A- Introduction : Qu'est-ce que le Féminisme?
Un article de Wikipedia (Lien) en offre un excellent résumé et une introduction (historique, acteurs, version, enjeux, objectifs) suffisamment détaillée pour satisfaire les besoins d'aussi bien le simple curieux que le lecteur averti. Un grand danger réside cependant dans l'exposé, la présentation de concepts opaques comme étant évidents, acceptés, et auto-explicités, alors qu'ils ne le sont pas
«Le féminisme est un ensemble d'idées politiques, philosophiques et sociales cherchant à définir, promouvoir et établir les droits des femmes dans la société civile et dans la sphère privée. Il s'incarne dans des organisations dont les objectifs sont d'abolir les inégalités sociales, politiques, juridiques, économiques et culturelles dont les femmes sont victimes.»
Il est évident qu'au féminisme se greffent de nombreux concepts eux mêmes obscures, et tous sujets à des controverses parce que ne bénéficiant pas de l'unanimité des opinions parmi les spécialistes et les personnes qui militent pour la défense des droits des femmes, et à cause également des spécificités culturelles et religieuses qui y sont attachées. Les droits des femmes s'apparentent aux droits de l'homme en général avec des revendications particulières supplémentaires.
1- Prenons l'exemple de droits des femmes, et constatons ceux qui sont propres aux femmes, sont sources de controverse malgré leur apparente évidente légitimité :
- «la liberté de vivre à l'abri du rôle de genre stéréotype » et
- «la liberté de vivre à l'abri du sexisme et des violences.»
ces deux présupposés "droits" dissimulent deux concepts importants présentés comme évidents mais qui ne le sont pas. Le "rôle" porte sur la définition et la normalisation des genres donc de la différentiation des sexes dont le "sexisme" qui catégorisé comme une forme de délit sans aucune démonstration alors qu'il est sujet brûlant, une vraie fournaise, où les débats sont d'actualité et ont déclenché des luttes impitoyables entre les abolitionnistes du genre, soient ceux qui préconisent une "fusion" des différences homme-femme et garçon-fille en une seule entité "humaine"et, les opposants à cette "dilution" ou "confusion des genres", qui refusent leur "neutralisation" équivoque et combattent avec acharnement, politiquement et publiquement, pour le maintien du rôle traditionnel des genres. En France par exemple, le combat de Farida Belghoul contre l'institutionnalisation de la confusion des genres par l'introduction de la "théorie du genre" et l'éducation sexuelle incorporant les pratiques du "troisième sexe" des LGBT !!
Le combat pour l'intégrité morale et physique des élèves dans l'éducation prend une allure d'épopée et mobilise les parents avec une participation aux proportions inégalées dans l'histoire des revendications collectives sociales opposées à la législation imposée par les gouvernements. Soulignons un fait important : la campagne cynique menée par les média dominants contre la militante en des termes indignes et souvent péjoratifs, qui signale donc l'existence d'un plan inavoué d'imposer la législation proposée par des responsables dénués de toute légitimité politique ou morale (ex : la ministre Najat Belkacem).
2- le concept de sphère privée : l'impression dominante est que cette vie privée n'est destinée qu'à défendre, à dissimuler, et ne jamais juger, encore moins condamner des pratiques individuelles et personnelles flirtant avec les abominations de toute nature.
Exemple de droit : «Dans la vie politique, la vie privée est souvent mise en avant par les hommes politiques pour cacher ce qui pourrait nuire à leur carrière. On a vu ainsi des dirigeants mener une politique homophobe en étant eux-mêmes homosexuels, ou plus généralement mettre en avant leur intégrité morale, tout en menant une vie dissolue. Mais certains estiment qu'on ne doit juger un homme que sur ce qu'il montre, compétence affichée ou incapacité apparente à occuper un poste.»
3- de l'aveu des auteurs de l'article (wiki) :
«Domaines faisant encore polémiques : Les revendications féministes entrent parfois en contradiction avec les normes religieuses et morales de certaines sociétés. Par exemple :
- le droit au divorce ;
- le droit à l'interruption volontaire de grossesse ;
- le droit à la contraception ;
- le droit au mariage lesbien
- le droit à la prêtrise ;
- le droit à la liberté d'expression.»
