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18 nov. 2019

Recours au mensonge vil et vulgaire des média fafa-sionnistes (locaux et étrangers) pour entraver le déroulement des élections présidentielles en Algérie. Le mensonge est la nouvelle règle déontologique.

Par le biais de descriptifs fictifs et biaisés les média affilés à Fafa-Sion rapportent des faits et les corrompent.
Leur objectif aveugle (commandité, donc obéit aux ordres) d'entraver le déroulement des élections présidentielles du 12 Décembre, à contre courant du mouvement populaire MAJORITAIREMENT favorable au vote. Ignorons le Hirak actuel, marginal, d'inspiration et d'orchestration amazighoide-lavigeriste, non représentatif.
Cette forme de désinformation démontre une vérité certaine : ces élections sont une menace définitive pour les intérêts de la dictature sioniste parisienne, gouvernance dont les méfaits sont internationalement documentés et révélés à travers les images et vidéo couvrant les manifestations des Gilets Jaunes.

Un exemple de l'actuelle campagne mensongère : la réunion à Genève organisée par "Algériens sans frontières". (ASF)



Remarque :
- Les réalisations du président de ASF est Belhocine Lachemi : il a été exalté par la nébuleuse lavigeriste des média (El-Watan, Algérie 360, AlgériePart, Liberté-Algérie, etc...) pour avoir saisi le Conseil fédéral suisse  et demander de “bloquer les avoirs du clan Bouteflika obtenus illicitement”.
- 1er mensonge et diversion : le clan Bouteflika est un épouvantail. Il insinue l'implication de l'ex-président dans les malversations, donc diffamation ! Car Bouteflika a été trahi par son frère, est donc une victime de la Issaba que Said avait rejoint. Aucunes banques étrangères n'ont jamais rapporté l'existence de comptes au nom de Bouteflika, comme elles l'avaient fait pour les présidents Saddam, Moubarak, El Assad, Benali, etc...
- La preuve de la partialité Apprécions le militantisme et patriotisme anti-corruption à géométrie variable de Belhocine Lachemi !
Son omerta flagrante intentionnelle des grands du syndicat du crime, les généraux psychopathes Toufik-Touati-Nezzar, les escrocs et malfaiteurs Rebrab et Haddad, et les politiciens véreux Ouyahia et Sellal (ni mention d'eux, ni allusion à eux, rien !). Tous membres de la Dechra !  
3- Belhocine clame organiser un Hirak de la diaspora, qui s'élèverait contre les élections. Ses balades en France-USA-Canada ne réunissent que les lavigeristes-amazighs, incluant les makkistes, faisant de lui un classique surfeur monté sur la vague et en symbiose avec les Said Saadi-Belabbes-Abboud-Semmar-Amir DZ et leurs supports médiaques. 


4- Belhocine appelle les magistrats à sortir dans la rue ! Quelle perfidie et cynisme, l'avocat ne mentionne pas leur rôle dans le pourrissement de la justice de 50 ans passés ! 
Il les adresse en "frères ". Naturellement il est de leur école de l'abus de pouvoir et de la saignée du citoyen !
Lien (vidéo facebook : https://tinyurl.com/v9efya6 )


5- Il débat de la Constitution et sa révision, contourne la question de la légitimité des décideurs organisant cette révision. Qui sauf un président élu, a cette prérogative de proposer une révision ? Inspiré des pratiques suisses de citoyenneté constituante, il propose des reformes embellies, qui demeurent utopiques sans avoir surmonté le défi réel, élire un président, suivi du choix d'un gouvernement, ce que l'actuel garant de la Constitution, le général Gaid Salah,  a respecté et défendu.
 

