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15 juil. 2010

Benchicou, l'Imposteur Au Coeur du Problème.Le Coup de Balai Aux "Intérêts" qui Saignaient L'Algérie.



Benchicou, l'Imposteur.
(chap4_mise à jour)
 D'emblée entrons dans le vif du sujet et notons les épithètes que le Druide Benchicou attribue à son héro, Bouteflika:
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«dictature à la sud-américaine--Cupidité, soif maladive du pouvoir-- abus sexuels--tyrans--l’homme n’a inspiré aucun auteur---butiné dans le champ politique algérien--science de l’intrigue--ruse bien algérienne--par laquelle nous avons collectionné nos grandes infortunes nationales--l’enfant adultérin d’un système grabataire et d’une démocratie violée--L'imposture--carrière sans relief--une figurine--fabriqué la gloire--auxiliaire militaire--autodidacte inaccompli--maquisard occasionnel--noceur avéré--dignitaire--diviseur--revanchard narcissique--vie si falsifiée--président défaillant et sans envergure--intrigant--coupé de son époque--inapte à l’écoute--dépassé par ses charges--L’homme n’était pas préparé--plus qu’une imposture--une page du désespoir algérien--fatuité de ses créatures--terrible aveu d’impuissance--inauthenticité--accumulation de basses vanités»
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 Ouf !Un entracte s'impose pour nous donner le temps de digérer l'invective.Notez que nous avons franchi que 3 pages du "prologue".
L'auteur, "l'œil étincelant et cynique, la lèvre tordue par le quolibet et l'invective" nous prévient:
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«Ce livre serait plutôt une chronique d’un temps perdu».
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Le temps perdu par l'auteur ? Nous prendrons le risque de
gaspiller le notre, mais retenons notre souffle, car la suite nous réserve des surprises.
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«Ce livre n’est cependant pas un portrait à charge(sic)»
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La vierge se rebiffe, après cette débauche de grossièretés, elle nous fait le sermon de sa pureté et de sa continence au service de la divinité-vérité.
Simultanément le texte dévoile une chose, le caractère et l'état d'âme de l'auteur, violent, impulsif, haineux et revanchard.
Coupable, probablement de tous les pêchés capitaux, l'auteur nous 
surprend et soulève quelques doutes sur l'objectivité de ses écrits.
Ne dit-on pas que la colère aveugle ?
Ou serait-ce l'occasion d'effectuer un diagnostique de son psychisme, ce qui est du ressort de la psychiatrie clinique qui n'est pas de mes compétences. Y aurait-il un psychologue aux alentours ?
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«Parce qu’il se situe dans ce débat, bouillonnant, sur la nature du système et sur l’urgence d’en finir, ce livre s’interdit toute prétention à l’opinion définitive.»(sic)
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Soulignons la modestie du scribe gêné par sa pudeur, à devoir aborder ce sujet tabou, presque "osé".
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«Il n’est qu’un regard, parmi d’autres, sur nos impasses. Il attend d’être complété, contredit ou appuyé par d'autres enquêtes sur cette inauthenticité qu’on se plaît à nous infliger.»
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Merci Sainte Marie, d'avoir lever votre voile et nous faire l'honneur
de découvrir vos yeux bleus. Ils reflètent les secrets de ce monde que seul votre vision prophétique peut appréhender.
  D'autre part si tous les attributs collés à Bouteflika non toujours pas circonscrit sa nature réelle, il est évident que nous avons affaire à une créature monstrueuse extra terrestre , légendaire, mythique, dont le corps est composé d'éléments disparates empruntés à différents êtres réels, et qui est remarquable par la terreur qu'elle inspire. Les Centaures, la Chimère, le Minotaure, les Cyclopes étaient des monstres. Bouteflika serait-il un Galigula-Néron réunis ?
Impatients nous le supplions: qui est donc Bouteflika ? 

Benchicou nous le dira plus loin, mais avant écoutons le juge et bourreau faire son auto critique, pour ne pas dire autodafé.
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«Ce livre peut paraître inachevé. Il l’est sans doute : l’impératif de le boucler avant l’échéance de l’élection présidentielle de 2004 a relégué au secondaire un surcroît d’élaboration dans l’écriture ainsi que des compléments de recherche qui auraient aboli certaines imprécisions»
«Ce livre peut paraître partial, ce n’en était pas l’objectif. Ses adversaires parlent plus volontiers de Bouteflika que de ses alliés.Il peut sembler inclément envers l’homme, et il l’est
souvent. Sciemment.»
«Je n’ai ressenti aucun devoir d’indulgence à l’endroit d’un personnage qui s’est plu à ce point dans la parodie du pouvoir qu’il en a obligé une nation à abdiquer entre ses mains une dignité pourtant acquise dans le sang.»
«L’ambition de Bouteflika — accumulation de basses vanités — ne se situe pas très haut dans l’échelle des exigences humaines.»

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Retournons à l'ignominie que le journaliste distille tout au long de son factum, nous faisant découvrir "Mr Hide et Dr Jekkil"

alias Bouteflika:
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«Aigri--capricieux--égocentrique---érigé la vengeance en style de gestion--l’encensement en système politique--son tempérament en mode de gouvernance--L’Algérie, sous sa direction, aura constamment frôlé le pire--la marotte--jaser les marionnettistes---activant islamisme--fragilisant le pays par d’infinies flagorneries--brimé le résistant et réhabilité l’assassin--Méditer Bouteflika est vital pour les ultimes diagnostics de nos illusions»
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Fin du prologue(3 pages), le reste du livre (224 pages) nous réserve des surprises. Ma sympathie allant à ceux qui auraient payé pour ce livre après la promotion qu'il a reçu espérant découvrir un Soljenistin algérien rescapé du goulag d'El Harrach, mais se sont sentis dupés par les éditeurs.
Lien ici pour qui souhaiterait le télécharger et économisez la somme due pour vous acheter en échange des gants aseptiques 

(par prudence, suivant les recommandations OMS).
Quand à ce que nous concocte le journaliste, concentrons nous sur la lecture, la personne à travers ses pouvoirs de divination et dons d'astrologue, nous livrent en exclusivité les mystères du passé, du présent et bien sur du futur, mettant en scène son héro.
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«Le civil:Jeudi 15 avril 1999, 14 h.
Abdelaziz Bouteflika pique une grosse colère.»

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Prière d'accéder à "l'épisode 1" (lien),   pour un aperçu des pouvoirs occultes du Druide Benchicou, celà épicera votre périple au côté de l'apprenti écrivain-historien. Pardon
je devrais dire "sur les pas du Maître" .
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«fulminant de rage--son gros chagrin--poulain Bouteflika--
Quitte à faire truquer, autant truquer complètement
pour ma petite personne, semblait dire Bouteflika--
l’acolyte de la hiérarchie militaire-le président
traîne toutefois un douloureux malaise du « mal-élu»--
Bouteflika est un faux civil--Une créature du pouvoir militaire--monarque galonné--un auxiliaire militaire soigneusement camouflé sous une apparence civile--Cette nature bicéphale--Bouteflika cumulait dans une même performance les tares du militaire et du civil--Il a oublié d’avoir du militaire,n’en ayant pas accompli les sujétions, le sens de la subordination aux devoirs majeurs, une certaine grandeur dans l'humilité et l’attachement à la discipline. Il a soigneusement hérité du reste:l’arrogance--le mépris--la tentation totalitaire--le penchant monarchiste--et le goût des règlements de comptes--s’octroyer par la force un pouvoir absolu--en bon putschiste de carrière--asseoir un pouvoir personnel--changer la Constitution».
(*)
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(*) Où est l'intrigue que le Druide observe dans sa boule de cristal? Bouteflika avait déclaré souhaiter changer la constitution,

