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4 févr. 2014

Algérie : Élections Et Machinations Sous La Conduite De La Nébuleuse Subversive.

Une situation alarmante pour tous, sans distinction géographique. Une machination planétaire en cours est occultée volontairement ici en Algérie par les suppôts médiatiques du NOM juif et les analystes/experts faussaires, plus particulièrement ceux "experts en stratégie" (de l'intox) ! Le sujet étant trop brûlant pour leur minable stature d'hommes de main astreints aux basses besognes et trop compromettant pour leur renommée certifiée Kasher par les organes de propagande talmude. Plus prolifiques dans leurs écrits pour diffamer Boutéflika, un président trop indulgent envers eux et qu'ils trouvent comme cible facile pour leur diatribe et leurs insinuations outrageuses, affaibli qu'il est par ses problèmes de santé et les coups bas d'agents subversifs du "système" (franc-maçonnerie !), celui hérité de la gabegie du socialisme gérée par la nomenklatura "révolutionnaire" (maçonnique !). Le Président garde cependant l'esprit toujours aussi vif face aux défis de l'heure et des dangers insoupçonnés, car imperceptibles à la populace (regrettablement ingrate) qui vague paisiblement à ses occupations, profitant de la stabilité du pays après un retour à la normale  dans l'ensemble de la société. Le luxe de la paix et de la sécurité a été accordé au pays dans un monde où
- la violence de la guerre fait rage;
- les conflits fratricides se multiplient;
- les troubles sociaux s'accentuent;
- les agressions étrangères légalisées par décisions de l'ONU se multiplient;
- les maladies sont propagées, par vaccination, par l'émission d'ondes électromagnétiques (téléphonie mobile, wifi, 3G, etc...):
- la famine s'aggrave, provoquée par la destruction programmée de l'agriculture (ex : OGM aux mains des multinationales);
- le climat est perturbé par la manipulation de champ électro-magnétiques dans l'atmosphère ( HAARP);
- le trafic des stupéfiants (géré par des armées secrètes, CIA entre autres) ruinant la vie de millions d'innocents;
- les crises économiques et financières orchestrées de Wall Street et de la City s'intensifient, répandant la précarité, le chômage, et le désespoir sociale;
- l'endettement des nations pénalise les populations, dont le standard de vie stagne en dessous du seuil de subsistance à cause du pillage de leurs moyens de paiement;
- et combien d'autres calamités dont certaines semblent par miracle épargner ce pays. Rien n'est le fait du hasard, seule une gouvernance éclairée nous permet de jouir des bienfaits de la quiétude dans un monde en ébullition. Souvenons-nous des "années noires", perçu aujourd'hui comme un cauchemar grâce à l'initiative de la charte de la réconciliation nationale, ceci pendant que d'autres pays s'enlisent dans la guerre civile et endurent le terrorisme "internationalisé" financé par les pétrodollars et armé par Israël et ses proxies. Cette mesure n'a-t-elle pas permis à de nombreux marchands d'alphabet de quitter leur exile européen (doré) et de regagner leur pays d'origine ?
Ils accourent aujourd'hui en masse, comme des charognards à l'odeur du sang, ou des convoiteux à la recherche de gains.  Les prochaines élections présidentielles sont l'occasion d'agissements suspects :
- lancer des polémiques stériles, 
- appuyer la candidature d'éternels opportunistes,
- de désolidariser l'opinion et 
- se présenter en justiciers du peuple et avocats de la démocratie. 
Parmi eux des agents de Rothschild, dissimulés derrière des CV d'experts économiques et financiers, à la réputation blanchie par les acclamations des rédactions complices de la presse mercenaire, sont ou ont été des employés du FMI et de la Banque Mondiale qui organisèrent  la débâcle financière des décades 70-80-90, et enfoncèrent le pays dans l'endettement. Ils  ont changé d'habit et revêtu les robes de magistrat luttant contre.....la corruption. 
Benbitour, Hidouci, Hadj Nacer, Ghozali, Benouari, les complices des banquiers qui nous prirent à la gorge et nous imposèrent la disette, le manque de médicaments, le chômage, la privatisation sauvage, la hausse vertigineuse des prix et même la suppression des repas dans les cantines scolaires !
  Un d'entre eux, Dr Benbitour promet de régler tous les problèmes de l'Algérie en quatre ans , un lapsus qui met à nu son mépris du peuple et de l'opinion, sa mauvaise foi, en recourant au mensonge et à la démagogie pour abuser les naïfs algériens qui le jugeraient "éligible". 
Ce qui n'apparait pas dans leurs exposés pédants est un avertissement à la nation sur les graves périls qui menacent le pays. Ils occultent les dangers réels et soutenus tout au long de l'histoire moderne qui prennent source dans les manigances mondialistes élaborées succinctement par les Rothschild et leur cour d'Illuminatis qui dirigent Israël, l'agent juif confident des plans secrets dictés dans les "Protocoles". 
 Exemple : «Israél et les hydrocarbures
La guerre des hydrocarbures qui assombrit l'horizon n'est pas abordée par nos "experts", le sujet étant tabou dans la terminologie de l'opposition sous toutes ses formes, politique, médiatique, partisane, économique. 
L'offensive généralisée de la subversion est dirigée contre le gouvernance actuelle, pour détruire la cohésion sociale naissante, le patriotisme retrouvé, l'unité territoriale, l'identité nationale. Elle invente des disparités raciales ne s'appuyant sur aucune justification ou évidence historique ou anthropologique. Les revendications culturelles légitimes sont détournées de leur objectif d'enrichissement civilisationnel et canalisées dans les revendications identitaires politiques racistes et sécessionnistes. La densification des projets économiques à caractère social ou étendant l'infrastructure physique et toutes les mesures qui tendent à unir les algériens dans un projet nationaliste pragmatique libéré de toute utopie idéologique ou économique est sans cesse dénigrée sous prétexte qu'elle engendre la corruption. La corruption qui mine d'autres secteurs n'est pas abordée avec l'idée de la combattre, car ces mêmes donneurs de leçons, ont tous trempés dans le pillage qui s'opérait lors de leur participation aux gouvernements d'alors (avant 1999) !
Pour les média qui harcèlent Bouteflika sur le sujet de la corruption, leurs directeurs ou actionnaires faisaient hier partie des fortunés et apparatchiks. O.Belhouchet, M. Benchicou, respectivement directeurs d'El-Watan et Le Matin respectivement, mouches attirées par la puanteur de la fraude bancaire Khalifa et rejoignant la troupe de conseillers attachés au service de Abdelmounen en participant au lancement de Khalifa-TV!
Pris une par une, les grosses gueules qui vilipendent la gouvernance Bouteflika et l'accusent de négligence pour les "affaires" de corruption, peuvent sans l'ombre d'un doute être associées à de nombreuses opérations de détournements et d'abus de biens publiques, opérations ayant échappées à toute publicité, car en ces temps de gabegie socialiste, les voleurs n'avaient aucun besoin de voler, ils se "servaient". Les banques publiques étaient à leur service, le Finnex (finance extérieure) délivrait des autorisations de transferts de devises à tour de bras sur les comptes de la banque extérieure, et des retraits à "Expansial" (Genève et Paris), un organisme parallèle occulte inventé par Boukharouba, Abdeslam, et Ghozali pour gérer les recettes de SONATRACH !    
Quand aux média :
Qu'importe le mensonge, l'arme de prédilection des journalistes des média harkis qui ont enterré les règles minimales de déontologie et se sont transformés en véhicules de la rumeur et du ragot, en serviles chambres de résonance de la désinformation juive (le Monde, AFP, TV5, Le Point, Le Figaro, L'Express). Un nombre important de leurs journalistes (El Watan, Focus-Algérie, Le Matin, etc..) sont les correspondants en Algérie des média juifs. Comment peut-on leur accorder le moindre crédit de neutralité journalistique, d'objectivité, d'intégrité et encore moins de patriotisme ? Qu'ils ne nous bernent pas avec leurs lamentations sur la "corruption", "la liberté d'expression", "la démocratie", "les droits de l'homme", ces abstractions sont des prétextes. cette vermine n'a aucune attache avec ce pays, ni avec ses valeurs et les convictions de son peuple, encore moins avec l'Islam ! La plus part bénéficient de la complicité des réseaux juifs de France et de la double nationalité ! 
Pire, que penser de cette opposition qui s'est saisie du crachoir et créneau du discours politique et prône les oxymores "changement" (en direction de l'inconnu), alternance, rajeunissement du gouvernement, et autres balivernes, ceci via les média "indépendants" partisans et militants des objectifs mondialistes (NOM Talmude) : laïcité, regroupement régional (Maghreb/ Méditer.), et adhésion à l'OMC ?
Remarque :
La Chine qui a pris la direction du monde, doit son avancée au patriotisme de ses dirigeants dont la moyenne d'âge était (très récemment) de 70 ans !
Un rajeunissement marginal a lieu après que des nouveaux cadres compétents aient été formés, et l'âge de leur retraite est 68 ans. 
Combien de compétences algériennes sont mises en hibernation à 60 ans ! Constat navrant inférant la question : «de quelles compétences politiques dispose l'Algérie, compétences aptes à reprendre le flambeau du nationalisme/patriotisme ? »
En 1999, Bouteflika avait tendu la main à tous et s'était déclaré près à collaborer avec les bonnes volontés pour redresser le pays. Quelques uns avaient répondu positivement, hélas par calcul et par ambition.
La majorité avait décliné l'offre et s'était réfugiée dans l'obstruction ou en spectateurs narquois étaient dans l'expectative de l'échec de sa mission. La tâche était alors tellement gigantesque et les moyens si limités.
Quels "candidats" à la transition/ changement
 - Pas ceux prêchant ...la laïcité. Ali Benouari un candidat pour la laïcité, la liberté de conscience, suivra bientôt le soutien aux LGBT !  
Ainsi Maghrebémergent "(Lien) l'encense :  «..dans le gouvernement de Réda MALEK qui lui a déclaré : « vous m’avez convaincu » au terme d’une réunion ministérielle qui devait décider du rééchelonnement de la dette extérieure algérienne (le piège talmude) dont il était l’avocat le plus fervent. Son deuxième retour en Algérie lui a permis de créer, au titre d’actionnaire et de dirigeant, la première banque privée du pays en association avec un partenaire comme la Société Générale (pure kasher), ce qui renseigne surement sur son degré de crédibilité.(SIC -sonne comme nuisibilité)»
Ce "libéral" produit de la forfaiture juive du libéralisme économique ravageur, repu d'usure bancaire et courtier convaincu de sa banalisation, promet de hisser l'Algérie dans la ligue des 20 premières économies mondiales, à partir de 2033, soit donc après un mandat de 19 ans !  La mauvaise foi alliée à la démagogie, un cocktail explosif causant plus de dommage qu'une arme chimique !  Gare aux esprits faibles leurrés par les discours à apparence académique ! Ce personnage douteux, transfuge apatride est un flibustier dont les sévices passés stigmatisent toujours le pays ! 
- Pas les harkis compromis par de leurs relations pernicieuses douteuses avec les ennemis du pays (Said Sadi ami Bernard Levy) 
- Encore moins les opportunistes et mercenaires de la grande calamité socialiste (Lien, Lien, Lien)- Pas les guignols, ignares, et incultes, Touati, Rebain, Djillali (Lien), 
- Pas les islam-mimiques que rien ne peut délivrer de l'endoctrinement wahhabite, une tare qui afflige Islam et musulmans et a répandu sa malédiction sur tant de pays.  Plus évidente la malveillance de l'ensemble de cette opposition après quelle ait chanté les mérites des printemps arabes, en 2011-2013, les chroniques de cette période encore vivaces attestent de leur participation à cette manigance, démontrant par ailleurs leur inaptitude à diriger.
Que reste-t-il ? 
Uniquement des hommes qui ont eu confiance en Bouteflika et ont tiré profit de leur collaboration aux efforts de renaissance du pays depuis 14 ans.  Ce blog élucide et réitère son jugement à propos de Bouteflika, la providence personnifiée, dont les performances, si bénéfiques pour la nation, qu'elles dérangent et sabotent les plans de l'ennemi.
- Qui ? 
- La nébuleuse de la subversion ! Pour exemple, observons la perfidie d'El-Watan porte-parole de l'opposition inconditionnelle injustifiée (depuis 1999), à travers ses débats-défilés de conférenciers recrutés dans les bases arrières de la subversion (les "groupes de recherche" en France coiffés par les experts universitaires, tous sionistes !). Mobilisés et commandités par le pouvoir judéo-maçonnique de France qui les a dressés en mules prosélytes des valeurs du NOM, ils sont hébergés par l'agent local O.Belhouchet (collabo sioniste et crypto-juif logé à El-Watan.(*))
Ces conférenciers arrivent, couronnés d'auréoles reçues des maitres de l'intrigue à l'occasion de promotion accordée pour leur entière adhésion au mondialisme, et sont donc attachés chacun à une mission déterminée. 
Un exemple à disséquer:
Mouloud Boumghar est le poulain des institutions internationales pour la paix (sic). En bon fonctionnaire qui "fonctionne", il produit de la littérature juridique, des textes interminables où le verbiage savant enguirlande les méfaits occasionnées par l'Empire talmude dans le monde. Il les enrobe de prétextes juridiques, prétextes et alibis des crimes humanitaires cautionnés par les organisations internationales mafieuses. À leur tête, l'ONU, directeur des malheurs des peuples faibles. 
Son agitation enveloppée de chimères juridiques est un instrument à géométrie variable et adaptable à la cible.
Boumghar brandie cette arme juridique contre l'Algérie et remue les cimetières du malheur des années noires, traitant du "dossier des disparus" dont il a été chargé par ses commanditaires, les propagateurs de l'énigmatique thèse du "qui tue qui ?", actualisée en "qui a tué qui ?".
Bardé des ruses judiciaires élaborées par les sionistes assoiffés de vendetta (recherche éternelle des criminels nazis), notre Da' Mouloud Boumghar, alias Si-Mouloud Simon Wiesenthal enquête sur la Solution Finale ou Shoah-Chorba décrétée par le pouvoir algérien durant les années noires. À la poursuite de quelque Adolf Eichmann, Martin Bormann, ou autre Kaci-Nazi  qui aurait échappé à la justice internationale.
Employé à plein temps comme "militant des droits de l'homme", son discours mime celui du classique modus-operandi des ONG et des Think-Tanks US, Freedom-House (Brejzinsky), Open Society Institute (Soros) dont l'objectif ultime est d'initialiser les révolutions de couleur, stade intermédiaire 
- du démantèlement des régimes nationalistes  et,
- élection de gouvernements favorables au Nouvel  Ordre Mondial Juif !  
À propos d'exécutions extra-judiciaires commises par des représentants de l'état, nous souhaiterions que M.Boumghar s'intéresse à celles opérées par le régime de Tel Aviv depuis 1948 avec la complicité de toutes les organisations internationales qu'il sert, et des groupes de recherche (droit international / universités françaises) où il fait son beurre. Ce parti pris juridique discriminatoire, des "droits de l'homme" onusiennes et des instances juridiques européennes, constitue une contradiction dans le discours des hypocrites mondialistes, donc la mort de leur pensée tortueuse et fallacieuse. Notre militant Da'Mouloud n'oserait pas aborder ce sujet, du moins sans l'aval de ses maitres-employeurs, la scélérate ONU et les think-tanks juifs  entièrement dévoués à la cause d'Israél et à la protection des criminels juifs de Tel-Aviv ! 
Sur le point de la participation de Boumghar aux manoeuvres de déstabilisation gérées par Soros, et qui démontre sa qualité de mercenaire en "col blanc" et ennemi de l'Algérie, un article pertinent (Mars 2012) rédigé par Y.Benzetat (Lien ou Lien) dénonce la main étrangère et révèle son "chargé de mission" Boumghar:
 «Par ailleurs ce même George Soros a employé le juriste algérien Mouloud Boumghar, spécialisé en droit
international public, sur le projet AfriMAP, qui "vise a influencer la politique publique en vue de promouvoir la gouvernance démocratique, les droits de l’homme ainsi que la réforme économique, juridique et sociale en Afrique." Ce même Mouloud Boumghar a participé aux
travaux de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD). Il est également cofondateur du mouvement Agir pour le changement et la démocratie en Algérie (ACDA), qui est associé au
mouvement d’opposition islamiste radical à l’étranger Rachad, et a été le modérateur du séminaire/débat "L'arrêt du processus démocratique de janvier 1992, vingt ans après", organisé à Paris par l’ACDA le 20 janvier 2012. À cette période, c’est-à-dire, au mois de janvier 2012, où l’on suppose que le plan américain pour l’Algérie a été mis en œuvre et qui a abouti à l’arrestation de Mourad Dhina, une coïncidence de plus s’était produite, la CNCD avait annoncé de son côté la reprise de ses activités.»


