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22 févr. 2016

Le leurre classique de "l'éducation" ! Ouverture d'une université , Centre d’études diocésain des Glycines (Alger).

«Le costume religieux des pères consiste traditionnellement en une soutane blanche ou gandoura avec un burnous blanc, un rosaire et une croix autour du cou, mais aujourd'hui les missionnaires sont en civil.»


Wikipedia : «Les Pères blancs, dont le nom officiel est Missionnaires d'Afrique [M.Afr.], forment une société de vie apostolique de missionnaires fondée à Maison-Carrée (actuelle El Harrach à Algérie) en 1868 par Mgr Lavigerie (1825-1892), archevêque d'Alger, créé cardinal en 1882.
Aux trois serments (chasteté, pauvreté et obéissance), les Pères blancs ajoutent un autre serment, celui d'œuvrer à l'évangélisation de l'Afrique, selon les constitutions et lois de leur société. Les Pères blancs ne sont pas un ordre religieux au sens strict du terme mais un institut missionnaire de droit pontifical, ils font donc des serments et non des vœux.»
El-Watan, l'ennemi de l'intérieur et cheval de Troie de Rothschild est en transe et jubile :
«Qu’il s’agisse de réorientation professionnelle ou de l’envie d’apprendre pour l’amour du savoir (un amour qui n’a pas d’âge et qui se prolonge avec l’augmentation de la durée de vie), le cadre strict de l’université est loin de répondre à toutes les demandes. On se réjouira donc de cette première initiative d’université ouverte qu’abritera bientôt le Centre d’études diocésain des Glycines (Alger).»

 suivre ......le diocèse et la "Darija" 

4 juil. 2015

Explosions Nucléaires au Sahara Algérien, Israel était le principal organisateur et bénéficiaire !



Dans un document inédit , Page1:« Dans les années 50, le destin de l’État hébreu était l’une des priorités du pouvoir français. Une politique d’aide militaire, secrètement élaborée au ministère de la Défense, aboutit à un accord nucléaire jamais avoué […] Haut fonctionnaire et personnage très influent de la politique française de défense de l’après 1945, Abel Thomas est l’homme qui a livré le programme nucléaire français à Israël. Dans les années cinquante, il était le chef de cabinet du ministre de la Défense, Maurice Bourgès-Maunoury […] De nombreux politiques et militaires français, socialistes pour la plupart, entretenaient alors avec Israël une véritable passion romantique, et Abel Thomas joua le rôle le plus décisif dans la participation de la France à l’option nucléaire de David Ben Gourion. “C’est l’œuvre de ma vie. Pour moi, le destin d’Israël fut vital dès sa création.” »
«Le même article explique que le ministère de la Défense, Abel Thomas étant en première ligne, commença par livrer secrètement, à la fin de 1955, neuf Mirage… qui furent effacés des effectifs officiels, sans même en informer le ministère des Affaires étrangères dirigé par Christian Pinault, considéré, ainsi que la plupart des diplomates, comme « pro-arabe».
«En 1956, Thomas joua un rôle majeur dans l’opération de Suez, après la nationalisation du canal par Nasser, étant le contact privilégié de Shimon Peres, alors ministre israélien de la Défense. Mieux, Peres «Le Yediot Aharonot de Tel Aviv publiait fin septembre (1) un article révélant un accord nucléaire jamais révélé entre la France et Israël, ou comment la France a livré à l’Etat hébreu l’arme nucléaire. A la tête de cette fantastique trahison étatique, un Français, Abel Thomas, aujourd’hui âgé de 80 ans.»
Page 2:
«.....il disposera même d’un bureau à Matignon, à côté de celui du Premier ministre! Puis, Abel Thomas, François Perrin, le directeur du Commissariat à l’énergie atomique, et Shimon Peres firent fléchir le Premier ministre Guy Mollet sur la question du nucléaire. Dès octobre 1957, Israël et la France signaient un accord diplomatique  avec des clauses secrètes sur le nucléaire. La France s’engageait à fournir une pile atomique qui devait être installée à Dimona, dans le désert du Néguev, l’uranium enrichi (mais Thomas a refusé de le confirmer) et le matériel nécessaire à la fission du plutonium.»
«Bref, on parlait de nucléaire civil et on pensait nucléaire militaire. Comme devait le déclarer le journaliste d’investigation Pierre Péan, auteur de Les Deux Bombes (Fayard, 1982) : « Le plus étonnant est que les Français aient aussi rapidement livré un programme nucléaire à peine sorti des fonts baptismaux. » Il y eu en fait, en sous-main, comme le révèle Dominique Lorentz, dans Affaires atomiques (Les Arènes, 2001), aval secret des services américains : « C’est la France naturellement qui fut choisie pour aider Israël afin de ne pas mécontenter le Congrès. »
«Ce, d’autant qu’en 1956 la France ne détenait même pas encore un savoir-faire qu’elle n’a acquis en 1960 et que la France ne disposait pas encore de la bombe… qui intéressait Israël. Pour Lorentz, il y aurait eu en fait complémentarité entre les deux pays, la France apportant sa puissance industrielle et Israël les procédés américains. Ce qui explique que ce sont des Israéliens qui dirigeront le démarrage de la centrale de Marcouleet des physiciens israéliens seront présents, le 13 février 1960, à Reggane (Sahara), pour l’explosion de la première bombe A. Qui connaît pourtant Abel Thomas? Pratiquement personne et son nom n’apparaît même qu’épisodiquement dans les deux ouvrages précités, les seuls pratiquement sur la question. Né à Fontenay-le-Comte (Vendée) le 18 juillet 1920, il est le fils d’un officier portant le même prénom et de France Chauveau. Passé par le lycée de Beauvais et l’Ecole polytechnique, cet ingénieur général du génie civil maritime, il participera à la Résistance (son frère mourra en déportation à Dora et sa mère sera décorée de la Croix de guerre par le général Koenig, (fervent sioniste) et combattra, comme officier de chars, dans la division Leclerc (1942-1944). Il sera décoré de la Légion d’honneur et de la Croix de guerre.»
 Complément, ajouté le 07 Avril 2010:
 Extrait de
 "jeuneafrique.com/Article/LIN24127histoenneil0/Histoire-secrete-de-la-bombe-israelienne.html" :