pas pour les raisons que lui prête notre Druide, mais pour réparer la confusion qui y régnait, en particulier dans la dichotomie des responsabilités "président--premier ministre".
Chacun présentant un programme et se rejetant le tort de toute panne dans son application. Bouteflika propose de faire endosser aux candidats à la présidence un programme, pas des promesses démagogiques, héritant des responsabilités les obligeant à établir un bilan comptable de leur mandat à présenter aux électeurs, et au peuple en général. Ce qu'on nomme: démocratie responsable.
A ce propos, demandons des comptes à Bouteflika, ou tout autre président, et exigeons de lui des chiffres, à savoir le taux de réalisation des programmes économiques, financiers, sociaux, et même politiques. C'est d'autre part créer une tradition qui se diffusera jusqu'aux niveaux inférieurs de la hiérarchie gouvernementale et des administrations locales. Le pouvoir de l'ombre n'en veut pas, car lui est l'antinomie de la démocratie,  il actionne ses réseaux qui, par le biais des Benchicou feignent d'être les victimes de despotisme et d'abus, jetant le tort sur l'initiateur sincère du changement démocratique.
Et la technique d'ingénierie sociale est déclenchée sous forme de répétition du mensonge, jusqu'à ce qu'il devienne une vérité "admise"(conditionnement pavlovien).
A force de répéter que les "choses ne marchent pas bien", la rumeur et le "téléphone arabe" aidant, finissent par prendre possession de l'opinion et le malaise fictif est inévitablement perçu comme étant réel.
C'est dans ce cadre, que la presse "indépendante" est modulée et affinée pour propager, quotidiennement, l'intox sur  la "mal vie", l'insécurité, les scandales financiers. Ne manquant jamais d'associer Bouteflika à toutes les incriminations et supputations, parce qu'il est le trouble fête de l'ordre qui dominait jusqu'à 1999 !
Les amendements à la constitution dérangent ceux nageant en eau trouble , car ce n'est pas le genre de terrain que le (vrai) pouvoir de l'ombre, (déchu après l'élection de 1999) affectionne, il dérange sa gestion politique antérieure opaque, de leurres et d'utopies , des discours creux des "réformateurs", ou des "industries industrialisantes", ou des "révolutions de parti unique" !
L'armée n'est
pas ciblée uniquement pour ses carences, car il vrai qu'elle en possède, mais pour son succès dans la défense de l'État lorsque le pays se dirigeait vers le chaos et l'anarchie.
Anarchie à laquelle Notre Druide et ses acolytes de la presse "libre", avaient contribué par leur verbe acerbe et provocateur, dans leur rôle de catalyseur, de "réaction" qui envenime les conflits et les divisions.
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«Ahmed Benbitour(**), qui fut, en tant que Chef de gouvernement, victime de ces velléités autocratiques du président, est sans nuance dans son jugement : « Nous vivons sous un totalitarisme d'une autre ère, s'appuyant sur le culte de la personnalité, le mépris du peuple et la profanation permanente de la Constitution et de ses institutions. »
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(**)L'employé-agent des FMI-Banque Mondiale ! L'homme qui  reçoit les gratifications du Nouvel Ordre Mondial (Google, pour découvrir les fréquentations du cheval de Troie Rothschildien). Armé de son PhD, qu'il brandit comme une bombe lacrymogène aveuglant l'opinion, il a tenté de duper puis de doubler Bouteflika en abusant de ses prérogatives. Sur le plan de la politique économique et financière, qu'il enrobe d'abstractions et de terminologie keynésienne ou monétariste, il a annoncé ses priorités:
-relance de l'économie par la "dépense publique"= lire la   dilapidation des ressources, dans les circuits de l'administration et des groupes d'intérêts.
-"investissement par l'emprunt"= lire "dette extérieure". La dette que ses employeurs du FMI confectionnent pour la consommation des esclaves  qui pataugent dans la fosse des crédits, "prêts" et "aides" financières internationales.
Bouteflika économe et perspicace, et surtout soucieux de nous libérer de l'hégémonie des banquiers kosher, découvre vite les manœuvres subversives et se débarrasse du félon.
A propos de la dette, Bouteflika : «Jamais, plus jamais !».
C'est la source de toutes les discordes et la raison de l'offensive médiatique acharnée contre lui! Organisée et coordonnée par l'éternel conspirateur, la dictature des banquiers juifs qui contrôlent le Monde. Le menu fretin, qui s'agite et s'exhibe sur le plateau de la scène médiatique, Benchicou et la perfide nébuleuse presse-ONG, ne sont que des exécutants de basse besogne, les décideurs eux sont tapis dans leurs officines de New York, Paris ou Londres !
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Avertissement:Quiconque verrait en ces analyses, de la fiction, le fruit de l'imagination ou l'expression de délire, est excusé et  gentillement prié d'économiser son temps, et retourner à sa digestion de l'intox servie par les média "d'opposition", le web en est convenablement submergé. Merci.
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"Opposition" dont tous les acteurs , je dis bien tous, jouissent de liens étroits et intimes avec la pléiade d'agents juifs-sionistes-talmudiens, à New York, Paris, Londres, Genève, Rome. C'est le cartel des David et Cohen  qui les entretient, les rétribue, et sponsorise leurs "œuvres" littéraires, à l'image de cette brochure satirique dégoulinante de lâcheté, bassesse et couardise que Bentchikovsky tente de nous faire avaler.
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Fin de Episode 4

Le Druide Benchicou et Un Groupe d'Émules Jettent Un Sort Contre Bouteflika.


Une attention particulière avait été réservée au Prêtre Benchicou tout au long des articles du mois de Janvier 2010 (Lien)(Lien Complet) et (mises à jour), pour démontrer que le Soljénitsine algérien, survivant du Goulag d'ElHarrachov, avait subi des stigmates psychologiques irréparables, suite au traitement indigne qu'il avait enduré aux mains des gardiens du camp de rééducation politique . Un état comateux psychosomatique avec comportement physiologique à caractère cybernétique et robotique avancé résument les séquelles de sa mésaventure carcérale.
Benchicou en BD
Ce qui étrangement le prédispose aujourd'hui à exercer un pouvoir divinatoire rétroactif (à "remonter le temps") d'une puissance astrale, rarement observée dans ce cas de traumatisme patholo-organique. Dévoilant une imagination de "voyant" très féconde à travers ce pouvoir, ses visions et témoignages psychédéliques avaient été réunis dans un recueil de fraudes littéraires et publiés sous le contrôle des presses koshéro-cohéniennes de France.   Son oeuvre intitulée "L'imposture selon l'imposteur Benchicou", faisant allusion au président Boutéflika vers lequel il souhaitait diriger l'attention du public pour cacher sa propre dégénérescence neuronale et garnir son portefeuille de devises (portefeuille détruit par la police des frontières, la "Stasi" du régime sanguinaire d'Afrique du Nord).  Ses révélations fictionnelles sur l'Algérie et le Président Bouteflika  avaient causé un grand émoi dans l'opinion publique qui avait exigé plus de transparence de la part de ses gouvernants. Le lectorat naïf demandant plus d'éclaircissement sur les chroniques historiques des bains maures du pays, a exigé du devin personnage une seconde lecture astrologique du passé et du futur. Pour cette étude, le gourou du Matin   a regroupé quelque uns de ses nouveaux adeptes (*), tous addictes renégats des forums internationaux démoncratiques siono-islamophobes et versés dans l'art de l'intox ésotérique, ils se sont réunis (seul absent  de marque, Benbitour), au cercle initiatique et ont procédé à une "séance" d'incantations et de mantras, avec insistance sur les postures de yoga tantrique qui élève
Benchicou en méditation.
la conscience pour capter les nouvelles révélations qui dévoileraient les agissements occultes de cette créature extra terrestre, le terrifiant occupant du palais présidentiel, le...Titanesque
 Président Boutéflika ! A propos de créature surnaturelle, l'homme n'est en fait qu'un Roi au pays de beaucoup d'aveugles. Il est surnommé le "Lion Roi des savanes arabes et amazighs d'Afrique du nord", Roi d'un certain âge certes, mais "un lion est un lion, même âgé".  Confronté aux ricanements des bandes d'hyènes furtives et craintives, il vague à ses occupations et les ignore. La santé de ses sujets et la bonne marche de son royaume sont l'objet de toute son attention, réservant aux charognards traitres et nauséabonds son seul regard terrifiant, qui suffit à les mettre en fuite vers d'autres prairies, celles peuplées de veaux et d'agneaux.
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NB : Suivra prochainement un article-survol du manuel ésotérique du druide Beinchycow, un recueil de ragots intitulé "Notre ami Bouteflika ".
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(*)
-Abdelaziz Rahabi (Ancien ministre de la Culture et de la Communication – Ancien ambassadeur),
-Djilali Hadjadj, (Président de l‘Association de lutte contre la corruption en Algérie),
-Ali Yahia Abdenour (Président Ligue des droits de l’homme),
-Keltoum Zinou (Veuve de journaliste assassiné par les intégristes, membre de l’Association des victimes du terrorisme),
-Fayçal Metaoui, (Journaliste-reporter à El-Watan), 
-Zouani Houria (Mère d’une victime du terrorisme),
-Mustapha Hammouche (Chroniqueur du quotidien Liberté),
-Hassan Zerrouky (Journaliste au quotidien l’Humanité), avec des dessins de HIC
-Absent : A.Benbitour, Grand Maitre des "cercles".

23 juin 2010

Boualem Sansal : Ecrivain-Caméléon, Algérien Ou Diasporachik ?

