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8 déc. 2013

Algérie : Économistes Et Conseilleurs, Les Agents De Rothschild Sont Parmi Nous ! (Partie1)

Comme souligné dans les articles aux (Lien, Lien) les remèdes que les économistes-conseilleurs professent ou suggèrent en se référant à l'école classique et/ou au néo-libéralisme, sont obsolètes et inopérants. Ces scientistes, réputés pour leur verbiage, persistent dans leurs errements et continuent à débiter les insanités théoriques et les vues utopiques stériles qui ne servent qu'à meubler leurs débats rhétoriques, à embellir leurs écrits, à alimenter leur vindicte partisane et à assurer leur salaire. Cet article a l'ambition d'exposer le mythe entourant les sciences économiques et le corps constitué de professionnels dont le savoir traite de l'économie, et qui sont présentés au public en tant qu'experts "en quelque chose", ou simplement  "économistes". 
À l'image des sciences humaines inventées et développés artificiellement pour occuper l'élite des Goyim à des activités improductives, de nombreuses matières sont enseignées et popularisées dans les universités pour former des "professionnels".
Ces professionnels ont la ferme conviction qu'ils sont indispensables à l'organisation qui les emploie pour leur capacité de comprendre l'économie , soit donc
- à expliquer, 
- à analyser, 
- à offrir des solutions aux problèmes, 
- et même prévoir l'avenir de la situation économique de l'organisation.  
Hélas, et comme le démontre le terrain de la pratique, il n'en est rien ! L'économiste est à 99% inapte à accomplir les taches qu'il prétend maitriser, sauf dans quelques cas (1%) de pure coïncidence; il découvre que les règles et les lois qu'il récite par coeur ne présente aucune corrélation avec les évènements réels du monde physique. L'explication réside dans le fait, ce que la majorité d'entre eux refusent d'accepter, que l'économie n'est pas sujette à des lois logiques, cartésiennes, rationnelles, mais est sujette à des manipulations généralement permises par l'existence de puissants média influents. Les média provoquent des tendances et des changements dans la perception des événements ayant une influence sur l'économie (rumeur de guerre, changement politique, conflit, pacte de paix entre belligérants, radiation à Fukushima, etc...)  qui inondent l'opinion et induisent (intentionnellement) en erreur des décideurs économiques qui à leur tour exécutent des opérations (en bourse par exemple) ou modifient les paramètres décisifs affectant leur organisation. Dans l'ombre, ceux qui créent les fausses nouvelles ont pris leur disposition en opérant les changements  les plus bénéfiques pour leurs avoirs ou capital, dans le lieu le plus propice aux manipulations/opérations (en général financières, finalité de cette agitation) : le théâtre de la spéculation, le casino/marché financier, les bourses de cotation et des valeurs, etc... ! 
À ce propos, Je n'invente rien, mais me limite à confirmer ce que les "Protocoles des démons de Sion" déclaraient il y a plus d'un siècle et demi lors de la Neuvième séance (Chapitre IX) :
«03- Les gouvernements modernes ont entre leurs mains une force immense, créatrice des courants d'idées parmi le peuple ; cette force c'est la presse. Son rôle est soi-disant de signaler les réclamations nécessaires, de transmettre les plaintes du peuple, d'exprimer et de formuler le mécontentement. Elle incarne le triomphe de la liberté du caquetage, mais personne, excepté nous, ne sait organiser cette force et en tirer profit. C'est par elle que nous avons acquis notre influence.
04- C'est grâce à la presse que nous avons ramassé l'or, bien qu'il fallut parfois le prendre dans des torrents de sang et de larmes, mais la fin justifie les moyens ; il nous en coûta le sacrifice de beaucoup des nôtres, et chacune de ces victimes vaut devant Dieu des milliers de goyim.»

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Définition: Le sujet des "sciences de l'économie", objet d'éternels débats, entre autres, sur leur capacité à produire des lois explicatives et des propositions adéquates face aux défis confrontant les pays dans la gestion des ressources, dans le choix des objectifs de développement, des secteurs à promouvoir, des priorités, etc..
«L’économie (du grec ancien οἰκονομία / oikonomía : (administration d'un foyer) est l'activité humaine qui consiste en la production, la distribution, l'échange et la consommation de biens et de services
« De nos jours, l'économie applique ce corpus à l'analyse et à la gestion de nombreuses organisations humaines (puissance publique, entreprises privées, coopératives etc.) et de certains domaines : international, finance, développement des pays, environnement, marché du travail, culture, agriculture, etc.»   -Wikipedia-
Ce champ de la connaissance humaine est donc vaste et complexe, et se divise en d'innombrables branches spécialisées (micro/macro, monétaire, commerce international, entreprise, marchés financiers, etc..).  Les dédales insondables et sans fin de chaque spécialité mènent à l'élaboration de techniques et de modèles d'analyse utilisées pour comprendre différents secteurs de l'activité humaine dédiée à la production, la vente /achat et le consommation de biens et services.
Malgré la recherche permanente de la précision dans l'analyse, grâce à l'utilisation d'outils scientifiques exactes dont les mathématiques et les statistiques, l'économie en tant que science humaine développe des thèses et des hypothèses. Ceux-ci sont légitimées par la foi en les experts (les "Doctors et Professors"); à savoir en leur capacité ou aura, à comprendre et à analyser le monde économique, et à prédire des remèdes aux défis stratégiques avenir, au lieu de s'en remettre à la démonstration logique et rigoureuse. Malgré l'assurance que procure la mémorisation et la manipulation de données et statistiques qui gonflent le débit verbal de l'expert, il est certain que la nature incontrôlable de l'économie ne l'autorise en rien à prononcer une description authentique définitive d'une activité économique donnée, de ses causes, de ses mécanismes, et des lois la régissant, et encore moins d'émettre des avis sur les solutions futures éventuelles et les effets estompés. Toute projection (prévision) sur le futur est pure spéculation, et les risques de toutes actions ou décision basée sur l'avis d'experts aussi renommés soient-ils doivent être évalués à leur juste valeur et utilité. Les conseilleurs ne sont jamais les payeurs !
Quand à ceux qui se prennent à ce jeu de prédire l'avenir, ils se dopent "au jeu et au pari",  l'économie étant le champ de course ou le casino, ou lieux de distraction des addictes d'excès d’adrénaline. Il est impensable et extrêmement dangereux de livrer à ces indisposés le moindre pouvoir de décision sur notre patrimoine et nos ressources ou de s'en remettre à leur jugement pour toute décision affectant notre bien être matériel présent et avenir !
Notre situation est également hasardeuse du fait  que ces experts sont incapables de penser ou de raisonner sans le carcan de leur propres préjugés, de leur conviction morale ou religieuse, de leur motivation idéologique, de leurs intérêts matériels, de leurs engagements souvent douteux ou carrément occultes, de leur activisme politique partisan, et de tous les concepts fallacieux engrangés après passage dans les centres d'endoctrinement universitaires. Il est certain que leurs beaux discours sont souvent impressionnants, par la quantité de chiffres et de "%", de prévisions divinatoires sur le PIB, les indexes, les indicateurs, les flux monétaires, et blablabla. Mais pour ceux qui retiennent la leçon de morale dont Mr Jean De La Fontaine nous a instruit dans le «Le renard et le corbeau»:
 
«Mon bon Monsieur, Apprenez que tout flatteur
 Vit aux dépens de celui qui l'écoute.»


