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13 janv. 2019

Nationalisation du cheptel : le crime économique était parfait. Les séquelles sont d'actualité.




Le crime économique était parfait : la nationalisation du cheptel dans le cadre de la révolution agraire !
Si les décisions de Boukharouba n'étaient pas du sabotage prémédité, je ne crains pas d'affirmer qu'il faudrait rappeler la France en Algérie, sa politique économique était plus judicieuse et rationnelle que celle du socialisme scélérat.
Quand aux Chouhadas trahis, leur combat et leurs espoirs pour la justice et la dignité bafoués !
ARRIVE UN JOUR LA CALAMITÉ ET LE DÉSASTRE NATIONAL : L'ARROGANT MÉGALOMANE, LE ZAIM DU SOCIALISME ! LA VOIX MENAÇANTE ENVERS CES TRAVAILLEURS INLASSABLES, PRODUCTEURS DE RICHESSE, IL LES DIFFAME ET LES ACCUSE DE RÉACTIONNAIRES, DE TOUS LES NOMS ET DÉLITS SANCTIONNÉS PAR SA LOI TYRANNIQUE, ET SANS SOURCILLER, SANS HONTE, DÉCRÈTE LA CONFISCATION DE LEUR BIENS, LEUR PROPRIÉTÉ PRIVÉE HONNÊTEMENT ACQUISE. DU MÊME COUP DÉTRUISANT TOUTE UNE CLASSE SOCIALE PRODUCTRICE IMPORTANTE.
L'ÉCHELLE DES LOIS RÉGISSANT LE MONDE, LES VALEURS RELIGIEUSES, LE MÉRITE SOCIAL ET ÉCONOMIQUE, LE TRAVAIL LÉGAL, LES TRADITIONS, LES RESSOURCES NATIONALES, ÉTAIENT INVERSÉS.
LE HALLAL DEVIENT HARAM, ET VICE VERSA !
Note : Les éleveurs d'ovins (moutons) possédant des troupeaux de plusieurs centaines, à plusieurs milliers de bêtes reçurent le verdict "révolutionnaire " de plein fouet, sonnés, désespérés par l'annonce télévisée du Zaim !
Il y a de quoi écrire des études vomumineuses sur l'histoire économique, les chroniques et caractéristiques de l'élevage du mouton en Algérie. Un monde et un espace humain singulier qui avaient permis à la population de nombreuses régions de survivre à la disette imposée par le colonisateur, et un moyen de survie économique.
DANS CE CAS SEULEMENT, le colonisateur était indulgent, adoptait une attitude conciliante envers l'éleveur algérien pour s'assurer le transfert vers la France de bateaux entiers de moutons, dont la viande de qualité avait acquis une réputation internationale.
Il faut souligner qu'un cheptel de taille importante est le fruit d'un labeur très exigeant, pénible, rude, souvent chevauchant plusieurs générations, raison pour laquelle le colon français ne s'y était pas engagé, réservant cette profession ingrate aux "arabes".

Les conséquence de cette nationalisation sont innombrables, et d'actualité (aujourd'hui même, le coût des viandes).
Mais la plus pénalisante fut dans les mois qui suivirent l'exportation anarchique incontrôlée, un transfert non déclaré effectué discrètement aux frontières, et une perte sèche pour le pays, d'un nombre (estimé par des études d'évaluation sérieuses) à 11 Millions de têtes d'ovins, vers le Maroc et la Tunisie ! Que seraient ces 11 millions aujourd'hui ? 100 millions ? Sans aucun doute en nombre appréciable et nous plaçant dans le rang des grands exportateurs de viande, pas l'inverse .....d'importateur !