Le retour du Président Bouteflika démontre que les mystères divins sont intarissables. La meute lancée à ses trousses et le poursuivant jusqu'à son lit d’hôpital est revenue bredouille de son impitoyable chasse à l'homme et commence à regretter leur ardeur à enterrer le vieux lion....vivant.
Le virtuose du dialogue et du rassemblement qui a géré des situations bien plus ardues dont celle extrêmement grave de la faillite générale qui régnait en 1999, regarde avec indulgence l'agitation qui s'est emparée de ce petit monde de l'opposition qui sous différents subterfuges a rejeté ses appels à la concertation et à la coopération et s'est lancé dans la vindicte aveugle.
- Quels sont les motifs de leur refus à coopérer et leur repli dans la dissension ?
- Énumérés tout au long de ce blog, les raisons sont multiples et filtrent à travers l'étalage de prétextes, faux fuyants, mensonges, démarches opportunistes, intérêts occultes, plans subversifs, rancunes ancestrales, tares hérités des clans déchus du pouvoir, etc...
L'indisponibilité du président a aiguisé la cupidité des envieux et des assoiffés de domination. Tous se sont précipités pour l'enterrer vivant au mépris de toute les règles d'éthique et de retenue morale. Ils ont dévoilé leur haine et leur aigreur et démontré l'hypocrisie de leur patriotisme de façade motivé uniquement par la rancune maladive et l'esprit de vendetta. La défense des intérêts nationaux et l'instauration des utopiques liberté, démocratie, égalité, justice sont des médiocres slogans publicitaires servant leur fonds de commerce réel : la soif du pouvoir et de ses privilèges.
Bouteflika revenu, la panique s'est emparée d'eux; la peur les habite et les désoriente au point de ne plus contrôler leurs émotions qu'ils tentent de dissimuler derrière des déclarations tapageuses. Le plus déplorable dans cette mascarade, est leurs efforts à se mettre en évidence non pas en adressant les questions importantes et en proposant des réponses, mais en proférant des critiques dont la prétention est de tenir haut la calomnie et la diffamation. L'indignité règne. Le peuple devra en tenir compte et se prémunir de ces ambitieux aigris et débordant de rancoeur.
Les exemples de politicien qui se trémoussent pour attirer l'attention en sacrifiant leur dignité et piétinant les règles de déontologie sont repérables sur pratiquement tous les média en guerre contre le président depuis 1999.
- Soufiane Djillali (Lien) revu par "jiljadidbejaia.unblog.fr" : «Sofiane Djilali, 53 ans, a claqué la porte du PRA en 1999, lorsque Nordine Boukrouh a décidé unilatéralement de participer au premier gouvernement mis en place par Bouteflika (refus du dialogue parce que contraire à son "agenda" ). En 2004, il s’est lancé dans une aventure avec Ali Benflis (Aventure ? La question n'est pas fortuite.)
L’échec est cuisant et va coûter sa vie politique à l’ex-patron du FLN (dis moi qui tu fréquentes...). Sans détours, Sofiane Djilali assume son choix tout en dénonçant le déficit démocratique dont souffre le pays. Mais il ne baisse pas les bras. 2011, il lance Jil Jadid, qui célèbre en ce mois de mars son deuxième anniversaire.»
Soufiane "lance" beaucoup de choses, mais ce dont il a la spécialité est la diatribe stérile irrecevable même chez le commun des mortels car axée sur le commérage, le badinage, et les supputations telles de prêter des intentions à autrui:
- «Jil Jadid accuse le «système bouteflikien» de vouloir se perpétuer».
- «Réquisitoire qui le mènera à faire le procès du chef de l’Etat qu’il accuse de "mener la nation vers un abîme"»
- «Maintenant, en ce qui concerne Jil Jadid, nous partons de l’idée que ce pouvoir et, surtout le régime de Bouteflika, a complètement annihilé toute forme de pensée politique. Nous étions dans le parti unique, avec Monsieur Bouteflika, on est passé à la pensée zéro. Donc, aujourd’hui, il s’agit de reconstruire, de retisser de nouveau un lien social. Il faut que les Algériens apprennent à vivre ensemble, à travailler ensemble, à avoir des objectifs ensemble.
