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16 mars 2010

La Veuve Noire: Nostalgiques Juifs d'Algérie.(Complémenté)

 La visite de sites juifs qui se spécialisent dans l'exaltation nostalgique et plaintive de l'origine algérienne de leur communauté, est rafraîchissante, tant elle permet d'actualiser la perception de l'humeur politique des communautés séfarades.
"Harrissa" et Zlabia" ont des consonances  gastronomiques qui ne devraient cependant pas tromper le visiteur sur l'objectif de tels outils médiatiques, qui demeurent des instruments subtils d'ingénierie sociale.
Le but annoncé est "d'offrir un lieu de rencontre" aux membres de cette communauté juive originaire d'Algérie.Minorité qui a, selon ses avocats, enduré un "exil forcé", survenu après 1962, date de l'indépendance.
Selon leur déclaration: «principalement par peur de représailles des "hordes" du FLN qui mettaient en péril la vie même de ces Français de confession juive
Ce résumé condensé des réalités historiques reflète la pensée de la communauté juive, qui après 50 ans et les revers endurés sous le régime sioniste en Israël, ou ailleurs, redécouvre ses origines nord africaines.Cette article est destiné à exposer une partie de la malhonnêteté intellectuelle des écrivains qui traitent de l'histoire de leurs coreligionnaires en Algérie. Ces historiens sont avant tout les "gardiens d'enceinte" du mythe de "l'oppression du juif".Ce concept fallacieux est défendu avec acharnement par les imposteurs sionistes car c'est le vernis qui dissimule leur  idéologie réelle. Une toison d'agneau dont se couvrirait le loup  prédateur impitoyable, pour duper ses victimes.Mais je préfère l'analogie du serpent, sournois et silencieux, camouflé par la végétation (le milieu social) qui peut dévorer une proie dix fois son poids.Capacité démontrée dans l'Histoire contemporaine par cette minorité  qui littéralement "phagocyte", socialement, économiquement, et politiquement, la majorité goyim.Telle est la fonction essentielle des juifs-sionistes dans le Monde.
Pour ce qui concerne l'agitation que les séfarades orchestrent à travers des sursauts de revendications, de réclamations, d'accusations, ou de protestations, canalisées par leurs puissants média, il est intéressant d'en connaître les motifs non avoués, cachés. Ceux-ci peuvent être observés à travers les chroniques de leurs historiens,  à l'image de Benjamin Stora, un "spécialiste" de l'histoire contemporaine d'Algérie. Le "cœur ayant sa raison", il est naturel que l'historien abandonne, dés son approche  de  l'Algérie, son impartialité, qui fait place à son parti pris chauvin, qui est sans concessions. De  toute manière le Talmud lui interdit formellement de témoigner contre ses coreligionnaires, au risque qu'encourir la peine de mort ! 
Marxiste révolutionnaire et Trotskyste, impliqué activement dans les groupes subversifs néo-conservateurs de la "gauche", de défense des droits (sélectifs) de l'homme (Human Watch,), sympathisant des partis sectaires algériens à consonance culturelle mais à "résonance" séparatiste et "dissensioniste", FFS, RCD, et  surtout MAK.
L'homme est le modèle parfait du "Gardien d'enceinte" et a été investi de la mission consistant à gérer, canaliser, censurer, influencer, moduler, le cours des événements, mais surtout leur interprétation. Toujours selon la tendance que "l'éternel conspirateur" a désignée pour préserver son quadrillage de l'opinion et raffermir sa tyrannie de la pensée libre et des idées indépendantes.Technique et stratégie pour un contrôle progressif de la planète.
Il est intéressant de voir combien les vues subjectives de ces  marchands d'Histoire dissimulent leur rôle partisan dans l'aiguillage des événements et le modelage de leur interprétation. Car sous le masque  de ces historiens et observateurs, sommeille un militantisme politique  et religieux, étroit et incontournable, qui indiscutablement les dépouille du critère d'objectivité scientifique, qui est la qualité du témoin neutre lors de l'observation et description des faits.Notre Benjamin arpente la scène historique, en dissimulant ses croyances politiques et religieuses sous sa tenue professionnelle, la pompeuse  "expertise" . Sa stratégie consiste à gagner la confiance aveugle de ses victimes par l'étalage de ses connaissances sur l'Algérie, gage de sa compassion pour le pays et son peuple.Une fois réconforté par la confiance et la naïveté de ses amis et dupes, il commence à distiller le "poison" du mensonge et de la diversion dans le "miel" du thème qu'il traite.Comme lorsqu'il aborde le chapitre  "juifs en Algérie", dans lequel il démontre une indulgence indécente pour la communauté auquel il appartient, et dont il tente de blanchir les crimes et les malversations. Déculotté, et dénoncé pour ses opinions politiques excessives, qui avaient pris l'allure d'activisme menaçant l'ordre publique, il s'est replié vers la France. De là l'enfant du sionisme-talmudisme s'est recyclé, ouvertement, dans le militantisme anti-algérien, mettant à nu ses vrais convictions.   Récemment, Stora le "spécialiste" de l'histoire d'Algérie, a carrément déposé sa plume de scribe de l'histoire officielle (des éditeurs  juifs), et rejoint les rangs de la nébuleuse qui depuis 10 ans s'éreinte inutilement  à vouloir entraver la mission de Bouteflika. Président dérangeant le système de gouvernance frauduleux, le pouvoir de l'utopie révolutionnaire. Ce même dogmatisme auquel Benyamin Stora prétend vouer de la passion: la démagogie populiste et l'utopie du marxisme-trotskisme.
La gestion pragmatique adoptée par Bouteflika, qui s'est distancé des "ismes" , est la cible de cette tempête médiatique contre l'Algérie.Orchestrée bien sûr par le cartel mondial occulte du sionisme-talmudisme  (voir les articles, Lien1, Lien2, Lien3, Lien4). Les fables mensongères et  les analyses orientées de l'histoire ne pouvaient trouver meilleure terrain de confusion  que lorsqu'elles abordent le passé des juifs en Algérie. Ces pieds noirs drapés de nostalgie culturelle et de fanatisme religieux, 
refusent toujours d'assumer leur participation et leur responsabilité dans les crimes commis contre la majorité musulmane.Cette communauté séfarade, étrangère à l'Algérie, tente le blanchiment des actes criminels de leurs aïeux et contemporains, et n'a jamais abandonné sa haine de l'islam, d'où les intrigues instiguées subtilement sous le couvert de "publications historiques". Le stratagème est classique: reporter le tort sur l'adversaire, le FLN et combattants armés, et se posturer comme victime, en occultant de manière grossière les opérations belligérantes personnelles, dont
-La colonisation  provoquée par les malversations financières des banquiers et marchands juifs;
-Le ralliement des juifs de France à leurs coreligionnaires algériens avec un soutien illimité 
matériel, moral et légal;
-La collaboration collective active avec la France dans sa campagne de génocide et plus tard avec Israël pour concrétiser le transfert du nucléaire au prix d'essais criminels, opérés et supervisés par les Juifs Français et Israéliens à Reggane, au détriment des populations musulmanes qui endureront éternellement les séquelles des expériences nucléaires; 
-L'implication des politiciens les plus virulents, ceux qui ont défendu "l'Algérie française" et engagé les actions les plus meurtrières contre la population musulmane (Mittérand, Messmer, Soustelle, Debré et autres juifs).
-Puis l'OAS:  (WikiPedia) «Les juifs pieds-noirs et l'OAS»
«Pendant cette période, la communauté juive s'oriente d'une manière générale vers une attitude neutre. (sic).Les organisations communautaires font preuve d'une extrême modération et refusent de prendre politiquement position, car elles considèrent que cela ne les concerne pas, pourtant certains s'engagent au sein de l'OAS, de manière individuelle comme Jean Ghenassia qui deviendra le lieutenant de Joseph Ortiz (selon Emmanuel Ratier), ou collectivement comme à Alger et à Oran où ils seront particulièrement actifs. Regroupés au sein des « Commandos Colline », ces groupes sont liés aux réseaux France Insurrection conduits par Elie Azoulai et Ben Attar. Ils assassineront certains élus musulmans, essaieront de mettre le feu à la prison où sont détenus des hommes du FLN et abattent des officiers français, comme le Lieutenant-Colonel Pierre Rançon, chef du 2e Bureau d'Oran, chargé de la lutte anti-OAS.»
A propos d'OAS, observons les faits d'armes de cette pègre de généraux  dont la bravoure défaillante et l'ingénuité chancelante, dans la jungle Indochinoise, s'étaient métamorphosées en héroïsme et  génie militaire, dans.....les ruelles d'Alger.
sur les murs d'Alger - mars 1962
«L'OAS, Organisation Armée Secrète, fut constituée en 1961, à l'instigation des généraux Salan et Jouhaud et d'hommes politiques comme Jean-Jacques Susini ; elle tenta par tous les moyens - attentats en Algérie et en France - de s'opposer à la politique algérienne du général de Gaulle. Quand il fut clair que l'indépendance de l'Algérie était inexorable, l'OAS pratiqua la politique de la terre brûlée. Le terrorisme aveugle de l'OAS contribua au départ d'Algérie de la grande majorité des pieds-noirs.»
«Jean-Marie BASTIEN-THIRY - né en 1927 - lieutenant-colonel, ingénieur de l'armement - organisateur des attentats de Pont sur Seine et du Petit-Clamart contre de Gaulle. Condamné à mort et fusillé au fort d'Ivry, le 11 mars 1963.
Roger DEGUELDRE - né en 1925;Le lieutenant Roger Degueldre a été fusillé le 5 juillet 1962 au fort d'Ivry. Ancien maquisard F.T.P. engagé dans l'armée à la Libération et passé à la Légion, il gagna ses galons en Indochine puis en Algérie. Déserteur le 22 avril 1961 lors du putsch des généraux à Alger, il devient le responsable des "commandos Delta" de l'OAS qui exécutent assassinats et actes de terrorisme. Degueldre fut condamné à mort par la Cour militaire de justice le 28 juin 1962.
Albert DOVECAR et Claude PIEGTS, qui avaient sous les ordres de Degueldre participé à l'assassinat du commissaire Gavoury, ont été fusillés le 7 juin 1962.
Edmond JOUHAUD - général - né à Bou Sfer (Algérie) en 1905 - il fut la cheville ouvrière du putsch d'avril 1961, puis chef de l'OAS en Oranie. Arrêté le 25 mars 1962, il est condamné à mort le 13 avril 1962 ; sa peine est commuée le 28 novembre 1962, en prison à vie, et il est libéré en décembre 1967. Il est décédé en septembre 1995.
Raoul SALAN - général -  né en 1899, décédé le 3 juillet 1984 à Paris. Général de division sous de Lattre pendant la campagne de 1944/1945, il fut nommé commandant en chef en Indochine (1952/1953) puis en Algérie (1956/1958). Il se rallia au général de Gaulle lors des événements de mai 1958, mais, partisan de l'Algérie française, il rompit avec lui. Il fut l'un des organisateurs du putsch des généraux (avril 1961) ; puis il fonda l'OAS. Condamné à mort par contumace (11 juillet 1961), puis arrêté à Alger (20 avril 1962) ; sa peine est commuée en détention à vie (23 mai 1962). Amnistié en 1968, il fut réhabilité en novembre 1982.»
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Rappel historique



