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26 sept. 2014

LES EUROPÉENS DONNEURS DE LEÇONS SUR LA CORRUPTION FERAIENT MIEUX DE BALAYER DEVANT CHEZ EUX !

UN RAPPORT DE L'UE  DÉVOILE L'ÉTAT ENDÉMIQUE DE LA CORRUPTION DANS L'ÉCONOMIE ET LA FINANCE DE TOUTE L'EUROPE, MAIS ÉVITE D'EN PRÉCISER LES SOURCES ET LES ACTEURS PRINCIPAUX. L'AUTEUR DU RAPPORT, LA TALMUDIPÈDE CECILIA MALMSTRÖM, ÉVITE ADROITEMENT D'EN CITER LES PRINCIPAUX FAUTIFS, SES CORELIGIONNAIRES SHYLOCK, VAMPIRES HUMAINS QUI DRAINENT LE SANG DES PAUVRES NAIFS GOYIM !
 «La corruption dans l'UE coûte à l'économie € 120 Milliards par an - équivalent au budget annuel de l'UE, a déclaré le commissaire de l'UE des Affaires intérieures, Cecilia Malmström,  lors de la présentation d'un nouveau rapport, ajoutant qu'il n'y a pas de zones exemptes de corruption en Europe." Le premier dans son genre, le rapport examine l'ensemble des 28 États membres et se penche sur les mesures existantes, les problèmes et les politiques efficaces pour proposer de nouvelles recommandations. L'ampleur de la corruption de l'UE est "à couper le souffle", a déclaré le journal Göteborgs Malmström-Posten de la Suède à la suite de la publication du rapport le lundi. Un peu plus des trois quarts des personnes interrogées au niveau de l'UE pour ce rapport anti-corruption ont déclaré qu'ils estiment que la corruption est répandue dans leur propre pays, avec plus de la moitié ajoutant que le niveau de corruption a augmenté.

En termes de perception de la corruption, les principaux pays inclus la Grèce, avec 99 pour cent des répondants indiquant que la corruption est répandue dans leur pays, suivie de l'Italie avec 97 pour cent, et la Lituanie, l'Espagne et la République tchèque tous à 95 pour cent.

Le rapport a souligné que la Croatie, la République tchèque, la Lituanie, la Bulgarie, la Roumanie et la Grèce comme pays en retard dans leurs résultats de la "reconnaissance et de la réalité de la corruption." Dans ces pays, entre 6 et 29 pour cent des personnes ayant répondu au sondage ont indiqué qu'elles ont été invitées ou tenues de payer un pot de vin au cours des 12 derniers mois, tandis que 84 pour cent à 99 pour cent jugent que la corruption est répandue dans leur pays», a déclaré le rapport.

En revanche, les plus bas niveaux de corruption relevés sont signalés en Finlande et au Danemark, soit 3 pour cent chacune, suivies par Malte et le Royaume-Uni avec 4 pour cent.

En termes de faire des affaires dans l'UE, les entreprises de plus de quatre personnes sur 10 (40 %) affirment que la corruption est une entrave à leur activité en Europe.

La corruption détruit la confiance en les institutions publiques et en la démocratie,
a déclaré Malmström lors d'une conférence de presse. "Elle sape notre marché intérieur, il entrave l'investissement étranger, il en coûte aux contribuables des millions, et dans de nombreux cas, elle aide les réseaux du crime organisé dans leur sale boulot», dit-elle.

Suite à la publication, la Commission européenne va entamer un dialogue avec tous les États membres, le Parlement européen et les parlements nationaux afin de discuter et d'exécuter les recommandations du rapport. Dans deux ans l'UE prévoit un rapport de suivi pour évaluer les progrès réalisés.

Certaines des suggestions énumérées dans le rapport comprennent: augmentation des normes de reddition de comptes, des mécanismes de contrôle au sein des administrations publiques, d'améliorer l'efficacité des tribunaux et de la police, la protection des dénonciateurs, des pratiques de lobbying plus transparent, la création d'outils informatiques en ligne (réseaux sur internet) pour accroître la transparence.