Que cet avertissement soit  définitivement ancré dans l'esprit des innocents et enthousiastes étudiants avides de savoir ! Les experts qui spéculent sur l'avenir et tentent de le transformer en certitude mathématique par le truchement de calculs élaborés ou de modèles prévisionnels, macro ou micro quelque chose, n'ont aucune relation avec la science telle que définie par :
 « Ensemble cohérent de connaissances relatives à certaines catégories de faits, d'objets ou de phénomènes obéissant à des lois et/ou vérifiés par les méthodes expérimentales.» (Larousse)
Ces orateurs charismatiques sont des croupiers de casino, eux mêmes vivant dans un paradigme virtuel, où ils tentent d'entrainer leurs victimes et les faire partager leur accoutumance aux jeu de hasard. Rien ne leur permet pas de disserter avec certitude sur les décisions et les choix optimaux permettant d'atteindre les objectifs souhaités pour différents indicateurs, niveau des recettes, taux d'inflation, etc.., ceci à cause
-d'une part, de la complexité de l'interaction d'une multitude de facteurs et variables majoritairement non quantifiables
- d'autre part,  parce que ce système de connaissances a été historiquement élaboré et institutionnalisé par un pouvoir occulte, principalement et uniquement, pour leurrer ce qu'il appelle les Goyim, et les attirer par le  "vernis scientifique"  ornant le contenu d'une littérature non destinée à servir de guide pratique mais à créer un univers d'utopies et de théories.
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Note : Dans un second chapitre, la question sera posée de savoir si ce cumul de connaissances dont se targuent des experts algériens médiatisés, peut produire une vision claire de la situation particulière de l'Algérie, et apporter des remèdes à ses problèmes.
En réalité, pas plus claire que celle qui afflige les experts mondiaux.
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L'Économie est-elle une science, un art ou une religion  ?   
Assumons que l'économie est «L'Ensemble de ce qui concerne la production, la répartition et la consommation des richesses et de l'activité que les hommes vivant en société déploient à cet effet.» ("économie" définie par une lexicographie de  CNRTL).
Surprenante la description «Art d'administrer un bien, une entreprise par une gestion prudente et sage afin d'obtenir le meilleur rendement en utilisant les moindres ressources.»
Le terme «Art» est également utile parce qu'il offre la proposition suivante :
«Par opposition à science,... ...,conçue comme une pure connaissance indépendante des applications.» «En effet, dans toutes les connaissances humaines, il y a à la fois de la science et de l'art. La science est dans la recherche des lois des phénomènes et dans la conception des théories; l'art est dans l'application, c'est-à-dire dans une réalisation pratique en général utile à l'homme qui nécessite toujours l'action personnelle d'un individu isolé.»
La thèse controversiste qui se répand parmi une majorité de l'opinion, est que ce domaine du savoir ne mérite aucun des deux qualificatifs, il est ni science, ni art.
Le souhait de ce modeste pamphlet étant de rejoindre la remise en question des sciences économiques et des recommandations faites par les personnes se réclamant du monde académique et s'affichant publiquement comme conseillers avertis. La science est du domaine de la foi (ie religion) en des professionnels du "verbiage technique économique" que les fameux média ("presse" dans les Protocoles) ont promus au grade fictif d'experts.
Les critiques des sciences économiques :
La roue n'étant plus l'objet de recherche, il est inutile de la ré-inventer, aussi quelques citations d'auteurs plus compétents suffiront à placer des réserves sur l'utilité et l'authenticité scientifique des matières économiques.
Gardons en vue les avis de la majorité des critiques de la science économique, dont celle de Joan Robinson relevée au Lien (Paul Jorion)
«Il ne faut sans doute ni idéaliser, ni dénigrer les "experts" en général. Dans beaucoup de cas, ils interviennent seulement en mission commandée, et cela suffira à " moduler " ce qu’ils diront. Ce qui plaira plus ou moins – voir ces analystes du risque licenciés lorsque (et parce que) ils font leur métier. Mais le cas des économistes est tout de même un peu particulier. Joan Robinson (1903-1983), qui travailla avec Keynes, disait que les économistes singent les physiciens, et que les autres sciences sociales singent les économistes.»
Ce que les profs n'avouent pas à leurs élèves mais est dénoncé cruement par de nombreuses critiques, souvent vitrioliques. Comme dans un article de Michel Leis, intitulé «Une crise peut en cacher une autre» (de la Page web au Lien, sur le Blog toujours de Paul Jorion) :
«Le drame de l’économie, c’est qu’elle parle de chiffres. Le P.I.B, l’inflation, le chômage ou l’endettement sont considérés comme les indicateurs de la santé économique d’un pays. Parce que ces chiffres sont quantifiés avec une certaine précision, l’économie se considère comme une science dure. Une science dure ; c’est une science où les règles sont démontrées, ou une expérience peut être reproduite, ces caractéristiques autorisent des prévisions fiables. Chacun a pu constater que les discours économiques étaient souvent démentis par les faits. L’économie est un ensemble de techniques qui peuvent donner une description du monde à un instant donné, qui permettent de se livrer à quelques interprétations sur des événements passés, mais il manque fondamentalement quelque chose pour modéliser le futur. Ce petit quelque chose pourrait bien être le facteur humain. L’économie est d’abord le résultat de l’action des individus. Toute personne qui travaille ou a travaillé dans une grande entreprise ou une grande administration sait combien les convictions et les passions humaines comptent dans le management.»
Et plus loin :
«En matière de management, certains ouvrages de la "Comédie humaine" de Balzac ou les livres de Zola sont des lectures bien plus enrichissantes que tous les manuels théoriques.»
Quelques lignes plus loin (coup d’œil aux apprentis cabbalistes/managers des Hautes études) : 
«De manière générale, les rapports de forces ont un rôle central dans l’économie qui est souvent négligé. Je voudrais prendre pour exemple les prix. Nous connaissons tous la loi de l’offre et de la demande, et pourtant la fixation des prix dans la réalité est très différente de la théorie. Un prix reflète une histoire, il prend en compte le prix de revient, les stratégies des concurrents, les relations de dépendances, voire une capacité de nuisance. Dans un hypermarché, pensez-vous que le prix d’achat soit le même pour un produit qui sera vendu sous l’enseigne du magasin et une grande marque qui bénéficie d’une importante publicité télé ? Pourquoi le consommateur achète-t-il un paquet de pâte Barilla plutôt qu’un Carrefour ou un Delhaize, pourtant moins cher ? Et qui du producteur ou du distributeur va gagner le plus d’argent ? La lutte pour créer et prendre le meilleur de la marge n’a rien à voir avec le prix d’équilibre évoqué dans nos manuels, mais au contraire tout à voir avec les rapports de forces.
Pas de neutralité donc en économie
Les beaux et pédants discours que délivrent quotidiennement la majorité d'experts et de nombreux enseignants ne sont que le reflet de leur propre formation (défective) acquise auprès de sources et de centres universitaires dédiés à diffuser des théories et des utopies intentionnellement stériles, biaisées, et inopérantes. La littérature ayant trait à la fraude des théories économiques enseignées dans les écoles et universités existe sous forme d'un nombre illimité de références dont les plus pertinentes sont, dans la mesure du possible, mentionnées dans ce texte. Mais avant d'entamer cet aspect il nécessaire de souligner que : L'enseignement des "sciences" de l'économie est conditionné par, et lié à l'état de l'éducation en général. 
Des ouvrages publiés et des études détaillées produites par des pédagogues et enseignants élucident les raisons du détournement de l'éducation en général, loin de son objectif premier de foyer du savoir en celui d'outil de conditionnement au conformisme intellectuel dominant; conformisme modelé et régi par le pouvoir de l'ombre aux USA, dans les pays occidentaux, et là où ses ramifications (principalement maçonniques) sont actives.
( Lien, Lien-Makow, Lien-Makow). Les exposés (conférences filmés) d’imminents pédagogues, dont le plus illustre est John Taylor Gatto, disponibles sur "youtube" (Lien, Lien !!!), hélas uniquement en langue anglaise . Quelques titres des documentaires sont en eux-mêmes pertinents (traductions) :
L'Histoire secrète de l'éducation occidentale :  la destruction scientifique des esprits» (par Charlotte Thompson Iserbyt)
Meurtre par pédagogie : le requisitoire d'un enseignant contre l'éducation institutionnelle.»(JT Gatto)
Histoire secrète de l'éducation aux USA».(JT Gatto)
Armes d'instruction massive».(JT Gatto)
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Note :