 (Lien):"les juifs de l’Algérie coloniale", extraits de «La guerre d’Algérie, de la mémoire à l’histoire», Hassan Remaoun et Gilles Manceron.
-1- «Avec la conquête de l’Algérie, en 1830, les Juifs algériens, dont quelques-uns connaissaient le français, avaient accueilli assez favorablement l’arrivée des nouveaux arrivants et étaient devenus des sortes d’intermédiaires(lire collaborateurs, traîtres envers l'Algérie, leur "chère" patrie)  entre colonisateurs et autochtones. Étant vite entrés en contact avec les représentants des Juifs de France, émancipés depuis la Révolution française (puisque la destruction de la Royauté, par les agents de Rothschild est qualifiée "d'émancipation" au lieu de coup d'état), c’est-à-dire devenus des citoyens français relevant individuellement de la loi française(une farce fabriquée par les juifs contrôlant  toute la hiérarchie gouvernementale, dont symboliquement le Ministère de la Justice, Mr Crémieux!)  au prix de la perte de leur "statut personnel" juif antérieur (juridiction des tribunaux rabbiniques sur les mariages, les divorces et les successions), les Juifs d’Algérie avaient subi leur influence et aspiré à la même condition.»
-2- «L’administration militaire française avait supprimé peu à peu l’autonomie interne des communautés juives     d’Algérie.» «A partir de 1845-1850, les Juifs d’Algérie, soutenus par les libéraux et des notables musulmans, avaient commencé à revendiquer la citoyenneté française. Elle leur avait été accordée d’abord par Napoléon III, par le sénatus-consulte de mars 1870, puis, après la proclamation de la République, par le décret connu sous le nom de décret Crémieux, précisé en octobre 1871 par l’Assemblée nationale.»
Le rejet massif de la citoyenneté algérienne par les juifs qui ont rallié leurs coreligionnaires français par leur adoption  de la citoyenneté française après le décret Crémieux(1870)(du nom de leur coreligionnaire Adolphe Crémieux, ministre de la justice de la France, France déjà sous domination juive).
-3-«....le 7 octobre 1940, le gouvernement de Vichy abrogea le décret Crémieux, retirant aux Juifs tous leurs droits à la citoyenneté française et refaisant d’eux des "indigènes" au même titre que les Musulmans, ce n’était pas uniquement le résultat de la politique décidée en métropole mais aussi la conséquence de cet antisémitisme persistant au sein de la société européenne d’Algérie.»«La mémoire française a préféré retenir l’idée d’une cohabitation difficile entre les Juifs et les Musulmans d’Algérie, projetant rétrospectivement les conflits venant après la Seconde Guerre mondiale, alors que les incidents furent rares entre ces deux communautés et souvent suscités par des antisémites européens à la recherche de troupes pour commettre des violences».
-4- «Ce ne fut que le 20 octobre 1943, soit près d’un an après le débarquement allié en Afrique du Nord - le Service des questions juives d’Alger étant resté ouvert jusqu’en mars 1943 -, que le Comité français de libération nationale accéda à la demande des Juifs d’Algérie de recouvrer leurs droits politiques de citoyens, demande à laquelle les notables musulmans, qui formulaient la même pour tous les Algériens, étaient loin d’être hostiles. Quant aux responsables européens de la répression anti­-juive, ils ne firent, pour la plupart, l’objet d’aucune poursuite.»
-5-Acte final (1956), le FLN demande à la communauté juive de se positionner par rapport au conflit, la guerre d'indépendance:
«La dernière étape du processus d’intégration des Juifs d’Algérie à la communauté européenne correspondit à la guerre d’Algérie. En 1956, un appel du FLN les incitait à soutenir le mouvement pour l’indépendance, ce que firent un petit nombre d’entre eux, mais la grande partie était déchirée entre ses racines algériennes et son attachement à la France, où se mêlaient, selon les cas, un attachement au statut de citoyenneté qu’elle leur avait finalement assuré et une nostalgie de la société coloniale, où ils occupaient, malgré tout, pour beaucoup d’entre eux, une situation privilégiée par rapport à la masse de la population. [...] Les Juifs d’Algérie avaient peur que la France ne se soucie que des Français ou des Européens "de souche" et que leur citoyenneté française, rétablie moins de vingt ans plus tôt, ne soit de nouveau remise en cause. A leur demande, les accords d’Évian précisèrent que les Juifs d’Algérie seraient considérés comme européens et la France prit même, en 1961, à la veille de l’indépendance, une mesure donnant la citoyenneté française aux quelques Juifs habitant, hors des limites des départements d’Algérie, les territoires du Sud conquis en 1870, qui n’étaient pas citoyens français et conservaient leur statut personnel.»
-6-Confortable dans son statut d'Européen, le français  juif d'Algérie souhaite garder "le beurre et l'argent du beurre", et son opportunisme ancestral et sa perspicacité légendaire lui dictent la prudence qu'impose la règle  "ne pas placer tous ses œufs dans un même panier".Ainsi les défenseurs de "l'Algérie Française", puis de l'OAS génocidaire pourront s'enorgueillir de posséder en leur sein les meilleurs représentants de la communauté juive, les ministres des gouvernements français, les gouverneurs d'Alger, les officiers de l'armée régulière et les "chefs" de l'OAS.(A savoir, les bras de la déesse Shiva, analogie sioniste du..sionisme dans les "protocoles")
 Ces faits révoltants, les historiens et les nostalgiques juifs de l'Algérie ne les mentionnent jamais, car préférant les occulter pour perpétuer le mythe de victimes éternelles aux mains des injustices du goyim(non juif).La shoah étant un autre stratagème à grande échelle, mondiale,  justifiant leur contrôle planétaire, des crimes génocidaires contre
-les deux guerres mondiales dont ils ont été les instigateurs,
-les massacres  et punitions collectives infligés aux Arabes-Musulmans (Liban, Irak, Afghanistan, Syrie, etc...).Occultant leurs crimes et se lamentant interminablement,  grâce à l'artifice  médiatique, toujours au banc des victimes, jamais à celui des accusés.


