Introduction :
Avant d'élaborer sur le sujet annoncé en entête de cet article, je souhaiterais conseiller au visiteur occasionnel de la nécessité de se munir d'une jauge adéquate pour mesurer la véracité des concepts et arguments qui lui sont présentés ici, ou qu'il a eu l'occasion de rencontrer ailleurs durant ses recherches ou ses randonnées littéraires.
La jauge consiste en la capacité de s'armer de la conviction que le monde dépeint par la littérature courante, traitant de différent domaines de l'activité humaine (économie, politique, science, culture), n'est pas conforme à celui existant, réel.
Cette outil de mesure peut être plus clairement défini comme une forme de discernement entre le calque virtuel, projeté par les média et l'édition, et le monde réel dissimulé par la confusion de l'intox orchestrée par les "contrôleurs de l'information". Pour ceux non accoutumés à l'origine de cette clique de personnages obscures, menés par les banquiers shylock juifs, je recommande une initiation rapide grâce à la lecture de quelques articles de ce blog ou la consultation d'autorités militantes plus connues, voir H. Makow, ou H.Ryssen, ou le syti.net, ou encore intérêt-général.info, etc...La liste n'étant pas exhaustive, trop longue pour s’insérer dans cet espace limité, mais les liens disponibles sur H.Ryssen par exemple, suffiraient à satisfaire les plus curieux.
Pour appuyer cette proposition, concernant la dualité réelle/virtuelle du monde, la citation d'un extrait traduit, de la lettre de H.Makow au Lien :
«La société moderne est basée sur un solipsisme créé par les Illuminati (cabalistes), banquiers juifs et leurs sbires maçonniques. Le mot "solipsisme" signifie une réalité auto-créé qui a peu ou pas de lien avec la vérité. Le mot a été inventé en 1874 du latin solus "seul", et ipse «soi». Il résume le point de vue que le "moi" (l'individu) est le seul objet de la connaissance réelle ou la seule chose qui est réelle.
Le Nouvel Ordre Mondial est dédié à remplacer la Vérité avec un solipsisme créé par les mêmes personnes qui créent de l'argent à partir de rien (compte bancaire) et y chargent un intérêt. Qu'est-ce que la "vérité" ? Sur le plan matériel, c'est le dessein naturel, le fonctionnement le plus efficace de la sphère naturelle. Sur le plan spirituel, c'est Dieu, qui est la réalité ultime, un autre nom de la vérité absolue, la beauté, l'amour, l'harmonie et la justice, ce que tous les êtres humains désirent naturellement. Notre mission est d'incarner ces idéaux.
À l'opposé de ça, les Illuminati prétendent que l'homme est déjà Dieu. L'homme se distinguant en manifestant ses pires défauts, les satanistes disent que ceux sont ses meilleures qualités.»
«Nous sommes noyés dans un solipsisme qui inverse le bien et le mal, la vérité et le mensonge. Nous sommes initiés à un culte satanique.»
Avec cette aperçu du solipsisme, fondé principalement par la propagation du mensonge et son vecteur l'oxymore, il nous faut demeurer vigilants lors de la consultation de l'information quelque soit le sujet abordé.
L'analyse économique, les sciences et leur domaine d'application (tel la santé !), l'histoire officielle, l'évènement politique, etc..., traitant du monde réel sont l'objet de manipulations ininterrompues répercutées par divers agents, parmi lesquels ceux endoctrinés lors de leur passage dans les centres de "formation" couronnés par des prétentieux doctorats et PhD hélas inopérants car gonflées d'idées préconçues vaines et de concepts fallacieux, tous distillés par les maitres du mensonge.
Ce constat est particulièrement manifeste lorsqu'on aborde les théories économiques et les analyses du monde réel qui s'y référent.
La théorie économique et ses revers:
Démolie par la crise persistante subjuguant l'économie et la finance internationales, la théorie économique est fustigée de toutes parts. Les experts et les analystes sont unanimes pour contester la fiabilité des idées dominantes sacralisées par des prix nobel et des chaires de professorat dans les prestigieuses universités.
Après la faillite de l'éducation brièvement survolée dans l'article précédent, la faillite des théories économiques classiques est d'actualité et les débats font rages sur la capacité des théories économiques à expliquer, gérer et prévoir les mutations opérées et les changements enregistrés dans ce domaine de l'activité humaine.
Brièvement et sans trop élaboré sur le sujet il suffit de consulter quelques références disponibles sur le web pour attester de différentes lacunes de la théorie économique, de son égarement, de son inexactitude, de ses contre sens, de son extravagance, de ses contradictions, et souvent de ses paradoxes. Débutant par l'inconsistance de la définition de son vocabulaire, la non uniformité de la significations des termes utilisés sur le plan linguistique et quantitatif. Le sens de "progrès", de "croissance économique", de "PIB", des "indicateurs économiques et de leur évaluation", font l'objet de controverses et de polémiques résolues que par la publication de décrets de loi, tout en différant d'un pays à un autre !
L'étymologie, les lexiques, les glossaires et définitions différent d'une région à l'autre, d'une école à l'autre, d'un économiste à son proche collaborateur.
Exemple de "la croissance économique", l'article sur Wikipédia nous donne un avant goût des intriquacités de ce monde académique confus. Dans un exposé détaillé difficilement assimilable et dont le défilement de verbiage savant est exténuant sinon traumatisant, car jonché de conditionnels, enchevêtré dans la succession de définitions vagues, de concepts abstraits adjacents, de "selon x" et "selon y".
Dont extraits :
«..Selon la définition de François Perroux»,
-«La définition de Simon Kuznets va au-delà et affirme..»,
-«À court terme, les économistes utilisent plutôt le terme d'expansion... »,
-«Au sens strict, la croissance décrit un processus d'accroissement de la seule production économique.»,
-Ces transformations au sens large sont, conventionnellement, désignées par le terme de développement économique.»
Note : "développement économique", une autre monstruosité dont la poursuite du sens épuiserait même Hercules à la recherche de la Toison d'Or.
-«Le terme de « croissance » s'applique alors plus particulièrement aux économies déjà développés.»
Note : Cette dernière remarque risque de frustrer nos apprentis aventuriers économistes qui savourent dans leurs discours le terme "croissance". N'est-ce pas Messieurs Benbitour, Mebtoul, Hafsi, Chitour, Othmani, Rebbrab, et compagnie ?
Plus loin toujours dans Wikipédia :
-«La Commission du développement durable du gouvernement britannique souligne qu'il est important de distinguer trois notions qui «ne sont absolument pas les mêmes choses» :
1/la croissance des flux biophysiques (énergie et matériaux) ;
2/la croissance de la valeur monétaire de la production (PIB) ;
3/la croissance du bien-être économique de la population.» Note : une autre entourloupe ou autre monstre sorti du musée des horreurs : "bien-être économique" !
Et cerise sur le gâteau :
«Le croissantisme économique est considéré comme étant l'idéologie de la croissance par opposition à la philosophie décroissantiste.»
Idéologie ? Philosophie ? Et pourquoi pas religion ou culte ?
Mais comme promis, je ne m'étendrais pas sur le thème de l'absurdité de ce "monde économique" que certains qualifient d'académique, mais dont l'égarement n'a d'égal que les ambiguïtés de son jargon. La pensée économique n'est qu'une machine à fantasmes dont le seul mérité est sa capacité à imaginer et spéculer.
La grande révélation :
Les crises ont achevé les derniers espoirs des théoriciens dans leur tentative de comprendre, d'expliquer, de prévoir les changements nocifs affectant les besoins matériels des habitants de la planète. Amplement documentée, la faillite de la scientologie économique est d'actualité et tout curieux a la possibilité de constater la panique qui règne dans le panier à crabes de cette science sociale qui peut s’enorgueillir de posséder les caractéristiques combinés de culte, religion, idéologie, philosophie et dogme.
La triste déconvenue pour nos économistes :
Les maitres, professeurs, docteurs, et experts de part le monde qui enseignent "l'économie" s'avouant vaincus devant l'énormité de la faillite de leur savoir. Que deviennent leurs élèves qui ont eu la malencontreuse aventure de solliciter un apprentissage sous leur autorité ?