«Cependant, en France, la IVe République s'efface devant la Ve. Cela ne va pas sans causer quelque inquiétude parmi les dirigeants israéliens. On note toutefois que l'ancien gouverneur général de l'Algérie, Jacques Soustelle, qui compte parmi les amis affichés d'Israël, comme de nombreux gaullistes, est ministre de l'Information dans le gouvernement de Gaulle de 1958, et ministre chargé du Sahara et des Affaires atomiques - cela ne peut pas mieux tomber… - dans le gouvernement Debré en 1959. En face, un personnage étonnant va devenir l'antenne à Paris de Pérès, qui est promu, en 1960, ministre adjoint de la Défense. Ce nouveau venu, Shalhevet Freier, a le statut d'attaché scientifique à l'ambassade d'Israël. C'est un savant et un maître espion, humaniste et militant antinucléaire aux côtés d'Albert Einstein et de Bertrand Russel en même temps que décidé à aider son pays à acquérir des armes nucléaires.  (Notez le double langage militant antinucléaire, pour les Goyim-naifs et sioniste pour la cause talmude).
Bref, la coopération militaire entre Paris et Tel-Aviv, nouée autour de la guerre de Suez, va perdre de l'intensité, car de Gaulle juge inadmissible l'étroitesse des rapports entre états-majors, mais conserver son efficacité. Ce qui freine quelque peu la mise au point de l'armement nucléaire israélien est plutôt, directement et indirectement, son coût. Parce que les fonds secrets à la dispo­sition du Premier ministre représentent des sommes importantes, mais pas illimitées, et parce que les cadres supérieurs de l'armée, à l'exception notable du général Ezer Weizman, commandant de l'armée de l'air, ont tendance à trouver utopique l'idée d'une arme atomique, et à juger prioritaire que l'on porte remède aux graves difficultés d'approvisionnement des troupes en vivres et en munitions. »
«Comment Israël, en dépit de toute cette activité, de tous les contacts entre diplomates et chercheurs israéliens et français, entre politiciens israéliens et membres de premier plan de la diaspora juive, en dépit de l'intérêt croissant des services de renseignements des puissances, singulièrement des États-Unis, au Proche-Orient, a-t-il pu garder le secret sur son projet nucléaire ? L'explication tient surtout en ce qu'il n'est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Dès le mois d'avril 1959, a découvert Karpin, l'ambassadeur du Royaume-Uni à Tel-Aviv avait obtenu des extraits d'un discours de Pérès devant des hauts fonctionnaires, évoquant « le développement d'armements secrets ». Il avait transmis l'information à l'attaché naval américain. La CIA avait vainement essayé d'obtenir une confirmation, et l'affaire en était restée là. Au mois de juillet suivant, le département d'État et l'AEC (Commission de l'énergie atomi­que) avaient appris que la Norvège avait signé un contrat de fourniture d'eau lourde à Israël, alors que les États-Unis, d'abord sollicités, avaient refusé, mais l'information avait été classée sans suite. Le 13 février 1960, le premier essai nucléaire français, à Reggane au Sahara, est tout sauf secret : « Hourra pour la France ! » télégraphie de Gaulle. On imagine mal que la présence de deux scientifiques israéliens soit passée inaperçue des « grandes oreilles » de Washington.»

Cela s’est passé un 29 mai 1967, la base militaire de Reggane est évacuée par les troupes françaises.