6- Notez ses familiers et ses partenaires : El-Watan-Algerie 360-AlgériePart- Liberté, et le cercle de l'opposition à l'étranger, une belle équipe de démocrates et patriotes ( huilée aux $$$$ Cevital-Qatar-turquie et qui sait certainement DGSE française ? )














23 oct. 2019

Bouregaa et le discours verbeux des avocats de la Issaba (bande ou syndicat du crime organisé incarcéré)

Une vidéo accablante de la nature de l'opposition subversive et de sa caste d'avocats véreux, tous militants de la cause déchue du régime criminel Toufik-Touati-Rebrab-Ouyahia-Haddad-Sellal, etc, etc....
La vidéo :  
Analyse :
La caste des avocats de l'opposition ont détourné la mission de la justice loin de ses objectifs constitutionnels et piétinent les règles déontologiques qui leur sont prescrites. Ils font de leur statut privilégié (obtenu généreusement grâce à la Constitution maçonnique) une arme dirigée contre la gouvernance, n'épargnant ni les tribunaux, ni les juges, ni l'institution qui les nourrit. Rappelons que la nouvelle justice a répondu aux voeux du peuple en frappant les parrains de la corruption et la haute hiérarchie des traitres à la nation, du monde de la politique et du militaire.
Grâce à l'accompagnement du ministère de la défense et de l'ANP la justice poursuit sa mission et opère sa mutation au service du peuple et de la Nation.

-16 avocats sortent du tribunal de Sidi M'Hamed, à leur tête Zoubida Assoul, la Madonna de cette troupe d'amuseurs de foule.
INCOHÉRENCE, CONTRADICTION, CONTRE VÉRITÉS, ABUS DE LANGAGE, CALOMNIE, PROVOCATION ! TOUTES LES FAUTES PROFESSIONNELLES IMAGINABLES RESSORTENT DE LEURS DÉCLARATIONS PUBLIQUES !

1- ce ne sont pas eux, les juristes, qui conseillent leur client et dirigent la plaidoirie, mais ils ne font qu'argumenter et justifier l'entêtement de Bouregaa à ne pas répondre aux juges. À quoi servent-ils donc ?
2- En entérinant la décision, ils s'attaquent aux juges (je ne sais ce que la loi du tribunal prévoit pour de tels dépassements),
3- ils détournent l'affaire de son cadre juridique et la politisent en rejetant carrément la légitimité du tribunal, du ministère de la justice, du gouvernement, de ce qu'ils appellent "régime" et non gouvernance transitoire constitutionnelle !
4- Zoubida, le petit beurre de cette aristocratie professionnelle arrogante croit jouer à la Kahina des amazighs juifs de cette opposition scélérate (ou peut-être à Jeanne d'Arc, lavigerisme oblige ?).
D'un tour de magie sémantique subtile, les incarcérés, entendre tous ceux d'El Harrach et de Blida, deviennent des "otages du système", des victimes de règlements de comptes, des saints persécutés pour leur croyance (la religion de la forchetta), etc...


Remarque : L'Église, le Vatican et son Pape, devraient d'urgence BÉATIFIER Rebrab, Ouyahia, Sellal, Toufik, et leur syndicat du crime.(économique et humanitaire), et ÉLEVER LES AUTRES MARTYRS au rang de "Bienheureux " !

5- L'avocat suivant (dans la vidéo) qualifie le tribunal de Sidi M'Hamed de tribunal colonial. Ce qui implique ironiquement que sa caste est un ramassis d'agents collaborateurs et de harkis, puisqu'ils exercent confortablement ($$$$) dans ce tribunal colonialiste depuis 1962 !
--- https://youtu.be/60b6t0OlE0A

10 déc. 2018

Honteux Mr Chitour, votre ode à Issad Rebrab est surréaliste. Vous êtes un falsificateur et vile rapporteur de l'Histoire !

Honteux Mr Chitour, votre ode à Issad Rebrab est surréaliste. Vous êtes un falsificateur et vile rapporteur de l'Histoire !  Vous avez par cet article perdu toute crédibilité, et par ce témoignage avez récolté la malédiction divine réservée au témoins du "Zoor", contraire à "al haq" !