4- Résumé contextuel:
Amplifiant ce méli-mélo conceptuel et lexicographique est le fait qu'il n'existe pas un seul courant doctrinal de féminisme mais plusieurs ! Jugez en vous même (Lien) :
1 Féminisme libéral
2 Féminisme socialiste
3 Féminisme radical
4 Féminisme radical différentialiste
5 Théologie féministe
6 Féminisme pro-sexe ( «Le féminisme pro-sexe est un courant du féminisme, issu du milieu queer (LGBT !), qui apparaît dans les années 1980 aux États-Unis et qui voit en la sexualité un domaine qui doit être investi par les femmes et les minorités sexuelles. En faisant « du corps, du plaisir et du travail sexuel des outils politiques dont les femmes doivent s'emparer », il s'oppose au féminisme radical.»)°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
NOTE : La pluralité de courants de ce mouvement n'est pas fortuite ou accidentelle, mais le résultat d'une stratégie organisée visant de cette manière à ratisser large pour les potentiels adhérants(es) qui y postuleraient ! Un chalut ou filet plus large, assure une pêche plus consistante !
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Plus on progresse donc dans l'examen du féminisme et plus on constate que la confusion règne dans ce paradigme (confusion devenue suspecte par sa fréquence), et il est clair qu'il est associé à une multitude de concepts adjacents, tous sujets de polémique et souvent de rejet par une majorité de l'opinion et d'observateurs avertis. Ce concept est tant équivoque qu'il est logique de questionner l'assurance de ses avocats à le propager et à tenter de l'imposer par des moyens "démocratiques" sous l'impulsion des revendications de la société civile au sein des instances juridiques et politiques nationales (institutions gouvernementales) et internationales (ONG).
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Des Musulmanes, Algériennes de surcroit, ont rejoint les équipes internationales manipulées par les ONG de New York dans cette entreprise opaque. L'Algérie à la traine dans la mouvance féministe est entrain de rattraper le retard et des ignorantes es-sciences sociales se bousculent pour participer à la pêche et racler le fond de la population pour remplir les paniers des flibustiers affrétés par les ONG internationales. Anciennes "Moudjahidates" (les victimes post révolutionnaires de cette tragédie humaine), membres du parlement et de la société civile, enseignantes et étudiantes, se sont amarrées avec rage et conviction au rafiot du féminisme, parce qu'il est à la mode et revêt un cachet de "modernisme", et beaucoup parce que gavées de lecture aliénantes dont les écrits de Simone de Beauvoir («Bisexuelle, elle entretient des relations amoureuses avec certaines de ses élèves, notamment Olga Kosakiewitcz et Bianca Bienenfeld, le « pacte » la liant à Sartre lui permettant de connaître des « amours contingentes ») et les plaidoiries politico-sociales de Simone Veil/Jacob (instigatrice du génocide par interruption volontaire de la grossesse, "loi Veil"). Que l'argument de la défense des droits des femmes ne brouille pas nos cartes, féminisme et droits de citoyens sont deux objectifs distincts et souvent antagonistes car l'un conduit à sa corruption morale et physique (suffisamment pertinente comme illustration est l'exemple du féminisme pro-sexe et de la prédominance dans le mouvement d'éminentes activistes lesbiennes !), alors que l'autre œuvre pour la dignité de la femme en lui assurant une protection et les moyens de se préserver de l'injustice et des abus. Le féminisme rejette la complémentarité femme/homme et le transforme en conflit et en antagonisme existentiel ! Les droits des femmes constituent une revendication légitime aussi longtemps qu'ils sont traités dans le cadre juridique et légal spécifique, pas dans celui du nivellement des normes et l'uniformisation des valeurs particulières, pour la simple raison que le rôle, la mission, les taches sont pour chaque genre particulière, au sein du couple, de la famille et de la société. De part leurs différences biologiques, physiologiques, psychologiques et leur constitution physique distinctes la parité homme-femme est inconcevable.
Ni démontrée ni justifiée la question de l'égalité n'est pas recevable. L'égalité toute azimute des droits est une affirmation utopique et sans fondement, injustifiée et réfutée par l'histoire et les expériences accumulées durant des millénaires. Chaque genre a des droits partagés mais également spécifiques. Il n'y a pas lieu de comparer l'incomparable. Une fois les droits définis, la question de leur respect relève de la loi, et les abus et les injustices que subissent les femmes (dans le monde musulman) sont dus à l'ignorance (dans ce cas de musulmans face à leurs obligations et devoirs, non à une défaillance de l'Islam tel que révélé dans le Coran et le Hadith, et traduit par les premiers théologiens authentiques). Dans l'Islam la femme est honorée et élevée à un haut rang et à une fonction primordiale qui lui assure la respectabilité, lui fait assumer un rôle crucial, et des taches essentielles dans la préservation du couple, de la famille, et de la société. Son honneur est un enjeu des mieux gardé, et toute atteinte à son intégrité morale et physique est sévèrement sanctionnée. "L'honneur est un bien plus précieux que la vie."