AKADEM :  Le campus numérique juif.
-"Qui sont-ils ? " : AKADEM est une initiative du Fonds Social Juif Unifié. Avec le soutien financier de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah.
Le campus définit clairement sa mission et il n'y a qu'à survoler leur site pour confirmer son rôle de porte parole du "judaisme de façade" et du "talmudisme-sionisme d'arrière boutique ". L'image publique du judaisme officiel, présentée à travers son contenu religieux, philosophique, politique, social, en un mot l'organisation du pouvoir juif dans sa domination graduelle, progressive du Monde. Un résumé de l'impression qui se dégage de cette intrusion dans les couloirs de cette hégémonie planétaire, qui se confirme de manière si insolente au début de ce millénaire, revient à reconnaitre combien assidu le juif est dans son entreprise égo-centriste de recherche de la cohésion communautaire sur des fondements raciaux-religieux, et son mépris du reste de l'humanité. Les juif- talmudes justifient cette égoïsme comme réponse aux persécutions, la fictive Shoah, et leurs méfaits contre les '"Goyim" comme légitime défense pour la sauvegarde de leur droit à l'existence. Israël est le point de ralliement et un repère dans l'idéologie politique, le sionisme, qui permet d'alimenter le nationalisme qui manquait pour cimenter les liens de la communauté juive dispersée sur les 5 continents. Il est faux d'y voir un refuge pour les juifs, qui n'ont aucune intention de s'y installer, sauf pour les coreligionnaires des couches sociales politiquement et économiquement  défavorisées, les fanatiques religieux, les banques-recèles des richesses détournées dans le monde, et surtout ceux en charge de leur technocratie militaire qui gère les armes de destruction massive, dont le nucléaire, cette lourde menace contre le reste de l'humanité. C'est la raison principale justifiant l'insistance des juifs à maintenir leur monopole sur cette arme au dépens de leurs voisins, de l'Iran en particulier. L'arme nucléaire est l'épée de Damoclès brandie par le prédateur juif au dessus de la tête de ses voisins musulmans, un levier du contrôle sur la région et gage de l'impunité de sa belligérance permanente gratuite. 
Akadem offre un large éventail de documents (essentiellement en langue française) qui permettent de pénétrer superficiellement le monde du sionisme-talmudisme et d'en déchiffrer les préceptes à travers les conférences vidéo, les exposés des penseurs de la diaspora, ses réseaux internationaux, ses agents luminaires attitrés et ceux invités-collabos agissant dans l'ombre, derrière leur rôle de personnalité publique planant comme des vautours sur le champ médiatique. N'oublions pas les écrivains-historiens-journalistes-militants des droits de l'homme. Beaucoup sont originaires d'horizons traditionnellement non soumis à la présence dominante juive. C'est le cas Boualem Sansal, un écrivain algérien ! Ce personnage très adroit dans ses écrits et ses romans, dissimule son parti pris de crypto juif et n'affiche jamais ses convictions ou sa loyauté à la nébuleuse sioniste. Il dissimule ses armes sous l'apparence de textes fictifs qui ne sont pas pour autant neutres ou distants des vues prônées par les penseurs du "clash des civilisations". Sous prétexte de dénoncer l'extrémisme religieux des islamistes il brille dans l'art du dénigrement subtile de l'Islam dont il fait l'amalgame avec terrorisme.
Il aborde les sujets d'actualité du genre immigration clandestine (harraga) non sous l'angle de l'analyse sociologique mais en y étalant la stratégie du pourrissement des valeurs et des idéaux selon la technique d'ingénierie sociale martelée par les "défenseurs" des libertés et les laïques "démocrates" experts de la fabrication et diffusion du désespoir social. Au cours  d'un débat-rencontre littéraire chez  "Littera05" (Lien), il étale son "savoir".
L'introduisant la speakerine kosher Anne-Marie Smith annonce :
« Il fait alors de la littérature une arme pour combattre toutes les formes d'amnésie et les révisionnismes de toutes sortes.» (combat contre le négationnisme-révisionnisme qui réfute l'holocauste sioniste, mais défend son propre révisionnisme, l'existence de liens de la révolution algérienne avec le nazisme hitlérien !)  
«En 2003, vous avez été limogé de votre poste en raison de vos prises de position critiques sur l'arabisation de l'enseignement et l'islamisation de l'Algérie»
«Encouragé par votre ami le romancier Rachid Mimouni, vous commencez à écrire et publiez votre premier roman, Le serment des barbares (Gallimard, 1999), à l’âge de cinquante ans.»
 Dans un verbiage propre à ces dégénérés désemparés qui tentent de manipuler l'opinion grâce à la maitrise du verbe véhiculant leur idées perversives, Sansal répond : (extraits)
-«Il fallait chercher ailleurs. Il fallait rentrer dans l’intimité de l’être humain, de l’Algérien et on se rend compte que ça va chercher loin dans l’histoire, dans la psychologie, dans la culture et la littérature permettait de comprendre. L’être humain n’est pas dans la rationalité ; il est dans la passion, le mystère, la magie.»  
(Notez la diversion et le non-sens: mystère ? Magie ?)
-«La littérature permet d’approcher la vérité.»  (Plutôt diffuser le mensonge et bercer l'opinion d'illusions et souvent distiller la corruption morale et religieuse )
-«C’est ce que j’ai fait dans Le serment des Barbares où j’ai essayé de comprendre toute cette violence dans laquelle on peut basculer, même si on apparaît très pacifique. Regardez le peuple allemand, l’un des peuples les plus cultivés d’Europe, les plus structurés, comment il est tombé. Pour comprendre, il faut chercher très loin dans le mystère de l’être humain.»
Là, Sansal fait allusion à sa contribution au mythe de la Shoah, au parallèle nazi-islam cher à la propagande sioniste, et revient sur ce "mystère de l'être humain" pour confondre les malheureuses victimes parmi ses lecteurs qui le suivraient sur la voix de la déraison. Déraison feinte, car Sansal est un homme intelligent et rationnel qui n'écrit pas ce charabia par conviction, mais pour remplir fidèlement une mission. Laquelle ?
Son œuvre est axée sur 3 thèmes différents mais tous associés avec la stratégie du Nouvel Ordre Mondial Juif  ciblant entre autres l'Algérie et ses spécificités: Islam-nationalisme-arabité.
1-pour l'Islam, l'implantation du terrorisme islamiste wahabiste (allié des CIA-MOSSAD) comme "action", face à sa "réaction" le laïcisme laxiste qu'adopte Sansal,
2-le militantisme révolutionnaire hypocrite et crapuleux, face à la mouvance démobilisatrice défaitiste (Sansal) qui commercialise le désespoir (chômage marginal , harraga, corruption, tous les maux sociaux "amplifiés" par la presse "démocratique"):
3- l'arabisation dogmatique sans vision "civilisationnelle" intentionnellement modulée pour être agressive et non pédagogique, face à sa réaction l'amazighité chauvine et disproportionnée soutenue par les média locaux et internationaux (juifs) pour exacerber les divisions potentielles fictives et irrationnelles( Sansal)
Trois thèmes dans lesquels Sansal excelle tout en apportant une touche personnelle par l'introduction du mythe de la Shoah, dont il s'est fait un porte parole. Son "œuvre"  démontre son militantisme au service de la propagande sioniste du "génocide" fictif et  martyr du peuple juif. Il le dit avec passion :
-«A Sétif, on m’a expliqué que c’était le village de l’Allemand. Dans ce village vivait un ancien SS allemand qui avait fait les camps de la mort mais  héros de la guerre de libération. Plus tard, ayant décidé d’écrire ce livre, j’ai refait le parcours de cet homme-là. C’était un ancien chimiste qui avait participé comme expert à la fabrication du Zyklon B ; Après la débâcle allemande, il avait fui par la filière du Moyen-Orient et avait été exfiltré vers l’Egypte. Il avait été récupéré par les services secrets du roi Farouk, puis s’était rapproché de Nasser. Au moment de la guerre de libération en Algérie, Nasser l’avait envoyé auprès du Colonel Boumediene comme conseiller technique pour former des officiers. A l’indépendance, il était resté en Algérie où il s’était marié et s’était converti à l’islam. Il est mort de sa belle mort en 1995. C’est cette histoire que j’ai voulu raconter mais pas de cette manière-là. Raconter l’histoire d’une crapule ne m’intéressait pas.» 
(Notez le courroux de notre écrivain: "crapule"; de la bouche d'un Cohen le mot serait compréhensible, mais de Sansal c'est un lapsus qui cacherait son "chassé le naturel...)
Il déballe toutes les contre vérités que la propagande de la Shoah divulgue depuis 60 ans pour justifier sa colonisation de la Palestine, la fabrication de la fraude historique des chambres à gaz (zyklon B), etc... Les historiens intègres et objectifs, experts de la question, maitres du sujet de la 2eme guerre mondiale, dénoncent comme la plus grande fraude de l'histoire du 20 èm siècle, cette mythologie de l'holocauste (Voir Faurisson et  l'AAARGH ).
Sansal plaide donc non seulement pour la sacralisation de ce dogme de la Shoah, mais insère son poignard dans le dos de la révolution algérienne en introduisant des doutes sur ses dirigeants et son encadrement, énonçant un nouveau révisionnisme calqué sur la propagande sioniste.
Durant son débat à  (Lien) «la rencontre s’est terminée par la lecture du poème de Primo Levi, que Boualem Sansal a introduit dans son livre à la page 68 (poème imagée dédié à l'holocauste) :
     «...Qui ne connait pas de repos,
       Qui se bat pour un quignon de pain,
       Qui meurt pour un oui pour un non.
       Considérez si c'est une femme
       Que celle qui a perdu son nom et ses cheveux
       Et jusqu'à la force de se souvenir,
       Les yeux vides et le sein froid
       Comme une grenouille en hiver.
       N'oubliez pas que cela fut,
       Non, ne l'oubliez pas:
       Gravez ces mots dans votre coeur.
       Pensez-y chez vous, dans la rue,
       En vous couchant, en vous levant;
       Répétez-les à vos enfants.
»

