Deux évènements sans importance, véritables bulles d'air, sont amplifiés par les média de la subversion. pour détourner l'opinion de l'enjeu capital : les élections présidentielles !
Car l'élection est la clé de la sortie de la situation constitutionnelle transitoire. Cette phase de la libération du pays a été marquée par la restauration de l'indépendance de la justice qui s'est attaquée au pouvoir oligarchique pilleurs et aux politiciens véreux complices !
L'édifice du pouvoir lavigeriste scélérat traitre (certains lui préfèrent la qualification de "zouave") s'effondre, au grand désespoir des parasites qui en tiraient profit ($$$).
Les réseaux de l'ex-DRS, les parrains Toufik-Rebrab-Haddad-Nezzar-Ouyahia-Sellal, leurs média, leurs syndicats, leurs ONG, leurs politiciens, leurs divers agents, se débattent pour tenter d'empêcher l'instauration d'une nouvelle gouvernance au service d'un peuple qui s'est réveillé et pris conscience des enjeux et du vrai ennemi.
Derniers soubresauts de moribonds, ou de noyés qui s'accrochent à deux bouées :
1- La vague de protestations exigeant la libération des détenus d'El Harrach. Elle mobilise la issaba par son potentiel émotionnel (exemple :exploitation de l'image de Bouragaa à la gloire surfaite de commandant durant la guerre de libération, ayant usurpé le nom du vrai Bouregaa)
2- des jeunes révoltés amazighs formatés, brandisant le drapeau fourchetta, en réalité une fourchette plantée dans la cervelle (lobotomie fontale) !
Leur potentiel de nuisance (violence) est entretenu, le pouvoir occulte (Issaba) espérant en détonner le processus car il suffit d'un fou dans la foule pour générer la folie générale.
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