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21 avr. 2009

Algerie:Catastrophe rouge écartée !

Louisa notre Rosa Luxembourg est une "nostalgique" qui insiste depuis 20 ans pour nous convaincre d’adopter le bon-horreur du socialisme, version " portable-light " des Lénine-Trotsky, avec option plus tard pour celle Staline dans sa version "pro" ou "entreprise".
Il est honteux de sa part de qualifier péjorativement la Biolorussie de « stalinienne », puisque c’est vers ce modèle là qu’elle compte nous mener si l’occasion lui était donnée.
Après sa participation régulière à « l’Internationale »
( socialiste il en va de soit) au côté d’illustrissimes socialistes de la trempe des Israéliens Rabin et Peres, ou de l’exilé par inconvenance personnelle en Suisse Ait Ahmed, notre trotskiste a révisé son discours en le maquillant des tactiques "déceptives" propres au populisme utopique, le sac fourre-tout des démagogues et fascistes de tout bord.
Défenseur des droits des travailleurs comme classe opprimée, telle que définie dans la dialectique marxiste, que le fils de rabbin kosher, Marx a formulé pour alimenter la discorde sociale et la destruction des sociétés chrétiennes, notre égarée politique souhaiterait projeter ses frustrations, peut être personnelles, en déclenchant un conflit entre Algériens prétextant leur différence de revenu ou de patrimoine économique !
Un volet du même extrémisme qui hier menaçait, sous une apparence pseudo religieuse cette fois, la destruction du pays par l’exacerbation de différences, des conflits et contradictions inhérentes au processus d’une société en formation et évolution.
La seule voie menant au bonheur étant celle du dialogue et de la cohésion pour l’édification d’une nation, par opposition à la polémique, la discorde et l’établissement de tribunaux dirigés par une justice expéditive vindicative élaborée dans les procès d’intention.
Pour sa Révolution, notre Robin des bois devrait penser à importer des ouvriers, les Algériens en général vivant comme rentiers !
La Révolution pour qui et contre qui ?
Pour elle et contre tous.
Uniquement pour ça ?
Demandez à son père il a été la première cible de sa révolution, au foyer familial !
Apprenant la fugue de sa fille , il a couru jusqu'à Annaba pour la rattraper et lui donner une fessée, mais a échoué et en est retourné bredouille et désespéré. Car notre Louisa nationale est une vraie révoltée précoce qui n’arrive pas à canaliser ses énergies vers quelque projet unificateur et constructeur, mais uniquement pour accuser et vilipender le Monde, suite à quelque mésaventure sociale ou psychologique (qui relève de la psychiatrie) qui la hante et déchaîne la haine qu’elle porte à autrui !
Elle est naturellement la voix de beaucoup de frustrés et envieux qui ont des comptes à régler avec la société suite à leur accident de parcours, social ou économique.
Elle a recours à l’appel de la vendetta pour se hisser au pouvoir
sur le dos des mécontents toutes tendances confondues.
Rodée dans les techniques de guérilla après son passage à l'école Castro-Guevarra, la pépinière des révolutions "douces",
elle ne désespère pas de fomenter quelque soulèvement populaire qui la porterait au commande du pays.
La démocratie n’est pour elle qu’une déception passagère pour asseoir la dictature du prolétariat qui mène au paradis terrestre, à l’image de celui promis par les Bolsheviks qui, en 50 ans, ont expédié vers l’au-delà plus de 60 millions de Russes !
Elle tente d’obtenir une procuration notariale du monde des travailleurs, qui l’autoriserait à une représentation honorable sur la scène politique avec le soutien aveugle de ses partisans, tous victimes d’illusions, de falsification historique ou de pure ignorance.
Conclusion :
En attendant l'heure des révolutions qui prêchent les luttes intestines et les divisions sociales, adhérons à celle défendue par Bouteflika qui prône la solidarité et l’union des Algériens !

Bilan Elections Algérie 2009

"La vérité étant fille du temps et non de l'autorité", souhaitons que l’appel rassembleur de notre Président « providentiel » trouve un écho chez tous les Algériens !
Je trouve incroyable qu’une partie des électeurs ait répondu à l’appel des sirènes qui œuvrent au « sabordement du navire ».
La campagne a mis à nu le fossé qui sépare Bouteflika des autres candidats jaugés sur la base des critères suivants:
-1- Le poids de l’expérience dans la gestion des affaires nationales et internationales.
Qui peut prétendre diriger un pays de l’importance de l’Algérie avec les défis qui la confrontent dans la conjoncture actuelle complexe et imprévisible, sans avoir assumé de responsabilité à un niveau élémentaire ou intermédiaire ?
Il n’y a aucune réponse rationnelle à cette question. Reste l’hypothèse conférant à ces prétendus candidats,
-l’ignorance du fardeau réel que cette tache impose,
-ou l’aveuglement dont les accablent leurs ambitions démesurées,
-ou simplement leur manque de pudeur.
-2- La sagesse et le bon sens démontrés dans l’exposé d’un projet politique clair qui rassemble et mobilise
les citoyens autour d’objectifs réalistes.
-3- La compétence, l’assurance et l’aura, qui combinées, confèrent au politicien une stature d’homme d’état.
-4- Le capital politique associé au CV du candidat, qui présente les services rendus dans l'intérêt du pays.
Dressons un tableau comparatif des candidats sur la base de ces critères et procédons par élimination
à la sélection de celui qui y adhère le mieux. Nous constaterons que les résultats des élections découlent logiquement de ce choix rationnel, indépendamment des chiffres et statistiques qui relèvent uniquement de la forme alors que le fond, essentiellement le choix du « juste » candidat, a été préservé.
La campagne de dénigrement orchestrée et lancée par certains média et candidats de « circonstance » (faussement surpris et déçus, mais surtout aigris à la suite de l’annonce du résultat des élections), dévoile leur mauvaise foi et leurs ambitions politiques démesurées fondées plus sur la cupidité que sur l'engagement au service du pays.
La tentative de prise de pouvoir par le biais d’une campagne populiste souvent mesquine et mensongère n’a pas dupé les électeurs qui ont sanctionné ces apprentis politicards par un vote massif en faveur du candidat le mieux placé pour remplir cette fonction primordiale de la gouvernance de l’état.
La conclusion principale à tirer de ces élections est qu’elles ont constitué un d’exercice de formation et d’éducation de la jeune démocratie algérienne qui s’achemine graduellement vers un stade de maturité dans laquelle tous les acteurs doivent jouer un rôle, idéalement avec conviction mais surtout avec honnêteté.
Ce n’est pas en agitant des drapeaux noirs qu’on construit un pays !
Boutéflika par contre agite des verts ! Plus significatif !