Translate

17 oct. 2013

Algérie : Les Apprentis Présidents Poussent Comme Des Champignons, Et La Perfidie Juive Les Arrose !

Chez les opportunistes embusqués dans les couloirs sombres des partis politiques, marchands d'utopie et de chimère, l'absence inopinée de Bouteflika avait déclenché des fantasmes politiques collectifs se transformant en des comportements absurdes et extravagants. Beaucoup se sont découverts des ambitions démesurées. La nature ayant horreur du vide, leur tapage médiatique et leur vanité ont eu la prétention de combler le néant avec .....du vent ! Combien vaine fut leur offensive verbale virulente. «L'ambition, considérée sous son aspect morbide, traduit les aspirations du vaniteux et de l'orgueilleux à la réalisation d'un projet flatteur.»
Par leur recherche immodérée de la puissance et du pouvoir, des parvenus de nulle part ont perdu tout sens de la retenue et de la pudeur, deux vertus qui habituellement tempèrent les mœurs. Grisés par l'illusion d'être devenu homme, ces nouveaux nés égarés dans l'immense champ de bataille politique ignorent totalement les dangers que recèle ce territoire hasardeux où seuls les titans triomphent.  «Éphémères champignons sortis de terre, ils pensent défier les chênes de la forêt mais sont rappelés à l'ordre, piétinés, mâchés ou décomposés, leur courte existence étant une fatalité .»
Il est signe de la fin des temps que le lourd fardeau de la gouvernance devienne la convoitise d'indigents intellectuels et d'opportunistes indécents. Des individus, présentant aucun mérite, passé historique, démonstration de la moindre qualité à diriger, vertu morale et spirituelle, suite dans les idées, arguments rationnels convaincants,  programme de développement pragmatique, analyse statistique détaillée offrant une vision claire des enjeux, ont l'audace d'aspirer à gouverner une nation et ses citoyens connus pour être exigeants et difficiles à diriger. Des personnages au profil médiocre et d'autres au passé douteux, qui n'ont rien à offrir d'enrichissant ou d'éducatif à leur audience contingente, se lancent dans des campagnes électorales anticipées en n'ayant rien à offrir sauf le flot de critiques gratuites, d'insultes voilées, de remarques désobligeantes, d'appréciations subjectives, d'opinions péjoratives, d'insinuations malveillantes, d'opinions irréfléchies, et  d'idéaux capricieux. Certains caractères loufoques flirtent même avec l'ésotérisme et la divination et étalent leurs élucubrations politiques en tentant de leurrer l'opinion en dévoilant leurs...visions politiques.  Ces voyants de la politique à l'orgueil magnifié par les applaudissements de courtisans eux mêmes détachés de la réalité, somnolent les yeux ouverts, délirent dans leurs cauchemars, le visage figé d'effroi par une image qui les hante, celui du vieux lion qui les observe, rugit, et les tient au large. Telles les hyènes effrayées par le roi de la savane, qui ont seule ressource le ricanement; une sorte d'insulte animale qu'ils réservent à plus puissant qu'elles. Elles l'insultent pour sauver les apparences. Rien n'échappe à leur outrage sonore, le lion, sa famille, son clan, son territoire, son règne. Ces prédateurs impitoyables n'ont aucun recours réel pour affronter leur maître et déguerpissent en râlant leur sarcasme. 
La Politique : Pourquoi Et Comment ?
Les définitions de ce terme ont fait l'objet d'innombrables dissertations et de traités, largement documentés et publiés dans les manuels de l'éducation et les publications diverses.
L'une d'elle résume la politique  :  «Qui a rapport aux affaires publiques, au gouvernement d’un État, ou aux relations mutuelles des divers États.» Simple et consise elle ne nous renseigne cependant pas sur la réalité de cette activité dans la pratique et sur la question de «qui régit la conduite des affaires de l'État».  L'histoire nous dévoile ceux qui ont rempli ce rôle. Mais l'histoire n'est pas entièrement fidèle à sa fonction présumée de description d'une réalité passée. L'histoire fait l'objet d'une publication officielle que les manuels scolaires sont enjoints de diffuser. L'histoire n'étant pas neutre, sa manipulation a pour objectif de traduire les vues officielles, servant le pouvoir existant (à l'image du pouvoir mondial actuel régi par la dictature talmude), et  perpétuant des intérêts souvent occultes. Pour connaître toutes les versions de l'histoire il faut impérativement consulter toutes les sources disponibles, dont l'une taxée péjorativement de "révisionniste" ou "négationniste". Tous les chercheurs engagés dans l'élaboration de cette approche sont poursuivis, harcelés, incarcérés sans procès, agressés physiquement, et endurent les pires réquisitoires suivis des plus pénalisantes sanctions, particulièrement lorsque leurs recherches réfutent certaines dogmes religieux tels 
-la Shoah-Holocauste; 
-ou les événements historiques majeurs tels l'implication juive dans le génocide de 60 millions de Russes pendant la révolution bolchevique commanditée par Rothschild; 
-ou le rôle des banquiers dans toutes les guerres mondiales; -etc... 
