Le supplément Hebdomadaire "Economie" d'El Watan, est révélateur de la ligne éditoriale de sa rédaction: une caisse de résonance des campagnes envahissantes, menaçantes et toujours paternalistes des FMI-BM. Inlassablement, le quotidien harcèle son lectorat en ventilant les doléances des organismes financiers cités. Ne passe un jour, une publication, un article "d'expert" complice, sans que soient reportées les déclarations de DS Kahn (FMI) , de R.Zoellick (BM), ou quelque autre obscure employé de ces organismes, avec les photos et posters de ces prédateurs talmudiens, brandis pour nous narguer de leur arrogante chupatz.
L'attitude d'El Watan amalgame son activité déclarée de journalisme "indépendant", avec celui de l'engagement doctrinaire au service du Nouvel Ordre Mondial. Cette posture soulève les questions capitales suivantes:
Pourquoi cette obstination ? Est-elle purement conjoncturelle ou partie intégrante d'une stratégie permanente dirigée de New-York et Washington par les deux institutions ? El Watan joue-t-il localement un rôle et remplie-t-il une mission, au service des intérêts de ces empires financiers mondiaux ?
Les Algériens gardent le souvenir amer des politiques intolérables d'austérité qu'ils ont endurées sous l'inquisition financière de Michel Camdessus. Tous les experts indépendants dénoncent son œuvre destructrice de l'économie des pays endettés. Les études objectives et détaillées condamnent toutes, la cupidité et voracité insatiables des banquiers qui dirigent le pillage financier effectué sous la façade trompeuse "d'aide au développement", "coopération", ou autre euphémisme frauduleux. Administrateurs des relations monétaires internationales et des règles d'échange, les deux organisations sont motivées par le profit et le gain et aucuns scrupules ou éthiques ne les freinent dans la poursuite de leurs objectifs.
Le vernis officiel qui les agrémente est un leurre que peu de gens perçoivent , et quand les experts avertis le découvrent , peu ont le courage d'exposer sa vraie nature. Il est inconcevable de la part des journalistes algériens spécialistes de la question de couvrir les méfaits de cette pègre de l'argent après que l'Algérie ait enduré ses sévices et son ingérence prédatrice.
Le vernis officiel qui les agrémente est un leurre que peu de gens perçoivent , et quand les experts avertis le découvrent , peu ont le courage d'exposer sa vraie nature. Il est inconcevable de la part des journalistes algériens spécialistes de la question de couvrir les méfaits de cette pègre de l'argent après que l'Algérie ait enduré ses sévices et son ingérence prédatrice.
Sans tarder examinons un exemple de la malveillance de plumes nocives qui s'évertuent à diffuser des concepts financiers erronés et frauduleux, gravement préjudiciables aux intérêts de ceux qui auraient l'imprudence de les assimiler ou de les endosser.
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De manière suspecte, EW fait fi de l'avertissement de dans une édition plus ancienne, datée du Mardi 16 mars 2007, «Le poids pesant du sur-endettement des ménages algériens.»
«Mais dans cette aubaine que constitue le crédit à la consommation, il y a le revers de la médaille, et c’est le sur-endettement. Les consommateurs se trouvent en proie à des charges de dépenses supplémentaires fragilisant leur capacité à faire face à différentes formes de dépenses quotidiennes. Pour l’achat d’une voiture ou d’un logement, le consommateur se voit tenu de rester endetté et son salaire partagé avec la banque prêteuse des années durant. La Banque d’Algérie estime à 40% le taux des crédits octroyés par les banques qui vont vers le crédit à la consommation. Plus de 200 milliards de dinars ont été injectés en 2006 dans le portefeuille des crédits au logement et à la consommation. Et dans ce magma de crédits, l’absence de mécanisme de protection des consommateurs risque de mettre les débiteurs dans une situation de surendettement, donc d’appauvrissement.»