Durant son interview à "Akadem", notre "penseur" : 
«Les systèmes dominants, le capitalisme, l’Eglise, la Mosquée produisent le discours.»
«Nous, nous ne faisons qu’entendre et on se laisse positionner. Dans les pays démocratiques, ce conditionnement se fait mais on a la liberté de choisir : choisir un parti politique, militer, entrer en débat …»
Demandez Mr Sansal, aux militants qui luttent contre la dictature juive-sioniste en France et ailleurs, et défendent leur droit démocratique d'étudier et d'analyser scientifiquement et rationnellement l'histoire de la 2ème guerre mondiale, si la possibilité leur est offerte de débattre publiquement de l'holocauste et du dogme religieux de la Shoah ! La plus part sont emprisonnés, harassés, menacés physiquement et agressés, limogés des universités, soumis au déluge de feux des média Kosher, ces mêmes presse-télévision-site internet qui vous offrent leur crachoir pour "récupérer" le venin qui dégouline de votre typique Chutzpah (effronterie) de crypto juif.
«Dans un système totalitaire, non. Une autorité produit le discours qui vous dit qui vous êtes, ce que vous devez penser…et le seul choix qu’on vous laisse c’est celui d’exécuter. En Algérie, depuis l’indépendance, nous sommes dans un système totalitaire avec un parti unique dont le discours nous a dit : le peuple algérien est arabe, le peuple algérien est musulman… et vous devez être ce qu’on vous dit.»
(Notez l'amalgame : capitalisme, système totalitaire, parti unique, arabe, musulman..., les mots ne sont pas fortuits et l'association qu'on en fait également, le conditionnement de la pensée en est une résultante, a force de répétition Islam est devenu dans la conscience populaire de la masse des moutons de la planète lié à terrorisme-attentat-bombe-etc...) 
Il ajoute dans le même registre : «Les Algériens se sont laissé piéger par ce système totalitaire qui au départ vous impose des définitions ; vous finissez par y croire et vous êtes convaincu. Le système totalitaire n’a plus besoin de vous surveiller : vous vous définissez vous-même comme étant arabe, musulman …etc… Et là vous devenez votre propre bourreau, vous devenez un relais du système totalitaire. Dans cette lettre, je dis à mes compatriotes : réveillez-vous ! Je prends les éléments l’un après l’autre pour démontrer qu’ils sont faux. Par exemple, le premier point : dire que l’Algérien est un Arabe. Avant le jour de l’indépendance, nous étions français, de culture française. Avant l’arrivée des Français nous étions ottomans. Avant encore nous étions sous la domination du Caire, de Damas … et avant ça nous étions Byzantins, et avant nous étions Romains et encore avant des Berbères… On est passé par toutes ces étapes. Je prends comme ça ce que le gouvernement appelle « les constantes nationales » et je les décortique… Je dis à mes compatriotes de refuser les définitions. Il appartient à l’individu de se réapproprier cette liberté de se définir lui-même, sachant qu’on peut changer sa définition au fil des années.» 
N'oublions pas que Sansal critique avec virulence les "constantes nationales", se gargarisant de sa perspicacité et bon sens, mais est si généreux et tolérant envers "l'inconstant, inconsistant et capricieux, majoritairement sectaire et raciste mystification" de l'épopée mythologique berbère qu'il glorifie dans son livre "Petit éloge de la mémoire. Quatre mille et une années de nostalgie." 
Sansal excelle donc dans tout le répertoire musical des instruments jouant la division et  la propagande qui menace la cohésion nationale en Algérie, il n'est ni le premier ni le dernier, un parmi les nombreux "prix internationaux' qui sillonnent les média juifs à bord de la navette "Laicité-démocratie-amazighité-droits de l'homme". Il est cependant un des rares à recevoir tant de soutien moral et financier (pour son verbiage qualifié de publication littéraire) de la part de l'oligarchie juive, dont son hôte convivial et chaleureux, "Akadem.org" est un représentant significatif !  Retour glorieux parmi les siens ou pure exhibitionnisme intellectuel, pour ne pas dire strip tease ? Un avis qui soulèvera des réprobations parmi nos amis intellectuels de la laïcité et tolérance baisse culotte, dont la largesse d'esprit ne s'embarrasse pas de ces considérations "conspirationnistes" flirtant avec l'antisémitisme, un péché capital en ces temps de tyrannie juive. 

Pour confirmation et analyse plus détaillée consultez la vidéo au lien "akadem.org", ou téléchargez l'enregistrement audio (MP3). 

2 mai 2010

Les Missionnaires : Agents Au Service du Pouvoir de L'Ombre. (revision1)