«Les révisionnistes sont des gens qui veulent savoir si ce qu'on dit est vrai » et selon une démarche égale, il est souhaitable «de savoir que ce qu'on dit sur la politique et les politiciens est vrai»
Une fois cette étape franchie et par extrapolation, de manière générale et simpliste, tenter de découvrir s'il existe une bonne et une mauvaise politique, conséquence respective de la pratique bienveillante ou malveillante des "politiciens".  Ainsi souvent ceux qui se réclament de l'action au service des intérêts du peuple respectent leurs engagements par des résultats probants; d'autres n'ont pour intentions réelles que de se servir eux-mêmes, d'où leurs résultats négatifs.
1- La Politique Au Service De La Nation : 
Il est concevable que chaque citoyen ait un idéal et souhaite s'impliquer dans la vie politique en participant à un projet, à un programme, et même accomplir une mission personnelle jugée utile et profitable à tous. Mais les rêves, les visions, les ambitions, ou les idées ne suffisent pas pour s'investir dans ce domaine. Ni les interprétations intellectuelles de la réalité perçue à travers l'expérience personnelle et l'analyse basée même sur l'utilisation d'outils académiques aussi performants soient-ils. Les diplômes, l'expérience professionnelle, la pratique des débats et des discours, l'assiduité à l'activité d'un parti ne suffisent pas. Même l'intelligence pure définie par les sciences biologiques ou humaines n'est utile que si elle permet d'organiser le réel en pensées. Le sujet d'étude étant l'homme, la cellule familiale et ultérieurement la société-nation, un type d'intelligence appropriée est nécessaire, une qualité qui n'est hélas pas du ressort de l'éducation actuelle, mais ne peut être transmise que par un maître d'école dont la vertu essentielle est la sagesse. La sagesse est la «connaissance du vrai et du bien, fondée sur la raison et sur l'expérience», soit l'outil ultime convoité après maîtrise des rudiments de la politique. Rudiments obtenus grâce à une initiation théorique et pratique de longue durée et un cursus combinant formation et expérience, sous la conduite d'une autorité avertie. Des étapes laborieuses à franchir sont indispensables pour qui aspire à servir autrui, voir la grande majorité des citoyens qui lui confient la gestion de leurs affaires et de leurs intérêts. Discuté dans maintes articles antérieurs (ex : Lien, Lien) et souligné maintes fois dans ce blog au cours de ces 05 années, est le rôle primordial joué par le président Bouteflika dans le redressement du pays, et son attitude conciliatrice envers tous et même envers ses ennemis déclarés. Ses appels au dialogue et à la concertation ont été systématiquement repoussés par différents acteurs qui campaient dans leurs positions doctrinales ou voulaient imposer des vues personnelles rigides irréductibles. Dés 1999, issus de tous les partis, des ministres de toutes les tendances politiques ont rejoint le gouvernement. Ceux qui l'ont quitté n'ont aucune justification sauf leur entêtement à appliquer leur propre programme ou à imposer leurs vues doctrinales. Combien d'opportunités ont été gâchées par leur manque de perspicacité et leur manque de sincérité à reconnaître en Bouteflika une source de savoir et d'enseignements, d'apprentissage et de perfectionnement dans l'art et la science de la politique et de la diplomatie. Leurs convictions erronées les ont privés d'une occasion de s'élever vers une maîtrise de l'analyse de situations complexes et du choix adéquat des solutions pour résoudre les problèmes rencontrés, s'élevant au dessus de la médiocrité, de l'infamie des commérages, et de la misère de la polémique stérile. Le monde de la politique est un paradigme en constante transformation et de nature dynamique imprévisible, nécessitant une réaction appropriée que seule l'intelligence définie comme "capacité de s'adapter à de nouvelles situations " peut offrir, jamais les prises de position dogmatiques et les préjugés tenaces. De nombreuses personnalités ont été invitées à participer à plusieurs gouvernements, sous un nombre restreint de premiers ministres. Certains ont poursuivi leur "formation" sous la coupe de Bouteflika et ont progressé significativement en acquérant assurance et savoir faire, en s'initiant aux complexités de la diplomatie, et en accumulant expérience et professionnalisme. Les résultats de cette expérience sont variés. Des compétences en politique et en gestion des affaires de l'état sont à relever; des judas ont été démasqués souvent tardivement (Benbitour, Benflis, Chakib Khellil); des ambitieux et opportunistes ont été excusés. Des mauvais élèves ont été recalés.