 Cela s’est passé un 29 mai 1967, la base militaire de Reggane est évacuée par les troupes françaises.
carte































Après dix sept essais nucléaires dans le sud, les troupes françaises se retirent de Reggane et de Bechar.
Dès 1958, la France décide que le premier essai nucléaire aura lieu au début de l’année 1960. Le Sud algérien est choisi comme site de test.
Un champ de tir est créé à Reggane dès juillet 1957, au centre du Sahara et à 600 kilomètres au sud de Bechar. Les tirs sont effectués à partir d’une tour située à Hamoudia, à une cinquantaine de kilomètres au sud-ouest de Reggane.
Le 13 février 1960 marque le premier essai nommé « Gerboise bleue ».
Le rapport annuel du Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) de 1960 établit l’existence d’une zone contaminée de 150 km de long environ. Plus de cinquante ans après, une carte classée secret défense des retombées réelle est divulguée et montre l’immensité des zones touchées, allant jusqu’en zone subsaharienne. Des taux de radioactivité différents suivant le déplacement des particules de poussière contenant de l’iode 131 , du césium 137.
Le deuxième essai, « Gerboise verte », interviendra à la fin d’avril 1961, soit quelques  jours après le putsch d’Alger. Le gouvernement français ordonne la détonation le 25 avril 1961, pour éviter que l’engin nucléaire qui se trouve dans un entrepôt du port d’Alger ne tombe entre les mains des généraux.
Trouvant ces essais trop polluants et anticipant la signature du Traité d’interdiction partielle des essais nucléaires (signé le 5 août 1963 à Moscou), la France opte pour les tests souterrains.
Pour se faire, le choix du site tombe sur In Ekker, au sud de Reggane et à 150 km au nord de Tamanrasset. Les tirs sont effectués en galeries. Ces dernières sont creusées horizontalement dans un massif granitique du Hoggar, le Tan Afella. La bombe est placée au centre d’un colimaçon creusé en fin de galerie. Des sacs de sables comblent le bas et le haut de ce colimaçon, afin d’exercer  une compression lors de l’explosion et d’assurer son étanchéité. Les galeries sont fermées par une dalle de béton et doivent permettre en théorie un bon cantonnement de la radioactivité.
Pour surveiller ces essais, les Américains installent des stations sismiques en Libye.
Le 7 novembre 1961, les militaires français effectuent le premier essai nucléaire souterrain. Mais le deuxième essai, 1er mai 1962, se passe mal. Une rupture de confinement entraîne un rejet de radioactivité dans l’environnement. C’est ce qui est connu sous le nom de l’accident de Béryl.
Au total, treize tirs en galerie sont réalisés entre novembre 1961 à février 1966. Au moins autre d’entre eux n’ont pas été totalement confinés : Béryl, Améthyste, Rubis et Jade.
L’évacuation de la base, conformément aux dispositions des accords d’Evian qui concédaient celle-ci à la France pour une période de 5 ans, expirant le 1er juillet 1967, est intervenue quelque peu avant terme. Effectivement, l’article 4 de la déclaration de principes relative aux questions militaires précise que « la France utilisera pour une durée de 5 ans les sites comprenant les installations d’In Ekker, Reggane et de l’ensemble de Colomb-Béchar-Hamaguir, dont le périmètre est délimité dans le plan annexé, ainsi que les stations techniques de localisation correspondantes… »
Le 29 mai 1967, les derniers techniciens et militaires français quittent la base de Reggane et Bechar. Les raisons de ce départ anticipé restent quelque peu mystérieuses. Il y a quelques années, lors du cinquantième anniversaire des Accords d’Evian, le pore parole de la délégation du GPRA, Redha Malek, a déclaré : « à partir du moment où la France avait tenté de faire exploser une bombe nucléaire après l’indépendance, nous avions protesté et le Nigeria, un grand pays africain, avait rompu ses relations avec la France » et d’ajouter que c’est cette affaire qui aurait précipité le départ des Français de Reggane avant même l’expiration de la durée de leur présence comme c’est stipulé dans les Accords d’Evian.
Officiellement, on dénombre 30.000 victimes à ce jour, mais ce chiffre n’est pas définitif car les effets des essais se font encore ressentir dans les régions qui les ont abrités. Beaucoup de cancers et d’autres maladies graves ont été signalés.
Z.M.

27 janv. 2015

LA CULTURE AU SERVICE DES SIONISTES DE FRANCE ! OU EST-ELLE CARRÉMENT COMMANDITÉE DE PARIS-SION ?



