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15 juil. 2010

Le Druide Benchicou et Un Groupe d'Émules Jettent Un Sort Contre Bouteflika.


Une attention particulière avait été réservée au Prêtre Benchicou tout au long des articles du mois de Janvier 2010 (Lien)(Lien Complet) et (mises à jour), pour démontrer que le Soljénitsine algérien, survivant du Goulag d'ElHarrachov, avait subi des stigmates psychologiques irréparables, suite au traitement indigne qu'il avait enduré aux mains des gardiens du camp de rééducation politique . Un état comateux psychosomatique avec comportement physiologique à caractère cybernétique et robotique avancé résument les séquelles de sa mésaventure carcérale.
Benchicou en BD
Ce qui étrangement le prédispose aujourd'hui à exercer un pouvoir divinatoire rétroactif (à "remonter le temps") d'une puissance astrale, rarement observée dans ce cas de traumatisme patholo-organique. Dévoilant une imagination de "voyant" très féconde à travers ce pouvoir, ses visions et témoignages psychédéliques avaient été réunis dans un recueil de fraudes littéraires et publiés sous le contrôle des presses koshéro-cohéniennes de France.   Son oeuvre intitulée "L'imposture selon l'imposteur Benchicou", faisant allusion au président Boutéflika vers lequel il souhaitait diriger l'attention du public pour cacher sa propre dégénérescence neuronale et garnir son portefeuille de devises (portefeuille détruit par la police des frontières, la "Stasi" du régime sanguinaire d'Afrique du Nord).  Ses révélations fictionnelles sur l'Algérie et le Président Bouteflika  avaient causé un grand émoi dans l'opinion publique qui avait exigé plus de transparence de la part de ses gouvernants. Le lectorat naïf demandant plus d'éclaircissement sur les chroniques historiques des bains maures du pays, a exigé du devin personnage une seconde lecture astrologique du passé et du futur. Pour cette étude, le gourou du Matin   a regroupé quelque uns de ses nouveaux adeptes (*), tous addictes renégats des forums internationaux démoncratiques siono-islamophobes et versés dans l'art de l'intox ésotérique, ils se sont réunis (seul absent  de marque, Benbitour), au cercle initiatique et ont procédé à une "séance" d'incantations et de mantras, avec insistance sur les postures de yoga tantrique qui élève
Benchicou en méditation.
la conscience pour capter les nouvelles révélations qui dévoileraient les agissements occultes de cette créature extra terrestre, le terrifiant occupant du palais présidentiel, le...Titanesque
 Président Boutéflika ! A propos de créature surnaturelle, l'homme n'est en fait qu'un Roi au pays de beaucoup d'aveugles. Il est surnommé le "Lion Roi des savanes arabes et amazighs d'Afrique du nord", Roi d'un certain âge certes, mais "un lion est un lion, même âgé".  Confronté aux ricanements des bandes d'hyènes furtives et craintives, il vague à ses occupations et les ignore. La santé de ses sujets et la bonne marche de son royaume sont l'objet de toute son attention, réservant aux charognards traitres et nauséabonds son seul regard terrifiant, qui suffit à les mettre en fuite vers d'autres prairies, celles peuplées de veaux et d'agneaux.
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NB : Suivra prochainement un article-survol du manuel ésotérique du druide Beinchycow, un recueil de ragots intitulé "Notre ami Bouteflika ".
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(*)
-Abdelaziz Rahabi (Ancien ministre de la Culture et de la Communication – Ancien ambassadeur),
-Djilali Hadjadj, (Président de l‘Association de lutte contre la corruption en Algérie),
-Ali Yahia Abdenour (Président Ligue des droits de l’homme),
-Keltoum Zinou (Veuve de journaliste assassiné par les intégristes, membre de l’Association des victimes du terrorisme),
-Fayçal Metaoui, (Journaliste-reporter à El-Watan), 
-Zouani Houria (Mère d’une victime du terrorisme),
-Mustapha Hammouche (Chroniqueur du quotidien Liberté),
-Hassan Zerrouky (Journaliste au quotidien l’Humanité), avec des dessins de HIC
-Absent : A.Benbitour, Grand Maitre des "cercles".

19 avr. 2010

Les Autonomistes Amazigh: Un Cas D'Ecole de l'Ingérence Juive En Afrique du Nord.


L'action politique est toujours soutenue par la propagande, dont le contenu est défini pour promouvoir une doctrine, une idéologie, créer une opinion publique et gagner le soutien d'un groupe ou d'une population de citoyens, à l'intérieur ou l'extérieur d'une nation.  Elle est initiée par des personnes, un parti ou un appareil d'état se réclamant d'un système de pensée, d'une idéologie. L'Histoire nous enseigne l'existence de nombreuses idéologies apparues au cours des temps, toutes centrées autour d'un concept central à caractère religieux, racial, économique, philosophique, nationaliste ou internationaliste. L'Histoire contemporaine est riche en exemples de ces mouvements de pensée ayant affecté positivement ou négativement les hommes. Une remarque s'impose, celle d'affirmer qu'ils ont été majoritairement négatifs car souvent source de conflits et d'affliction pour les hommes, pour ceux qui y ont adhéré ou ceux qui en ont subi les revers. La raison principale de cette malédiction est que les idéologies ont été réfléchies et conçues dans ce but: diviser les peuples et enflammer les passions génératrices de conflit et de destruction.
Seuls bénéficiaires, ceux qui versant l'huile sur le brasier, offrent leurs conseils et leur "aide" pour financer les guerres, les banquiers juifs.
Une idéologie singulière qui occupe les débats et les écrits des observateurs depuis plus de 50 ans, est celle du Sionisme. Quoiqu'en réalité initiée et programmée depuis des siècles, cette idéologie ne s'est imposée à l'opinion que depuis la création d'Israël et les conflits qui perdurent au Moyen-Orient.
Elle est perçue à travers deux exposés:
-1- celui insufflé et inoculé par les champions juifs du Sionisme, leurs puissants moyens de propagande et leurs alliés investis de la mission de justifier la création d'un état-refuge pour un peuple persécuté, lors de la Shoah (sous le régime nazi) et des pogroms infligés à la diaspora depuis l'exode entamé sous l'Empire Romain. Ses fondements sont religieux, politiques, raciaux et font appel aux arguments plaidoyant en faveur de la création d'Israël principalement sur la base:
-de la rhétorique religieuse, la promesse divine faite au peuple juif d'un retour ré-unificateur à Jérusalem
-de la solution politique, un refuge remède aux souffrances endurées lors des tentatives (européennes) de génocide et de la Shoah.

-2- celui publié par les opposants à la doctrine sioniste qu'ils  condamnent pour divers raisons:
-la violation des droits des Palestiniens et la réfutation -des mythes "ethnocentristes" et religieux, leurs justificatifs archéologiques, bibliques et politiques menant à une injustice, la spoliation d'un pays et l'expulsion de son peuple,
-le mythe de la Shoah, fraude historique canonisée, promulguée mondialement, et défendue par une législation abusive et répressive,
-la présence funeste des Juifs en tant qu'acteurs occultes, subversifs et nocifs dans les événements marquants de l'Histoire ancienne et contemporaine de la planète (guerres mondiales, crises économiques majeures, esclavagisme et génocides) et,
-la xénophobie et le racisme caractérisant les lois religieuses du Judaïsme-Talmudisme, lois écrites (Talmud) mais pratiquement inédites et secrètes,  qui conditionnent cette idéologie  et la cautionnent.
 Les deux thèses du Sionisme sont extensivement discutées par les protagonistes respectifs dans une multitude de publications qui inondent les média et déferlent sur le web en particulier.  Car le web est seul champ ouvert  au militantisme des activistes et aux débats de chercheurs indépendants qui s'y réfugient pour effectuer librement leurs travaux, tout en demeurant constamment sous la menace de l'accusation «d'antisémitisme», délit collé aux contestataires des théories officielles du Sionisme. 
Le but de cet article n'est pas d'exposer l'une ou l'autre thèse, ou de les confondre car les documents y réferrant sont largement disponibles.  Il est d'aborder dans une étude comparative, la doctrine qui a fait son apparition dernièrement (quatre décennies) et qui prêche le particularisme ethnique, ethnographique (culture, mœurs et coutumes), religieux (juif-chrétien), et historique des peuples Amazigh, ou Berbères, d'Afrique du Nord et du Sahel. Doctrine véhiculée par une minorité d'activistes, militants de l'autonomie de la Kabylie, ou comme récemment déclaré,  de son indépendance! 
L'objectif de cette modeste étude historique est  de démontrer la similitude des techniques de manipulation et d'endoctrinement utilisées par le Sionisme, et celles adoptées par ce mouvement marginal amazigh.