La longue présence de la majorité d'entre eux au sein du gouvernement est le gage d'une initiation et d'un perfectionnement, expliquant leurs nominations successives répétées, en même temps que Bouteflika aménageait la constitution autour du fameux 3em mandat pour lui permettre de poursuivre sa mission, non pas comme le clamaient les envieux et assoiffés de pouvoir, "pour s'éterniser au pouvoir" ! La fameuse règle de l'alternance des chefs d'état pratiquée ailleurs n'est qu'un artifice du partage des privilèges et l'assurance que les programmes politiques prometteurs entamés ne sont jamais menés à leur terme final. Livrant les populations ballottées et déroutées entre les cycles d'espérance et de déception, puis s'enfermant finalement dans le détachement total et l'indifférence devenant ainsi des proies faciles aux manigances sordides des "éternels prédateurs" de la Kosher Nostra !  Ces derniers sont les inventeurs de  
-2- La Politique : Art Du mensonge Et De La Tromperie»
Les "protocoles des Sages de Sion" détaillent cette approche et dévoilent l'arrière plan des pratiques en cours dans le monde politique imposées par les juifs via la machine de subversion axée sur la propagande médiatique dont ils contrôlent tous les outils. Un aperçu de leur stratégie :
-(Chapitre I Première séance, §4) «La liberté politique est une idée, mais non une réalité ; il faut savoir appliquer cette idée quand il est nécessaire d'attirer, au moyen d'un appât idéaliste les forces populaires à son parti, si celui-ci a décidé d'abattre un parti gouvernemental. Cette tâche se trouve facilitée lorsque l'adversaire est pénétré de l'idée de liberté ou de libéralisme et s'il perd de sa force pour cette idée ; c'est par là que triomphera notre système : en vertu de la loi de la vie, les rênes du gouvernement, à peine relâchés, sont aussitôt saisis par d'autres mains, étant donné que la force aveugle du peuple ne peut exister un jour sans chef et que le nouveau pouvoir ne fait que remplacer l'ancien, affaibli par le libéralisme.»
-(Chapitre I Première séance § 10) :
«La politique n'a rien de commun avec la morale. Le gouvernement qui se laisse guider par la morale n'est pas politique et par conséquent son gouvernement est fragile. Celui qui veut régner doit recourir à la ruse et à l’hypocrisie. Les grandes qualités populaires, l'honnêteté et la franchise, sont des vices en politique, elles détrônent les souverains mieux que l'ennemi le plus habile. Ces qualités doivent être des attributs des gouvernements goyim, que nous ne devons nullement prendre pour guides.» 
Venant d'un prédateur talmude, cette recommandation n'est pas surprenante car elle est typique de l'adversité millénaire de sa tribu envers les goyim. Mais pour les goyim de pratiquer le mensonge et l'hypocrisie envers leurs semblables et concitoyens est révoltant et constitue une trahison condamnable . Malheureusement les faits démontrent que de nombreux personnages publics du monde de la politique ont consciemment ou tacitement adopté les techniques prescrites par les "Protocoles". Après ce choix tactique (le mensonge) il est normal pour ces politi-chiens d’œuvrer au renforcement de leur stature en sollicitant le soutien des puissants moyens de communication juifs, requête qui leur est systématiquement et gracieusement accordée parce que cette aide multiforme scelle une alliance tacite dans laquelle «la main qui donne est au dessus de la main qui reçoit». Ainsi par exemple El-Watan (la main qui reçoit) est sous les bottes de Paribas / Rothschild (la main qui donne). 
L'observation d'énigmes politiques occupant la scène médiatique, nous permet de détecter assez facilement les parties alliées dans un projet donné, selon cette relation verticale de dominant - dominé et de reconnaître "la main qui reçoit" et celle "qui donne".  Un indice utile pour faire avancer l'enquête est de recenser les liens qui unissent les deux associés. Ces liens sont tellement évidents qu'ils constituent à eux seuls un bien fondé pour des accusations de collaboration avec l'ennemi lorsqu'on découvre les parties impliquées dans ces réseaux d'information à caractère subversif et dont la mission est l'intox. Intox destinée à stimuler le pourrissement de la société et à conditionner l'opinion pour l'engager dans des entreprises nocives suicidaires. Un chapitre sera consacré à l'étalage des relations existantes entre les média de la subversion anti-algérienne qui couvrent une nébuleuse de rédactions qui se disent préoccupées par les intérêts de l'Algérie et de son peuple, et qui ouvertement œuvrent à déstabiliser le pays sous différents prétextes. Les empreintes digitales des "enfants de Satan" se retrouvant sur pratiquement toute cette nébuleuse médiatique      
__________________________________
Exemple 1:
Dans le passé récent Ferkhat M'Henni, "président du mouvement pour l'autonomie de la Kabylie et de l'ANAVAD", protestait avec véhémence contre les accusations portées contre son mouvement "d'association et de collaboration avec le MOSSAD", jusqu'à la divulgation par son service de presse de son voyage officiel à Tel-Aviv / Israél.