Chems Eddine Chitour est professeur émérite en Thermodynamique, je ne sais quelle invention lui a valu ce titre, mais sa distinction est sans doute due à sa multitude d'interventions journalistiques verbeuses et ses écrits prolifiques, pédants, et brumeux, touchant à tous les domaines, énergie, politique, Histoire, géo-stratégie, conflits, etc...
Écrire et publier au rythme d'une presse rotative de journaux, et traiter autant de sujets complexes implique nécessairement le peu de sérieux, de cohérence et de fiabilité de ses publications.
Mille anomalies peuvent être relevées dans ses écrits pour en citer quelques unes :
1- lors du centenaire de la Révolution bolshevique de 1917, en retard de 100 ans sur les évènements, il s'appuie intégralement sur le texte de wikipedia, et ignore les révélations documentées et sourcées d'historiens qui démontent que la révolution est l'oeuvre des banquiers juifs de New-York, et pas de prétendus idéologues et penseurs humanistes marxistes. Ridicule.
2- emporté par l'instinct régionaliste de la Dechra, il trace un portrait incroyablement élogieux et élaboré de Pépé Rebrab et de CEVITAL, avec tous les non dits sur son passé de prédateur (de la décennie noire en particulier, et plus spécifiquement du socialisme scélérat).
Chitour : " Cette ambition , cette soif de réussite, cette résilience ne sont pas d’une quelconque bénédiction divine ou .........d’un quelconque coup de pouce honteux , au contraire Issad Rebrab a montré qu’il était résilient, tenace, sur de son .....bon droit mais comme tout comme capitaine d’industrie il se bat sans état d’âme avec les plus grands.»

Mr Chitour vous écrivez deux contre vérités, qui fait de vous un complice de Pépé !
a- Sans un coup de pouce honteux ?
- Celui de ses partenaires, les généraux, est donc HONORABLE ?
b- Vous dites "son bon droit " ?
- Celui de piller les banques publiques et défendre son monopole de l'huile et du sucre, cadeau de Toufik ? Et ne jamais rembourser ses dettes grâce aux faveurs de la junte-DRS ?
Meskine docteur émérite. Votre art de falsifier les vérités connues, votre régionalisme primitif, et votre manque d'intégrité, vous privent de toute crédibilité scientifique ! Ceci ne nous étonne pas, nous savons que votre cercle à pris en otage l'Algérie pas seulement la polytechnique d'El Harrach !

24 juil. 2016

Ex-Général Benhadid est dans le pétrin ! Le pouvoir de l'ombre tente d'en faire une victime ! Le stratagème de la Victimisation ! Ça rappelle une autre nébuleuse versée dans cette astuce de la pleurniche ?



 En 2004, le général en retraite avait dans une longue déclaration divulgué des informations confidentielles, sur les fonctionnements internes et les relations entre différentes structures de l'ANP. Il en était sorti indemne !
En 2014 et ultérieurement, il réitère la même infraction, en dévoilant des infos encore plus sensibles, que sa fonction d'officier lui avait permis d'acquérir !
Il a rompu ses engagements professionnels envers le pays, mais a la chance de trouver en Bouteflika un homme clément ! En accord avec son ingratitude et son arrogance l'opposition se lève et renverse l'affaire dans laquelle le délinquant Benhadid est métamorphosé en victime, victime de Said Bouteflika et d'un clan mythique ! On occulte les conséquences dangereuses de ses révélations ! Le criminel est blanchi et devient victime, la technique de la victimisation développée par les maitres de l'intox et de la subversion (les média sionistes) est appliquée à la lettre et propagée, enveloppée du leurre et subterfuge de la
"liberté d'expression"  !  Complicité collective des media, des avocats, des partis politiques et leurs dirigeants (de l'opposition), des officiers de l'ANP en retraite (le camp Toufik), etc... Une conspiration à grande échelle, avec des ramifications Paris-Sionnistes !

LIENS UTILES :
---> algeria-watch.org-anp_presidence 1/benhadid
---> algeria-watch-presidentielles 2/benhadid_itv.htm
---> dans ce blog Lien.