«Le crédit à la consommation est l’attrape-nigaud de l’Algérien qui veut consommer in»
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Notre chambre de résonance titrait récemment (Lien): «Crédit à la consommation : Le FMI demande à l’Algérie de lever l’interdiction.» Le débat stérile sur la décision souveraine de l'Algérie est conduit par EW, qui en spécialiste de la méthode Delphi, collabore avec l'avocat FMI et les faux témoins à charge dans sa plaidoirie en faveur des victimes, les banquiers philanthropes.
-Clore le débat, en soutenant l'abandon définitif des mesures gouvernementales de crédits à la consommation, volet "véhicules particuliers" ?
-Non EW s'y refuse! EW revient à la charge et relance la polémique par la voix de son spécialiste de l'intrigue économique, El Kadi Ihsane.
(El Watan, 08Mars 2010) : «Comment, un jour, le crédit à la consommation sera rétabli ! » )
-Une idée fixe de l'auteur ? L'obsession du chercheur à résoudre une question d'ordre théorique ou pratique dont l"importance est cruciale pour l'avenir de l'Algérie, sinon de l'humanité ?
- Rien de tout celà ! L'auteur est un pantin actionné par la relance et l'insistance du FMI dans sa tentative d'écorcher une nouvelle victime au seul bénéfice des banques étrangères, avec qui le fond, partage les mêmes intérêts ! Les intérêts de qui ? De ceux qu'on nomment Banksters, un sobriquet dans le jargon anglophone, combinant, "banker" et "gangster".Un titre révélateur et qui démontre l'acharnement des pouvoirs (occultes) bancaires à renverser la décision souveraine algérienne d'abroger les "crédits à la consommation" ce que Salah Mouhoubi, (édition du l'édition du 27 Février 2010 d'EW), avait modestement élucidé et clairement réfuté, car les arguments du FMI (publiés avec sympathie par EW). étaient irrecevables. Selon lui : "Quant aux autres banques, dites algériennes à capitaux étrangers, ce sont, à mon avis, les établissements financiers qui ont profité le plus de ces crédits à la consommation." (Société Générale, BNP Paribas, etc...)
Observons par ailleurs quelques commentaires de l'ancien Senior Vice Président et Économiste en Chef de la Banque Mondiale, Joseph Stiglitz (Prix Nobel). Il est connu pour sa vision critique de la gestion de la mondialisation, des économistes du libre marché (qu'il appelle des «fondamentalistes du marché libre") et certaines institutions internationales comme le Fonds monétaire international et la Banque mondiale.:«Pour une majorité dans le monde la mondialisation telle qu'elle a été gérée ressemble à un pacte avec le diable. Quelques pays sont devenus plus riches. Les statistiques du PIB, pour ce qu'elles valent, rehaussent les apparences mais les modes de vie et les valeurs fondamentales sont menacées .... Ce n'est pas la façon dont elles devraient être.»
Ou : «Lors de sa réunion en Septembre à Singapour (2006), le FMI a reconnu les lacunes dans sa gouvernance (même si elle a sévèrement critiqué la gouvernance dans les pays en développement), et a donné plus de pouvoir de vote à quatre des plus sous-représentés des pays en développement. Mais certains des défauts les plus importants existent toujours- les États-Unis reste le seul pays avec le droit de veto, la façon dont son directeur est choisi ne concorde pas avec les types de procédures démocratiques que nous tenons pour acquis dans nos propres démocraties, et il n'est toujours pas conformes aux principes de la transparence qui sont reconnus aux États-Unis, la Suède, et d'autres démocraties.»
El Kadi dans son apologie burlesque du FMI flatte..... la bienfaisance du fond :
«Le conseil d’administration du FMI est bienveillant avec l’Algérie. Il lui a recommandé très prudemment de rétablir le crédit à la consommation «lorsque la centrale des risques liée aux crédits aux particuliers deviendra opérationnelle ».