-"Ferhat Mehenni se réuni avec des juifs à l'ambassade d'Israël à Paris" / (EnnaharOnline-2009 !)

-"Ferhat Mhenni / TFJ la chaine SIONISTE"; 
-"Ferhat Mehenni se rend en Israël" /Alterinfo.net;  
-"Le président du Gouvernement Provisoire Kabyle, Mehenni Ferhat, accompagné du Ministre des Relations Intern., 
Mr Lyazid ABID effectuent depuis dimanche 20/05/2012 une visite officielle en Israël"/ Juif.Org
Ferhat Mehenni : “Liberté pour la Kabylie, éternité pour Israël”. /(algerie1.com).
Etc, etc.....
En marge de la duplicité et le mensonge pratiqués avec effronterie et chutzpah (une "vertu" chez les talmudipèdes), Ferkhat est retourné de son pèlerinage atteint de rage (rabique) des suites de ses fréquentations rabbinicales, et a juré de se venger contre l'Algérie au prix de son âme (s'il lui en reste une !). Le comble dans cette histoire est de constater la complaisance affichée par les média de la subversion qui ne trouvèrent aucune objection à la visite et la défendirent avec des arguments dérisoires et souvent indignes motivés par la crainte d'offenser leurs maîtres de Tel-Aviv ! Comme souligné précédemment, une tradition chez les Amazighs affiliés à la Kahina et à Massinissa est de se soumettre à la puissance colonisatrice de l'heure et devenir avec conviction les sujets les plus patriotiques. Massinissa fils de Gaïa (sic) avec Rome, la Kahina avec les Arabes, et aujourd'hui M'Henni et sa troupe d'égarés avec Israël !
Dans ce cas Ferkhat (la main qui reçoit) est devenu tributaire de la générosité de la Kosher Nostra (la main qui donne), pour ne pas dire esclave. Ses partisans somnambules  risquent de se réveiller marchant au bord du gouffre et découvrir trop tard qu'ils sont eux mêmes que des marionnettes aux mains du très dangereux MOSSAD.
____________________________________
                                                        À Suivre......

5 oct. 2013

Algérie : Les Agents De La Désinformation Ne Savent Plus À Quel Diable Se Vouer Après La "Résurection" De Bouteflika !

Rapportées déjà dans l'article précédent les remarques suivantes méritent d'être répétées pour rafraîchir la mémoire de ceux qui ont tendance à oublier ou à renier le sacrifice et la clémence d'autrui, ainsi que les faveurs d'Allah.
Souvenons-nous de 1999 et de l'état pitoyable de la nation !
Et constatons dans tous les secteurs activité, les changements positifs souvent prodigieux, qu'a enregistrés le pays.
Tout au long de ce blog, mon opinion et mes humbles convictions sont demeurées fidèles à tenter de démontrer le rôle historique rempli par Boutéflika et les choix stratégiques qui ont sauvé le pays. Toutes les promesses annoncées en 1999 ont été tenues, et ce qui était inespéré alors a été entrepris et réalisé. La rente pétrolière n'ait pas la seule cause comme l'insinuent les mauvaises langues; elle est d'ailleurs elle même le résultat d'actions et de décisions opportunes, dont les démarches engagées par le Président au près des autres pays producteurs pour le rétablissement de la concertation au sein de l'OPEC débouchant sur un meilleur contrôle de l'offre, et donc des cours.
Un travail colossal a été réalisé grâce à la réparation et reconstruction des infrastructures à l'échelle nationale; la réconciliation des Algériens entre eux; le recouvrement de l'indépendance financière et du pouvoir de décision; la relance de plans de développement fondés sur nos capacités internes de financement et un partenariat librement choisi. Les stats sont disponibles et illustrent le saut quantitatif géant enregistré, bilan confirmé par l'examen des déclarations officielles d'organisations internationales (par principe opposées à la liquidation de la dette) ainsi que les opinions recueillies à travers des sondages d'experts neutres qui attestent indéniablement de ce fait.  
Les promesses du programme du candidat à la présidence faites en 1999 ONT TOUTES ÉTÉ TENUES ! 
À ceux qui nient ces faits et qui dénigrent malicieusement cette vérité aveuglante, je lance le défi de citer un seul président dans l'histoire de ce pays ou d'ailleurs qui a "tenu parole" et atteint un "indice de loyauté" égal à celui de Bouteflika. 100% de ses objectifs ont été atteints, sinon 200% pour ceux non annoncés qui furent greffés au fur et mesure que la position de l'Algérie grimpait dans les hit-parades et bilans des organisations internationales spécialisées ! 
Citons quelques performances du programme :    
- rétablissement de la sécurité et de la paix, éradication du terrorisme et suppression des conflits internes, (mesures accompagnées par la modernisation/professionnalisation de l'ANP)
- recouvrement de l'indépendance nationale (financière et politique) après liquidation irréversible de la dette auprès des banques shylocks (qui saignent les peuples de la planète et leur imposent des conditions de ré-échellonement  impitoyables),
- renforcement et réorganisation de l'OPEP résultant en l'instauration du système de quota, et la revalorisation du prix des hydrocarbures engendrant un cumul de réserves monétaires (le FMI frappant à nos portes pour une aide !)
