Urbanisme et architecture en Algérie : un bel avenir en perspective avec la bénédiction du Grand Architecte. Depuis 55 ans et la prise en otage du pays, le pouvoir judéo-maçonnique-jésuite (la fraternité des loges dominée par la 5em colonne de Lavigerie) s'en donne à coeur joie, ses symboles plaqués dans les lieux publics , dans les palais de justice, dans les établissements universitaires (vrais centres de sélection et futurs recrutements), dans les monuments et aérogares.
Ces prédateurs allogènes, apatrides, sont un cancer, une gangrène qui ronge la nation. Dissimulés derrière les écrans de fumée (1) des controverses et débats stériles, ou les épouvantails imaginaires, politico-historiques des clans , des "oligarches ", du Hizb França, de la maffia politico-financière, et autre mythes occupant l'opinion et détournant les regards de leur présence envahissante, dominante, écrasante de la vie de la nation. Des dizaine de media sont au service de ce pouvoir occulte, agissant en supports de diffusion de la tromperie et du mensonge.
Quand aux universités, les étudiants y accèderont à la meilleure éducation surtout si pris en charge par d'illuminés professeurs, dont le crédo est de guider vers la "lumière", et selon leur rang dans la hiérarchie.... apprendre à adorer Satan en échange de privilèges terrestres matériels !
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(1)Note : pendant ce temps, nos amis militants alertes et perspicaces mènent de grandes batailles face aux épouvantails dressés par les media illuminés.
- Écrans de fumée / Épouvantails ?
- Exacte, les controverses stériles qui les "occupent", exemple les mesures prises par la grande pédagogue Benghabrit, une experte en fabrication de débats insensés, sur des thèmes futiles touchant à des valeurs acceptées intangibles reconnues par tous les algériens depuis 15 siècles. Les polémiques engendrées par les spécialistes de la manipulation sont alors violentes, des groupes antagonistes se confrontent à couteaux tirés, avec insultes, menaces, représailles.
La finalité ? En fin de journée, aucuns d'eux ne savent pourquoi et au bénéfice de qui ces guerres sont déclenchées.
Je leur répond : "au profit de ceux qui bâtissent nos universités et les contrôlent !"