D'autres exposés magistraux de professionnels de l'éducation révoltés par les méfaits du système éducatif en existence aux USA et en Europe, fournissent un matériel pédagogique que nos responsables devraient examiner de près pour secourir ce secteur en ruine et remédier à la dévalorisation programmée, entamée puis héritée depuis la "révolution culturelle initiée sous le régime frauduleux du socialisme spécifique. L'analyse des changements enregistrés permettrait de découvrir les reformes illusoires et stériles à radier et les responsables indignes à l'origine du dénaturement programmé de l'éducation. Soutenue par une volonté politique, la révision de l'organisation, de la restructuration, et de la refonte des programmes de l'école pourrait appeler à la rescousse les experts cités ci dessus.  Les arguments convaincants présentés dans des études détaillées et les méthodes qu'ils proposent sont disponibles et ne demandent qu'à être consultées.
Cette remise en cause de l'éducation existante est surtout valable pour les sciences humaines en général, et les sciences économiques en particulier. Le contenu fictif et inadapté à la réalité est détectable dans  l'enseignement fallacieux de la micro et macro économie, du marketing et de la finance (la folie de la création d'une bourse financière, de la participation du capital étranger d'origine suspect, de l'usure, etc...)
Il est important de remarquer la dichotomie existant entre la nature des outils utilisés et le sujet-objet de ces "sciences"; l'introduction des mathématiques, des statistiques et la calcul assisté par ordinateur durant le traitement conséquent de données, ne constitue pas un argument irréfutable et méritoire appuyant la "scientificité" des sciences sociales, car ces outils produisent des paramètres dont l'interprétation, même lorsqu'ils sont exactes, est du ressort du chercheur. L'intervention de ce facteur humain par l'interprétation des paramètres, autorise toute sortes de distorsions et d'erreurs, la manipulation accidentelle ou volontaire, et souvent des actes répréhensibles de sabotage lorsque les déductions erronées préparent le terrain aux décisions insensées et préjudiciables, parce que orientées ou commandées. L'exemple aux USA et en Europe de la manipulation des indicateurs économiques par des gouvernements scélérats ont maintes fois été dénoncés et des observateurs intègres (Lien) ont élaborés des systèmes de contrôle des taux/indicateurs, reportant ceux "réels", du chômage ou de création d'emplois, de l'inflation, de l'indice industriel, de l'index des prix à la consommation des ménages, etc....
La perspective historique
1- L'incontournable "Protocoles des démons de Sion" mentionné dans plusieurs articles antérieurs devrait éveiller notre scepticisme et servir de tremplin pour une révision radicale de notre perception de la nature, définition, rôle, objectif, et intérêt des théories économiques ainsi que leur utilité pratique. On se doit de refuser l'application scrupuleuse (parfois même, "religieuse") des concepts véhiculés par le pouvoir talmude contrôlant, en amont et en aval, le système éducatif, et dominant les sciences sociales et leur contenu. Telle est la situation décrite dans les ouvrages que le web met à la disposition des curieux.
Pour rappel :
«Les goyim ne sont guidés que par la routine et par les théories ; ils n'ont aucun souci des conséquences qui en découlent C'est pourquoi nous n'avons pas à nous préoccuper d'eux; ils s'amusent. Les lois qui émanent des théories scientifiques ont, pour eux, une importance considérable ; aussi avons-nous engendré la confiance aveugle à l'égard de la science. Leurs intellectuels s'enorgueillissent de leurs connaissances que la logique n'a pas vérifiées, et ils mettent en pratique les notions puisées dans la science livresque, telles qu'elles sont écrites par nos agents, dont le but est de tourner les esprits dans la direction qui nous est nécessaire. »
Le flot de concepts économiques déversé au commun des mortels sont caduques et inutilisables, aussi complexes et sophistiqués soient-ils; seules les lois prouvées efficaces et opérationnelles, connues des seuls éternels prédateurs et réservées à leur cercle restreint et exclusif, ont un intérêt pratique et servent les intérêts occultes de la Kosher Nostra. Elles sont gardées secrètes dans les cercles fermés des banquiers juifs et de leurs associés /coreligionnaires. Quand à la littérature massive mise à la disposition des Goyim, elle est pure exercice intellectuel, spéculation vaine et utopie inculte.
2- Conséquences de la conspiration : usage étendu et normalisé de l'usure.
Le développement de la multitude de branches des sciences économiques est basée sur un axiome, supposé par lui-même évident, non démontrable, non justifiable et universellement acceptable : la pratique de l'usure.
L'usure est le levier de tous les pouvoirs tombés aux mains des prédateurs éternels menés par les banquiers shylock ! Son utilisation dans tous les rouages de l'économie est une pratique érigée en maxime fondamentale à laquelle les économistes classiques/conformistes/orthodoxes adhérent docilement et religieusement, ne la contestant jamais au risque de perdre l'obole perçue des mains de leurs "maitres", quelque soit leur école ou leur tendance politique. L'aspect monétaire financier de l'économie, par son contenu usurier, est géré par les shylocks qui détiennent par son biais le vrai pouvoir et contrôlent d'une main de fer les mécanismes et les changements majeurs de l'économie....mondiale !
Les solutions aux problèmes économiques airées de manière si arrogante par les paternalistes (*) Docteurs et PhD's qui s'affichent sur les média et y déversent le flot de chiffres puisés dans les banques de données, dont la production est la principale activité de la profession.  
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(*) Note : Un exemple fort médiatisé est A.Mebtoul, un économiste qui fera l'objet d'une attention particulière dans l'article qui suit pour la simple raison que ses incursions médiatiques sont devenues à mes yeux trop militantes pour être innocentes ou fortuites, et plus est sortent du cadre traditionnel de son activité.
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Les voies à suivre pour résoudre tel ou tel problème économique sont des chimères provenant des boites d'enregistrement chargées d'informations erronées et tendancieuses ne diffusant que des chiffres dont l'interprétation est subjective, modelée, et façonnée pour décevoir et non instruire. La perception erronée du monde financier et de son vrai fonctionnement, dominé par la Kosher Nostra, est le premier handicap qui invalide la recherche académique du sujet, parce que des axiomes contrefaits ne produisent que des lois absurdes.  Des Phd et des Prix Nobel, participants et consentants dans cette parodie, ne contestent jamais l'utilisation de l'usure et n'en discutent ni le bien fondé ni le forfait. L'usure a été élevée sur un piédestal et vénérée comme divinité talmude sacrée; un Tabou que les "bons élèves" aspirant à la réussite professionnelle n'abordent jamais, car les conséquences de toute contestation ou opposition est risquée et même fatale comme a été le cas pour nombre de ceux qui tentèrent de confronter ce monstre. Pas moins de cinq (05) présidents américains ont eu à payer de leur vie leur patriotisme et leur combat contre la main mise des Rothschild sur le système fédéral des réserves (Federal Reserve System), populairement perçu publiquement comme "Banque Centrale", mais en pratique a un statut d'organisme privé détenu par un cartel de banques juives, prête-noms des Rothschild de Londres ! 
Seuls les économistes et chercheurs, se distançant de l'approche classique "orthodoxe" de l'économie (experts que les média dénigrent en leur collant l'étiquette de "révisionnistes", "conspirationnistes", "négationnistes"), abordent le sujet tabou de l'usure mise en pratique en tout lieu et tout temps.
Le prix chargé au prêt, le service rémunéré du crédit, l'intérêt, sont les leviers historiques et actuels de la tyrannie juive qui se nourrit de la sueur et du sang du reste de l'humanité sans jamais assouvir sa cupidité ni son avidité, sans la moindre pitié ni compassion pour ses victimes souvent affamées. Les tentacules de ce monstre à l'appétit gargantuesque s'étendent là où des ressources sont présentes et offrent un gain potentiel; et tous les moyens disponibles sont Kosher, la guerre qu'il déclenche, la corruption, l'infiltration, le recrutement de chevaux de Troie qui lui ouvrent la porte de la cité, le chantage alimentaire, le terrorisme, etc...
Le Web est la source (Lien ,LienLien, Lien, Lien, , etc...) où sont aisément puisés les textes et les manuels qui élucident la monstruosité de l'usure, de ses abus, et des ses concepteurs/opérateurs. Véritables crimes perpétrés contre l'humanité résultant de sa pratique, généralisée et vulgarisée après que l'opposition religieuse ait été neutralisée, l'usure est aujourd'hui un simple article des tableaux comptables grâce à sa banalisation par un stratagème opéré graduellement par les banquiers juifs qui avouent l'avoir conçu pour asservir l'humanité. 
                                        
