20 juil. 2010

Kamel DaÔud, Un Baudet Rue Dans Les Brancards.

Les défenseurs des "libertés", ne cachent plus leurs penchants et affichent leurs vues de la démocratie: la laïcité et la tolérance in-discriminatoire, sans limites licites ou illicites. Peu de chroniqueurs des quotidiens "indépendants" déclarent leurs réelles convictions qu'ils dissimulent sournoisement dans leur tentative de déception et de mystification de l'opinion. Pour connaître leurs intentions et leurs objectifs il faut suivre les affinités et les alliances qu'ils ont contractées, lire leurs écrits publiés dans la blog-sphère, et surveiller les messages qu'il distillent dans la presse. Les gens s'imaginent assister à un conflit restreint limité aux débats intellectuels abstraits, mais sous-estiment l'enjeu et la portée de cette querelle entre traditionalistes et laïques.
Entre ceux qui défendent une existence régie par des règles morales et des valeurs en accord avec les commandements divins (qu'importe la religion) et les libertins qui indulgent dans le blasphème, les abominations contre nature et les comportements contraires à la dignité humaine.
Le Nouvel Ordre Mondial Juif est le modèle de gouvernance de la planète conçu et affiné par le sionisme talmudique selon les plans énoncés dans les "Protocoles des sages de Sion" qui préconisent la destruction de toutes les religions. L'objectif à atteindre graduellement par l'insémination de doctrines et d'idéologies utopiques porteuses de messages fondés sur une logique erronée et des concepts fallacieux, est la corruption morale et physique de l'individu menant à la déclaration de son reniement total d'Allah le Créateur de l'univers. Le Nouvel Ordre recrute depuis des siècles des agents qui agissent, par adhésion consentante ou par intérêt aux objectifs de cette conspiration monstrueuse qui ne sert finalement que le combat que mène Satan pour la destruction de l'humanité depuis la création d'Adam. La laïcité propagée par les démocrates "modernistes" et les défenseurs des libertés permissives ouvre la porte du laxisme moral et de la déchéance humaine. Le combat est sournois et n'a pas de règles d'éthique, il n'est pas matériel et n'utilise pas d'armes de guerre, il vise la conscience de l'être humain et l'abandon progressif de ses valeurs morales. Graduellement il obtient des concessions territoriales par la banalisation d'obscénités et d'abominations à travers la création de tendances philosophiques et des courants de pensée qui inondent l'opinion et occupent les débats jusqu'à installer dans l'esprit des perversions qui avec le temps sont tolérées puis canonisées. Les concessions faites sont imperceptibles car obtenues graduellement par l'érosion des principes moraux qui protègent l'individu, à l'image de la roche agressée par le sable que le vent projette. Les petits compromis amènent de plus grands.
La tolérance de la confusion des genres (homosexualité) a conduit à sa canonisation par l'énoncé de lois la défendant et la banalisant.  Le mouvement gay a été promu durant des années et les opposants à son développement criminalisés. Le "mariage" contre nature a été médiatisé jusqu'à son acceptation récente par le public.  Légalisé et célébré sur la place publique par les média qui l'encensent . La prochaine étape, l'autorisation d'élever des enfants accordée à ses couples contre nature va amplifier et répandre cette abomination de manière exponentielle. La prochaine étape ? Juger et condamner ceux qui refuseront de se soumettre à l'injonction et aux ordres des tribunaux gay du nouveau royaume de Sodome et Gomorrhe.
Ce changement dramatique civilisationnel n'est plus du domaine de la fiction, il se déroule sous nos yeux, même si on refuse d'y penser. Les laïcs et la laïcité en sont les annonciateurs ! La juiverie talmude internationale a dressé un plan très élaboré adapté à chaque situation et modulé selon les particularités locales. Pour l'Algérie, la laïcité a été promue de manière modérée sans confrontation frontale avec les résistances traditionnelles locales héritées de la présence de l'Islam. Sous couvert de modernisme, d'attachement à la démocratie, aux "valeurs" universelles ( un mythe ), des droits de l'homme et de la femme, de combat contre l'antisémitisme (sic) et le racisme, et de toutes les utopies qui circulent depuis que les perspicaces juifs sionistes ont pris contrôle de l'imprimerie (et des média plus récemment) une classe d'intellectuels très réceptifs aux arguments de ces fabuleuses théories ont été séduits par l'éclat extérieur des abstractions contenues dans les idées de "liberté-égalité-fraternité". Ils se sont embarqués aveuglément dans le militantisme laïque, souvent international, pour se transformer en mulets, harnachés par les ONG  et associations sionistes de défense des droits (sélectifs) de l'Homme. Les mulets motivés par la ration des "prix" astucieusement délivrés par les organismes internationaux de la juiverie talmudique, transportent leur charge avec enthousiasme et un entêtement ancestral.  
«Mulets inféconds et insolents, fiers de porter des ordures qu'ils croient des objets rares et précieux.»