- reconstruction des infrastructures détruites par les terroristes (écoles, ponts, voies ferroviaires, usines, etc..) 
- lancement de plans de développement colossaux visant la modernisation de l'agriculture, des infrastructures, de la santé, de l'éducation, de l'habitat, du transport, etc...
-soutien et encouragement concrets aux jeunes pour leur intégration dans la vie économique et la lutte contre le chômage (grâce à des mesures sociales et financières uniques et innovatrices, qu'aucun autre pays ne pourrait entreprendre dans la conjoncture actuelle),
- soutien indéfectible aux prix des produits alimentaires de base malgré la pression des FMI/BM/OMC (lors négociations d'adhésion à l'OMC),
- maintien et préservation de la paix et de la stabilité dans un environnement mondial chaotique, grâce à une diplomatie intelligente et à des mesures préventives (sécurisation avancée de nos frontières).
Devant ce bilan positif incontestable, l'opposition campe dans le dénigrement systématique, son reniement est dogmatique et conditionné par l'agenda mondialiste non par des considérations nationalistes ou défense    
Ces accomplissements exceptionnels n'ont pas mis fin au harcèlement ininterrompu des mercenaires des média, qui ont axé leur diatribe calomnieuse contre le Président de tous les Algériens, sous prétexte de dénoncer les méfaits de la corruption. Les faits sont pervertis. Les responsables réels, issus de la nébuleuse héritée du socialisme spécifique et des cercles occultes du pouvoir (dont ceux des 'très chers frères") et qui étend ses tentacules dans toute l'administration sont intentionnellement épargnés et graciés. Aucune mention des judas qui pullulent dans les rouages de l'état et que Bouteflika a dû malgré lui côtoyer pour entamer ses travaux. Planqués dans tous les ministères, les administrations, les entreprises publiques, les entreprises privées, la société civile, les partis politiques toutes tendances, en un mot un monstre enfanté par la débauche du socialisme spécifique et de sa nomenklatura prédatrice. Elle s'accapare tout ce qui est matériellement exploitable. Toutes ces sangsues parasitaires collées à l'état auraient du logiquement achevé leur victime si ce n'était la bénédiction d'Allah la maintenant en vie.
Le grand miracle est donc que le bateau "Algérie", malgré ses innombrables prises d'eau, puisse continuer à naviguer, encore une fois il faut le répéter, grâce aux prouesses de son commandant de bord !
Le comble et le plus révoltant est l'ingratitude affichée par le peuple devant une telle générosité divine, parce que victime d'une manipulation machiavélique impliquant les média de la planète et à cause du manque de discernement devant le déferlement de propagande que les média mercenaires (l'ennemi de l'intérieur de dépendance étrangère) déversent quotidiennement. Pour quelles raisons les média dits de l'opposition, en parfaite coordination avec ceux de la Kosher Nostra, s'archarnent-ils sur l'homme ? La réponse est connue de l'expert comme du néophyte 
Je me permettrai de la rappeler en la résumant : "le pays ou le leader qui dérange l'Empire des ténèbres est systématiquement harcelé en vue de le déstabiliser ou préparer une agression pour le détruire ! "   
 Depuis son hospitalisation et jusqu'à son retour, le Président Boutéflika a subi des attaques en crescendo unique dans l'histoire des média. Jamais un président en exercice n'a subi une campagne de vendetta de la part des média, dans le fond et la forme, de la nature de celle relevée ces derniers mois !
Attaques personnelles contre lui, sa famille, "son clan", ses amis, ses relations, son programme, ses réalisations, son passé, sa politique, sa santé, ses médecins, son gouvernement, ou contre le moindre détail ramassé dans la poubelle de la présidence pouvant entacher sa réputation. 
Jets de boue dans toutes les directions, sachant que même effacée la boue laissera des traces, selon la technique et formule "Throw mud enough, and some will stick". Lancez suffisamment d'allégations mensongères au sujet de quelqu'un ou quelque chose, la réputation de la personne ou de la chose en gardera des traces et sera diminuée parce que maculée. Ainsi la série de coups bas s'est allongée en piétinant toutes les normes journalistiques et en versant dans un sadisme gratuit dépourvu de tout argument rationnel. Une vraie vendetta, une campagne punitive que seuls les talmudipèdes savent orchestrer et leurs agents exécuter. El-Watan et El-Khabar menaient l'offensive, suivis d'une troupe de personnages sortis des hécatombes de l'histoire, Djaballah le stratège du terrorisme dormant fils spirituel de Sadiq al-Mahdi et Turabi; Touati Quasimodo descendu de son clocher à l'appel du Qatar; Soufiane Djilali de "Jil Jadid made in France " (note 1) sponsorisé par Paris-Sion; Benbitour l'ex-employé de la maison de l'usure à New York, que sa hiérarchie de la Kosher Nostra (FMI/Banque Mondiale) tente de réactiver; et les opportunistes de toutes tendances qui sautent dans le train de "l'opposition à Bouteflika" en déversant leurs aigreurs et vomissant leurs potins de mégères enveloppés dans l'utopisme et l'idéalisme "humanitaire";  jamais en présentant un programme ou un projet pragmatique de développement . 
