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21 avr. 2010

Les Autonomistes Amazigh: Le Fruit du Stratagème Juif du Démantélement de L'Afrique du Nord.


-Chapitre 2-
Existe-il des différences religieuses ?
Le "montage" et la promotion d'un syndrome séparatiste régional nécessite la présence de facteurs susceptibles d'être mis en évidence et développés pour préparer le terrain à la division. Essayons d'en recenser quelques uns, dans le contexte du début de la colonisation française de l'Algérie, en 1830,  :
Différences religieuses ? Marginales, sinon globalement inexistantes pour la majorité de la population. A l'exception d'une minorité juive ancienne, numériquement faible (30 000) et économiquement puissante, socialement distincte de la  majorité Arabo-Berbère et dont le génie conspirateur prouva être fatal, jusqu'à causer des litiges entre la régence d'Alger et la France à propos des dettes impayées. Wikipédia: «Des commerçants juifs de Livourne, installés à Alger au milieu du XVIIIe siècle, les Bacri et les Busnach ont alors livré d'importantes quantités de grains pour nourrir les soldats participant avec Bonaparte (futur Napoléon Ier) à la campagne d'Italie. Bonaparte refuse de régler la facture qu'il juge excessive.» Un complot classique de la cupidité juive et de la malveillance de ces prédateurs à apparence d'agneaux. Jacob Isaac Crémieux fait publier le décret Crémieux, « Les Israélites indigènes des départements de l'Algérie sont déclarés citoyens français.»(wiki). Les Juifs Algériens deviennent Français, alors que les Amazighs qui avaient été les opposants les plus acharnés contre la colonisation, sont massacrés. Les tribus de Lala Fatma N'Soumer(1857), du cheikh El Mokrani (1871) subissent des pertes importantes et beaucoup d'entre eux s'exilent au Machrek. Des Syriens d'origine algérienne, utilisent toujours le dialecte berbère, aujourd'hui en 2010 ! Démontrant leur attachement à l'Islam, la langue Arabe et à l'amazighrité, sans trouvé d'incompatibilité entre ces différentes composantes culturelles ou religieuses ! Où sont les Amazigh juifs (ou chrétiens) ? Le décret Crémieux aurait fait surgir cette communauté du néant. Seuls les juifs-juifs (indigènes israélites), attachés à leur judaïsme depuis les exodes successifs de l'Antiquité, s'inscrivirent pour bénéficier des nouvelles dispositions du décret promulgué par leur coreligionnaire Crémieux. Aucuns ne se sont enfuis d'Algérie, encore moins vers d'autres pays musulmans !
D'où ont donc surgi ces Juifs amazighs qui pronent (en 2010 !), l'autonomie-indépendance de la Kabylie ?
-Réponse anticipée: ils sont, le fruit du travail de sape et de l'ingénierie sociale programmée et élaborée patiemment par les "experts de l'intrigue" et sont les enfants illicites d'une écriture de l'Histoire orientée et d'une manipulation émotionnelle. Ces "intellectuels" formés à l'école judéo-française, sont de mauvaise foi et dotés d'une cervelle d'oiseau dont le mérite se limite  à répéter fidèlement la propagande juive inculquée par leurs nouveaux maîtres, les prédateurs sionistes-talmudes !