  
- Deuxième exemple:
Abdelhak Lamiri, tristement métamorphosé en Abd-El Kadhab (Satan = le menteur) est un "expert" cité par El Watan (le 08 jan 2014, Lien):
«L’économiste et expert en management, Abdelhak Lamiri, réitère une remise en cause totale de la politique économique entreprise depuis une quinzaine d’années par les pouvoirs publics. Il estime que les plans de relance, initiés par le gouvernement, pour doter le pays d’infrastructures de base dans le but d’impulser la croissance et amorcer le développement, n’ont servi à rien.»
- Et de continuer : 
«Pour l’expert, le pays a tout simplement «perdu 15 ans et 500 milliards de dollars» sans rien gagner en retour. Une rétrospective négative assortie d’une mise en garde sévère "si rien n’est fait durant les toutes prochaines années pour reconstruire les fondements du développement basés notamment sur le savoir, il faudra alors avoir vraiment peur pour le pays". Une analyse aux allures de scénario catastrophe que le professeur assume et défend, rappelant que son analyse est toujours inchangée depuis 10 ans. Lors de cette nouvelle sortie publique, l’expert tire encore une fois «la sonnette d’alarme», une expression que les journalistes aiment bien utiliser, mais qui, cette fois-ci, semble l’être à bon escient, au sens de Lamiri.»
Et pour joindre l'insulte à l'offense, le mépris au mensonge, l'aveugle est promu oracle (du malheur):
«Le professeur, qui a consigné ses analyses dans un livre intitulé "La décennie de la dernière chance", semble vouloir provoquer un réel électrochoc et pousser les décideurs politiques et leurs conseillers économiques, ayant imaginé les solutions de développement depuis une décennie, à changer de cap de toute urgence.»
D'un coup de sa plume, l'intellectuel infirme et efface 15 ans d'histoire de la renaissance économique, financière, politique, sociale, et culturelle du pays. Les chiffres et les statistiques flatteurs, que mêmes les perfides FMI et Banque Mondiale ont été contraints (à contre cœur tant ils étaient dérangeants) de reconnaitre comme signes d'émergence économique, signes invisibles aux yeux de ce menteur effronté et malveillant, girouette universitaire qui s'affuble d'un titre de professeur ! Les raisons de ce déballage d'ordures sont repérables dans les manœuvres animant la campagne d'intox orchestrée par la nébuleuse qui redouble d'agressivité à l'approche des élections. À cours d'arguments constructifs, ayant épuisé le répertoire de calomnies diffamatoires, les ennemis du pays puisent dans leur dernière ressource, le recours à la falsification et à la contrefaçon d'une réalité physique assise sur les réalisations : deux millions de logements, 40 barrages hydrauliques, les milliers de Kms d'autoroute, les milliers d'établissements de l'éducation, les centaines d’hôpitaux et leurs équipements ultra modernes, les milliards de dollars en réserves et ceux économisés après liquidation de la dette, les millions d'emplois, l'amélioration qualitative et quantitative et la diversification des produits de consommation et des services, les milliards d'aide sociale multi-sectorielle, la modernisation de l'armement et de la formation des personnels de l'armée, la sécurisation des frontières, le combat victorieux contre le terrorisme international, etc, etc....
Le mensonge sert au détournement de l'opinion loin des enjeux et priorités, telle l'accusation non justifiée de complicité des gouvernants dans les délits commis par des algériens traitres qui s'accaparent les biens publiques et entretiennent les réseaux de la corruption. L'intox médiatique dirige la sape sociale en nourrissant l'ingratitude et le sentiment de mal-vie; alimentant le commérage amplifié sur des sujets de controverse (la maladie du président) pour attiser l'incertitude et le pessimisme au sein de l'opinion. L'arsenal des armes silencieuses conçues par la juiverie et braquées contre la population via ses canaux médiatiques (citations sempiternelles de l'AFP par El Watan). Elles servent aux opérations de déstabilisation et à l'offensive généralisée exécutées par les agents de Rothschild (ennemis de l'intérieur) contre ce pays.
Le peuple désarmé par son excès de naïveté et ingurgitant sans retenue le contenu des média, est harcelé sans relâche par les chevaux de Troie médiatique du mondialisme talmude. Quelle sera l'issue de cette guerre furtive non déclarée ? Au rythme actuel, et en l'absence d'un réveil nationaliste général, le pays des martyrs semble gravement menacé.
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(*) Note: Pour ceux qui trouvent ces commentaires offensifs : Que mes propos soient jugés excessifs par le lecteur serait le signe de sa préparation inadéquate à percevoir les dangers de la mondialisation instaurée par le despotisme talmude. Les "enfants de Satan" sont des prédateurs qui sévissent sur l'humanité et ciblent les âmes et la vie des Goyim. Leurs réseaux et leurs armées sont constitués d'agents recrutés d'abord au sein de loges maçonniques et plus régulièrement parmi des personnes (idiots utiles) présentant un intérêt pour leurs opérations subversives. Les média "indépendants, principalement des quotidiens et leur prolongement en sites internet (El-Watan, El-Khabar, Le Matin, Le Quotidien-Oran, Liberté, etc, etc...), ainsi que les directeurs et rédactions, sont sélectionnés sur le volet parce qu'offrant les profils idéologiques adéquats.
Les kabyles sectaires qui redécouvrent leur judaisme (El-Watan), les intellectuels intéressés par le gain facile (une carte bancaire) et les privilèges (un simple visa Shengen), les plumitifs et avocats des centres d'intérêt (les milieux d'affaires et les prédateurs de l'économie), et un éventail plus large de mercenaires/harkis pris dans le piège de la compromission (chantage, association douteuse),