«Motif : l’interdiction des prêts à la consommation constitue un obstacle au développement du secteur financier.»(sic. Le pillage serait selon lui une bénédiction dont nous prive la loi complémentaire.)
«L’argumentaire du ministre des Finances algérien aurait donc évoqué le risque de sur-endettement des ménages comme cause principale de l’interdiction. Tout le monde sait qu’il n’en est rien.»(Mensonge typique de l'analyse perfide qu'il distille. Les premiers à le savoir sont les consommateurs US qui sont tombés dans le traquenard du crédit attractif et démesuré. Leur famille règle la facture de leur folie.. Ils méditent leur malheurs dans les villes de toile (tentes) qu'ils occupent aux abords des mégapoles américaines !)
Les taux de recouvrement des banques en Algérie pour ce type de crédit sont les meilleurs en Méditerranée. (Raison supplémentaire qui aiguise l'appétit des banquiers, ceux qui commanditent notre scribouillard louche).
La vraie raison de l’interdiction du crédit à la consommation est irrationnelle. Comme la peur. La peur des déficits externes, par gonflement des importations en temps de reflux des recettes énergétiques. Une peur saisonnière.(Très juste, car "qui a peur, vit en paix ". Notez l'incursion freudienne subversive qui tente de défier l'orgueil des décideurs et provoquer un sursaut de courage ou de.....témérité. Enfantin ! Prudence et sagesse conviendraient mieux comme attributs. Qui devant le gouffre financier engloutissant récemment les puissances financières de la planète ne serait pas appréhensif des risques encourus par la poursuite de mesures hasardeuses ?)
«Qui va passer, avec le retour du baril à 100 dollars »( prévision ou prophétie ? )
«La plupart des décisions de politiques économiques sont prises sur ce modèle univoque. Un risque, une riposte. Dans le cas des prêts à l’importation, les effets collatéraux n’ont jamais été examinés. Ils sont très certainement de plus d’impact que du seul effet restrictif sur les seules importations. Un exemple, l’arrêt du développement des réseaux bancaires (les prédateurs) à cause d’un plan d’affaires sabré. Un autre exemple, la sanction contre les producteurs locaux de biens électroniques et électroménagers, de meubles et de toutes sortes de produits dont la commercialisation a bénéficié ces dernières années du coup de pouce du crédit à la consommation. Un troisième exemple, le sentiment d’appauvrissement des couches moyennes qui ont commencé à s’équiper à crédit, notamment en voitures, et qui subitement réalisent qu’elles ne peuvent plus anticiper l’amélioration prévue de leurs revenus. La détermination des enseignants, mais aussi des médecins, à voir immédiatement des rattrapages conséquents sur leurs fiches de paie, pourrait bien illustrer les effets inattendus de la décision hystérique du mois d’août 2009. Comme cela est de coutume, les effets indésirables imposent leurs nuisances. Et le gouvernement recule. Plutôt tard que tôt. Scénario en lice déjà. Le ministre des Finances a admis, après la recommandation du FMI, que l’Algérie "aura à apprécier cette demande " de revoir sa décision au sujet des crédits à la consommation. »
(la juste mesure, serait qu'elle mette 60 ans avant de la délivrer.
Ce naif El Kadi serait-il victime du FMI, le maître chanteur institutionnalisé de la planète ? Ou lui verse-t-il des primes pour ces exercices de voltige intellectuelle et ses débordements lacrymaux ?)
L’agence d’El Koléa de Société Générale Algérie a attendu de janvier 2009 à janvier 2010 son agrément bancaire. Tout était prêt, les locaux et les équipements bien sûr, mais aussi, les équipes et les produits. Un an de jachère pour cause administratif. Et c’est ainsi partout. (Arrêtez le, il vas nous faire chialer !)
«L’Algérie était, en 2009, classée au 135e rang planétaire par la Banque mondiale en matière d’attribution des crédits. Cela ne s’améliorera pas en 2010. Même si le crédit immobilier à taux 1% déboule dans le paysage.»( Mais c'est le plus important, aveugle ! La construction est stimulée et l'économie tourne à plein rendement.
