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12 févr. 2011

12 Février à Alger : Les Agents Provocateurs, Des ONG Promues Par Le Nouvel Ordre Mondial, Lancent Leur Offensive Subversive.

12 Février à Alger : Les Agents Provocateurs, Des ONG Promues Par Le Nouvel Ordre Mondial,  Lancent Leur Offensive Subversive.
Les commentateurs spécialisés dans l'observation des manœuvres géopolitiques initiées par les tenants du Nouvel Ordre Mondial (NOM), sous la direction des banquiers juifs-talmudes, Rothschild et Rockefeller, s'accordent à décrire les événements ayant secoué l'Afrique du Nord comme le prélude à une grande offensive de déstabilisation et à l'instauration du chaos. Les agents locaux de la société civile et des ONG internationales ont été longuement conditionnés pour remplir le rôle " d'armes silencieuses pour une guerre subversive sans heurts ".
F. William Engdahl *, sur  "voltairenet.org", conteste  l'opinion publiée par les média dominants, il affirme  «qu'il n'existe rien de spontané dans les mouvements de protestation de masse dans les pays arabes et les considère comme une réduplication des révolutions de couleur orchestrées par les USA qui avaient déclenché un changement de régime dans les pays de l'ex Union Soviétique. Le même scénario et les mêmes acteurs sont à portée de main: les leaders de l'opposition locale guidés et accompagnés par les organisations de la NED **et d'autres, financés par les États-Unis dans l'art de mettre en place des révoltes «spontanées». Les contours de lastratégie sous-jacente des États-Unis pour la région ont été clairs depuis un certain temps. La question est-ce que ça va marcher ? » 
Toutes les forces en présence ont derrière elles des acteurs suspects, tous issus du "système" qu'ils prétendent vouloir liquider, et tous avec des liens extérieurs étrangers encore plus suspects. Quelques exemples :
-Ahmed Benbitour, l'homme du FMI et De la Banque Mondiale, donc des banquiers juifs, il est l'agent et le représentant des intérêts des usuriers dont l'Algérie s'est définitivement dissociée en  recouvrant son indépendance financière, voir son indépendance tout court. Tous les subterfuges qu'il utilise, les "cercles", les "manifestes", et dernièrement "l'alliance sacrée" (sic), sont des leurres brassant large dans les milieux d'idiots utiles travestis en "intellectuels". Ce mouvement tente de recruter les crédules qui croient "penser" sans adhérer au RCD, un autre regroupement à l'arôme "intellectualisant" amazéro-laïque.
Benbitour muni de son Phd  de bons services rendus à la Banque Mondiale est le cheval de Troie qui tenta de pénétrer dans l'enceinte du pouvoir en y introduisant les Shylock du FMI. Ses idées libérales concernant la dette extérieure ont alerté Boutéflika qui l'a seulement congédié, alors qu'il méritait la chaise électrique pour haute trahison, sa collusion active avec les forces ennemies. Un déculotté sans pudeur, il revient à la charge en tentant une nouvelle opération de sabotage, via la mobilisation des masses.   
-Mouloud Hamrouche, un spécialiste de la météo recyclé en architecte urbaniste, et à ses heures libres, caisse de résonance d'ambitions françaises des nostalgiques de l'Algérie "indépendante sur papier", autrement dirigée par le 2em Bureau français. Un opportuniste de toutes les idéologies, qui comme la météo est variable et imprévisible. L'homme au parapluie d'accompagnateur, un traitre à la nation baignant dans la suffisance et le mépris des siens se lève à la tribune de l’Académie Diplomatique Internationale, à Paris, mendiant un appui pour se replacer sur l'orbite d'une nouvelle carrière politique. Sait-on si son verbiage d'écolier lui a rallier un quelconque appui de ses "très chers frères"(***).
-Said Saadi, le personnage le plus coté à New York, Paris et Londres, pour sa capacité opérationnelle à créer des troubles dans le pays. Il est une sorte de missile, lancé par la NED(**), à plusieurs têtes nucléaires représentées par les utopies: la laïcité, l'amazéghité, les Droits de l'homme, la démocratie, le modernisme, etc...