"Le coût d'un manque de réaction est tout simplement trop élevé", a déclaré Malmström en conclusion de son discours, dans l'espoir d'entamer un dialogue politique au sein de l'UE

2 août 2012

L'économie moderne repose presque entièrement sur ​​des mythes (corrigé)

Sciences économiques : Dés le premier abord on constate que le terme de "science" est controversé car non reconnu unanimement par les académiciens et les théoriciens qui abordent le sujet de la définition de cette branche du savoir ravagé par les controverses et les polémiques. Des écoles et des courants de pensée divergent sur le contenu, la méthode, l'empirisme ou l'approche cartésienne, la logique ou l'aléatoire, l'épistémologie, la scientificité, etc....
Dans www.scienceseconomiques.com la question est posée :              "L'économie est-elle une science ?"
      (Lien) «Les critères de scientificité en économie sont difficiles à trouver car sur de nombreux points l’économie ne fonctionne pas comme une science (grandes fractures idéologiques, écoles rivales) mais, malgré ces réserves, il est indispensable de les recenser.» 
Au même Lien :
     «L'épistémologie économique :
    "... Conclusion : L’économique est en avance sur les autres sciences sociales mais est en prise à de nombreux obstacles.
- La connaissance des fins économiques est la science d’un objet essentiellement changeant, les faits se définissant dans des contextes sociaux soumis aux aléas de l’histoire.
- Elle ne peut viser que des faits et non des évènements, ce qui limite sa capacité de prévision.
- Elle est inévitablement mêlée à l’idéologie.»
Différentes définitions effleurent la nature de cette "science", qu'on souhaite "une" parmi les sciences sociales, mais qui est y enchevêtrée.
 Wikipedia : «En réalité, il n'existe pas une seule définition de l'économie, mais plusieurs définitions, chaque définition renvoyant à des réalités sous-jacentes différentes. En effet, la science économique peut s'appliquer à de nombreux domaines (économie financière, internationale, politique, industrielle, du travail et des ressources humaines, publique, de la santé, de l'environnement, de l'éducation, etc.) être appliquée de différentes manières (méthode économétrique, microéconomique, macroéconomique, etc.) et y rechercher des objectifs différents (efficience, égalité, etc.).»
 La littérature qui traite de cet enchevêtrement de divers domaines du savoir a toujours été prolifique et elle succombe sous le poids des querelles qui règnent au sein des institutions académiques, dans les centres d'expertise, dans les organisations internationales, et dans la jungle des média, qui se spécialisent dans l'analyse et la prévision des indicateurs, l'évaluation de la performance des choix et décisions politiques initiatrices et  guides de l'activité économique.
Ce bref survol des "sciences économiques" dégage l'impression vague mais persistante de la présence, d'insuffisances,  d'inexactitudes dans le contenu, les méthodes, les objectifs, les programmes de l'enseignement, et en général dans la littérature qui traite du sujet. La leçon primordiale à retenir de cette prospection du monde controversé de l'économie nous dicte les règles d'or suivantes : la nécessité d'approcher tout texte qui s'en réclame avec prudence et surtout exiger des personnes qui s'y impliquent beaucoup de modestie, d'humilité  et de réserve. Ces règles d'or, que toute personne impliquée dans le débat et l'analyse économique devrait élever au rang d'axiome, ne sont hélas que rarement observées. Les déclarations des "économistes" sont souvent avancées comme vérités absolues, justifiées uniquement par la potion alambiquée de la persuasion, du verbiage, d'une logique boitillante, et une vision troublée par le brouillard de l'idéologie .
De l'examen formel de la littérature traitant des sciences économiques il ressort un constat hélas amer qui accable la majorité des professionnels et dévoile une tare collective :  l'impudence et le manque de retenue qui accablent leurs exposés. Tous dissertent avec la conviction de partager des vérités absolues et de présenter des arguments irréfutables. L'expérience démontre au contraire leurs défauts, leur approximation, leur médiocrité, leurs erreurs et la grossièreté de leur pensée.  L'anarchie et la panique qui règne dans le monde économique et financier suite aux crises endémiques qui sévissent depuis des décennies, sont la preuve de l’inadaptation des connaissances des experts et des conseillers en tout genre qui gèrent/administrent le chaos économique actuel.  La cause principale de cette avarie dans le fonctionnement de ce corps de la pensée se situe dans la manifestation de l'instinct de survie d'une profession qui abuse de ses prérogatives et enfreint les règles de la déontologie.  Qui de chercheur (qui n'a rien trouvé) ou d'enseignant arborant des diplômes honorifiques infructueux et inconsistants, tous s'accrochent au mythe de leur activité intellectuelle stérile, flétrie par la carence de fausse scientificité et de subjectivisme de la pensée.