Ce qui n'est pas le cas pour les voitures, un produit fini. Dont le commerce de bazar génère peu ou presque pas d'emplois et n'est pas un investissement physique productif. Les usines de montage, le vrai investissement, la France les a réservées à ses....colonies.)
«Pourquoi ? Parce que le Premier ministre n’est pas intimement convaincu qu’il doit soutenir la demande solvable par le crédit. Pourquoi ? Parce qu’il ne sait pas très bien ou va aller l’argent qu’il va prêter aux Algériens. L’offre de produits locaux ne décolle pas. Ce sont les importations qui vont en profiter. Eternel cycle malthusien.» (Erreur ! C'est la fin du pillage camouflé et du détournement de ressources au dépens de l'économie nationale, vers l'étranger via les importation et les profits exorbitants de l'usurerie !)
«Nous ne savons pas élargir l’offre de produit, mais nous savons réduire les importations.»( parce que nous sommes maîtres chez nous et avons nos priorités !)
«Le crédit à la consommation sera rétabli un jour.» (Non ! Et qu'ils cessent de nous harasser , lui et son employeur de l'ombre. L'opportunité pour monter nos véhicules ici, n'a jamais été aussi propice).
«Avant même que la centrale des risques ne soit mise en place. Inutile d’en chercher la raison. Elle sera tout aussi irrationnelle.» (Irrationnelle ? Oui, après la vague de désinformation qui a ciblé l'opinion, heureusement sans résultat. Mais pas plus dangereuse que la campagne d'intox des idiots de service, du FMI, qui en d'autres lieux seraient passible d'exécution, pour.....haute trahison. Pour preuve la
Définition: Crime consistant à entretenir des relations coupables avec une puissance étrangère ou ennemie; Action de trahir en trompant la confiance de quelqu'un, en manquant à la foi donnée à quelqu'un, à la solidarité envers quelqu'un; résultat de cette action. Action de trahir en livrant ou en abandonnant une personne, une collectivité. Action de ne pas traduire fidèlement, de déformer, de dénaturer quelque chose. )
Rappel solennel , en ce 19 mars 2010, de l'ère des Harkis, tenant leur fusil aux poings. Ceux brandissant une plume empoisonnée ouvre un nouveau cycle de trahison au service d'intérêts douteux.
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«L’argumentaire du ministre des Finances algérien aurait donc évoqué le risque de sur-endettement des ménages comme cause principale de l’interdiction. Tout le monde sait qu’il n’en est rien.»(Mensonge typique de l'analyse perfide qu'il distille. Les premiers à le savoir sont les consommateurs US qui sont tombés dans le traquenard du crédit attractif et démesuré. Leur famille règle la facture de leur folie.. Ils méditent leur malheurs dans les villes de toile (tentes) qu'ils occupent aux abords des mégapoles américaines !)
Les taux de recouvrement des banques en Algérie pour ce type de crédit sont les meilleurs en Méditerranée. (Raison supplémentaire qui aiguise l'appétit des banquiers, ceux qui commanditent notre scribouillard louche).
La vraie raison de l’interdiction du crédit à la consommation est irrationnelle. Comme la peur. La peur des déficits externes, par gonflement des importations en temps de reflux des recettes énergétiques. Une peur saisonnière.(Très juste, car "qui a peur, vit en paix ". Notez l'incursion freudienne subversive qui tente de défier l'orgueil des décideurs et provoquer un sursaut de courage ou de.....témérité. Enfantin ! Prudence et sagesse conviendraient mieux comme attributs. Qui devant le gouffre financier engloutissant récemment les puissances financières de la planète ne serait pas appréhensif des risques encourus par la poursuite de mesures hasardeuses ?)