Si les maitres n'ont pas de solutions aux problèmes et ne peuvent répondre au défi de la crise mondiale, leurs élèves n'ont certainement aucun espoir de conseiller, de résoudre, de suggérer, de recommander des voies de sortie aux challenges qu'ils confrontent même dans l'espace réduit de leur pays ou région. Nos Benbitour, Benflis, Mebtoul, Othmani, Rebrab, NABNI, et les montreurs de tort algériens qui ronchonnent sur la rente, l'opulence des hydrocarbures, la prospérité gratuite (d'origine divine), et prêchent les mérites du dur labeur ou Stakhanovisme soviétique, n'ont qu'à démontrer par l'exemple la valeur de leur sermon et trouver un pays où mettre en pratique leur théories.
L'énigme de la faillite est résolue et la vérité surgit de l'histoire:
L'étude de l'histoire des grandes fraudes et des complots majeurs ayant modelé le cours des transformations planétaires nous mène à la machination la plus célèbre codifiée dans les "Protocoles des démons de Sion", le livre «le plus lu dans le monde» selon Makow.
Quelques perles extraites des Protocoles, le manuel talmude de la mère des conspirations :
Concernant les sciences sociales :
-«Chap1
/05- De nos jours la puissance de l'or – c'est-à-dire la nôtre – a remplacé le pouvoir des gouvernements libéraux.»
-«Chap1/20- Dès l'époque de l'épanouissement de la Grèce antique, nous avons été les premiers à crier le mot : « Liberté ! » si souvent répété depuis par des perroquets inconscients, qui, attirés de toutes parts par cet appât, n'en ont usé que pour détruire la prospérité du monde et la véritable liberté individuelle, autrefois si bien garantie contre la contrainte de la foule. Des hommes qui se croyaient intelligents n'ont pas su distinguer le sens caché des mots qu'ils employaient ; ils n'ont pas remarqué qu'il n'existe pas d'égalité dans la nature, qu'il ne peut y avoir de liberté, que la nature elle-même a établi l'inégalité des esprits, des caractères et des intelligences, en soumettant tout à ses lois ; ils ne se sont pas aperçus que notre politique les a lancés hors de leur vie coutumière, dans la voie qui aboutit à notre gouvernement. Pourvu qu'il soit initié à la politique, même un imbécile peut gouverner, tandis qu'un non initié, fût-il un génie, se perdra dans les voies que nous indiquons.»
-«Chap1/22- Notre appel : « Liberté, Égalité, Fraternité » amena dans nos rangs, des quatre coins du monde, grâce à nos agents aveugles, des légions entières qui portèrent nos bannières avec enthousiasme. Cependant ces mots étaient des vers qui rongeaient la prospérité des goyim, en détruisant partout la paix, la tranquillité, la solidarité de par l’obéissance aux lois, qui sape tous les fondements de leurs États. Vous verrez plus tard que c'est précisément cela qui contribua au triomphe de notre système de conquête pacifique du monde. Nous pûmes alors obtenir l’abolition des privilèges, essence même de l'aristocratie des goyim, aristocratie qui était le rempart naturel des peuples et des patries contre notre action.»
-«Chap1/
/24- Notre triomphe nous fut facilité par le fait que dans nos rapports avec les hommes dont nous avions besoin, nous sûmes toujours toucher les cordes sensibles de la nature humaine : le calcul, l'avidité, l'insatiabilité des besoins matériels. Chacune de ces faiblesses humaines, prise à part, est capable de détruire toute initiative personnelle, en mettant les hommes à la disposition de celui qui achète leur activité.»
-«Chap 3/
/06 -Nous avons parmi nos agents – conscients et inconscients – des hommes de toutes les opinions : restaurateurs de monarchies, démagogues, socialistes, anarchistes, communistes, et toutes sortes d'utopistes. Nous les avons tous attelés à la besogne : chacun sape de son côté et s'efforce de renverser tout ce qui tient encore debout. Tous les États sont excédés par ces manoeuvres ; ils cherchent le pain et sont prêts à tous les sacrifices pour l'obtenir. Mais nous ne leur accorderons ni paix ni trêve tant qu'ils n'auront pas reconnu notre Super gouvernement international ostensiblement et ne lui auront pas fait acte de soumission. Les peuples crient qu'il est nécessaire de résoudre la question sociale au moyen de l’internationalisme. Les divisions des partis nous les ont tous livrés, parce que pour mener une lutte de partis, il faut de l'argent et c'est nous qui avons l'argent.»
-Chap2/
/09- Pour ne pas détruire prématurément les institutions des goyim, nous y avons touché d'une main prudente, expérimentée et maîtresse des principaux ressorts de leurs mécanisme. Ces ressorts fonctionnaient autrefois dans un ordre sévère mais rigoureux, auquel' nous avons substitué un désordre libéral, stupide et arbitraire ; nous avons ainsi influencé la juridiction, les lois électorales, la presse, la liberté individuelle et, ce qui est plus important, l'instruction et l’éducation, ces pierres angulaires de la vie sociale.»
-«Chap5/
/04 -Pour avoir plus de prise sur les institutions, nous avons promis à bon nombre d'administrateurs le droit de gouverner le pays ensemble, sans aucun contrôle, à condition qu'ils nous aident activement à créer des prétextes de mécontentement au sujet des constitutions mêmes, préparant ainsi l'avènement de la République dans leur pays. Les Républiques nous donneront le trône du monde. Pour l'instant, nous n'avons fait que remplacer l'influence des gouvernements libéraux par notre pouvoir celui de l'or.»
-«Chap6/
/03- Afin que les goyim n'aient pas le temps de réfléchir et d'observer, il faut les orienter vers l'avidité du gain, au moyen de l'industrie et du commerce. Les individus et les nations chercheront ainsi leurs propres avantages et, engagés dans cette lutte, ils n'apercevront pas leur ennemi commun : notre intérêts. Et pour que la liberté puisse désagréger et ruiner la société des goyim, il faut faire de la spéculation la base de l'industrie ; il en résultera que les richesses produites par l'industrie passeront à la spéculation, c'est-à-dire qu'elles serviront à remplir nos coffres-forts, puisque tous les fils de la spéculation seront entre nos mains.»
-«Chap9/
/01-.... Les lois qui émanent des théories scientifiques ont, pour eux, une importance considérable ; aussi avons-nous engendré la confiance aveugle à l'égard de la science. Leurs intellectuels s'enorgueillissent de leurs connaissances que la logique n'a pas vérifiées, et ils mettent en pratique les notions puisées dans la science livresque, telles qu'elles sont écrites par nos agents, dont le but est de tourner les esprits dans la direction qui nous est nécessaire.»
-«Chap10/
/05- Actuellement, tous les rouages des mécanismes gouvernementaux sont mis en mouvement par un moteur qui est entre nos mains ; ce moteur, c'est l'or. La science et l'économie politique inventée par nos Sages rend depuis longtemps hommage au prestige royal du capital.
/06- Le capital, pour avoir sa liberté d'action, doit créer la liberté d'un monopole industriel dont on se servira pour assujettir le peuple. De nos jours, il importe. plus de désarmer complètement les peuples que de les mener à la guerre, d'utiliser à notre profit les passions qui s'éveillent que de les éteindre, de saisir et d'interpréter les idées des autres dans le sens voulu par nous plutôt que de les supprimer.
/07- Le problème essentiel et secret de notre gouvernement est d'affaiblir l'esprit public par la critique, de lui faire perdre l'habitude de la réflexion qui détermine une opposition à surmonter, d'orienter ses forces vers la vaine éloquence.»
-«Chap11/
/03- Quand nous eûmes contaminé l'organisme gouvernemental par le libéralisme, ce poison mortel, tout l'ensemble de la vie politique des États fut modifié ; tous furent atteints d'une maladie mortelle : la décomposition du sang. II ne reste plus qu'à attendre la fin de leur agonie.»
-/04- Le libéralisme engendra des gouvernements constitutionnels qui remplacèrent les autocraties. Une constitution n'est guère autre chose qu'une école de discordes, de querelles, de mésintelligence, de dissentiments, d'agitations stériles, de tendances de partis, de tout ce qui sert à affaiblir l'activité des États.»