- LE MINISTÈRE DE LA CULTURE SERAIT-ELLE UNE INSTITUTION PRISE EN OTAGE, ENFERMÉE ET ISOLÉE DES ÉVÈNEMENTS INTERNATIONAUX ? DES PRÉOCCUPATIONS ET CONVICTIONS DES CITOYENS ? DE LA POLITIQUE OFFICIELLE DE L'ALGÉRIE ? DES ENGAGEMENTS DU PEUPLE ET DE L'ÉTAT ENVERS LA PALESTINE ET DES PAYS VICTIMES D'ISRAEL ? NE SE SETN-T-ELLE PAS CONCERNÉE PAR LE FAIT QUE LES CACHETS PERÇUS PAR LES JUIFS DU MONDE DU SPECTACLE ET DES ARTS PARTICIPENT AU FINANCEMENT DES FONDS ET DES AIDES FOURNIS PAR LA DIASPORA JUIVE À ISRAËL ?
- EST-CE UNE INSTITUTION SOUVERAINE DANS UN PAYS SOUVERAIN, OU EST-ELLE AU SERVICE DES SIONISTES DE FRANCE, SOUS LEURS ORDRES, ET DONC GÉRÉE DE PARIS-SION ?

APRÈS QUE Mr SELLAL AIT PRÉCHÉ L'AUTÉRITÉ, NE DEVRAIT-IL PAS JETER UN COUP D'OEIL AUX DÉPENSES DE Mme NADIA LABIDI/CHERABI ? 
LA VENUE DE ANNE GRAVOIN EN ALGÉRIE N'EST-ELLE PAS UNE INSULTE À L'INTELLIGENCE ET AUX SUSCEPTIBILITÉS DES ALGÉRIENS ? UNE AUTRE PROVOCATION QUE NOUS MIJOTE Mme LABIDI QUI DÉCIDÉMENT NOUS NARGUE AVEC SES EXTRAVAGANCES ? QUELLE EST L'URGENCE DE CES SPECTACLES DE MUSIQUE CLASSIQUE RÉUNISSANT UNIQUEMENT 
" L'ÉLITE " DU ROTARY CLUB ET SES ADEPTES DU "CULTE " ?


«Manuel Valls  est marié depuis 2010 à la violoniste  Anne Gravoin qui est de confession juive et dont la famille est affiliée aux Lévy-Bruhl. »

Un couple épanoui
«Le mariage du couple à Evry, en 2010, décrit par leur ami Marek Halter comme un joyeux mélange d’« hommes qui portaient la kippa, venus de Manhattan ou de Londres, et d’imams de l’Essonne (HASSEN CHELGHOUMI)», tend à prouver l’ancienneté et la variété de leurs amis. « Manuel et Anne forment un couple adorable. Sans doute parce qu’ils ont beaucoup en commun »
SON MARI (VALLS) DÉCLARAIT : « Je suis lié de manière éternelle à Israël »


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QUAND À SA MADAME D'ÉPOUSE LISEZ LE LANGAGE RAFFINÉ QUE LES NOTES DE SON VIOLON LUI INSPIRENT :
  http://tinyurl.com/kt5cdwn
«20% des Françaises ont récemment confié être intéressées par une "aventure" avec manuel? Manuel le mérite, il mérite même beaucoup plus. Beaucoup de femmes aimeraient être au lit à ses côtés, lui mon grand amour"»

 LA CULTURE VERSION Mme LABIDI PRENDRAIT-ELLE UNE TEINTE CALIGULIENNE ?
 Mr SELLAL RÉAGISSEZ SVP ! ARRÊTEZ DE NOUS AGACEZ VOUS ET VOTRE CHARGÉE DE LA CULTURE AUX GOÛTS SUSPECTS ! CETTE CULTURE N’INTÉRESSE DÉFINITIVEMENT PAS  99.99 % DES ALGÉRIENS ! POURQUOI CETTE MAJORITÉ PAIE-T-ELLE LES FANTAISIES D'ALIÉNÉS CULTURELS ACCROCHÉS AUS ARTS HÉRITÉS DU COLONIALISME, DONT CE GENRE DE MUSIQUE ET SON CONTENU SONT LES VESTIGES ? ELLE EST PAR AILLEURS DOCUMENTÉE CONTENIR DES LOUANGES À SATAN ET DU SYMBOLISME SATANIQUE ?
 PAS DE VALSE AVEC LA " MADAME " VALLS !
LIEN DE LA PHOTO

25 avr. 2010

Le Mythe de L'Adversité Berbère Envers L'Islam Et La Langue Arabe.