«Qui va passer, avec le retour du baril à 100 dollars »( prévision ou prophétie ? )
«La plupart des décisions de politiques économiques sont prises sur ce modèle univoque. Un risque, une riposte. Dans le cas des prêts à l’importation, les effets collatéraux n’ont jamais été examinés. Ils sont très certainement de plus d’impact que du seul effet restrictif sur les seules importations. Un exemple, l’arrêt du développement des réseaux bancaires (les prédateurs) à cause d’un plan d’affaires sabré. Un autre exemple, la sanction contre les producteurs locaux de biens électroniques et électroménagers, de meubles et de toutes sortes de produits dont la commercialisation a bénéficié ces dernières années du coup de pouce du crédit à la consommation. Un troisième exemple, le sentiment d’appauvrissement des couches moyennes qui ont commencé à s’équiper à crédit, notamment en voitures, et qui subitement réalisent qu’elles ne peuvent plus anticiper l’amélioration prévue de leurs revenus. La détermination des enseignants, mais aussi des médecins, à voir immédiatement des rattrapages conséquents sur leurs fiches de paie, pourrait bien illustrer les effets inattendus de la décision hystérique du mois d’août 2009. Comme cela est de coutume, les effets indésirables imposent leurs nuisances. Et le gouvernement recule. Plutôt tard que tôt. Scénario en lice déjà. Le ministre des Finances a admis, après la recommandation du FMI, que l’Algérie "aura à apprécier cette demande " de revoir sa décision au sujet des crédits à la consommation. »
«Mais quel est donc ce développement du secteur financier que veut préserver le FMI à travers sa recommandation ?»
«Ce n’est plus une priorité du gouvernement. Ni même d’ailleurs de la banque d’Algérie qui met en moyenne plus de six mois pour délivrer l’agrément d’une nouvelle agence bancaire après visite des locaux, comme si les extensions de réseau – notamment des banques privées – lui donnait plus de tracas.» (la juste mesure, serait qu'elle mette 60 ans avant de la délivrer.
Ce naif El Kadi serait-il victime du FMI, le maître chanteur institutionnalisé de la planète ? Ou lui verse-t-il des primes pour ces exercices de voltige intellectuelle et ses débordements lacrymaux ?)
L’agence d’El Koléa de Société Générale Algérie a attendu de janvier 2009 à janvier 2010 son agrément bancaire. Tout était prêt, les locaux et les équipements bien sûr, mais aussi, les équipes et les produits. Un an de jachère pour cause administratif. Et c’est ainsi partout. (Arrêtez le, il vas nous faire chialer !)
«L’Algérie était, en 2009, classée au 135e rang planétaire par la Banque mondiale en matière d’attribution des crédits. Cela ne s’améliorera pas en 2010. Même si le crédit immobilier à taux 1% déboule dans le paysage.»( Mais c'est le plus important, aveugle ! La construction est stimulée et l'économie tourne à plein rendement.
Ce qui n'est pas le cas pour les voitures, un produit fini. Dont le commerce de bazar génère peu ou presque pas d'emplois et n'est pas un investissement physique productif. Les usines de montage, le vrai investissement, la France les a réservées à ses....colonies.)
«Pourquoi ? Parce que le Premier ministre n’est pas intimement convaincu qu’il doit soutenir la demande solvable par le crédit. Pourquoi ? Parce qu’il ne sait pas très bien ou va aller l’argent qu’il va prêter aux Algériens. L’offre de produits locaux ne décolle pas. Ce sont les importations qui vont en profiter. Eternel cycle malthusien.» (Erreur ! C'est la fin du pillage camouflé et du détournement de ressources au dépens de l'économie nationale, vers l'étranger via les importation et les profits exorbitants de l'usurerie !)
«Nous ne savons pas élargir l’offre de produit, mais nous savons réduire les importations.»( parce que nous sommes maîtres chez nous et avons nos priorités !)
