Quoi de plus répulsif que l'ingrat déchu de son statut professionnel brigué grâce des privilèges indus qui après s'être servi copieusement à la table des maîtres du moment renie leur gratitude, et aigri, enfile l'habit de sermonneur dilettante de la diffamation et de l'insulte. Observez le personnage de la photo d'en face.
L'âge avancé de beaucoup d'homme accompagné de sagesse et de retenue morale comble l'individu de respectabilité et d'une apparence radieuse, et même de charisme. Tel n'est pas le cas de cet arrogant chroniqueur imbu de sa personnalité et puant l'insolence et la décomposition morale. Preuve que Abdou Benabbou penche vers l'espèce démentielle qu'Allah met en exergue dans le Coran pour leur refus d'exprimer leur gratitude envers Allah et son Prophète (SAAWS). Pour preuve de l'égarement de ce jongleur d'alphabet qui confond l'usage d'une langue étrangère, le Français, et l'adoption dogmatique de la culture qu'elle véhicule. Ingurgitant tout ce qu'elle a produit comme reflet et représentation du Monde, même ceux corrompus ou intentionnellement dénaturés par ses gestionnaires, les "éternels comploteurs". Plus grave à cause de cet endoctrinement culturel, ils ne sont pas épargnés, même dans leurs convictions religieuses, celles que partagent 1 milliard de terriens et qu'ils auraient du hériter naturellement . Un article du Quotidien, " Le divin, zemmour et l'humain "( Lien ) a soulevé mon indignation quand à la légèreté avec laquelle ce tordu, fervent adepte de la secte laico-laxiste, défenseur des abominations qui l'accompagnent dont l'athéisme, mentionnait péjorativement, d'un verbiage pédant, le Prophète (SAAWS) auquel il attribut la faillibilité humaine : «L'exécutif ne peut jamais se tromper, ne peut jamais commettre d'erreur car il est divin. Contrairement aux humains, patriotes indiscutables qui critiquent et proposent, qui sont d'extraction humaine, donc se tromper comme le prophète de l'Islam qui se considérait humain, trop humain. »
Le blasphème endossé par l'impie est révélateur de son naufrage spirituel, car l'auteur de l"article, typique de la mauvaise graine qui sévit dans les média par la diffusion du discours utopique de l'humanisme libertarien imprégné d'abstractions vagues et inconsistantes : «Les femmes, la modernité, les libertés du culte, d'expression syndicale sont les premières victimes de la bigoterie, de la complaisance des responsables du clergé officiel et du silence de partis devant le rouleau compresseur de l'archaïsme et d'une religion tellement manipulée et politisée qu'elle en devient étrangère.»
Le blasphème endossé par l'impie est révélateur de son naufrage spirituel, car l'auteur de l"article, typique de la mauvaise graine qui sévit dans les média par la diffusion du discours utopique de l'humanisme libertarien imprégné d'abstractions vagues et inconsistantes : «Les femmes, la modernité, les libertés du culte, d'expression syndicale sont les premières victimes de la bigoterie, de la complaisance des responsables du clergé officiel et du silence de partis devant le rouleau compresseur de l'archaïsme et d'une religion tellement manipulée et politisée qu'elle en devient étrangère.»
Le dogme de la laicité enseigné par les maîtres de la conspiration juive fait perdre au chroniqueur le contrôle de sa pensée gâtée et l'engage dans les allées de la trahison en recommandant l'abandon de revendications légitimes : «Au lieu de braquer sur des choses compliquées comme une loi pour criminaliser le colonialisme, il y aurait peut-être mieux à faire. Mobiliser des millions de signatures, enrôler de grands avocats et rejoindre les ONG et les associations de France pour saisir les tribunaux français et internationaux pour juger le racisme affiché de Zemmour.»
Notez la diversion et l'argument mensonger contenu dans sa référence aux ONG, le vrai temple de l'utopie et de l'insanité dont les prêtres prêchent et pratiquent la défense sélective des droits de l'homme, concept fallacieux que ces forçats du journalisme tentent vainement d'introduire furtivement dans l'opinion, dans un travail de sape des valeurs réelles que le colonialisme "kosher" (des Isaac-Jacob Crémieux et coreligionnaires) avait en vain tenté de détruire. L'histoire se répétant, parfois sous des formes analogiques, il est évident qu'aux harkis d'hier armés de fusils, nous avons affaire aujourd'hui à des goumis plume au poing et lançant les grenades d'idées importées, idées conditionnées et publiées par les tyrans de l'idéologie mondialiste version française, les tenants du talmudisme.
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