-Chapitre 4-
Introduction: Un Rappel pour qui souhaiterait s'éduquer.   Le "Pouvoir de l'ombre" réfère au groupe occulte des  banquiers juifs les plus puissants de la planète et des organisations regroupant leurs mercenaires sous différents sigles et dénominations, les loges franc- maçonniques en sont les plus représentatives. Par mercenaires il faut entendre tous les "idiots utiles" recrutés au sein des loges maçonniques par la technique classique du miroitement de privilèges matériels multiples, encensés de dogmes philosophiques, politiques, humanitaires et religieux. La littérature exhaustive sur le sujet étant disponible sur le Net, le PC le plus proche muni d'une connexion internet, vous fera découvrir l'étendu de ce paradigme du monde parallèle secret, dissimulé par la "vitrine officielle", celle de la vie publique des acteurs de cette nébuleuse, qui offrent en  spectacle leur mimique aux communs des mortels, à travers les rôles que leur assigne la "hiérarchie". La populace croit observer la réalité à travers ce théâtre planétaire, virtuel et irréel, dissimulé par une succession de réalités autres que celle qui est projetée et inculquée dans l'esprit (via éducation, endoctrinement, conditionnement).  La réalité  est subtilement enfouie sous plusieurs "strata" de paragdimes, et est accessible une fois "décryptée",  uniquement par les membres initiés au degré hermétique correspondant. La base de la "Fraternité" est recrutée par l'adhésion à un "dénominateur commun" de valeurs,  énoncées dans le Sermon, basé sur quelques principes utopiques qui sont érigés en règles inviolables, les trois utopies "Fraternité-Liberté-Égalité", l'entre-aide, la laïcité-tolérance, etc..( voir entre autres, Lien, Lien , Lien, ou téléchargez pdf ici). Les franc maçons, "instruments à corde" de leurs manieurs-musiciens juifs découvrent l'abondance des bienfaits terrestres par leur appartenance aux loges et associations: finance, gloire, statut social, opportunités, promotion professionnelle et académique, etc,.. (consultez les écrits des historiens "négationnistes", sites de l' AAARGH ou recherchez  Nouvel Ordre Mondial sur Google. La documentation volumineuse traitant des conspirations en général, permet d'ouvrir les yeux sur ce qui se trame dans les coulisses des organisations internationales secrètes à "visibilité" publique trompeuse, les ONG, les fonds, les regroupements régionaux, la hiérarchie religieuse, etc...
Notons que ces franc-maçons occupent l'éventail de toutes les classes sociales et les activités de nature diverse, académique, religieuse (clergé), culturelle, médiatique, politique et économique.
La franc-maçonnerie brasse dans toutes les professions sans distinction, avec seul critère le potentiel opérationnel des services pratiques que les adhérents peuvent rendre à l'organisation, à un moment opportun. Le coté occulte, obscure, satanique,  ne leur est jamais dévoilé. L'illusion de leur élitisme, les utopies et idéaux, le mensonge, l'abus de confiance de la "populace", consolident leur "fraternité". Comme les vaux qu'on engraisse, il ne leur ait jamais fait mention du sort que leur gloutonneries diverses, matérielles ou "intellectuelles", leur réservent inexorablement : le couteau du boucher. Comment ? Par leur rôle d'animaux de trait qu'on motive par le "bâton et la carotte" respectivement :
-le chantage résultant de leur compromission (inévitable) et leur sermon de soumission,
-les privilèges que leur accordent l'entraide fraternelle (le racket organisé et déguisé des biens publiques, le brassage d'avantages
illégitimes, les honneurs, l'allocation de bénéfices préférentiels ). Coincés comme des rats, ils perdent en fait leur liberté et deviennent esclaves de leurs maîtres et ultimement de leur "architecte": Satan-Lucifer. Ceux d'entre eux qui découvrent leur perdition, sont tellement addictés aux privilèges qu'ils ne trouvent aucun remède à leur dépendance et préfèrent noyer leurs regrets dans l'ivresse de la gloire et les excès des jouissances. Élucider les implications d'une telle organisation sur les intérêts des pays où elle est présente et les exposer, est l'objet d'études exhaustives effectuées par des centaines d'historiens et de militants, dont le travail de recherche est disséminés sur le Web. Leurs publications-études sont généralement, librement et gratuitement disponibles.
L'origine de ce complot est située au niveau supérieur de la hiérarchie, les banquiers et certaines membres de la royauté européenne, tous réunis au sein des "
Illuminati", le culte satanique œuvrant à l'établissement du Nouvel Ordre Mondial Juif, une tyrannie planétaire au pouvoir sans partage.
(Recommandation: tous les détails traitant du sujet sont disponibles sur le Web.)
Les média tenus en laisse, perpétuent la déception en idéalisant l'image de cette élite corrompue,  leur perdition morale est convertie en illusion et gage de "réussite", ou de promotion à une classe sociale supérieure.
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Dans ce qui a précédé, la première étape à franchir a été de citer les agents présents sur la scène historique de ce début de colonisation, et la deuxième sera d'en donner quelques exemples.
La Société de Géographie de Paris (SGP): véritable centre occulte de collecte d'information, d'intelligence diverse, et d'espionnage,  créé par les banquiers juifs recruteurs  de missionnaires et d'agents.
Le mythe du bon samaritain: Charles Eugène de Foucauld de Ponbriand.
Un jésuite de confession catholique (voir biographie Lien Wiki), qui malgré une indépendance financière héritée de ses grands parents, sillonna l'Afrique du Nord et le Sahara en grand aventurier et "explorateur". Sa vie est remplie d'expériences personnelles vouées aux pratiques condamnables, les mauvaises mœurs, une jeunesse débauchée, une participation d'officier militaire aux guerres de génocide de l'occupant français en Algérie, à l'agnosticisme, et une confession-conversion religieuse douteuse et opportuniste. Il est recyclé  dans l'espionnage une fois initié par Oscar Mac Carthy de la SGP, qui le met en contact avec le Rabbin  Mardochée Aby Serour (personnage décrit au chap.5). Notez les ramifications et réseaux tissés autour de la SGP, le fief parisien de la franc-maçonnerie et du judaïsme. 
Objectifs assignés à ces missionnaires: 
-les relevés "géographiques", de toute l'étendue de l'Afrique du Nord et du Sahara. Survolons les détails de l'œuvre "foucauldienne", marquée par son ascétisme au service de l'Église, de son patriotisme envers la France et de son approche personnelle de la colonisation masquée de sa frauduleuse mission "civilisatrice". Il dissimule derrière ses spéculations métaphysiques et sa confusion religieuse, l'absence de remords pour sa participation aux génocides des militaires, et compromet sa "repentance" en abusant de la confiance et de l'hospitalité des naïfs et tolérants autochtones. Les indigènes par leur mœurs paisibles se prêtaient aux manigances, mais leur lucidité et leur conviction religieuse les protégeaient des missionnaires qu'ils les poursuivaient inlassablement de leur prosélytisme. Armé de ses connaissances, de son expérience et de sa culture, Foucauld s'obstine à vouloir convertir ses hôtes crédules et ingénus. Vaine et futile est la tentative de notre aventurier dans sa mission d'évangélisation. Allah le Tout Puissant ayant abrogé tous les dogmes corrompus par les interprétations et spéculations des hommes, il a dicté l'inaltérable Coran, le recueil final de tous Ses Commandements devant accompagner l'humanité jusqu'au Jugement Dernier.
Extraits de la biographie de ce missionnaire. (après maintes traversées du désert découvre la source divine - l'Islam - mais est fatalement privé de son breuvage, les yeux voilés par une stérile et illusoire "quête spirituelle".)

  -«Au mois de juin(1902), devant l'impossibilité de se rendre au Maroc, il confie à l'abbé Huvelin, à Mgr Laperrine son projet d'évangéliser le pays touareg 
-«À la fin de l'été, il va porter secours aux soldats blessés dans les combats de Taghit et d'El-Moungar. Il rédige une petite introduction au catéchisme qu'il intitule l'Évangile présenté aux pauvres nègres du Sahara.»
-«Accompagnant des colonnes de militaires qui nomadisent à travers le désert, il prend contact avec les populations du sud ou du Sahara central. Son périple le mène de Béni-Abbès à Adrar, In Salah, Aoulef, el Goléa, et Ghardaïa. Durant les marches il apprend le tamachek (idiome des Touaregs) et entreprend une traduction de l'Évangile en cette langue.» 
-«Lors de son retour de Béni-Abbès en septembre 1906, le général Lyautey vient lui rendre visite. Durant toute cette période d'ailleurs, il reçoit souvent des officiers français avec lesquels il a des échanges très fructueux 
-«Il travaille jusqu'à onze heures par jour à des travaux linguistiques qui l'absorberont jusqu'à sa mort : rédaction d'un lexique, qui deviendra peu à peu un monumental dictionnaire touareg-français ; transcription, traduction et commentaire de poésies touarègues (six mille vers en tout), travail qu'il n'achèvera que le 28 novembre 1916, trois jours avant d'être assassiné.»
-«En septembre 1914, à la nouvelle de la déclaration de guerre en Europe, il écrit à sa cousine Marie, après de multiples débats de conscience : « Vous sentez qu'il m'en coûte d'être si loin de nos soldats et de la frontière : mais mon devoir est, avec évidence, de rester ici pour aider à y tenir la population dans le calme ». 
-En 1915, Laperrine le décrit ainsi :«  (...) Son influence personnelle est très grande. L'Amenokal des Touaregs Hoggar, Moussa ag Amastan, ne prend pas une décision importante sans le consulter, et il a ramené à nous par la persuasion beaucoup d'habitants. Les adolescents et les enfants touaregs en particulier ont absolument confiance en lui.»
-«Charles de Foucauld est convaincu que l'évangélisation passe par le respect et la compréhension des cultures dans lesquelles il vit. De nombreuses fois il déplore la connaissance superficielles et l'irrespect tant de missionnaires que des membres de l'administration française. La principale difficulté à la connaissance des Touaregs est la langue. Charles qui espère sans doute voir venir des nouveaux frères dans sa fraternité, écrit alors un lexique, puis des éléments de grammaire, un dictionnaire des noms de lieux. Il recueille des textes et des poésies, véritable encyclopédie du Hoggar et des Touaregs et plus généralement des Berbères.» 
 «Reconnaissance du Maroc, journal de route du voyage entrepris par Charles de Foucauld au Maroc en 1883-1884.:«Écrit dans un style très sobre, ce journal est une mine d'informations ethnologiques, géographiques, linguistiques et historiques. Cet ouvrage vaudra à Charles de Foucauld la médaille d'or de la Société de géographie de Paris 
-«Vision de la colonisation:  La colonisation française est portée principalement par les idéalistes laïcs, comme Léon Gambetta, Jules Ferry qui considèrent avoir le « devoir de civiliser les races inférieures », certains entrepreneurs, avec par exemple le Canal de Suez, et les missionnaires chrétiens. La colonisation est d'autant plus recherché qu'elle constitue un remède provisoire où « la génération de Charles de Foucauld trouvera un moyen d'exprimer son patriotisme.» 
-«Charles est donc d'accord avec la colonisation française. Néanmoins il se distingue de la plupart des autres français par son intérêt profond pour le monde arabe et l'Islam (tant par son travail de géographe dans Reconnaissance au Maroc, que ses études et le dictionnaire Touareg-Français).» 
Résumé: Il est clair même pour les plus naïfs, que les expériences mystiques de l'évangéliste Foucauld ne l'ont pas pour autant libéré de son engagement de colonialiste prédateur. Sauf que ses proies ne sont plus les indigènes prisonniers de la colonisation, mais leur âmes. La proliférations d'établissements religieux,  les "Petites Sœurs de Jésus" et les "Union des Frères et Sœurs du Sacré-Cœur" (Association de laïcs vivant dans le monde !), allait sournoisement permettre de capturer quelques démunis et les endoctriner. Le prosélytisme enrobé de service "humanitaire" (éducation et santé) tentera quelques victimes égarées, que les privations et l'oppression du colonisateur  livrera au purgatoire du paganisme chrétien. Quelle perte pour la religion de l'unicité de Dieu au profit du culte (satanique) de l'Église,  dogme stigmatisé par les innovations et manipulations historiques, œuvre d'inconscients serviteurs de Satan combattant Dieu et sa dernière révélation, l'Islam ( la religion de Jésus-Sidna Aissa  et des Prophètes).
 Notez la bonté du musulman :
 -«Touaregs vouent rapidement une vénération au « Frère Charles de Jésus », encore qu'une femme confiera plus tard qu'elle et ses compagnes ne cessaient de prier Dieu pour que l'ermite se convertisse à l'islam, désolées qu'un homme si saint fût promis à la damnation éternelle.2»
Preuve de leur mensonge et de leurs intentions frauduleuses, ces prosélytes sont insouciants face à la faillite de leur religion décadente au sein de leur société d'origine, société marquée par la dégénérescence humaine, morale et religieuse qui "dévore" ses citoyens !  Vains furent leurs efforts et les moyens mobilisés, devant la fermeté de la foi des Musulmans, foi nourrie de convictions inébranlables et d'arguments irréfutables, non de mythologie.
Dans une correspondance à la fin de 1913, Foucauld écrit, mettant une fois encore ses convictions erronées à nu :
«Nous entendons par infidèles, non pas les non-baptisés d'Europe et d'Amérique, ni les Israélites, mais les Musulmans, les idolâtres, les sectateurs des fausses religions de la Chine, du Japon, de l'Inde, etc.»
Les adeptes de cette religion en faillite reviennent sans cesse, aujourd'hui encore, tenter une nouvelle offensive, ignorant leur expérience passée et les défaites multiples enregistrées durant les mésaventures des Croisades. Preuve de leur religiosité pervertie, ils gratifient les "Israélites" d'une promotion au rang de "fidèles"(Sic), pour toutes les insultes qu'ils professent dans le Talmud à l'encontre de Jésus et Marie. Paradoxalement, les Musulmans sont dénigrés "d'infidèles" malgré leur profond respect et leur dévotion à Sidna Aissa le Messager d'Allah, et à sa mère, la vierge Mériem !!  Ceci dévoile, au sein de la laïcité-fraternité maçonnique, la collusion de tous ses membres avec les banquiers juifs d'alors et par extrapolation objective, ceux d'aujourd'hui . Car ce sont les usuriers de l'ombre, experts des conflits "par proxy", qui mobilisent les hordes de mercenaires armés de leur Croix ("idiots utiles" du Nouvel Ordre Mondial Juif ) dans les campagnes d'évangélisation qui harcèlent notre région.  Nous verrons dans chap.5,  une autre méthode d'ingénierie sociale destinée à produire des zombies manœuvrables à volonté, mobilisés dans le cadre de stratégie subversive formulée par l'équation :
"thèse-action"+"antithèse-réaction"=>   "synthèse-solution-ingérence". 
Lisons l'analyse détaillée de Ken Adachi (au Lien ) dans laquelle il reprend le thème développé par les experts et les critiques de la subversion mondialiste, opérée par la dictature judéo-talmude et dirigée par les Illuminati :