«Le crédit à la consommation sera rétabli un jour.» (Non ! Et qu'ils cessent de nous harasser , lui et son employeur de l'ombre. L'opportunité pour monter nos véhicules ici, n'a jamais été aussi propice).
«Avant même que la centrale des risques ne soit mise en place. Inutile d’en chercher la raison. Elle sera tout aussi irrationnelle.» (Irrationnelle ? Oui, après la vague de désinformation qui a ciblé l'opinion, heureusement sans résultat. Mais pas plus dangereuse que la campagne d'intox des idiots de service, du FMI, qui en d'autres lieux seraient passible d'exécution, pour.....haute trahison. Pour preuve la
Définition: Crime consistant à entretenir des relations coupables avec une puissance étrangère ou ennemie; Action de trahir en trompant la confiance de quelqu'un, en manquant à la foi donnée à quelqu'un, à la solidarité envers quelqu'un; résultat de cette action. Action de trahir en livrant ou en abandonnant une personne, une collectivité. Action de ne pas traduire fidèlement, de déformer, de dénaturer quelque chose. )
Rappel solennel , en ce 19 mars 2010, de l'ère des Harkis, tenant leur fusil aux poings. Ceux brandissant une plume empoisonnée ouvre un nouveau cycle de trahison au service d'intérêts douteux.
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Dans Supplément-Economie d'El-Watan du15 Mars 2010:
«Lutte anti-corruption en Afrique : le FMI propose son aide».
N'en croyez pas un mot ! Cette annonce publicitaire doit être un poisson d'Avril, avant terme !
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des idées saines, un style presque parfait, une plume agressive, mais cela ne me déplait pas. Une seule chose peut être contestée : vous êtes un lèche-bottes de quelqu'un qui vous paye généreusement pour vos services. Je tairai son nom évidemment.
RépondreSupprimerJe vous laisse avec votre conscience, et vous souhaite, quand-même, une bonne continuation.
Merci pour les compliments, et pour leurs revers, tous pleins d'enseignements. J'avoue que les insinuations m'ont fait rire car ils ont agrémenté mon modeste article, sur ce modeste blog. Etant un fervent "chasseur" de complots de tout genre me voilà servi.
RépondreSupprimerLes gens avec "l'envergure" réelle que vous prêtez à ma personne ne lésinent pas avec les moyens et doivent gérer leur propre site. Ceux-ci se trouvent en général de l'autre côté de la barrière, pas de celui-ci. Je dois admettre que votre intervention me laisse perplexe car je n'arrive pas à situer «le quelqu'un» qui récompenserait mes «services».
Le mystère dont vous couvrez cette "révélation" m'oblige à me soumettre à la règle "vous laisse à votre conscience", laquelle je vous renvois, sans rancune. Laissez-moi vous remercier, très sincèrement, pour vos encouragements qui m'imposent plus de rigueur dans ma tentative de jouir «de ma liberté d'expression, pour qu'elle ne s'use pas». La satisfaction que procure la rédaction par le biais de ce moyen démocratique, le blogosphère, a été décuplée par ce commentaire très instructif, une récompense à mes humbles efforts. Je déplore les remarques désobligeantes, mais reconnais m'y être exposé à cause de l'agressivité de beaucoup de mes propos. Quand aux accusations (gratuites) dues à une perception (erronée) des intentions et motivations de mon travail, fruit de ma recherche personnelle (insubordonnée-sincère-indépendante-non-partisane-bénévole-honnête-désintéressée, peut être agressive) j'avoue avoir étudié toutes les hypothèses imaginables les justifiant, sans trouver de réponse à cette devinette.
Passionné de recherche sur les complots scandaleux et révoltants que l'Histoire Officielle, aliénante, n'enseigne pas, et de l'étude et dénonciation, des acteurs de l'ombre qui gouvernent le monde, et de leurs méfaits, j'écope, sans l'avoir un instant envisagé, de la qualification d'agent de l'ombre, cireur occasionnel, généreusement gratifié pour services rendus.