La déconfiture du féminisme : C'est une fraude à plusieurs facettes qui met en exergue le carriérisme en place du rôle de mère et d'épouse. Le droit au travail (esclavage), le droit à la promotion sociale (un leurre enrobé de vanité et de gloire passagère), le droit de faire la guerre (devenir soldat), la liberté d'expression (débiter des commérages sur les questions politiques secondaires et négliger l'éducation de sa progéniture), l'adoption de comportements masculins qui déforment la nature première de la femme qui en imitant l'homme pervertit ses qualités propres et se livre aux dérives du lesbianisme et du transgendre sexuel. Ceci n'est pas du domaine de la spéculation ou de l'hypothèse théorique, mais le constat chiffré d'une réalité qui empire de jour en jour.
Les revers du féminisme qui adopte la politique de l'autruche : Les faits sont là, même dans des sociétés traditionnelles, l'émancipation de la femme, perçue uniquement sous l'angle de de la promotion sociale par la compétence professionnelle et l'acquis éducatif, a bouleversé la société, et les statistiques qui ne mentent pas lorsqu'ils révèlent que 40 % des femmes actives ont plus de 35 ans et sont célibataires ! le taux du divorce est en croissance exponentielle ! Le lesbianisme (un substitut de circonstance au mariage) est galopant et s'affiche sur les sites de "rencontre" ! Le taux de croissance démographique se meurt tranquillement sans qu'aucun signal ne soit donné sur les conséquences économiques et les menaces sur la survie de la nation! Que faut-il de plus pour alarmer les pouvoirs publics? Les ministres, hommes et femmes, qui se gargarisent du succès (sic) de la scolarisation des filles qui au baccalauréat capturent 70 % des réussites !! Réussite ? Les responsables d'un pays qui n'assurent pas une éducation adéquate à ses garçons et les affecte aux rangs des chômeurs et des délinquants peuvent-ils s’enorgueillir de servir les intérêts de la nation ?
A suivre.....
Un article de Wikipedia (Lien) en offre un excellent résumé et une introduction (historique, acteurs, version, enjeux, objectifs) suffisamment détaillée pour satisfaire les besoins d'aussi bien le simple curieux que le lecteur averti. Un grand danger réside cependant dans l'exposé, la présentation de concepts opaques comme étant évidents, acceptés, et auto-explicités, alors qu'ils ne le sont pas
«Le féminisme est un ensemble d'idées politiques, philosophiques et sociales cherchant à définir, promouvoir et établir les droits des femmes dans la société civile et dans la sphère privée. Il s'incarne dans des organisations dont les objectifs sont d'abolir les inégalités sociales, politiques, juridiques, économiques et culturelles dont les femmes sont victimes.»
Il est évident qu'au féminisme se greffent de nombreux concepts eux mêmes obscures, et tous sujets à des controverses parce que ne bénéficiant pas de l'unanimité des opinions parmi les spécialistes et les personnes qui militent pour la défense des droits des femmes, et à cause également des spécificités culturelles et religieuses qui y sont attachées. Les droits des femmes s'apparentent aux droits de l'homme en général avec des revendications particulières supplémentaires.
1- Prenons l'exemple de droits des femmes, et constatons ceux qui sont propres aux femmes, sont sources de controverse malgré leur apparente évidente légitimité :
- «la liberté de vivre à l'abri du rôle de genre stéréotype » et
- «la liberté de vivre à l'abri du sexisme et des violences.»
ces deux présupposés "droits" dissimulent deux concepts importants présentés comme évidents mais qui ne le sont pas. Le "rôle" porte sur la définition et la normalisation des genres donc de la différentiation des sexes dont le "sexisme" qui catégorisé comme une forme de délit sans aucune démonstration alors qu'il est sujet brûlant, une vraie fournaise, où les débats sont d'actualité et ont déclenché des luttes impitoyables entre les abolitionnistes du genre, soient ceux qui préconisent une "fusion" des différences homme-femme et garçon-fille en une seule entité "humaine"et, les opposants à cette "dilution" ou "confusion des genres", qui refusent leur "neutralisation" équivoque et combattent avec acharnement, politiquement et publiquement, pour le maintien du rôle traditionnel des genres. En France par exemple, le combat de Farida Belghoul contre l'institutionnalisation de la confusion des genres par l'introduction de la "théorie du genre" et l'éducation sexuelle incorporant les pratiques du "troisième sexe" des LGBT !!