  Kamel DaÔud chroniqueur du Quotidien D'Oran, est l'archétype de ce genre d'animal de bât. La tête tellement enflée par les acclamations de ses semblables de l'écurie littéraire, il n'arrive plus à passer la porte de son box. Son "moi" s'est tellement dilaté qu'il atteint des proportions incontrôlables et la mégalomanie est bénigne comparée à son délire de grandeur.  Dissimulant dans une névrose chronique qui dégénère en schizophrénie, il personnalise dieu et s'est accaparé l'Univers. L'Algérie n'est qu'un petit territoire dans le vaste royaume qu'il scrute du haut de son trône. Il en descend rarement, sauf pour châtier quelques mauvais croyants qui opposeraient ses commandements, ceux de l'orthodoxie laïc.
Écoutons le avertir les baigneurs qui s'attacheraient à leur coutumes religieuses trop strictes et leur accoutrement trop pudique (Lien):
«C'est peut-être face à la mer que l'on ressent le mieux cet enfermement de l'histoire algérienne dans les interdits immédiats du corps et ses libertés non retrouvées même après le départ du dernier colon en date. Une intuition trouble, encore floue, difficile à exprimer : celle d'une identité encore plus vaste que les polémiques immédiates, qui enjambe les colonisations, pas pour les nier mais pour dire qu'elles sont aussi mon histoire.»
Ni le "Ô", ni le corps, ni le colonialisme arabe ne le désoriente : 
« La colonisation française est une histoire qui fait partie de l'histoire algérienne, et ce qui en est né est à moi. Et du coup, encore face à la Méditerranée, je remonte encore plus sur mes propres traces et je me heurte à cette évidence : si jusqu'à maintenant je n'ai pas retrouvé la Méditerranée, c'est parce que l'autre colonisation, «arabe», m'a interdit aussi de retrouver le corps, et jusqu'au jour d'aujourd'hui.»
« Le corps, le mien, c'est aussi la seconde trace qui me reste de mon histoire méditerranéenne et africaine : le corps est commun et c'est l'âme qui est une solitude qui cherche la compagnie de l'invisible. Tout corps d'homme est à vivre à deux.» (tordu ?)
Naturaliste ? Voyeur ? Une chose certaine toujours dépréciatif de l'Islam et péjoratif sur les origines, l'arabité que sa petite cervelle ne peut contenir !
« Et c'est venu comment ? Dans une plage, face à la Méditerranée interdite au corps par le tabou maladif du religieux et du repli sur de fausses origines. C'est en regardant l'Algérien, femme et homme, malade et gêné par son propre corps que l'on comprend qu'il avait été libre et que, après le départ du dernier colon, c'est son propre corps qu'il n'arrive pas à libérer, à rendre à la nature, à accepter et à retrouver, à affirmer et lancer dans l'orbe de la conquête et du muscle qui s'affirme.» 
Il est soucieux de la préservation de son héritage historique :
«D'un coup, on réalise que les immeubles coloniaux, la parenthèse française n'est pas quelque chose qui est venue «totalement d'ailleurs», mais que «c'est à moi aussi», dans l'ordre de mon histoire et du matrimoine (la filiation juive est héritée de la mère, un lapsus de la divinité). Les immeubles, les architectures, les places publiques, les églises restantes, les synagogues effacées et les noms des rues et la vigne. »  Etc, etc...
Résumé :