-«Chap13/
/06- Il existe déjà de nos jours dans le journalisme une solidarité maçonnique qui a son mot d'ordre. Tous les organes de presse sont liés entre eux par le secret professionnel, et, semblables aux anciens augures, aucun membre de cette corporation ne dévoilera le secret de ce qu'il sait s'il n'est décidé par nous de le rendre public. C'est pourquoi aucun journaliste ne peut être du nombre des célébrités littéraires si son passé ne garantit pas sa soumission à nos directives et à notre mot d'ordre. La misère, la vanité, l'orgueil et autres défauts sont lés gages de l'obéissance d'un journaliste qui court après le succès et la cause de sa soumission à cette solidarité maçonnique en question. Ce sont là les clés qui ouvrent l'entrée du domaine littéraire ; ce domaine est resté fermé à un certain nombre de grands esprits, qui, insoumis à nos ordres, ne purent y pénétrer.»
-«Chap14/
/03-.....Nous entourerons notre gouvernement de tout un monde d'économistes (les sciences économiques étant l'un des principaux sujets enseignés aux nôtres), de banquiers, d'industriels, de capitalistes, d'entrepreneurs et surtout de millionnaires, parce qu'en résumé la question des chiffres décidera de tout.»
-«Chap15/
/07 Les goyim vont dans les loges par curiosité ou dans l'espoir d'avoir leur part de l'assiette au beurre ; il en est qui n'y entrent rien que pour avoir la possibilité d'exposer en public leurs utopies, ne fut- que devant un auditoire restreint. Ils ne cherchent que des applaudissements et nous ne les leur ménageons point, parce qu'il nous est utile de les habituer aux émotions du succès.
Qu'il est facile de décourager les naïfs vaniteux par le moindre échec, ou simplement en les privant d'applaudissements, de succès faciles, tout en diminuant leur autorité ! C'est alors qu'il est aisé de les asservir, de les réduire à l’obéissance presque volontaire, rien que par la perspective de nouveaux succès. Autant les nôtres méprisent le succès pourvu qu'ils puissent réaliser leurs plans, autant les goyim sont prêts à sacrifier tous les leurs pour un succès personnel. Ceci nous facilite beaucoup notre tâche qui consiste à les diriger. Ces tigres en apparence ont, en réalité, des âmes de moutons et dans leurs têtes un courant d'air. Nous leur avons fait enfourcher un dada, le rêve de substituer à l'individualité humaine l'unité symbolique du collectivisme.»
-«Chap19/
/07- Nous avons commencé à asservir définitivement la pensée par la méthode de l'enseignement visuel qui rendra les goyim incapables de réfléchir et en fera des animaux obéissants ; ils attendront la démonstration d'une idée avant de chercher à la saisir. Un de nos meilleurs agents en France, Bourgeois, a déjà annoncé un nouveau système d'éducation intuitive. A présent que nous sommes en force, nous n'avons pas besoin de goyim penseurs, mais il nous faut des travailleurs, ces matérialistes de tous temps, consommateurs avides de tous les biens terrestres.»
Concernant les questions financières/économiques
-«Chap24/
/05- Il nous a suffi de retirer l'argent de la circulation pour provoquer des crises- économiques chez les goyim. D'énormes capitaux ont été accumulés grâce au procédé qui consiste à les soustraire aux États, qui ont dû alors contracter des emprunts chez nous. Le paiement des intérêts de ces emprunts a obéré les finances publiques, et les États ont été réduits en esclavage par nos capitaux. La concentration de l'industrie dans les mains des capitalistes, qui ont tué la petite industrie, a sucé toutes les forces du peuple d'abord, puis celles des États.»
-«/10- Tout emprunt prouve bien la faiblesse du gouvernement et l'incapacité des souverains de comprendre leurs droits. Ils ne savent répondre aux besoins financiers qu'en tendant la main, pour demander l'aumône à nos banquiers. Les emprunts étrangers sont des sangsues qui ne se détacheront de l'organisme de l'État que lorsque l'État lui-même s'en débarrassera. Cependant les États ne les secouent pas, au contraire, il les attirent toujours en augmentant la contribution payée à nos banquiers ; c'est pour' cela qu'ils périront immanquablement de la saignée qui s'impose.
Examinons donc ce que c'est qu'un emprunt, et particulièrement, un emprunt étranger. C'est une émission de lettres de change du gouvernement, l'obligation de payer des intérêts déterminés pour le capital qui lui est confié. Si l'emprunt est à 5 %, au bout de vingt ans, l'État aura déboursé en pure perte des intérêts égaux à l'emprunt lui-même ; en quarante ans, la somme déboursée sera double ; au bout de soixante ans, elle sera triple, la dette restant ce qu'elle était au début. D'après ce calcul, il est évident qu'avec le système de l'impôt universel, le gouvernement soutire aux malheureux contribuables jusqu'à leurs derniers sous pour payer des intérêts aux capitalistes étrangers, auxquels il a emprunté de l'argent, au lieu de prélever dans le pays ces sommes dont il avait besoin, sans payer des intérêts qui sont comme un tribut à perpétuité.
Tant que les emprunts étaient nationaux, les goyim ne faisaient que déplacer l'argent de la poche de leurs sujets pauvres dans celle des riches. Mais à- partir du moment où nous eûmes acheté les hommes nécessaires pour qu'on ait recours aux emprunts étrangers, toutes les richesses des États affluèrent dans nos caisses, et tous les goyim nous payèrent un tribut sans s'en douter.
II est vrai que la légèreté des souverains goyim en ce qui concerne les affaires d'État, la vénalité de leurs ministres ou leur ignorance des questions financières nous ont asservi les peuples en leur faisant contracter envers nous des dettes dont ils ne pourront jamais s'acquitter, ce qui a placé toutes les questions financières sous notre direction censée scientifique, mais il faut savoir combien d'efforts, de temps et d'argent cela nous a coûté !
/11- Lorsque notre heure sera venue, nous ne tolérerons pas d'entrave à la circulation monétaire ; il n'y aura par conséquent pas d'obligations d'État à intérêts dont le paiement absorbe toutes les ressources de l'État au profit des sangsues parasites. Seules les sociétés industrielles pouvant payer des intérêts sur leurs bénéfices auront le droit d'émettre des obligations, tandis que l'État qui n'emprunte de l'argent que pour ses dépenses et non pour faire des opérations, ne saurait toucher le moindre bénéfice.
/12- Les valeurs industrielles seront achetées par notre gouvernement qui, de débiteur, deviendra créancier et recevra des intérêts pour son argent au lieu d'en payer. Cette mesure empêchera tout arrêt de la circulation monétaire et supprimera l'indolence et la paresse, qui nous étaient utiles sous le régime des goyim, mais qui ne doivent plus exister sous notre gouvernement.
/13- Avec quelle évidence ressortent la vénalité, la bassesse et la stupidité du cerveau purement bestial des goyim quand on songe qu'ils n'ont même pas pensé que le monde les condamnera un jour d'avoir contracté chez nous des emprunts avec la charge de payer les intérêts et les courtages, sans paraître se douter que c'est pour nous rembourser cet argent avec les intérêts en plus, il faudra bien qu'ils le tirent de leur poche. N'eût-il pas été plus simple de prélever cet argent sur leurs contribuables, au lieu de devenir nos tributaires pour des sommes qui s'augmentent chaque année du montant des intérêts à payer. Cependant nous avons su leur présenter la question des emprunts sous un tel jour qu'ils les ont crus tout à leur avantage ; voilà bien ce qui prouve une fois de plus la supériorité géniale de notre esprit.
Nos méthodes financières, présentées au moment opportun sous le grand jour des expériences séculaires dont les États goyim nous ont fourni la matière, se distingueront par leur netteté et leur précision et démontreront les avantages de notre nouveau système.»
-«Chap25/
/01- Pour compléter mon exposé de la séance précédente, j'ajouterai encore quelques explications concernant les emprunts nationaux. Je ne dirai plus rien des emprunts extérieurs, parce qu'il n'y en aura pas dans notre État. Le temps ne sera plus où les emprunts faits par les gouvernements des goyim alimentaient nos caisses avec leur argent national.
Nous avons profité de l'indolence des souverains et de la corruption des administrateurs pour encaisser des sommes doubles, triples (et plus considérables encore) de celles que nous avions avancées aux goyim et dont, en réalité, ils n'avaient même pas besoin. Qui donc en pourrait faire autant avec nous ?