Un article «La Kabylie n’est qu’une mythologie coloniale française», réconfortant par sa pertinence, fut publié par El Watan (2004) ( surprenant de la part de ce quotidien chauvin du berbérisme), l'auteur (Abdesselam Kadi) réfute les avis non fondés d'un certain professeur de sociologie nommé Lahouari Addi.(1). Dont extrait: «La découverte d’un demi-millier de stèles du sanctuaire phénicien d’El Hofra à Constantine au printemps 1950 a bien prouvé que Massinissa et ses trois fils utilisaient le phénicien comme langue de travail et d’administration (documents archéologiques du gouvernement général de l’Algérie, service des antiquités n° 1506, publiés à Paris en 1955 par les Arts et Métiers graphiques). Massinissa qui a régné durant 50 ans environ n’a laissé aucune trace d’une langue avec un alphabet. Il avait pourtant la liberté de le faire par décret s’il le fallait, si elle existait. Scientifiquement on ne peut parler que de faits dialectaux. Une littérature abondante milite pour cette thèse.»
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 (1)Un expert-maître de la critique du "système" et de la diffamation des acteurs politiques, d'une arrogance douteuse qui n'épargne rien de l'Algérie, ni gouvernants ni institutions; il sillonne le champ médiatique avec une assurance provocatrice douteuse, car rappelons-le, le sociologue est appuyé et sponsorisé par les puissants de la planète. Modèle du collaborateur de la branche locale des organisations humanitaires new-yorkaises (des Zbignew Brejzinsky et Henry Kissinger), il est typiquement un "agent provocateur" de  l'Institut
d' Etudes Politiques Université Lumière, Lyon2, et Professeur invité à UCLA, Californie, USA.  Tirant visiblement son assurance de sa position de protégé de la nébuleuse juive internationale, et opérant sous son aile sociale, entendre "ingénierie sociale". Effronterie n'est pas à confondre avec courage, une qualité qu'il lui attribuerait l'opinion crédule. Il montre généralement aucune miséricorde envers les acteurs politiques algériens qu'il charcute à la moindre occasion. Son indulgence et sa compassion, sont réservées à la Shoah fraude-historique et à l'ancienne puissance coloniale:  
-Sa réponse, utopique et chimérique: «La valorisation du passé et la transmission de la mémoire à la jeunesse n'excluent pas d'établir des rapports amicaux avec la France dans l'intérêt mutuel des deux peuples. L'Algérie a besoin de la coopération avec la France, puissance économique, pour implanter des usines de fabrication de voitures, pour former une main-d'oeuvre capable de maîtriser la gestion des supermarchés (sarcasme envers les tubes digestifs), puisque les Algériens semblent adorer Carrefour et Auchan, pour renforcer le potentiel scientifique de ses universités, etc. L'Algérie a aussi besoin de la France, membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU, pour aider les Palestiniens à avoir un Etat.»
-Ou : «Demander des excuses après avoir remporté une victoire, c'est prolonger la guerre pour un enjeu symbolique, et ce n'est pas dans l'intérêt de l'Algérie. A moins que le nif soit plus important que tout, même si les harraga, de plus en plus nombreux, essaient de trouver refuge dans le pays qui nous aura présenté des excuses. En nif oual khsara. Ercham ya Abdelaziz archam !»
Notez la grandeur d'âme de cette plume empoisonnée dans son hymne à la gloire de la Puissante France Sionisée, et son revirement instantané avec "retour du naturel, au galop" dans le langage péjoratif réservé à "l'ennemi" Bouteflika (Lire interview de Addi par El Quds Al Arabi, le journal publié à ...Londres !)
-«Aidez les Palestiniens » :  leurre classique juif dans ses œuvres; anesthésier l'Arabe avant de lui trancher la gorge !
Le Professeur Addi devrait retourner au banc de l'école et recevoir des leçons d'Histoire de Louisette Ighil AHRIZ par exemple, une dame  qui déclara  au forum  d'El Moudjahid :« La France doit demander pardon aux millions d’Algériens, aux martyrs pour les crimes contre l’humanité commis contre un peuple qui n’espérait que retrouver sa dignité piétinée, massacrée par les tortionnaires durant la guerre de l’Indépendance.»  «Quarante-neuf ans après, cette moudjahida a eu gain de cause, la justice française vient de prononcer un jugement en sa faveur, dans le cadre du procès l’ayant opposé à son propre tortionnaire, le général Shmitt.»(Lien)
-Quand à la vérité sur 130 ans de génocide français (consultez lien pour un avant-goût des crimes commis et des statistiques démographiques y réferrant ), elle est occultée par ce cobra sous contrôle de charmeurs juifs. Il y voit un négligeable "enjeu symbolique"; traduire "un jeu enfantin". Ce genre d'écrits indécents et sournois abonde dans notre presse et sur le Net, il est de notre devoir de les déceler, d'en découvrir le caractère subversif et de les dénoncer, notre avenir et notre dignité d'hommes libres en sont menacés.
Moralité : Pour ceux qui souhaitent s'informer et s'instruire la prudence et la perspicacité sont de rigueur face à l'intox qui pollue les esprits et corrompt notre perception de la réalité. L'occupation du champ médiatique algérien par un nombre important de serpents venimeux devrait éveiller notre attention. Dans les coulisses, des charmeurs de serpents maîtrisent ces reptiles, au son de flûtes des "gratifications" de tous genres: les "prix internationaux", les rétributions matérielles, l'entre-aide maçonnique, tous visent à recruter de nouveaux "intellectuels" (qualifiés Outre-Atlantique de "media Whores"), qui gonflent les effectifs des mercenaires de la plume. L'outil est l'ingénierie sociale, destinée à "moduler" l'opinion (endoctrinement-conditionnement du public). C'est l'enjeu du pouvoir destructeur des média. Seuls les naïfs ou ceux déjà victimes de cette manipulation, refuseront de mettre en doute les théories des "ismes" ou les utopies sociales et historiques qui circulent localement en parfaite harmonie avec les plans du Nouvel Ordre Mondial Juif. 
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Dans le chapitre-3, sera effectué un recensement  des facteurs qui pourraient justifier une divergence d'intérêt ou une division des communautés au sein de la nation algérienne, en particulier, et nord-africaine en général. 
Il sera prouvé l'inexistence d'arguments fiables,  seule demeure l'hypothèse d'une invention orchestrée pendant 130 ans de colonialisme par les maîtres de l'intrigue siégeant  au conseil de l'Alliance Israélite Universelle.

11 avr. 2010

Algérie: Economistes Néo-Libéralistes Plus Royalistes Que Le Roi.