Le virtuose du dialogue et du rassemblement qui a géré des situations bien plus ardues dont celle extrêmement grave de la faillite générale qui régnait en 1999, regarde avec indulgence l'agitation qui s'est emparée de ce petit monde de l'opposition qui sous différents subterfuges a rejeté ses appels à la concertation et à la coopération et s'est lancé dans la vindicte aveugle.
- Quels sont les motifs de leur refus à coopérer et leur repli dans la dissension ?
- Énumérés tout au long de ce blog, les raisons sont multiples et filtrent à travers l'étalage de prétextes, faux fuyants, mensonges, démarches opportunistes, intérêts occultes, plans subversifs, rancunes ancestrales, tares hérités des clans déchus du pouvoir, etc...
L'indisponibilité du président a aiguisé la cupidité des envieux et des assoiffés de domination. Tous se sont précipités pour l'enterrer vivant au mépris de toute les règles d'éthique et de retenue morale. Ils ont dévoilé leur haine et leur aigreur et démontré l'hypocrisie de leur patriotisme de façade motivé uniquement par la rancune maladive et l'esprit de vendetta. La défense des intérêts nationaux et l'instauration des utopiques liberté, démocratie, égalité, justice sont des médiocres slogans publicitaires servant leur fonds de commerce réel : la soif du pouvoir et de ses privilèges.
Bouteflika revenu, la panique s'est emparée d'eux; la peur les habite et les désoriente au point de ne plus contrôler leurs émotions qu'ils tentent de dissimuler derrière des déclarations tapageuses. Le plus déplorable dans cette mascarade, est leurs efforts à se mettre en évidence non pas en adressant les questions importantes et en proposant des réponses, mais en proférant des critiques dont la prétention est de tenir haut la calomnie et la diffamation. L'indignité règne. Le peuple devra en tenir compte et se prémunir de ces ambitieux aigris et débordant de rancoeur.
Les exemples de politicien qui se trémoussent pour attirer l'attention en sacrifiant leur dignité et piétinant les règles de déontologie sont repérables sur pratiquement tous les média en guerre contre le président depuis 1999.
- Soufiane Djillali (Lien) revu par "jiljadidbejaia.unblog.fr" : «Sofiane Djilali, 53 ans, a claqué la porte du PRA en 1999, lorsque Nordine Boukrouh a décidé unilatéralement de participer au premier gouvernement mis en place par Bouteflika (refus du dialogue parce que contraire à son "agenda" ). En 2004, il s’est lancé dans une aventure avec Ali Benflis (Aventure ? La question n'est pas fortuite.)
L’échec est cuisant et va coûter sa vie politique à l’ex-patron du FLN (dis moi qui tu fréquentes...). Sans détours, Sofiane Djilali assume son choix tout en dénonçant le déficit démocratique dont souffre le pays. Mais il ne baisse pas les bras. 2011, il lance Jil Jadid, qui célèbre en ce mois de mars son deuxième anniversaire.»
Soufiane "lance" beaucoup de choses, mais ce dont il a la spécialité est la diatribe stérile irrecevable même chez le commun des mortels car axée sur le commérage, le badinage, et les supputations telles de prêter des intentions à autrui:
- «Jil Jadid accuse le «système bouteflikien» de vouloir se perpétuer».
- «Réquisitoire qui le mènera à faire le procès du chef de l’Etat qu’il accuse de "mener la nation vers un abîme"»
- «Maintenant, en ce qui concerne Jil Jadid, nous partons de l’idée que ce pouvoir et, surtout le régime de Bouteflika, a complètement annihilé toute forme de pensée politique. Nous étions dans le parti unique, avec Monsieur Bouteflika, on est passé à la pensée zéro. Donc, aujourd’hui, il s’agit de reconstruire, de retisser de nouveau un lien social. Il faut que les Algériens apprennent à vivre ensemble, à travailler ensemble, à avoir des objectifs ensemble.