Je vais exposer en détails la question des emprunts intérieurs. En annonçant l'émission d'un emprunt, le gouvernement ouvre une souscription pour l'achat de titres à intérêts qui ne sont pas autre chose que ses lettres de change. Pour les rendre accessibles à tous on leur fixe un prix allant de cent à mille. De plus, les premiers souscripteurs bénéficient d'une remise sur le prix de souscription. Dès le lendemain, on augmente artificiellement le prix des valeurs émises, sous prétexte que tout le monde se les arrache. Encore quelques jours, et l'on annonce que les caisses du Trésor débordent et que l'on ne sait que faire de l'excédent des souscriptions. (Pourquoi en a-t-on tant accepté ?) Donc, le montant des souscriptions dépasse de beaucoup celui de l'emprunt. L'effet recherché est atteint par là même; c'est comme si l'on disait : « Voyez de quelle confiance jouissent les lettres de change du gouvernement
/02- Mais quand le tour est joué, on reste en présence d'un lourd passif.
Pour en payer les intérêts, on est obligé de recourir à de nouveaux emprunts qui augmentent la dette initiale au lieu de l'amortir. Quand le crédit est épuisé, on se trouve dans la nécessité de prélever de nouveaux impôts, non pas
pour liquider l'emprunt, mais pour en payer les intérêts. Ces impôts ne sont donc qu'un passif qui couvre un autre passif...
/03- Arrive ensuite le moment ! Les conversions : elles ne font que diminuer le taux d'intérêt sans supprimer les dettes. De plus, les conversions ne peuvent se faire sans le consentement des prêteurs ; en les annonçant, on offre de restituer leurs fonds à ceux d'entre eux qui n'accepteraient pas la conversion proposée. S'ils exigeaient tous le remboursement, le gouvernement se trouverait pris dans son propre piège, piège qu'il avait tendu pour attraper les autres, et il se trouverait dans la situation d'un débiteur insolvable. Heureusement, les goyim, ignorants en matière de finances, ont toujours préféré les pertes au change et la baisse du taux à l'ennui de se mettre à la recherche de nouveaux placements ; ils ont ainsi fourni à leurs gouvernements la possibilité de combler maintes fois des déficits s'élevant à plusieurs millions. Mais aujourd'hui, avec les emprunts étrangers, on ne peut jouer de semblables tours, car les goyim savent que s'ils annonçaient une conversion, nous exigerions le remboursement intégral des capitaux.
/04- La banqueroute qui s'ensuivrait serait la meilleure preuve démontrant aux peuples qu'il n'existe aucun lien d'intérêts communs entre eux et leurs souverains.»
«J'attire tout particulièrement votre attention sur ce qui suit :
«/05- A l'heure actuelle, tous les emprunts nationaux sont consolidés par ce qu'on appelle la dette flottante, c'est-à-dire une dette dont le remboursement est à plus ou moins brève échéance. Cette dette se compose des sommes versées à la Caisse d'épargne ou à d'autres Caisses. Comme les fonds restent longtemps à la disposition du gouvernement, ils s'évaporent en paiements d'intérêts des emprunts étrangers et sont remplacés par une somme équivalente en titre de rente sur l'État. C'est cette rente qui comble tous les déficits dans les caisses publiques des goyim
/06- Après notre avènement sur le trône de l'univers, tous ces expédients financiers disparaitront totalement, parce qu'ils seront contraires à nos intérêts. Nous supprimerons également les bourses de valeurs, car nous n'admettrons pas qu'on puisse ébranler le prestige de notre pouvoir par la variation des prix de nos valeurs; ils seront fixés par nos lois, sans fluctuation possible. La hausse entraîne la baisse : nous avons commencé par faire la hausse pour les valeurs des goyim et nous n'avons pas tardé à passer à la baisse.
/07- Nous remplacerons les Bourses par d'immenses institutions de crédit officiel, dont le rôle sera de taxer les valeurs industrielles, conformément aux indications gouvernementales. Ces institutions seront à même de lancer en une seule journée pour 500 millions de valeurs industrielles sur le marché ou d'en acheter autant. Ainsi, toutes les entreprises industrielles dépendront de notre gouvernement. Vous pouvez imaginer quelle puissance nous acquerrons par ce moyen.»
-«Chap26/
/01 Nous créerons bientôt d'importants monopoles, réservoirs d'immenses richesses, dont dépendront à ce point les plus grosses fortunes des goyim qu'elles sombreront en même temps que le crédit de l'État, au lendemain du cataclysme politique. Vous tous, messieurs, ici présents, qui êtes économistes, veuillez peser toute la portée d'une pareille combinaison.
La suprématie de notre Super gouvernement ira grandissant; on le considérera comme le protecteur, l'introducteur et le rémunérateur du libéralisme.
/03- II faut qu'en même temps nous protégions activement le commerce et l'industrie; surtout la spéculation dont le rôle est de servir de contrepoids à l'industrie. Sans la spéculation, l'industrie accroîtrait les capitaux privés, ce qui pourrait avoir comme effet d'améliorer le sort des agriculteurs en affranchissant les terres hypothéquées de leurs dettes envers les établissements de crédit foncier. Il nous faut, au contraire, que l'industrie arrive à drainer toutes les richesses agricoles et fasse passer en nos mains, par la spéculation, toute la fortune mondiale, en rejetant tous les goyim dans les rangs des prolétaires. C'est alors qu'ils s'inclineront devant nous, rien que pour obtenir le droit d'exister.
/04- Afin de ruiner l'industrie des goyim, aidant en cela l’oeuvre de la spéculation, nous introduirons dans les usages des goûts de luxe effrénés, d'un luxe absorbant tout.
/05- Nous élèverons les salaires, ce qui cependant ne laissera aucun profit aux ouvriers, parce que nous élèverons simultanément le prix des objets de première nécessité, en prétextant la décadence de l'agriculture et de l'élevage.
/07- Afin que les goyim ne voient pas le dessous des choses avant le moment voulu, nous le dissimulerons sous notre prétendu désir de servir les classes laborieuses – et les grands principes économiques proclamés par les théories économiques.
-«/09- Tandis que, au contraire, nous avons tout intérêt à voir notre ouvrier affamé et débile, parce que les privations l'asservissent à notre volonté et que, dans sa faiblesse, il ne trouvera ni vigueur ni énergie pour nous résister.
/10- La famine confère au capital des droits plus puissants que n'en a jamais conféré à l'aristocratie le pouvoir du souverain. Par la misère et par les haines envieuses qu'elle suscite, nous manoeuvrons les masses et nous nous servons de leurs mains pour écraser ceux qui nous gênent.
/16- Nous avons convaincu les goyim que le progrès les conduirait au règne de la Raison. Notre despotisme sera de nature à pouvoir pacifier par de sages rigueurs toutes les révoltes ; il éliminera le libéralisme de toutes nos institutions.
/17- A mesure que nous inculquions aux goyim des idées de libéralisme, les peuples s'aperçurent qu'au nom de la Liberté le pouvoir faisait des concessions et accordait des arrangements. Ils en conclurent qu'ils constituaient une force avec laquelle on comptait; et, croyant leurs droits égaux aux siens, ils se ruèrent contre le pouvoir ; mais, semblables à tous les aveugles, ils se heurtèrent alors à d'innombrables obstacles et se précipitèrent à la recherche d'un guide : tombant entre nos mains, ils déposèrent leur mandat aux pieds de nos agents.
/21- Le mot « Liberté » met en conflit l'humanité avec toutes les puissances, même avec celles de Dieu et de la nature. C'est pourquoi, à notre avènement au pouvoir, nous devrons effacer le mot même de « Liberté » du vocabulaire humain, comme étant le symbole de la force bestiale qui transforme les foules en fauves altérés de sang. II est vrai, cependant, qu'une fois rassasiés de sang les fauves s'endorment et qu'il est facile alors de les enchaîner, tandis que si on ne leur donne pas de sang ils ne dorment pas et se débattent.»
Bonne longue lecture, en attendant la suite prochainement qui consistera à jeter un regard sur certains personnages du monde économique algérien dopés par la culture talmude qu'ils ont ingurgitée, et dont ils tentent de nous en intoxiquer.