                                      À Suivre.......

28 nov. 2013

Algérie : Des Illuminés De La Scientologie Économique Accusent Les Hydrocarbures De Tous Les Maux.

«Quand le ventre est plein, la tête chante»; un survol des média dévoile combien ce dicton populaire s'applique pertinemment aux catégories de personnes dont la profession est liée à l'économie, en tant qu'acteurs ou observateurs /analystes et qui s'évertuent à dévaloriser le potentiel inestimable des richesses naturelles, dans ce cas les hydrocarbures. 
La majorité de ces acteurs ne servent pas le pays, ni le peuple, ni l'économie mais uniquement leurs stricts intérêts abreuvés de cupidité, d'égoïsme et même de préceptes dogmatiques adoptés après initiation maçonno-satanique ! Quand à la majorité des observateurs/analystes, ils produisent rarement des observations objectives, instructives, utiles, mais souvent erronées, subjectives, biaisées et partisanes, car leur savoir relève des sciences sociales, sciences célèbres par leurs controverses, leur imprécision, leur verbiage, leurs contradictions, leurs failles méthodologiques, et leurs innombrables défaillances.
Comment nos élèves économistes, de rite néo-libéral, pourraient-ils surpasser leurs maitres d'occident, après que ces derniers aient démontré leur ineptie à résoudre la faillite des économies "avancées", entendre "avancées" par la présence massive des usuriers shylocks qui manipulent tout ce qui a rapport à l'argent ?
Caractère non fortuit,  les deux catégories déclarent que leur participation aux débats sur les questions économiques est de dispenser des conseils et des recommandations aux autorités, au gouvernement, aux ministres, aux banques, à Bouteflika, en un mot à tout le monde; dans le but, d'aider le pays, son développement, sa croissance, le plein emploi, s'adapter à la mondialisation, etc...
La première catégorie, les entrepreneurs, chefs d'entreprise, champions de l'industrie (sic), partage étrangement les  mêmes préoccupations que les seconds. Coincidence, tous ont pour cheval de bataille "les hydrocarbures", dont ils discréditent l'existence même, en les incriminant de tous les maux et carences du pays ! Les oxymores "malédiction", "cancer", "choléra", "frein au progrès", "catalyseur du sous développement", leurs sont accolés lors d'exposés et de d'études diffamatoires. 
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 Note : Réservons notre appréciation de l'agitation intellectuelle de la catégorie des chefs d'entreprise/managers/industriels à une analyse ultérieure, et concentrons-nous sur la seconde.
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Agitation fébrile des économistes.
«Le borgne est roi au pays des aveugles», concédons leur hypothétiquement, sans trop risquer de nous compromettre, le titre "d'économiste". Ceci, aussi longtemps qu'ils s'appliqueront à réciter les connaissances péniblement acquises dans les centres d'endoctrinement académique, ou universités, souvent étrangères qui distribuent des doctorats et PhD's à ceux qui digèrent le mieux leurs insanités et leurs utopies fantaisistes. La science économique à la mode dans les universités depuis Reagan/Thatcher (1980) se réclame du libéralisme, et les économistes algériens les plus médiatisés sont adeptes du néo-libéralisme , selon leur propre aveux, car la majorité prêche pour, entre autres, l'économie de marché, la privatisation, l'ouverture de la finance aux banques étrangères (toujours kosher), la libre circulation du capital, et la libéralisation du commerce extérieur.
 Les média locaux et étrangers les chouchoutent. Pour leur adhésion à la mondialisation, ils sont devenus des 
porte-paroles confidents de la presse écrite et des sites internet spécialisés qui surveillent l'état du pays et répercutent tous les rapports du FMI et de la banque mondiale publiant leurs statistiques. Même le "climat des affaires " a été quantifié par une formule mathématique magique (grâce aux modèles de prévision météorologique?) Promus donc "chargés de mission du NOM", leurs déclarations assourdissantes sont des plaidoiries pour, l'état de droit, la bonne gouvernance, la démocratie, l'économie de marché, la privatisation, et les différents concepts défendus par les maitres du monde, à New York, Londres, Paris et autres capitales occidentales.
Leur grief principal : 
Il se signale par le dénigrement systématique de la gestion par le gouvernement, sous la direction de Bouteflika, de l'exploitation des recettes "hydrocarbures"; cheval de bataille donc de ces experts qui y réfèrent en tant que "rente". Première bévue de nos donneurs de leçons qui refute la désignation des recettes par le terme "rente", car inadéquate dans les langages, courant, économique ou boursier. Les hydrocarbures extraits du sous-sol ne sont pas en elles-mêmes renouvelables et sont le fruit d'une succession de travaux physiques et de décisions humaines: étude, prospection, forage, extraction, transport, raffinage, et commercialisation. Aucune recette n'a été découverte dans des sacs pleins de dollars et d'euros enfouis dans le sable ou flottant sur les chotts, ce qui exclu cette terminologie.
D'autre part, leurs critiques donnent l'impression que le pays est dirigé par des handicapés mentaux et seule leur expertise est en mesure de mettre de l'ordre dans les affaires du pays, et placer l'Algérie sur l'orbite du progrès.
D'une ingratitude suspecte, leur statut professionnel et social n'étant fondé sur aucun mérite particulier mais découlant de leur participation à des taches stériles financées gracieusement par...les recettes des hydrocarbures !  
Que les Benbitour, Mebtoul, et les oracles de mauvaise augure qui prédissent depuis une décennie la faillite du pays, citent un seul accomplissement dans leur longue carrière de commis de l'état. Rien !   Du vent et des discours creux et verbeux, ou la récitation de théories galvaudées que les éternels prédateurs juifs vulgarisent chez les goyim pour mieux les aliéner. Les manigances juives étant anciennes, il faut noter que la stratégie employée et ses grandes lignes sont perceptibles aujourd'hui même , en 2013, car le manuel talmude de la subversion "Les Protocoles des démons de Sion" est un schéma global dressé depuis des siècles et toujours d'actualité. Il suffit de le lire et reporter son regard sur l'état du monde actuel pour prendre conscience de son authenticité et combien le plan est à un stade avancé de réalisation. Ajoutez à ce constat, le progrès des sciences appliquées (sociologie et psychologie dans le monde réel, développées par les services secrets, pas ceux enseignés aux Goyim), de la technologie, des media, des arts destinés au grand public à une échelle planétaire grâce au satellite, etc...
Chap1/01 «Les administrateurs, choisis par nous dans le public en raison de leur servilité, n'auront aucune expérience en matière gouvernementale ; ils deviendront facilement, dans notre jeu, des pions aux mains de nos savants, de nos conseillers géniaux, de nos spécialistes élevés dès leur plus tendre enfance pour diriger les affaires de ce monde.»
«Les goyim ne sont guidés que par la routine et par les théories ; ils n'ont aucun souci des conséquences qui en découlent C'est pourquoi nous n'avons pas à nous préoccuper d'eux ;ils s'amusent. Les lois qui émanent des théories scientifiques ont, pour eux, une importance considérable ; aussi avons-nous engendré la confiance aveugle à l'égard de la science. Leurs intellectuels s'enorgueillissent de leurs connaissances que la logique n'a pas vérifiées, et ils mettent en pratique les notions puisées dans la science livresque, telles qu'elles sont écrites par nos agents, dont le but est de tourner les esprits dans la direction qui nous est nécessaire. »
Défi n°1 :
«Leurs intellectuels qui s'énorgueillissent de leurs connaissances que la logique n'a pas vérifiées» est le motif principal qui justifie la confrontation avec ces nombreux "experts" plein d'arrogance qui nous conseillent de leur voix paternaliste sur les choix (généralement inadaptés), à adopter pour surmonter les nombreux dilemmes et menaces que nous rencontrons. 
«De tout temps, les peuples, comme les individus, ont pris les paroles pour des actes. Ils se contentent des apparences et font rarement attention si les promesses touchant la vie sociale ont été tenues. C'est pourquoi nous avons organisé des institutions présentant une belle façade, c'est-à-dire des loges maçonniques qui démontreront éloquemment leur contribution au progrès.»
La menace directe dirigée contre nous qui risque de nous détruire plus rapidement, provient du fait qu'elle est brandie par une secte d'agents corrompus organisés, des ennemis de l'intérieur cupides et compromis jusqu'au cou, qui ont été recrutés au sein de loges maçonniques dont le dogme est satanique mais est enrobé de mythes idéologiques et religieux trompeurs (voir le concept de Grand Architecte, mythologie païenne et référence à Satan).
Ces agents s'activent dans toutes sphères publiques qui déterminent directement ou indirectement le devenir d'un état : le politique, la finance, la justice, l'information, la religion. Le grand danger est leur soumission/allégeance à un pouvoir allochtone et l'exécution aveugle de directives scélérates dont l'objectif transcende les intérêts nationaux, et profitent au gouvernement juif ultime, le NOM.
Défi n°2
«Vous vous rendez bien compte qu'afin de pouvoir exprimer de tels désirs, il faut troubler sans cesse les rapports des peuples entre eux et avec leurs autorités gouvernementales. Tout le monde sera ainsi épuisé par les discordes, l'hostilité réciproque, les luttes, les rivalités et même par le martyre et par l'extermination des peuples connus par leur longanimité (par exemple les Russes, les Indiens et autres), par la famine, par l'inoculation de maladies contagieuses, dont le contrepoison n'est connu que de nos savants, par la misère, afin que les goyim n'entrevoyant pas d'autre issue, se rendent à notre domination financière et à celle de nos monopoles. Il ne faut pas leur laisser de répit, car, autrement, le résultat de tout notre travail préalable se ferait attendre, ce qui n'est pas à souhaiter.»