28 nov. 2013

Algérie : Des Illuminés De La Scientologie Économique Accusent Les Hydrocarbures De Tous Les Maux.

«Quand le ventre est plein, la tête chante»; un survol des média dévoile combien ce dicton populaire s'applique pertinemment aux catégories de personnes dont la profession est liée à l'économie, en tant qu'acteurs ou observateurs /analystes et qui s'évertuent à dévaloriser le potentiel inestimable des richesses naturelles, dans ce cas les hydrocarbures. 
La majorité de ces acteurs ne servent pas le pays, ni le peuple, ni l'économie mais uniquement leurs stricts intérêts abreuvés de cupidité, d'égoïsme et même de préceptes dogmatiques adoptés après initiation maçonno-satanique ! Quand à la majorité des observateurs/analystes, ils produisent rarement des observations objectives, instructives, utiles, mais souvent erronées, subjectives, biaisées et partisanes, car leur savoir relève des sciences sociales, sciences célèbres par leurs controverses, leur imprécision, leur verbiage, leurs contradictions, leurs failles méthodologiques, et leurs innombrables défaillances.
Comment nos élèves économistes, de rite néo-libéral, pourraient-ils surpasser leurs maitres d'occident, après que ces derniers aient démontré leur ineptie à résoudre la faillite des économies "avancées", entendre "avancées" par la présence massive des usuriers shylocks qui manipulent tout ce qui a rapport à l'argent ?
Caractère non fortuit,  les deux catégories déclarent que leur participation aux débats sur les questions économiques est de dispenser des conseils et des recommandations aux autorités, au gouvernement, aux ministres, aux banques, à Bouteflika, en un mot à tout le monde; dans le but, d'aider le pays, son développement, sa croissance, le plein emploi, s'adapter à la mondialisation, etc...
La première catégorie, les entrepreneurs, chefs d'entreprise, champions de l'industrie (sic), partage étrangement les  mêmes préoccupations que les seconds. Coincidence, tous ont pour cheval de bataille "les hydrocarbures", dont ils discréditent l'existence même, en les incriminant de tous les maux et carences du pays ! Les oxymores "malédiction", "cancer", "choléra", "frein au progrès", "catalyseur du sous développement", leurs sont accolés lors d'exposés et de d'études diffamatoires. 
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 Note : Réservons notre appréciation de l'agitation intellectuelle de la catégorie des chefs d'entreprise/managers/industriels à une analyse ultérieure, et concentrons-nous sur la seconde.
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Agitation fébrile des économistes.
«Le borgne est roi au pays des aveugles», concédons leur hypothétiquement, sans trop risquer de nous compromettre, le titre "d'économiste". Ceci, aussi longtemps qu'ils s'appliqueront à réciter les connaissances péniblement acquises dans les centres d'endoctrinement académique, ou universités, souvent étrangères qui distribuent des doctorats et PhD's à ceux qui digèrent le mieux leurs insanités et leurs utopies fantaisistes. La science économique à la mode dans les universités depuis Reagan/Thatcher (1980) se réclame du libéralisme, et les économistes algériens les plus médiatisés sont adeptes du néo-libéralisme , selon leur propre aveux, car la majorité prêche pour, entre autres, l'économie de marché, la privatisation, l'ouverture de la finance aux banques étrangères (toujours kosher), la libre circulation du capital, et la libéralisation du commerce extérieur.
 Les média locaux et étrangers les chouchoutent. Pour leur adhésion à la mondialisation, ils sont devenus des 
porte-paroles confidents de la presse écrite et des sites internet spécialisés qui surveillent l'état du pays et répercutent tous les rapports du FMI et de la banque mondiale publiant leurs statistiques. Même le "climat des affaires " a été quantifié par une formule mathématique magique (grâce aux modèles de prévision météorologique?) Promus donc "chargés de mission du NOM", leurs déclarations assourdissantes sont des plaidoiries pour, l'état de droit, la bonne gouvernance, la démocratie, l'économie de marché, la privatisation, et les différents concepts défendus par les maitres du monde, à New York, Londres, Paris et autres capitales occidentales.
Leur grief principal : 
Il se signale par le dénigrement systématique de la gestion par le gouvernement, sous la direction de Bouteflika, de l'exploitation des recettes "hydrocarbures"; cheval de bataille donc de ces experts qui y réfèrent en tant que "rente". Première bévue de nos donneurs de leçons qui refute la désignation des recettes par le terme "rente", car inadéquate dans les langages, courant, économique ou boursier. Les hydrocarbures extraits du sous-sol ne sont pas en elles-mêmes renouvelables et sont le fruit d'une succession de travaux physiques et de décisions humaines: étude, prospection, forage, extraction, transport, raffinage, et commercialisation. Aucune recette n'a été découverte dans des sacs pleins de dollars et d'euros enfouis dans le sable ou flottant sur les chotts, ce qui exclu cette terminologie.
D'autre part, leurs critiques donnent l'impression que le pays est dirigé par des handicapés mentaux et seule leur expertise est en mesure de mettre de l'ordre dans les affaires du pays, et placer l'Algérie sur l'orbite du progrès.
D'une ingratitude suspecte, leur statut professionnel et social n'étant fondé sur aucun mérite particulier mais découlant de leur participation à des taches stériles financées gracieusement par...les recettes des hydrocarbures !  
Que les Benbitour, Mebtoul, et les oracles de mauvaise augure qui prédissent depuis une décennie la faillite du pays, citent un seul accomplissement dans leur longue carrière de commis de l'état. Rien !   Du vent et des discours creux et verbeux, ou la récitation de théories galvaudées que les éternels prédateurs juifs vulgarisent chez les goyim pour mieux les aliéner. Les manigances juives étant anciennes, il faut noter que la stratégie employée et ses grandes lignes sont perceptibles aujourd'hui même , en 2013, car le manuel talmude de la subversion "Les Protocoles des démons de Sion" est un schéma global dressé depuis des siècles et toujours d'actualité. Il suffit de le lire et reporter son regard sur l'état du monde actuel pour prendre conscience de son authenticité et combien le plan est à un stade avancé de réalisation. Ajoutez à ce constat, le progrès des sciences appliquées (sociologie et psychologie dans le monde réel, développées par les services secrets, pas ceux enseignés aux Goyim), de la technologie, des media, des arts destinés au grand public à une échelle planétaire grâce au satellite, etc...
Chap1/01 «Les administrateurs, choisis par nous dans le public en raison de leur servilité, n'auront aucune expérience en matière gouvernementale ; ils deviendront facilement, dans notre jeu, des pions aux mains de nos savants, de nos conseillers géniaux, de nos spécialistes élevés dès leur plus tendre enfance pour diriger les affaires de ce monde.»
«Les goyim ne sont guidés que par la routine et par les théories ; ils n'ont aucun souci des conséquences qui en découlent C'est pourquoi nous n'avons pas à nous préoccuper d'eux ;ils s'amusent. Les lois qui émanent des théories scientifiques ont, pour eux, une importance considérable ; aussi avons-nous engendré la confiance aveugle à l'égard de la science. Leurs intellectuels s'enorgueillissent de leurs connaissances que la logique n'a pas vérifiées, et ils mettent en pratique les notions puisées dans la science livresque, telles qu'elles sont écrites par nos agents, dont le but est de tourner les esprits dans la direction qui nous est nécessaire. »
Défi n°1 :
«Leurs intellectuels qui s'énorgueillissent de leurs connaissances que la logique n'a pas vérifiées» est le motif principal qui justifie la confrontation avec ces nombreux "experts" plein d'arrogance qui nous conseillent de leur voix paternaliste sur les choix (généralement inadaptés), à adopter pour surmonter les nombreux dilemmes et menaces que nous rencontrons. 
«De tout temps, les peuples, comme les individus, ont pris les paroles pour des actes. Ils se contentent des apparences et font rarement attention si les promesses touchant la vie sociale ont été tenues. C'est pourquoi nous avons organisé des institutions présentant une belle façade, c'est-à-dire des loges maçonniques qui démontreront éloquemment leur contribution au progrès.»
La menace directe dirigée contre nous qui risque de nous détruire plus rapidement, provient du fait qu'elle est brandie par une secte d'agents corrompus organisés, des ennemis de l'intérieur cupides et compromis jusqu'au cou, qui ont été recrutés au sein de loges maçonniques dont le dogme est satanique mais est enrobé de mythes idéologiques et religieux trompeurs (voir le concept de Grand Architecte, mythologie païenne et référence à Satan).
Ces agents s'activent dans toutes sphères publiques qui déterminent directement ou indirectement le devenir d'un état : le politique, la finance, la justice, l'information, la religion. Le grand danger est leur soumission/allégeance à un pouvoir allochtone et l'exécution aveugle de directives scélérates dont l'objectif transcende les intérêts nationaux, et profitent au gouvernement juif ultime, le NOM.
Défi n°2
«Vous vous rendez bien compte qu'afin de pouvoir exprimer de tels désirs, il faut troubler sans cesse les rapports des peuples entre eux et avec leurs autorités gouvernementales. Tout le monde sera ainsi épuisé par les discordes, l'hostilité réciproque, les luttes, les rivalités et même par le martyre et par l'extermination des peuples connus par leur longanimité (par exemple les Russes, les Indiens et autres), par la famine, par l'inoculation de maladies contagieuses, dont le contrepoison n'est connu que de nos savants, par la misère, afin que les goyim n'entrevoyant pas d'autre issue, se rendent à notre domination financière et à celle de nos monopoles. Il ne faut pas leur laisser de répit, car, autrement, le résultat de tout notre travail préalable se ferait attendre, ce qui n'est pas à souhaiter.»

