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2 avr. 2015

France : les Français croient vivre dans un pays libre. On leur dit simplement qu'ils sont libres, et ils croient qu'ils le sont !



COUNTERPUNCH.
«Si vous pensez que la France n'est pas un état de police, autant que le Royaume-Uni ou les États-Unis, réfléchissez deux fois. Policiers et militaires lourdement armés sont visibles dans toutes les stations de train et à de nombreux carrefours, même dans les ruelles étroites. Les fournisseurs d'accès Internet espionnent ouvertement leurs clients. Les médias de masse auto-censurent leurs éditoriaux. La propagande du régime roule à "vitesse maximale".
"Mais le peuple de France, du moins la grande majorité d'entre eux, croient qu'ils vivent dans un pays libre et ouvert. Ils ne peuvent pas prouver que leur "société est libre et démocratique ", ils n'ont aucun d'argument. On leur dit simplement qu'ils sont libres, et ils croient qu'ils le sont !"


La France débat de rendre illicite les "théories du complot» par décret gouvernemental.
Les élites politiques et les super-bureaucrates sont inquiets. Il devient plus difficile de contrôler la réalité consensuelle.
Une Histoire brodée de mensonges et de dissimulations, d'assassinats politiques, de duperie sous faux drapeau du revers de la main , les sociétés secrètes, les double loyauté, et fortunes mal acquises - ce qui aurait été le privilège des élites au pouvoir depuis des siècles.
....Bien que la France ait pris l'initiative dans cet effort inter-gouvernementale, l'assaut préliminaire a commencé l'automne dernier avec le Premier ministre britannique David Cameron annonçant publiquement à deux reprises, que tous ces soi-disant «théories du complot» (ce qui remet en cause l'orthodoxie officielle) devraient être considérées comme «extrémiste» et équivalant à «terroristes» et devraient être expurgées de la société pour des raisons de «sécurité nationale». Le premier assaut est venu avec le discours équivoque de Cameron à l'ONU, et par la suite, une charge similaire était faite par le leader du Royaume-Uni contre quiconque oserait avancer la question de la pédophilie institutionnelle et la maltraitance des enfants.