Leur profile :
Maitres de conférence de programmes politiques démagogiques et stériles; orateurs aux discours verbeux subjectif ; le langage évasif dominé par la critique du "système" sans argumentation rationnelle; un comportement arrogant et orgueilleux; une ambition maladive; un caractère obscur au passé mystérieux; un palmarès vierge dans toutes les activités imaginables; une incompétence et inexpérience de la politique; service rendu à la nation nul; mais une spécialité : message baignant dans l’ambiguïté et la dissimulation et flattant les émotions jamais la raison ou la logique.
 L'appel au recrutement chez l'opposition consiste à alarmer l'opinion, en y semant le doute et même la frayeur. Les statistiques sont l'occasion de cris d'alarme (El-Watan) dans le but de désarmer le citoyen, car l'angoisse et la crainte d'un avenir incertain sont les manettes de la manipulation et du contrôle par ceux qui annoncent les catastrophes et les crises. Ainsi les titres sont révélateurs du travail de sape sociale opéré sur la conscience collective :
-"Épuisement des hydrocarbures", le thème frauduleux des ressources "non-renouvelables" cher au NOM qui permet la surenchère des cours et l'instauration de la panique qui enfante la colère à son tour potentiellement canalisée dans la révolte;
- "Importations excessives", dont la nomenclature ou le contenu ne sont jamais spécifiés, biens de consommation et d'investissement sont intentionnellement fusionnés; 
- "Baisse des cours du baril" annoncée allégrement et avec une arrière pensée malicieuse presque sadique, et l'annonce s'avérant à chaque fois mensongère;
- "Crise internationale" qui nous menace et devrait nous contraindre au sauve-qui-peut, mais que l'Algérie a habilement contenue depuis 2007;
"le réchauffement climatique",
- Les chroniques incultes d'El-watan qui s'embarquent dans des analyses économiques que l'épicier du coin est en mesure de mieux maitriser;
- "La richesse appauvrissante" (dixit Benbitour), l'Éléphant Troyen employé des Shylock (New-York) a accouché d'une souris ! Il faudrait vérifier l'authenticité de son PhD, avec les temps qui cours et les diplômes de complaisance qui circulent ! Justifiant son titre et pardonnant ses âneries est peut être la formule "honoris causa" plaquée sur sa poitrine par la Banque mondiale pour "bons services" !    
Benbitour accouchant de sa Philo-souris doctrine économique !
- Et tant d'autres chimères qui s'avèrent fausses, car fruit de l'intox et non d'analyses objectives et de prévisions judicieuses. Qu'importe la véracité des informations que publient les chroniques et les lettres des mégères de bain maure, le mensonge et la boue lancés constamment finissent par coller à la conscience collective, la préparant pour toute sorte d'aventure périlleuse, et qui sait, peut être pour un autre "printemps arabe" identique à ceux de Libye, Tunisie, Égypte ! 
Scénario théorique imaginaire :
Le printemps arabe a eu lieu, la rédaction d'El-Watan sabre le champagne et nous annonce la victoire de la démoncratie sur le Clan Boutéflika. Accours les pions mondialistes de Paris, du Qatar, de Londres. Des élections sont prévues. El-Watan publie une photo de Abbassi Madani retrouvant les siens à l’aéroport d'Alger, à la descente de l'avion de la "Air Force" prêté par Obama en personne ! Une alliance de l'opposition remporte les élections, mais les frères musulmans contrôlent l'assemblée et Abbassi est nommé le jour suivant premier ministre. Il dirige un gouvernement de cohabitation multi partis avec Issaad Rebrab au poste de ministre de l'industrie ! Les multi nationales accourent, le FMI accordent $ 40 milliards au lancement de projets sous la direction des champions de l'industrie qui hypothèquent SONATRACH; pendant ce temps les djihadistes aiguisent leurs couteaux pour se venger de la loi sur la réconciliation nationale qui les a écartés du pouvoir; la cohabitation wahhabite-libérale dure le temps qu'Abbassi décrète une nouvelle constitution qui actionne la guillotine; les libéraux sont trahis et décident de quitter le pays emportent leurs $ milliards et suspendent les importations de produits alimentaires; les règlements de compte s'étendent à tous les partis; la population enragée par l'effet des pénuries sort dans la rue; Abbassi Madani les accuse de blasphème et de refus d'obeissance au calife ordonne les fusillades contre les manifestants; Said Saadi ministre de l'intérieur annonce l'indépendance de la Kabylie et désigne Tizi Ouzou capitale du Maghreb amazigh, ceci déplait aux amazighs tunisien/marocains qui décident de réclamer l'Algérie comme partie intégrale de la Numidie avec capitale Cirta; l'ONU vote une résolution condamnant tous les causeurs de trouble, et envoie l'OTAN mettre de l'ordre. Entre temps, les $ 190 milliards de réserve sont gelées à New York, et le FMI en soustrait ses prêts (ceux accorder à Rebrab) et impose la privatisation de SONATRACH (hypothéquée) qui est rachetée par Khalil-Burton. Le pays sombre alors dans une situation de société post apocalyptique semblable à celle dépeinte dans Mad-Max !  Là où règne le chaos, des agissements antérieurement inconcevables, deviennent possibles. L'ennemi opère maintenant des attaques jugées impossibles et téméraires en temps de stabilité. Les pays frontaliers installent des enclaves par la force des hordes terroristes qu'ils commandent. Tout est permis, le paradoxal, l'absurde, l’irrationnel, l'insensé, l'illogique, le grotesque, l'anormal, le génocidaire, le suicidaire ! En mot l'enfer s'est installé au beau milieu de la société !