Avant d'élaborer sur le sujet annoncé en entête de cet article, je souhaiterais conseiller au visiteur occasionnel de la nécessité de se munir d'une jauge adéquate pour mesurer la véracité des concepts et arguments qui lui sont présentés ici, ou qu'il a eu l'occasion de rencontrer ailleurs durant ses recherches ou ses randonnées littéraires.
La jauge consiste en la capacité de s'armer de la conviction que le monde dépeint par la littérature courante, traitant de différent domaines de l'activité humaine (économie, politique, science, culture), n'est pas conforme à celui existant, réel.
Cette outil de mesure peut être plus clairement défini comme une forme de discernement entre le calque virtuel, projeté par les média et l'édition, et le monde réel dissimulé par la confusion de l'intox orchestrée par les "contrôleurs de l'information". Pour ceux non accoutumés à l'origine de cette clique de personnages obscures, menés par les banquiers shylock juifs, je recommande une initiation rapide grâce à la lecture de quelques articles de ce blog ou la consultation d'autorités militantes plus connues, voir H. Makow, ou H.Ryssen, ou le syti.net, ou encore intérêt-général.info, etc...La liste n'étant pas exhaustive, trop longue pour s’insérer dans cet espace limité, mais les liens disponibles sur H.Ryssen par exemple, suffiraient à satisfaire les plus curieux.
Pour appuyer cette proposition, concernant la dualité réelle/virtuelle du monde, la citation d'un extrait traduit, de la lettre de H.Makow au Lien :
«La société moderne est basée sur un solipsisme créé par les Illuminati (cabalistes), banquiers juifs et leurs sbires maçonniques. Le mot "solipsisme" signifie une réalité auto-créé qui a peu ou pas de lien avec la vérité. Le mot a été inventé en 1874 du latin solus "seul", et ipse «soi». Il résume le point de vue que le "moi" (l'individu) est le seul objet de la connaissance réelle ou la seule chose qui est réelle.
Le Nouvel Ordre Mondial est dédié à remplacer la Vérité avec un solipsisme créé par les mêmes personnes qui créent de l'argent à partir de rien (compte bancaire) et y chargent un intérêt. Qu'est-ce que la "vérité" ? Sur le plan matériel, c'est le dessein naturel, le fonctionnement le plus efficace de la sphère naturelle. Sur le plan spirituel, c'est Dieu, qui est la réalité ultime, un autre nom de la vérité absolue, la beauté, l'amour, l'harmonie et la justice, ce que tous les êtres humains désirent naturellement. Notre mission est d'incarner ces idéaux.
À l'opposé de ça, les Illuminati prétendent que l'homme est déjà Dieu. L'homme se distinguant en manifestant ses pires défauts, les satanistes disent que ceux sont ses meilleures qualités.»
«Nous sommes noyés dans un solipsisme qui inverse le bien et le mal, la vérité et le mensonge. Nous sommes initiés à un culte satanique.»
Avec cette aperçu du solipsisme, fondé principalement par la propagation du mensonge et son vecteur l'oxymore, il nous faut demeurer vigilants lors de la consultation de l'information quelque soit le sujet abordé.
L'analyse économique, les sciences et leur domaine d'application (tel la santé !), l'histoire officielle, l'évènement politique, etc..., traitant du monde réel sont l'objet de manipulations ininterrompues répercutées par divers agents, parmi lesquels ceux endoctrinés lors de leur passage dans les centres de "formation" couronnés par des prétentieux doctorats et PhD hélas inopérants car gonflées d'idées préconçues vaines et de concepts fallacieux, tous distillés par les maitres du mensonge.
Ce constat est particulièrement manifeste lorsqu'on aborde les théories économiques et les analyses du monde réel qui s'y référent.
La théorie économique et ses revers:
Démolie par la crise persistante subjuguant l'économie et la finance internationales, la théorie économique est fustigée de toutes parts. Les experts et les analystes sont unanimes pour contester la fiabilité des idées dominantes sacralisées par des prix nobel et des chaires de professorat dans les prestigieuses universités.
Après la faillite de l'éducation brièvement survolée dans l'article précédent, la faillite des théories économiques classiques est d'actualité et les débats font rages sur la capacité des théories économiques à expliquer, gérer et prévoir les mutations opérées et les changements enregistrés dans ce domaine de l'activité humaine.
Brièvement et sans trop élaboré sur le sujet il suffit de consulter quelques références disponibles sur le web pour attester de différentes lacunes de la théorie économique, de son égarement, de son inexactitude, de ses contre sens, de son extravagance, de ses contradictions, et souvent de ses paradoxes. Débutant par l'inconsistance de la définition de son vocabulaire, la non uniformité de la significations des termes utilisés sur le plan linguistique et quantitatif. Le sens de "progrès", de "croissance économique", de "PIB", des "indicateurs économiques et de leur évaluation", font l'objet de controverses et de polémiques résolues que par la publication de décrets de loi, tout en différant d'un pays à un autre !
L'étymologie, les lexiques, les glossaires et définitions différent d'une région à l'autre, d'une école à l'autre, d'un économiste à son proche collaborateur.
Exemple de "la croissance économique", l'article sur Wikipédia nous donne un avant goût des intriquacités de ce monde académique confus. Dans un exposé détaillé difficilement assimilable et dont le défilement de verbiage savant est exténuant sinon traumatisant, car jonché de conditionnels, enchevêtré dans la succession de définitions vagues, de concepts abstraits adjacents, de "selon x" et "selon y".
Dont extraits :
«..Selon la définition de François Perroux»,
-«La définition de Simon Kuznets va au-delà et affirme..»,
-«À court terme, les économistes utilisent plutôt le terme d'expansion... »,
-«Au sens strict, la croissance décrit un processus d'accroissement de la seule production économique.»,
-Ces transformations au sens large sont, conventionnellement, désignées par le terme de développement économique.»
Note : "développement économique", une autre monstruosité dont la poursuite du sens épuiserait même Hercules à la recherche de la Toison d'Or.
-«Le terme de « croissance » s'applique alors plus particulièrement aux économies déjà développés.»
Note : Cette dernière remarque risque de frustrer nos apprentis aventuriers économistes qui savourent dans leurs discours le terme "croissance". N'est-ce pas Messieurs Benbitour, Mebtoul, Hafsi, Chitour, Othmani, Rebbrab, et compagnie ?
Plus loin toujours dans Wikipédia :
-«La Commission du développement durable du gouvernement britannique souligne qu'il est important de distinguer trois notions qui «ne sont absolument pas les mêmes choses» :
1/la croissance des flux biophysiques (énergie et matériaux) ;
2/la croissance de la valeur monétaire de la production (PIB) ;
3/la croissance du bien-être économique de la population.» Note : une autre entourloupe ou autre monstre sorti du musée des horreurs : "bien-être économique" !
Et cerise sur le gâteau :
«Le croissantisme économique est considéré comme étant l'idéologie de la croissance par opposition à la philosophie décroissantiste.»
Idéologie ? Philosophie ? Et pourquoi pas religion ou culte ?
Mais comme promis, je ne m'étendrais pas sur le thème de l'absurdité de ce "monde économique" que certains qualifient d'académique, mais dont l'égarement n'a d'égal que les ambiguïtés de son jargon. La pensée économique n'est qu'une machine à fantasmes dont le seul mérité est sa capacité à imaginer et spéculer.
La grande révélation :
Les crises ont achevé les derniers espoirs des théoriciens dans leur tentative de comprendre, d'expliquer, de prévoir les changements nocifs affectant les besoins matériels des habitants de la planète. Amplement documentée, la faillite de la scientologie économique est d'actualité et tout curieux a la possibilité de constater la panique qui règne dans le panier à crabes de cette science sociale qui peut s’enorgueillir de posséder les caractéristiques combinés de culte, religion, idéologie, philosophie et dogme.
La triste déconvenue pour nos économistes :
Les maitres, professeurs, docteurs, et experts de part le monde qui enseignent "l'économie" s'avouant vaincus devant l'énormité de la faillite de leur savoir. Que deviennent leurs élèves qui ont eu la malencontreuse aventure de solliciter un apprentissage sous leur autorité ?