Le défi n° 2  est donc la confrontation à la multitude de facettes de la guerre silencieuse qui est menée contre le pays :
/La pauvreté, la misère, le chômage, ainsi que la famine sont les terreaux qui autorisent des opérations de subversion.
Les printemps arabes en sont la démonstration frappante.
Les révoltés conditionnés par un conflit interne, la discorde, la rivalité, exécutent inconsciemment les plans protocolaires tout en étant leurrés par des idées creuses, de démocratie, liberté, égalité, souveraineté du peuple. Ils sont "au point " alors pour le martyrdom (ceinture explosive, immolation par le feu).
/Une étape préparatoire à franchir, pour le processus de décomposition et d'auto destruction d'une nation, est la permanence du travail de sape sociale, par l'ingénierie sociale opérée par les média et les agents véreux (Kamel Daoud) de l'information. Ils sont détectables à travers leurs écrits, souvent concordants. La mal vie, le chômage, les carences diverses, sont relevées et exposées au public dans le but d'irriter et décourager l'opinion. Le désespoir en dernier recours devient un terroir idéal et propice où semer tous les débordements populaires et l'anarchie (ce blog est dévoué à les confondre et les dénoncer.)
/le mécontentement social est attisé continuellement au moyen du mensonge et de l'oxymore. Le "bien" devient "mal" et le "mal" est "bien";la réussite est un échec; la richesse est une malédiction; l'intégrité est sanctionnée et le délit récompensé; le voleur est honoré et l'honnête homme pénalisé. 
- Comment ? 
- Grâce aux média qui font l'événement
-Et à la justice qui en dernier recours blanchie ou ternie les réputations, minimise ou maximise les peines, selon la tête du client et sa proximité des loges fraternelles. 
H.Makow le crie sur les toits : «Le culte de Satan a pris possession de la planète Terre. Ce constat est la clé de l'énigme pour qui souhaiterait comprendre l'histoire tout en évitant les désagréments de la "culture moderne"» 
Quelques exemples :
a-la redistribution des revenus (ceux des hydrocarbures) opérée d'une manière judicieuse sous forme de crédit (débarrassé de l'usure, donc licite) pour créer l'emploi et développer les PME. Tous les secteurs en bénéficient, agriculture, artisanat, industrie, tourisme et même les handicapés.
Verdict de la propagande concordante des malfrats des média, des crapules de la politique et des intellectuels sans conscience : le gouvernement "achète" la paix civile pour faire durer le "système", et éviter une répétition des "printemps arabes". Soulignons que tous ces acteurs ont depuis 2011, fait la promotion, et tous participer aux tentatives d'embrasement social imitant les catastrophes libyenne-tunisienne-égyptienne. Qui, sauf l'ennemi furtif, refuserait la paix sociale ? Surtout à un moindre coût, celui de crédit à l'investissement ?
b-le soutien des prix des produits de première nécessité.
"L'opposition" citée plus haut : Mêmes calomnies et accusations agrémentées d'arguments frelatés, maquillés de théorie économique irrecevable dont celle émise par le FMI formulant les distorsions enregistrées dans le marché libre et les retards enregistrés pour l'établissement d'une économie de marché. Issad Rebrab n'a lui jamais été contesté dans ses hausses des prix grâce à sa positon monopolistique. Ce qui sied aux "champions de l'industrie", est kosher et légal. 
c-les réalisations titanesques, dans le logement, l'infrastructure, la balance de paiement excédentaire, les réserves de change, le niveau de vie croissant (mesuré grossièrement par le revenu par habitant), la création d'emplois, l'auto suffisance dans nombre de produits agricoles, etc...
 verdict de la nébuleuse : silence programmé et intentionnel sur la performance unique sur la voie du développement. Pire, pour dévaluer et pervertir les efforts concrets de progrès national, les chevaux de Troie du NOM juif les entachent de malversations, de pots de vin, d'insinuation diffamatoires contre les autorités, de procès d'intentions de cadres intègres, etc...Le harcèlement est orchestré par média interposé, les réseaux locaux et internationaux kosher y participe en parfaite harmonie. Pourquoi ? La complicité se situe au niveau de l'entre-aide maçonnique. Seule elle, a les moyens de mobiliser la "clameur" contre un individu ou un pays qu'elle désapprouve. Et qui dit maçonnerie, doit nécessairement mentionner la Kosher Nostra qui poursuit, elle, l'avancée de son agenda "protocolaire" talmude !
Les organismes internationaux acolytes surgissent ensuite pour obscurcir le tableau, en publiant le "mauvais classement de l'Algérie" pour l'année, dans le hit parade fantaisiste de l'ONU ou autre structure mondialiste. 
Une suggestion à développer :
En recensant les délits commis et saisis par la justice, on constate qu'ils sont l’œuvre de personnages dont le profil convient à celui de membre de la "fraternité". Chakib Khellil (Halliburton et Banque Mondiale); Rafik A. Khalifa (que protège la fraternité de Londres); SNC-Lavalin; 
(consulter la bio de son président Bernard Lamarre), et toutes les malversations qui remontent au socialisme spécifique et à son gourou Boukharouba (le trésor du FLN, El-Paso, 50 avions Boeing, et....Zeggar).

                                         À suivre.....

26 nov. 2013

Algérie: Des Perroquets Écervelés Recommandent L'Adoption Du Fiasco De L'Économie Néo-Libérale, Un Système En Faillite.

Introduction : 
Avant d'élaborer sur le sujet annoncé en entête de cet article, je souhaiterais conseiller au visiteur occasionnel de la nécessité de se munir d'une jauge adéquate pour mesurer la véracité des concepts et arguments qui lui sont présentés ici, ou qu'il a eu l'occasion de rencontrer ailleurs durant ses recherches ou ses randonnées littéraires.
La jauge consiste en la capacité de s'armer de la conviction que le monde dépeint par la littérature courante, traitant de différent domaines de l'activité humaine (économie, politique, science, culture), n'est pas conforme à celui existant, réel. 
Cette outil de mesure peut être plus clairement défini comme une forme de discernement entre le calque virtuel, projeté par les média et l'édition, et le monde réel dissimulé par la confusion de l'intox orchestrée par les "contrôleurs de l'information". Pour ceux non accoutumés à l'origine de cette clique de personnages obscures, menés par les banquiers shylock juifs, je recommande une initiation rapide grâce à la lecture de quelques articles de ce blog ou la consultation d'autorités militantes plus connues, voir H. Makow, ou H.Ryssen, ou le syti.net, ou encore intérêt-général.info, etc...La liste n'étant pas exhaustive, trop longue pour s’insérer dans cet espace limité, mais les liens disponibles sur H.Ryssen par exemple, suffiraient à satisfaire les plus curieux.
Pour appuyer cette proposition, concernant la dualité réelle/virtuelle du monde, la citation d'un extrait traduit, de la lettre de H.Makow au Lien
«La société moderne est basée sur un solipsisme créé par les Illuminati (cabalistes), banquiers juifs et leurs sbires maçonniques. Le mot "solipsisme" signifie une réalité auto-créé qui a peu ou pas de lien avec la vérité. Le mot a été inventé en 1874 du latin solus "seul", et ipse «soi». Il résume le point de vue que le "moi" (l'individu) est le seul objet de la connaissance réelle ou la seule chose qui est réelle.
Le Nouvel Ordre Mondial est dédié à remplacer la Vérité avec un solipsisme créé par les mêmes personnes qui créent de l'argent à partir de rien (compte bancaire) et y chargent un intérêt.
Qu'est-ce que la "vérité" ? Sur le plan matériel, c'est le dessein naturel, le fonctionnement le plus efficace de la sphère naturelle. Sur le plan spirituel, c'est Dieu, qui est la réalité ultime, un autre nom de la vérité absolue, la beauté, l'amour, l'harmonie et la justice, ce que tous les êtres humains désirent naturellement. Notre mission est d'incarner ces idéaux.