- Scénario surréaliste ? 
- Espérons le ! Mais en restant convaincus que la nébuleuse de la conspiration qui s'active si énergiquement, prétextant s'opposer à Bouteflika, souhaiterait mettre en scène le script mondialiste de la "démon-cratie toutes options ", version Irak, Tunisie, Égypte, Somalie, ou Libye !
Loin d'être purement spéculatif, comme le croiraient beaucoup d'incrédules qui digèrent El-Watan, El-Khabar, ou Le quotidien d'Oran, ce scénario est identique à celui défendu par les quotidiens crypto-juifs lors des "révoltes" dans les pays cités. 
-El-Watan soutient-il les mercenaires d'Al-Qaida et l'ingérence des proxies d'Israél ?
-«Invraisemblable !» s'exclameront les tubes digestifs abonnés aux mercenaires (chevaux de Troie) de l'intox talmude.
-«Hélas véridique !» répondrais-je. Les agents médiatiques de la subversion ont soutenu et soutiennent toujours la horde des coupeurs de têtes cannibales. Cette affirmation est évidente aujourd'hui même en Syrie, où les démons dressés par le Wahhabisme sont promus par l'académie militaire Tahar Djaout au rang d'opposition démocratique ! L'intervention de l'OTAN a été selon leur sournoiserie une bénédiction de l'occident démocratique ! La promotion du chaos est leur mission, et ils ont assuré leur arrière, Omar Belhouchet à une réservation sur Charles De Gaulle à longueur d'année ! Et sa retraite est garantie grâce à un confortable compte bancaire alimenté directement par BNP !
La réalité est donc autre de ce qu'on imagine et l'information déballée par nos média "n'a pas de couleur", comme l'argent que débourse Rothschild pour les financer. La bonne gestion chez Omar Belhouchet, est d'exécuter les directives et les orientations dictées par Paris-Sion, maitre d’œuvre des écrits orientés de sa rédaction, et plus récemment de la campagne "contre un 4em mandat" ! 
N'oublions pas de souligner la grande amabilité de ces quotidiens lorsqu'il s'agit de promouvoir furtivement ou ouvertement
- le libéralisme économique du club "philanthropes créateurs d'emplois" (sic) prôné par Hamiani-Rebrab-Benbitour-le MIDI/Business school-ou-les chimériques exaltés de NABNI,
- le Wahhabisme et ses différentes variantes (Nahda, Essalm). 
Les ingrédients de la confrontation et de la déstabilisation :
Le face-à-face des mouvance laïc et néo-libérale (Benbitour, Rebrab, Othmani, Nabni, etc..), et des islamo-najdistes, soit la dialectique hégélienne "Thèse et Anti-thèse", sont deux couples de torsion que les quotidiens de la trahison actionnent pour remuer la marmite du désordre ou une situation chaotique (Tunisie, Libye, Égypte) prélude au Nouvel Ordre (Novus Ordo Seclorum), devient probable.
En tentant de gagner une opinion déroutée par l'intox, des média mercenaires et des politichiens incultes, sans pudeur ni honnêteté intellectuelle organisent des incursions promotionnelles sur la scène médiatique pour se disputer le micro. Ces personnages sorti du néant, certains de la poubelle de l'histoire, ressemblant à des extra - terrestres qui s'accordent par miracle sur un point : fustiger l'homme qui au début de son premier mandat leur avait tendu la main pour servir le pays.
Cette attitude ingrate remue les tripes des patriotes qui savent que la gouvernance actuelle est certes imparfaite, mais demeure raisonnable et définitivement des plus efficaces. 
