la politique identitaire de l’Etat d’Israël, et c’est bien là que le bât blesse ! Elle donne en effet lieu à une définition essentialiste et ethnocentriste du judaïsme, alimentant une ségrégation qui maintient à l’écart les Juifs des non-Juifs — Arabes comme immigrants russes ou travailleurs immigrés.»
....«Ecrire une histoire juive nouvelle, par-delà le prisme sioniste, n’est donc pas chose aisée. La lumière qui s’y brise se transforme en couleurs ethnocentristes appuyées. Or les Juifs ont toujours formé des communautés religieuses constituées, le plus souvent par conversion, dans diverses régions du monde : elles ne représentent donc pas un « ethnos » porteur d’une même origine unique et qui se serait déplacé au fil d’une errance de vingt siècles.»
«Le développement de toute historiographie comme, plus généralement, le processus de la modernité passent un temps, on le sait, par l’invention de la nation. Celle-ci occupa des millions d’êtres humains au XIXe siècle et durant une partie du XXe. La fin de ce dernier a vu ces rêves commencer à se briser. Des chercheurs, en nombre croissant, analysent, dissèquent et déconstruisent les grands récits nationaux, et notamment les mythes de l’origine commune chers aux chroniques du passé. Les cauchemars identitaires d’hier feront place, demain, à d’autres rêves d’identité. A l’instar de toute personnalité faite d’identités fluides et variées, l’histoire est, elle aussi, une identité en mouvement.»
Shlomo Sand: Historien, professeur à l’université de Tel-Aviv, auteur de "Comment le peuple juif fut inventé".
(1) Texte fondateur du judaïsme, la Torah — la racine hébraïque yara signifie enseigner — se compose des cinq premiers livres de la Bible, ou Pentateuque : Genèse, Exode, Lévitique, Nombres et Deutéronome.
(2) Cf. David Ben Gourion et Yitzhak Ben Zvi, « Eretz Israël » dans le passé et dans le présent (1918, en yiddish), Jérusalem, 1980 (en hébreu) et Ben Zvi, Notre population dans le pays (en hébreu), Varsovie, Comité exécutif de l’Union de la jeunesse et Fonds national juif, 1929.
(3) La Mishna, considérée comme le premier ouvrage de littérature rabbinique, a été achevée au IIe siècle de notre ère. Le Talmud synthétise l’ensemble des débats rabbiniques concernant la loi, les coutumes et l’histoire des Juifs. Il y a deux Talmud : celui de Palestine, écrit entre le IIIe et le Ve siècle, et celui de Babylone, achevé à la fin du Ve siècle.
(4) Parlé par les Juifs d’Europe orientale, le yiddish est une langue slavo-allemande comprenant des mots issus de l’hébreu.
(5) Dans la mythologie grecque, Clio était la muse de l’Histoire.
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( A suivre.....)