Introduction:
L'offensive lancée contre l'Islam et la culture Arabe, principalement sur le Net, par des partis "politiques" se réclamant de l'amazighrité,  mobilise des ressources humaines et matérielles conséquentes qui dévoilent le soutien dont ils bénéficient de la part des maîtres des média, les éternels conspirateurs, les ennemis des Musulmans et des Arabes. Ceux que le Coran qualifie de «semeurs de discorde de part le Monde», ou « qui travestissent la vérité en mensonge»: les Juifs. Ils agissent directement par l'intervention d'Israël ou par leurs proxies interposés. Leur contrôle sans partage des gouvernements occidentaux et de leurs armées (OTAN), autorise leur offensive au delà du moyen Orient, en Irak, en Afghanistan, au Pakistan, au Soudan, au Yémen et dans les pays musulmans de l'ex-URSS. L'Islam et les Musulmans sont la cible de l'idéologie du "Clash des Civilisations" initié par les néo-conservateurs juifs de New York. L'alibi de la lutte contre le terrorisme a été fabriqué grâce à Ben Laden et El Qaida, qui ont été enfantés et supervisés par  la CIA et son clone le MOSSAD, avec le patronage de Brejzinsky. Le Monde Musulman, dernier écueil à l'hégémonie planétaire juive est harcelé de toutes parts. Tacitement, les  associations amazigh qui sèment la dissension et prêchent la division, entrent (volontairement ou  inconsciemment) dans la logique de participation à cette machination. Les faits marquants démontrant cette collaboration résident dans:
-la couverture médiatique massive  (juive-sioniste) généreusement accordée à ce groupe minoritaire,  non-représentative et sans base populaire, qui revêt l'apparence de «La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Bœuf»,
-la reconnaissance officielle par les officines internationales et ONG's sionistes,
-la reconnaissance tacite et cynique , par des gouvernants occidentaux, Français, Canadiens, Allemands, lors d'entrevues officielles accordées au "président" auto proclamé. Ceci,  à contre- courant de la défense des intérêts nationaux que ces responsables  assument dans les accords divers gouvernementaux contractés avec l'Algérie, cible principale de ces manœuvres subversives,
-la légitimation, en contradiction des lois internationales, d'activités subversives et d'incitation à distance de trouble et de conflit social, exposant des innocents, inconscients des vrais enjeux de cette campagne futile et des risques de confrontation avec les autorités locales.
Notons que pour leurs actions légitimes de soutien aux luttes des peuples Palestinien et Libanais contre les monstruosités et les crimes de génocide d'Israël, des pays musulmans (Iran, Syrie, Yémen, Lybie, Soudan), subissent la vindicte occidentale, l'embargo, les menaces militaires, et les sanctions. 
Hier, refuge du terrorisme islamiste et de ces commanditaires, lorsque les victimes étaient musulmanes, certaines capitales occidentales affichent aujourd'hui beaucoup de complaisance envers les incitateurs à la haine raciale et aux fauteurs de trouble, soient-ils Kurdes, Darfouriens, Amazighs ou Coptes. Amour de la démocratie et de la liberté des minorités ? Les idiots utiles qui embrassent ces utopies sélectives, distillées par le nouveau impérialisme juif, répondront affirmativement.
Il est important de préciser que de nombreuses associations à caractère culturel et scientifique concentrent leurs efforts dans la renaissance de l'identité berbère sans escalader les marches de la discorde et semer la haine de l'Islam et de la culture Arabe. Elles contribuent par leur modération et esprit de tolérance, à enrichir l'héritage arabo-berbère commun et indissociable, qui règne en Afrique du Nord, depuis 15 siècles. Ces associations ne sont pas ciblées par cette étude car participant à l'activité académique universelle de recherche scientifique objective et libre de toute utopie dogmatique sectaire.  
Celles que je souhaite démasquer et dénoncer sont visibles à travers l'exposé des complots qui se trament dans les coulisses des organisations culturelles, politiques, ethniques ou religieuses qui font de leur cheval de bataille, l'insulte abjecte de tous les concepts et valeurs associés à l'Islam et nourrissent une haine extrême envers, les Musulmans et leur civilisation,  les Arabes et leur culture. 
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 Chapitre 1: 