Scrutés en rétrospective: certains commentaires "d'experts" économiques prêtent à rire par leur naïveté ou soulèvent des questions sur la compétence de leur travaux ou l'honnêteté de leur avis sur des questions économiques importantes et souvent cruciales. Sans grands efforts et avec seulement un peu d'imagination, toute personne intéressée par l'information économique peut deviner où trouver ce genre d'écrit et ceux qui les diffusent: notre presse "indépendante" subversive, avec à leur tête El Watan. Sans jamais faire preuve de retenue ou de prudence le quotidien s'est spécialisé dans la divination économique et s'est converti en conseiller économique, défenseur de l'intérêt général dont l'expertise se résume à tenter d'induire en erreur le gouvernement et l'opinion publique sur des questions d'actualité et à le conduire dans des avenues hasardeuses et souvent catastrophiques pour ceux qui s'y hasarderaient. Tout le monde doit avoir en mémoire la campagne dirigée par El Watan et sa pléiade "d'experts" nationaux et internationaux qui accusèrent les autorités financières algériennes de négligence et d'incompétence dans la gestion des réserves excédentaires en devises accumulées (garantis par le gouvernement des États Unis) auprès du trésor américain. Nombre de conseilleurs algériens et étrangers suspects, «qui ne sont jamais les payeurs», chantaient d'une seule voix le refrain «de la nécessité de la diversification des placements des réserves en devise, dans la multitude de valeurs financières internationales négociées sur les marchés des bourses» de Londres, New York,, etc... Un piège que l'Algérie contourna par miracle (et grâce à la vigilance de surveillants avisés).
La crise du crédit qui se profilait à l'horizon coïncidait par hasard avec cette effusion de recommandations "désintéressées" et de conseils gratuits. La campagne d'El Watan fut abrégée par l'impact de la crise qui dévoila toutes les horreurs des malversations et des combines frauduleuses régissant les marchés financiers, que les vrais experts dénonçaient (depuis longtemps) comme organismes gérés par une pègre (dominée par les "banksters" judéo-talmudes), selon les mêmes règles qui régissent les casinos de Las Vegas, sinon pires.  Périodiquement, les agents de propagande engagèrent des campagnes de désinformation enrobées d'arguments "économiques" (dogmatiques et superficiels) ciblant la crédulité ou l'ignorance du lecteur, et ayant uniquement pour but de créer la zizanie dans l'opinion qui réagirait par le mécontentement et par l'opposition au gouvernement. Citons l'exemple de la libéralisation de l'économie ou économie de marché, que nos diffuseurs d'utopie économico-financière vantaient sans relâche, en réponse (résonance) à la tendance mondiale véhiculée par les néo-conservatifs de G.Bush. Le criminel de guerre chargé de la défense des intérêts de ses maîtres, les banquiers juifs de New York et de Londres. Ajoutez à cette nébuleuse occulte les experts des organismes internationaux, FMI et Banque Mondiale.
Localement, tous les "experts" d'El Watan s'accordaient à promouvoir les bienfaits de l'ouverture du marché algérien au partenariat étranger, dans le but de résoudre TOUS les problèmes macro-économiques (chômage, inflation, déficits en infrastructures, etc..) par la réalisation de projets gigantesques, donc par le biais d'investissements colossaux pour nous atteler au progrès économique mondial et nous sortir DÉFINITIVEMENT du sous développement. El Watan, désigné porte parole de la mondialisation (par ses sponsors de NY), inonda l'opinion de théories économiques toutes aussi convaincantes et alléchantes que celles propagées par les officines américaines et européennes. Toujours selon La Méthode: Intox véhiculée par un bombardement médiatique ininterrompu, servant la devise «plus le mensonge est réitéré, plus il aura de chance de devenir une vérité» (voir son site pour la profusion d'articles sur les bienfaits de la mondialisation et le libéralisme économique). Cet enthousiasme, débordant d'arguments proposés par les nombreux "doctors" et spécialistes, semblait cette fois réconforter la politique gouvernementale d'ouverture économique, pour adhérer à l'OMS, se conformer aux nouvelles règles du commerce international et peut être même éviter d'attirer l'attention des néo-cons juifs de NY, commanditaires de la politique belliqueuse de G. Bush, qualifiée de "nouvelle croissade contre le Mal" (traduire par "le monde musulman").
L'expérience de l'ouverture du marché s'est avérée grossièrement désastreuse pour le pays. Le pillage effectué par nos "chers" partenaires au détriment de notre balance des paiements qui fut "saignée" un-scrupuleusement par des boucaniers internationaux spécialistes de l'incursion à court terme et au maximum de profits. Que dans le langage populaire on qualifie pertinemment de " Achrab oua Harab". D'autre part le désistement d'investisseurs potentiels et l'abandon de leur participation dans des projets importants, conduisirent à la conclusion et à l'arrêt de cette entreprise de libéralisation sauvage. Déconfiture politique ou économique, le Président Bouteflika en fit un bilan négatif et condamna publiquement ses imperfections et les dangers menaçant le pays qui en proviennent.  Il promit de corriger les erreurs commises en ré-orientant le pays vers l'auto suffisance et la réhabilitation du secteur publique. Une politique pragmatique doublée d'une réduction de la dépendance envers le secteur privé étranger, l'Algérie ayant les moyens de cette nouvelle politique. La loi complémentaire des finances 2009, la révision des dispositions fiscales et un réaménagement de tous les outils de politique économique, suivirent, dans une conjoncture mondiale critique. Les premières résistances à la loi 2009 eurent pour origine les parties directement touchés par les nouvelles mesures. Réaction logique et un bon indicateur de la justesse de ce changement de cap. Les réserves avancées par le FMI sont surprenantes et doivent être examinées attentivement, car inhabituelles, précipitées et abusant de ses prérogatives. Mais l'intrigante tournure qu'a pris l'événement se situe essentiellement dans un fait inattendu : la  levée de boucliers de la presse spécialisée indépendante dans la défense des sociétés et groupes financiers étrangers affectés par les mesures gouvernementales (souveraines) qui étaient dictées par la nécessité de  protéger l'économie nationale (car atténuant les abus et les dérives causés par des règles économiques et commerciales préjudiciables). Un droit d'intervention gouvernemental que tous les pays jouissant d'un minimum d'indépendance se réservent dans ce genre de situation, mêmes chez les états-champions du libéralisme sauvage.
La crise financière actuelle illustre parfaitement ce état de fait, nombreux sont les pays occidentaux dans lesquels une multitude de mesures protectionnistes sont introduites pour leurs  propres intérêts, au mépris d'accords multilatéraux souvent contraignant, tels ceux liant la communauté européenne, par exemple.
Comment expliquer les déclarations faites par Nordin Grim, d'El Watan, (Lien) dans un article intitulé :
« Loi de finances complémentaire : Des conséquences désastreuses pour l’économie du pays»
«La loi de finances complémentaire pour l’année 2009 porte en elle de nombreuses dispositions visant à casser la dynamique d’ouverture économique et sociale lancée à la fin des années 1980.»
 -Quels arguments présente-t-il pour faire
un tel pronostique :
«Elle remet en cause des (1)principes fondamentaux de l’économie de marché comme l’autonomie de gestion des entreprises publiques économiques ayant le statut de société par actions (cas des banques auxquelles on interdit de pratiquer certaines formes de crédits), l’obligation de résultats (cas des EPE insolvables dissoutes que l’Etat a décidé de remettre sur selle) et la commercialité (cas de l’obligation de consommer en priorité des produits locaux sans référence au rapport qualité-prix). C’est toute la philosophie des réformes économiques(2) de 1988 qui est ainsi battue en brèche, déviant du coup le cap(3) de la transition à l’économie de marché.»