Texte à lire et étudier, les déclarations de Benhadid dans un article d'El Watan intitulé :

Hocine Benhadid : «Bouteflika doit partir dignement et Gaïd-Salah n’est pas crédible»

El Watan, 12 février 2014

Sec et nerveux, l’ex-général Hocine Benhadid – ancien commandant de la mythique 8e Division blindée et un des rares généraux à avoir démissionné (à 52 ans en 1996) – ne cache pas son exacerbation face à ce qu’il qualifie de «situation dangereuse». Il parle ici après dix ans de silence.(2004, et son soutien à Benflis)
 
- Quelle est votre lecture des récentes attaques du secrétaire général du FLN, Amar Saadani, contre le DRS et son patron, le général de corps d’armée Mohamed Médiène ?

D’abord, je tiens à préciser que mes frères d’armes m’ont demandé de parler parce que l’on ne peut pas laisser durer une telle situation. Pour revenir à votre question, Saadani n’a aucun pouvoir ni l’audace de parler seul, car il reçoit des ordres de certains. Il était difficile pour la Présidence d’affronter directement le DRS. Le Président n’a pas l’audace de s’attaquer frontalement à ce service, il a donc, lui ou son entourage, employé d’autres moyens, dont Amar Saadani. Le DRS a toujours été ciblé par la Présidence pour l’affaiblir, cela dure depuis l’arrivée de Bouteflika au pouvoir. Le DRS est une institution militaire et l’armée est l’ultime protecteur du pays. Si on porte atteinte à l’armée, le pays est en danger. C’est donc une trahison. Les attaques de Saadani sont une trahison. Et la cour de Bouteflika est aussi coupable de trahison. Ce clan joue avec le destin de l’Algérie. Bouteflika est otage de son entourage, il n’est conscient qu’une demi-heure ou une heure par jour. J’ajoute qu’une personne malade ne peut garantir la stabilité. Cette stabilité, il faut le rappeler, a été instaurée depuis l’ère Zeroual qui a commencé par la loi de la rahma. D’ailleurs, la stabilité n’est pas le fait d’un seul homme, elle émane des institutions.

- Des noms, pour préciser quel groupe à la Présidence vous visez…

Le premier et principal acteur est bien sûr le frère du Président, Saïd.

- Le frère cadet est-il aussi important ?

C’est Saïd Bouteflika qui gère le pays et donc son seul adversaire est le DRS. Tout le monde est à plat ventre devant Saïd, les ministres, les walis, la police, les hauts responsables… Il gère via le téléphone de la Présidence, donc les gens obéissent. Et dans l’armée, Gaïd-Salah est avec lui. Mais je précise qu’il ne s’agit que de Gaïd-Salah en tant qu’individu – pas l’armée entière en tant qu’institution – qui est le soutien de Saïd.

- Pourquoi le clan présidentiel veut-il affaiblir le DRS ?

La première raison est d’ouvrir la voie au quatrième mandat en affaiblissant tous ses adversaires. La deuxième raison est que ce clan veut sauver sa peau, car la corruption a atteint des niveaux dangereux. Ils ne veulent pas rendre de comptes à l’avenir. C’est une question de survie pour eux, une manière de se protéger encore pendant cinq ans avant de trouver une autre solution. Mais ce quatrième mandat est impossible, car si le Président peut mener une campagne par procuration, comment va t-il prêter serment (car il serait «élu» par les appareils et l’administration, dans ce cas-là, on le sait) ? Bouteflika ne peut ni parler ni se mettre debout. Ce serait un scandale vis-à-vis de l’opinion nationale et internationale. L’Algérie serait la risée des nations. Ses proches veulent trouver une «astuce» pour qu’il puisse le faire, mais il n’y a rien à faire ! Personnellement, je ne crois pas que Bouteflika veuille d’un quatrième mandat, ce sont ses proches qui n’arrêtent pas de jouer du bendir. Il n’y a que certains ministres et appareils qui font dans l’à-plat-ventrisme. Ils veulent affaiblir le DRS, aussi, car il est question d’enquêtes sur des dossiers très lourds, des milliards de dollars. Et c’est le frère du Président lui-même qui est éclaboussé par ces scandales.