Ibn Khaldoun, l'illustre historien et encyclopédiste, est la référence universelle du sujet traitant de la généalogie des peuples, dont ceux du Moyen Orient et d'Afrique septentrionale. Son «Histoire des Berbères et des Dynasties de l'Afrique Septentrionale» (traduction disponible rédigée par Le Baron De Slane, Lien 1, Lien 2, Lien 3, Lien 4) est la source incontournable de tout chercheur ou étudiant souhaitant s'immerger dans cet océan de savoir que seul le génie Arabe a su léguer à l'humanité.  L'encyclopédique «Histoire des Berbères» présente la preuve irréfutable de la malversation fabriquée par certains courants politiques minoritaires amazigh qui propagent des théories raciales frauduleuses pour vernir leurs ambitions personnels ou leurs plans subversifs inavoués. Les mythes ethniques ou religieux énoncés en vue d'un "retour aux sources", chrétiennes ou juives, est un appel à l'inconnu, et l'acheminement vers l'irréparable. Aucuns arguments scientifiques, saufs ceux relatifs aux caractéristiques culturelles propres à l'Afrique Du Nord (caractéristiques qui s'imbriquent avec celles prédominantes, héritées de l'Islam), ne justifient ou n'appuient les revendications de ces groupes fanatiques sectaires, qui embaument la doctrine du «retour aux origines», d'absurdités, de mensonges et de contre vérités historiques. Il est évident qu'ils font le jeu de l'ingérence de forces subversives judéo-chrétiennes dont les visées sur les pays musulmans ne datent pas d'aujourd'hui, visées ayant fait l'objet de stratagèmes engageant d'énormes ressources et nécessitant de patientes manœuvres étalées sur des siècles. La dimension de cette «bulle» civilisationnelle amazigh ne trouve de comparable que les fraudes historiques initiées par les juifs sionistes qui depuis des siècles promotionnent le tourment de leur oppression par les goyim, et occultent ses causes : la réaction défensive des peuples goyim contre le dynamisme destructeur que le dogme du Talmud enseigne sous forme de lois de la prédation licite et de l'extermination du non-juif (gentil). La Shoah est l'exemple, dernier en date, de ces manipulations frauduleuse de l'Histoire autorisant les  Juifs a développer un dogme pour décevoir la communauté internationale, dissimuler leurs crimes et génocides (voir site de l'AAARGH),  et asseoir la dictature planétaire du "peuple élu".
Ibn Khaldoun, dans son encyclopédie,  relate les moindres détails des événements marquants de cette région du Monde, et trace la généalogie de tous les peuples, dont ceux d'Afrique du Nord  et ceux ayant transité par, ou envahi la région. Avant et après l'avènement de l'Islam et de la civilisation musulmane d'occident la région était perpétuellement déchirée par les conflits et guerres. Après le démembrement des khalifat Ommeyade et Abbasside, de l'Andalousie aux frontières orientales de l'Égypte, les conflits confessionnels (rites musulmans) ou militaires, illustrés par les vendettas opposant princes et émirs,  jaillissaient de toutes parts et leur méfaits retentissaient  le  long de la courbe de  décadence de cette civilisation illustre. Contrairement à la période de l'antiquité, les Berbères œuvraient dans l'espace Nord Africain et Andalusien  sans jamais se distancer, même instinctivement, des Arabes et agissaient au sein de la communauté musulmane avec leur conviction de croyants, réservant leurs griefs à des différences confessionnelles (rites sunni, chiâa, kharedjite, etc..), politiques ou d'intérêt matériel, jamais ethniques. 
D'où surgit donc ce revirement, qui est marginal, mais bénéficie d'un vacarme médiatique amplifié ? La réponse se révélera d'elle-même au cours du cheminement suivi par le recensement et l'analyse des événements parfois anciens (début-fin de la colonisation française), souvent récents (post indépendance) qui dévoilera le paradigme de ce mouvement et la naissance du berbérisme sectaire.
Le Début de l'Offensive:
Confrontés à la puissance de l'empire Ottoman et de ses provinces autonomes, les banquiers juifs devaient surmonter cet obstacle pour prendre le contrôle des pays sous l'autorité du Khalifat d'Istanbul. Un plan était dressé pour le démantèlement de cette forteresse de l'Islam afin d'en faciliter la pénétration et 
asseoir une main mise sur ses richesses. L'ouverture de nouvelles routes pour le commerce vers l'Europe, à travers la route stratégique des Indes et les bifurcations reliant l'Afrique, l'Asie et  la Méditerranée. Pays après pays, les régions à caractéristiques ethniques ou religieuses furent ciblées par des missionnaires et des espions chargés de réunir des données significatives et les informations devant permettre aux cercles occulte des banquiers Juifs, les Rothschild de Londres et de Paris, d'affiner leur connaissance de l'empire et aiguiser les sabres qui devaient le tailler en  pièces. Les études détaillées cernant les événements et recensant les acteurs impliqués dans cette campagne sont accessibles sur le Net. Le lecteur averti découvrira les intrigues que la version "officielle" des historiens confectionnant les manuels scolaires, ne dévoilent pas. Le mercenariat des banquiers juifs,  la franc-maçonnerie, est le bras brandissant la massue de démolition de l'empire Ottoman. 
La franc-maçonnerie fut introduite en Égypte par Napoléon Bonaparte, plus tard relayé par El Afghani et ses élèves Abdou et le Syrien Rida, les "réformistes" dont la "formation" avait été complértée sur les bords de la Seine. De  manière générale certaines sectes condamnée par l'orthodoxie musulmane avaient été réanimées et revitalisées ainsi que, le nationalisme local, l'hérésie Bahai et le Wahabisme, au Liban, dans la péninsule Arabique et partout où les espions français et anglais des loges maçonniques de Paris et Londres avaient relevé des divergences de rites ou de confession. Sans trop se perdre dans les détails, soulignons le fait que le mouvement des "frères musulmans" est une ex-croissance des réformistes, et tout le monde sait combien leur idéologie a "servi" à la promotion d'un de leurs adeptes, Ben Laden, pour dénigrer l'Islam et préparer la voie à l'actuelle colonisation juive de l'Irak-Afghanistan.
Les études académiques détaillées de ces mouvements et de leurs commanditaires-promoteurs sont disponibles en accès libre sur le Net. Pour revenir au sujet nous concernant, l'Afrique du Nord, remarquons  que la particularité de la région est l'inexistence de sectes permettant de développer la stratégie utilisée ailleurs. Le colonialisme français à l'instigation des cercles occultes juifs qui l'ont pensé, programmé et financé en Algérie,  adopta une approche différente : le foyer potentiel de division et dissension serait la disparité linguistique et culturelle qui fictivement et artificiellement séparait deux communautés.  L'impossibilité de les distinguer globalement, selon l'ethnologie, la géographie, la généalogie, l'ethnographie,  n'était pas un obstacle dans l'esprit des coreligionnaires d' Issac-Jacob Crémieux (plus connu sous le nom d'Adolphe Crémieux, ministre de la justice et membre fondateur de "l'Alliance Israélite Universelle"(Lien).(Lien Gallica: pdf  à télécharger pour une rétrospective des méfaits juifs lors de la colonisation et comment fut promulguer le décret Crémieux, et ses objectifs).
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«La brochure 2010 des Célébrations nationales vient de paraître. L’anniversaire de l’AIU y trouve naturellement sa place, grâce à un article signé Simone Veil.» Très révélateur pour reconnaître le stade avancé de la main-mise juive sur la France sionisée ).         
Photo: Jeunes Marocaines dansant à Mogador (futur Essaouira), le 16 juin 1935 pour le 75e anniversaire de l’Alliance © Alliance israélite universelle
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Le "diviser pour régner" et le plan de ralliement des communautés juives
d 'Afrique du Nord, pouvaient se passer de ces considérations méthodologiques.   Pour préparer le terrain : (Lien): «En ce qui concerne l'Algérie dont la conquête débute en 1830, la première loge, «Cimus», loge militaire du 10° régiment d’infanterie légère, s'installe fin 1831. En mai 1833 est créée la loge «Bélisaire» à Alger. En juin 1833 est créée la loge «Ismaël» à Bône, puis en juin 1836 «l’Union Africaine» à Oran. La loge d’Alger joue le rôle de loge-mère par essaimages successifs : à Blida en 1844 «les Frères de l’Atlas», à Cherchell en 1845 «Julia Caesarea». A Mostaganem en 1844 «les Trinosophes Africains» sont installés sous l’égide de la loge d’Oran. Le nombre de francs-maçons va régulièrement progresser, de 80 frères en 1833 à 850 frères en 1851.»
La franc-maçonnerie, cheval de Troie du judaïsme, fut donc dés 1831 sellée pour ouvrir la porte en Algérie (tout comme dans le reste de l'Afrique du Nord), aux "prédateurs". Soulignons l'importance de l'Algérie dans le plan de l'Alliance Israélite, puisque le décret Crémieux fut voté uniquement pour faire bénéficier les juifs algériens du statut civil de Français naturalisé, officialisant leur collaboration à la colonisation. Collaboration dont ils allaient remplir le contrat avec enthousiasme et beaucoup de zèle en fournissant les plus grands criminels de guerre civils et militaires, durant 130 ans. Les chroniques révélant l'implication des juifs, originaires de la métropole et les "pieds noirs", dans le génocide des populations autochtones musulmanes, sont dissimulées par "l'Histoire officielle", mais facilement accessibles sur le Web, il suffit de chercher pour découvrir la malveillance juive envers les musulmans avant 1830 (nombreux incidents) et jusqu'à 1962 (OAS et les essais nucléaires du Sahara).  La vindicte n'est pas terminée.

Fin de chap.1........... Chap.2 / Chap.3 / Chap.4 / Chap.5

11 avr. 2010

Algérie: Economistes Néo-Libéralistes Plus Royalistes Que Le Roi.