-Chapitre 3-
Existe-il un antagonisme entre l'Arabe et le dialecte Amazigh ? 
En complément du chapitre 2, la question énoncée dans le titre de ce chapitre  nous dirige vers l'étude de la nature et relation entre ces langues. Une fois l'Islam adopté en Afrique du Nord chaque idiome remplit une fonction particulière, l'Arabe comme langue du Coran (donc primordiale pour la religion) et du savoir, le Berbère-Amazigh celle de la communication orale et véhicule de la culture et des traditions populaires. Les deux langues s'appropriant des caractéristiques géographiques et des formes dialectales régionales multiples. Elles cohabitèrent harmonieusement et furent préservées dans le temps grâce à leur rôle respectif, collectivement accepté et n'engendrant ni conflit, ni animosité. Seuls des stéréotypes populaires se collèrent sous forme de surnoms ou sobriquets, la plus part du temps sans sous-entendu racial ou sectaire. L'islam étant le ciment consolidant la nation et stratifiant les valeurs et mêmes les classes sociales, dont le statut s'échelonnait selon l'appréciation collective de la vertue et du savoir, de l'intégrité morale et de probité religieuse. Les Saints étaient vénérés, indépendamment de leur origine régionale ou  ethnique, pour leur droiture, leur foi exemplaire et leur sagesse.  Les "Chorfas" ou "Sharifs" pour leur affiliation au Prophète (ASWS), paradoxalement, même des tribus entières de "chorfas" avaient pour idiome de communication unique le Berbère, tout en gardant un sens de la citoyenneté musulmane inébranlable.  Harmonie et entente scellèrent le pacte d'alliance des membres de cette communauté et les unirent dans les grandes réalisations historiques qui marquèrent plusieurs siècles de l'humanité. Dans le besoin, cette unité s'exprimait dans la défense du pays et de l'Islam. Les divisions existaient que dans le cadre de divergences politiques, économiques ou parfois religieuse (rites), jamais ethniques ou raciales. Comment d'ailleurs pouvait-il en être différent lorsqu'on observe le tissu ethnique de la société présente à l'arrivée de l'Islam et des Arabes, et le brassage des peuples qui s'était opéré durant des millénaires et qui s'amplifia avec l'expansion de la dernière religion révélée. L'islam prêchant impérativement l'adhésion sincère à la foi et au respect des lois, comme attributs nécessaires à l'individu qui aspirerait au privilège de noblesse récompensant ceux qui craignent Allah, indépendamment de la race ou de l'origine. C'est ce caractère universel de l'Islam qui a été, et demeure, la force motrice de son expansion.  Malgré la corruption de ce principe par les souverains dont la préoccupations étaient parfois trop mondaines, la majorité des nord africains reconnaissaient la prédominance du caractère religieux sur toutes autres considérations. Ceci jusqu'au 19em siècle et l'arrivée de la colonisation, qui allait initier ses projets de remodelage de la société, par les moyens qui seront revus dans la suite de l'article.
 