Dans le cadre de sa formation, ses fréquentes "réunions de travail" avec les Américains, en Algérie et aux USA, font de lui un investissement sûr du NOM. Ses initiatives au sein de la société civile sont concentrées autour de manifestations de masse selon les techniques développées et affinées lors des révolutions de couleur, comme le signale Engdahl (*) et de nombreux analystes et militants dénonçant le NOM.
Il dispose d'ailleurs d'une bonne équipe de jeunes cadres, boursiers formés aux USA, rompus aux techniques de manipulation des foules et à l'art de la provocation verbale et physique.  
-Un ex militaire, le général Rachid Benyellès (****), lui aussi grand opposant au "système", rejoint la fanfare des démocrates en herbe et ne ménage pas son animosité envers Bouteflika, ceci depuis 1999, pour des raisons qu'on ignore mais sans doute parce qu'il n'a pas été suffisamment décoré pour les victoires remportées sur les champs de bataille des coopératives désapprovisionnement  qui ne lui ont valu que le dérisoire grade de général. Peut être que "maréchal" aurait été plus équitable. Sa tribune favorite est le quotidien sioniste Le Monde où il publie ses analyses, une pratique honteuse pour un ancien ministre de la défense de l'Algérie, s'adressant d'un pays qui a presque annihilé notre nation.
Ne prétendant pas épuiser la liste de toutes les organisations engagées dans la contestation, je me dois de mentionner une particulière, celle des "Ulamas", qui durant la colonisation ne s'était jamais prononcée pour l'indépendance de l'Algérie et avait préféré déléguer le Cheikh Ben Badis (*****), en mission à Paris, pour aller mendier "l'assimilation" devant l'Assemblée Nationale Française, une démarche dégradante heureusement sans suite. Plus prudente aujourd'hui, et anticipant peut être un changement (aléatoire) dans la gouvernance du pays, elle a décidé d'embrasser une ligne plus révolutionnaire et se disculper des déboires historiques infâmes du siècle dernier.
Fidèle à leur opportunisme et ne craignant pas l'innovation hasardeuse en Islam, les suppôts religieux tapis à l'ombre de l'assimilation et du socialisme spécifique d'hier, montent aujourd'hui dans le train de la rébellion populaire, une action en accord avec leur mission d'incitation à la division et à la discorde au sein de la Oumma. Wikipedia offre une biographie de ces rénovateurs, El Okbi en est un exemple typique : 
«Il fonda en 1935, au Cercle du progrès, l’Union des croyants monothéistes et devint un ami du grand orientaliste français Louis Massignon«Sur le plan politique il était considéré comme modéré en comparaison des positions affichées par Messali Hadj, leader du mouvement indépendantiste, Parti du peuple algérien. El Okbi était partisan d'une indépendance octroyée progressivement et un des rares oulémas partisans du bilinguisme.»    
Un bref résumé :
Jamais dans l'Histoire de l'Algérie un événement, celui prévu pour le 12 Février 2011, n'a réunit autant de forces renégates, déloyales et collaboratrices de l'ennemi. Ce qui symboliquement souligne les enjeux de ces "manifestations spontanées" qui ont perdu toute leur innocence et sincérité, pour devenir une arme silencieuse aux mains des troupes en civil, celles d'une nouvelle génération de harkis, dont la malveillance est aujourd'hui bien plus ingénieuse et sordide qu'elle ne l'était avant '62. Les jeunes qui risquent d'être entrainés dans cette aventure, sont les victimes d'une manipulation qui mobilise des ressources humaines et matérielles (celles de la NED) aux dimensions insoupçonnées. Les armes silencieuses de destruction massive sont l'arsenal qu'utilisent ces félons. Ceux qui les sous-estiment souffrent de cécité et risquent de se retrouver enchainés aux pieds d'ennemis impitoyables, ennemis que nos démocrates et leurs soutiens médiatiques tentent d'introduire furtivement dans notre demeure.   ___________________________________________________________
(*) Un analyste américain de l'évolution politique et économique captivant un important lectorat et dont les articles ont paru dans de nombreux journaux et magazines et sur des sites internationaux connus . De nombreux livres publiés par F. William Engdahl incluent, " Full Spectrum Dominance : Démocratie totalitaire dans le Nouvel Ordre Mondial ", " Les Dieux de l'argent : Wall Street et la mort du siècle américain " 
et " Seeds of Destruction : The Hidden Agenda of Genetic Manipulation", " Un siècle de guerre: Politique Anglo-American du Pétrole et le Nouvel Ordre Mondial " vient d'être réédité dans une nouvelle édition. Il peut être contacté via son site web.