Scrutés en rétrospective: certains commentaires "d'experts" économiques prêtent à rire par leur naïveté ou soulèvent des questions sur la compétence de leur travaux ou l'honnêteté de leur avis sur des questions économiques importantes et souvent cruciales. Sans grands efforts et avec seulement un peu d'imagination, toute personne intéressée par l'information économique peut deviner où trouver ce genre d'écrit et ceux qui les diffusent: notre presse "indépendante" subversive, avec à leur tête El Watan. Sans jamais faire preuve de retenue ou de prudence le quotidien s'est spécialisé dans la divination économique et s'est converti en conseiller économique, défenseur de l'intérêt général dont l'expertise se résume à tenter d'induire en erreur le gouvernement et l'opinion publique sur des questions d'actualité et à le conduire dans des avenues hasardeuses et souvent catastrophiques pour ceux qui s'y hasarderaient. Tout le monde doit avoir en mémoire la campagne dirigée par El Watan et sa pléiade "d'experts" nationaux et internationaux qui accusèrent les autorités financières algériennes de négligence et d'incompétence dans la gestion des réserves excédentaires en devises accumulées (garantis par le gouvernement des États Unis) auprès du trésor américain. Nombre de conseilleurs algériens et étrangers suspects, «qui ne sont jamais les payeurs», chantaient d'une seule voix le refrain «de la nécessité de la diversification des placements des réserves en devise, dans la multitude de valeurs financières internationales négociées sur les marchés des bourses» de Londres, New York,, etc... Un piège que l'Algérie contourna par miracle (et grâce à la vigilance de surveillants avisés).
La crise du crédit qui se profilait à l'horizon coïncidait par hasard avec cette effusion de recommandations "désintéressées" et de conseils gratuits. La campagne d'El Watan fut abrégée par l'impact de la crise qui dévoila toutes les horreurs des malversations et des combines frauduleuses régissant les marchés financiers, que les vrais experts dénonçaient (depuis longtemps) comme organismes gérés par une pègre (dominée par les "banksters" judéo-talmudes), selon les mêmes règles qui régissent les casinos de Las Vegas, sinon pires.  Périodiquement, les agents de propagande engagèrent des campagnes de désinformation enrobées d'arguments "économiques" (dogmatiques et superficiels) ciblant la crédulité ou l'ignorance du lecteur, et ayant uniquement pour but de créer la zizanie dans l'opinion qui réagirait par le mécontentement et par l'opposition au gouvernement. Citons l'exemple de la libéralisation de l'économie ou économie de marché, que nos diffuseurs d'utopie économico-financière vantaient sans relâche, en réponse (résonance) à la tendance mondiale véhiculée par les néo-conservatifs de G.Bush. Le criminel de guerre chargé de la défense des intérêts de ses maîtres, les banquiers juifs de New York et de Londres. Ajoutez à cette nébuleuse occulte les experts des organismes internationaux, FMI et Banque Mondiale.
Localement, tous les "experts" d'El Watan s'accordaient à promouvoir les bienfaits de l'ouverture du marché algérien au partenariat étranger, dans le but de résoudre TOUS les problèmes macro-économiques (chômage, inflation, déficits en infrastructures, etc..) par la réalisation de projets gigantesques, donc par le biais d'investissements colossaux pour nous atteler au progrès économique mondial et nous sortir DÉFINITIVEMENT du sous développement. El Watan, désigné porte parole de la mondialisation (par ses sponsors de NY), inonda l'opinion de théories économiques toutes aussi convaincantes et alléchantes que celles propagées par les officines américaines et européennes. Toujours selon La Méthode: Intox véhiculée par un bombardement médiatique ininterrompu, servant la devise «plus le mensonge est réitéré, plus il aura de chance de devenir une vérité» (voir son site pour la profusion d'articles sur les bienfaits de la mondialisation et le libéralisme économique). Cet enthousiasme, débordant d'arguments proposés par les nombreux "doctors" et spécialistes, semblait cette fois réconforter la politique gouvernementale d'ouverture économique, pour adhérer à l'OMS, se conformer aux nouvelles règles du commerce international et peut être même éviter d'attirer l'attention des néo-cons juifs de NY, commanditaires de la politique belliqueuse de G. Bush, qualifiée de "nouvelle croissade contre le Mal" (traduire par "le monde musulman").
L'expérience de l'ouverture du marché s'est avérée grossièrement désastreuse pour le pays. Le pillage effectué par nos "chers" partenaires au détriment de notre balance des paiements qui fut "saignée" un-scrupuleusement par des boucaniers internationaux spécialistes de l'incursion à court terme et au maximum de profits. Que dans le langage populaire on qualifie pertinemment de " Achrab oua Harab". D'autre part le désistement d'investisseurs potentiels et l'abandon de leur participation dans des projets importants, conduisirent à la conclusion et à l'arrêt de cette entreprise de libéralisation sauvage. Déconfiture politique ou économique, le Président Bouteflika en fit un bilan négatif et condamna publiquement ses imperfections et les dangers menaçant le pays qui en proviennent.  Il promit de corriger les erreurs commises en ré-orientant le pays vers l'auto suffisance et la réhabilitation du secteur publique. Une politique pragmatique doublée d'une réduction de la dépendance envers le secteur privé étranger, l'Algérie ayant les moyens de cette nouvelle politique. La loi complémentaire des finances 2009, la révision des dispositions fiscales et un réaménagement de tous les outils de politique économique, suivirent, dans une conjoncture mondiale critique. Les premières résistances à la loi 2009 eurent pour origine les parties directement touchés par les nouvelles mesures. Réaction logique et un bon indicateur de la justesse de ce changement de cap. Les réserves avancées par le FMI sont surprenantes et doivent être examinées attentivement, car inhabituelles, précipitées et abusant de ses prérogatives. Mais l'intrigante tournure qu'a pris l'événement se situe essentiellement dans un fait inattendu : la  levée de boucliers de la presse spécialisée indépendante dans la défense des sociétés et groupes financiers étrangers affectés par les mesures gouvernementales (souveraines) qui étaient dictées par la nécessité de  protéger l'économie nationale (car atténuant les abus et les dérives causés par des règles économiques et commerciales préjudiciables). Un droit d'intervention gouvernemental que tous les pays jouissant d'un minimum d'indépendance se réservent dans ce genre de situation, mêmes chez les états-champions du libéralisme sauvage.
La crise financière actuelle illustre parfaitement ce état de fait, nombreux sont les pays occidentaux dans lesquels une multitude de mesures protectionnistes sont introduites pour leurs  propres intérêts, au mépris d'accords multilatéraux souvent contraignant, tels ceux liant la communauté européenne, par exemple.
Comment expliquer les déclarations faites par Nordin Grim, d'El Watan, (Lien) dans un article intitulé :
« Loi de finances complémentaire : Des conséquences désastreuses pour l’économie du pays»
«La loi de finances complémentaire pour l’année 2009 porte en elle de nombreuses dispositions visant à casser la dynamique d’ouverture économique et sociale lancée à la fin des années 1980.»
 -Quels arguments présente-t-il pour faire
un tel pronostique :
«Elle remet en cause des (1)principes fondamentaux de l’économie de marché comme l’autonomie de gestion des entreprises publiques économiques ayant le statut de société par actions (cas des banques auxquelles on interdit de pratiquer certaines formes de crédits), l’obligation de résultats (cas des EPE insolvables dissoutes que l’Etat a décidé de remettre sur selle) et la commercialité (cas de l’obligation de consommer en priorité des produits locaux sans référence au rapport qualité-prix). C’est toute la philosophie des réformes économiques(2) de 1988 qui est ainsi battue en brèche, déviant du coup le cap(3) de la transition à l’économie de marché.»