Le défi n° 2  est donc la confrontation à la multitude de facettes de la guerre silencieuse qui est menée contre le pays :
/La pauvreté, la misère, le chômage, ainsi que la famine sont les terreaux qui autorisent des opérations de subversion.
Les printemps arabes en sont la démonstration frappante.
Les révoltés conditionnés par un conflit interne, la discorde, la rivalité, exécutent inconsciemment les plans protocolaires tout en étant leurrés par des idées creuses, de démocratie, liberté, égalité, souveraineté du peuple. Ils sont "au point " alors pour le martyrdom (ceinture explosive, immolation par le feu).
/Une étape préparatoire à franchir, pour le processus de décomposition et d'auto destruction d'une nation, est la permanence du travail de sape sociale, par l'ingénierie sociale opérée par les média et les agents véreux (Kamel Daoud) de l'information. Ils sont détectables à travers leurs écrits, souvent concordants. La mal vie, le chômage, les carences diverses, sont relevées et exposées au public dans le but d'irriter et décourager l'opinion. Le désespoir en dernier recours devient un terroir idéal et propice où semer tous les débordements populaires et l'anarchie (ce blog est dévoué à les confondre et les dénoncer.)
/le mécontentement social est attisé continuellement au moyen du mensonge et de l'oxymore. Le "bien" devient "mal" et le "mal" est "bien";la réussite est un échec; la richesse est une malédiction; l'intégrité est sanctionnée et le délit récompensé; le voleur est honoré et l'honnête homme pénalisé. 
- Comment ? 
- Grâce aux média qui font l'événement
-Et à la justice qui en dernier recours blanchie ou ternie les réputations, minimise ou maximise les peines, selon la tête du client et sa proximité des loges fraternelles. 
H.Makow le crie sur les toits : «Le culte de Satan a pris possession de la planète Terre. Ce constat est la clé de l'énigme pour qui souhaiterait comprendre l'histoire tout en évitant les désagréments de la "culture moderne"» 
Quelques exemples :
a-la redistribution des revenus (ceux des hydrocarbures) opérée d'une manière judicieuse sous forme de crédit (débarrassé de l'usure, donc licite) pour créer l'emploi et développer les PME. Tous les secteurs en bénéficient, agriculture, artisanat, industrie, tourisme et même les handicapés.
Verdict de la propagande concordante des malfrats des média, des crapules de la politique et des intellectuels sans conscience : le gouvernement "achète" la paix civile pour faire durer le "système", et éviter une répétition des "printemps arabes". Soulignons que tous ces acteurs ont depuis 2011, fait la promotion, et tous participer aux tentatives d'embrasement social imitant les catastrophes libyenne-tunisienne-égyptienne. Qui, sauf l'ennemi furtif, refuserait la paix sociale ? Surtout à un moindre coût, celui de crédit à l'investissement ?
b-le soutien des prix des produits de première nécessité.
"L'opposition" citée plus haut : Mêmes calomnies et accusations agrémentées d'arguments frelatés, maquillés de théorie économique irrecevable dont celle émise par le FMI formulant les distorsions enregistrées dans le marché libre et les retards enregistrés pour l'établissement d'une économie de marché. Issad Rebrab n'a lui jamais été contesté dans ses hausses des prix grâce à sa positon monopolistique. Ce qui sied aux "champions de l'industrie", est kosher et légal. 
c-les réalisations titanesques, dans le logement, l'infrastructure, la balance de paiement excédentaire, les réserves de change, le niveau de vie croissant (mesuré grossièrement par le revenu par habitant), la création d'emplois, l'auto suffisance dans nombre de produits agricoles, etc...
 verdict de la nébuleuse : silence programmé et intentionnel sur la performance unique sur la voie du développement. Pire, pour dévaluer et pervertir les efforts concrets de progrès national, les chevaux de Troie du NOM juif les entachent de malversations, de pots de vin, d'insinuation diffamatoires contre les autorités, de procès d'intentions de cadres intègres, etc...Le harcèlement est orchestré par média interposé, les réseaux locaux et internationaux kosher y participe en parfaite harmonie. Pourquoi ? La complicité se situe au niveau de l'entre-aide maçonnique. Seule elle, a les moyens de mobiliser la "clameur" contre un individu ou un pays qu'elle désapprouve. Et qui dit maçonnerie, doit nécessairement mentionner la Kosher Nostra qui poursuit, elle, l'avancée de son agenda "protocolaire" talmude !
Les organismes internationaux acolytes surgissent ensuite pour obscurcir le tableau, en publiant le "mauvais classement de l'Algérie" pour l'année, dans le hit parade fantaisiste de l'ONU ou autre structure mondialiste. 
Une suggestion à développer :
En recensant les délits commis et saisis par la justice, on constate qu'ils sont l’œuvre de personnages dont le profil convient à celui de membre de la "fraternité". Chakib Khellil (Halliburton et Banque Mondiale); Rafik A. Khalifa (que protège la fraternité de Londres); SNC-Lavalin; 
(consulter la bio de son président Bernard Lamarre), et toutes les malversations qui remontent au socialisme spécifique et à son gourou Boukharouba (le trésor du FLN, El-Paso, 50 avions Boeing, et....Zeggar).

                                         À suivre.....

26 nov. 2013

Algérie: Des Perroquets Écervelés Recommandent L'Adoption Du Fiasco De L'Économie Néo-Libérale, Un Système En Faillite.