«La technique est la suivante: les stratèges Illuminati créent le problème par le financement, l'assemblage, et la formation d'une opposition «groupe de stimuler la tourmente dans un pouvoir politique en place (pays souverain, région, continent, etc) sue lequel ils souhaitent empiéter et donc de créer des factions opposées dans un conflit que les Illuminati ont eux mêmes fait surgir. Durant les dernières décennies, ce qu'on appelle groupes «d'opposition» sont habituellement identifiés dans les médias en tant que "combattants de la liberté" ou "libérateurs" (récemment, le KLA-Armée de libération du Kosovo). 
«Dans le même temps, le chef du pouvoir politique en place, où le conflit est orchestré est diabolisé et au signal donné, dénommé "nouveau Hitler" (faites votre choix: Saddam Hussein, Milosevic, Kadaffi, etc.) Les "combattants de la liberté"sont souvent assemblés à partir d'élément criminels locaux (KLA, les trafiquants de drogue). Avec un vrai esprit de ruse machiavélique, les stratèges du NWO sont également, en secret impliqués dans l'armement,  et  les conseillers du chef du pouvoir en place; ainsi les Illuminati tirent tous les bénéfices provenant de tout conflit, par les crédits pour l'armement, et en fournissant toutes les parties impliquées dans la guerre).»
«Le conflit est promu sur la scène mondiale grâce au contrôle des médias et par une marée de photos et de reportages audiovisuels sur les atrocités horribles et sanglantes subies par les civils innocents. Le cri monte "Quelque chose doit être fait!" Et c'est la réaction souhaitée (note: la même technique est actuellement utilisée pour imposer le contrôle des armes aux États-Unis).» 
«Les sous-fifres du  NWO  fournissent ensuite la solution en envoyant des "soldats de la paix des Nations Unies" (Bosnie) ou des "troupes terrestres de la Coalition des Forces de l'ONU  (guerre du Golfe) ou les "bombardiers  de l'OTAN" (Kosovo). Une fois installés, les soldats de la paix ne quittent jamais les lieux (Bosnie, Kosovo). L'idée est d'avoir des troupes au sol du NWO contrôlant les principaux pays ou zones stratégiques, où une résistance importante à l'emprise du Nouvel Ordre Mondial est susceptible de surgir.»
 Chapitre 1/ Chapitre 2 / Chapitre 3 / Chapitre 5

25 avr. 2010

Le Mythe de L'Adversité Berbère Envers L'Islam Et La Langue Arabe.

-Chapitre 3-
Existe-il un antagonisme entre l'Arabe et le dialecte Amazigh ? 
En complément du chapitre 2, la question énoncée dans le titre de ce chapitre  nous dirige vers l'étude de la nature et relation entre ces langues. Une fois l'Islam adopté en Afrique du Nord chaque idiome remplit une fonction particulière, l'Arabe comme langue du Coran (donc primordiale pour la religion) et du savoir, le Berbère-Amazigh celle de la communication orale et véhicule de la culture et des traditions populaires. Les deux langues s'appropriant des caractéristiques géographiques et des formes dialectales régionales multiples. Elles cohabitèrent harmonieusement et furent préservées dans le temps grâce à leur rôle respectif, collectivement accepté et n'engendrant ni conflit, ni animosité. Seuls des stéréotypes populaires se collèrent sous forme de surnoms ou sobriquets, la plus part du temps sans sous-entendu racial ou sectaire. L'islam étant le ciment consolidant la nation et stratifiant les valeurs et mêmes les classes sociales, dont le statut s'échelonnait selon l'appréciation collective de la vertue et du savoir, de l'intégrité morale et de probité religieuse. Les Saints étaient vénérés, indépendamment de leur origine régionale ou  ethnique, pour leur droiture, leur foi exemplaire et leur sagesse.  Les "Chorfas" ou "Sharifs" pour leur affiliation au Prophète (ASWS), paradoxalement, même des tribus entières de "chorfas" avaient pour idiome de communication unique le Berbère, tout en gardant un sens de la citoyenneté musulmane inébranlable.  Harmonie et entente scellèrent le pacte d'alliance des membres de cette communauté et les unirent dans les grandes réalisations historiques qui marquèrent plusieurs siècles de l'humanité. Dans le besoin, cette unité s'exprimait dans la défense du pays et de l'Islam. Les divisions existaient que dans le cadre de divergences politiques, économiques ou parfois religieuse (rites), jamais ethniques ou raciales. Comment d'ailleurs pouvait-il en être différent lorsqu'on observe le tissu ethnique de la société présente à l'arrivée de l'Islam et des Arabes, et le brassage des peuples qui s'était opéré durant des millénaires et qui s'amplifia avec l'expansion de la dernière religion révélée. L'islam prêchant impérativement l'adhésion sincère à la foi et au respect des lois, comme attributs nécessaires à l'individu qui aspirerait au privilège de noblesse récompensant ceux qui craignent Allah, indépendamment de la race ou de l'origine. C'est ce caractère universel de l'Islam qui a été, et demeure, la force motrice de son expansion.  Malgré la corruption de ce principe par les souverains dont la préoccupations étaient parfois trop mondaines, la majorité des nord africains reconnaissaient la prédominance du caractère religieux sur toutes autres considérations. Ceci jusqu'au 19em siècle et l'arrivée de la colonisation, qui allait initier ses projets de remodelage de la société, par les moyens qui seront revus dans la suite de l'article.
 