-(1)«Principes fondamentaux»? Des lois divines immuables ? Ou les règles dictées par la pègre juive et livrées pour consommation aux goyim crédules et idiots utiles sous forme de théories utopiques emballées dans les manuels pour retardés mentaux se réclamant des sciences économiques? Ou complices sponsorisés par les dirigeants du Nouvel Ordre Mondial? Ou des renégats mercenaires de la plume, de la trempe de certains de nos journalistes qui demeurent aveugles ou ferment les yeux devant le pillage orchestré par les banques et leurs succursales industrielles, le pouvoir économique et financier occulte qui dirigent le Monde sous couvert d'organisations douteuses mobilisées pour des objectifs prétendus humanitaires, fictifs et frauduleux ?
-(2)«Philosophie» ? Pourquoi pas dogme métaphysique préparant l'instauration de la dictature juive ? Ou doctrine religieuse prêchant la supériorité de la race juive et le droit de s'accaparer de la planète et de toutes ses richesses ?
-(3)«déviant du coup le cap» ? Sortir du droit chemin? Celui régi par les lois Talmudiques au détriment des goyim, leur réservant le droit de souffrir en silence de l'abus et du vol de leurs biens, au profit du peuple élu pour qui la rapine du goyim est kosher (licite) ? Une version talmude du "Tarik al Mustakim" ?
Notre "lumière éteinte" semble ignorer, ou intentionnellement occulter les méfaits de cette économie de marché, fondée sur un principe fondamental: la raison du plus fort et du plus puissant qui dicte aux faibles les règles du jeu, se réservant le privilège de les transgresser à volonté, selon ses caprices ou sa convenance personnel. Ce que nous recommande le traître est la soumission à cette tyrannie furtive et l'abandon de toute résistance ou initiative pour tenter d'éviter le traquenard que les prédateurs internationaux nous ont tendu. Soulignons pour rappel, la complicité des "réformateurs" de 1988 qui ont livré le pays aux FMI-Banque Mondiale !
«L’immobilisme qui a déjà fait beaucoup de mal à notre économie est, par conséquent, appelé à sévir encore plus, avec pour résultats de nets reculs en matière d’investissement, de croissance industrielle et d’approvisionnement des usines et des chantiers de construction.»  
Remarquez la technique d'ingénierie sociale, d'infusion de la crainte et d'injection de la panique, que notre scribouillard tente de transmettre au lecteur, manipulant ses émotions et omettant les arguments fiables qui l'informeraient. Vaine tentative de manipulation ! Qui dévoile la nature réelle des méthodes employées à travers ces analyses subjectives et irrationnelles vernies de "verbiage scientifique", pour s'introduire dans l'esprit du lecteur et y semer la peur et la confusion.  Consécutivement, pour le rendre émotionnellement vulnérable et apte au mécontentement, à la dissension et éventuellement à la révolte. Car il s'agit de créer le chaos social précédant l'ordre, le "Nouvel Ordre Mondial Juif" proclamé du haut des tribunes internationales par l'oligarchie qui dirige le Monde. (Lire la déclaration de D. Rockefeller,  ICI ou ICI ).
Quelques jours plus tard (08 Août 2009),  le ministre des finances, Karim Djoudi, répondit clairement aux dénigrements de la presse indépendante et des groupes d'intérêts étrangers qui avaient exprimé leurs
"préoccupations". (Consulter le lien).
Ell Watan ne s'est point rétracté ou corrigé. L'intox continue. Elle abordera d'autres sujets et tentera d'autres astuces. Nous en avons dénoncée une, celle de la campagne lancée par El Watan au profit du FMI qui tentait  une ingérence  (Lien) et (Lien).
Entre temps, la caravane passe. Et poursuivra son chemin, Incha Allah.

19 mars 2010

EL Watan-Supplément-Economie. Avocat du FMI ? Complice et Agent Subversif Qui Pue La Trahison.


Le supplément Hebdomadaire "Economie" d'El Watan, est révélateur de la ligne éditoriale de sa rédaction: une caisse de résonance des campagnes envahissantes, menaçantes et toujours paternalistes des FMI-BM.  Inlassablement, le quotidien harcèle son lectorat en ventilant les doléances des organismes financiers cités. Ne passe un jour, une publication, un article "d'expert" complice, sans que soient reportées les déclarations de DS Kahn  (FMI) , de R.Zoellick (BM), ou quelque autre obscure employé de ces organismes, avec les photos et posters de ces prédateurs talmudiens, brandis pour nous narguer de leur arrogante chupatz
L'attitude d'El Watan amalgame son  activité déclarée de journalisme "indépendant", avec celui de l'engagement doctrinaire au service du Nouvel Ordre Mondial. Cette posture soulève les questions capitales suivantes:
Pourquoi cette obstination ? Est-elle purement conjoncturelle ou partie intégrante d'une stratégie permanente dirigée de New-York et Washington par les deux institutions ? El Watan joue-t-il localement un rôle et  remplie-t-il une mission, au service des intérêts de ces empires financiers mondiaux ?
Les Algériens gardent le souvenir amer des politiques intolérables d'austérité qu'ils ont endurées sous l'inquisition financière de Michel Camdessus. Tous les experts indépendants dénoncent son œuvre destructrice de l'économie des pays endettés. Les études objectives et détaillées condamnent toutes, la cupidité et voracité insatiables des banquiers qui dirigent le pillage financier effectué sous la façade trompeuse "d'aide au développement", "coopération", ou autre euphémisme frauduleux. Administrateurs des relations monétaires  internationales et  des règles d'échange, les deux organisations sont motivées par le profit et le gain et aucuns scrupules ou éthiques ne les freinent dans la poursuite de leurs objectifs. 
Le vernis officiel qui les agrémente est un leurre que peu de gens perçoivent , et quand les experts avertis le découvrent , peu ont le courage d'exposer sa vraie nature. Il est inconcevable de la part des journalistes algériens spécialistes de la question de couvrir les méfaits de cette pègre de l'argent  après que l'Algérie ait enduré ses sévices et  son ingérence prédatrice.
Sans tarder examinons un exemple de la malveillance de plumes nocives qui s'évertuent à diffuser des concepts financiers erronés et frauduleux, gravement préjudiciables aux intérêts de ceux qui auraient l'imprudence de les assimiler ou de  les endosser.
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De manière suspecte, EW fait  fi de l'avertissement  de Nadjia Bouaricha dans une édition plus ancienne, datée du Mardi 16 mars 2007, «Le poids pesant du sur-endettement des ménages algériens.»
«Mais dans cette aubaine que constitue le crédit à la consommation, il y a le revers de la médaille, et c’est le sur-endettement. Les consommateurs se trouvent en proie à des charges de dépenses supplémentaires fragilisant leur capacité à faire face à différentes formes de dépenses quotidiennes. Pour l’achat d’une voiture ou d’un logement, le consommateur se voit tenu de rester endetté et son salaire partagé avec la banque prêteuse des années durant. La Banque d’Algérie estime à 40% le taux des crédits octroyés par les banques qui vont vers le crédit à la consommation. Plus de 200 milliards de dinars ont été injectés en 2006 dans le portefeuille des crédits au logement et à la consommation. Et dans ce magma de crédits, l’absence de mécanisme de protection des consommateurs risque de mettre les débiteurs dans une situation de surendettement, donc d’appauvrissement.»