Le combat pour l'intégrité morale et physique des élèves dans l'éducation prend une allure d'épopée et mobilise les parents avec une participation aux proportions inégalées dans l'histoire des revendications collectives sociales opposées à la législation imposée par les gouvernements. Soulignons un fait important : la campagne cynique menée par les média dominants contre la militante en des termes indignes et souvent péjoratifs, qui signale donc l'existence d'un plan inavoué d'imposer la législation proposée par des responsables dénués de toute légitimité politique ou morale (ex : la ministre Najat Belkacem).
2- le concept de sphère privée : l'impression dominante est que cette vie privée n'est destinée qu'à défendre, à dissimuler, et ne jamais juger, encore moins condamner des pratiques individuelles et personnelles flirtant avec les abominations de toute nature.
Exemple de droit : «Dans la vie politique, la vie privée est souvent mise en avant par les hommes politiques pour cacher ce qui pourrait nuire à leur carrière. On a vu ainsi des dirigeants mener une politique homophobe en étant eux-mêmes homosexuels, ou plus généralement mettre en avant leur intégrité morale, tout en menant une vie dissolue. Mais certains estiment qu'on ne doit juger un homme que sur ce qu'il montre, compétence affichée ou incapacité apparente à occuper un poste.»
3- de l'aveu des auteurs de l'article (wiki) :
«Domaines faisant encore polémiques : Les revendications féministes entrent parfois en contradiction avec les normes religieuses et morales de certaines sociétés. Par exemple :
- le droit au divorce ;
- le droit à l'interruption volontaire de grossesse ;
- le droit à la contraception ;
- le droit au mariage lesbien
- le droit à la prêtrise ;
- le droit à la liberté d'expression.»
4- Résumé contextuel:
Amplifiant ce méli-mélo conceptuel et lexicographique est le fait qu'il n'existe pas un seul courant doctrinal de féminisme mais plusieurs ! Jugez en vous même (Lien) :
1 Féminisme libéral
2 Féminisme socialiste
3 Féminisme radical
4 Féminisme radical différentialiste
5 Théologie féministe
6 Féminisme pro-sexe ( «Le féminisme pro-sexe est un courant du féminisme, issu du milieu queer (LGBT !), qui apparaît dans les années 1980 aux États-Unis et qui voit en la sexualité un domaine qui doit être investi par les femmes et les minorités sexuelles. En faisant « du corps, du plaisir et du travail sexuel des outils politiques dont les femmes doivent s'emparer », il s'oppose au féminisme radical.»)°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
NOTE : La pluralité de courants de ce mouvement n'est pas fortuite ou accidentelle, mais le résultat d'une stratégie organisée visant de cette manière à ratisser large pour les potentiels adhérants(es) qui y postuleraient ! Un chalut ou filet plus large, assure une pêche plus consistante !
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Plus on progresse donc dans l'examen du féminisme et plus on constate que la confusion règne dans ce paradigme (confusion devenue suspecte par sa fréquence), et il est clair qu'il est associé à une multitude de concepts adjacents, tous sujets de polémique et souvent de rejet par une majorité de l'opinion et d'observateurs avertis. Ce concept est tant équivoque qu'il est logique de questionner l'assurance de ses avocats à le propager et à tenter de l'imposer par des moyens "démocratiques" sous l'impulsion des revendications de la société civile au sein des instances juridiques et politiques nationales (institutions gouvernementales) et internationales (ONG).