À l'opposé de ça, les Illuminati prétendent que l'homme est déjà Dieu. L'homme se distinguant en manifestant ses pires défauts, les satanistes disent que ceux sont ses meilleures qualités
«Nous sommes noyés dans un solipsisme qui inverse le bien et le mal, la vérité et le mensonge. Nous sommes initiés à un culte satanique
 Avec cette aperçu du solipsisme, fondé principalement par la propagation du mensonge et son vecteur l'oxymore, il nous faut demeurer vigilants lors de la consultation de l'information quelque soit le sujet abordé. 
L'analyse économique, les sciences et leur domaine d'application (tel la santé !), l'histoire officielle, l'évènement politique, etc..., traitant du monde réel sont l'objet de manipulations ininterrompues répercutées par divers agents, parmi lesquels ceux endoctrinés lors de leur passage dans les centres de "formation" couronnés par des prétentieux doctorats et PhD hélas inopérants car gonflées d'idées préconçues vaines et de concepts fallacieux, tous distillés par les maitres du mensonge. 
Ce constat est particulièrement manifeste lorsqu'on aborde les théories économiques et les analyses du monde réel qui s'y référent.
La théorie économique et ses revers:
Démolie par la crise persistante subjuguant l'économie et la finance internationales, la théorie économique est fustigée de toutes parts. Les experts et les analystes sont unanimes pour contester la fiabilité des idées dominantes sacralisées par des prix nobel et des chaires de professorat dans les prestigieuses universités. 
Après la faillite de l'éducation brièvement survolée dans l'article précédent, la faillite des théories économiques classiques est d'actualité et les débats font rages sur la capacité des théories économiques à expliquer, gérer et prévoir les mutations opérées et les changements enregistrés dans ce domaine de l'activité humaine.
Brièvement et sans trop élaboré sur le sujet il suffit de consulter quelques références disponibles sur le web pour attester de différentes lacunes de la théorie économique, de son égarement, de son inexactitude, de ses contre sens, de son extravagance, de ses contradictions, et souvent de ses paradoxes. Débutant par l'inconsistance de la définition de son vocabulaire, la non uniformité de la significations des termes utilisés sur le plan linguistique et quantitatif. Le sens de "progrès", de "croissance économique", de "PIB", des "indicateurs économiques et de leur évaluation", font l'objet de controverses et de polémiques résolues que par la publication de décrets de loi, tout en différant d'un pays à un autre !
L'étymologie, les lexiques, les glossaires et définitions différent d'une région à l'autre, d'une école à l'autre, d'un économiste à son proche collaborateur.

Exemple de "la croissance économique", l'article sur Wikipédia nous donne un avant goût des intriquacités de ce monde académique confus. Dans un exposé détaillé difficilement assimilable et dont le défilement de verbiage savant est exténuant sinon traumatisant, car jonché de conditionnels, enchevêtré dans la succession de définitions vagues, de concepts abstraits adjacents, de "selon x" et "selon y". 
Dont extraits :
«..Selon la définition de François Perroux»,
-«La définition de Simon Kuznets va au-delà et affirme..»,
-«À court terme, les économistes utilisent plutôt le terme d'expansion... »,
-«Au sens strict, la croissance décrit un processus d'accroissement de la seule production économique.»,
-Ces transformations au sens large sont, conventionnellement, désignées par le terme de développement économique.»
Note : "développement économique", une autre monstruosité dont la poursuite du sens épuiserait même Hercules à la recherche de la Toison d'Or.

Le terme de « croissance » s'applique alors plus particulièrement aux économies déjà développés.»
Note : Cette dernière remarque risque de frustrer nos apprentis aventuriers économistes qui savourent dans leurs discours le terme "croissance". N'est-ce pas Messieurs Benbitour, Mebtoul, Hafsi, Chitour, Othmani, Rebbrab, et compagnie ?
Plus loin toujours dans Wikipédia :
-«La Commission du développement durable du gouvernement britannique souligne qu'il est important de distinguer trois notions qui  «ne sont absolument pas les mêmes choses» :

1/la croissance des flux biophysiques (énergie et matériaux) ;
2/la croissance de la valeur monétaire de la production (PIB) ;
3/la croissance du bien-être économique  de la population.» Note :  une autre entourloupe ou autre monstre sorti du musée des horreurs : "bien-être économique"
Et cerise sur le gâteau :
«Le croissantisme économique est considéré comme étant l'idéologie de la croissance par opposition à la philosophie décroissantiste.»
Idéologie ? Philosophie ? Et pourquoi pas religion ou culte ?
Mais comme promis, je ne m'étendrais pas sur le thème de l'absurdité de ce "monde économique" que certains qualifient d'académique, mais dont l'égarement n'a d'égal que les ambiguïtés de son jargon. La pensée économique n'est qu'une machine à fantasmes dont le seul mérité est sa capacité à imaginer et spéculer.
La grande révélation :
Les crises ont achevé les derniers espoirs des théoriciens dans leur tentative de comprendre, d'expliquer, de prévoir les changements nocifs affectant les besoins matériels des habitants de la planète. Amplement documentée, la faillite de la scientologie économique est d'actualité et tout curieux a la possibilité de constater la panique qui règne dans le panier à crabes de cette science sociale qui peut s’enorgueillir de posséder les caractéristiques combinés de culte, religion, idéologie, philosophie et dogme.
La triste déconvenue pour nos économistes :
Les maitres, professeurs, docteurs, et experts de part le monde qui enseignent "l'économie" s'avouant vaincus devant l'énormité de la faillite de leur savoir. Que deviennent leurs élèves qui ont eu la malencontreuse aventure de solliciter un apprentissage sous leur autorité ?
Si les maitres n'ont pas de solutions aux problèmes et ne peuvent répondre au défi de la crise mondiale, leurs élèves n'ont certainement aucun espoir de conseiller, de résoudre, de suggérer, de recommander des voies de sortie aux challenges qu'ils confrontent même dans l'espace réduit de leur pays ou région. Nos Benbitour, Benflis, Mebtoul, Othmani, Rebrab, NABNI, et les montreurs de tort algériens qui ronchonnent sur la rente, l'opulence des hydrocarbures, la prospérité gratuite (d'origine divine), et prêchent les mérites du dur labeur ou Stakhanovisme soviétique, n'ont qu'à démontrer par l'exemple la valeur de leur sermon et trouver un pays où mettre en pratique leur théories. 
L'énigme de la faillite est résolue et la vérité surgit de l'histoire:
L'étude de l'histoire des grandes fraudes et des complots majeurs ayant modelé le cours des transformations planétaires nous mène à la machination la plus célèbre codifiée dans les "Protocoles des démons de Sion", le livre «le plus lu dans le monde» selon Makow
Quelques perles extraites des Protocoles, le manuel talmude de la mère des conspirations :