(**) «Depuis 30 ans, la National Endowment for Democracy (NED) sous-traite la partie légale des opérations illégales de la CIA. Sans éveiller de soupçons, elle a mis en place le plus vaste réseau de corruption du monde, achetant syndicats ouvriers et patronaux, partis politiques de gauche et de droite, pour qu’ils défendent les intérêts des États-Unis au lieu de ceux de leurs membres. Thierry Meyssan décrit ici l’étendue de ce dispositif.» (Lien instructif)
(***) Salutation maçonnique.
(****)Le général 
(*****) Soulignons le fait que le Cheikh, avec M. Bachir El Ibrahimi et T. El Okbi , est un des fondateurs du réformisme, version du wahhabisme qu'ils ont adopté durant leur séjour à Médine, rite qui nous a légué l'Islahisme, le Salafisme, et tous les "ismes" hérétiques qui ont divisé les Musulmans et semé l'horreur dans le pays.
( lien pour plus d'info).  

11 févr. 2011

À L'Odeur Du Sang, Hyènes et Vautours Sillonnent À Nouveau La Savane, Mais Le Vieux Lion Fait Front Aux Charognards.(2em partie)

La révolution des fleurs réveille les démons de toutes les confessions et les unit comme par miracle.
Les thèse-antithèse, islamiste-laïque, se bousculent aux portes des palais pour la prise du pouvoir accompagnées par les média affiliés aux deux idéologies. El Watan et Ecchourouk s'agitent chacun à sa manière à promouvoir leurs vues en ciblant le pouvoir, ou plus souvent le "système". La Tunisie puis l'Égypte ont donné matière à débattre sur la libération des peuples, leur bien être, leur émancipation, leur liberté, leurs droits multiples, en bref
leur retour à l'Éden perdu. Qu'en est-il en réalité des théories auxquelles les idéologues de chaque camp tentent de recruter des adhérents qu'ils incitent à la révolte contre le "système" ?
1- La Tunisie : Un avis d'expert, l’africaniste Bernard Lugan qui ne se réjouit pas de la chute du régime tunisien :
«1) Certes le président Ben Ali n’était pas l’illustration de la démocratie telle que la connaissent une trentaine de pays sur les 192 représentés à l’ONU, certes encore, de fortes disparités sociales existaient en Tunisie, mais, en vingt ans, il avait réussi à transformer un État du tiers monde en un pays moderne attirant capitaux et industries, en un pôle de stabilité et de tolérance dans un univers musulman souvent chaotique. Des centaines de milliers de touristes venaient  rechercher en Tunisie un exotisme tempéré par une grande modernité, des milliers de patients s’y faisaient opérer à des coûts inférieurs et pour une même qualité de soins qu’en Europe, la jeunesse était scolarisée à 100%, les femmes étaient libres et les filles ne portaient pas le voile.»
