Paul Craig Roberts* écrit à propos de la dévalorisation et dépréciation de l'éducation, un phénomène mondial aliénant non-fortuit généralisé dans pratiquement tous les pays de la planète,. Son article
commence par :
"Lors de sa conférence de presse de fin d'année, le président russe Poutine a déclaré qu'une femme est une femme et un homme est un homme ", et il s'est dit confiant que les confessions religieuses de la Fédération de Russie auraient la fibre morale pour résister à l'intrusion de les valeurs corrompues et dégénérées du monde occidental."
Il ajoute :
"Pendant des décennies, peu de promotions ont lu un mot de Shakespeare. En effet, leur maîtrise de la langue anglaise est si faible qu'ils sont incapables de le lire. Les métaphores littéraires et artistiques utilisées pour véhiculer le sens leur sont inconnues. La littérature classique de la civilisation occidentale dans laquelle les vrais défis de la vie sont révélés est remplacée par Woke et les pleurnicheries des minorités. Essentiellement, les systèmes éducatifs produisent des barbares analphabètes. Les plus intelligents sont les plus bêtes de tous. Ce sont les geeks irréfléchis qui produisent les dispositifs de contrôle de l'État policier et la robotique inhérents à la révolution numérique. Le but de la révolution numérique est de supprimer l'indépendance, le but et le sens de la vie humaine. Nous n'aurons même pas le droit de conduire des voitures. La vie privée n'est pas seulement une valeur en voie de disparition, elle devient un non-mot, un mot dont le sens est incompréhensible pour tous sauf pour les personnes très âgées."
"Pendant des décennies, peu de promotions ont lu un mot de Shakespeare. En effet, leur maîtrise de la langue anglaise est si faible qu'ils sont incapables de le lire. Les métaphores littéraires et artistiques utilisées pour véhiculer le sens leur sont inconnues. La littérature classique de la civilisation occidentale dans laquelle les vrais défis de la vie sont révélés est remplacée par Woke et les pleurnicheries des minorités. Essentiellement, les systèmes éducatifs produisent des barbares analphabètes. Les plus intelligents sont les plus bêtes de tous. Ce sont les geeks irréfléchis qui produisent les dispositifs de contrôle de l'État policier et la robotique inhérents à la révolution numérique. Le but de la révolution numérique est de supprimer l'indépendance, le but et le sens de la vie humaine. Nous n'aurons même pas le droit de conduire des voitures. La vie privée n'est pas seulement une valeur en voie de disparition, elle devient un non-mot, un mot dont le sens est incompréhensible pour tous sauf pour les personnes très âgées."
(*) Il a été rédacteur et chroniqueur de divers journaux, notamment The Wall Street Journal et BusinessWeek, et il est l'auteur de huit ouvrages, portant notamment sur le marxisme ou le libéralisme.
Il s'est opposé résolument à la politique menée par le Président George W. Bush.
En politique extérieure, ses convictions sont à l'opposé de celles des néoconservateurs. Il s'est montré favorable à l'ouverture d'une enquête indépendante sur les attentats du 11 septembre 2001, a marqué son opposition à la guerre en Irak et a appelé les élus du Congrès à voter la mise en accusation de George W. Bush. Il est également très critique envers la politique américaine vis-à-vis de l'Iran.
En politique extérieure, ses convictions sont à l'opposé de celles des néoconservateurs. Il s'est montré favorable à l'ouverture d'une enquête indépendante sur les attentats du 11 septembre 2001, a marqué son opposition à la guerre en Irak et a appelé les élus du Congrès à voter la mise en accusation de George W. Bush. Il est également très critique envers la politique américaine vis-à-vis de l'Iran.
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