Concernant les sciences sociales :
-«Chap1
/05- De nos jours la puissance de l'or – c'est-à-dire la nôtre – a remplacé le pouvoir des gouvernements libéraux.»
-«Chap1/20- Dès l'époque de l'épanouissement de la Grèce antique, nous avons été les premiers à crier le mot : « Liberté ! » si souvent répété depuis par des perroquets inconscients, qui, attirés de toutes parts par cet appât, n'en ont usé que pour détruire la prospérité du monde et la véritable liberté individuelle, autrefois si bien garantie contre la contrainte de la foule. Des hommes qui se croyaient intelligents n'ont pas su distinguer le sens caché des mots qu'ils employaient ; ils n'ont pas remarqué qu'il n'existe pas d'égalité dans la nature, qu'il ne peut y avoir de liberté, que la nature elle-même a établi l'inégalité des esprits, des caractères et des intelligences, en soumettant tout à ses lois ; ils ne se sont pas aperçus que notre politique les a lancés hors de leur vie coutumière, dans la voie qui aboutit à notre gouvernement. Pourvu qu'il soit initié à la politique, même un imbécile peut gouverner, tandis qu'un non initié, fût-il un génie, se perdra dans les voies que nous indiquons.»
-«Chap1/22- Notre appel : « Liberté, Égalité, Fraternité » amena dans nos rangs, des quatre coins du monde, grâce à nos agents aveugles, des légions entières qui portèrent nos bannières avec enthousiasme. Cependant ces mots étaient des vers qui rongeaient la prospérité des goyim, en détruisant partout la paix, la tranquillité, la solidarité de par l’obéissance aux lois, qui sape tous les fondements de leurs États. Vous verrez plus tard que c'est précisément cela qui contribua au triomphe de notre système de conquête pacifique du monde. Nous pûmes alors obtenir l’abolition des privilèges, essence même de l'aristocratie des goyim, aristocratie qui était le rempart naturel des peuples et des patries contre notre action.»
-«Chap1/
/24- Notre triomphe nous fut facilité par le fait que dans nos rapports avec les hommes dont nous avions besoin, nous sûmes toujours toucher les cordes sensibles de la nature humaine : le calcul, l'avidité, l'insatiabilité des besoins matériels. Chacune de ces faiblesses humaines, prise à part, est capable de détruire toute initiative personnelle, en mettant les hommes à la disposition de celui qui achète leur activité.»
-«Chap 3/
/06 -Nous avons parmi nos agents – conscients et inconscients – des hommes de toutes les opinions : restaurateurs de monarchies, démagogues, socialistes, anarchistes, communistes, et toutes sortes d'utopistes. Nous les avons tous attelés à la besogne : chacun sape de son côté et s'efforce de renverser tout ce qui tient encore debout. Tous les États sont excédés par ces manoeuvres ; ils cherchent le pain et sont prêts à tous les sacrifices pour l'obtenir. Mais nous ne leur accorderons ni paix ni trêve tant qu'ils n'auront pas reconnu notre Super gouvernement international ostensiblement et ne lui auront pas fait acte de soumission. Les peuples crient qu'il est nécessaire de résoudre la question sociale au moyen de l’internationalisme. Les divisions des partis nous les ont tous livrés, parce que pour mener une lutte de partis, il faut de l'argent et c'est nous qui avons l'argent.»
-Chap2/
/09- Pour ne pas détruire prématurément les institutions des goyim, nous y avons touché d'une main prudente, expérimentée et maîtresse des principaux ressorts de leurs mécanisme. Ces ressorts fonctionnaient autrefois dans un ordre sévère mais rigoureux, auquel' nous avons substitué un désordre libéral, stupide et arbitraire ; nous avons ainsi influencé la juridiction, les lois électorales, la presse, la liberté individuelle et, ce qui est plus important, l'instruction et l’éducation, ces pierres angulaires de la vie sociale.»
-«Chap5/
/04 -Pour avoir plus de prise sur les institutions, nous avons promis à bon nombre d'administrateurs le droit de gouverner le pays ensemble, sans aucun contrôle, à condition qu'ils nous aident activement à créer des prétextes de mécontentement au sujet des constitutions mêmes, préparant ainsi l'avènement de la République dans leur pays. Les Républiques nous donneront le trône du monde. Pour l'instant, nous n'avons fait que remplacer l'influence des gouvernements libéraux par notre pouvoir celui de l'or.»
-«Chap6/
/03- Afin que les goyim n'aient pas le temps de réfléchir et d'observer, il faut les orienter vers l'avidité du gain, au moyen de l'industrie et du commerce. Les individus et les nations chercheront ainsi leurs propres avantages et, engagés dans cette lutte, ils n'apercevront pas leur ennemi commun : notre intérêts. Et pour que la liberté puisse désagréger et ruiner la société des goyim, il faut faire de la spéculation la base de l'industrie ; il en résultera que les richesses produites par l'industrie passeront à la spéculation, c'est-à-dire qu'elles serviront à remplir nos coffres-forts, puisque tous les fils de la spéculation seront entre nos mains.»
-«Chap9/
/01-.... Les lois qui émanent des théories scientifiques ont, pour eux, une importance considérable ; aussi avons-nous engendré la confiance aveugle à l'égard de la science. Leurs intellectuels s'enorgueillissent de leurs connaissances que la logique n'a pas vérifiées, et ils mettent en pratique les notions puisées dans la science livresque, telles qu'elles sont écrites par nos agents, dont le but est de tourner les esprits dans la direction qui nous est nécessaire.»
-«Chap10/
/05- Actuellement, tous les rouages des mécanismes gouvernementaux sont mis en mouvement par un moteur qui est entre nos mains ; ce moteur, c'est l'or. La science et l'économie politique inventée par nos Sages rend depuis longtemps hommage au prestige royal du capital.
/06- Le capital, pour avoir sa liberté d'action, doit créer la liberté d'un monopole industriel dont on se servira pour assujettir le peuple. De nos jours, il importe. plus de désarmer complètement les peuples que de les mener à la guerre, d'utiliser à notre profit les passions qui s'éveillent que de les éteindre, de saisir et d'interpréter les idées des autres dans le sens voulu par nous plutôt que de les supprimer.
/07- Le problème essentiel et secret de notre gouvernement est d'affaiblir l'esprit public par la critique, de lui faire perdre l'habitude de la réflexion qui détermine une opposition à surmonter, d'orienter ses forces vers la vaine éloquence.»

-«Chap11/
/03- Quand nous eûmes contaminé l'organisme gouvernemental par le libéralisme, ce poison mortel, tout l'ensemble de la vie politique des États fut modifié ; tous furent atteints d'une maladie mortelle : la décomposition du sang. II ne reste plus qu'à attendre la fin de leur agonie.»
-/04- Le libéralisme engendra des gouvernements constitutionnels qui remplacèrent les autocraties. Une constitution n'est guère autre chose qu'une école de discordes, de querelles, de mésintelligence, de dissentiments, d'agitations stériles, de tendances de partis, de tout ce qui sert à affaiblir l'activité des États.»
-«Chap13/
/06- Il existe déjà de nos jours dans le journalisme une solidarité maçonnique qui a son mot d'ordre. Tous les organes de presse sont liés entre eux par le secret professionnel, et, semblables aux anciens augures, aucun membre de cette corporation ne dévoilera le secret de ce qu'il sait s'il n'est décidé par nous de le rendre public. C'est pourquoi aucun journaliste ne peut être du nombre des célébrités littéraires si son passé ne garantit pas sa soumission à nos directives et à notre mot d'ordre. La misère, la vanité, l'orgueil et autres défauts sont lés gages de l'obéissance d'un journaliste qui court après le succès et la cause de sa soumission à cette solidarité maçonnique en question. Ce sont là les clés qui ouvrent l'entrée du domaine littéraire ; ce domaine est resté fermé à un certain nombre de grands esprits, qui, insoumis à nos ordres, ne purent y pénétrer.»
-«Chap14/
/03-.....Nous entourerons notre gouvernement de tout un monde d'économistes (les sciences économiques étant l'un des principaux sujets enseignés aux nôtres), de banquiers, d'industriels, de capitalistes, d'entrepreneurs et surtout de millionnaires, parce qu'en résumé la question des chiffres décidera de tout.»
-«Chap15/
/07 Les goyim vont dans les loges par curiosité ou dans l'espoir d'avoir leur part de l'assiette au beurre ; il en est qui n'y entrent rien que pour avoir la possibilité d'exposer en public leurs utopies, ne fut- que devant un auditoire restreint. Ils ne cherchent que des applaudissements et nous ne les leur ménageons point, parce qu'il nous est utile de les habituer aux émotions du succès.
Qu'il est facile de décourager les naïfs vaniteux par le moindre échec, ou simplement en les privant d'applaudissements, de succès faciles, tout en diminuant leur autorité ! C'est alors qu'il est aisé de les asservir, de les réduire à l’obéissance presque volontaire, rien que par la perspective de nouveaux succès. Autant les nôtres méprisent le succès pourvu qu'ils puissent réaliser leurs plans, autant les goyim sont prêts à sacrifier tous les leurs pour un succès personnel. Ceci nous facilite beaucoup notre tâche qui consiste à les diriger. Ces tigres en apparence ont, en réalité, des âmes de moutons et dans leurs têtes un courant d'air. Nous leur avons fait enfourcher un dada, le rêve de substituer à l'individualité humaine l'unité symbolique du collectivisme.»