Il
faut recréer un courant de pensée nouveau avec des instruments
politiques et doctrinaires complètement nouveaux et endogènes à la
société algérienne. Il ne s’agit pas d’importer des concepts, des idées
ou des doctrines et vouloir les plaquer sur la société algérienne. Mais,
tout au contraire, il faut profiter d’une vague qui monte, d’une
nouvelle génération qui a été plus ou moins instruite, qui est ouverte à
ce qui se passe dans le monde, qui a une nouvelle approche du fait
social ; c’est ce courant -là qu’il faudra alors traduire en une pensée
politique.
Dans
quelques années, dans cinq ou dix ans, en Algérie, on ne parlera plus
de réformisme musulman, de néolibéralisme, d’islamisme et de socialisme,
mais on parlera de quelque chose de tout à fait nouveau (On y arrive enfin. Le NOM ?) qui
correspondra à la conception et la perception de cette nouvelle
génération qui sera à ce moment-là, malgré les blocages du régime, au
pouvoir.»
Remarque: Un argument majeur qui confirme la faiblesse de tels individus à même prétendre diriger leur propres affaires avant d'envisager de conduire celles du pays, est la nature des liens qu'ils tissent avec des associés douteux. Dans le cas de Soufiane Djilali, des membres fondateurs du "club JilJadid", dont Zoheir Rouis (photo) :
-A.Benbitour : qui n'est plus à présenter et que même les tentatives de lifting publicitaire ne pourront plus réhabiliter vu son statut de Cheval de Troie des banksters talmudes, comme je l'ai souligné à plusieurs occasions (Lien, Lien, Lien, Lien). En plus du fait qu'il se soit gouré dans ses calculs il devra tout réviser pour démontrer sa fameuse formule "hydrocarbures = malédictions", projet qui l'occupera certainement pour encore 20 ans .
Remarque :
Voilà un vrai homme du serail, juge à 24 ans (tribunal Blida-1969), a négocié adroitement sa promotion tout au long de l'abomination de la dictature (Boukharouba) au sein du ministère de la justice (procureur), ministre dans différents gouvernements, durant une période où les plus graves violences furent commises contre le peuple algérien.
Judas assis à la table de Bouteflika, il tente de saborder le programme contracté entre le président et le peuple (1999). Responsable de la débâcle "Al-Khalifa" suite à sa campagne de libéralisation-privatisation qui fut le motif de sa destitution. Candidat à la présidence en 2004, écoutez le déclarer :
«Nous allons libérer le pays de ces despotes, nous allons libérer la justice, la télévision et allons restituer au citoyen sa dignité.»(Lien).
Puis dans dans un interview fictif :
- Libérer la justice ?
- «1969-2004, soit 35 ans d'ancienneté au sein du "consortium" et à tous les échelons de sa hiérarchie, est un long parcours pour arriver enfin à faire ma confession en reconnaissant que la justice était "prisonnière", et ceci sous ma propre autorité ! »
- Prisonnière de quoi ? De qui ? Donnez-nous des explications, pas des slogans électoraux, Mr Benflis !
-A.Benbitour : qui n'est plus à présenter et que même les tentatives de lifting publicitaire ne pourront plus réhabiliter vu son statut de Cheval de Troie des banksters talmudes, comme je l'ai souligné à plusieurs occasions (Lien, Lien, Lien, Lien). En plus du fait qu'il se soit gouré dans ses calculs il devra tout réviser pour démontrer sa fameuse formule "hydrocarbures = malédictions", projet qui l'occupera certainement pour encore 20 ans .