Si les maitres n'ont pas de solutions aux problèmes et ne peuvent répondre au défi de la crise mondiale, leurs élèves n'ont certainement aucun espoir de conseiller, de résoudre, de suggérer, de recommander des voies de sortie aux challenges qu'ils confrontent même dans l'espace réduit de leur pays ou région. Nos Benbitour, Benflis, Mebtoul, Othmani, Rebrab, NABNI, et les montreurs de tort algériens qui ronchonnent sur la rente, l'opulence des hydrocarbures, la prospérité gratuite (d'origine divine), et prêchent les mérites du dur labeur ou Stakhanovisme soviétique, n'ont qu'à démontrer par l'exemple la valeur de leur sermon et trouver un pays où mettre en pratique leur théories.
L'énigme de la faillite est résolue et la vérité surgit de l'histoire:
L'étude de l'histoire des grandes fraudes et des complots majeurs ayant modelé le cours des transformations planétaires nous mène à la machination la plus célèbre codifiée dans les "Protocoles des démons de Sion", le livre «le plus lu dans le monde» selon Makow.
Quelques perles extraites des Protocoles, le manuel talmude de la mère des conspirations :
Concernant les sciences sociales :
-«Chap1
/05- De nos jours la puissance de l'or – c'est-à-dire la nôtre – a remplacé le pouvoir des gouvernements libéraux.»
-«Chap1/20- Dès l'époque de l'épanouissement de la Grèce antique, nous avons été les premiers à crier le mot : « Liberté ! » si souvent répété depuis par des perroquets inconscients, qui, attirés de toutes parts par cet appât, n'en ont usé que pour détruire la prospérité du monde et la véritable liberté individuelle, autrefois si bien garantie contre la contrainte de la foule. Des hommes qui se croyaient intelligents n'ont pas su distinguer le sens caché des mots qu'ils employaient ; ils n'ont pas remarqué qu'il n'existe pas d'égalité dans la nature, qu'il ne peut y avoir de liberté, que la nature elle-même a établi l'inégalité des esprits, des caractères et des intelligences, en soumettant tout à ses lois ; ils ne se sont pas aperçus que notre politique les a lancés hors de leur vie coutumière, dans la voie qui aboutit à notre gouvernement. Pourvu qu'il soit initié à la politique, même un imbécile peut gouverner, tandis qu'un non initié, fût-il un génie, se perdra dans les voies que nous indiquons.»
-«Chap1/22- Notre appel : « Liberté, Égalité, Fraternité » amena dans nos rangs, des quatre coins du monde, grâce à nos agents aveugles, des légions entières qui portèrent nos bannières avec enthousiasme. Cependant ces mots étaient des vers qui rongeaient la prospérité des goyim, en détruisant partout la paix, la tranquillité, la solidarité de par l’obéissance aux lois, qui sape tous les fondements de leurs États. Vous verrez plus tard que c'est précisément cela qui contribua au triomphe de notre système de conquête pacifique du monde. Nous pûmes alors obtenir l’abolition des privilèges, essence même de l'aristocratie des goyim, aristocratie qui était le rempart naturel des peuples et des patries contre notre action.»
-«Chap1/
/24- Notre triomphe nous fut facilité par le fait que dans nos rapports avec les hommes dont nous avions besoin, nous sûmes toujours toucher les cordes sensibles de la nature humaine : le calcul, l'avidité, l'insatiabilité des besoins matériels. Chacune de ces faiblesses humaines, prise à part, est capable de détruire toute initiative personnelle, en mettant les hommes à la disposition de celui qui achète leur activité.»
-«Chap 3/
/06 -Nous avons parmi nos agents – conscients et inconscients – des hommes de toutes les opinions : restaurateurs de monarchies, démagogues, socialistes, anarchistes, communistes, et toutes sortes d'utopistes. Nous les avons tous attelés à la besogne : chacun sape de son côté et s'efforce de renverser tout ce qui tient encore debout. Tous les États sont excédés par ces manoeuvres ; ils cherchent le pain et sont prêts à tous les sacrifices pour l'obtenir. Mais nous ne leur accorderons ni paix ni trêve tant qu'ils n'auront pas reconnu notre Super gouvernement international ostensiblement et ne lui auront pas fait acte de soumission. Les peuples crient qu'il est nécessaire de résoudre la question sociale au moyen de l’internationalisme. Les divisions des partis nous les ont tous livrés, parce que pour mener une lutte de partis, il faut de l'argent et c'est nous qui avons l'argent.»
-Chap2/
/09- Pour ne pas détruire prématurément les institutions des goyim, nous y avons touché d'une main prudente, expérimentée et maîtresse des principaux ressorts de leurs mécanisme. Ces ressorts fonctionnaient autrefois dans un ordre sévère mais rigoureux, auquel' nous avons substitué un désordre libéral, stupide et arbitraire ; nous avons ainsi influencé la juridiction, les lois électorales, la presse, la liberté individuelle et, ce qui est plus important, l'instruction et l’éducation, ces pierres angulaires de la vie sociale.»
-«Chap5/
/04 -Pour avoir plus de prise sur les institutions, nous avons promis à bon nombre d'administrateurs le droit de gouverner le pays ensemble, sans aucun contrôle, à condition qu'ils nous aident activement à créer des prétextes de mécontentement au sujet des constitutions mêmes, préparant ainsi l'avènement de la République dans leur pays. Les Républiques nous donneront le trône du monde. Pour l'instant, nous n'avons fait que remplacer l'influence des gouvernements libéraux par notre pouvoir celui de l'or.»
-«Chap6/
/03- Afin que les goyim n'aient pas le temps de réfléchir et d'observer, il faut les orienter vers l'avidité du gain, au moyen de l'industrie et du commerce. Les individus et les nations chercheront ainsi leurs propres avantages et, engagés dans cette lutte, ils n'apercevront pas leur ennemi commun : notre intérêts. Et pour que la liberté puisse désagréger et ruiner la société des goyim, il faut faire de la spéculation la base de l'industrie ; il en résultera que les richesses produites par l'industrie passeront à la spéculation, c'est-à-dire qu'elles serviront à remplir nos coffres-forts, puisque tous les fils de la spéculation seront entre nos mains.»
-«Chap9/
/01-.... Les lois qui émanent des théories scientifiques ont, pour eux, une importance considérable ; aussi avons-nous engendré la confiance aveugle à l'égard de la science. Leurs intellectuels s'enorgueillissent de leurs connaissances que la logique n'a pas vérifiées, et ils mettent en pratique les notions puisées dans la science livresque, telles qu'elles sont écrites par nos agents, dont le but est de tourner les esprits dans la direction qui nous est nécessaire.»
-«Chap10/
/05- Actuellement, tous les rouages des mécanismes gouvernementaux sont mis en mouvement par un moteur qui est entre nos mains ; ce moteur, c'est l'or. La science et l'économie politique inventée par nos Sages rend depuis longtemps hommage au prestige royal du capital.
/06- Le capital, pour avoir sa liberté d'action, doit créer la liberté d'un monopole industriel dont on se servira pour assujettir le peuple. De nos jours, il importe. plus de désarmer complètement les peuples que de les mener à la guerre, d'utiliser à notre profit les passions qui s'éveillent que de les éteindre, de saisir et d'interpréter les idées des autres dans le sens voulu par nous plutôt que de les supprimer.
/07- Le problème essentiel et secret de notre gouvernement est d'affaiblir l'esprit public par la critique, de lui faire perdre l'habitude de la réflexion qui détermine une opposition à surmonter, d'orienter ses forces vers la vaine éloquence.»
-«Chap11/
/03- Quand nous eûmes contaminé l'organisme gouvernemental par le libéralisme, ce poison mortel, tout l'ensemble de la vie politique des États fut modifié ; tous furent atteints d'une maladie mortelle : la décomposition du sang. II ne reste plus qu'à attendre la fin de leur agonie.»
-/04- Le libéralisme engendra des gouvernements constitutionnels qui remplacèrent les autocraties. Une constitution n'est guère autre chose qu'une école de discordes, de querelles, de mésintelligence, de dissentiments, d'agitations stériles, de tendances de partis, de tout ce qui sert à affaiblir l'activité des États.»
