Chapitre 5
Dans chapitre4 , a été dénoncée l'offensive dirigée principalement contre l'Islam pour assoir et perpétuer la colonisation française en Algérie, colonisation destinée à servir l'insatiable cupidité des banquiers Kosher. La mission de démolition des fondations de la société, à savoir les mœurs, les coutumes et les croyances musulmanes, avait globalement et de manière miraculeuse échoué. Ceci, en dépit des moyens mobilisés et des ressources investies dans ce plan d'ingénierie sociale à grande échelle. L'Algérien a montré une résistance naturelle, une immunité spirituelle et morale, face aux tentatives de manipulation des agents et missionnaires. L'usage de la terreur physique et du chantage exercé par l'octroi ou la privation des besoins humanitaires, étaient pratique courante. Les centres de culture et d'enseignement (mosquées et zawiates) étaient ou détruits ou fermés; les bibliothèques confisquées et vidées de leurs ouvrages; les savants proscrits dans leur rôle de diffusion du savoir. En fait une opération de génocide physique, religieux et culturel avait été programmée à l'instigation des "think-tanks" de l'oligarchie Rothschildienne de France, dont la Société de géographie de Paris (SDGP).
Les hommes envoyés en Afrique du Nord en vue de prospecter et relever toutes les informations concernant ces pays étaient recrutés dans un large éventail de compétences et de professions: militaires, administrateurs, religieux, scientifiques, aventuriers et collaborateurs. Toutes les nationalités et toutes les religions étaient invitées à participer dans cette vendetta contre les Maures. Une communauté allait se distinguer dans cette campagne de vengeance:
une tranche de Juifs séfarades Nord-Africains.
Les hommes envoyés en Afrique du Nord en vue de prospecter et relever toutes les informations concernant ces pays étaient recrutés dans un large éventail de compétences et de professions: militaires, administrateurs, religieux, scientifiques, aventuriers et collaborateurs. Toutes les nationalités et toutes les religions étaient invitées à participer dans cette vendetta contre les Maures. Une communauté allait se distinguer dans cette campagne de vengeance:
une tranche de Juifs séfarades Nord-Africains.
La solidarité internationale liant les membres de cette minorité religieuse transcendait les intérêts locaux et dominait leurs engagements contractés auprès de leur coreligionnaires de France. A noter que la coopération étroite entre Charles de Foucauld et le Rabbi (rabbin) Mardochée Aby Serour (photo ci-contre) lors de leur pérégrination à travers le Maroc, sous la supervision de la SDGP, a démontré les talents de pionnier de cette forme d'envahisseurs et d'occupants coloniaux, précurseurs du dogme du "clash des civilisations" tel que proclamé aujourd'hui par les talmudistes new-yorkais. L'histoire étant un éternel recommencement, il est évident que la campagne menée par les aveugles partisans de "l'idiot utile" Ferhat M'Henni (soutenu par les sionistes de Tel Aviv et leurs coreligionnaires d'ailleurs) constitue avant tout une illustration parfaite de la stratégie employée depuis toujours, celle du "diviser pour régner".
D'autres juifs plus célèbres, Bakri et Busnach avaient joué le rôle de détonateurs dans le contentieux financier qui devait servir de prétexte à la colonisation.(Lien: akadem.com, version
française d'un article dans le site hébreux-israélite !)
Ces agents au service du pouvoir de l'ombre (les banquiers juifs), à savoir le pouvoir totalitaire et sans partage (pas celui fictif des marionnettes des assemblées "démocratiques"), sillonnent le monde musulman pour ouvrir la voie au pillage économique et, d'une-pierre-deux-coups, disloquer l'empire ottoman. Le démembrement de l'empire ottoman, dont les carences et le dysfonctionnement ne sont pas contestables, offrait la possibilité de la création d'un état juif occupant la zone de la mythologique Israël. Seul facteur prédominant dans ce chapitre de l'histoire nord africaine, l'intrusion des juifs ashkénazes, par le biais de leur association avec les israélites autochtones, dans la gestion des affaires de la région. Leurs tentatives d'influence territoriale visant même Tombouctou, un centre spirituel et économique du monde musulman d'Afrique sahélienne. Le caractère agressif des visées hégémoniques de la communauté juive
sur cet espace géographique est bien sûr intentionnellement occulté, car sa reconnaissance ruinerait le mythe de la victimisation décrié par les inventeurs de la Shoah, cet autre paradigme historique fallacieux tant utile aux revendications sionistes et talmudistes. Principalement pour leurs exigences d'indemnisation, par le reste de l'humanité, des prétendus crimes commis contre eux. Le blâme des crimes de la colonisation (et de l'esclavage !) étant imputé aux "proxies" européens, il est normal que les manuels d'Histoire rédigés par le bon soin des scribes juifs ne pointent jamais le doigt vers les vrais auteurs des horreurs commises contre les peuples d' Afrique, en particulier et, du "tiers monde" en général :les banquiers koshers.
Conclusion :
Pour l'Algérie, et en complément de l'article intitulé "chapitre 1-«Les Autonomistes Amazigh: Un Cas D'École de l'Ingérence Juive En Afrique du Nord.», des analyses plus succinctes étayées d'exemples plus détaillés, par cette approche méthodologique "conspirationniste", prouvent de manière irréfutable le rôle primordial, sinon exclusif, des prédateurs juifs et à leur tête les banquiers, dans les malheurs et les souffrances endurés par le peuple algérien par le passé. Des défis sont lancés par leur ingérence soutenue, telle celle opérée dans cette "bulle" autonomiste-indépendantiste que tente de "gonfler" la nébuleuse des éternels conspirateurs.
Bon courage pour vos articles vous tapez dans le mille - continuez.
RépondreSupprimerRien de mieux qu'un simple encouragement écrit pour stimuler la volonté de poursuivre une tâche qui est motivée par le désir d'informer. Votre avis n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd même s'il n'en énonce pas les raisons.
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