Introduction : 
Avant d'élaborer sur le sujet annoncé en entête de cet article, je souhaiterais conseiller au visiteur occasionnel de la nécessité de se munir d'une jauge adéquate pour mesurer la véracité des concepts et arguments qui lui sont présentés ici, ou qu'il a eu l'occasion de rencontrer ailleurs durant ses recherches ou ses randonnées littéraires.
La jauge consiste en la capacité de s'armer de la conviction que le monde dépeint par la littérature courante, traitant de différent domaines de l'activité humaine (économie, politique, science, culture), n'est pas conforme à celui existant, réel. 
Cette outil de mesure peut être plus clairement défini comme une forme de discernement entre le calque virtuel, projeté par les média et l'édition, et le monde réel dissimulé par la confusion de l'intox orchestrée par les "contrôleurs de l'information". Pour ceux non accoutumés à l'origine de cette clique de personnages obscures, menés par les banquiers shylock juifs, je recommande une initiation rapide grâce à la lecture de quelques articles de ce blog ou la consultation d'autorités militantes plus connues, voir H. Makow, ou H.Ryssen, ou le syti.net, ou encore intérêt-général.info, etc...La liste n'étant pas exhaustive, trop longue pour s’insérer dans cet espace limité, mais les liens disponibles sur H.Ryssen par exemple, suffiraient à satisfaire les plus curieux.
Pour appuyer cette proposition, concernant la dualité réelle/virtuelle du monde, la citation d'un extrait traduit, de la lettre de H.Makow au Lien
«La société moderne est basée sur un solipsisme créé par les Illuminati (cabalistes), banquiers juifs et leurs sbires maçonniques. Le mot "solipsisme" signifie une réalité auto-créé qui a peu ou pas de lien avec la vérité. Le mot a été inventé en 1874 du latin solus "seul", et ipse «soi». Il résume le point de vue que le "moi" (l'individu) est le seul objet de la connaissance réelle ou la seule chose qui est réelle.
Le Nouvel Ordre Mondial est dédié à remplacer la Vérité avec un solipsisme créé par les mêmes personnes qui créent de l'argent à partir de rien (compte bancaire) et y chargent un intérêt.
Qu'est-ce que la "vérité" ? Sur le plan matériel, c'est le dessein naturel, le fonctionnement le plus efficace de la sphère naturelle. Sur le plan spirituel, c'est Dieu, qui est la réalité ultime, un autre nom de la vérité absolue, la beauté, l'amour, l'harmonie et la justice, ce que tous les êtres humains désirent naturellement. Notre mission est d'incarner ces idéaux.

À l'opposé de ça, les Illuminati prétendent que l'homme est déjà Dieu. L'homme se distinguant en manifestant ses pires défauts, les satanistes disent que ceux sont ses meilleures qualités
«Nous sommes noyés dans un solipsisme qui inverse le bien et le mal, la vérité et le mensonge. Nous sommes initiés à un culte satanique
 Avec cette aperçu du solipsisme, fondé principalement par la propagation du mensonge et son vecteur l'oxymore, il nous faut demeurer vigilants lors de la consultation de l'information quelque soit le sujet abordé. 
L'analyse économique, les sciences et leur domaine d'application (tel la santé !), l'histoire officielle, l'évènement politique, etc..., traitant du monde réel sont l'objet de manipulations ininterrompues répercutées par divers agents, parmi lesquels ceux endoctrinés lors de leur passage dans les centres de "formation" couronnés par des prétentieux doctorats et PhD hélas inopérants car gonflées d'idées préconçues vaines et de concepts fallacieux, tous distillés par les maitres du mensonge. 
Ce constat est particulièrement manifeste lorsqu'on aborde les théories économiques et les analyses du monde réel qui s'y référent.
La théorie économique et ses revers:
Démolie par la crise persistante subjuguant l'économie et la finance internationales, la théorie économique est fustigée de toutes parts. Les experts et les analystes sont unanimes pour contester la fiabilité des idées dominantes sacralisées par des prix nobel et des chaires de professorat dans les prestigieuses universités. 
Après la faillite de l'éducation brièvement survolée dans l'article précédent, la faillite des théories économiques classiques est d'actualité et les débats font rages sur la capacité des théories économiques à expliquer, gérer et prévoir les mutations opérées et les changements enregistrés dans ce domaine de l'activité humaine.
Brièvement et sans trop élaboré sur le sujet il suffit de consulter quelques références disponibles sur le web pour attester de différentes lacunes de la théorie économique, de son égarement, de son inexactitude, de ses contre sens, de son extravagance, de ses contradictions, et souvent de ses paradoxes. Débutant par l'inconsistance de la définition de son vocabulaire, la non uniformité de la significations des termes utilisés sur le plan linguistique et quantitatif. Le sens de "progrès", de "croissance économique", de "PIB", des "indicateurs économiques et de leur évaluation", font l'objet de controverses et de polémiques résolues que par la publication de décrets de loi, tout en différant d'un pays à un autre !
L'étymologie, les lexiques, les glossaires et définitions différent d'une région à l'autre, d'une école à l'autre, d'un économiste à son proche collaborateur.

Exemple de "la croissance économique", l'article sur Wikipédia nous donne un avant goût des intriquacités de ce monde académique confus. Dans un exposé détaillé difficilement assimilable et dont le défilement de verbiage savant est exténuant sinon traumatisant, car jonché de conditionnels, enchevêtré dans la succession de définitions vagues, de concepts abstraits adjacents, de "selon x" et "selon y". 
Dont extraits :
«..Selon la définition de François Perroux»,
-«La définition de Simon Kuznets va au-delà et affirme..»,
-«À court terme, les économistes utilisent plutôt le terme d'expansion... »,
-«Au sens strict, la croissance décrit un processus d'accroissement de la seule production économique.»,
-Ces transformations au sens large sont, conventionnellement, désignées par le terme de développement économique.»
Note : "développement économique", une autre monstruosité dont la poursuite du sens épuiserait même Hercules à la recherche de la Toison d'Or.

Le terme de « croissance » s'applique alors plus particulièrement aux économies déjà développés.»
Note : Cette dernière remarque risque de frustrer nos apprentis aventuriers économistes qui savourent dans leurs discours le terme "croissance". N'est-ce pas Messieurs Benbitour, Mebtoul, Hafsi, Chitour, Othmani, Rebbrab, et compagnie ?
Plus loin toujours dans Wikipédia :
-«La Commission du développement durable du gouvernement britannique souligne qu'il est important de distinguer trois notions qui  «ne sont absolument pas les mêmes choses» :

1/la croissance des flux biophysiques (énergie et matériaux) ;
2/la croissance de la valeur monétaire de la production (PIB) ;
3/la croissance du bien-être économique  de la population.» Note :  une autre entourloupe ou autre monstre sorti du musée des horreurs : "bien-être économique"
Et cerise sur le gâteau :
«Le croissantisme économique est considéré comme étant l'idéologie de la croissance par opposition à la philosophie décroissantiste.»
Idéologie ? Philosophie ? Et pourquoi pas religion ou culte ?
Mais comme promis, je ne m'étendrais pas sur le thème de l'absurdité de ce "monde économique" que certains qualifient d'académique, mais dont l'égarement n'a d'égal que les ambiguïtés de son jargon. La pensée économique n'est qu'une machine à fantasmes dont le seul mérité est sa capacité à imaginer et spéculer.
La grande révélation :
Les crises ont achevé les derniers espoirs des théoriciens dans leur tentative de comprendre, d'expliquer, de prévoir les changements nocifs affectant les besoins matériels des habitants de la planète. Amplement documentée, la faillite de la scientologie économique est d'actualité et tout curieux a la possibilité de constater la panique qui règne dans le panier à crabes de cette science sociale qui peut s’enorgueillir de posséder les caractéristiques combinés de culte, religion, idéologie, philosophie et dogme.
La triste déconvenue pour nos économistes :
Les maitres, professeurs, docteurs, et experts de part le monde qui enseignent "l'économie" s'avouant vaincus devant l'énormité de la faillite de leur savoir. Que deviennent leurs élèves qui ont eu la malencontreuse aventure de solliciter un apprentissage sous leur autorité ?
Si les maitres n'ont pas de solutions aux problèmes et ne peuvent répondre au défi de la crise mondiale, leurs élèves n'ont certainement aucun espoir de conseiller, de résoudre, de suggérer, de recommander des voies de sortie aux challenges qu'ils confrontent même dans l'espace réduit de leur pays ou région. Nos Benbitour, Benflis, Mebtoul, Othmani, Rebrab, NABNI, et les montreurs de tort algériens qui ronchonnent sur la rente, l'opulence des hydrocarbures, la prospérité gratuite (d'origine divine), et prêchent les mérites du dur labeur ou Stakhanovisme soviétique, n'ont qu'à démontrer par l'exemple la valeur de leur sermon et trouver un pays où mettre en pratique leur théories. 
L'énigme de la faillite est résolue et la vérité surgit de l'histoire:
L'étude de l'histoire des grandes fraudes et des complots majeurs ayant modelé le cours des transformations planétaires nous mène à la machination la plus célèbre codifiée dans les "Protocoles des démons de Sion", le livre «le plus lu dans le monde» selon Makow
Quelques perles extraites des Protocoles, le manuel talmude de la mère des conspirations :