A partir de 1789, débute la prise de pouvoir, par les juifs et leurs mercenaires franc-maçons, de la France royaliste, et parallèlement de l'Europe. De l'Espagne contrôlée par les Marrenos (crypto juifs feignant la conversion au Christianisme), de l'Angleterre subjuguée par les Rothschild, les changements historiques prennent une nouvelle tournure pour l'Afrique septentrionale pour laquelle sonne le glas de la colonisation. L'Afrique du Nord, obstacle à la domination juive en Méditerranée et province lointaine de l'Empire Ottoman (qui était la cible ultime, par le démantèlement du Khalifat musulman, sous l'instigation de l'éternel conspirateur et de leurs sous-fifres maçonniques), allait subir les méfaits des complots juifs.
Comme le démontrent les historiens modernes non-conformistes (qualifiés de révisionnistes par les pouvoirs dominants juifs et leurs suppôts médiatiques), la colonisation est le fruit des ambitions démesurés des banquiers juifs, qui motivés par leur cupidité insatiable, allaient planifier cette entreprise criminelle en la fardant d'utopies et parfois de ferveur religieuse chrétienne. L'esclavagisme, les génocides et les spoliations territoriales devenaient dogme religieux servant la mission "civilisatrice" de l'Occident, toutes menées au profit des banquiers juifs, ces nouveaux oligarques qui avaient soit détrôné la royauté européenne, l'avait infiltrée par des alliances diverses et l'inter-mariage, ou avait corrompu ses vassaux. Instaurant des régimes "démocratiques" et laïques, monopolisant graduellement les média, ils prennent en main  les destinées de ces nations, rédigeant les lois et les votant dans les hémicycles parlementaires burlesques, vitrines de la démocratie et écho des décisions prises par les pouvoirs occultes.  
Comment procéder et œuvrer, après la victoire militaire, à la consolidation de la domination et perpétuer l'exploitation de ces territoires nouvellement conquis ? C'est cette mission qu'entament les missionnaires mobilisés officiellement par le ministère de la guerre, et occultement par les membres des sociétés maçonniques sous les ordres de leur hiérarchie, l'oligarchie juive-talmude regroupant les banquiers et leurs alliés-coreligionnaires.  Le contrôle par la franc-maçonnerie de l'administration civile et militaire française en Algérie, dés 1831, a été relevé  dans "chap.1" et appuyé par l'extrait d'un texte publié au lien (loges), il prépare le terrain à la prédation juive. Illustrons les procédés utilisés à travers l'examen de Oscar Mac Carthy:
«Oscar Mac Carthy (1825 - 1913) est un géographe et explorateur d'origine irlandaise. Il fut l'un des premiers explorateur de l'Algérie, allant presque jusqu'à Tombouctou. Il dirigea la Bibliothèque Nationale d'Alger de 1869 à 1890.»
Dans une étude exhaustive "Géographie de l'Algérie", qu'il rédige «chargé par le ministère de la Guerre, d'une mission d'exploration des territoires algériens», ce «correspondant du ministère de l'Instruction Publique pour les travaux historiques, membre de la Société Historique d'Alger, de la Société Archéologique de Constantine, etc, etc, etc,..., de la Société de Géographie de Paris (1)..» 
  Au début le prétexte:
« Il y a quinze ans que la France a accompli  une grande et  noble action de plus. Depuis trois siècles un ramas de forbans, sorti de l'écume de l'empire turk, osait faire la loi à l'Europe entière, aux premières nations du monde. Elle a mis un terme à ce honteux scandale; elle a, de plus, vengé l'humanité sans cesse violée dans ses principes les plus sacrés. Mais là ne devait pas s'arrêter l'œuvre qu'elle venait de commencer si glorieusement. Tout se tient dans la marche incessante de la civilisation; elle ne saurait rien entreprendre d'isolé, d'incomplet, sans manquer au plus impérieux des devoirs que lui impose sa mission.»
 Il nous dévoile enfin ses objectifs et sa mission, contractés au prés "des hommes dont la bienveillance nous honore, dont l'amitié nous est précieuse":
«On ne marche hardiment aux destinées qui vous sont promises qu'alors qu'on s'est apprécié dignement. En occupant l'Algérie, cette région que Rome regardait jadis comme sa plus belle conquête, nous découvrîmes, non sans quelque étonnement, qu'elle nous était presque inconnue. On nous a vu alors faire ce que nous avions déjà exécuté tant de fois, on a vu la guerre servir à l'agrandissement de la science; quinze années de combats ont été aussi quinze années d'études, de recherches en tous genres qui se poursuivent encore sans relâche. La géographie a eu la plus large part dans cette investigation, et cela devait être le point de départ de toute appréciation d'un pays, c'est à elle que l'on rapporte tout, parce que c'est elle qui se lie le plus intimement à l'étude dés sociétés humaines. Depuis le moment où l'orgueilleuse ville des Barberousse nous ouvrit ses portes, chaque jour, chaque année ont été signalés par de nouvelles acquisitions, et actuellement l'Algérie nous est connue dans son ensemble, ici autant qu'elle peut l'être, là d'une manière satisfaisante sinon complète. Il est vrai que les matériaux par lesquels on peut arriver à cette connaissance sont ou trop volumineux ou sans liaison et presque toujours inaccessibles à ceux auxquels ils seraient le plus nécessaires. Il fallait les résumer pour leur donner toute leur utilité, toute leur valeur. Prenant un à un tous les ouvrages publiés jusqu'à ce jour sur l'Algérie; guidés, dans une étude qui nous ait devenue familière, par une critique consciencieuse, nous les avons analysés de manière à leur demander tout ce qu'ils pouvaient nous dire. De cette analyse approfondie est sorti une nomenclature aussi riche que variée, à laquelle sont venus se rattacher naturellement tous les détails géographiques, économiques et politiques qui pouvaient lui donner de l'intérêt; la description du pays et de ses grandes divisions physiques et administratives, celle des villes et de toutes les autres localités, marabouts, sources, routes, marchés, ports, montagnes. vallées, plaines, etc. des notices sur toutes tes tribus (au nombre d'environ 1200) et leurs fractions, leurs forces matérielles, leurs ressources; des études sur les diverses races; des recherches sur l'état ancien du pays, sur tous les points cités par les écrivains de l'antiquité, des notions étendues sur les moeurs, les coutumes, les langues, les religions, le gouvernement, l'administration, les lois, les monnaies, l'industrie de l'Algérie; ses relations commerciales avec les régions voisines, Maroc, Tunis, le Sahara, l'Afrique centrale l'Europe etc. Un lexique de tous les mots employés dans la géographie géographie algérienne, une introduction développée, des tables chrono logiques complètent ce vaste ensemble.».  «Dans ce long travail nous avons été puissamment secondé par des hommes dont la bienveillance nous honore, dont l'amitié nous est précieuse et auxquels nous avons témoigné tout ce que nous devons. En outre pas un mot dont l'origine soit cachée, pas un fait dont l'auteur ne soit cité. C'était le seul moyen de donner à notre œuvre ce caractère sérieux qu'elle devait avoir. Nous l'avons compris. C'est ainsi qu'a été fait ce livre qui sera, nous le pensons, utile à ceux dont le désir est de connaître l'Algérie, à ceux dont les destinés sont liées aux siennes de quelque manière que ce soit, soldats, administrateurs ou colons
0. MACCARTY .              ( 5 Mai 1846).
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 (1) A propos de cette "Société" et tant d'autres européennes "scientifiques", dans «Geography and imperialism, 1820-1940», par Morag Bell, Robin Alan Butlin, Michael J. Heffernan, et au Chapitre 9 'The spoils of Wars: The Société de Géographie de Paris and the French Empire, 1914-1919", Michael Heffernan écrit dans son Introduction : « La géographie et l'impérialisme français étaient des sujets intellectuels et idéologiques liés. Durant le Premier Empire Napoléonien, relevés cartographique  et topographiques occupaient une place  significative dans le système éducatif réformé principalement pour leur importance stratégique et militaire.»
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Résumé : 
Le texte laborieux de ce chapitre n'a pas pour ambition de rendre son contenu rébarbatif  ou inutilement volumineux, mais de partager avec le lecteur la complexité du travail de recherche des missionnaires de la colonisation et des moyens mobilisés pour atteindre les objectifs fixés par les futurs bénéficiaires de l'occupation. Il est exclu qu'il ait été conçu par les "bidasses" ou les politiciens des assemblés de députés et des membres de gouvernement dont les préoccupations sont plus terre à terre, et la vue réduite par leurs préoccupations économiques, politiques et sociales du moment. Ce modèle stratégique élaboré dans le détail le plus minutieux ne peut être l'œuvre que de personnes à l'intelligence hors du commun et dotés d'une connaissance approfondie des sciences sociales et des évolutions historiques, savoir basé sur une base de données accumulées sur plusieurs siècles et vérifiée à travers des expériences à grandes échelles, de la nature de la Révolution Française, et de celles qui succédèrent lors des bouleversements historiques des 19em et 20em siècle.  
Le détail et l'acuité des "relevés géographiques" de cette fin du 19em siècle nous esquissent un tableau de la nature des données utilisées et des méthodes employées par le "pouvoir" occulte  dans son travail de domination et de prédation, devant mener ultérieurement à son objectif de "globalisation". 
Ce constat nous amène à réviser fondamentalement notre perception de la nature de la colonisation, qui ne se limite pas à son usage de la force physique, de la violence militaire brutale ou de l'exploitation économique, elle contient un volet important basé sur le recensement des données socio-économico-politiques obtenues de l'observation de toutes les caractéristiques d'une nation. La connaissance détaillée de ces paramètres permet à quiconque désirant s'en servir le pouvoir de les altérer à son avantage et de les manipuler pour orienter le cours de l'histoire, la nature et la composition d'une société. C'est ce phénomène de manipulation complexe qui a été opéré pendant 132 ans, avec les outils traditionnels que collectionnaient les missionnaires du 19em grâce aux travaux d'investigation ciblant diverses compartiments des sociétés (ethnique, langues, races, religions) ,  et avec ceux plus récents de l'ingénierie sociale et des mass-média. 
Seuls les crédules et les ignorants, les mal intentionnés et les malhonnêtes, ou ceux servant des intérêts douteux, peuvent imaginer que les pays d'Afrique du nord, l'Algérie en particulier, est au 21em siècle identique à celle qui précédait le début de la colonisation. De grandes transformations ont été initiées par les destinataires-commanditaires des travaux de "géographie" effectués par de nombreux missionnaires. L'apparence de ces pays a changé dans le sens voulu par le pouvoir de l'ombre (pas l'officiel !) et les résultats observés aujourd'hui doivent être examinés judicieusement pour y déceler l'authenticité des apparences ou la corruption des réalités. Il est triste de constater combien naïfs
sont beaucoup de citoyens de ces pays en engageant leur militantisme dans des voies tracées par les tenants du "diviser pour régner" qui n'ont jamais cesser d'agir dans leur intérêts et qui persistent à développer des syndromes qui ne servent que leurs objectifs de domination.
Dans le chapitre 4, nous étudierons quelques travaux qui ont servi à manipuler les événements et à moduler les opinions dans le but de créer des symptômes conflictuels fictifs basés sur des appréciations frauduleuses de la réalité nord-africaine, ceci à travers l'examen de la situation particulière de l'Algérie. 