- Le DRS est-il réellement un obstacle au quatrième mandat ou est-ce la neutralité apparente de ce service qui exaspère le clan présidentiel ?

Le DRS n’intervient pas dans ces questions, ce service donne son avis seulement. Le DRS ne va pas dire à Bouteflika «non au quatrième mandat», il peut lui dire : «Il est préférable, Monsieur le Président, que vous vous retiriez.» Le DRS ne va pas obliger Bouteflika à ne pas aller vers un nouveau mandat. C’est la discipline et l’éducation militaire qui interdisent de s’adresser au Président en ces termes ; je rappelle que Toufik est militaire comme l’a été Bouteflika. Ce dernier est ministre de la Défense, Toufik ne peut pas se permettre de lui interdire de se représenter, il peut juste lui suggérer qu’il serait préférable, pour l’Algérie, d’abandonner l’option du quatrième mandat vu sa maladie. Pas plus. Ce qui fait bouger les proches du Président est qu’ils ont peur de rendre des comptes. Or, l’heure de rendre des comptes viendra, après un an ou après dix ans.

- Que pensez-vous des changements opérés au sein du DRS en septembre ?

Il n’y a eu aucun changement ! La DCSA est depuis longtemps rattachée à l’état-major, cette direction envoie des rapports à Toufik et aussi à l’état-major. Du temps de Lakehal Ayat, la DCSA était chapeautée par la Sécurité militaire ; c’est Khaled Nezzar, en tant que chef d’état-major, qui l’a rattaché à l’EM. Les officiers du renseignement sont très solidaires, leur esprit de corps est très puissant, on ne peut les séparer ou les diviser.

- Qu’en est-il alors de la suppression de la direction de la police judiciaire du DRS, qui a enquêté sur les grands scandales de corruption ?

Ce n’est pas important. En plus, tous ces dossiers d’enquête sont chez les officiers du renseignement. Ils n’ont plus besoin d’autres dossiers. Ces «changements» sont présentés par le clan comme un affaiblissement du DRS, mais le Président ne peut rien contre ce service. Toufik, malgré son âge et le temps qu’il a passé à la tête du DRS, est le dernier rempart de l’Algérie, sinon le pays sombrera. Toufik a laissé faire, il ne s’est pas opposé à Bouteflika durant ces quinze années parce que ce n’est pas son rôle de s’opposer au Président.

- Cette tension n’est pas seulement entre la Présidence et le DRS, mais aussi entre le chef d’état-major et le DRS…

Ne l’appelez plus «chef d’état-major» ! Depuis quand a-t-on vu un chef d’état-major nommé vice-ministre ?! Le chef d’état-major n’a aucune crédibilité et personne dans l’armée ne le porte dans son cœur. Ils ont juste peur de lui à cause de ses prérogatives. C’est tout. Toufik n’a aucun motif de discorde avec Gaïd-Salah, mais c’est ce dernier qui provoque le chef du DRS. Gaïd-Salah ne peut absolument rien contre Toufik. Il n’en a ni les capacités ni l’envergure. Toufik est très malin !

- Bouteflika veut-il mettre le général Toufik à la retraite ?

La volonté y est, du moins. En est-il capable avec son état de santé ? Une telle décision n’est pas facile à prendre car elle peut créer des remous dans l’armée, des divisions entre pro et anti-Bouteflika, pro et anti-Toufik… Si le Président avait procédé à la mise à la retraite de Toufik avant toute cette tension ou après la Présidentielle, ça aurait pu passer. Mais là, ce serait interprété comme une vengeance personnelle, le résultat d’une rancune.

- La cohésion de l’armée est-elle donc menacée ?

Non. L’armée est solidaire, l’esprit de corps est très fort. Ecoutez : nous avons enterré jeudi dernier un officier – général – de mon ancienne unité que j’ai longtemps commandée, la 8e Division blindée (ex-brigade) : tous les officiers de la «8» étaient là, malgré l’âge et l’éloignement. Bon, Gaïd-Salah n’a pas assisté ! Pourtant, c’était un général que l’on enterrait. C’est une honte. Il a préféré être à l’enterrement d’un lieutenant-colonel où il y avait Saïd Bouteflika.