Concernant les sciences sociales :
-«Chap1
/05- De nos jours la puissance de l'or – c'est-à-dire la nôtre – a remplacé le pouvoir des gouvernements libéraux.»
-«Chap1/20- Dès l'époque de l'épanouissement de la Grèce antique, nous avons été les premiers à crier le mot : « Liberté ! » si souvent répété depuis par des perroquets inconscients, qui, attirés de toutes parts par cet appât, n'en ont usé que pour détruire la prospérité du monde et la véritable liberté individuelle, autrefois si bien garantie contre la contrainte de la foule. Des hommes qui se croyaient intelligents n'ont pas su distinguer le sens caché des mots qu'ils employaient ; ils n'ont pas remarqué qu'il n'existe pas d'égalité dans la nature, qu'il ne peut y avoir de liberté, que la nature elle-même a établi l'inégalité des esprits, des caractères et des intelligences, en soumettant tout à ses lois ; ils ne se sont pas aperçus que notre politique les a lancés hors de leur vie coutumière, dans la voie qui aboutit à notre gouvernement. Pourvu qu'il soit initié à la politique, même un imbécile peut gouverner, tandis qu'un non initié, fût-il un génie, se perdra dans les voies que nous indiquons.»
-«Chap1/22- Notre appel : « Liberté, Égalité, Fraternité » amena dans nos rangs, des quatre coins du monde, grâce à nos agents aveugles, des légions entières qui portèrent nos bannières avec enthousiasme. Cependant ces mots étaient des vers qui rongeaient la prospérité des goyim, en détruisant partout la paix, la tranquillité, la solidarité de par l’obéissance aux lois, qui sape tous les fondements de leurs États. Vous verrez plus tard que c'est précisément cela qui contribua au triomphe de notre système de conquête pacifique du monde. Nous pûmes alors obtenir l’abolition des privilèges, essence même de l'aristocratie des goyim, aristocratie qui était le rempart naturel des peuples et des patries contre notre action.»
-«Chap1/
/24- Notre triomphe nous fut facilité par le fait que dans nos rapports avec les hommes dont nous avions besoin, nous sûmes toujours toucher les cordes sensibles de la nature humaine : le calcul, l'avidité, l'insatiabilité des besoins matériels. Chacune de ces faiblesses humaines, prise à part, est capable de détruire toute initiative personnelle, en mettant les hommes à la disposition de celui qui achète leur activité.»
-«Chap 3/
/06 -Nous avons parmi nos agents – conscients et inconscients – des hommes de toutes les opinions : restaurateurs de monarchies, démagogues, socialistes, anarchistes, communistes, et toutes sortes d'utopistes. Nous les avons tous attelés à la besogne : chacun sape de son côté et s'efforce de renverser tout ce qui tient encore debout. Tous les États sont excédés par ces manoeuvres ; ils cherchent le pain et sont prêts à tous les sacrifices pour l'obtenir. Mais nous ne leur accorderons ni paix ni trêve tant qu'ils n'auront pas reconnu notre Super gouvernement international ostensiblement et ne lui auront pas fait acte de soumission. Les peuples crient qu'il est nécessaire de résoudre la question sociale au moyen de l’internationalisme. Les divisions des partis nous les ont tous livrés, parce que pour mener une lutte de partis, il faut de l'argent et c'est nous qui avons l'argent.»
-Chap2/
/09- Pour ne pas détruire prématurément les institutions des goyim, nous y avons touché d'une main prudente, expérimentée et maîtresse des principaux ressorts de leurs mécanisme. Ces ressorts fonctionnaient autrefois dans un ordre sévère mais rigoureux, auquel' nous avons substitué un désordre libéral, stupide et arbitraire ; nous avons ainsi influencé la juridiction, les lois électorales, la presse, la liberté individuelle et, ce qui est plus important, l'instruction et l’éducation, ces pierres angulaires de la vie sociale.»
-«Chap5/
/04 -Pour avoir plus de prise sur les institutions, nous avons promis à bon nombre d'administrateurs le droit de gouverner le pays ensemble, sans aucun contrôle, à condition qu'ils nous aident activement à créer des prétextes de mécontentement au sujet des constitutions mêmes, préparant ainsi l'avènement de la République dans leur pays. Les Républiques nous donneront le trône du monde. Pour l'instant, nous n'avons fait que remplacer l'influence des gouvernements libéraux par notre pouvoir celui de l'or.»
-«Chap6/
/03- Afin que les goyim n'aient pas le temps de réfléchir et d'observer, il faut les orienter vers l'avidité du gain, au moyen de l'industrie et du commerce. Les individus et les nations chercheront ainsi leurs propres avantages et, engagés dans cette lutte, ils n'apercevront pas leur ennemi commun : notre intérêts. Et pour que la liberté puisse désagréger et ruiner la société des goyim, il faut faire de la spéculation la base de l'industrie ; il en résultera que les richesses produites par l'industrie passeront à la spéculation, c'est-à-dire qu'elles serviront à remplir nos coffres-forts, puisque tous les fils de la spéculation seront entre nos mains.»
-«Chap9/
/01-.... Les lois qui émanent des théories scientifiques ont, pour eux, une importance considérable ; aussi avons-nous engendré la confiance aveugle à l'égard de la science. Leurs intellectuels s'enorgueillissent de leurs connaissances que la logique n'a pas vérifiées, et ils mettent en pratique les notions puisées dans la science livresque, telles qu'elles sont écrites par nos agents, dont le but est de tourner les esprits dans la direction qui nous est nécessaire.»
-«Chap10/
/05- Actuellement, tous les rouages des mécanismes gouvernementaux sont mis en mouvement par un moteur qui est entre nos mains ; ce moteur, c'est l'or. La science et l'économie politique inventée par nos Sages rend depuis longtemps hommage au prestige royal du capital.
/06- Le capital, pour avoir sa liberté d'action, doit créer la liberté d'un monopole industriel dont on se servira pour assujettir le peuple. De nos jours, il importe. plus de désarmer complètement les peuples que de les mener à la guerre, d'utiliser à notre profit les passions qui s'éveillent que de les éteindre, de saisir et d'interpréter les idées des autres dans le sens voulu par nous plutôt que de les supprimer.
/07- Le problème essentiel et secret de notre gouvernement est d'affaiblir l'esprit public par la critique, de lui faire perdre l'habitude de la réflexion qui détermine une opposition à surmonter, d'orienter ses forces vers la vaine éloquence.»

-«Chap11/
/03- Quand nous eûmes contaminé l'organisme gouvernemental par le libéralisme, ce poison mortel, tout l'ensemble de la vie politique des États fut modifié ; tous furent atteints d'une maladie mortelle : la décomposition du sang. II ne reste plus qu'à attendre la fin de leur agonie.»
-/04- Le libéralisme engendra des gouvernements constitutionnels qui remplacèrent les autocraties. Une constitution n'est guère autre chose qu'une école de discordes, de querelles, de mésintelligence, de dissentiments, d'agitations stériles, de tendances de partis, de tout ce qui sert à affaiblir l'activité des États.»
-«Chap13/
/06- Il existe déjà de nos jours dans le journalisme une solidarité maçonnique qui a son mot d'ordre. Tous les organes de presse sont liés entre eux par le secret professionnel, et, semblables aux anciens augures, aucun membre de cette corporation ne dévoilera le secret de ce qu'il sait s'il n'est décidé par nous de le rendre public. C'est pourquoi aucun journaliste ne peut être du nombre des célébrités littéraires si son passé ne garantit pas sa soumission à nos directives et à notre mot d'ordre. La misère, la vanité, l'orgueil et autres défauts sont lés gages de l'obéissance d'un journaliste qui court après le succès et la cause de sa soumission à cette solidarité maçonnique en question. Ce sont là les clés qui ouvrent l'entrée du domaine littéraire ; ce domaine est resté fermé à un certain nombre de grands esprits, qui, insoumis à nos ordres, ne purent y pénétrer.»
-«Chap14/
/03-.....Nous entourerons notre gouvernement de tout un monde d'économistes (les sciences économiques étant l'un des principaux sujets enseignés aux nôtres), de banquiers, d'industriels, de capitalistes, d'entrepreneurs et surtout de millionnaires, parce qu'en résumé la question des chiffres décidera de tout.»
-«Chap15/
/07 Les goyim vont dans les loges par curiosité ou dans l'espoir d'avoir leur part de l'assiette au beurre ; il en est qui n'y entrent rien que pour avoir la possibilité d'exposer en public leurs utopies, ne fut- que devant un auditoire restreint. Ils ne cherchent que des applaudissements et nous ne les leur ménageons point, parce qu'il nous est utile de les habituer aux émotions du succès.
Qu'il est facile de décourager les naïfs vaniteux par le moindre échec, ou simplement en les privant d'applaudissements, de succès faciles, tout en diminuant leur autorité ! C'est alors qu'il est aisé de les asservir, de les réduire à l’obéissance presque volontaire, rien que par la perspective de nouveaux succès. Autant les nôtres méprisent le succès pourvu qu'ils puissent réaliser leurs plans, autant les goyim sont prêts à sacrifier tous les leurs pour un succès personnel. Ceci nous facilite beaucoup notre tâche qui consiste à les diriger. Ces tigres en apparence ont, en réalité, des âmes de moutons et dans leurs têtes un courant d'air. Nous leur avons fait enfourcher un dada, le rêve de substituer à l'individualité humaine l'unité symbolique du collectivisme.»

