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23 févr. 2016

Des agents se disant de l'opposition, suspects par leurs fréquentations, lancent de Paris un appel à la "Diaspora".


 Introduction
 
 L'article 51 du projet de Contitution déclenche une vague injustifiée de protestations. Des participants sur le réseau facebook lancent un appel à la diaspora en prétextant différents arguments de droits, de démocratie, et de citoyenneté, en attribuant à l'article des directives inexistantes, et en dénaturant le fond et la forme. Lui attribuant des mesures uniformes à l'encontre de tous les algériens à l'étrangers, mais en réalité ne mentionnant, n'abordant, et ne spécifiant qu'une catègorie infime, celle prétendant à des postes sensibles de responsablité , dont celui pas des moindres, de la présidence de l'État ! Cette remarque ne concerne pas la majorité des algériens fidèles à leur identité et aux valeurs de leur origine naturelle, et qui toujours refusent d'exposer les carences de leur patrie au bon plaisir des média de France qui se réjouissent d'en faire des armes et lancer des attaques contre le pays d'origine.
Qui est derrière ce manège ? Des égarés apatrides, sans attache nationale, aigris par des choix personnels regrettables; motivés par l'égoisme et l'intérêt personnel, des calculs politiques ou économiques étroits; des aventuriers de la politique au passé opaque et/ou ayant trempé dans l'administration félonne de régimes antérieurs, dont celui frauduleux du "socialisme spécifique". 
Un exemple de ceux qui sont affectés par l'article 51 :
Les exemples les plus connus : Nekkaz et Benouari, "candidats à la présidence".
Ne remplissant pas les conditions définies par les lois régissant les élections, ils sont deux apatrides qui changent de nationalité comme de chemise.
Le cas de Ali Benouari : il s'acharne à jouer dans l'opposition mû par la vengeance ou en tant qu'agent de la nébuleuse de la subversion exploitant Bouteflika comme prétexte, mais ciblant l'Algérie, comme pour Khaddafi en Libye. Benouari Ayant goûté au pouvoir, celui de l'argent, la présidence est sans aucun doute un tremplin vers une autre gestion scabreuses des affaires financières du pays, à l'image de celle, documentée, lors son incursion au ministère des finance au temps du pillage et des intrigues orchestrées par les FMI et BM.
Agissements suspects de notre Suisse, il se sert d'agents en France qui déclenchent des campagnes de protestation en tentant de mobiliser les algériens immigrés, les désinformant sur le contenu et les applications réels de l'article 51 ! De la vraie manipulation est en cours sur les réseaux sociaux (voir annexe, celle sur facebook). Djamel Dahairi publie sur facebook un appel à rejoindre une "voix de la diaspora".
a suivre......

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