«Le crédit à la consommation est l’attrape-nigaud de l’Algérien qui veut consommer in»

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Notre chambre de résonance titrait récemment (Lien): «Crédit à la consommation : Le FMI demande à l’Algérie de lever l’interdiction.» Le débat stérile sur la décision souveraine de l'Algérie est conduit par EW,  qui en spécialiste de la méthode Delphi, collabore avec l'avocat FMI et les faux témoins à charge dans sa plaidoirie en faveur des victimes, les banquiers philanthropes.
-Clore le débat, en soutenant l'abandon définitif des mesures gouvernementales de crédits à la consommation, volet  "véhicules particuliers" ? 
-Non EW s'y refuse!  EW revient à la charge et relance la polémique par la voix de son spécialiste de l'intrigue économique, El Kadi Ihsane.
(El Watan, 08Mars 2010) : «Comment, un jour, le crédit à la consommation sera rétabli ! » )
-Une idée fixe de l'auteur ? L'obsession du chercheur à résoudre une question d'ordre théorique ou pratique dont l"importance est cruciale pour l'avenir de l'Algérie, sinon de l'humanité ?
- Rien de tout celà ! L'auteur est un pantin actionné par la relance et l'insistance du FMI dans sa tentative d'écorcher une nouvelle victime au seul bénéfice des banques étrangères, avec qui le fond, partage les mêmes intérêts ! Les intérêts de qui ? De ceux qu'on nomment Banksters, un sobriquet dans le jargon anglophone, combinant,  "banker" et "gangster".
Un titre révélateur et qui démontre l'acharnement des pouvoirs (occultes) bancaires  à  renverser la décision souveraine algérienne d'abroger les "crédits à la consommation"  ce que Salah Mouhoubi, (édition du l'édition du 27 Février 2010 d'EW), avait modestement élucidé et clairement réfuté,  car les arguments du FMI (publiés avec sympathie par EW). 
étaient irrecevables. Selon lui : "Quant aux autres banques, dites algériennes à capitaux étrangers, ce sont, à mon avis, les établissements financiers qui ont profité le plus de ces crédits à la consommation." (Société Générale, BNP Paribas, etc...)
Observons par ailleurs  quelques commentaires de  l'ancien Senior Vice Président et Économiste en Chef de la Banque Mondiale, Joseph Stiglitz (Prix Nobel). Il est connu pour sa vision critique de la gestion de la mondialisation, des économistes du libre marché (qu'il appelle des «fondamentalistes du marché libre") et certaines institutions internationales comme le Fonds monétaire international et la Banque mondiale.:«Pour une majorité dans le monde la mondialisation telle qu'elle a été gérée ressemble à un pacte avec le diable. Quelques pays sont devenus plus riches. Les statistiques du PIB, pour ce qu'elles valent, rehaussent les apparences mais les modes de vie et les valeurs fondamentales sont menacées .... Ce n'est pas la façon dont elles devraient être.»
Ou : «Lors de sa réunion en Septembre à Singapour (2006), le FMI a reconnu les lacunes dans sa gouvernance (même si elle a sévèrement critiqué la gouvernance dans les pays en développement), et a donné plus de pouvoir de vote à quatre des plus sous-représentés des pays en développement.  Mais certains des défauts les plus importants existent toujours- les États-Unis reste le seul pays avec le droit de veto, la façon dont son directeur est choisi ne concorde pas avec les types de procédures démocratiques que nous tenons pour acquis dans nos propres démocraties, et il n'est toujours pas conformes aux principes de la transparence qui sont reconnus aux États-Unis, la Suède, et d'autres démocraties.»
El Kadi dans son apologie burlesque du FMI flatte..... la bienfaisance du fond :
«Le conseil d’administration du FMI est bienveillant avec l’Algérie. Il lui a recommandé très prudemment de rétablir le crédit à la consommation «lorsque la centrale des risques liée aux crédits aux particuliers deviendra opérationnelle ». 
«Motif : l’interdiction des prêts à la consommation constitue un obstacle au développement du secteur financier.»(sic. Le pillage serait selon lui une bénédiction dont nous prive la loi complémentaire.)

«L’argumentaire du ministre des Finances algérien aurait donc évoqué le risque de sur-endettement des ménages comme cause principale de l’interdiction. Tout le monde sait qu’il n’en est rien.»(Mensonge typique de l'analyse perfide qu'il distille. Les premiers à le savoir sont les consommateurs US qui sont tombés dans le traquenard du crédit attractif et démesuré. Leur famille règle la facture de leur folie.. Ils méditent leur malheurs dans les villes de toile (tentes) qu'ils occupent aux abords des mégapoles américaines !)

Les taux de recouvrement des banques en Algérie pour ce type de crédit sont les meilleurs en Méditerranée. (Raison supplémentaire qui aiguise l'appétit des banquiers, ceux qui commanditent notre scribouillard louche).
La vraie raison de l’interdiction du crédit à la consommation est irrationnelle. Comme la peur. La peur des déficits externes, par gonflement des importations en temps de reflux des recettes énergétiques. Une peur saisonnière.
(Très juste, car "qui a peur, vit en paix ". Notez l'incursion freudienne subversive  qui tente de défier l'orgueil des décideurs et provoquer un sursaut de courage ou de.....témérité. Enfantin ! Prudence et sagesse conviendraient mieux comme attributs. Qui devant le gouffre financier engloutissant récemment  les puissances financières de la planète ne serait pas appréhensif des risques  encourus par la poursuite de mesures hasardeuses ?)


«Qui va passer, avec le retour du baril à 100 dollars »( prévision ou  prophétie ? )

«La plupart des décisions de politiques économiques sont prises sur ce modèle univoque. Un risque, une riposte. Dans le cas des prêts à l’importation, les effets collatéraux n’ont jamais été examinés. Ils sont très certainement de plus d’impact que du seul effet restrictif sur les seules importations. Un exemple, l’arrêt du développement des réseaux bancaires (les prédateurs) à cause d’un plan d’affaires sabré. Un autre exemple, la sanction contre les producteurs locaux de biens électroniques et électroménagers, de meubles et de toutes sortes de produits dont la commercialisation a bénéficié ces dernières années du coup de pouce du crédit à la consommation. Un troisième exemple, le sentiment d’appauvrissement des couches moyennes qui ont commencé à s’équiper à crédit, notamment en voitures, et qui subitement réalisent qu’elles ne peuvent plus anticiper l’amélioration prévue de leurs revenus. La détermination des enseignants, mais aussi des médecins, à voir immédiatement des rattrapages conséquents sur leurs fiches de paie, pourrait bien illustrer les effets inattendus de la décision hystérique du mois d’août 2009. Comme cela est de coutume, les effets indésirables imposent leurs nuisances. Et le gouvernement recule. Plutôt tard que tôt. Scénario en lice déjà. Le ministre des Finances a admis, après la recommandation du FMI, que l’Algérie "aura à apprécier cette demande " de revoir sa décision au sujet des crédits à la consommation. »
«Mais quel est donc ce développement du secteur financier que veut préserver le FMI à travers sa recommandation ?»
«Ce n’est plus une priorité du gouvernement. Ni même d’ailleurs de la banque d’Algérie qui met en moyenne plus de six mois pour délivrer l’agrément d’une nouvelle agence bancaire après visite des locaux, comme si les extensions de réseau – notamment des banques privées – lui donnait plus de tracas.» 
 (la juste mesure, serait qu'elle mette 60 ans avant de la délivrer. 
Ce naif El Kadi serait-il victime du FMI, le maître chanteur institutionnalisé de la planète ?  Ou lui verse-t-il des primes pour ces exercices de voltige  intellectuelle et ses débordements lacrymaux   ?)