Par peur de trop m'étendre sur le sujet, je me limiterais à mentionner un de leur grand accomplissement humanitaire, la liquidation de quelques 60 millions de tubes digestifs inutiles (l'expression est de Rockefeller et Kissinger) en Union Soviétique, de la main du politburo communiste juif!
(sujet à "piocher" sur le web pour une révision des vérités  historiques officielles "tamisées".Sans quoi ,elles heurteraient les yeux).
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Ces ex-Juifs d'Algérie encadrés par leur patronat sioniste adhèrent entièrement à l'idéologie talmudienne de suprématie religieuse expansionniste.Ils ne contestent nullement l'apanage du privilège divin, leur  permis religieux de violation des droits  des goyim, le pillage de leurs biens et la dégradation de  leurs valeurs.Sachez que leur attachements et affinités géographiques servent qu'un objectif: la tentative d'ingérence.
Au nom de faits historiques travestis, d'interprétation subjectives, ils ont traqué  et capturé une fraction d'Algériens et les ont dressés jusqu'à leur adoption du sionisme politique (sans le judaïsme religieux que les Rabbins de Tel-Aviv se refusent à partager.Voir dans ce contexte le contenu des dogmes  chimériques occasionnés d'intérêts matériels, du groupe de renégats à leur patrie, les malfrats recrutés  par le MAK de Ferhat M'henni).A ce jeu d'ingérence les juifs ont réussi, rendant cependant service à l'Algérie, en balayant de sa porte les brebis galeuses dissimulées parmi nous.
La spéculation juive sur les origines des peuples d'Afrique du Nord ne sert pas plus à étancher leur soif de savoir qu'à fabriquer des arguments leur permettant de créer ou d'entretenir des différences internes mêmes marginales et en faire une source de conflits.Beaucoup de Berbères ont été hellénisés, puis certains esclaves judaïses, ont fondé Carthage et la Numidie, sont devenus Romains et Chrétiens et, enfin Musulmans.Nombreux parmi ces derniers, païens et barbares d'hier conquirent l'Espagne, y établirent la civilisation d'Andalousie qui rayonna par son incomparable développement culturel, scientifique et religieux.Motivés par des convictions sincères,  ils sont les bâtisseurs d'une révolution humaine authentique et d'une métamorphose immuables de leur patrie tout au long d'une  transition historique, que les chuchotements maléfiques du sionisme tentent de leur faire renier.Offre envenimée  d'une vision corrompue et raciste de l'histoire qui dénature arbitrairement un pan entier de leur héritage, celui de 15 siècles d'Islam.Troquant leur statut d'homme universel à celui  mythique, dévalorisé par "L'éternel conspirateur", d'esclave judaïsé !
A cette fraude historique déceptive s'allient tous les porte-paroles séfarades qui se spécialisent dans l'écriture de fables sur l'Algérie, tous occultant les crimes commis périodiquement contre les Musulmans.
 L'un d'entre eux, Jacques Attali, pas le moins vil ni le moins subtil, mais un monstre médiatique affublé de mérites intellectuels que lui prêtent ses acolytes des média juifs. Et dont le palmarès éloquent se résume à la fourberie politicienne et mercantile, le mensonge enrobé de scientisme, et la raillerie du goyim crédule.
A la question de "zlabia.com" (Lien):
Qui est Attali l’Algérien ?»
-Il répond : 
«Mon père, qui est né en Algérie. Sa famille était ancrée depuis des siècles dans ce pays porteur d’un judaïsme très fort. Un judaïsme algérien extrêmement cultivé et intense. Un judaïsme qui a des origines profondément berbères. Une grande partie d’entre eux ont été convertis avec la Kahina, cette grande femme de pouvoir berbère et juive, qui a tenu tête aux musulmans d’Orient lors de leur arrivée au Maghreb.»
Entrant d'emblée dans le rôle que le scenario de "zlabia.com"  lui a réservé : le prédateur averti, qui de ses crocs, mord dans la chair de sa victime, l'Algérien berbère, pauvre victime innocente, naïve et crédule, flatté par les propos de ce géant (enflé par la publicité mensongère) qui propose de partager (en guise d'appât bien sûr) son orgueil racial(orgueil que le Tout puissant a damné dans tous Ses livres saints et de la parole de Ses Prophètes, Moise en tête).
Attali lance une fleur: le qualificatif «cette grande femme», à propos de la mythologique «Kahina», brise dans l'âme du Berbère, toutes les barrières qu'ont érigées dans son subconscient, les défenses naturelles ancestrales. Anesthésié par le parfum de la fleur, il baisse les bras et offre sa nuque à la bête.
Zlabia: «Vous vous sentez pleinement Algérien donc ?»
Après un grognement bestial et une accolade, il étreint sa proie, lui susurrant la réponse:
«Je suis Algérien. Je suis né en novembre 1943 à Alger et j’ai quitté mon pays en 1956. La langue maternelle de la famille de mon père et de ma mère était l’arabe. Nous ne sommes pas des pieds-noirs. Reste que j’ai vécu l’histoire de ma présence en Algérie comme un apartheid. Nous n’avions aucun contact avec les Arabes. Et les seuls mots d’arabe que je connaissais, c’était des insultes ! Le mot « yaouled », en arabe, veut dire « un enfant ». Pour moi, il signifiait le porteur de commission au marché. Et « yaouled » pour moi signifiait la soumission. J’ai gardé ce mot gravé dans ma mémoire. Je garde d’Alger, que j’ai quittée à l’âge de 13 ans, des souvenirs désordonnés : la parfumerie de mes parents, rue Michelet, la synagogue de Saint-Eugène.»
Les larmes aux yeux (de plaisir) de tenir enfin sa proie, il dévie l'attention du Berbère naïf et confiant,
du doigt désigne l'Arabe, l'ennemi commun. La tête de l'agneau pivote, ses yeux se figent sur l'Arabe. Le carnassier, d'un coup lui sectionne la glotte.
Zlabia:«Et pourtant, vous ne pouvez pas y retourner… »
Le prédateur toujours larmoyant et endurant la "souffrance de l'exil ", achève sa victime.
Mais toujours pas repu, il tente de pénétrer dans la bergerie et poursuivre son carnage: 
«Je fais partie de ces rares personnes dans le monde qui n’ont pas droit d’aller se recueillir sur la tombe de leurs grands-parents. Les juifs d’Algérie ont été coupés totalement de leurs racines à partir de l’indépendance en 1962. Je ressens ça avec de la tristesse, parfois de l’amertume et parfois de la rage. Mon père a été très tôt convaincu que l’Algérie serait indépendante. Mais il était aussi sûr, tristement, que les juifs n’y auraient pas leur place. Il a donc décidé dès novembre 1954 de partir pour Paris. Tristement. Quand je vais dans une synagogue de Paris, je cherche toujours un lieu où je me sens comme à Alger.»
Subjugué par les émotions il marque le pas et préfère une virée vers l'étable, ciblant les vaux assoupis sur son œuvre romantique, le «Dictionnaire amoureux du judaïsme».
Zlabia: «Revenons sur votre ouvrage, pourquoi un livre sur le judaïsme ? »