-(1)«Principes fondamentaux»? Des lois divines immuables ? Ou les règles dictées par la pègre juive et livrées pour consommation aux goyim crédules et idiots utiles sous forme de théories utopiques emballées dans les manuels pour retardés mentaux se réclamant des sciences économiques? Ou complices sponsorisés par les dirigeants du Nouvel Ordre Mondial? Ou des renégats mercenaires de la plume, de la trempe de certains de nos journalistes qui demeurent aveugles ou ferment les yeux devant le pillage orchestré par les banques et leurs succursales industrielles, le pouvoir économique et financier occulte qui dirigent le Monde sous couvert d'organisations douteuses mobilisées pour des objectifs prétendus humanitaires, fictifs et frauduleux ?
-(2)«Philosophie» ? Pourquoi pas dogme métaphysique préparant l'instauration de la dictature juive ? Ou doctrine religieuse prêchant la supériorité de la race juive et le droit de s'accaparer de la planète et de toutes ses richesses ?
-(3)«déviant du coup le cap» ? Sortir du droit chemin? Celui régi par les lois Talmudiques au détriment des goyim, leur réservant le droit de souffrir en silence de l'abus et du vol de leurs biens, au profit du peuple élu pour qui la rapine du goyim est kosher (licite) ? Une version talmude du "Tarik al Mustakim" ?
Notre "lumière éteinte" semble ignorer, ou intentionnellement occulter les méfaits de cette économie de marché, fondée sur un principe fondamental: la raison du plus fort et du plus puissant qui dicte aux faibles les règles du jeu, se réservant le privilège de les transgresser à volonté, selon ses caprices ou sa convenance personnel. Ce que nous recommande le traître est la soumission à cette tyrannie furtive et l'abandon de toute résistance ou initiative pour tenter d'éviter le traquenard que les prédateurs internationaux nous ont tendu. Soulignons pour rappel, la complicité des "réformateurs" de 1988 qui ont livré le pays aux FMI-Banque Mondiale !
«L’immobilisme qui a déjà fait beaucoup de mal à notre économie est, par conséquent, appelé à sévir encore plus, avec pour résultats de nets reculs en matière d’investissement, de croissance industrielle et d’approvisionnement des usines et des chantiers de construction.»  
Remarquez la technique d'ingénierie sociale, d'infusion de la crainte et d'injection de la panique, que notre scribouillard tente de transmettre au lecteur, manipulant ses émotions et omettant les arguments fiables qui l'informeraient. Vaine tentative de manipulation ! Qui dévoile la nature réelle des méthodes employées à travers ces analyses subjectives et irrationnelles vernies de "verbiage scientifique", pour s'introduire dans l'esprit du lecteur et y semer la peur et la confusion.  Consécutivement, pour le rendre émotionnellement vulnérable et apte au mécontentement, à la dissension et éventuellement à la révolte. Car il s'agit de créer le chaos social précédant l'ordre, le "Nouvel Ordre Mondial Juif" proclamé du haut des tribunes internationales par l'oligarchie qui dirige le Monde. (Lire la déclaration de D. Rockefeller,  ICI ou ICI ).
Quelques jours plus tard (08 Août 2009),  le ministre des finances, Karim Djoudi, répondit clairement aux dénigrements de la presse indépendante et des groupes d'intérêts étrangers qui avaient exprimé leurs
"préoccupations". (Consulter le lien).
Ell Watan ne s'est point rétracté ou corrigé. L'intox continue. Elle abordera d'autres sujets et tentera d'autres astuces. Nous en avons dénoncée une, celle de la campagne lancée par El Watan au profit du FMI qui tentait  une ingérence  (Lien) et (Lien).
Entre temps, la caravane passe. Et poursuivra son chemin, Incha Allah.

19 mars 2010

EL Watan-Supplément-Economie. Avocat du FMI ? Complice et Agent Subversif Qui Pue La Trahison.


Le supplément Hebdomadaire "Economie" d'El Watan, est révélateur de la ligne éditoriale de sa rédaction: une caisse de résonance des campagnes envahissantes, menaçantes et toujours paternalistes des FMI-BM.  Inlassablement, le quotidien harcèle son lectorat en ventilant les doléances des organismes financiers cités. Ne passe un jour, une publication, un article "d'expert" complice, sans que soient reportées les déclarations de DS Kahn  (FMI) , de R.Zoellick (BM), ou quelque autre obscure employé de ces organismes, avec les photos et posters de ces prédateurs talmudiens, brandis pour nous narguer de leur arrogante chupatz
L'attitude d'El Watan amalgame son  activité déclarée de journalisme "indépendant", avec celui de l'engagement doctrinaire au service du Nouvel Ordre Mondial. Cette posture soulève les questions capitales suivantes:
Pourquoi cette obstination ? Est-elle purement conjoncturelle ou partie intégrante d'une stratégie permanente dirigée de New-York et Washington par les deux institutions ? El Watan joue-t-il localement un rôle et  remplie-t-il une mission, au service des intérêts de ces empires financiers mondiaux ?
Les Algériens gardent le souvenir amer des politiques intolérables d'austérité qu'ils ont endurées sous l'inquisition financière de Michel Camdessus. Tous les experts indépendants dénoncent son œuvre destructrice de l'économie des pays endettés. Les études objectives et détaillées condamnent toutes, la cupidité et voracité insatiables des banquiers qui dirigent le pillage financier effectué sous la façade trompeuse "d'aide au développement", "coopération", ou autre euphémisme frauduleux. Administrateurs des relations monétaires  internationales et  des règles d'échange, les deux organisations sont motivées par le profit et le gain et aucuns scrupules ou éthiques ne les freinent dans la poursuite de leurs objectifs. 
Le vernis officiel qui les agrémente est un leurre que peu de gens perçoivent , et quand les experts avertis le découvrent , peu ont le courage d'exposer sa vraie nature. Il est inconcevable de la part des journalistes algériens spécialistes de la question de couvrir les méfaits de cette pègre de l'argent  après que l'Algérie ait enduré ses sévices et  son ingérence prédatrice.
Sans tarder examinons un exemple de la malveillance de plumes nocives qui s'évertuent à diffuser des concepts financiers erronés et frauduleux, gravement préjudiciables aux intérêts de ceux qui auraient l'imprudence de les assimiler ou de  les endosser.
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De manière suspecte, EW fait  fi de l'avertissement  de Nadjia Bouaricha dans une édition plus ancienne, datée du Mardi 16 mars 2007, «Le poids pesant du sur-endettement des ménages algériens.»
«Mais dans cette aubaine que constitue le crédit à la consommation, il y a le revers de la médaille, et c’est le sur-endettement. Les consommateurs se trouvent en proie à des charges de dépenses supplémentaires fragilisant leur capacité à faire face à différentes formes de dépenses quotidiennes. Pour l’achat d’une voiture ou d’un logement, le consommateur se voit tenu de rester endetté et son salaire partagé avec la banque prêteuse des années durant. La Banque d’Algérie estime à 40% le taux des crédits octroyés par les banques qui vont vers le crédit à la consommation. Plus de 200 milliards de dinars ont été injectés en 2006 dans le portefeuille des crédits au logement et à la consommation. Et dans ce magma de crédits, l’absence de mécanisme de protection des consommateurs risque de mettre les débiteurs dans une situation de surendettement, donc d’appauvrissement.»

«Le crédit à la consommation est l’attrape-nigaud de l’Algérien qui veut consommer in»

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Notre chambre de résonance titrait récemment (Lien): «Crédit à la consommation : Le FMI demande à l’Algérie de lever l’interdiction.» Le débat stérile sur la décision souveraine de l'Algérie est conduit par EW,  qui en spécialiste de la méthode Delphi, collabore avec l'avocat FMI et les faux témoins à charge dans sa plaidoirie en faveur des victimes, les banquiers philanthropes.
-Clore le débat, en soutenant l'abandon définitif des mesures gouvernementales de crédits à la consommation, volet  "véhicules particuliers" ? 
-Non EW s'y refuse!  EW revient à la charge et relance la polémique par la voix de son spécialiste de l'intrigue économique, El Kadi Ihsane.
(El Watan, 08Mars 2010) : «Comment, un jour, le crédit à la consommation sera rétabli ! » )
-Une idée fixe de l'auteur ? L'obsession du chercheur à résoudre une question d'ordre théorique ou pratique dont l"importance est cruciale pour l'avenir de l'Algérie, sinon de l'humanité ?
- Rien de tout celà ! L'auteur est un pantin actionné par la relance et l'insistance du FMI dans sa tentative d'écorcher une nouvelle victime au seul bénéfice des banques étrangères, avec qui le fond, partage les mêmes intérêts ! Les intérêts de qui ? De ceux qu'on nomment Banksters, un sobriquet dans le jargon anglophone, combinant,  "banker" et "gangster".
Un titre révélateur et qui démontre l'acharnement des pouvoirs (occultes) bancaires  à  renverser la décision souveraine algérienne d'abroger les "crédits à la consommation"  ce que Salah Mouhoubi, (édition du l'édition du 27 Février 2010 d'EW), avait modestement élucidé et clairement réfuté,  car les arguments du FMI (publiés avec sympathie par EW). 
étaient irrecevables. Selon lui : "Quant aux autres banques, dites algériennes à capitaux étrangers, ce sont, à mon avis, les établissements financiers qui ont profité le plus de ces crédits à la consommation." (Société Générale, BNP Paribas, etc...)
Observons par ailleurs  quelques commentaires de  l'ancien Senior Vice Président et Économiste en Chef de la Banque Mondiale, Joseph Stiglitz (Prix Nobel). Il est connu pour sa vision critique de la gestion de la mondialisation, des économistes du libre marché (qu'il appelle des «fondamentalistes du marché libre") et certaines institutions internationales comme le Fonds monétaire international et la Banque mondiale.:«Pour une majorité dans le monde la mondialisation telle qu'elle a été gérée ressemble à un pacte avec le diable. Quelques pays sont devenus plus riches. Les statistiques du PIB, pour ce qu'elles valent, rehaussent les apparences mais les modes de vie et les valeurs fondamentales sont menacées .... Ce n'est pas la façon dont elles devraient être.»
Ou : «Lors de sa réunion en Septembre à Singapour (2006), le FMI a reconnu les lacunes dans sa gouvernance (même si elle a sévèrement critiqué la gouvernance dans les pays en développement), et a donné plus de pouvoir de vote à quatre des plus sous-représentés des pays en développement.  Mais certains des défauts les plus importants existent toujours- les États-Unis reste le seul pays avec le droit de veto, la façon dont son directeur est choisi ne concorde pas avec les types de procédures démocratiques que nous tenons pour acquis dans nos propres démocraties, et il n'est toujours pas conformes aux principes de la transparence qui sont reconnus aux États-Unis, la Suède, et d'autres démocraties.»
El Kadi dans son apologie burlesque du FMI flatte..... la bienfaisance du fond :
«Le conseil d’administration du FMI est bienveillant avec l’Algérie. Il lui a recommandé très prudemment de rétablir le crédit à la consommation «lorsque la centrale des risques liée aux crédits aux particuliers deviendra opérationnelle ». 
«Motif : l’interdiction des prêts à la consommation constitue un obstacle au développement du secteur financier.»(sic. Le pillage serait selon lui une bénédiction dont nous prive la loi complémentaire.)