- A.Benflis : Aux dernières nouvelles, il se revitalisait par la pratique du yoga (ce qu'il a annoncé sur la chaine III) en prévision des échéances d'Avril 2014. Il écrit des livres et a chargé DE. Benfreha, le webmaster de son site internet (Lien) de la publicité pour sa campagne électorale. Là aussi il est impératif de signaler le bruit de fond assourdissant des média, les sites internet et la presse de la subversion en tête (Algérie-focus 1 2, TSA, Algérie-Express, algerie360, algérie1, algérienews.info, forumdesdemocrates, intelligence-info, etc, etc...
Le pouvoir de l'ombre a donc désigné son candidat !Remarque :
Voilà un vrai homme du serail, juge à 24 ans (tribunal Blida-1969), a négocié adroitement sa promotion tout au long de l'abomination de la dictature (Boukharouba) au sein du ministère de la justice (procureur), ministre dans différents gouvernements, durant une période où les plus graves violences furent commises contre le peuple algérien.
Judas assis à la table de Bouteflika, il tente de saborder le programme contracté entre le président et le peuple (1999). Responsable de la débâcle "Al-Khalifa" suite à sa campagne de libéralisation-privatisation qui fut le motif de sa destitution. Candidat à la présidence en 2004, écoutez le déclarer :
«Nous allons libérer le pays de ces despotes, nous allons libérer la justice, la télévision et allons restituer au citoyen sa dignité.»(Lien).
Puis dans dans un interview fictif :
- Libérer la justice ?
- «1969-2004, soit 35 ans d'ancienneté au sein du "consortium" et à tous les échelons de sa hiérarchie, est un long parcours pour arriver enfin à faire ma confession en reconnaissant que la justice était "prisonnière", et ceci sous ma propre autorité ! »
- Prisonnière de quoi ? De qui ? Donnez-nous des explications, pas des slogans électoraux, Mr Benflis !
- « C'est un secret d'état ! Mais je peux seulement vous dire que ça relève de la fraude du socialisme spécifique...»
Et le suspense théâtral que vous entretenez sur votre éventuelle candidature ?
- «Un autre épisode de mes chicaneries mensongères, puisque dès Juin 2013, j'ai entamé les préparations de ma campagne en prévision du "décès certain" de Bouteflika ! (lien -mon site, ou Sondage de JeuneAfrique loué par mes services).»
Inutile de s'étaler sur les tripotages enregistrés au cours du parcours de notre revenant de Batna, deux phrases suffisent pour réfuter ses :
"Chassez le naturel il revient au galop" et " L'arbre arrivé à maturité, son tronc mal-formé ne peut plus être redressé " !
Personnage énigmatique et évasif, Benflis tire de sa manche son jocker, le militantisme politique, la bravoure, et le sacrifice suprême des nobles Chouhadas membres de sa famille (dont son père, Allah yarahmouh). Un capital moral à préserver et à respecter en adhérant aux idéaux et principes défendus par les martyrs de la lutte contre le colonialisme.
Benflis voulant s'en servir, a-t-il le droit d'en récolter les dividendes moraux après en avoir tirer pendant 40 ans les bénéfices matériels ?
Son argumentation est-elle recevable ? Le rappel au "souvenir" des martyrs a été une astuce de manipulation des masses que Boukharouba et le FLN ont à grande échelle abusivement exploitée. Benflis qui y a été associé pendant 50 ans, n'a jamais soulevé d'objection à ce commerce mémoriel ! Pour citer quelqu'un de bien placé, à savoir le président martyr M. Boudiaf (Yarhamouh Allah), son appréciation de la fraude du parti unique dirigé par le dictateur : «le FLN est mort en 1962, ce qu'il en reste n'est qu'un alibi !»
- Alibi ?
- Une définition qui élucide le jugement de Boudiaf : «Excuse, justification, d'une conduite jugée répréhensible ou inhabituelle.»
Une histoire identique circule dans les média à propos du soutien à Benflis de l'ex-président-général Zéroual.
- Erreur de sa vie qui risque d’endommager sa réputation !