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Des Musulmanes, Algériennes de surcroit, ont rejoint les équipes internationales manipulées par les ONG de New York dans cette entreprise opaque. L'Algérie à la traine dans la mouvance féministe est entrain de rattraper le retard et des ignorantes es-sciences sociales se bousculent pour participer à la pêche et racler le fond de la population pour remplir les paniers des flibustiers affrétés par les ONG internationales. Anciennes "Moudjahidates" (les victimes post révolutionnaires de cette tragédie humaine), membres du parlement et de la société civile, enseignantes et étudiantes, se sont amarrées avec rage et conviction au rafiot du féminisme, parce qu'il est à la mode et revêt un cachet de "modernisme", et beaucoup parce que gavées de lecture aliénantes dont les écrits de Simone de Beauvoir («Bisexuelle, elle entretient des relations amoureuses avec certaines de ses élèves, notamment Olga Kosakiewitcz et Bianca Bienenfeld, le « pacte » la liant à Sartre lui permettant de connaître des « amours contingentes ») et les plaidoiries politico-sociales de Simone Veil/Jacob (instigatrice du génocide par interruption volontaire de la grossesse, "loi Veil"). Que l'argument de la défense des droits des femmes ne brouille pas nos cartes, féminisme et droits de citoyens sont deux objectifs distincts et souvent antagonistes car l'un conduit à sa corruption morale et physique (suffisamment pertinente comme illustration est l'exemple du féminisme pro-sexe et de la prédominance dans le mouvement d'éminentes activistes lesbiennes !), alors que l'autre œuvre pour la dignité de la femme en lui assurant une protection et les moyens de se préserver de l'injustice et des abus. Le féminisme rejette la complémentarité femme/homme et le transforme en conflit et en antagonisme existentiel ! Les droits des femmes constituent une revendication légitime aussi longtemps qu'ils sont traités dans le cadre juridique et légal spécifique, pas dans celui du nivellement des normes et l'uniformisation des valeurs particulières, pour la simple raison que le rôle, la mission, les taches sont pour chaque genre particulière, au sein du couple, de la famille et de la société. De part leurs différences biologiques, physiologiques, psychologiques et leur constitution physique distinctes la parité homme-femme est inconcevable.
Ni démontrée ni justifiée la question de l'égalité n'est pas recevable. L'égalité toute azimute des droits est une affirmation utopique et sans fondement, injustifiée et réfutée par l'histoire et les expériences accumulées durant des millénaires. Chaque genre a des droits partagés mais également spécifiques. Il n'y a pas lieu de comparer l'incomparable. Une fois les droits définis, la question de leur respect relève de la loi, et les abus et les injustices que subissent les femmes (dans le monde musulman) sont dus à l'ignorance (dans ce cas de musulmans face à leurs obligations et devoirs, non à une défaillance de l'Islam tel que révélé dans le Coran et le Hadith, et traduit par les premiers théologiens authentiques). Dans l'Islam la femme est honorée et élevée à un haut rang et à une fonction primordiale qui lui assure la respectabilité, lui fait assumer un rôle crucial, et des taches essentielles dans la préservation du couple, de la famille, et de la société. Son honneur est un enjeu des mieux gardé, et toute atteinte à son intégrité morale et physique est sévèrement sanctionnée. "L'honneur est un bien plus précieux que la vie."
La déconfiture du féminisme : C'est une fraude à plusieurs facettes qui met en exergue le carriérisme en place du rôle de mère et d'épouse. Le droit au travail (esclavage), le droit à la promotion sociale (un leurre enrobé de vanité et de gloire passagère), le droit de faire la guerre (devenir soldat), la liberté d'expression (débiter des commérages sur les questions politiques secondaires et négliger l'éducation de sa progéniture), l'adoption de comportements masculins qui déforment la nature première de la femme qui en imitant l'homme pervertit ses qualités propres et se livre aux dérives du lesbianisme et du transgendre sexuel. Ceci n'est pas du domaine de la spéculation ou de l'hypothèse théorique, mais le constat chiffré d'une réalité qui empire de jour en jour.
Les revers du féminisme qui adopte la politique de l'autruche : Les faits sont là, même dans des sociétés traditionnelles, l'émancipation de la femme, perçue uniquement sous l'angle de de la promotion sociale par la compétence professionnelle et l'acquis éducatif, a bouleversé la société, et les statistiques qui ne mentent pas lorsqu'ils révèlent que 40 % des femmes actives ont plus de 35 ans et sont célibataires ! le taux du divorce est en croissance exponentielle ! Le lesbianisme (un substitut de circonstance au mariage) est galopant et s'affiche sur les sites de "rencontre" ! Le taux de croissance démographique se meurt tranquillement sans qu'aucun signal ne soit donné sur les conséquences économiques et les menaces sur la survie de la nation! Que faut-il de plus pour alarmer les pouvoirs publics? Les ministres, hommes et femmes, qui se gargarisent du succès (sic) de la scolarisation des filles qui au baccalauréat capturent 70 % des réussites !! Réussite ? Les responsables d'un pays qui n'assurent pas une éducation adéquate à ses garçons et les affecte aux rangs des chômeurs et des délinquants peuvent-ils s’enorgueillir de servir les intérêts de la nation ?
A suivre.....