-«Bla, bla, bla,...»
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Merci à "zlabia,com" d'esquisser un portrait du monstre:
«Sacré. Le gourou de la finance public (pillage privé des biens étatiques avec consentement des citoyens Goyim) un Dictionnaire amoureux du judaïsme (chez Plon) et revisite son passé algérien (ingérence).»
Et plus loin, le couronnement de sa carrière professionnelle:
««2001. Il est mis en examen dans l’affaire Angolagate pour recel, d’abus de biens sociaux et trafic d’influence. Le jugement sera rendu en octobre 2009.»
Le péché mignon du sioniste-talmudien, le vol (licite) des biens Goyim.
Car le vol est recommandé et béni par le Talmud, aussi longtemps que la victime n'est pas juive !
A qui se fier ? Quelle est la réponse raisonnable, optimale, adéquate et  objective à  opposer à ce ras de marée nostalgique qui submerge l'Algérie ?
-La méfiance  et la prudence !
Pourquoi ?
Une brève rétrospective historique des forfaits à enregistrer dans le dossier "Juif d'Algérie" nous le dira:
L'incident dit de "l'éventail"---les actions subversives des agents internes commandités par la trahison juive  durant la colonisation (qui a causé le génocide de millions d'Algériens)---la guerre de libération (d'autres millions)---l'OAS exterminationiste ---les crimes perpétrés par les ministres juifs français qui dirigèrent les essais nucléaires (sous la supervision des ingénieurs du Mossad)*, sont l'exemple d'événements qui s'inscrivent sur la longue liste millénaire des agressions meurtrières contre les Algériens et sont l'évidence et la preuve flagrante de la haine et de l'animosité qu'entretient à notre égard la gente judéo-sioniste.
Par équité, faisons exception des Juifs qui courageusement, se distancent du sionisme et se déclarent eux mêmes victimes de la manipulation des "maîtres de la subversion" (les banquiers et idéologues juifs-sionistes de Paris-Londres-New York).
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Au manque de pudeur qu'affichent ces nostalgiques (certains réclamant une indemnisation de leurs possessions en Algérie), nous répondons avec fermeté: Où est votre repentance pour les crimes et génocides commis contre nous, vous, qui avez exigé  du Pape sa prosternation devant la déesse Shoah et son repenti publique pour les crimes commis par la chrétienté (souvent en réponse à votre malveillance),  depuis Jules César !
L'effronté sans honte exposé, à la Foule dénudé il est raillé  .
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(*)Dans un document inédit(téléchargeable au Lien
Page1:« Dans les années 50, le destin de l’Etat hébreu était l’une des priorités du pouvoir français. Une politique d’aide militaire, secrètement élaborée au ministère de la Défense, aboutit à un accord nucléaire jamais avoué […] Haut fonctionnaire et personnage très influent de la politique française de défense de l’après 1945, Abel Thomas est l’homme qui a livré le programme nucléaire français à Israël. Dans les années cinquante, il était le chef de cabinet du ministre de la Défense, Maurice Bourgès-Maunoury […] De nombreux politiques et militaires français, socialistes pour la plupart, entretenaient alors avec Israël une véritable passion romantique, et Abel Thomas joua le rôle le plus décisif dans la participation de la France à l’option nucléaire de David Ben Gourion. “C’est l’oeuvre de ma vie. Pour moi, le destin d’Israël fut vital dès sa création.” »
«Le même article explique que le ministère de la Défense, Abel Thomas étant en première ligne, commença par livrer secrètement, à la fin de 1955, neuf Mirage… qui furent effacés des effectifs officiels, sans même en informer le ministère des Affaires étrangères dirigé par Christian Pinault, considéré, ainsi que la plupart des diplomates, comme « pro-arabe». 
«En 1956, Thomas joua un rôle majeur dans l’opération de Suez, après la nationalisation du canal par
Nasser, étant le contact privilégié de Shimon Peres, alors ministre israélien de la Défense. Mieux, Peres «Le Yediot Aharonot de Tel Aviv publiait fin septembre (1) un article révélant un accord nucléaire jamais révélé entre la France et Israël, ou comment la France a livré à l’Etat hébreu l’arme nucléaire. A la tête de cette fantastique trahison étatique, un Français, Abel Thomas, aujourd’hui âgé de 80 ans.»
Page 2:
«.....il disposera même d’un bureau à Matignon, à côté de celui du Premier ministre! Puis, Abel Thomas, François Perrin, le directeur du Commissariat à l’énergie atomique, et Shimon Peres firent fléchir le Premier ministre Guy Mollet sur la question du nucléaire. Dès octobre 1957, Israël et la France signaient un accord diplomatique  avec des clauses secrètes sur le nucléaire. La France s’engageait à fournir une pile atomique qui devait être installée à Dimona, dans le désert du Néguev, l’uranium enrichi (mais Thomas a refusé de le confirmer) et le matériel nécessaire à la fission du plutonium.»
«Bref, on parlait de nucléaire civil et on pensait nucléaire militaire. Comme devait le déclarer le journaliste d’investigation Pierre Péan, auteur de Les Deux Bombes (Fayard, 1982) : « Le plus étonnant est que les Français aient aussi rapidement livré un programme nucléaire à peine sorti des fonts baptismaux. » Il y eu en fait, en sous-main, comme le révèle Dominique Lorentz, dans Affaires atomiques (Les Arènes, 2001), aval secret des services américains : « C’est la France naturellement qui fut choisie pour aider Israël afin de ne pas mécontenter le Congrès. »
«Ce, d’autant qu’en 1956 la France ne détenait même pas encore un savoir-faire qu’elle n’a acquis en 1960 et que la France ne disposait pas encore de la bombe… qui intéressait Israël. Pour Lorentz, il y aurait eu en fait complémentarité entre les deux pays, la France apportant sa puissance industrielle et Israël les procédés américains. Ce qui explique que ce sont des Israéliens qui dirigeront le démarrage de la centrale de Marcouleet des physiciens israéliens seront présents, le 13 février 1960, à Reggane (Sahara), pour l’explosion de la première bombe A. Qui connaît pourtant Abel Thomas? Pratiquement personne et son nom n’apparaît même qu’épisodiquement dans les deux ouvrages précités, les seuls pratiquement sur la question. Né à Fontenay-leComte (Vendée) le 18 juillet 1920, il est le fils d’un officier portant le même prénom et de France Chauveau. Passé par le lycée de Beauvais et l’Ecole polytechnique, cet ingénieur général du génie civil maritime, il participera à la Résistance (son frère mourra en déportation à Dora et sa mère sera décorée de la Croix de guerre par le général Koenig, (fervent sioniste) et combattra, comme officier de chars, dans la division Leclerc (1942-1944). Il sera décoré de la Légion d’honneur et de la Croix de guerre.»