-«Chap13/
/06- Il existe déjà de nos jours dans le journalisme une solidarité maçonnique qui a son mot d'ordre. Tous les organes de presse sont liés entre eux par le secret professionnel, et, semblables aux anciens augures, aucun membre de cette corporation ne dévoilera le secret de ce qu'il sait s'il n'est décidé par nous de le rendre public. C'est pourquoi aucun journaliste ne peut être du nombre des célébrités littéraires si son passé ne garantit pas sa soumission à nos directives et à notre mot d'ordre. La misère, la vanité, l'orgueil et autres défauts sont lés gages de l'obéissance d'un journaliste qui court après le succès et la cause de sa soumission à cette solidarité maçonnique en question. Ce sont là les clés qui ouvrent l'entrée du domaine littéraire ; ce domaine est resté fermé à un certain nombre de grands esprits, qui, insoumis à nos ordres, ne purent y pénétrer.»
-«Chap14/
/03-.....Nous entourerons notre gouvernement de tout un monde d'économistes (les sciences économiques étant l'un des principaux sujets enseignés aux nôtres), de banquiers, d'industriels, de capitalistes, d'entrepreneurs et surtout de millionnaires, parce qu'en résumé la question des chiffres décidera de tout.»
-«Chap15/
/07 Les goyim vont dans les loges par curiosité ou dans l'espoir d'avoir leur part de l'assiette au beurre ; il en est qui n'y entrent rien que pour avoir la possibilité d'exposer en public leurs utopies, ne fut- que devant un auditoire restreint. Ils ne cherchent que des applaudissements et nous ne les leur ménageons point, parce qu'il nous est utile de les habituer aux émotions du succès.
Qu'il est facile de décourager les naïfs vaniteux par le moindre échec, ou simplement en les privant d'applaudissements, de succès faciles, tout en diminuant leur autorité ! C'est alors qu'il est aisé de les asservir, de les réduire à l’obéissance presque volontaire, rien que par la perspective de nouveaux succès. Autant les nôtres méprisent le succès pourvu qu'ils puissent réaliser leurs plans, autant les goyim sont prêts à sacrifier tous les leurs pour un succès personnel. Ceci nous facilite beaucoup notre tâche qui consiste à les diriger. Ces tigres en apparence ont, en réalité, des âmes de moutons et dans leurs têtes un courant d'air. Nous leur avons fait enfourcher un dada, le rêve de substituer à l'individualité humaine l'unité symbolique du collectivisme.»
-«Chap19/
/07- Nous avons commencé à asservir définitivement la pensée par la méthode de l'enseignement visuel qui rendra les goyim incapables de réfléchir et en fera des animaux obéissants ; ils attendront la démonstration d'une idée avant de chercher à la saisir. Un de nos meilleurs agents en France, Bourgeois, a déjà annoncé un nouveau système d'éducation intuitive. A présent que nous sommes en force, nous n'avons pas besoin de goyim penseurs, mais il nous faut des travailleurs, ces matérialistes de tous temps, consommateurs avides de tous les biens terrestres.»
Concernant les questions financières/économiques
-«Chap24/
/05- Il nous a suffi de retirer l'argent de la circulation pour provoquer des crises- économiques chez les goyim. D'énormes capitaux ont été accumulés grâce au procédé qui consiste à les soustraire aux États, qui ont dû alors contracter des emprunts chez nous. Le paiement des intérêts de ces emprunts a obéré les finances publiques, et les États ont été réduits en esclavage par nos capitaux. La concentration de l'industrie dans les mains des capitalistes, qui ont tué la petite industrie, a sucé toutes les forces du peuple d'abord, puis celles des États.»
-«/10- Tout emprunt prouve bien la faiblesse du gouvernement et l'incapacité des souverains de comprendre leurs droits. Ils ne savent répondre aux besoins financiers qu'en tendant la main, pour demander l'aumône à nos banquiers. Les emprunts étrangers sont des sangsues qui ne se détacheront de l'organisme de l'État que lorsque l'État lui-même s'en débarrassera. Cependant les États ne les secouent pas, au contraire, il les attirent toujours en augmentant la contribution payée à nos banquiers ; c'est pour' cela qu'ils périront immanquablement de la saignée qui s'impose.
Examinons donc ce que c'est qu'un emprunt, et particulièrement, un emprunt étranger. C'est une émission de lettres de change du gouvernement, l'obligation de payer des intérêts déterminés pour le capital qui lui est confié. Si l'emprunt est à 5 %, au bout de vingt ans, l'État aura déboursé en pure perte des intérêts égaux à l'emprunt lui-même ; en quarante ans, la somme déboursée sera double ; au bout de soixante ans, elle sera triple, la dette restant ce qu'elle était au début. D'après ce calcul, il est évident qu'avec le système de l'impôt universel, le gouvernement soutire aux malheureux contribuables jusqu'à leurs derniers sous pour payer des intérêts aux capitalistes étrangers, auxquels il a emprunté de l'argent, au lieu de prélever dans le pays ces sommes dont il avait besoin, sans payer des intérêts qui sont comme un tribut à perpétuité.
Tant que les emprunts étaient nationaux, les goyim ne faisaient que déplacer l'argent de la poche de leurs sujets pauvres dans celle des riches. Mais à- partir du moment où nous eûmes acheté les hommes nécessaires pour qu'on ait recours aux emprunts étrangers, toutes les richesses des États affluèrent dans nos caisses, et tous les goyim nous payèrent un tribut sans s'en douter.
II est vrai que la légèreté des souverains goyim en ce qui concerne les affaires d'État, la vénalité de leurs ministres ou leur ignorance des questions financières nous ont asservi les peuples en leur faisant contracter envers nous des dettes dont ils ne pourront jamais s'acquitter, ce qui a placé toutes les questions financières sous notre direction censée scientifique, mais il faut savoir combien d'efforts, de temps et d'argent cela nous a coûté !
/11- Lorsque notre heure sera venue, nous ne tolérerons pas d'entrave à la circulation monétaire ; il n'y aura par conséquent pas d'obligations d'État à intérêts dont le paiement absorbe toutes les ressources de l'État au profit des sangsues parasites. Seules les sociétés industrielles pouvant payer des intérêts sur leurs bénéfices auront le droit d'émettre des obligations, tandis que l'État qui n'emprunte de l'argent que pour ses dépenses et non pour faire des opérations, ne saurait toucher le moindre bénéfice.
/12- Les valeurs industrielles seront achetées par notre gouvernement qui, de débiteur, deviendra créancier et recevra des intérêts pour son argent au lieu d'en payer. Cette mesure empêchera tout arrêt de la circulation monétaire et supprimera l'indolence et la paresse, qui nous étaient utiles sous le régime des goyim, mais qui ne doivent plus exister sous notre gouvernement.
/13- Avec quelle évidence ressortent la vénalité, la bassesse et la stupidité du cerveau purement bestial des goyim quand on songe qu'ils n'ont même pas pensé que le monde les condamnera un jour d'avoir contracté chez nous des emprunts avec la charge de payer les intérêts et les courtages, sans paraître se douter que c'est pour nous rembourser cet argent avec les intérêts en plus, il faudra bien qu'ils le tirent de leur poche. N'eût-il pas été plus simple de prélever cet argent sur leurs contribuables, au lieu de devenir nos tributaires pour des sommes qui s'augmentent chaque année du montant des intérêts à payer. Cependant nous avons su leur présenter la question des emprunts sous un tel jour qu'ils les ont crus tout à leur avantage ; voilà bien ce qui prouve une fois de plus la supériorité géniale de notre esprit.
Nos méthodes financières, présentées au moment opportun sous le grand jour des expériences séculaires dont les États goyim nous ont fourni la matière, se distingueront par leur netteté et leur précision et démontreront les avantages de notre nouveau système.»
-«Chap25/
/01- Pour compléter mon exposé de la séance précédente, j'ajouterai encore quelques explications concernant les emprunts nationaux. Je ne dirai plus rien des emprunts extérieurs, parce qu'il n'y en aura pas dans notre État. Le temps ne sera plus où les emprunts faits par les gouvernements des goyim alimentaient nos caisses avec leur argent national.
Nous avons profité de l'indolence des souverains et de la corruption des administrateurs pour encaisser des sommes doubles, triples (et plus considérables encore) de celles que nous avions avancées aux goyim et dont, en réalité, ils n'avaient même pas besoin. Qui donc en pourrait faire autant avec nous ?