L’agence d’El Koléa de Société Générale Algérie a attendu de janvier 2009 à janvier 2010 son agrément bancaire. Tout était prêt, les locaux et les équipements bien sûr, mais aussi, les équipes et les produits. Un an de jachère pour cause administratif. Et c’est ainsi partout. (Arrêtez le, il vas nous faire chialer !)

«L’Algérie était, en 2009, classée au 135e rang planétaire par la Banque mondiale en matière d’attribution des crédits. Cela ne s’améliorera pas en 2010. Même si le crédit immobilier à taux 1% déboule dans le paysage.»( Mais c'est le plus important, aveugle ! La construction est stimulée et l'économie tourne à plein rendement
Ce qui n'est pas le cas pour les voitures, un produit fini. Dont le commerce de bazar génère peu ou presque pas d'emplois et n'est pas un investissement physique productif. Les usines de montage, le vrai investissement, la France les a réservées à ses....colonies.)

«Pourquoi ? Parce que le Premier ministre n’est pas intimement convaincu qu’il doit soutenir la demande solvable par le crédit. Pourquoi ? Parce qu’il ne sait pas très bien ou va aller l’argent qu’il va prêter aux Algériens. L’offre de produits locaux ne décolle pas. Ce sont les importations qui vont en profiter. Eternel cycle malthusien.» (Erreur ! C'est la fin du pillage camouflé et du détournement de ressources au dépens de l'économie nationale,  vers l'étranger via les importation et les profits exorbitants de l'usurerie !)

 «Nous ne savons pas élargir l’offre de produit, mais nous savons réduire les importations.»( parce que nous sommes maîtres chez nous et avons nos priorités  !)

«Le crédit à la consommation sera rétabli un jour.» (Non ! Et qu'ils cessent de nous harasser , lui et son employeur de l'ombre. L'opportunité pour monter nos véhicules ici, n'a jamais été aussi propice).

 «Avant même que la centrale des risques ne soit mise en place. Inutile d’en chercher la raison. Elle sera tout aussi irrationnelle.» (Irrationnelle ? Oui, après la vague de désinformation  qui a ciblé l'opinion, heureusement sans résultat.  Mais pas plus dangereuse que la campagne d'intox des idiots de service, du FMI, qui en d'autres lieux seraient  passible d'exécution, pour.....haute trahison. Pour preuve la
Définition: Crime consistant à entretenir des relations coupables avec une puissance étrangère ou ennemie;  Action de trahir en trompant la confiance de quelqu'un, en manquant à la foi donnée à quelqu'un, à la solidarité envers quelqu'un; résultat de cette action.  Action de trahir en livrant ou en abandonnant une personne, une collectivité. Action de ne pas traduire fidèlement, de déformer, de dénaturer quelque chose. )
  Rappel solennel , en ce 19 mars 2010, de l'ère des Harkis, tenant leur fusil aux poings. Ceux brandissant une plume empoisonnée ouvre un nouveau cycle de trahison au service d'intérêts douteux.
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Dans Supplément-Economie d'El-Watan du15 Mars 2010:
«Lutte anti-corruption en Afrique : le FMI propose son aide».
 N'en croyez pas un mot ! Cette annonce publicitaire doit être un poisson d'Avril, avant terme !
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16 mars 2010

Banques, FMI et BM: Les Sévices Du Cartel Financier Ménent Les Nations A La Faillite.

En introduction, un article d'Ellen Brown, August 17th, 2009 (www.webofdebt.com/), nous aidera à pénétrer dans le vif du sujet, car il aborde parfaitement la problématique du rôle dévastateur des banques sur toute économie qui subit la pression de leur pouvoir coercitif de domination et de contrôle. Les banques centrales en particulier, disposent de prérogatives déléguées par les institutions politiques nationales (sénat, assemblée, gouvernement). Ces autorités ignorantes ou complices, ont transféré aux banques privées  (Federal Reserve System aux USA) la fonction de création de la monnaie,  la fameuse "planche à billets". Le système financier du monde capitaliste occidental, pays après pays, est en fait contrôlé, exploité, drainé de son sang et  frustré du fruit de son labeur par les banques "centrales". Ces vampires insatiables qui, derrière le subterfuge de "nationale", "fédérale", "centrale",  sont toutes privées et monopolisées par quelques familles transnationales, à leur tête les Rothschild . Au grand étonnement peut être de la grande majorité des citoyens du "monde libre", qui découvrent ce paradoxe, la vérité est que les banquiers juifs sionistes dissimulent du grand public, avec la complicité des média et des autorités de l'éducation et des historiens "officiels" cette réalité. Cette fraude a fini par être mondialement dévoilée, et ses implications analysées et vulgarisées,  avec l'avènement de la toile, l'internet qui a permis à tant de chercheurs et d'économistes de publier leurs travaux, souvent encyclopédiques sur le paradigme du cartel privé des banques. Les organismes "administratifs", le Fond Monétaire International, la Banque of International Settlements, la Banque Mondiale, qui coordonnent les travaux et les activités communes, et régularisent les relations et les échanges entre les banques nationales à l'échelle planétaire, ont été conçus et fonctionnent selon les mêmes attributs que les entreprises commerciales. L'usurerie, pure et dure, dépouillée de toute considération humanitaire, sentimentale ou émotionnelle, est l'arme du pillage des nations et le meilleur agent destructeur des peuples, qui ouvre la voie vers la ruine et l'endettement. Endettement brandie comme moyen de chantage et de "saisie par huissier"de l'indépendance des états qui s'exposent au diktat impitoyable des banques. Dans ce contexte de l'endettement, les banques, à leur tête le FMI ("l'huissier"), prennent les rênes de la gouvernance et dictent les mesures économiques, financières, sociales, budgétaires, et imposent les changements politiques touchant toutes les centres d'intérêt administrés par les représentants du peuple. 
La corruption et la complicité des gouvernants est une autre facette de ce phénomène complexe de pillage des nations et la littérature en fourni des études détaillées. La nébuleuse internationale dirigée par le tyran Rothschild est la source de tous les maux majeurs de l'humanité et des malheurs endurés par les peuples, à travers les ravages des crises économiques , des guerres régionales géographiquement limitées dans l'espace ou celles déclenchées à l'échelle mondiale.
Heureux ceux qui parviennent à s'extirper des serres des banquiers-rapaces, et malheur à ceux qui prêtent leur flanc à leurs manigances. L'Histoire est riche d'exemples de nations ayant succombé à la voracité des prédateurs financiers, les  "shylock" qui depuis Venise du 15em-siècle ont tendu cet immense filet comme traquenard aux tentations financières des nations et des peuples qui optent pour ce mode de financement, usurier, de leur développement, mais s'enlisent dans le marécage de la dette.
Dernièrement, la crise financière, crise du crédit, a mis à nu les dangers que les nations encourent une fois attelées au système fondé essentiellement sur l'usurerie bancaire. L'Islande, la Lettonie, la Grèce, l'Irlande, et sur leurs traces le Portugal, l'Espagne, l'Italie s'acheminent vers la catastrophe. Les autres grandes puissances économiques, ont depuis 2008
enjambé la spirale meurtrière du chômage et de la récession économique. Quelques soient les explications apportées aux causes du crash (les multiples "bulles") le doigt dénonciateur n'est jamais pointé vers la cause principale: l'usurerie chère aux maîtres de l'intrigue, les éternels Shylock, les banquiers juifs, tirant toujours leur épingle du jeu et les marrons du feu.
Une exception majeure semble être exemplifiée par le cas de la Chine. Comment et pourquoi ?
L'article d'Ellen Brown, (www.webofdebt.com/), semble élucidé cette "énigme financière ", si le terme est exact, dont extrait ci-dessus :
  