Scandales-Alibi Sonatrach. Tir Par......Ricochet.

Les scandales qui défraient la chronique donne du pain sur la planche aux spécialistes de l'intox qui ont l'Algérie et ses institutions dans le collimateur. Ils ciblent plus précisément le président qui est le pilier qu'ils n'arrivent pas à démolir.Depuis dix ans, tous les moyens mobilisés à cette fin ont été utilisés, sans succès.La pression d'agents et organes internationaux et locaux ont harcelé l'état algérien pour différents motifs-prétextes.
-Blâmant l'État pour sa faiblesse, et parfois de complicité, devant les crimes terroristes.Quand ? Lorsque les mercenaires "Islamistes" sévissaient et menaçaient de disparition la nation, par l'instauration du chaos et de l'anarchie.
-dénigrant la lutte anti terroriste, accusée d'abus et de dépassement (torture, disparus, justice expéditive), de la militarisation du pays, de restriction des libertés, du maintien de l'état d'urgence.Quand ?  Lorsque l'état prit le dessus et commença à éradiquer les dernières poches de résistance des bandes armées qui rejetaient tout compromis ou repenti décrété par référendum "la Loi de la Concorde nationale", et tentaient de se revitaliser en rejoignant une "mythique Al Qaida", enfant illégitime des CIA-MI6.
Les islamophobes d'hier se recyclent.Les uns s'auto-désignent d'office avocats du FIS (presse indépendante et ONG).Ali BelHadj le mégalomane en mal de publicité et de gloire découvre  l'hospitalité des plateaux de télévision et les interview des journalistes, à l'image d'Elisabeth Shemla, le fer de lance de la presse sioniste en France colonisée.,"hantée" par son amour pour l'Algérie, résume son entrevue avec Belhadj en prophétisant dans son article un retour du FIS (sic)."Wishful thinking", comme diraient les anglais, prendre ses désirs et ses souhaits pour des réalités.Le FIS ayant joué à sa manière, le rôle de cheval de Troie ou de Judas dans la crise qui avait secoué l'Algérie dans les années 90.
Tous les prétextes sont bons pour harceler les états, selon la devise "si ce n'est pas toi, c'est ton frère!", ou "lorsqu'on veut noyer son chat...", donnant les
stratégies criminelles génocidaires, alliées à l'injustice (la loi du plus fort) et à l'agression militaire. Suivent les sanctions et représailles  décrétées par les  pouvoirs judéo-talmudiens et leurs valets des tribunes onusiennes, 
le venin du mensonge enrobé du chocolat de la défense des "droits et libertés", sélectifs bien sur.
L'argument des "armes de destruction massive" ne trouvant pas champ d'application dans le cas de l'Algérie, il faudra inventer d'autre fable pour justifier l'ingérence étrangère.
Peut être Al Qaida ? Les droits de l'homme ? Les partis dissouts ? Les droits des "gays" ? Dans tous les cas de figure, la presse nationale "indépendante"est vigilante et opérationelle pour lancer toute campagne d'harcelement contre le "système", lire l'Algérie tout court.
La corruption ? Celle ci devenue endémique, fait l'objet de beaucoup d'attention médiatique et est l'occasion d'un vrai défoulement thérapeutique stigmatisé par la raillerie et le mépris.L'affaire SONATRACH par contre a déclenché une hystérie générale, qui tourne à la vindicte contre qui ?
"Par ricochet", contre Bouteflika.
Le débat est détourné de l'objectif premier de dénoncer le phénomène, comprendre ses mécanismes, analyser les opérations frauduleuse et leurs auteurs, mobiliser l'opinion et la sphère politique pour trouver des remèdes à cette calamité financière.
Le tapage autour de SONATRACH occulte l'évidence: le controle de l'entreprise nationale et sa gestion ont été du ressort de la nomenklatura du socialisme spécifique, Mohamed Ben Ahmed Abdelghani, Abdelhamid Brahimi,  Belaid Abdessalam, Ahmed Ghozali, Mouloud Hamrouche, Redha Malek, Mokdad Sifi, Ahmed Benbitour (Ministre des finances pendant  5  ans !) pour ne citer que les plus en vue.
Qu'en est-il de Boumedienne qui avait lui même signé le contrat gazier "El Paso", qu'il avait négocié et conclu au 1/6 du cours mondial, et que le gouvernement Chadli avait judicieusement résilié et obtenu par jugement 
(du tribunal de La Haye), en reconnaissance d'irrégularités comptables et juridiques ?
Qu'est devenu l'organisme Expansial, de Genève-Paris qui gérait les recettes des hydrocarbures comme une fondation philanthropique privée sous l'oeil bienveillant de Boumédienne-Abdessalam-Ghozali ?
La Sonatrach, ce mastodonte harnaché par les stratèges économiques et financiers de l'école "industrie industrialisante", a marqué l'histoire  de l'Algérie de son pas pesant, qui a inévitablement  réveillé des convoitises et des infortunes au sein de l'entreprise.Que Bouteflika soit parvenu à dompter la bête, il n'y a aucun doute, et les réserves en devises sont là, pour l'attester et réfuter toutes accusations diffamatoires à son égard.Que la bête ait des sursauts  d'orgueil lorsque maltraitée par ses écuyers et garçons d'étable provoque des accidents et des dégâts.Ce personnel formé aux méthodes révolues de l'ancienne écurie est seul responsable de la catastrophe.Il doit être radié comme l'ont été leurs mauvais maîtres.
Bouteflika, héritant de  40 ans de la gabegie de nos révolutionnaires de salon, est comme la  coutume le veut chez nos média "des droits de l'homme et de la femme", et les "forces subversives occultes", ciblé par la campagne.
Le "tir par ricochet", une nouvelle arme de destruction massive à l'essai aux mains des militants "des libertés et de la société permissive décadente", montés sur leurs chevaux de Troie Rothschildien.(voir ci dessus la belle leçon de morale qu'on enseigne dans les écoles humanitaires kosher.Les Kissinger, Soros et Breijzensky en sont les meilleurs élèves !)
Entre-temps,.................. la caravane passe, toujours.

Blog Sauve qui peut.
«Lorsque j’ai lu cet article du 21 juillet sur l’arrestation de cinq rabbins orthodoxes de New York et du New Jersey, en compagnie d’une quantité de fonctionnaires du New Jersey, cela m’a fait penser à mon cousin Harry. A l’instar de Harry, une personne soignée, au visage rasé de près et laïc, ces dirigeants religieux, portant une longue barbe, un costume noir, et accompagnés d’un cercle de politiciens, étaient devenus des escrocs professionnels. Ils s’étaient engagés dans le blanchiment d’argent à grande échelle et les opérations illégales de commerce d’organes, en plus de la vente de faux sacs Gucci et Prada et toutes sortes de contrefaçons. Ce réseau de haute volée opérait avec des rabbins de Brooklyn et du New Jersey, qui blanchissaient des dizaines de millions de dollars par l’intermédiaire d’œuvres caritatives qu’ils contrôlaient.»
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Etats-Unis-Samedi 25 juillet 2009.Corruption: le thriller du New Jersey.Une quarantaine de personnes dont de nombreuses personnalités ont déjà été arrêtées. (AFP)
Maires, officiels, rabbins, un banquier suisse: le FBI vient de dévoiler une gigantesque affaire de corruption et de trafic d’organes.Echange d’enveloppes dans les parkings; maires corrompus; respectables synagogues servant à ­laver l’argent sale. Toutes les composantes d’un thriller politico-criminel sont réunies dans la gigantesque affaire de corruption que viennent de dévoiler les agents du FBI dans le New Jersey et à New York. Même un trafic d’organes s’étendant jusqu’en Israël. Et même l’intermédiaire d’un banquier suisse.Blog Sauve qui peut.
Oubliez Chicago! Depuis des années, le formidable boom immobilier découlant de sa proximité avec New York a fait du New Jersey le royaume des corrompus. C’est de notoriété publique, et en dix ans le nombre d’arrestations se comptait déjà par dizaines. Mais pour attirer les gros poissons, il fallait aux agents fédéraux un appât plus conséquent.
Jeudi, il a fallu apprêter des autobus, tant Dwek (36 ans) a montré de talent pour mettre ses interlocuteurs en confiance: 44 personnes arrêtées, dont des maires, des responsables municipaux, des inspecteurs publics et cinq rabbins. Plusieurs des hommes politiques épinglés, aussi bien démocrates que républicains, venaient à peine d’être élus. Et pratiquement tous avaient remporté leur course électorale avec un seul thème de campagne: la lutte contre la corruption.Blog Sauve qui peut.
L’assurance d’obtenir un déclassement de zone pour construire un vaste projet immobilier? Acquise contre 5000 dollars offerts à Peter Cammarano, qui allait devenir maire de la petite ville de Hoboken, en face de Manhattan, en juillet dernier. «Vous pouvez avoir confiance en moi, lui a répondu l’officiel. Vous allez être traité comme un ami.» Besoin de «laver» des centaines de milliers de dollars provenant d’activités douteuses? Les rabbins de Brooklyn (un district de New York) ou de Deal, dans le New Jersey, ne posaient pas de questions: ils acceptaient le chèque au bénéfice de leurs œuvres de charité, puis ils rendaient l’argent cash, amputé de 10% de commission.
Suivi pas à pas par une équipe d’enquêteurs, qui filmaient souvent la conclusion de ses marchés, Solomon Dwek a continué de pénétrer les méandres de cet Etat qui ont inspiré la fameuse série télévisée des Sopranos. Poussant plus loin sa mise en scène, le FBI a flanqué l’informateur d’une agente, censée être sa secrétaire. Son oncle était gravement malade, disait-elle, et avait besoin d’une transplantation de rein. Levy-Izhak Rosenbaum, un homme d’affaires de Brooklyn, s’est porté volontaire: il achèterait l’organe, a-t-il promis, pour 10 000 dollars à un Israélien nécessiteux. Et il était prêt à le revendre pour 160 000 dollars. Selon les documents des enquêteurs, l’homme a assuré qu’il procédait à ce genre de trafic d’organes «depuis des années».
Il semble qu’une bonne partie du circuit mis en lumière par Solomon Dwek passait aussi par Israël. Le FBI a laissé également entendre qu’un «banquier suisse», dont l’identité n’a pas été révélée, se chargeait de faire transiter l’argent.
«Tout cas de corruption est inacceptable, n’importe quand, n’importe où, et par n’importe qui», s’est exclamé le gouverneur démocrate du New Jersey Jon Corzine. Mais l’un de ses adjoints, également visé par l’enquête, s’est vu obligé de démissionner avec effet immédiat. Ironiquement, c’est l’ancien rival républicain du gouverneur, Chris Christie, qui avait mis sur les rails cette enquête au temps où il était encore procureur fédéral. Dépeignant un Etat corrompu jusqu’à la moelle, Christie n’avait pas réussi à convaincre les électeurs. Aujourd’hui, l’ampleur de cette affaire a, pour lui, comme un agréable goût de revanche.     