Y a-t-il mésentente entre la majorité de l’armée et son chef d’état-major ?

Mais il y a la discipline : on ne peut refuser ses ordres, même si on n’est pas d’accord. Pour ce qui est de la chose politique ou des décisions qui pourraient déstabiliser le pays, la majorité ne marchera pas avec Gaïd-Salah. D’ailleurs, Gaïd-Salah quittera son poste, quatrième mandat ou pas. Parce que Bouteflika l’a instrumentalisé puis va s’en débarrasser. Comme il le fera avec Sellal.

- Quelle sera la réaction du DRS ?

Le DRS s’en tient au silence et laisse faire. Pour les «services», ce qui se passe est un non-événement. Et connaissant Toufik, il reste très serein, il sait qu’il s’agit d’une campagne passagère. Il est difficile à déstabiliser.

- Des informations parlent de l’arrestation du général Hassan, patron de l’antiterrorisme au DRS et proche de Médiène…

Cela vient du chef d’état-major qui veut provoquer, remuer les choses et faire du bruit. Mais ça n’a aucune conséquence. Rien.

- Comment voyez-vous cette Présidentielle ?

Personnellement, je crois que la Présidentielle sera reportée à cause de la maladie de Bouteflika…

- Mais il y a des délais constitutionnels…

Qui va les faire respecter ? Qui va assurer un intérim ? Bensalah n’aurait pas le droit de le faire. Ils ne vont pas le laisser, l’armée et d’autres. Peut-être que ses origines vont poser problème.

- Quelle serait la solution à ces tensions ?

Voilà ce que je demande au président Bouteflika : il est venu avec le slogan «îzza et karama» (la dignité), alors qu’il se retire avec «îzza et karama», dignement, et laisse l’Algérie reprendre son souffle. Je ne lui demande pas de quitter, mais juste de se retirer dignement. Qu’il sorte par la grande porte. Car cinq ans de plus avec lui seraient un danger pour le pays.

«Aucun parallèle avec la crise de 1998» :

Cette crise et ces tensions rappellent-elles au général Benhadid, proche de Liamine Zeroual, la crise de 1998, quand une partie de l’armée et des services faisaient la guerre à la Présidence ? «Non», répond-il. «C’est un autre cas de figure, une lutte d’un autre genre, un conflit qui remontait au duel Nezzar-Beloucif. Beloucif avait été nommé chef d’état-major par Chadli qui lui était proche, il fallait donc le dégommer et ils lui ont créé des problèmes au point qu’il a été emprisonné.

Puis c’est Khaled Nezzar qui a été nommé chef d’état-major (en empêchant le général le plus apte, Kamal Abderrahim, d’accéder à ce poste) et ministre de la Défense nationale par la suite, en 1990, sous le parrainage de Larbi Belkheir. Les officiers supérieurs d’alors – Hadjeres, Attaïlia, Betchine, Abdelmadjid Cherif, etc. – ont été dégommés par Nezzar. En 1993, pour calmer la scène politique et apaiser certains hauts officiers qui étaient hostiles à la situation dans l’armée, on a installé Liamine Zeroual comme ministre de la Défense nationale.

Ce dernier était respecté au sein de l’armée. Et à la fin du mandat du HCE, fin 1993, le président de cette instance, le regretté Ali Kafi, qui était aussi président de l’Organisation nationale des moudjahidine avec un solide réseau, a tout fait, lors de la Conférence de dialogue national (janvier 1994), afin de désigner Zeroual chef de l’État. Kafi voulait couper l’herbe sous le pied de clans qui voulaient imposer quelqu’un d’autre à la place de Zeroual. Il en résulta que les autres clans avaient de la haine : ‘Pourquoi Zeroual et pas nous !’ Ils ont continué à jouer en coulisses contre Zeroual, et comme ils savaient que ce dernier avait le général Betchine comme ami, ce sont eux qui ont proposé à Zeroual de le ramener à ses côtés.