A partir de 1789, débute la prise de pouvoir, par les juifs et leurs mercenaires franc-maçons, de la France royaliste, et parallèlement de l'Europe. De l'Espagne contrôlée par les Marrenos (crypto juifs feignant la conversion au Christianisme), de l'Angleterre subjuguée par les Rothschild, les changements historiques prennent une nouvelle tournure pour l'Afrique septentrionale pour laquelle sonne le glas de la colonisation. L'Afrique du Nord, obstacle à la domination juive en Méditerranée et province lointaine de l'Empire Ottoman (qui était la cible ultime, par le démantèlement du Khalifat musulman, sous l'instigation de l'éternel conspirateur et de leurs sous-fifres maçonniques), allait subir les méfaits des complots juifs.
Comme le démontrent les historiens modernes non-conformistes (qualifiés de révisionnistes par les pouvoirs dominants juifs et leurs suppôts médiatiques), la colonisation est le fruit des ambitions démesurés des banquiers juifs, qui motivés par leur cupidité insatiable, allaient planifier cette entreprise criminelle en la fardant d'utopies et parfois de ferveur religieuse chrétienne. L'esclavagisme, les génocides et les spoliations territoriales devenaient dogme religieux servant la mission "civilisatrice" de l'Occident, toutes menées au profit des banquiers juifs, ces nouveaux oligarques qui avaient soit détrôné la royauté européenne, l'avait infiltrée par des alliances diverses et l'inter-mariage, ou avait corrompu ses vassaux. Instaurant des régimes "démocratiques" et laïques, monopolisant graduellement les média, ils prennent en main  les destinées de ces nations, rédigeant les lois et les votant dans les hémicycles parlementaires burlesques, vitrines de la démocratie et écho des décisions prises par les pouvoirs occultes.  
Comment procéder et œuvrer, après la victoire militaire, à la consolidation de la domination et perpétuer l'exploitation de ces territoires nouvellement conquis ? C'est cette mission qu'entament les missionnaires mobilisés officiellement par le ministère de la guerre, et occultement par les membres des sociétés maçonniques sous les ordres de leur hiérarchie, l'oligarchie juive-talmude regroupant les banquiers et leurs alliés-coreligionnaires.  Le contrôle par la franc-maçonnerie de l'administration civile et militaire française en Algérie, dés 1831, a été relevé  dans "chap.1" et appuyé par l'extrait d'un texte publié au lien (loges), il prépare le terrain à la prédation juive. Illustrons les procédés utilisés à travers l'examen de Oscar Mac Carthy:
«Oscar Mac Carthy (1825 - 1913) est un géographe et explorateur d'origine irlandaise. Il fut l'un des premiers explorateur de l'Algérie, allant presque jusqu'à Tombouctou. Il dirigea la Bibliothèque Nationale d'Alger de 1869 à 1890.»
Dans une étude exhaustive "Géographie de l'Algérie", qu'il rédige «chargé par le ministère de la Guerre, d'une mission d'exploration des territoires algériens», ce «correspondant du ministère de l'Instruction Publique pour les travaux historiques, membre de la Société Historique d'Alger, de la Société Archéologique de Constantine, etc, etc, etc,..., de la Société de Géographie de Paris (1)..» 
  Au début le prétexte:
« Il y a quinze ans que la France a accompli  une grande et  noble action de plus. Depuis trois siècles un ramas de forbans, sorti de l'écume de l'empire turk, osait faire la loi à l'Europe entière, aux premières nations du monde. Elle a mis un terme à ce honteux scandale; elle a, de plus, vengé l'humanité sans cesse violée dans ses principes les plus sacrés. Mais là ne devait pas s'arrêter l'œuvre qu'elle venait de commencer si glorieusement. Tout se tient dans la marche incessante de la civilisation; elle ne saurait rien entreprendre d'isolé, d'incomplet, sans manquer au plus impérieux des devoirs que lui impose sa mission.»
 Il nous dévoile enfin ses objectifs et sa mission, contractés au prés "des hommes dont la bienveillance nous honore, dont l'amitié nous est précieuse":
«On ne marche hardiment aux destinées qui vous sont promises qu'alors qu'on s'est apprécié dignement. En occupant l'Algérie, cette région que Rome regardait jadis comme sa plus belle conquête, nous découvrîmes, non sans quelque étonnement, qu'elle nous était presque inconnue. On nous a vu alors faire ce que nous avions déjà exécuté tant de fois, on a vu la guerre servir à l'agrandissement de la science; quinze années de combats ont été aussi quinze années d'études, de recherches en tous genres qui se poursuivent encore sans relâche. La géographie a eu la plus large part dans cette investigation, et cela devait être le point de départ de toute appréciation d'un pays, c'est à elle que l'on rapporte tout, parce que c'est elle qui se lie le plus intimement à l'étude dés sociétés humaines. Depuis le moment où l'orgueilleuse ville des Barberousse nous ouvrit ses portes, chaque jour, chaque année ont été signalés par de nouvelles acquisitions, et actuellement l'Algérie nous est connue dans son ensemble, ici autant qu'elle peut l'être, là d'une manière satisfaisante sinon complète. Il est vrai que les matériaux par lesquels on peut arriver à cette connaissance sont ou trop volumineux ou sans liaison et presque toujours inaccessibles à ceux auxquels ils seraient le plus nécessaires. Il fallait les résumer pour leur donner toute leur utilité, toute leur valeur. Prenant un à un tous les ouvrages publiés jusqu'à ce jour sur l'Algérie; guidés, dans une étude qui nous ait devenue familière, par une critique consciencieuse, nous les avons analysés de manière à leur demander tout ce qu'ils pouvaient nous dire. De cette analyse approfondie est sorti une nomenclature aussi riche que variée, à laquelle sont venus se rattacher naturellement tous les détails géographiques, économiques et politiques qui pouvaient lui donner de l'intérêt; la description du pays et de ses grandes divisions physiques et administratives, celle des villes et de toutes les autres localités, marabouts, sources, routes, marchés, ports, montagnes. vallées, plaines, etc. des notices sur toutes tes tribus (au nombre d'environ 1200) et leurs fractions, leurs forces matérielles, leurs ressources; des études sur les diverses races; des recherches sur l'état ancien du pays, sur tous les points cités par les écrivains de l'antiquité, des notions étendues sur les moeurs, les coutumes, les langues, les religions, le gouvernement, l'administration, les lois, les monnaies, l'industrie de l'Algérie; ses relations commerciales avec les régions voisines, Maroc, Tunis, le Sahara, l'Afrique centrale l'Europe etc. Un lexique de tous les mots employés dans la géographie géographie algérienne, une introduction développée, des tables chrono logiques complètent ce vaste ensemble.».  «Dans ce long travail nous avons été puissamment secondé par des hommes dont la bienveillance nous honore, dont l'amitié nous est précieuse et auxquels nous avons témoigné tout ce que nous devons. En outre pas un mot dont l'origine soit cachée, pas un fait dont l'auteur ne soit cité. C'était le seul moyen de donner à notre œuvre ce caractère sérieux qu'elle devait avoir. Nous l'avons compris. C'est ainsi qu'a été fait ce livre qui sera, nous le pensons, utile à ceux dont le désir est de connaître l'Algérie, à ceux dont les destinés sont liées aux siennes de quelque manière que ce soit, soldats, administrateurs ou colons
0. MACCARTY .              ( 5 Mai 1846).
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 (1) A propos de cette "Société" et tant d'autres européennes "scientifiques", dans «Geography and imperialism, 1820-1940», par Morag Bell, Robin Alan Butlin, Michael J. Heffernan, et au Chapitre 9 'The spoils of Wars: The Société de Géographie de Paris and the French Empire, 1914-1919", Michael Heffernan écrit dans son Introduction : « La géographie et l'impérialisme français étaient des sujets intellectuels et idéologiques liés. Durant le Premier Empire Napoléonien, relevés cartographique  et topographiques occupaient une place  significative dans le système éducatif réformé principalement pour leur importance stratégique et militaire.»
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Résumé : 
Le texte laborieux de ce chapitre n'a pas pour ambition de rendre son contenu rébarbatif  ou inutilement volumineux, mais de partager avec le lecteur la complexité du travail de recherche des missionnaires de la colonisation et des moyens mobilisés pour atteindre les objectifs fixés par les futurs bénéficiaires de l'occupation. Il est exclu qu'il ait été conçu par les "bidasses" ou les politiciens des assemblés de députés et des membres de gouvernement dont les préoccupations sont plus terre à terre, et la vue réduite par leurs préoccupations économiques, politiques et sociales du moment. Ce modèle stratégique élaboré dans le détail le plus minutieux ne peut être l'œuvre que de personnes à l'intelligence hors du commun et dotés d'une connaissance approfondie des sciences sociales et des évolutions historiques, savoir basé sur une base de données accumulées sur plusieurs siècles et vérifiée à travers des expériences à grandes échelles, de la nature de la Révolution Française, et de celles qui succédèrent lors des bouleversements historiques des 19em et 20em siècle.  
Le détail et l'acuité des "relevés géographiques" de cette fin du 19em siècle nous esquissent un tableau de la nature des données utilisées et des méthodes employées par le "pouvoir" occulte  dans son travail de domination et de prédation, devant mener ultérieurement à son objectif de "globalisation". 
Ce constat nous amène à réviser fondamentalement notre perception de la nature de la colonisation, qui ne se limite pas à son usage de la force physique, de la violence militaire brutale ou de l'exploitation économique, elle contient un volet important basé sur le recensement des données socio-économico-politiques obtenues de l'observation de toutes les caractéristiques d'une nation. La connaissance détaillée de ces paramètres permet à quiconque désirant s'en servir le pouvoir de les altérer à son avantage et de les manipuler pour orienter le cours de l'histoire, la nature et la composition d'une société. C'est ce phénomène de manipulation complexe qui a été opéré pendant 132 ans, avec les outils traditionnels que collectionnaient les missionnaires du 19em grâce aux travaux d'investigation ciblant diverses compartiments des sociétés (ethnique, langues, races, religions) ,  et avec ceux plus récents de l'ingénierie sociale et des mass-média. 
Seuls les crédules et les ignorants, les mal intentionnés et les malhonnêtes, ou ceux servant des intérêts douteux, peuvent imaginer que les pays d'Afrique du nord, l'Algérie en particulier, est au 21em siècle identique à celle qui précédait le début de la colonisation. De grandes transformations ont été initiées par les destinataires-commanditaires des travaux de "géographie" effectués par de nombreux missionnaires. L'apparence de ces pays a changé dans le sens voulu par le pouvoir de l'ombre (pas l'officiel !) et les résultats observés aujourd'hui doivent être examinés judicieusement pour y déceler l'authenticité des apparences ou la corruption des réalités. Il est triste de constater combien naïfs
sont beaucoup de citoyens de ces pays en engageant leur militantisme dans des voies tracées par les tenants du "diviser pour régner" qui n'ont jamais cesser d'agir dans leur intérêts et qui persistent à développer des syndromes qui ne servent que leurs objectifs de domination.
Dans le chapitre 4, nous étudierons quelques travaux qui ont servi à manipuler les événements et à moduler les opinions dans le but de créer des symptômes conflictuels fictifs basés sur des appréciations frauduleuses de la réalité nord-africaine, ceci à travers l'examen de la situation particulière de l'Algérie. 