«Tandis que les États-Unis dépensent des trillions des dollars pour amortir l'impact des revers de son système bancaire, laissant son économie languir, la Chine est elle qualifiée « d'économie miracle » qui s'est distancée du reste du monde. Pendant que le reste du monde descend dans la pire récession depuis les années 30, la Chine a elle maintenu un taux de croissance annuel phénoménal de 8%. Tels sont les rapports, mais les commentateurs sont mitigés. Ils se demandent comment une telle croissance demeure possible, quand d'autres pays orientés fortement vers l'exportation ont souffert des réductions importantes, et stagnent dans le marasme .»
«L'économiste Richard Wolff observe avec scepticisme :
Nous avons maintenant une situation dans le monde nous avons une crise capitaliste globale. Partout, la consommation est en baisse. Partout, les gens achètent moins, y compris des produits de Chine. Comment est-il possible que dans cette société, tant dépendante de l'économie mondiale,  pourrait-on maintenant enregistrer une croissance explosive ? Leur marché boursier est maintenant 100 % supérieur à son seuil historique --aucun pays au monde n'espérerait même de loin approcher ces performances. Certainement pas les États-Unis ou  l'Europe. Comment est-ce possible ? Afin de croire ce que les Chinois disent, vous devriez convenir que dans un intervalle de quelques mois, tout au plus une année, ils ont pu transformer leur économie d'une puissance basée sur l'exportation, en un moteur industriel focalisé domestiquement . Ailleurs, ce recyclage aurait pris des décennies. »
 «Comment le plan de la Chine de relance économique peut-il fonctionner aussi bien, quand le nôtre fonctionne presque pas du tout ? La réponse est peut être simple : La Chine n'a pas laissé son système bancaire fonctionné au dépens de son économie physique productive. Les banques chinoises s'activent au service des particuliers, non l'inverse. Ce qu'a déclaré Samah EL-Shahat, une journaliste sur le site de la chaîne anglaise d'Al Jazeera. A propos, elle détient un doctorat en sciences économiques, de l'Université de Londres.»
  «Dans un article du 10 août intitulé " la Chine privilège les particuliers, avant les banques".»
Elle écrit :
« La Chine est une économie où  n'existe essentiellement pas de clivage - la dichotomie entre son secteur financier d'une part, et le monde du commun des particuliers, du peuple chinois  et de ses entreprises, d'autre part. Les deux secteurs sont en pleine croissance grâce à la manière dont le gouvernement a géré ses banques. La Chine n'a pas permis à son secteur bancaire de devenir puissant, influent, et gigantesque, au point qu'il contrôle ou détourne les budgets de la relance économique. En termes simples, le gouvernement a préféré répondre à ses citoyens et placer leurs intérêts en premier, avant ceux de tout autre acteur économique et financier concerné ou de quelconque groupe. Et c'est pourquoi les banques chinoises prêtent (crédit disponible) à un nombre record de particuliers et d'entreprise. »