Les opposants refusèrent alors (2000) l'offre de collaboration prétextant des faux fuyants ou parce que "coincés" dans des préjugés dogmatiques source de dissension, jamais au service de Dieu ni de Ses hommes. Laïques fussent-ils ou islam-mimiques, ils renient aujourd'hui les bienfaits de la liberté d'expression instaurée par le Président pour en faire un outil de dialogue, d'échange d'idées et de source de remèdes aux difficultés d'alors (1999). Il fut contraint de faire cavalier seul, soutenu seulement par les implorations de bons croyants en Allah qui reconnurent la sincérité et l'engagement de l'homme. C'est cette simple formule, en apparence dérisoire, qui est en train d'agiter les "enfants de Satan" et leurs alliés : la ferveur nationaliste retrouvée des algériens (une majorité silencieuse) qui a acquis une vue sereine instinctive des enjeux et des menaces nés de la conjoncture internationale apocalyptique. Reconnaissant les faveurs divines dont ils sont gratifiés, ils serrent les coudes autour de leur Président pour déjouer les complots qui les ciblent, et dénoncent les ennemis de l'intérieur qui sont associés aux éternels prédateurs. Alliés à toutes les forces adversaires et ennemies, de Paris, New York, Doha, Riadh, les opposants à Bouteflika se sont barricadés dans leurs intrigues et tentent de sceller des alliances contre nature uniquement pour saborder la marche vers le développement économique et la prospérité initiée par Bouteflika. 
Intoxiqués par les enseignements des sectes maçonniques laïques ou wahhabites najdistes, ces soldats de l'ombre militent pour une forme ou une autre de suprématisme social (ploutocratie) qui a pour fin d'imposer leur idéologie et dogme à la majorité. Ceci au détriment de l'avenir de la nation et quitte à couler le pays, car leurs intérêts ne sont pas ceux de la majorité, ne sont pas complémentaires, ils sont antagonistes !
Note : Voir le scandale Morsi, l'agent de la CIA naturalisé américain et employé de la NASA, qui a failli céder 40 % du Sinai pour $ 8 milliards, un acte de haute trahison ! (Lien; Lien ; lien). 
Quand au libéralisme, les méfaits et les malversations commises par ses fervents supporters déferlent quotidiennement dans les chroniques. L'appât du gain ne connait ni les règles morales ni les passions humaines, il écrase tout sur son passage et broie les vies humaines sans sourciller et sans avoir de remords. Les bilans comptables sont leur religion et le profit leur divinité. Pour illustration, examinons les manœuvres suspectes des champions du libéralisme algérien (menés par Issad Rebrab et Réda Hamiani). Ils tailladent en douce et diplomatiquement la politique économique du Président et proposent de "créer des emplois",
- en démarchant l'entrée de StarBucks (sioniste) dans le marché local, 
- en exigeant une concession agricole couvrant l'étendue du Sahara, et la totalité de ses ressources en eau (240 000 hectares ne suffisent pas !), 
- ou encore ouvrant les portes de la cité aux prédateurs shylock à qui ils ont proposé la Wilaya de Djijell pour $ 30 milliards !

La corruption ternit l'image du Président, mais personne n'ose l'accuser d'en être complice car aucune preuve n'a jamais été citée même si les services bancaires sionistes se feraient un plaisir de la rendre publique. Car la corruption est l'œuvre des réseaux d'éternels plaintifs qui mobilisent leurs rédactions pour en reporter le blâme sur des lobbies fictifs des légendaires : "Clan Bouteflika", DRS, Hizb França, les généraux, etc...
La réalité est que le pouvoir de l'ombre est un réseau qui étend ses ramifications dans tous les cercles occultes ou visibles, nés et consolidés sous l'ère Boukharouba et sa tartuferie socialiste (idéologie reflétant les enseignements talmudiques !). 
Bouteflika, qu'Allah lui apporte son soutien inébranlable, est l'homme qu'il faut à la place qu'il faut, que les algériens se convainquent de cette vérité (pas un slogan) et évitent de faire le jeu des harkis (le mot est pesé et réfléchi) qui bombardent (littéralement) l'opinion de rumeurs, de scoops mensongers, d'accusations diffamatoires, de suppositions, de "on dit que", ou de "selon x", dans le but de vicier l'atmosphère et museler le projet ambitieux mais pragmatique de progrès multi-sectoriel.  Une ère de progrès authentique s'élève comme le soleil à l'aurore, au service de tous les Algériens, pas au profit d'une caste parasite cryptocratique aux ramifications mondialistes (à savoir française - canadienne - américaine - israélienne - saoudienne - Qatari -  FMI - Banque mondialiste - ONU.)
Les statistiques et les indices divers de performance aveuglent par l'intensité de leur pertinence : l'Algérie avance au mépris des chiens qui aboient !

                                          A Suivre....