Gilad Atzmon sur l'affaire des rabbins trafiquants d'organes

«Certes sur les 44 personnes arrêtées, il n'y a que 5 rabbins, mais vantards, et pas le moins du monde gêné  si l'on pense aux propos de Rosenbaum. Intéressant d'avoir l'avis de Gilad Atzmon qui combat ce qu'il qualifie de pathologie israélienne depuis un bon moment, rejoignant en cela Avraham Burg lorsque celui-ci décrit les israéliens comme des brutes.»

Gilad Atzmon - Time to Talk about the Rise of Jewish Crime?


ISRAËL USA - UNE AFFAIRE DE CORRUPTION TOUCHE PLUS DE 40 PERSONNES, DONT DE NOMBREUX RABBINS, AUX NEW -JERSEY ET ISRAËL
Une quarantaine de personnes dont de nombreuses personnalités ont déjà été arrêtées. (AFP)


L'Imposture: Une Arnaque Littéraire Qui dit Bien Son Nom.


Episode 6, et Conclusion.
 Dernier résumé de l'œuvre du rescapé du Goulag Algérien d'El Harrach.
La promotion médiatique et le marketing par l'édition kosher ayant artificiellement enflé le prestige de "L'Imposture" pour des raisons évidentes,
catalyser la dissension, publier la provocation et légaliser l'arnaque commerciale.Il est clair que la brochure pamphlétaire recèle en vérité deux  phénomènes: un défoulement thérapeutique et la tentative d'initier une tempête dans un verre d'eau.Bouteflika est accusé d'être un bon officier exécutant avec intelligence les ordres de ses supérieurs et un fin diplomate qui a su tiré son épingle du jeu des intrigues qui submergeaient la scène politique et que les hauts responsables de la révolution pratiquaient chacun selon ses talents.Ce fait n'est pas une révélation, mondialement connu il devrait faire l'objet  d'étude dans les manuels d'Histoire et les cours de perfectionnement des postulants à une carrière diplomatique.Les témoignages de protagonistes de la révolution démontrent par "lapalissade "que l'approche de l'indépendance avait provoqué des manœuvres pour la prise du pouvoir".La coalition ALN-FLN, à savoir HC-GPRA, avait commencé à se fissurer et à montrer des divergences.Ce que tout le monde sait. Il est important de se rappeler que la lutte armée de l'intérieur, sur le sol algérien même, avait été la principale cause de la défaite de la France et de sa suprématie militaire. La lutte avait cédé le terrain à la diplomatie lors des préparatifs-et-des-négociations de paix.Dés lors  ont afflué d'horizons diverses, des aspirants au pouvoir, civils et militaires, sincères ou intéressés.Parmi lesquels certains (inévitablement) avaient été plantés par les services secrets français, égyptiens, russes, américains et même Israéliens.Il est naïf de penser que tous les "militants" de la cause nationale, activant  sous différente mouvance politique étaient des anges (gardiens de la révolution) auréolés de sainteté et entièrement dépourvus de vices et d'imperfections.
C'est l'opposé des faits et de la réalité que notre rescapé du goulag veut nous faire croire, singularisant Bouteflika comme l'ange déchu parmi toutes ces créatures divines pures, qui arpentaient les coulisses des alliances, qui se constituaient ouvertement ou secrètement.Le capitaine de l'ALN était selon l'interprétation du Druide  un être surnaturel qui contrôlait tous les hommes et les événements, au détriment des causes justes et du droit !
Une fable agrémentée de témoignages vivants, certes souvent véridiques, mais pris hors de leur contexte et qui par leur contenu (le fond et la forme) n'apportent aucun argument convaincant supportant la théorie énoncée dans le pamphlet.Pamphlet qui demeure l'instrument d'une vengeance  fictive dont les motifs déclarés demeurent étranges et surtout injustifiés, sinon  pour les raisons obscures que j'ai exposées dans les articles précédents, Episode 1 à 5.
Rejeton d'une Algérie dépositaire de carences mais surtout de richesses  humaines et matérielles, l'imposteur Benchicou,  balayé hors des frontières, endure une répudiation politique qui l'a poussé au désespoir et à l'infamie.Mais cette lecture  élucide qu'un niveau simple, apparent mais illusoire, du motif de sa campagne: l'alibi de la vendetta.
Un second niveau, occulte et secret, dévoile des intentions pernicieuses et perfides d'agression contre l'Algérie, par ricochet, à travers la personne de Bouteflika.L'offensive subversive, furtive, qui nous cible tous, provient du fait que "nous ne sommes pas avec eux", donc "contre eux", "les éternels  comploteurs" qui nous rangent parmi les "forces du  Mal" .Ce constat objectif devrait suffire à éveiller toute notre attention et nous prémunir du simulacre des campagnes  médiatiques dont la nature apparente (humanitaire, démocratique, etc..) dissimule le caractère  réel, qui est la subversion de l'État, comme préambule au chaos et au désordre.Le désordre, à l'image de celui orchestré pendant les années 90, est le milieu naturel dans lequel évoluent les prédateurs du sionisme-talmudisme, et leurs réseaux d'idiots utiles, vrais chevaux de Troie. 
Lisez "l'imposture" dans vos moments perdus, armés de la certitude qu'il s'agit d'une tromperie commerciale et le paravent d'une tentative d'ingérence ennemie dans le pays. La publicité mensongère et la promotion tapageuse qui ont accompagné sa publication est la preuve de sa nocivité.Ceux qui s'imaginent que  la maffia  sioniste du livre verse dans l'amour de l'humanité et des droits de l'homme, sont malheureusement et tristement des naïfs, sous anesthésie générale ou dans un état comateux.
Grâce au Tout Puissant, l'Algérie alerte et vigilante, sait reconnaître ses amis et mater ses ennemis, d'hier et d'aujourd'hui
La lumière jaillit de la discussion et du dialogue, source d'unité et de concorde. La polémique et l'injure, véhiculées par les  maîtres de  l'intox,  sert    intentionnellement  à diviser et  à alimenter les conflits. 
L'illusion que les maîtres de la discorde entretiennent (selon le manuel  pratique pour l'asservissement de l'humanité, "Les Protocoles de Sion") consiste à recruter autant de militants possible (idiots utiles) dans leurs circuits de défense des utopies et idéologies  encensées d'abstractions et d'idéalisme humanistes.Dans le monde réel, leurs méfaits planétaires sont en contradiction flagrante et permanente avec les idées qu'ils propagent.C'est le propre et la vraie nature des membres ce culte satanique talmudien. 

Benchicou  a été façonné, depuis toujours, pour exclusivement remplir cette mission de leurre humanitaire et s'acquitter de sa besogne de désorientation de l'opinion. Son rôle  de militant de la démocratie sert d'alibi et d'habit à sa vocation d'agent opérationnel des média sionistes-talmudiens.
Peut-on croire le Message, lorsque le Messager est un roublard et revanchard ?
                                                                                      
Episode 6, et FIN. 

Témoins Compromis et Faux Témoignages.La fraude Exposée et L'Imposteur Mis à Nu.

«Militaire dans sa tête--société civile qu’il méprisait--avec son souverain dédain--ambitionnait de ne partager le pouvoir avec personne--l’homme lige--agent détonateur...»
(pratique de l'insulte que notre survivant du Goulag Harrachien maîtrise et élève au rang d'art oratoire).
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En introduction donc, l'élève historien débite sans interruption son flot d'infamies, lance une attaque armée surprise, juge et condamne par contumace le président, et tente de nous arnaquer en nous extorquant quelques Euros pour ses ragots de commère, que les agences d'édition kosher qui le parrainent se promettaient d'en faire un bestseller.