-A qui?
-Mystère!
Que je vous dise à aucun, ne vous convaincra pas. Prenons donc sagement refuge dans la moralité incontournable: «La vérité est fille du temps, non de l'autorité».
Merci encore, et soyez le bienvenu.
Ce que vous appelez "insinuations" s'étend à l'ensemble de vos articles. Je ne vous accuse de rien, mais vos recherches et surtout vos conclusions sont tout sauf "non-partisanes".
RépondreSupprimerMême si je reconnais les ennemis du peuple algérien et leurs agents "nationaux" tel que vous les désigniez...je vous le dis et met l'accent dessus : une troisième voie existe.
Sinon l'agressivité que vous répandez dans vos articles ne me déplait pas personnellement, évoluant dans une dimension non-démocrate et naturellement disposé à vous comprendre en tant qu'algérien. Je me permets de vous recommander toutefois de la modérer si votre objectif est diffuser plus largement vos connaissances.je vous suivrai de près.
Mes salutations
«La contradiction est la mort de la pensée».
RépondreSupprimer"Lèche-bottes" et puis soudain "je ne vous reproche rien", assaille mon esprit de confusion. La polémique étant stérile, je résisterais à la tentation de m'y engager, préférant la discussion mutuellement enrichissante. Le mystère demeure sur le sens que vous réservez à une accusation assez chargée en significations (pour ne pas dire en insinuations), celle ou vous m'accusez de "mercenaire". Paternellement, vous me conseillez de modérer mes opinions pour "diffuser plus largement vos connaissances". Je vous avoue que mes connaissances ne jaillissent d'aucune inspiration métaphysique, mais filtrent de la lecture des sources les plus intelligentes et cohérentes, disponibles sur le net.Seule innovation de ma part, une tentative d'observer et d'analyser le spectre de certains phénomènes ou événements ayant lieu en Algérie, à travers ce modèle d'analyse (disponible pour tous ceux qui ont des yeux pour voir). Votre attitude paternaliste m'irrite, mais par politesse, je serais indulgent, et jouerais même le jeu, en acceptant d'être "noté" par votre vertueuse perspicacité. Uniquement si vous faites preuve de vos capacités de bon conseilleur en fournissant la preuve de votre habilité à donner des leçons .
Comment ? En livrant quelques idées ou suggestions qui aideront à améliorer ma méthodologie et éventuellement le contenu de mes articles. La perfection n'appartenant qu'à Allah, je suis impatient de m'éduquer et de m'instruire sous votre direction, et pourquoi pas, peut être m'initier à cette "3ème voie" si elle s'avère une alternative raisonnable et optimale , menant sûrement à la vérité.
Mes salutations les plus respectueuses, cher Ami.
-Ou, devrais-je dire cher Maître ?
C'est votre droit le plus absolu d'être un partisan, pourquoi vous en "accuser"? il n y a point de contradiction dans ce que j'ai avancé, si vous êtes un partisan acharné, où est le problème? c'est votre problème. Si vous n'acceptez pas les suggestions désintéressées, je retire dans ce cas la mienne.
RépondreSupprimerJe n'ai rien à ajouter.
La 3eme voie ? Une suggestion à ce sujet?
RépondreSupprimerMerci.
السلام عليكم
RépondreSupprimerو عليكم السلام
RépondreSupprimerTerrible, juste qu'il faudrait remplacer le mot "juif" par .sionistes. dans le titre de votre log. Ainsi, on pourra conseiller vos articles ....
RépondreSupprimerou juste : nouvel ordre mondial (tout court) ...
RépondreSupprimerMerci pour le conseil, mais le mot "J" apparait tant de fois dans les articles, qu'il faudrait carrément fermer ce blog, une atteinte à ma liberté d'expression et un droit reconnu par la déclaration universelle des droits de l'homme.
RépondreSupprimerVous êtes le bienvenu !