- Car le pouvoir de l'ombre a besoin d'un bouc émissaire au cas où la situation tournait à la catastrophe nationale ! Le traitement réservé par le pouvoir occulte au défunt président Chadli Bendjedid (Allah Yarhamouh) devrait servir d'avertissement à Zéroual qui est loin d'appréhender les risques de son association avec ces démons de l'intrigue !
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À Suivre....
Et le suspense théâtral que vous entretenez sur votre éventuelle candidature ?
- «Un autre épisode de mes chicaneries mensongères, puisque dès Juin 2013, j'ai entamé les préparations de ma campagne en prévision du "décès certain" de Bouteflika ! (lien -mon site, ou Sondage de JeuneAfrique loué par mes services).»
Notez la date : 08 Juin 2013 ! |
"Chassez le naturel il revient au galop" et " L'arbre arrivé à maturité, son tronc mal-formé ne peut plus être redressé " !
Personnage énigmatique et évasif, Benflis tire de sa manche son jocker, le militantisme politique, la bravoure, et le sacrifice suprême des nobles Chouhadas membres de sa famille (dont son père, Allah yarahmouh). Un capital moral à préserver et à respecter en adhérant aux idéaux et principes défendus par les martyrs de la lutte contre le colonialisme.
Benflis voulant s'en servir, a-t-il le droit d'en récolter les dividendes moraux après en avoir tirer pendant 40 ans les bénéfices matériels ?
Son argumentation est-elle recevable ? Le rappel au "souvenir" des martyrs a été une astuce de manipulation des masses que Boukharouba et le FLN ont à grande échelle abusivement exploitée. Benflis qui y a été associé pendant 50 ans, n'a jamais soulevé d'objection à ce commerce mémoriel ! Pour citer quelqu'un de bien placé, à savoir le président martyr M. Boudiaf (Yarhamouh Allah), son appréciation de la fraude du parti unique dirigé par le dictateur : «le FLN est mort en 1962, ce qu'il en reste n'est qu'un alibi !»
- Alibi ?
- Une définition qui élucide le jugement de Boudiaf : «Excuse, justification, d'une conduite jugée répréhensible ou inhabituelle.»
Slate.Afrique faisant écho à un article d'Algérie-Focus, site d'intox sioniste-juive mijotée par le...MOSSAD (Lien, Lien). |
Une histoire identique circule dans les média à propos du soutien à Benflis de l'ex-président-général Zéroual.
- Erreur de sa vie qui risque d’endommager sa réputation !
- Car le pouvoir de l'ombre a besoin d'un bouc émissaire au cas où la situation tournait à la catastrophe nationale ! Le traitement réservé par le pouvoir occulte au défunt président Chadli Bendjedid (Allah Yarhamouh) devrait servir d'avertissement à Zéroual qui est loin d'appréhender les risques de son association avec ces démons de l'intrigue !
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À Suivre....
Quelle honte et quelle bassesse...C'est honteux de votre part...Vous tissez des mensonges pour qu'enfin vous arrivez à votre fin...La fin justifie les moyens? Au moins Benbitour et Jil Jadid et son équipe ils sont sur la seine politique, pas comme votre pseudo personnage qui est en hibernation, et qui attend les ordres..Vous êtes un mythomane...Que Allah se charge de vous...
RépondreSupprimerhonte aux partis politiques hypocrite,
RépondreSupprimerhonte a vous ali Benflis assoiffés de pouvoir (moi ou le chaos après moi le déluge) honte a vous et votre démocratie barbare.
vous êtes le mal de l'algerie.
honte a vous partis politiques subversifs.
honte traitre a la patrie.
heureux les opposants assis sur les genoux de leurs maitres néo-colonialiste français d'adoption!
Idiots utiles dopés par les applaudissements? Autorisés au défoulement et a faire les clowns? Ou des marionnettes s'agitent au bout des ficelles tenues par vos maîtres les nostalgiques pervers de l'Algérie de papa Borgeau.
honte a vous, vous êtes du peuple algérien et de la patrie.
honte bandes de paresseux.
honte a vous bandes de traitre subversifs.
honte a vous.....