Entre temps les stratèges de la dissension se  renversent sur le dos, raillant les goyim qui se soumettent si bêtement à leur plans machiavéliques.
Le prologue est un levé de rideau sur la scène de ce théâtre où apparaît le druide, rassasié de ses rancunes, aigreur et amertume , qui s'engage dans un monologue d'ivrogne rongé par la haine et dans un état d'exaltation.
Mépris du lecteur invité à un débat historique, dont la médiocrité du langage et le niveau de réflexion, sont une insulte à son intelligence.Les sources qu'il sollicite pour appuyer ses thèses nous éclairent sans cesse sur ses desseins inavoués et sur ses associations douteuses, à l'image de la fraude Benbitour ou des Professors-Doctors et témoins gaga de l'Histoire,  "écrans de fumée" (articles précédents de ce blog) qui majoritairement professent leur allégeance aux ONG, idéologies et dogmes du Nouvel Ordre mondial ( juif).
Les mensonge publiés par la presse libre au service d'intérêts occultes, qui se fondent sur l'opinion "d'expert", est dans 90% des cas, l'outil d'une technique classique de manipulation de l'opinion.L'ingénierie sociale  par la déception est la phase intermédiaire de la stratégie permettant le contrôle d'une nation et diriger les changements sociaux et les tendances politiques.Les armées de mercenaires de la laïcité-acculturation-tolérance-égalité-liberté-fraternité, la nébuleuse média-ONG-Franc maçonnerie, sont les ennemis de cette nation.Ceux qui ne perçoivent pas ce danger risquent de sortir de leur torpeur et découvrir l'état de déchéance dans lequel le NWO tente aujourd'hui de les conduire: l'esclavage au service du judaïsme talmudique et de son règne satanique.   
L'imposteur, notre Druide, cite deux témoins à charge: 
-l’avocat Ali-Yahia Abdenour(*), président de la Ligue   algérienne de défense des droits de l’Homme.
-Elisabeth Schemla(**) (A qui Bouteflika fait des "aveux"(sic)).
  Selon elle: « Je voulais être en effet le candidat de l’Armée. Uniquement de l’Armée. Je ne voulais avoir de fil à la patte ni avec la société civile ni avec la mouvance islamiste. En tant que candidat de l’Armée, je me présentais en réconciliateur. »
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 (*) Ali-Yahia Abdenour,
(wikipedia)«Ali Yahia Abdennour est le Président de la Ligue Algérienne de Défense des Droits de l’Homme (LADDH) dont il est l'un des membres fondateurs avec Saïd Saadi et Arezki Ait Larbi. Il a été très actif dans le milieu nationaliste algérien à l'époque de l'Algérie française et dans le milieu Berbériste plus tard. Ali Yahia Abdennour est notamment connu pour s'être opposé à l'interruption du processus électoral de 1991 et pour avoir défendu certains des dirigeants du FIS
La LADDH (Lien) présente son programme politique en guise de "manuel du militant".Un vrai manuel de l'agent subversif ! Des principes égalitaires qui font rêver.Pourquoi ne pas créer un parti et militer pour ses idées.La force des arguments devrait convaincre le peuple et déclencher des changements.La loi le permet, avec réticence parfois, mais en gardant la porte ouverte au dialogue, duquel jaillit la lumière.
Pas question  ! Car celà priverait le mouvement de son ancrage international, le "parapluie nucléaire" des ONG, le bras de l'ingérence extérieure. 
Repère Historique:Après l'indépendance, en 1963, Ali-Yahia rejoint les maquis de TiziOuzou, sous la tutelle du FFS (Front Des Forces Socialistes)
et les ordres de Dal'Hocine.L'incitation à la  guerre civile est son premier fait d'arme glorieux, il y dévoile son caractère extrémiste et irresponsable, celui du sectarisme-régionalisme.Opportunisme et conjoncture aidant, il se recycle sans complexes dans le gouvernement, Ben-Bella puis Boumédienne.
Son humanisme cohabitant sans heurt avec le dogme socialiste-communiste, il embarque dans l'aventure révolutionnaire.
Temporisation ou repenti ?
Jusqu'à là notre avocat se nourrit de la main du "système".Main qu'il va mordre, avec sa passion naissante pour les droits de l'homme, toujours au moment propice, à savoir lorsque Chadli, politiquement plus clément, offre le flanc pour le forcing "humanitaire".Calculateur ?
La chasse en bande, technique des hyènes, est lancée contre le "système" et le harcèlement commence.Y prennent part les prédateurs de l'ombre, les ONG internationales, le soutien médiatique sioniste-juif.La LADDH obtient son agrément par arrêté du ministre de l'intérieur du 26 juillet 1989 bien que sa création remonte à 1985.La "Déclaration des droits de l'homme de 1789", définit les canons chimériques de la religion, du dogme et du rituel mondialiste,  pour lesquels tous les moyens sont mobilisés pour "simuler" leur défense ."Simulation de défense" justifiant toutes les agression (réelles), que Kissinger et Brejzinsky ont si ingénieusement conçu pour l'avènement de la "démocratie mondiale" de ce 3em millénaire.Notre gratitude allant à Rothschild de Frankfurt, pour avoir fomenté la Révolution Française et nous avoir légué la charte (de subversion sociale) qui depuis ce jour a fait régner la paix virtuelle et la justice imaginaire sur les 5 continents. 
Abdenour agit en concert avec ses complices tapis dans les coulisses, et qui le soutiennent secrétement ou ouvertement
"Hamrouche, Sid Ahmed Ghozali, Mokdad Sifi, Ahmed Benbitour, d’anciens ministres, Abdelaziz Rehabi et Saïd Bendakir. Il y avait également Abdelhamid Mehri, Mohamed Saïd", en un mot quelque membres de la "nébuleuse", adepte du culte universel judéo maçonnique, NOM. Le pouvoir de l'ombre, que les Média indépendants associent maintenant à leur combat pour la démon-crassie, et qui viennent le féliciter lorsqu'on lui attribue le Prix Alkarama pour "services rendus".« Il a été honoré dans le monde entier, aux USA, au Mexique, en France, en Suisse, à Londres sauf en Algérie », s’est indigné M. Bouchachi, l'idiot utile de service qui le remplace à la LADDH.
Abdenour lors de la remise du prix alKarama, à Genève, aire même message
rabâché par les adeptes du laïcisme version ONU, et attaque contre Bouteflika.
Après rappel des principes "religieux" du culte du Nouvel Ordre Mondial, 
la tolérance sélective et la justice "élastique" (pratiquée par ses parrains onusiens depuis 1945) il déclare:
« 8- La liberté religieuse.
 Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion. Ce droit implique la liberté d’avoir une religion ou n’importe quelle conviction de son choix, ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction, individuellement ou en commun, tant en public qu’en privé, par le culte et l’accomplissement des rites, les pratiques et l’enseignement. » 
Un peu orthodoxe sa définition de la tolérance.Au vu de son âge, il doit apparaître un peu "vieux jeu".Ses amis des ONG internationales, à Genève, n'ont sans doute pas apprécié son omission des droits des homosexuels (gays), et leurs "droits conjugaux".Un vide   que son successeur à la LADDH Bouchachi, entreprendra de combler, étant lui signataire  du "manifeste des libertés" qui préconise une liberté indivisible et la reconnaissance des droits de ces créatures hybrides désaxées, victimes de leur dépravation bestiale .
Plus loin, il détourne l'attention de son auditoire loin de l'Algérie, en défendant la construction de mosquées en Suisse ! Humoresque !
Clin d'œil à Abbassi Madani ?
Il ne dénonce pas l'offensive des Églises Protestantes US (d'obédience sioniste-chrétienne) qui à coup de $ milliards  agressent les musulmans en Algérie, corrompant les nécessiteux et marchandant l'âme des ignorants intéressés.
Il vilipende les forces de sécurité:«12- La charte pour la paix et la réconciliation nationale:
La réconciliation nationale qui devait être un grand projet politique a été réduite à sa dimension sécuritaire. Elle vise à disculper, à innocenter et à consacrer l’impunité des agents de l’Etat : les militaires, les gendarmes, les policiers, de tous grades, car au regard des faits et en termes de droit, rien ne s’oppose à leur comparution devant la justice, pour violations massives des droits de l’homme et crimes contre l’humanité.»«La paix sans la vérité et la justice n’est qu’impunité, qui est un déni de justice.
»  
Et simultanément défend les revendications qui ravivent les plaies  :
«11- Les disparitions forcées: Que sont devenus les disparus ? Telle est la véritable question ! Des morts sans sépulture ou des vivants sans existence ? Leurs familles lancent un cri d’alarme et un appel pressant au pouvoir : « Qu’avez-vous faits des disparus. Vous les avez pris vivants, rendez les nous vivants ! » Démagogie !
Il s'insurge contre les violations des droits et les crimes contre l'humanité en Algérie, qu'il impute à l'état.(sic)
Récupération de l'islamisme armé ? 
Ou une répétition du "qui tue qui " ?
Il rappel du bout des lèvres les atrocités dans le monde.Une lapalissade que les écoliers connectés à l'internet récitent par cœur.
Décevant, ce couronnement , qui se résume à la sanctification d'un militant qui dans l'habit de président de la LADDH persiste aveuglément dans son langage diviseur et incitateur de conflit, perché sur une tribune étrangère connue pour sa justice sélective.
Les "rétributions et les honneurs":la fibre sensible que les sages de Sion savent si bien faire vibrer dans l'âme de leurs esclaves.
"..un film documentaire retraçant le parcours du militant, depuis son adhésion au PPA-MTLD, vers la fin des années 1930 a été projeté. Le film réalisé par la fondation Alkarama, basée à Genève"(cité par le cheval de Troie Rothschildien, El Watan, 1er février 2010 ).
Longue Carrière politique et une vie pleine, mais certainement pas couronnée du mérite de servir l'Algérie.Les bonnes intentions, si il y en a, ne sont pas gage de justesse et de bon sens. Sa complicité active tacite avec les ONG, l'adhésion (consciente, n'en appréhendant pas les dessous) au culte laïque, à l'acculturation (contredisant son régionalisme), et aux dogmes ONG,  en font un bon serviteur du NOM.
Quel gâchis ! Une fin de carrière triste pour ce militant de la cause nationale, qui s'était surtout fait remarquer pour sa ferveur communiste au service des syndicats ouvriers! Clairement, son témoignage, ses jugements personnels et ses vues partisanes sur Bouteflika ne peuvent servir la thèse défendue dans le pamphlet-brochure de notre imposteur-druide. 
"Comment sacraliser le  messager, si le message  est un mensonge ?"

