29 juin 2010

Une Fatalité Historique Algérienne: Chaque Génération Produit Son Lot De Harkis Et Rénégats.


Déniché sur le Net un article révélateur en prélude à mon article suivant, plus détaillé.(lien)

« : Le bloc note de Yazid Haddar »

(Mercredi 2 juin 2010.)

Monologue du fana de Zemmour


 Je viens de lire cette article, avec une semaine de retard, mais..! je le trouve très intéressant, car il aborde une question de l’immigration d'une manière manqueuse et réflexive..à vous de jugerPar Paris : Akram B.(dans le quotidien d'oran )  


 haddar yazid:
«Oui, c'est à  vous que je parle puisque vous me regardez de travers. Ça vous plait pas ? Je dis ce que je veux. Je suis chez moi ! On est chez nous ! Y'en a marre de nous complexer. Ça fait une demi-heure que j'attends le bus et vous savez pourquoi il n'en arrive pas ? Parce qu'ils sont tous en RTT et qu'ils prennent leurs congés alors qu'ils savent que les gens sont en vacances et qu'ils ont des trains à prendre. J'ai essayé d'arrêter trois taxis, vous l'avez bien vu, hein ? Vous savez ce qu'il m'a dit le dernier ? J'prends pas les clients avec des chiens. Il voyait bien que c'était un petit caniche et qu'en plus il était dans sa cage. Mais, non ! Il m'a dit, c'est à cause de l'odeur, ça incommode les clients. Tu parles ! Le chien on le lave tous les mois ! »
(Note:  Bizarre, l'hommelette avec son caniche dans les rues de Paris, il risque de se faire embarqué! )

«C'est pas la première fois que ça nous arrive. Et je vais vous dire pourquoi. Dans ce pays, les chauffeurs de taxi sont tous musulmans ou presque. C'est connu que les musulmans n'aiment pas les chiens. En plus, mon clebs est noir, alors ça, pour les Arabes, ça peut pas marcher. Résultat, on va rater notre train. C'est pas vrai que les Français ne veulent pas faire le taxi. Y'en a plein qui aimeraient bien mais on leur fait comprendre que c'est pas pour eux et ils finissent par revendre leur licence. Je le sais, j'ai un beau-frère qui travaille à la préfecture. Et c'est la même chose pour d'autres jobs. Les Noirs et les Arabes les contrôlent et empêchent les Français de les avoir. Ça vous plait pas ce que je dis ? Tant mieux. Si tout le monde avait le courage de parler comme moi, on n'en serait pas là !»

  «Ah, elle est belle la France ! Vous verrez. Demain, tous les chauffeurs de bus seront barbus et il y aura des speakerines voilées à la télé. Et nous, on n'aura plus qu'à prendre le maquis ou à aller vivre ailleurs. On n'a rien demandé. Ils ont voulu leur indépendance et maintenant, ils viennent travailler chez nous. On a construit leur pays, on a ouvert des routes, on les a sorti de la misère mais ensuite ils nous ont dit merci, c'est bon, maintenant vous pouvez partir. On aurait dû tout détruire avant de se barrer. Remarque ça leur a tellement bien réussi leur indépendance qu'ils se mettent à nous envahir.»

  «Ils deviennent Français pour les allocations familiales, tout le monde le sait. Ils chanteront jamais la Marseillaise mais ils disent pas non au fric. Dans leurs pays, y peuvent pas être polygames, ça coûte trop cher. Mais ici, y'a de l'argent puisque c'est nous qu'on paye. Le gars de Nantes, quatre femmes grâce à l'argent du contribuable, c'est pas en Algérie qu'il pourrait se le permettre. Y'a des fois où j'ai vraiment envie de foutre le camp. J'irai chez les Flamands. Chez eux, ça se passe pas comme ici. Le propriétaire du pays, il sait se faire respecter. Il fait pas semblant d'aimer le rap et toutes ces conneries d'art africain que personne ne comprend.»

  «Non ! Non, je ne suis pas raciste ! Je respecte les gens, moi monsieur. J'ai jamais dis que le Français il est supérieur aux autres. J'dis simplement que chacun doit rester chez soi. Moi j'ai pas envie d'aller vivre au Maghreb. Je vois pas pourquoi les Maghrébiens (sic) viendraient chez nous. Ou alors, il faut qu'ils deviennent comme nous. Il a raison monsieur Zemmour. Pourquoi est-ce qu'ils prennent pas des prénoms français ? Et pourquoi est-ce qu'ils deviennent pas chrétiens comme nous ? Ils veulent être Français, alors il faut qu'ils acceptent de changer. Sinon, qu'ils restent chez eux. Ça devrait être dans la loi. Tant que ce sera pas comme ça, on sera envahis.»

  «Zemmour, j'en suis fana. C'est le meilleur des journalistes. C'est pas une chiffe molle comme tous les autres avec leurs brushings. Il dit les choses que personne n'ose dire. Moi, je lui serrerais bien la main pour le remercier. Quand je l'entends parler à la télé le samedi soir, il me fait du bien. Je vais me coucher en m'disant qu'il y a de l'espoir. Que c'est pas encore foutu. On devrait virer tous ceux qui ne sont pas d'accord avec lui. La dictature, j'chui pas contre tant que c'est bien pour le pays. Ça sert à quoi la République, si elle devient islamiste ? Faudrait un bon coup dans la fourmilière. Ca réveillerait tout le monde.»

« Tiens regardez ce taxi, là. Il me nargue. Ça fait deux fois qu'il passe. Il sait que je suis pressé mais y veut pas de mon chien. Si ma femme portait le voile, il s'arrêterait ! La dernière fois, on a pris un taxi à la Gare du Nord. Le gars écoutait une radio arabe. Je lui ai demandé de changer de chaîne parce qu'il n'avait pas à m'obliger à écouter du charabia. Il a fait semblant de ne pas entendre. J'ai gueulé. Vous savez ce qu'il a fait ? Il m'a dit : « maintenant, tu descends ». Y'a dix ans, jamais un chauffeur de taxi arabe n'aurait fait ça. Maintenant, ils n'ont peur de rien. Normal : ils sont chez eux, non ? »

  «Un jour, on va se réveiller et il n'y aura plus de nation française. Y'aura des burqas partout et on pourra plus manger de cochon. Moi, les burqas, j'hésiterais pas. La bonne femme qui se balade avec, je le lui enlève dans la rue, devant tout le monde. Et s'il le faut, je la fout à poil, comme ça elle s'en souviendra et elle recommencera plus. C'est que comme ça qu'on se fera respecter. En plus, il paraît qu'il y a plein de mecs qui se baladent sous la burqa. Des clandestins, des gens qui ont des trucs à se reprocher et que la police n'arrive pas à repérer. C'est ça, haussez les épaules. Allez, tirez-vous, va ! Je suis chez moi. Je dis ce que je veux. Je suis chez moi ! » 
                      
  Par Haddar Yazid.

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