C’était un piège. Il s’ensuivit les affaires contre Betchine pour affaiblir Zeroual, et ce dernier a quitté le pouvoir car il avait à faire face à une situation compliquée. Il s’est retrouvé pris dans les solides fils d’une toile d’araignée.»


Signé : Adlène Meddi
 (un binational travaillant en équipe avec l'espionne Mélanie Matarese, d'El-Watan)

6 avr. 2016

Scandale sur mesure, taillé pour habiller l'opposition au Nouvel Ordre Mondial ! G. Soros et son Open Society, la USAID, des ONG New-Yorkaise, sont les...... couturiers !



ICIJ, le « consortium international de journalistes d’investigation : "Qui soutient notre mission "

ICIJ supporters

Scandale « Panama Papers » : Qui a organisé la fuite ?

Le lien pour l'article complet :  

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2016/04/04/scandale-panama-papers-qui-a-organise-la-fuite/

C’est le plus grand scandale d’évasion fiscale jamais révélé : 11,5 millions de fichiers secrets, 214.000 sociétés offshore réparties dans 21 paradis fiscaux, 14.000 banques et intermédiaires, des milliers de clients bénéficiaires : milliardaires, sportifs, artistes, ministres, chefs d’Etat – dont certains en activité – mais aussi des anonymes… 
Toutefois, comme le remarque le site ZeroHedge, pas un seul patronyme américain de premier plan, alors que le nom de Poutine (à travers certains membres de son entourage) est cité tout en haut de la liste des personnalités publiée par les médias occidentaux, suivi de près par le président chinois Xi Jinping et l’ancien président du Brésil Lula…
Et quand on s’intéresse de plus près à l’ICIJ, le « consortium international de journalistes d’investigation » qui a coordonné le travail d’analyse des fichiers, on s’aperçoit que parmi ses « funding supporters » figurent l’Open Society de George Soros et l’USAID, deux de ces organisations qu’on retrouve derrière chaque “révolution de couleur” parrainée par l’Empire…

Unprecedented Leak_ Exposes The Criminal Financial Dealings Of Some Of The World























UN DES VRAIS SCANDALES QUE LES MÉDIA, L'OPPOSITION, LES PARTIS, LES GÉNÉRAUX EN RETRAITE, LES INSTITUTIONS, ET LA JUSTICE OCCULTENT ET DISSIMULENT !




Les authentiques "Ali Aoune papers ", ex-DG intègre, un cadre parmi des milliers qui ont été harcelés, emprisonnés, et détruits, POUR LAISSER PLACE AUX VÉREUX DU SÉRAIL /DRS, EN MAJORITÉ DES AGENTS DES JÉSUITES/PÈRES BLANCS !
Liens :
- http://algerieactu.com/aoun-paper-la-dst-vend-du-medicament-en-algerie/

IL DEVIENT ÉVIDENT QUE LE POUVOIR DE L'OMBRE JUDÉO-MAÇONNIQUE TENTE DE CRÉER LA CONFUSION EN LACHANT DES BULLES MÉDIATIQUES ET EN DÉTOURNANT L'ATTENTION DE L'OPINION LOIN DES VRAIS ENJEUX !
Exemples de ses manipulation appuyées par les média de subversion :
1-  la visite anodine de Chakib Khellil à la Zaouia de Djelfa qui a déclenché un procès d'intention disproportionné contre l'ex-ministre, et PAR ROCOCHET contre cette vénérable institution, de la part d'ennemis connus (les enfants des Pères Blancs), contre LE SYMBOLE AUTHENTIQUE de l'identité algérienne, défenseur indomptable, sauveur de la nation.
2- l'omerta totale, le silence "assourdissant ", sur les révélations dénonçant les méfaits, les intrigues, et les coup bas du cercle occulte du DRS et de ses sous fifres, telles celles publiées par Ennahar; El Hiwar, etc...