«Ce que Wolff appelle « la crise capitaliste globale » est réellement une crise du crédit ; et en Chine, à la différence des États-Unis, le crédit a circulé librement, pas simplement dans le secteur financier mais dans l'industrie et le gouvernement local. Les banques nationalisées ont massivement augmenté les prêts, avec les gouvernements locaux et les entreprises publiques empruntant à grande échelle. La Banque Populaire de Chine estime que les prêts totaux pour la première moitié de 2009 étaient de $1,08 trillions, 50% supérieur au volume des crédits des banques chinoises émis durant toute l'année 2008. La Federal Reserve aux États-Unis  s'est également engagée à émettre un niveau record de prêts, mais ses prêts sont allés principalement pour renflouer le secteur financier lui-même, laissant Main Street (les secteurs productifs et commerciaux) sèche et à quai .»
« Au Royaume Uni et aux Etats-Unis, le secteur financier est en plein boom, alors que le monde des particuliers semble aller de pire en pire; le taux de chômage grimpe; les entreprises se rétrécissent et les saisies immobilières sont couramment effectuées. Wall Street et Main Street semblent être situées sur deux planètes différentes. Ceci est en grande partie dû au fait que les banques ne prêtent toujours pas aux particuliers . Dans ces deux pays, les banques ont saisi tout l'argent des contribuables et celui ,à bon marché, de soutien des banques centrales. Elles l'emploient pour apurer et assainir leurs bilans plutôt que de le prêter aux particuliers. L'argent a été détourné par les banques, et nos gouvernements ne font absolument rien pour y remédier. En fait, ils ont été complices, en permettant à ce détournement de se produire. »
 Dans cette comparaison Chine-Occident il est bon de retenir l'importance du secteur bancaire dans la politique de développement national aussi longtemps que l'état contrôle cet outil financier et le met au service de la communauté, et non le contraire. Pour une meilleure vision du contexte algérien il est clair que la politique adoptée par le gouvernement est judicieuse malgré ses revers au niveau des lourdeurs des mécanismes de gestion qui demeurent perfectibles, carence qui n'est pas insurmontable. Par contre l'intrusion des prédateurs réunis autour des banques françaises qui vantent les mérites de leur venue en Algérie et les sacrifices qu'elles acceptent à cause des imperfections du marché et du système bancaire, n'est qu'un conte imaginaire pour enfant. La vérité est que leur présence cible la razzia financière, prenant par surprise les consommateurs innocents et inexpérimentés. Le crédit d'achat par facilité de véhicules (biens périssables engendrant des coûts d'entretien supplémentaires) occulte les dangers menaçant le client. Souvent, l'endettement excessif dépassent ses moyens de remboursement, même lorsque ces opérations sont subventionnées par l'état (qui pire encore provoque une double hémorragies financière, au profit de la banque étrangère et du constructeur de voiture étranger) mais parce qu'il détourne au dépens d'autres secteurs de l'économie, des ressources précieuses, ce qui risque de freiner leur développement. Ainsi il en va de l'agriculture (qui est primordiale et prioritaire) mais aussi du bâtiment, des investissements dans les transport (biens d'équipement, réseaux ferroviaires et voies routières). L'arrêt des subventions de l'État à l'achat, a par conséquence ralentie l'importation de véhicules.  D'où le tollé général des "partenaires" économiques affectés par ces décisions, principalement la France par sa position prépondérante dans ce marché et son paternalisme chronique, qui a réagi violemment et mobilisé son appareil de désinformation, dont les média locaux (cf les réactions d'El Watan ci dessus), pour tenter d'annuler les mesures décrétées par la loi complémentaire des finances 2009.)
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Il faut admettre que ses premières réactions, dans son éditorial quotidien ou son supplément économique hebdo sont mitigées et semblent traverser deux phases distinctes. La 1ère, réconforte les positions françaises en avançant les reproches du FMI comme argument  la justesse des doléances françaises exigeant presque un revirement de l'Algérie et l'abrogation de la loi des finances relative à l'arrêt des subventions d'achat de véhicules. Un extrait du 25.02.2010 (Lien), frôle le ridicule par son engagement au profit des Renault-Peugeot formulé par leur associé au FMI, le Français DSK,
une icône médiatique adulée d'El Watan. Ou le cousin lointain d'un de ses rédacteurs ? El Watan criant au loup ? Illustration :
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Crédit à la consommation : Le FMI demande à l'Algérie de lever l'interdiction 
Crédit à la consommation : Le FMI demande à l’Algérie de lever l’interdiction.
Le Fonds monétaire international (FMI) a réagi, hier, à la décision du gouvernement algérien d’annuler les crédits à la consommation, comprise dans le texte de la loi de finances complémentaire 2009.
 Notez le regard menaçant de notre  Jacob Casanova du FMI.
Terrifiant !
El Watan est décidément passé maître dans l'art de la manipulation graphique. Il ne lui manque que l'audio, et les studios d'Hollywood déposeraient bilan !
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 Durant la 1ère phase, El Watan prend la tangente de la collaboration active avec les forces étrangères (ennemies d'hier). Une coutume que je ne cesse de dénoncer par mes modestes articles, qui j'espère finiront par trouver un jour un écho parmi les internautes avertis, ceux qui souhaitent s'éduquer et pas seulement tuer le temps en "navigant".
Dans une deuxième phase EW semble se ressaisir, craignant de s'être trop engagé et avoir dévoilé son parti pris (passible de condamnation à mort pour haute trahison). Sa rédaction décide de tempérer son enthousiasme pour la défense des intérêts rothschildiens. Car il s'agit bien d'eux, par le biais de BNP ou Société Générale, les banques se sucrant dans l'opération de pillage "achat de véhicules".
Et bien sûr, grâce à leurs ramifications dans l'automobile "made in France".
A ce stade des événements, EW offre la parole à un économiste et universitaire, Salah Mouhoubi (Article à lire, très sobre et réconfortant) et  qui étonne par sa clairvoyance et sa perspicacité, qui  réfute la ligne éditoriale coutumière et suspecte . Le journaliste enregistrant l'interview doit avoir été sanctionné par l'amputation d'un mois de salaire au moins, pour la bévue qu'il a commise.
Un extrait de l'interview de Monsieur Mihoubi :
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Salah Mouhoubi. Économiste et universitaire : « L’Algérie n’a pas à tenir compte de la suggestion du FMI sur les crédits à la consommation »


- Le Fonds monétaire international (FMI) a suggéré à l’Algérie de lever l’interdiction des crédits à la consommation, une décision comprise dans la loi de finances complémentaire 2009. Le FMI estime que cette interdiction constitue un obstacle potentiel au développement du secteur financier. Quel est votre avis à ce sujet ?
«Je trouve que la sortie des administrateurs du FMI très surprenante car le crédit à la consommation n’a jamais porté préjudice aux banques algériennes à capitaux nationaux puisque celles-ci disposent de suffisamment de liquidités pour le financement des crédits à la consommation. Quant aux autres banques, dites algériennes à capitaux étrangers, ce sont, à mon avis, les établissements financiers qui ont profité le plus de ces crédits à la consommation. La décision du gouvernement algérien d’annuler cette grille de crédits est motivée par le souci de préserver l’équilibre de la balance commerciale. Ainsi, demander à l’Algérie de lever cette interdiction qui a pour objectif de préserver la balance commerciale serait donc contraire aux fondements de la charte du FMI. Cette institution devrait être la première à soutenir les décisions allant dans le sens de consolider l’économie de tel ou tel pays par, à titre d’exemple, la préservation de l’équilibre budgétaire de sa balance de paiement ou de la balance commerciale.»
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Évidemment l'universitaire ne s'engage pas dans les avenues à risques intellectuels et médicaux causés par les théories de la conspiration, mais donne une analyse cohérente et objective qui présente un argument justificatif appuyant les mesures préventives du gouvernement algérien , sur le plan de la logique économique et du bon calcul d'épicier.