«2) Aujourd’hui, tout cela est détruit. Le capital image que la Tunisie avait eu tant de mal à constituer est parti en fumée, les touristes attendent d’être évacués et le pays a sombré dans le chaos. Les journalistes français, encore émoustillés à la seule évocation de la « révolution des jasmins » cachent aux robots qui les lisent ou qui les écoutent que le pays est en quasi guerre civile, que les pillages y sont systématiques, que des voyous défoncent les portes des maisons pour piller et violer, que les honnêtes citoyens vivent dans la terreur et qu’ils doivent se former en milices pour défendre leurs biens et assurer la sécurité de leurs familles. Les mêmes nous disent doctement que le danger islamiste n’existe pas. De fait, les seuls leaders politiques qui s’expriment dans les médias français semblent être les responsables du parti communiste tunisien. Nous voilà donc rassurés…»
2- L'Égypte et l'Islamisme : la "Thèse" : Les partis islamistes, loin de ma prétention de leur attribuer le qualificatif vertueux de "représentants de l'Islam" tant leur nature et leur histoire les distancent du rôle de bienfaiteurs des Musulmans, se lancent dans le calcul politique et se positionnent dans la course au pouvoir. Tous les observateurs, W.Tarpley en particulier, les montrent du doigt comme des agents de la CIA et de MI6. Dés les années 1920, les liens tissés entre les dirigeants des Ikhwan (M. Abdou, Syed Qotb) et les services secrets britanniques sont à l'origine de la création d'un refuge à Londres pour les exilés "Frères Musulmans".  Depuis les années 1950, selon l'ancien fonctionnaire du renseignement William Baer : «La CIA a renforcé son soutien aux Frères musulmans en raison de la capacité remarquable de la Fraternité à renverser Nasser.» 
Les chroniqueurs de l'Histoire contemporaine sont unanimes à reconnaitre les relations incestueuses des services secrets britanniques, de la CIA et du MOSSAD avec les groupes de "djihadistes", les Ulamas de la dissidence et les dirigeants des partis islamistes, tous hébergés à.....Londres !
Le GIA algérien en est un exemple, et ses sévices contre le peuple musulman de ce pays illustrent clairement la démence qui agite l'âme de ces monstres que la " Executive Intelligence Review" du 13 Octobre 1995 (Lien) décrivait en détails, et démontrait leur appartenance à quelque secte satanique par l'insanité de leurs actes et convictions. Folie orchestrée de Londres, par les éditeurs de El-Ansar et des fetwas extravagantes d'un ramassis de psychopathes sortis des laboratoires de la CIA. 
Extraits de EIR cité ci dessus :
«Sheikh Abu Al Qatadeh Falastini (Le Palestinien) a vécu à Peshawar, au Pakistan à la frontière afghane jusqu'en 1992, puis s'installe à Londres, où il a obtenu l'asile politique très rapidement. Abou Moussab Al Suri («le Syrien»), a épousé une femme espagnole pour obtenir un passeport espagnol, et voyage régulièrement entre la Suède et Londres. Abdelkarim Denesh, qui est un distributeur de Al Ansar en Suède et à Londres, est un citoyen algérien, avec passeport ordinaire (réglementaire) et un permis de séjour permanent en Suède. Denesh, qui est recherché par les autorités françaises après l'attentat du métro parisien, a été engagé en Afghanistan pour des opérations humanitaires avant de devenir actif sur la scène algérienne. Impliqué dans des opérations financières scabreuses, il aurait reçu un chèque de 70.000 $ de Londres.» 
Abou Qatada : sous les applaudissements  de l'Archevêque de Canterbury !
«Abu Qatadeh, selon Al Hayat (Kamil Al Tawil, Londres, 22 août), a été accusé, avec Abou Moussab, par le FIS de la diffusion de fatwas [décrets religieux] pour le fameux Groupe islamique armé (GIA) d'Algérie, selon à lesquelles la mise à mort des femmes et des filles de soldats algériens, de policiers et du personnel de sécurité, est un "acte juridique licite" en vertu de la charia islamique.» (Sic)
Etc, etc...