-«Chap19/
/07- Nous avons commencé à asservir définitivement la pensée par la méthode de l'enseignement visuel qui rendra les goyim incapables de réfléchir et en fera des animaux obéissants ; ils attendront la démonstration d'une idée avant de chercher à la saisir. Un de nos meilleurs agents en France, Bourgeois, a déjà annoncé un nouveau système d'éducation intuitive. A présent que nous sommes en force, nous n'avons pas besoin de goyim penseurs, mais il nous faut des travailleurs, ces matérialistes de tous temps, consommateurs avides de tous les biens terrestres.»
Concernant les questions financières/économiques
-«Chap24/
/05- Il nous a suffi de retirer l'argent de la circulation pour provoquer des crises- économiques chez les goyim. D'énormes capitaux ont été accumulés grâce au procédé qui consiste à les soustraire aux États, qui ont dû alors contracter des emprunts chez nous. Le paiement des intérêts de ces emprunts a obéré les finances publiques, et les États ont été réduits en esclavage par nos capitaux. La concentration de l'industrie dans les mains des capitalistes, qui ont tué la petite industrie, a sucé toutes les forces du peuple d'abord, puis celles des États.»
-«/10- Tout emprunt prouve bien la faiblesse du gouvernement et l'incapacité des souverains de comprendre leurs droits. Ils ne savent répondre aux besoins financiers qu'en tendant la main, pour demander l'aumône à nos banquiers. Les emprunts étrangers sont des sangsues qui ne se détacheront de l'organisme de l'État que lorsque l'État lui-même s'en débarrassera. Cependant les États ne les secouent pas, au contraire, il les attirent toujours en augmentant la contribution payée à nos banquiers ; c'est pour' cela qu'ils périront immanquablement de la saignée qui s'impose.
Examinons donc ce que c'est qu'un emprunt, et particulièrement, un emprunt étranger. C'est une émission de lettres de change du gouvernement, l'obligation de payer des intérêts déterminés pour le capital qui lui est confié. Si l'emprunt est à 5 %, au bout de vingt ans, l'État aura déboursé en pure perte des intérêts égaux à l'emprunt lui-même ; en quarante ans, la somme déboursée sera double ; au bout de soixante ans, elle sera triple, la dette restant ce qu'elle était au début. D'après ce calcul, il est évident qu'avec le système de l'impôt universel, le gouvernement soutire aux malheureux contribuables jusqu'à leurs derniers sous pour payer des intérêts aux capitalistes étrangers, auxquels il a emprunté de l'argent, au lieu de prélever dans le pays ces sommes dont il avait besoin, sans payer des intérêts qui sont comme un tribut à perpétuité.
Tant que les emprunts étaient nationaux, les goyim ne faisaient que déplacer l'argent de la poche de leurs sujets pauvres dans celle des riches. Mais à- partir du moment où nous eûmes acheté les hommes nécessaires pour qu'on ait recours aux emprunts étrangers, toutes les richesses des États affluèrent dans nos caisses, et tous les goyim nous payèrent un tribut sans s'en douter.
II est vrai que la légèreté des souverains goyim en ce qui concerne les affaires d'État, la vénalité de leurs ministres ou leur ignorance des questions financières nous ont asservi les peuples en leur faisant contracter envers nous des dettes dont ils ne pourront jamais s'acquitter, ce qui a placé toutes les questions financières sous notre direction censée scientifique, mais il faut savoir combien d'efforts, de temps et d'argent cela nous a coûté !
/11- Lorsque notre heure sera venue, nous ne tolérerons pas d'entrave à la circulation monétaire ; il n'y aura par conséquent pas d'obligations d'État à intérêts dont le paiement absorbe toutes les ressources de l'État au profit des sangsues parasites. Seules les sociétés industrielles pouvant payer des intérêts sur leurs bénéfices auront le droit d'émettre des obligations, tandis que l'État qui n'emprunte de l'argent que pour ses dépenses et non pour faire des opérations, ne saurait toucher le moindre bénéfice.
/12- Les valeurs industrielles seront achetées par notre gouvernement qui, de débiteur, deviendra créancier et recevra des intérêts pour son argent au lieu d'en payer. Cette mesure empêchera tout arrêt de la circulation monétaire et supprimera l'indolence et la paresse, qui nous étaient utiles sous le régime des goyim, mais qui ne doivent plus exister sous notre gouvernement.
/13- Avec quelle évidence ressortent la vénalité, la bassesse et la stupidité du cerveau purement bestial des goyim quand on songe qu'ils n'ont même pas pensé que le monde les condamnera un jour d'avoir contracté chez nous des emprunts avec la charge de payer les intérêts et les courtages, sans paraître se douter que c'est pour nous rembourser cet argent avec les intérêts en plus, il faudra bien qu'ils le tirent de leur poche. N'eût-il pas été plus simple de prélever cet argent sur leurs contribuables, au lieu de devenir nos tributaires pour des sommes qui s'augmentent chaque année du montant des intérêts à payer. Cependant nous avons su leur présenter la question des emprunts sous un tel jour qu'ils les ont crus tout à leur avantage ; voilà bien ce qui prouve une fois de plus la supériorité géniale de notre esprit.
Nos méthodes financières, présentées au moment opportun sous le grand jour des expériences séculaires dont les États goyim nous ont fourni la matière, se distingueront par leur netteté et leur précision et démontreront les avantages de notre nouveau système.»

-«Chap25/
/01- Pour compléter mon exposé de la séance précédente, j'ajouterai encore quelques explications concernant les emprunts nationaux. Je ne dirai plus rien des emprunts extérieurs, parce qu'il n'y en aura pas dans notre État. Le temps ne sera plus où les emprunts faits par les gouvernements des goyim alimentaient nos caisses avec leur argent national.
Nous avons profité de l'indolence des souverains et de la corruption des administrateurs pour encaisser des sommes doubles, triples (et plus considérables encore) de celles que nous avions avancées aux goyim et dont, en réalité, ils n'avaient même pas besoin. Qui donc en pourrait faire autant avec nous ?
Je vais exposer en détails la question des emprunts intérieurs. En annonçant l'émission d'un emprunt, le gouvernement ouvre une souscription pour l'achat de titres à intérêts qui ne sont pas autre chose que ses lettres de change. Pour les rendre accessibles à tous on leur fixe un prix allant de cent à mille. De plus, les premiers souscripteurs bénéficient d'une remise sur le prix de souscription. Dès le lendemain, on augmente artificiellement le prix des valeurs émises, sous prétexte que tout le monde se les arrache. Encore quelques jours, et l'on annonce que les caisses du Trésor débordent et que l'on ne sait que faire de l'excédent des souscriptions. (Pourquoi en a-t-on tant accepté ?) Donc, le montant des souscriptions dépasse de beaucoup celui de l'emprunt. L'effet recherché est atteint par là même; c'est comme si l'on disait : « Voyez de quelle confiance jouissent les lettres de change du gouvernement
/02- Mais quand le tour est joué, on reste en présence d'un lourd passif.
Pour en payer les intérêts, on est obligé de recourir à de nouveaux emprunts qui augmentent la dette initiale au lieu de l'amortir. Quand le crédit est épuisé, on se trouve dans la nécessité de prélever de nouveaux impôts, non pas
pour liquider l'emprunt, mais pour en payer les intérêts. Ces impôts ne sont donc qu'un passif qui couvre un autre passif...
/03- Arrive ensuite le moment ! Les conversions : elles ne font que diminuer le taux d'intérêt sans supprimer les dettes. De plus, les conversions ne peuvent se faire sans le consentement des prêteurs ; en les annonçant, on offre de restituer leurs fonds à ceux d'entre eux qui n'accepteraient pas la conversion proposée. S'ils exigeaient tous le remboursement, le gouvernement se trouverait pris dans son propre piège, piège qu'il avait tendu pour attraper les autres, et il se trouverait dans la situation d'un débiteur insolvable. Heureusement, les goyim, ignorants en matière de finances, ont toujours préféré les pertes au change et la baisse du taux à l'ennui de se mettre à la recherche de nouveaux placements ; ils ont ainsi fourni à leurs gouvernements la possibilité de combler maintes fois des déficits s'élevant à plusieurs millions. Mais aujourd'hui, avec les emprunts étrangers, on ne peut jouer de semblables tours, car les goyim savent que s'ils annonçaient une conversion, nous exigerions le remboursement intégral des capitaux.
/04- La banqueroute qui s'ensuivrait serait la meilleure preuve démontrant aux peuples qu'il n'existe aucun lien d'intérêts communs entre eux et leurs souverains.»

«J'attire tout particulièrement votre attention sur ce qui suit :
«/05- A l'heure actuelle, tous les emprunts nationaux sont consolidés par ce qu'on appelle la dette flottante, c'est-à-dire une dette dont le remboursement est à plus ou moins brève échéance. Cette dette se compose des sommes versées à la Caisse d'épargne ou à d'autres Caisses. Comme les fonds restent longtemps à la disposition du gouvernement, ils s'évaporent en paiements d'intérêts des emprunts étrangers et sont remplacés par une somme équivalente en titre de rente sur l'État. C'est cette rente qui comble tous les déficits dans les caisses publiques des goyim
/06- Après notre avènement sur le trône de l'univers, tous ces expédients financiers disparaitront totalement, parce qu'ils seront contraires à nos intérêts. Nous supprimerons également les bourses de valeurs, car nous n'admettrons pas qu'on puisse ébranler le prestige de notre pouvoir par la variation des prix de nos valeurs; ils seront fixés par nos lois, sans fluctuation possible. La hausse entraîne la baisse : nous avons commencé par faire la hausse pour les valeurs des goyim et nous n'avons pas tardé à passer à la baisse.
/07- Nous remplacerons les Bourses par d'immenses institutions de crédit officiel, dont le rôle sera de taxer les valeurs industrielles, conformément aux indications gouvernementales. Ces institutions seront à même de lancer en une seule journée pour 500 millions de valeurs industrielles sur le marché ou d'en acheter autant. Ainsi, toutes les entreprises industrielles dépendront de notre gouvernement. Vous pouvez imaginer quelle puissance nous acquerrons par ce moyen.»

-«Chap26/
/01 Nous créerons bientôt d'importants monopoles, réservoirs d'immenses richesses, dont dépendront à ce point les plus grosses fortunes des goyim qu'elles sombreront en même temps que le crédit de l'État, au lendemain du cataclysme politique. Vous tous, messieurs, ici présents, qui êtes économistes, veuillez peser toute la portée d'une pareille combinaison.
La suprématie de notre Super gouvernement ira grandissant; on le considérera comme le protecteur, l'introducteur et le rémunérateur du libéralisme. 

/03- II faut qu'en même temps nous protégions activement le commerce et l'industrie; surtout la spéculation dont le rôle est de servir de contrepoids à l'industrie. Sans la spéculation, l'industrie accroîtrait les capitaux privés, ce qui pourrait avoir comme effet d'améliorer le sort des agriculteurs en affranchissant les terres hypothéquées de leurs dettes envers les établissements de crédit foncier. Il nous faut, au contraire, que l'industrie arrive à drainer toutes les richesses agricoles et fasse passer en nos mains, par la spéculation, toute la fortune mondiale, en rejetant tous les goyim dans les rangs des prolétaires. C'est alors qu'ils s'inclineront devant nous, rien que pour obtenir le droit d'exister.
/04- Afin de ruiner l'industrie des goyim, aidant en cela l’oeuvre de la spéculation, nous introduirons dans les usages des goûts de luxe effrénés, d'un luxe absorbant tout.
/05- Nous élèverons les salaires, ce qui cependant ne laissera aucun profit aux ouvriers, parce que nous élèverons simultanément le prix des objets de première nécessité, en prétextant la décadence de l'agriculture et de l'élevage.
/07- Afin que les goyim ne voient pas le dessous des choses avant le moment voulu, nous le dissimulerons sous notre prétendu désir de servir les classes laborieuses – et les grands principes économiques proclamés par les théories économiques.