En un mot ils plaident uniquement pour la sauvegarde de leur gagne pain !
 Pratique maudite de l'usurerie : Mal personnifié et source de toutes les misères  :
C'est le cancer qui ronge l'activité humaine supposée oeuvrer au bien être économique. Une vérité que la majorité de nos experts /universitaires/professionnels éludent, évitent de discuter en se dérobant devant un tabou suprême, celui de la critique ou la dénonciation de cette perfidie que les enfants de Satan ont introduite dans tous les mécanismes de la machine économique/financière.
Présente directement ou indirectement dans tous les recoins de l'activité économique, dans la monnaie, l'investissement, et par prolongement dans l'industrie/production, dans les secteurs commerciaux, dans les programmes d'enseignement, dans la culture et les loisirs (sport, arts), dans l'habitat, etc...
Les injustices majeures enregistrées à l'échelle planétaire, les souffrances de populations entières suite à l'endettement, les guerres financées sous label "d'aide militaire", l'exploitation incontrôlée des ressources et les retombées négatives (pollution, corruption, pillage) sont quelques conséquences des décisions "économiques" dictées par les puissantes sphères du pouvoir mondial qui contrôlent la planète. Existeraient-ils différents modes de gouvernance économique, ajustables selon les intérêts des uns et des autres ? Les sciences économiques seraient-elles modulables en fonction de la cupidité de ceux qui la fignolent à leur avantage ? Cette science n'est-elle qu'un outil ou une arme que ses concepteurs brandissent selon les circonstances pour atteindre leurs objectifs ?
Pour illustrer ce dilemme l'exemple de l'activité des banques, au passage toutes juives et présentes partout, qui inondent le marché de leurs produits financiers dans le but de piéger les clients (états, compagnies, individus) et les accoutumer à l'opium du crédit.  Les opérations financières commerciales sont sournoisement présentées comme "aide" (sic), "investissement", "soutien au développement", "coopération", "faveur", "assistance", "partenariat", ou sous de nombreuses oxymores que le public perçoit comme "aumône", "charité", "bienfaisance". Il s'avère hélas que la tentation de nombreux clients à bénéficier de prêts et "d'aide" tournent au cauchemar et leur situation déjà précaire se transforme en catastrophe humaine et en faillite économique, sous le poids de la dette ! Des théorie et des traités volumineux sont publiés pour vanter les bienfaits de l'investissement, mythe qu'on maquille pernicieusement pour dissimuler sa nature sous-jacente où sommeille le monstre shylock, maitre de la prédation usurière ! 
Recommandation primordiale:
Indépendamment du niveau de connaissance des mécanismes commerciaux, financiers, et des règles de gestion, une principe essentiel à respecter dans toute décision ou choix économique est celle qui consiste à s'isoler de l'emprise des banques. L'expert et le décideur se doivent de tracer un plan ou une stratégie, en minimisant l'influence des banques dans tout processus d'élaboration d'un projet économique de nature industrielle, commerciale, sociale, à destination locale ou internationale. Le financement par le biais de l'emprunt gangréné par le taux d'intérêt est la peste qu'il faut éviter par tous les moyens et astuces  imaginables. L'appel à la participation via une intégration du partage des risques ou des bénéfices, est une forme envisageable sous la forme préconisée par le système dit de financement islamique dans lequel banques et entreprises s'associent dans un projet et agissent en partenaires.
Théorie et réalité économiques : deux mondes distincts irréconciliables.    
Sous l'angle "théorie" et celui de "réalité" l'économie possède deux faces distinctes qui font penser au personnage célèbre de Dr. Jekyll and Mr. Hyde.
Le jour, le scientifique contrôle la situation et règne en maitre dans un univers aseptisé et idéal où il côtoie des techniciens, analystes, statisticiens, et chercheurs exhibant leur savoir dans un vaste éventail de connaissances académiques.
La nuit, le personnage se métamorphose en loup garou qui sillonne les rues; incontrôlable, imprévisible, impitoyable et sournois envers ses victimes. Durant ses randonnées nocturnes son passage résulte en un bain de sang dans les banques, les centres financiers, les bourses, les divers marchés.
                                                            A Suivre...