Le pardon du peuple et celui des autorités ne semblent réveiller aucun remord ni justifier la moindre gratitude de la part de ces humanoïdes. Le comble est de retrouver le même entêtement à poursuivre la voie de la déraison, après dix ans de réconciliation nationale, chez le quotidien Ecchourouk, qui exécute une volte face et jubile à propos des frères musulmans d'Égypte !
3- Les ONG et les partis laïques, soit "l'anti-thèse":
Les soi-disant "dissidents égyptiens" rencontrent Hilary Clinton, en 2009.

Les sociétés civiles sont également courtisées, selon globalresearch : «Bien que les États-Unis ait soutenu le gouvernement de Moubarak au cours des trente dernières années, les fondations américaines ayant des liens avec le département d'Etat Américain et le Pentagone ont activement soutenu l'opposition politique, y compris le mouvement de la société civile. Selon Freedom House: ". L'Égyptien de la société civile est à la fois dynamique et plein de retenue. Il y a des centaines d'organisations non gouvernementales qui se consacrent à propager la politique des droits civils et  dans le pays, opérant dans un environnement très réglementé." (Communiqués de presse de Freedom House). »     
«Les efforts de la Freedom House de confier à une nouvelle génération de militants ont donné des résultats tangibles et le programme de la " nouvelle génération" en Égypte a pris de l'importance à la fois localement et internationalement. Des boursiers de tous les groupes de la société civile ont reçu [mai 2008] une attention sans précédent et la reconnaissance de leur travail, y compris des réunions à Washington avec la secrétaire d'État Américaine, la National Security Advisor, et des membres éminents du Congrès. Selon les termes de Condoleezza Rice, les boursiers représentent «l'espoir pour l'avenir de l'Egypte.
Une démarche semblable est à noter pour l'Algérie, les boursiers émanent dans ce cas du RCD , avec à leur tête SS (Said Saadi)  ! 
Dernièrement, un article d'El Watan( complice de l'Ambassade des USA à Alger) vantait les bienfaits de la participation de 6 Algériens-Algériennes à la 6e conférence du modèle des Nations Unies à Doha :«Des étudiants algériens, "ambassadeurs juniors"».
Soulignons le rôle perfide d'El Watan dans cette opération de détournement de jeunes innocents livrés aux experts du renseignement et des psychologues chevronnés de la CIA, qui vont modeler et endoctriner ces zombis aux préceptes de la gouvernance tyrannique du Nouvel Ordre Mondial Juif !
Un vrai crime, prémédité ! 
Les mêmes procédés et tactiques sont testés, en s'appuyant sur les marches "pacifiques" pour créer le terrain idéal des confrontations de masse durant lesquelles les dérapages de part et d'autre sont les plus probables. Car plus il y a de victimes et plus le capital "persuasion" des manipulateurs de foule est élevé, permettant d'alimenter les griefs des "démocrates".  
Machiavélique ! 
Qu'importe, ceci n'empêchera pas le papillonné SS de s'exhiber au prochain Festival de Cannes, au côté de son ami Bernard Henry Levy !
Les outils modernes des média sociaux Facebook, Twitter, les blogs, sont vulgarisés pour la "people révolution" mise en marche dans les salons du Pentagone. Révolution fomentée, définitivement non spontanée, et pas le résultat de tiraillements abdominaux dus à la faim. Mais pure subversion s'appuyant sur les collaborateurs locaux. Peut-on leur adresser l'accusation de haute trahison ?  
Conclusion :
Chacun est libre d'arrêter son verdict.
Mais une chose est certaine, pendant que les déclarations contradictoires, des partisans des "révolutions" et les défenseurs du statu-quo, tentent de dominer les débats dirigés par les média, les pouvoirs de l'ombre œuvrent patiemment à préparer le terrain pour la confrontation qui opposera les deux camps antagonistes et irréconciliables, schématisés par "thèse" et "anti-thèse", confrontation qui devrait mener au stade de non retour,  le chaos généralisé, la "synthèse" et objectif ultime du Nouvel Ordre Mondial. Ordre qui compte Obama parmi ses humbles et disciplinés serviteurs !