-«/09- Tandis que, au contraire, nous avons tout intérêt à voir notre ouvrier affamé et débile, parce que les privations l'asservissent à notre volonté et que, dans sa faiblesse, il ne trouvera ni vigueur ni énergie pour nous résister.
/10- La famine confère au capital des droits plus puissants que n'en a jamais conféré à l'aristocratie le pouvoir du souverain. Par la misère et par les haines envieuses qu'elle suscite, nous manoeuvrons les masses et nous nous servons de leurs mains pour écraser ceux qui nous gênent.

/16- Nous avons convaincu les goyim que le progrès les conduirait au règne de la Raison. Notre despotisme sera de nature à pouvoir pacifier par de sages rigueurs toutes les révoltes ; il éliminera le libéralisme de toutes nos institutions.
/17- A mesure que nous inculquions aux goyim des idées de libéralisme, les peuples s'aperçurent qu'au nom de la Liberté le pouvoir faisait des concessions et accordait des arrangements. Ils en conclurent qu'ils constituaient une force avec laquelle on comptait; et, croyant leurs droits égaux aux siens, ils se ruèrent contre le pouvoir ; mais, semblables à tous les aveugles, ils se heurtèrent alors à d'innombrables obstacles et se précipitèrent à la recherche d'un guide : tombant entre nos mains, ils déposèrent leur mandat aux pieds de nos agents.

/21- Le mot « Liberté » met en conflit l'humanité avec toutes les puissances, même avec celles de Dieu et de la nature. C'est pourquoi, à notre avènement au pouvoir, nous devrons effacer le mot même de « Liberté » du vocabulaire humain, comme étant le symbole de la force bestiale qui transforme les foules en fauves altérés de sang. II est vrai, cependant, qu'une fois rassasiés de sang les fauves s'endorment et qu'il est facile alors de les enchaîner, tandis que si on ne leur donne pas de sang ils ne dorment pas et se débattent.»


Bonne longue lecture, en attendant la suite prochainement qui consistera à jeter un regard sur certains personnages du monde économique algérien dopés par la culture talmude qu'ils ont ingurgitée, et dont ils tentent de nous en intoxiquer.

19 nov. 2013

Algérie : Bouteflika Président De La République, Un Désagrément Pour Les "Amis" De La Nation.

«Le Front de libération national (FLN) a appelé vendredi 8 novembre le Président algérien, Abdelaziz Bouteflika, à se représenter pour un quatrième mandat lors de la Présidentielle prévue en avril prochain. Un appel qui ne fait pas l’unanimité au sein du parti.» (AFP)
Pratiquement tous les quotidiens et média de la planète, reprennent en chœur le même message, diffusé par AFP (Agence France Presse), signe de l'importance de l'information et de l'attention que lui réserve les maitres de l'intrigue. La composition du message n'a pas été livrée à n'importe quelle organe, parce que le sujet est de plus haute importance pour les "prédateurs éternels", pour la gestion, le suivi et l'orientation des changements qui s'opèrent en Algérie, pays qui occupe et préoccupe. Dans la pratique le message a été dicté intégralement à toutes les rédactions de la nébuleuse internationale juive des média. Le sujet est crucial, aucune contradiction ou discordance ne doit risquer d'atténuer l'authenticité de l'information, présente ou à avenir, fabriquée dans les coulisses des think tanks. Car à partir du moment où Bouteflika est miraculeusement remonté sur scelle, l'agenda de la subversion s'est trouvé perturbé et risque de s'écrouler. Lui, déguste son thé à la menthe et temporise pour permettre une décantation des événements et confondre les "sorciers du Pharaon" qui découvrent les premiers, leurs tours de magie (la propagande). "Le tamis est entrain de tourner". Les candidats à la présidence, après s'être délecter sadiquement,et sans retenue de l'incapacité physique du Président, commencent à paniquer. La peur s'est saisit d'eux. Qu'Allah incruste dans leur coeur l'effroi et les rétribuent pour leurs mensonges, leurs convoitises, et leur soif de pouvoir.
Exemple : Signe de sa pathologie croissante, Casimodo Touati déclare que les élections sont déjà "truquées" !
Ailleurs sur le Web, le sioniste Algérie-Focus et sa plume venimeuse Amina Boumazza argumente son désaccord de la candidature et cite comme évidence des sources connues(*). Entendre, pour leur engagement sioniste et par leur animosité envers ce qu'Allah a béni sur Terre, et leur soutien de ce qu'Il a maudit.  Les analyses de ces rédactions (certifiées kosher) constitueraient la preuve que la perverse opinion de la donzelle est véridique. Hélas pour ces imposteurs, même le mensonge a ses limites et ses ressources sont épuisables !
Selon l'avis de nombreux philanthropes, passionnés de l'Algérie, la candidature de Bouteflika serait une défaite de la démoncratie que la juiverie internationale ne cesse de nous recommander, avec insistance, depuis 14 ans. Chacun à sa façon les Libyens, les Irakiens, les Égyptiens, les Afghanistans et les Yéménites jouissent égoïstement des bienfaits des changements démocratiques, particulièrement ceux inspirés des recommandations des sauveurs de l'humanité regroupés autour de BH Levy.  
Pourquoi les algériens s'entêtent-ils à refuser cette offre de mutation sociopolitique inspirée des discours des tenants du Nouvel Ordre Mondial Juif, qui lui puise sa grâce dans le Talmude sacré ? La réponse semble résider dans le refus de Bouteflika d'abdiquer. Selon la nébuleuse bienfaitrice internationale, menée par les talmudipèdes, il est l'obstacle ultime; le cheveu qui tombe dans les soupes électorales mijotées par les chefs de la cuisine mondialiste; ou encore l’intrus qui gâche la fête célébrée par le peuple libéré et l'opposition intronisée. 
Une autre raison plus tangible est, selon les théories conspirationnistes, percevable dans certains écrits attribués aux démons de Sion qui déclarent dans leurs Protocoles :
Chapitre I Première séance :
«06- L'idée de liberté est irréalisable, parce que personne ne sait en user avec juste mesure : il suffit de laisser le peuple se gouverner lui-même pendant quelque temps pour que cette liberté se transforme aussitôt en licence. Dès lors naissent des dissensions qui ne tardent pas à dégénérer en guerres sociales (civiles), dans lesquelles les États se consument et où leur grandeur se réduit en cendres. Qu'un État s'épuise dans ses convulsions intestines ou que les guerres civiles le mettent à la merci des ennemis extérieurs, il peut, dans l'un et l'autre cas, être considéré comme irrémédiablement perdu ; il est en notre pouvoir.»
«Il faut comprendre que la foule est aveugle, insensée, déraisonnée, qu'elle tend l'oreille à droite et à gauche. Un aveugle ne peut conduire un aveugle sans le conduire, au précipice ; de même les parvenus (Benflis, Touati, Benbitour, Rebainne,Yasmina, et consorts), issus de la foule – fussent-ils doués d'un esprit génial, mais non initiés à la politique – ne peuvent prétendre la diriger, sans perdre tout leur troupeau.»
«15- Seuls les hommes préparés dès l'enfance peuvent comprendre le langage et la réalité politiques. Un peuple livré à lui-même, c'est-à-dire à des parvenus issus de son milieu (les apprentis présidents), travaille à sa propre ruine par suite des querelles de partis qui naissent de la soif du pouvoir et des honneurs, et par les désordres qui en proviennent. Est-il possible aux masses populaires de raisonner avec calme et sans disputes, et de diriger les affaires de l'État qu'il ne faut pas confondre avec les intérêts personnels ? Sont-elles en mesure de se défendre contre les ennemis extérieurs ? C'est impossible. Un plan divisé en autant de têtes qu'il y en a dans la foule perd son unité ; il devient incohérent et inexécutable par suite des différentes interprétations qu'on peut y donner.»
«Un plan vaste et clair ne peut être élaboré que par un seul homme ; il coordonne tous les rouages des mécanismes de la machine gouvernementale. On en doit conclure qu'il est préférable pour le bien-être, d'un pays que le pouvoir soit concentré entre les mains d'un seul individu responsable. La civilisation ne peut exister sans le despotisme absolu, car elle n'est pas l’œuvre des masses, mais de leurs chefs, quels qu'ils soient. La foule est barbare, elle le prouve en toute occasion. Aussitôt qu'elle s'empare de la liberté (de l'idée de liberté), elle la transforme immédiatement en anarchie, qui est le plus haut degré de barbarie.»  
La leçon à retenir :
L'internet est un moyen d'éducation intarissable !
Éducation ! Éducation ! Le mot d'ordre est lancé, car c'est «l'Art de former une personne, spécialement un enfant ou un adolescent, en développant ses qualités physiques, intellectuelles et morales, de façon à lui permettre d'affronter sa vie personnelle et sociale avec une personnalité suffisamment épanouie.» (cnrtl.fr)
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(*) Note :
-afrik.com, un site "africain" (sic) qui affiche ses "liens utiles" : Presse Algérie/El Khabar/Liberté/El Watan/Le Quotidien d’Oran, soit le réseau rothschildien-laïc du pays. Que le monde est petit !

-RFI  
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