Très sensible le style du pigiste mais un contenu aliénant ! La folie étant contagieuse je tiens à prévenir les désœuvrés du lectorat de ce pigiste du Quotidien d'Oran (ramassis de laïcs impudents), des méfaits propagés par ce tourmenté  littéraire, diagnostiqué schizophrène et sous surveillance médicale. Les hallucinations et les phantasmes blasphématoires d'origine satanique sont répétés, à travers la lecture, comme des mantras (dhikr) jusqu'à résulter en une initiation subtile du lecteur au sacrilège. A son insu et au fil des mots, il est entrainé dans une complicité tacite qui compromet ses convictions et sape sa foi. Des cas d'hallucination collective ont déjà été relevés chez des étudiants de langue française, trahis par l'apparence "d'écrivain" du démon, et sa notoriété. Le "très cher frère" s'avére être un grand prêtre de ce nouveau culte démÔniaque davidien. L'intervention in extrémis d'exorcistes (taleb) a heureusement pu sauver l'âme de certains d'entre eux, mais la plus part sont condamnés, il n'existe pas d'antidote à cette abomination spirituelle. Le petit David publiquement renie ses origines , (soulevant des interrogations sur son pedigree) et insiste sur le refus de son arabité par l'appartenance à une algérianité héritée du colonialisme qu'il définit : «Les immeubles, les architectures, les places publiques, les églises restantes, les synagogues effacées et les noms des rues et la vigne.»
Insultes à la conscience de millions d'Algériens vivants et à la mémoire de ceux morts pour l'Islam sur cette terre des martyres. Islam qui ne peut être affirmé que par la langue Arabe sacrée (langue du message d'Allah quoique pense ce renégat sans pudeur). Ses spéculations philosophiques l'exposent aux accusations acerbes de certaines critiques qui pointent justement, en réponse à ses regrettables aveux, vers ses origines suspectes. «Le mot mule peut désigner : l'hybride femelle engendré par une jument et un âne.»(wikipedia)
Mais cette condition sociale n'est pas un frein à son avancement littéraire car convenablament ses fréquentations sociales et professionnelles gravitent autour des cercles laïques, larges d'esprit, de mœurs légères et tolérantes, et font fi de ces détails biologiques et ces bagatelles de moralité. Un point indéniable, ce singe francophile souffre d'aliénation culturelle avancée, au lieu d'y remédier en essayant de se soigner, il tente de sacraliser sa pathologie pour l'ériger en une norme, raflant notre consentement et gagnant une concession.
Jean De La Fontaine dans "Le Singe":
    ....................
    N'attendez rien de bon du Peuple imitateur,
               Qu'il soit singe ou qu'il fasse un livre :
               La pire espèce, c'est l'auteur.
La technique est identique à celle utilisée par le mouvement des pathologiques homos,  souffrant d'une déformation psychique ou biologique, ils refusent l'aide de la science, de la médecine, de la foi, voir de tous les remèdes imaginables, pour se soigner.
Paradoxalement et en opposition 
-aux lois révélées dans tous les écrits divins--à la raison--aux règles médicales et sociales--aux vérités scientifiques--aux lois démographiques garantes de l'avenir de l'humanité-- aucun effort n'est engagé pour les "soigner".  Cette altération de la nature accable une minorité d'individus, qui sont confortés dans leur infirmité par une culture contemporaine perversive, et au lieu d'être médicalement pris en charge, sont ré-assurés dans leur orientation aberrante par la promotion médiatique qui renforcer leurs rangs en "forme" de nouvelle recrues!   Travail de sape sociale orchestré par l'éternel conspirateur talmude  l'abomination a été d'abord victimisée, élevée en norme, protégée par la loi, légalisée et finalement érigée en un nouveau mode de vie.  