Je vais exposer en détails la question des emprunts intérieurs. En annonçant l'émission d'un emprunt, le gouvernement ouvre une souscription pour l'achat de titres à intérêts qui ne sont pas autre chose que ses lettres de change. Pour les rendre accessibles à tous on leur fixe un prix allant de cent à mille. De plus, les premiers souscripteurs bénéficient d'une remise sur le prix de souscription. Dès le lendemain, on augmente artificiellement le prix des valeurs émises, sous prétexte que tout le monde se les arrache. Encore quelques jours, et l'on annonce que les caisses du Trésor débordent et que l'on ne sait que faire de l'excédent des souscriptions. (Pourquoi en a-t-on tant accepté ?) Donc, le montant des souscriptions dépasse de beaucoup celui de l'emprunt. L'effet recherché est atteint par là même; c'est comme si l'on disait : « Voyez de quelle confiance jouissent les lettres de change du gouvernement
/02- Mais quand le tour est joué, on reste en présence d'un lourd passif.
Pour en payer les intérêts, on est obligé de recourir à de nouveaux emprunts qui augmentent la dette initiale au lieu de l'amortir. Quand le crédit est épuisé, on se trouve dans la nécessité de prélever de nouveaux impôts, non pas
pour liquider l'emprunt, mais pour en payer les intérêts. Ces impôts ne sont donc qu'un passif qui couvre un autre passif...
/03- Arrive ensuite le moment ! Les conversions : elles ne font que diminuer le taux d'intérêt sans supprimer les dettes. De plus, les conversions ne peuvent se faire sans le consentement des prêteurs ; en les annonçant, on offre de restituer leurs fonds à ceux d'entre eux qui n'accepteraient pas la conversion proposée. S'ils exigeaient tous le remboursement, le gouvernement se trouverait pris dans son propre piège, piège qu'il avait tendu pour attraper les autres, et il se trouverait dans la situation d'un débiteur insolvable. Heureusement, les goyim, ignorants en matière de finances, ont toujours préféré les pertes au change et la baisse du taux à l'ennui de se mettre à la recherche de nouveaux placements ; ils ont ainsi fourni à leurs gouvernements la possibilité de combler maintes fois des déficits s'élevant à plusieurs millions. Mais aujourd'hui, avec les emprunts étrangers, on ne peut jouer de semblables tours, car les goyim savent que s'ils annonçaient une conversion, nous exigerions le remboursement intégral des capitaux.
/04- La banqueroute qui s'ensuivrait serait la meilleure preuve démontrant aux peuples qu'il n'existe aucun lien d'intérêts communs entre eux et leurs souverains.»
«J'attire tout particulièrement votre attention sur ce qui suit :
«/05- A l'heure actuelle, tous les emprunts nationaux sont consolidés par ce qu'on appelle la dette flottante, c'est-à-dire une dette dont le remboursement est à plus ou moins brève échéance. Cette dette se compose des sommes versées à la Caisse d'épargne ou à d'autres Caisses. Comme les fonds restent longtemps à la disposition du gouvernement, ils s'évaporent en paiements d'intérêts des emprunts étrangers et sont remplacés par une somme équivalente en titre de rente sur l'État. C'est cette rente qui comble tous les déficits dans les caisses publiques des goyim
/06- Après notre avènement sur le trône de l'univers, tous ces expédients financiers disparaitront totalement, parce qu'ils seront contraires à nos intérêts. Nous supprimerons également les bourses de valeurs, car nous n'admettrons pas qu'on puisse ébranler le prestige de notre pouvoir par la variation des prix de nos valeurs; ils seront fixés par nos lois, sans fluctuation possible. La hausse entraîne la baisse : nous avons commencé par faire la hausse pour les valeurs des goyim et nous n'avons pas tardé à passer à la baisse.
/07- Nous remplacerons les Bourses par d'immenses institutions de crédit officiel, dont le rôle sera de taxer les valeurs industrielles, conformément aux indications gouvernementales. Ces institutions seront à même de lancer en une seule journée pour 500 millions de valeurs industrielles sur le marché ou d'en acheter autant. Ainsi, toutes les entreprises industrielles dépendront de notre gouvernement. Vous pouvez imaginer quelle puissance nous acquerrons par ce moyen.»
-«Chap26/
/01 Nous créerons bientôt d'importants monopoles, réservoirs d'immenses richesses, dont dépendront à ce point les plus grosses fortunes des goyim qu'elles sombreront en même temps que le crédit de l'État, au lendemain du cataclysme politique. Vous tous, messieurs, ici présents, qui êtes économistes, veuillez peser toute la portée d'une pareille combinaison.
La suprématie de notre Super gouvernement ira grandissant; on le considérera comme le protecteur, l'introducteur et le rémunérateur du libéralisme.
/03- II faut qu'en même temps nous protégions activement le commerce et l'industrie; surtout la spéculation dont le rôle est de servir de contrepoids à l'industrie. Sans la spéculation, l'industrie accroîtrait les capitaux privés, ce qui pourrait avoir comme effet d'améliorer le sort des agriculteurs en affranchissant les terres hypothéquées de leurs dettes envers les établissements de crédit foncier. Il nous faut, au contraire, que l'industrie arrive à drainer toutes les richesses agricoles et fasse passer en nos mains, par la spéculation, toute la fortune mondiale, en rejetant tous les goyim dans les rangs des prolétaires. C'est alors qu'ils s'inclineront devant nous, rien que pour obtenir le droit d'exister.
/04- Afin de ruiner l'industrie des goyim, aidant en cela l’oeuvre de la spéculation, nous introduirons dans les usages des goûts de luxe effrénés, d'un luxe absorbant tout.
/05- Nous élèverons les salaires, ce qui cependant ne laissera aucun profit aux ouvriers, parce que nous élèverons simultanément le prix des objets de première nécessité, en prétextant la décadence de l'agriculture et de l'élevage.
/07- Afin que les goyim ne voient pas le dessous des choses avant le moment voulu, nous le dissimulerons sous notre prétendu désir de servir les classes laborieuses – et les grands principes économiques proclamés par les théories économiques.
-«/09- Tandis que, au contraire, nous avons tout intérêt à voir notre ouvrier affamé et débile, parce que les privations l'asservissent à notre volonté et que, dans sa faiblesse, il ne trouvera ni vigueur ni énergie pour nous résister.
/10- La famine confère au capital des droits plus puissants que n'en a jamais conféré à l'aristocratie le pouvoir du souverain. Par la misère et par les haines envieuses qu'elle suscite, nous manoeuvrons les masses et nous nous servons de leurs mains pour écraser ceux qui nous gênent.
/16- Nous avons convaincu les goyim que le progrès les conduirait au règne de la Raison. Notre despotisme sera de nature à pouvoir pacifier par de sages rigueurs toutes les révoltes ; il éliminera le libéralisme de toutes nos institutions.
/17- A mesure que nous inculquions aux goyim des idées de libéralisme, les peuples s'aperçurent qu'au nom de la Liberté le pouvoir faisait des concessions et accordait des arrangements. Ils en conclurent qu'ils constituaient une force avec laquelle on comptait; et, croyant leurs droits égaux aux siens, ils se ruèrent contre le pouvoir ; mais, semblables à tous les aveugles, ils se heurtèrent alors à d'innombrables obstacles et se précipitèrent à la recherche d'un guide : tombant entre nos mains, ils déposèrent leur mandat aux pieds de nos agents.
/21- Le mot « Liberté » met en conflit l'humanité avec toutes les puissances, même avec celles de Dieu et de la nature. C'est pourquoi, à notre avènement au pouvoir, nous devrons effacer le mot même de « Liberté » du vocabulaire humain, comme étant le symbole de la force bestiale qui transforme les foules en fauves altérés de sang. II est vrai, cependant, qu'une fois rassasiés de sang les fauves s'endorment et qu'il est facile alors de les enchaîner, tandis que si on ne leur donne pas de sang ils ne dorment pas et se débattent.»
Bonne longue lecture, en attendant la suite prochainement qui consistera à jeter un regard sur certains personnages du monde économique algérien dopés par la culture talmude qu'ils ont ingurgitée, et dont ils tentent de nous en intoxiquer.
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