19 mai 2010

Conspiration Juive En Terre D'Islam :Outil De La Perpétuelle Offensive Rabbinicale.

Chapitre 5

Dans chapitre4 , a été dénoncée l'offensive dirigée principalement contre l'Islam pour assoir et perpétuer la colonisation française en Algérie, colonisation destinée à servir l'insatiable cupidité des banquiers Kosher. La mission de démolition des fondations de la société, à savoir les mœurs, les coutumes et les croyances musulmanes, avait globalement et de manière miraculeuse échoué. Ceci, en dépit des moyens mobilisés et des ressources investies dans ce plan d'ingénierie sociale à grande échelle. L'Algérien a montré une résistance naturelle,  une immunité spirituelle et morale, face aux tentatives de manipulation des agents et missionnaires. L'usage de la terreur physique et du chantage exercé par l'octroi ou la privation des besoins humanitaires, étaient pratique courante. Les centres de culture et d'enseignement (mosquées et zawiates) étaient ou détruits ou fermés; les bibliothèques confisquées et vidées de leurs ouvrages; les savants proscrits dans leur rôle de diffusion du savoir. En fait une opération de génocide physique, religieux et culturel avait été programmée à l'instigation des "think-tanks" de l'oligarchie Rothschildienne de France, dont la Société de géographie de Paris (SDGP).
Les hommes  envoyés en Afrique du Nord en vue de prospecter et relever toutes les informations concernant ces pays étaient recrutés dans un large éventail de compétences et de professions: militaires, administrateurs, religieux, scientifiques, aventuriers et collaborateurs. Toutes les nationalités et toutes les religions étaient invitées à participer dans cette vendetta contre les Maures.  Une communauté allait se distinguer dans cette campagne de vengeance: 
une tranche de Juifs séfarades Nord-Africains.
La solidarité internationale liant les membres de cette minorité religieuse transcendait les intérêts locaux et dominait leurs engagements contractés auprès de leur coreligionnaires de France. A noter que la coopération étroite entre Charles de Foucauld  et le Rabbi (rabbin) Mardochée Aby Serour (photo ci-contre)  lors de leur pérégrination à travers le Maroc, sous la supervision de la  SDGP, a démontré les talents de pionnier de cette forme d'envahisseurs et d'occupants coloniaux, précurseurs du dogme du "clash des civilisations" tel que proclamé aujourd'hui par les talmudistes new-yorkais. L'histoire étant un éternel recommencement, il est évident que la campagne menée par les aveugles partisans de "l'idiot utile" Ferhat M'Henni (soutenu par les sionistes de Tel Aviv et leurs coreligionnaires d'ailleurs)  constitue avant tout une illustration parfaite de la stratégie employée depuis toujours, celle du "diviser pour régner".
D'autres juifs plus célèbres, Bakri et Busnach avaient joué le rôle de détonateurs dans le contentieux financier qui devait servir de prétexte à la colonisation.(Lien: akadem.com, version
française d'un article dans le site hébreux-israélite !)

Ces agents au service du pouvoir de l'ombre (les banquiers juifs), à savoir le pouvoir totalitaire et sans partage (pas celui fictif des marionnettes des assemblées "démocratiques"), sillonnent le monde musulman pour ouvrir la voie au pillage économique et, d'une-pierre-deux-coups, disloquer l'empire ottoman. Le démembrement de l'empire ottoman, dont les carences et le dysfonctionnement ne sont pas contestables, offrait la possibilité de la création d'un état juif occupant la zone de la mythologique  Israël. Seul facteur prédominant  dans ce chapitre de l'histoire nord africaine, l'intrusion des juifs ashkénazes, par le biais de leur association avec les israélites autochtones, dans la gestion des affaires de la région. Leurs tentatives d'influence territoriale visant même Tombouctou, un centre spirituel et économique du monde musulman d'Afrique sahélienne. Le caractère agressif des visées hégémoniques de la communauté juive 
sur cet espace géographique est bien sûr intentionnellement occulté, car sa reconnaissance ruinerait le mythe de la victimisation décrié par les inventeurs de la Shoah, cet autre paradigme historique fallacieux tant utile aux revendications sionistes et talmudistes. Principalement pour leurs exigences  d'indemnisation, par le reste de l'humanité, des prétendus crimes commis contre eux. Le blâme des crimes de la colonisation (et de l'esclavage !) étant imputé aux "proxies" européens, il est normal que les manuels d'Histoire rédigés par le bon soin des scribes juifs ne pointent jamais le doigt vers les vrais auteurs des horreurs commises contre les peuples d' Afrique, en particulier et, du "tiers monde" en général :les banquiers koshers.
Conclusion :
Pour l'Algérie, et en complément de l'article intitulé "chapitre  1-«Les Autonomistes Amazigh: Un Cas D'École de l'Ingérence Juive En Afrique du Nord.», des analyses plus succinctes étayées d'exemples plus détaillés, par cette approche méthodologique "conspirationniste", prouvent de manière irréfutable le rôle primordial, sinon exclusif, des prédateurs juifs et à leur tête les banquiers, dans les malheurs et les souffrances endurés par le peuple algérien par le passé. Des défis sont lancés par  leur ingérence soutenue, telle celle opérée dans cette "bulle" autonomiste-indépendantiste que tente de "gonfler" la nébuleuse des éternels conspirateurs.