«L’argumentaire du ministre des Finances algérien aurait donc évoqué le risque de sur-endettement des ménages comme cause principale de l’interdiction. Tout le monde sait qu’il n’en est rien.»(Mensonge typique de l'analyse perfide qu'il distille. Les premiers à le savoir sont les consommateurs US qui sont tombés dans le traquenard du crédit attractif et démesuré. Leur famille règle la facture de leur folie.. Ils méditent leur malheurs dans les villes de toile (tentes) qu'ils occupent aux abords des mégapoles américaines !)

Les taux de recouvrement des banques en Algérie pour ce type de crédit sont les meilleurs en Méditerranée. (Raison supplémentaire qui aiguise l'appétit des banquiers, ceux qui commanditent notre scribouillard louche).
La vraie raison de l’interdiction du crédit à la consommation est irrationnelle. Comme la peur. La peur des déficits externes, par gonflement des importations en temps de reflux des recettes énergétiques. Une peur saisonnière.
(Très juste, car "qui a peur, vit en paix ". Notez l'incursion freudienne subversive  qui tente de défier l'orgueil des décideurs et provoquer un sursaut de courage ou de.....témérité. Enfantin ! Prudence et sagesse conviendraient mieux comme attributs. Qui devant le gouffre financier engloutissant récemment  les puissances financières de la planète ne serait pas appréhensif des risques  encourus par la poursuite de mesures hasardeuses ?)


«Qui va passer, avec le retour du baril à 100 dollars »( prévision ou  prophétie ? )

«La plupart des décisions de politiques économiques sont prises sur ce modèle univoque. Un risque, une riposte. Dans le cas des prêts à l’importation, les effets collatéraux n’ont jamais été examinés. Ils sont très certainement de plus d’impact que du seul effet restrictif sur les seules importations. Un exemple, l’arrêt du développement des réseaux bancaires (les prédateurs) à cause d’un plan d’affaires sabré. Un autre exemple, la sanction contre les producteurs locaux de biens électroniques et électroménagers, de meubles et de toutes sortes de produits dont la commercialisation a bénéficié ces dernières années du coup de pouce du crédit à la consommation. Un troisième exemple, le sentiment d’appauvrissement des couches moyennes qui ont commencé à s’équiper à crédit, notamment en voitures, et qui subitement réalisent qu’elles ne peuvent plus anticiper l’amélioration prévue de leurs revenus. La détermination des enseignants, mais aussi des médecins, à voir immédiatement des rattrapages conséquents sur leurs fiches de paie, pourrait bien illustrer les effets inattendus de la décision hystérique du mois d’août 2009. Comme cela est de coutume, les effets indésirables imposent leurs nuisances. Et le gouvernement recule. Plutôt tard que tôt. Scénario en lice déjà. Le ministre des Finances a admis, après la recommandation du FMI, que l’Algérie "aura à apprécier cette demande " de revoir sa décision au sujet des crédits à la consommation. »
«Mais quel est donc ce développement du secteur financier que veut préserver le FMI à travers sa recommandation ?»
«Ce n’est plus une priorité du gouvernement. Ni même d’ailleurs de la banque d’Algérie qui met en moyenne plus de six mois pour délivrer l’agrément d’une nouvelle agence bancaire après visite des locaux, comme si les extensions de réseau – notamment des banques privées – lui donnait plus de tracas.» 
 (la juste mesure, serait qu'elle mette 60 ans avant de la délivrer. 
Ce naif El Kadi serait-il victime du FMI, le maître chanteur institutionnalisé de la planète ?  Ou lui verse-t-il des primes pour ces exercices de voltige  intellectuelle et ses débordements lacrymaux   ?)

L’agence d’El Koléa de Société Générale Algérie a attendu de janvier 2009 à janvier 2010 son agrément bancaire. Tout était prêt, les locaux et les équipements bien sûr, mais aussi, les équipes et les produits. Un an de jachère pour cause administratif. Et c’est ainsi partout. (Arrêtez le, il vas nous faire chialer !)

«L’Algérie était, en 2009, classée au 135e rang planétaire par la Banque mondiale en matière d’attribution des crédits. Cela ne s’améliorera pas en 2010. Même si le crédit immobilier à taux 1% déboule dans le paysage.»( Mais c'est le plus important, aveugle ! La construction est stimulée et l'économie tourne à plein rendement
Ce qui n'est pas le cas pour les voitures, un produit fini. Dont le commerce de bazar génère peu ou presque pas d'emplois et n'est pas un investissement physique productif. Les usines de montage, le vrai investissement, la France les a réservées à ses....colonies.)

«Pourquoi ? Parce que le Premier ministre n’est pas intimement convaincu qu’il doit soutenir la demande solvable par le crédit. Pourquoi ? Parce qu’il ne sait pas très bien ou va aller l’argent qu’il va prêter aux Algériens. L’offre de produits locaux ne décolle pas. Ce sont les importations qui vont en profiter. Eternel cycle malthusien.» (Erreur ! C'est la fin du pillage camouflé et du détournement de ressources au dépens de l'économie nationale,  vers l'étranger via les importation et les profits exorbitants de l'usurerie !)

 «Nous ne savons pas élargir l’offre de produit, mais nous savons réduire les importations.»( parce que nous sommes maîtres chez nous et avons nos priorités  !)

«Le crédit à la consommation sera rétabli un jour.» (Non ! Et qu'ils cessent de nous harasser , lui et son employeur de l'ombre. L'opportunité pour monter nos véhicules ici, n'a jamais été aussi propice).