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(**)(Elisabeth Schemla,Mon journal d’Algérie, novembre 1999)
Elisabeth Schemla. Vous reconnaîtrez immédiatement le patronyme juif  nord africain.Soyons cependant tolérants et faisons fi de l'association qu'on lui prêterait naturellement avec ses coreligionnaires, les éternels conspirateurs.
Google nous offrent 81000 résultats ce qui est bon signe, car disponibilité de données suffisantes pour une appréciation de  ce monstre de la presse.A propos de monstre, y en aurait-il un seul, "goy" ?

 
-(wikipedia)"née à Alger, est une journaliste et écrivain française spécialiste du Moyen-Orient."
-"elle quitte L'Express et entre au Nouvel Observateur où elle restera près de vingt ans, grand reporter puis rédactrice en chef"."Très sensible à la cause des femmes"."le sida ou les débats sur le voile"."Très sensible également aux questions de l'antisémitisme et de la Shoah".
 

Mes appréhensions ressurgissent. Remise de la tolérance au tiroir et  réveil de l'esprit en alerte .
"Elle se définit comme une « républicaine, laïque, citoyenne attachée aux valeurs humanistes»"
(raison pour laquelle notre Druide s'en ait  épris).
Le profilage commence à nous dessiner un CV, d'où les associations, les organes, la ligne de rédaction, l'idéologie, la mission.
Nous continuons, un autre lien,"fondatrice du journal en ligne Proche-orient.info. Elle est considérée comme étant une spécialiste du conflit israélo-palestinien."
-Allons directement voir et écouter notre journaliste chez elle, à la source de la perfidie.
-Hélas !Site fermé pour pénurie de mensonges.
Puis,  un article:(Lien).
Extrait de son apologie du Sionisme et son offensive islamophobe raciste: «Toutefois, la critique d’Israël se déploie au nom de l’anti-sionisme. Or, c’est une chose de combattre une politique d’annexion territoriale ou de séparation, mais c’en est une autre de dénoncer comme coupable l’essence même du pays qui la mène. Le sionisme étant un mouvement de libération nationale qui a en partie abouti, se déclarer anti sioniste aujourd’hui revient en effet à se prononcer contre l’existence de l’État qui en est le fruit.La critique d’Israël mêlée à l’anti-sionisme est un mélange propre à la rhétorique de l’antisémitisme arabo-musulman. Cette rhétorique se développe en France sous l’impulsion du Conseil français du culte musulman, un groupe qui veut « islamiser la France » et développer le communautarisme, ce que la République ne doit pas laisser faire.»
Avocat d'Israël, pleine de complaisance envers le sionisme, ennemi acharné des militants (Dieudonné et ses alliés) qui combattent l'autocratie-dictature juive en France colonisée, islamophobe et raciste anti arabe.
Résumé: Agent traditionnel de l'éternel prédateur judéo-talmudique: islamophobe, raciste, sioniste.Indigne de confiance, tout court.
"Une louve affublée d'une toison d'agneau".
Beaucoup d'attention pour l'Algérie (comme beaucoup de ses coreligionnaires), "par amour" du pays, ou comme chez les loups, garder le coin de l'œil sur la bergerie.Elle y cible les voix contestataires qui remuent l'opinion, et accroient les divisions.Elle accroche à son tableau de chasse Khalida Messaoudi dans "Une Algérienne debout",qu'elle exploite adroitement par des questions orientées et la pousse dans le gouffre du blasphème et des opinions excessifs.Erreurs de jeunesse que la passion, et la sincérité, provoquent souvent.Aventure médiatique malheureuse.Que la ministre actuelle regrette après avoir découvert sa maladresse, abusée par cette spécialiste de "l'interrogatoire" politique. Quel meilleur exemple de réconciliation agissante que sa participation à la reconstruction de l'Algérie, et de grandeur d'âme chez l'homme qui lui a tendu une main fraternelle et présenté les arguments qui l'ont convaincue de la justesse du cri de ralliement:"Algérie avant tout".
Depuis lors, Khalida Messaoudi désavouée par ses anciens associés,  endure des accusations  imprononçables qui pleuvent des cercles des "droits de l'homme" dont elle était une figure de proue.
Consultez le lien, pour un résumé des positions "humanistes" du monstre médiatique Schemla, ce Frankeinstein de la presse juive en France colonisée.
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Conclusion : A travers ses témoignages, Benchicou manipule ses justifications tout au long de son invective citant les opinions de "célébrités" et les libellant "preuves judiciaires" dans son réquisitoire, une défaillance méthodologique impardonnable. Tentative d'arnaque commerciale et fraude littéraire.

De manière cynique il poursuit sa croisade  tout azimut contre Bouteflika et l'Algérie par tous les moyens et avec les complicités de toujours.Neutralisé par l'interdiction de son quotidien en Algérie, il vit en France et poursuit son œuvre de subversion, prétextant un combat pour la démocratie.Ses alliances 
le culpabilisent car couvrant l'éventail des ennemis de l'Algérie, visibles ou occultes, conjuguant leurs efforts pour uniquement lui nuire.Ils sont regroupés sous la tutelle d'organismes internationaux, principalement ONG qui cherchent des prétextes justifiant une ingérence, et les réseaux médiatiques majoritairement juifs et sionistes qui inondent l'opinion de mythes, propagande et perversion de la vérité.Technique de harassement, conditionnement par 
le refrain du mensonge et de la calomie.Synchronisé sur leur longueur d'onde , "Matin.com" est devenu la plate forme de toutes les aigreurs et amertumes des traîtres à leur patrie, d'agents dociles au service des  maîtres judéo-talmudiens.Ils ont perdu espoir de toute reconnaissance populaire et sombrent dans le dépit et le regret des mauvais choix, pendant que.....
...... la caravane passe !
Le sionisme du MAK ("pas-m'henni"), et les transfuges de notre presse que les média sionistes récupèrent, sont des mésaventures humaines dont l'Histoire de l'Algérie fera abstraction.La démocratie en Algérie, le développement social et économique, se construisent selon un modèle local en concordance avec nos valeurs, et non celui qu'on nous imposerait par le biais de canaux internationaux, ONG et leurs mercenaires.Tous complices des injustices permanentes et des crimes qui affligent l'humanité. Géré par "l'éternel conspirateur", le Nouveau Désordre Planétaire est une déception à grand  échelle, servant uniquement les intérêts des sages de Sion .
Référons plutôt  aux militants et patriotes, qui exposent les ONG et leur rôle d'ingénierie sociale aux mains du talmudisme-judaïsme.Dans tous les pays , ils se mobilisent et luttent  pour divulguer la vérité et dénoncer les plans occultes de cette dictature planétaire.
Benchicou et ses complices, les ONG et la presse prétendue indépendante, n'abordent jamais ce péril, parce qu'ils sont  ses chevaux de Troie.
La démocratie, les libertés, les droits, Bouteflika, ne sont que des prétextes !