Chap 1 /Chap 2 / Chap 4 /.../ Chap 5.

Réponse au commentaire de "N":
Merci à "N" pour enrichir ce modeste article de ses remarques pertinentes qui m'ont réconforté et encouragé dans le travail de recherche que je souhaite partager avec tous, en vue d'initier (sans prétention) des échanges d'idées et relever le niveau de réflexion sur tout sujet qui concerne l'Afrique du Nord, et particulièrement L'Algérie.
Point par point :
-1- Concernant le langage des politiciens et celui du FLN, Il y a des groupes distincts, selon l'idéologie qu'ils véhiculent individuellement ou par adhésion à un consensus. 
-Un groupe, visiblement ignorant et borné, loin de la réalité historique et ethnique, trempe dans un extrémisme identique à celui de l'autre rive, les autonomistes-indépendantistes amazigh, par le rejet de l'autre, ils sombrent dans le sectarisme cru. Ils exaspèrent le conflit et réjouissent inconsciemment le "pouvoir de l'ombre", ceux que vous nommez talmudo-mondialistes.
-Le second groupe reconnaît l'autre (la composante arabo-berbère), mais sans conviction ni connaissances des réalités, par pur calcul politique et tactique, se dissimulant derrière un patriotisme de façade qui sert uniquement leur intérêts et le statu quo, refusant de tacler ce syndrome qui prend des proportions inquiétantes car géré par des forces aux moyens non négligeables et une logistique fondée sur la manipulation et la communication qu'elles contrôlent en amont et en aval, grâce aux média en particulier.
-un 3em, plus compétent, reconnaît la nécessité d'une solution harmonieuse, intelligente, répondant aux réalités et aux aspirations de tous et garantissant la cohésion et le dialogue constructif, au besoin innovateur, mais national et démocratique. Ce dernier groupe possède en face des interlocuteurs, partisans d'un réveil culturel berbère non discriminatoire-sectaire, avec une approche académique du sujet et des intentions saines visant un enrichissement de la société et évitant d'actionner le levier de la discorde ou du conflit.
Ce que j'essaie de démontrer est que les talmudistes sont depuis longtemps engagés dans leur travail de sape, et pour attiser les flammes de la discorde ne veulent absolument pas voir ce genre de dialogue constructif (3em groupe) prendre forme, libre d'émotions et de passions destructives. Ce qui arrange leurs plans, est l'action-réaction (thèse/anti thèse) des extrémistes des deux camps. C'est pour celà que Ferhat et ses MAKisards conviennent si bien aux plans de subversion du prédateur juif-talmude. Les excès dogmatiques contenus dans le discours des partisans de la rupture servent parfaitement les ambitions des ennemis de l'Algérie. Deux coups sérieux ont été portés aux chances de dialogue, l'offensive contre l'Islam et la langue Arabe, puis celui contre l'unité nationale. Le reste n'est que prétexte. "L'éternel conspirateur" doit se réjouir des positions extrémistes du MAK, car elles coupent cours à toute possibilité de concession ou dialogue. Je ne sais si le MAK est conscient de la gravité de ses actes et propos, et de l'escalade ruineuse qu'il provoque au sein de la nation. A mon avis il est certainement inconscient, sinon il faudrait croire que sa compromission est telle qu'il ne dispose plus de liberté de manœuvre ou de pouvoir de décision, et s'avère totalement contrôlé par ses "associés", qui l'actionnent à leur guise et selon leur désir.
-2- Le problème des victimes est le résultat de la provocation d'une partie et de la réponse disproportionnée qui lui a été opposée. Ignorance et naïveté des deux parties, mais n'est pas exclue la participation de forces manipulatrices, provocatrices et exaspératrices, derrière les deux rangs des antagonistes!
Par ailleurs ma conviction est que les déclarations d'apaisement de Bouteflika sont sincères et son officialisation de "l'amazighité" de l'Algérien n'est pas simulée mais le fruit d'une réflexion sereine pour l'apport d'un début de solution à la question. Hélas les "oulech asmah Oulech" non pas répondu favorablement à sa tentative de réconciliation.
D'accord sur le triste constat que les victimes ont été "gaspillées", au détriment de l'intérêt du pays et n'ont servi que de catalyseur à la discorde, dans les mains de ceux qui la souhaite, ou peut être même ceux qui avaient besoin de martyrs pour renforcer la contestation. En résumé beaucoup d"hypothèses peuvent être avancées, sans circonscrire définitivement la vérité, tant la situation est confuse, et vue la complexité et la diversité des forces qui y sont engagées.
-3- La gestion apparemment maladroite et banalisée de ce paradigme s'explique par :
-soit l'incompétence des acteurs chargés de diffuser l'information sur les troubles potentiels ou ceux déjà existants.
-soit le souhait de remédier au mal et de parer aux risques, par le silence. Méthode obsolète héritée du socialisme défaillant et assimilable à la politique de l'autruche, dont les déconvenues sont connues.
-la retenue devant les dimensions de ce phénomène et des forces en présence, retenue qui s'impose par le choix stratégique de la temporisation car ne divulguant pas ses propres intentions et ne dévoilant pas ses moyens de combat. Cette méthode relèverait du secret d'état, en assumant que l'intelligence existe et s'active à parer à toute éventualité, dans l'intérêt général, au  détriment de "l'ennemi". Les techniques, dont celle que vous mentionnez, existent. Il suffit d'un peu de volonté, d'imagination, et de savoir-faire dans l'art de l'ingénierie sociale "positive", pour battre les comploteurs et ruiner leurs manigances sulfureuses.