 «Avant même que la centrale des risques ne soit mise en place. Inutile d’en chercher la raison. Elle sera tout aussi irrationnelle.» (Irrationnelle ? Oui, après la vague de désinformation  qui a ciblé l'opinion, heureusement sans résultat.  Mais pas plus dangereuse que la campagne d'intox des idiots de service, du FMI, qui en d'autres lieux seraient  passible d'exécution, pour.....haute trahison. Pour preuve la
Définition: Crime consistant à entretenir des relations coupables avec une puissance étrangère ou ennemie;  Action de trahir en trompant la confiance de quelqu'un, en manquant à la foi donnée à quelqu'un, à la solidarité envers quelqu'un; résultat de cette action.  Action de trahir en livrant ou en abandonnant une personne, une collectivité. Action de ne pas traduire fidèlement, de déformer, de dénaturer quelque chose. )
  Rappel solennel , en ce 19 mars 2010, de l'ère des Harkis, tenant leur fusil aux poings. Ceux brandissant une plume empoisonnée ouvre un nouveau cycle de trahison au service d'intérêts douteux.
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Dans Supplément-Economie d'El-Watan du15 Mars 2010:
«Lutte anti-corruption en Afrique : le FMI propose son aide».
 N'en croyez pas un mot ! Cette annonce publicitaire doit être un poisson d'Avril, avant terme !
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16 mars 2010

Banques, FMI et BM: Les Sévices Du Cartel Financier Ménent Les Nations A La Faillite.

En introduction, un article d'Ellen Brown, August 17th, 2009 (www.webofdebt.com/), nous aidera à pénétrer dans le vif du sujet, car il aborde parfaitement la problématique du rôle dévastateur des banques sur toute économie qui subit la pression de leur pouvoir coercitif de domination et de contrôle. Les banques centrales en particulier, disposent de prérogatives déléguées par les institutions politiques nationales (sénat, assemblée, gouvernement). Ces autorités ignorantes ou complices, ont transféré aux banques privées  (Federal Reserve System aux USA) la fonction de création de la monnaie,  la fameuse "planche à billets". Le système financier du monde capitaliste occidental, pays après pays, est en fait contrôlé, exploité, drainé de son sang et  frustré du fruit de son labeur par les banques "centrales". Ces vampires insatiables qui, derrière le subterfuge de "nationale", "fédérale", "centrale",  sont toutes privées et monopolisées par quelques familles transnationales, à leur tête les Rothschild . Au grand étonnement peut être de la grande majorité des citoyens du "monde libre", qui découvrent ce paradoxe, la vérité est que les banquiers juifs sionistes dissimulent du grand public, avec la complicité des média et des autorités de l'éducation et des historiens "officiels" cette réalité. Cette fraude a fini par être mondialement dévoilée, et ses implications analysées et vulgarisées,  avec l'avènement de la toile, l'internet qui a permis à tant de chercheurs et d'économistes de publier leurs travaux, souvent encyclopédiques sur le paradigme du cartel privé des banques. Les organismes "administratifs", le Fond Monétaire International, la Banque of International Settlements, la Banque Mondiale, qui coordonnent les travaux et les activités communes, et régularisent les relations et les échanges entre les banques nationales à l'échelle planétaire, ont été conçus et fonctionnent selon les mêmes attributs que les entreprises commerciales. L'usurerie, pure et dure, dépouillée de toute considération humanitaire, sentimentale ou émotionnelle, est l'arme du pillage des nations et le meilleur agent destructeur des peuples, qui ouvre la voie vers la ruine et l'endettement. Endettement brandie comme moyen de chantage et de "saisie par huissier"de l'indépendance des états qui s'exposent au diktat impitoyable des banques. Dans ce contexte de l'endettement, les banques, à leur tête le FMI ("l'huissier"), prennent les rênes de la gouvernance et dictent les mesures économiques, financières, sociales, budgétaires, et imposent les changements politiques touchant toutes les centres d'intérêt administrés par les représentants du peuple. 
La corruption et la complicité des gouvernants est une autre facette de ce phénomène complexe de pillage des nations et la littérature en fourni des études détaillées. La nébuleuse internationale dirigée par le tyran Rothschild est la source de tous les maux majeurs de l'humanité et des malheurs endurés par les peuples, à travers les ravages des crises économiques , des guerres régionales géographiquement limitées dans l'espace ou celles déclenchées à l'échelle mondiale.
Heureux ceux qui parviennent à s'extirper des serres des banquiers-rapaces, et malheur à ceux qui prêtent leur flanc à leurs manigances. L'Histoire est riche d'exemples de nations ayant succombé à la voracité des prédateurs financiers, les  "shylock" qui depuis Venise du 15em-siècle ont tendu cet immense filet comme traquenard aux tentations financières des nations et des peuples qui optent pour ce mode de financement, usurier, de leur développement, mais s'enlisent dans le marécage de la dette.
Dernièrement, la crise financière, crise du crédit, a mis à nu les dangers que les nations encourent une fois attelées au système fondé essentiellement sur l'usurerie bancaire. L'Islande, la Lettonie, la Grèce, l'Irlande, et sur leurs traces le Portugal, l'Espagne, l'Italie s'acheminent vers la catastrophe. Les autres grandes puissances économiques, ont depuis 2008
enjambé la spirale meurtrière du chômage et de la récession économique. Quelques soient les explications apportées aux causes du crash (les multiples "bulles") le doigt dénonciateur n'est jamais pointé vers la cause principale: l'usurerie chère aux maîtres de l'intrigue, les éternels Shylock, les banquiers juifs, tirant toujours leur épingle du jeu et les marrons du feu.
Une exception majeure semble être exemplifiée par le cas de la Chine. Comment et pourquoi ?
L'article d'Ellen Brown, (www.webofdebt.com/), semble élucidé cette "énigme financière ", si le terme est exact, dont extrait ci-dessus :
  
«Tandis que les États-Unis dépensent des trillions des dollars pour amortir l'impact des revers de son système bancaire, laissant son économie languir, la Chine est elle qualifiée « d'économie miracle » qui s'est distancée du reste du monde. Pendant que le reste du monde descend dans la pire récession depuis les années 30, la Chine a elle maintenu un taux de croissance annuel phénoménal de 8%. Tels sont les rapports, mais les commentateurs sont mitigés. Ils se demandent comment une telle croissance demeure possible, quand d'autres pays orientés fortement vers l'exportation ont souffert des réductions importantes, et stagnent dans le marasme .»
«L'économiste Richard Wolff observe avec scepticisme :
Nous avons maintenant une situation dans le monde nous avons une crise capitaliste globale. Partout, la consommation est en baisse. Partout, les gens achètent moins, y compris des produits de Chine. Comment est-il possible que dans cette société, tant dépendante de l'économie mondiale,  pourrait-on maintenant enregistrer une croissance explosive ? Leur marché boursier est maintenant 100 % supérieur à son seuil historique --aucun pays au monde n'espérerait même de loin approcher ces performances. Certainement pas les États-Unis ou  l'Europe. Comment est-ce possible ? Afin de croire ce que les Chinois disent, vous devriez convenir que dans un intervalle de quelques mois, tout au plus une année, ils ont pu transformer leur économie d'une puissance basée sur l'exportation, en un moteur industriel focalisé domestiquement . Ailleurs, ce recyclage aurait pris des décennies. »
 «Comment le plan de la Chine de relance économique peut-il fonctionner aussi bien, quand le nôtre fonctionne presque pas du tout ? La réponse est peut être simple : La Chine n'a pas laissé son système bancaire fonctionné au dépens de son économie physique productive. Les banques chinoises s'activent au service des particuliers, non l'inverse. Ce qu'a déclaré Samah EL-Shahat, une journaliste sur le site de la chaîne anglaise d'Al Jazeera. A propos, elle détient un doctorat en sciences économiques, de l'Université de Londres.»
  «Dans un article du 10 août intitulé " la Chine privilège les particuliers, avant les banques".»
Elle écrit :
« La Chine est une économie où  n'existe essentiellement pas de clivage - la dichotomie entre son secteur financier d'une part, et le monde du commun des particuliers, du peuple chinois  et de ses entreprises, d'autre part. Les deux secteurs sont en pleine croissance grâce à la manière dont le gouvernement a géré ses banques. La Chine n'a pas permis à son secteur bancaire de devenir puissant, influent, et gigantesque, au point qu'il contrôle ou détourne les budgets de la relance économique. En termes simples, le gouvernement a préféré répondre à ses citoyens et placer leurs intérêts en premier, avant ceux de tout autre acteur économique et financier concerné ou de quelconque groupe. Et c'est pourquoi les banques chinoises prêtent (crédit disponible) à un nombre record de particuliers et d'entreprise. »