Chap 1 /Chap 2 / Chap 4 /.../ Chap 5.

Réponse au commentaire de "N":
Merci à "N" pour enrichir ce modeste article de ses remarques pertinentes qui m'ont réconforté et encouragé dans le travail de recherche que je souhaite partager avec tous, en vue d'initier (sans prétention) des échanges d'idées et relever le niveau de réflexion sur tout sujet qui concerne l'Afrique du Nord, et particulièrement L'Algérie.
Point par point :
-1- Concernant le langage des politiciens et celui du FLN, Il y a des groupes distincts, selon l'idéologie qu'ils véhiculent individuellement ou par adhésion à un consensus. 
-Un groupe, visiblement ignorant et borné, loin de la réalité historique et ethnique, trempe dans un extrémisme identique à celui de l'autre rive, les autonomistes-indépendantistes amazigh, par le rejet de l'autre, ils sombrent dans le sectarisme cru. Ils exaspèrent le conflit et réjouissent inconsciemment le "pouvoir de l'ombre", ceux que vous nommez talmudo-mondialistes.
-Le second groupe reconnaît l'autre (la composante arabo-berbère), mais sans conviction ni connaissances des réalités, par pur calcul politique et tactique, se dissimulant derrière un patriotisme de façade qui sert uniquement leur intérêts et le statu quo, refusant de tacler ce syndrome qui prend des proportions inquiétantes car géré par des forces aux moyens non négligeables et une logistique fondée sur la manipulation et la communication qu'elles contrôlent en amont et en aval, grâce aux média en particulier.
-un 3em, plus compétent, reconnaît la nécessité d'une solution harmonieuse, intelligente, répondant aux réalités et aux aspirations de tous et garantissant la cohésion et le dialogue constructif, au besoin innovateur, mais national et démocratique. Ce dernier groupe possède en face des interlocuteurs, partisans d'un réveil culturel berbère non discriminatoire-sectaire, avec une approche académique du sujet et des intentions saines visant un enrichissement de la société et évitant d'actionner le levier de la discorde ou du conflit.
Ce que j'essaie de démontrer est que les talmudistes sont depuis longtemps engagés dans leur travail de sape, et pour attiser les flammes de la discorde ne veulent absolument pas voir ce genre de dialogue constructif (3em groupe) prendre forme, libre d'émotions et de passions destructives. Ce qui arrange leurs plans, est l'action-réaction (thèse/anti thèse) des extrémistes des deux camps. C'est pour celà que Ferhat et ses MAKisards conviennent si bien aux plans de subversion du prédateur juif-talmude. Les excès dogmatiques contenus dans le discours des partisans de la rupture servent parfaitement les ambitions des ennemis de l'Algérie. Deux coups sérieux ont été portés aux chances de dialogue, l'offensive contre l'Islam et la langue Arabe, puis celui contre l'unité nationale. Le reste n'est que prétexte. "L'éternel conspirateur" doit se réjouir des positions extrémistes du MAK, car elles coupent cours à toute possibilité de concession ou dialogue. Je ne sais si le MAK est conscient de la gravité de ses actes et propos, et de l'escalade ruineuse qu'il provoque au sein de la nation. A mon avis il est certainement inconscient, sinon il faudrait croire que sa compromission est telle qu'il ne dispose plus de liberté de manœuvre ou de pouvoir de décision, et s'avère totalement contrôlé par ses "associés", qui l'actionnent à leur guise et selon leur désir.
-2- Le problème des victimes est le résultat de la provocation d'une partie et de la réponse disproportionnée qui lui a été opposée. Ignorance et naïveté des deux parties, mais n'est pas exclue la participation de forces manipulatrices, provocatrices et exaspératrices, derrière les deux rangs des antagonistes!
Par ailleurs ma conviction est que les déclarations d'apaisement de Bouteflika sont sincères et son officialisation de "l'amazighité" de l'Algérien n'est pas simulée mais le fruit d'une réflexion sereine pour l'apport d'un début de solution à la question. Hélas les "oulech asmah Oulech" non pas répondu favorablement à sa tentative de réconciliation.
D'accord sur le triste constat que les victimes ont été "gaspillées", au détriment de l'intérêt du pays et n'ont servi que de catalyseur à la discorde, dans les mains de ceux qui la souhaite, ou peut être même ceux qui avaient besoin de martyrs pour renforcer la contestation. En résumé beaucoup d"hypothèses peuvent être avancées, sans circonscrire définitivement la vérité, tant la situation est confuse, et vue la complexité et la diversité des forces qui y sont engagées.
-3- La gestion apparemment maladroite et banalisée de ce paradigme s'explique par :
-soit l'incompétence des acteurs chargés de diffuser l'information sur les troubles potentiels ou ceux déjà existants.
-soit le souhait de remédier au mal et de parer aux risques, par le silence. Méthode obsolète héritée du socialisme défaillant et assimilable à la politique de l'autruche, dont les déconvenues sont connues.
-la retenue devant les dimensions de ce phénomène et des forces en présence, retenue qui s'impose par le choix stratégique de la temporisation car ne divulguant pas ses propres intentions et ne dévoilant pas ses moyens de combat. Cette méthode relèverait du secret d'état, en assumant que l'intelligence existe et s'active à parer à toute éventualité, dans l'intérêt général, au  détriment de "l'ennemi". Les techniques, dont celle que vous mentionnez, existent. Il suffit d'un peu de volonté, d'imagination, et de savoir-faire dans l'art de l'ingénierie sociale "positive", pour battre les comploteurs et ruiner leurs manigances sulfureuses.