  "Feignant la folie pour se gaver de fèves", le minuscule David est maitre de la provocation verbale (agent pyromane), un créneau qui brasse large dans le lectorat par l'exacerbation des mécontentements et frustrations du public, un créneau porteur même au risque de diffamer les gens par ses diatribes qui lui valent le titre d'iconoclaste, nous faisant penser à La Fontaine dans :

                                 "L'ÂNE ET SES MAITRES"
Le Sort avait raison ; tous gens sont ainsi faits :
Notre condition jamais ne nous contente :
             La pire est toujours la présente.
Nous fatiguons le Ciel à force de placets. 
Qu'à chacun Jupiter accorde sa requête,
             Nous lui romprons encore la tête.



 
 Pour les proches on lui préfère le surnom de "moutchou" de la presse, car le hammam est le cercle préféré de ses inspiration et commérages. 




Pour ses goûts théâtraux, son héro préféré est Hamlet, qu'il personnifie souvent dans ses écrits : "To be or not to be arabic", une rengaine qu'il affectionne, signe de son errance morale qu'il peine à vouloir propager dans l'opinion.


Remarque personnelle :
Sa mission d'agent de la laïcité s'apparente de plus en plus à celui  de Kamikaze suicidaire, tant sa témérité et son arrogance s'accroient de jour en jour. Derrière tout baudet il y a un commanditaire le manipulant. Qui dans ce cas ? La nébuleuse juive pourvoyeuse de notoriété médiatique ? La maffia juive de la littérature ? Les faussaires de Lagrandemaison ?  Les réseaux  maçonniques rotariens ?  Sans aucun doute, une coordination de ces quatre groupes qui sont de toute manière étroitement liés. Fatalement, ses agressions verbales répétées, versées dans l'insulte, le blasphème et l'effronterie ne sauraient durer éternellement, enfilons lui la camisole de force, opérons une lobotomie, avant même qu'il ait le loisir de prendre l'avion.  Travesti au goût littéraire douteux, incendiaire professionnel, se rendra-t-il compte que, "qui joue avec le feu s'y brûle".   De ses attaques sournoises, jugez en vous mêmes :
«Pourquoi, quand il ne s’agit pas du ballon ou de la mosquée, les Algériens sont mous, émiettés, invertébrés et indifférents comme des arrêts de bus ? Réponse possible : à cause de l’espoir. La mosquée et le ballon donnent de l’espoir, le reste, on le sait depuis la mort de Boumediène, est une affaire de tiroirs, de formulaires, de chiffres et d’ENTV, c’est-à-dire la mort en live de la libido collective. C’est pourquoi, sur la liste des deux hommes supposés
en difficulté, entre Bouteflika et Saâdane, c’est Bouteflika qui va s’en sortir ; Saâdane, lui n’a ni armée, ni capacités d’amender
la constitution en la tirant par les cheveux, ni «services», ni clans, ni passé officiellement glorieux. Le peuple sait qu’il est aussi désarmé que le peuple et peut donc le critiquer, le laver en public, le manger ou le porter sur les épaules.»

Devant la clémence du Président Bouteflika, le mulet abuse de sa liberté,  se défoule et étale sa bouse sur tout et sur tous, il me rappelle "les fables de La Fontaine", qui demeure une source d'apprentissage de la langue française ( pas les excréments de vache folle du pigiste du QÔ) dont exemple : 
           "L'ÂNE PORTANT DES RELIQUES"

            Un Baudet chargé de reliques (1) S'imagina qu'on l'adorait.
         Dans ce penser il se carrait, (2)
    Recevant comme siens l'encens et les cantiques.
    Quelqu'un vit l'erreur, et lui dit :
        Maître Baudet, ôtez-vous de l'esprit
            Une vanité si folle.
            Ce n'est pas vous, c'est l'idole,
            A qui cet honneur se rend,
            Et que la gloire en est due. (3) 
            D'un magistrat ignorant
            C'est la robe qu'on salue. 

Voici la morale de la fable d'Esope "L'âne chargé
d'une idole" (Esope, traduction D. Loayza, Flammarion)
dont La Fontaine s'est inspiré "La fable montre que les gens qui se targuent des qualités d'autrui se rendent ridicules aux yeux de ceux qui les connaissent."
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(1) La Fontaine adapte l'origine païenne de la fable
en remplaçant le mot "idole" par "reliques"
(2) se pavanait
(3)et à laquelle la gloire est due 

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