«Ce que Wolff appelle « la crise capitaliste globale » est réellement une crise du crédit ; et en Chine, à la différence des États-Unis, le crédit a circulé librement, pas simplement dans le secteur financier mais dans l'industrie et le gouvernement local. Les banques nationalisées ont massivement augmenté les prêts, avec les gouvernements locaux et les entreprises publiques empruntant à grande échelle. La Banque Populaire de Chine estime que les prêts totaux pour la première moitié de 2009 étaient de $1,08 trillions, 50% supérieur au volume des crédits des banques chinoises émis durant toute l'année 2008. La Federal Reserve aux États-Unis  s'est également engagée à émettre un niveau record de prêts, mais ses prêts sont allés principalement pour renflouer le secteur financier lui-même, laissant Main Street (les secteurs productifs et commerciaux) sèche et à quai .»
« Au Royaume Uni et aux Etats-Unis, le secteur financier est en plein boom, alors que le monde des particuliers semble aller de pire en pire; le taux de chômage grimpe; les entreprises se rétrécissent et les saisies immobilières sont couramment effectuées. Wall Street et Main Street semblent être situées sur deux planètes différentes. Ceci est en grande partie dû au fait que les banques ne prêtent toujours pas aux particuliers . Dans ces deux pays, les banques ont saisi tout l'argent des contribuables et celui ,à bon marché, de soutien des banques centrales. Elles l'emploient pour apurer et assainir leurs bilans plutôt que de le prêter aux particuliers. L'argent a été détourné par les banques, et nos gouvernements ne font absolument rien pour y remédier. En fait, ils ont été complices, en permettant à ce détournement de se produire. »
 Dans cette comparaison Chine-Occident il est bon de retenir l'importance du secteur bancaire dans la politique de développement national aussi longtemps que l'état contrôle cet outil financier et le met au service de la communauté, et non le contraire. Pour une meilleure vision du contexte algérien il est clair que la politique adoptée par le gouvernement est judicieuse malgré ses revers au niveau des lourdeurs des mécanismes de gestion qui demeurent perfectibles, carence qui n'est pas insurmontable. Par contre l'intrusion des prédateurs réunis autour des banques françaises qui vantent les mérites de leur venue en Algérie et les sacrifices qu'elles acceptent à cause des imperfections du marché et du système bancaire, n'est qu'un conte imaginaire pour enfant. La vérité est que leur présence cible la razzia financière, prenant par surprise les consommateurs innocents et inexpérimentés. Le crédit d'achat par facilité de véhicules (biens périssables engendrant des coûts d'entretien supplémentaires) occulte les dangers menaçant le client. Souvent, l'endettement excessif dépassent ses moyens de remboursement, même lorsque ces opérations sont subventionnées par l'état (qui pire encore provoque une double hémorragies financière, au profit de la banque étrangère et du constructeur de voiture étranger) mais parce qu'il détourne au dépens d'autres secteurs de l'économie, des ressources précieuses, ce qui risque de freiner leur développement. Ainsi il en va de l'agriculture (qui est primordiale et prioritaire) mais aussi du bâtiment, des investissements dans les transport (biens d'équipement, réseaux ferroviaires et voies routières). L'arrêt des subventions de l'État à l'achat, a par conséquence ralentie l'importation de véhicules.  D'où le tollé général des "partenaires" économiques affectés par ces décisions, principalement la France par sa position prépondérante dans ce marché et son paternalisme chronique, qui a réagi violemment et mobilisé son appareil de désinformation, dont les média locaux (cf les réactions d'El Watan ci dessus), pour tenter d'annuler les mesures décrétées par la loi complémentaire des finances 2009.)
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Il faut admettre que ses premières réactions, dans son éditorial quotidien ou son supplément économique hebdo sont mitigées et semblent traverser deux phases distinctes. La 1ère, réconforte les positions françaises en avançant les reproches du FMI comme argument  la justesse des doléances françaises exigeant presque un revirement de l'Algérie et l'abrogation de la loi des finances relative à l'arrêt des subventions d'achat de véhicules. Un extrait du 25.02.2010 (Lien), frôle le ridicule par son engagement au profit des Renault-Peugeot formulé par leur associé au FMI, le Français DSK,
une icône médiatique adulée d'El Watan. Ou le cousin lointain d'un de ses rédacteurs ? El Watan criant au loup ? Illustration :
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Crédit à la consommation : Le FMI demande à l'Algérie de lever l'interdiction 
Crédit à la consommation : Le FMI demande à l’Algérie de lever l’interdiction.
Le Fonds monétaire international (FMI) a réagi, hier, à la décision du gouvernement algérien d’annuler les crédits à la consommation, comprise dans le texte de la loi de finances complémentaire 2009.
 Notez le regard menaçant de notre  Jacob Casanova du FMI.
Terrifiant !
El Watan est décidément passé maître dans l'art de la manipulation graphique. Il ne lui manque que l'audio, et les studios d'Hollywood déposeraient bilan !
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 Durant la 1ère phase, El Watan prend la tangente de la collaboration active avec les forces étrangères (ennemies d'hier). Une coutume que je ne cesse de dénoncer par mes modestes articles, qui j'espère finiront par trouver un jour un écho parmi les internautes avertis, ceux qui souhaitent s'éduquer et pas seulement tuer le temps en "navigant".
Dans une deuxième phase EW semble se ressaisir, craignant de s'être trop engagé et avoir dévoilé son parti pris (passible de condamnation à mort pour haute trahison). Sa rédaction décide de tempérer son enthousiasme pour la défense des intérêts rothschildiens. Car il s'agit bien d'eux, par le biais de BNP ou Société Générale, les banques se sucrant dans l'opération de pillage "achat de véhicules".
Et bien sûr, grâce à leurs ramifications dans l'automobile "made in France".
A ce stade des événements, EW offre la parole à un économiste et universitaire, Salah Mouhoubi (Article à lire, très sobre et réconfortant) et  qui étonne par sa clairvoyance et sa perspicacité, qui  réfute la ligne éditoriale coutumière et suspecte . Le journaliste enregistrant l'interview doit avoir été sanctionné par l'amputation d'un mois de salaire au moins, pour la bévue qu'il a commise.
Un extrait de l'interview de Monsieur Mihoubi :
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Salah Mouhoubi. Économiste et universitaire : « L’Algérie n’a pas à tenir compte de la suggestion du FMI sur les crédits à la consommation »


- Le Fonds monétaire international (FMI) a suggéré à l’Algérie de lever l’interdiction des crédits à la consommation, une décision comprise dans la loi de finances complémentaire 2009. Le FMI estime que cette interdiction constitue un obstacle potentiel au développement du secteur financier. Quel est votre avis à ce sujet ?
«Je trouve que la sortie des administrateurs du FMI très surprenante car le crédit à la consommation n’a jamais porté préjudice aux banques algériennes à capitaux nationaux puisque celles-ci disposent de suffisamment de liquidités pour le financement des crédits à la consommation. Quant aux autres banques, dites algériennes à capitaux étrangers, ce sont, à mon avis, les établissements financiers qui ont profité le plus de ces crédits à la consommation. La décision du gouvernement algérien d’annuler cette grille de crédits est motivée par le souci de préserver l’équilibre de la balance commerciale. Ainsi, demander à l’Algérie de lever cette interdiction qui a pour objectif de préserver la balance commerciale serait donc contraire aux fondements de la charte du FMI. Cette institution devrait être la première à soutenir les décisions allant dans le sens de consolider l’économie de tel ou tel pays par, à titre d’exemple, la préservation de l’équilibre budgétaire de sa balance de paiement ou de la balance commerciale.»
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Évidemment l'universitaire ne s'engage pas dans les avenues à risques intellectuels et médicaux causés par les théories de la conspiration, mais donne une analyse cohérente et objective qui présente un argument justificatif appuyant les mesures préventives du gouvernement algérien , sur le plan de la logique économique et du bon calcul d'épicier.