-«Chap19/
/07- Nous avons commencé à asservir définitivement la pensée par la méthode de l'enseignement visuel qui rendra les goyim incapables de réfléchir et en fera des animaux obéissants ; ils attendront la démonstration d'une idée avant de chercher à la saisir. Un de nos meilleurs agents en France, Bourgeois, a déjà annoncé un nouveau système d'éducation intuitive. A présent que nous sommes en force, nous n'avons pas besoin de goyim penseurs, mais il nous faut des travailleurs, ces matérialistes de tous temps, consommateurs avides de tous les biens terrestres.»
Concernant les questions financières/économiques
-«Chap24/
/05- Il nous a suffi de retirer l'argent de la circulation pour provoquer des crises- économiques chez les goyim. D'énormes capitaux ont été accumulés grâce au procédé qui consiste à les soustraire aux États, qui ont dû alors contracter des emprunts chez nous. Le paiement des intérêts de ces emprunts a obéré les finances publiques, et les États ont été réduits en esclavage par nos capitaux. La concentration de l'industrie dans les mains des capitalistes, qui ont tué la petite industrie, a sucé toutes les forces du peuple d'abord, puis celles des États.»
-«/10- Tout emprunt prouve bien la faiblesse du gouvernement et l'incapacité des souverains de comprendre leurs droits. Ils ne savent répondre aux besoins financiers qu'en tendant la main, pour demander l'aumône à nos banquiers. Les emprunts étrangers sont des sangsues qui ne se détacheront de l'organisme de l'État que lorsque l'État lui-même s'en débarrassera. Cependant les États ne les secouent pas, au contraire, il les attirent toujours en augmentant la contribution payée à nos banquiers ; c'est pour' cela qu'ils périront immanquablement de la saignée qui s'impose.
Examinons donc ce que c'est qu'un emprunt, et particulièrement, un emprunt étranger. C'est une émission de lettres de change du gouvernement, l'obligation de payer des intérêts déterminés pour le capital qui lui est confié. Si l'emprunt est à 5 %, au bout de vingt ans, l'État aura déboursé en pure perte des intérêts égaux à l'emprunt lui-même ; en quarante ans, la somme déboursée sera double ; au bout de soixante ans, elle sera triple, la dette restant ce qu'elle était au début. D'après ce calcul, il est évident qu'avec le système de l'impôt universel, le gouvernement soutire aux malheureux contribuables jusqu'à leurs derniers sous pour payer des intérêts aux capitalistes étrangers, auxquels il a emprunté de l'argent, au lieu de prélever dans le pays ces sommes dont il avait besoin, sans payer des intérêts qui sont comme un tribut à perpétuité.
Tant que les emprunts étaient nationaux, les goyim ne faisaient que déplacer l'argent de la poche de leurs sujets pauvres dans celle des riches. Mais à- partir du moment où nous eûmes acheté les hommes nécessaires pour qu'on ait recours aux emprunts étrangers, toutes les richesses des États affluèrent dans nos caisses, et tous les goyim nous payèrent un tribut sans s'en douter.
II est vrai que la légèreté des souverains goyim en ce qui concerne les affaires d'État, la vénalité de leurs ministres ou leur ignorance des questions financières nous ont asservi les peuples en leur faisant contracter envers nous des dettes dont ils ne pourront jamais s'acquitter, ce qui a placé toutes les questions financières sous notre direction censée scientifique, mais il faut savoir combien d'efforts, de temps et d'argent cela nous a coûté !
/11- Lorsque notre heure sera venue, nous ne tolérerons pas d'entrave à la circulation monétaire ; il n'y aura par conséquent pas d'obligations d'État à intérêts dont le paiement absorbe toutes les ressources de l'État au profit des sangsues parasites. Seules les sociétés industrielles pouvant payer des intérêts sur leurs bénéfices auront le droit d'émettre des obligations, tandis que l'État qui n'emprunte de l'argent que pour ses dépenses et non pour faire des opérations, ne saurait toucher le moindre bénéfice.
/12- Les valeurs industrielles seront achetées par notre gouvernement qui, de débiteur, deviendra créancier et recevra des intérêts pour son argent au lieu d'en payer. Cette mesure empêchera tout arrêt de la circulation monétaire et supprimera l'indolence et la paresse, qui nous étaient utiles sous le régime des goyim, mais qui ne doivent plus exister sous notre gouvernement.
/13- Avec quelle évidence ressortent la vénalité, la bassesse et la stupidité du cerveau purement bestial des goyim quand on songe qu'ils n'ont même pas pensé que le monde les condamnera un jour d'avoir contracté chez nous des emprunts avec la charge de payer les intérêts et les courtages, sans paraître se douter que c'est pour nous rembourser cet argent avec les intérêts en plus, il faudra bien qu'ils le tirent de leur poche. N'eût-il pas été plus simple de prélever cet argent sur leurs contribuables, au lieu de devenir nos tributaires pour des sommes qui s'augmentent chaque année du montant des intérêts à payer. Cependant nous avons su leur présenter la question des emprunts sous un tel jour qu'ils les ont crus tout à leur avantage ; voilà bien ce qui prouve une fois de plus la supériorité géniale de notre esprit.
Nos méthodes financières, présentées au moment opportun sous le grand jour des expériences séculaires dont les États goyim nous ont fourni la matière, se distingueront par leur netteté et leur précision et démontreront les avantages de notre nouveau système.»

-«Chap25/
/01- Pour compléter mon exposé de la séance précédente, j'ajouterai encore quelques explications concernant les emprunts nationaux. Je ne dirai plus rien des emprunts extérieurs, parce qu'il n'y en aura pas dans notre État. Le temps ne sera plus où les emprunts faits par les gouvernements des goyim alimentaient nos caisses avec leur argent national.
Nous avons profité de l'indolence des souverains et de la corruption des administrateurs pour encaisser des sommes doubles, triples (et plus considérables encore) de celles que nous avions avancées aux goyim et dont, en réalité, ils n'avaient même pas besoin. Qui donc en pourrait faire autant avec nous ?
Je vais exposer en détails la question des emprunts intérieurs. En annonçant l'émission d'un emprunt, le gouvernement ouvre une souscription pour l'achat de titres à intérêts qui ne sont pas autre chose que ses lettres de change. Pour les rendre accessibles à tous on leur fixe un prix allant de cent à mille. De plus, les premiers souscripteurs bénéficient d'une remise sur le prix de souscription. Dès le lendemain, on augmente artificiellement le prix des valeurs émises, sous prétexte que tout le monde se les arrache. Encore quelques jours, et l'on annonce que les caisses du Trésor débordent et que l'on ne sait que faire de l'excédent des souscriptions. (Pourquoi en a-t-on tant accepté ?) Donc, le montant des souscriptions dépasse de beaucoup celui de l'emprunt. L'effet recherché est atteint par là même; c'est comme si l'on disait : « Voyez de quelle confiance jouissent les lettres de change du gouvernement
/02- Mais quand le tour est joué, on reste en présence d'un lourd passif.
Pour en payer les intérêts, on est obligé de recourir à de nouveaux emprunts qui augmentent la dette initiale au lieu de l'amortir. Quand le crédit est épuisé, on se trouve dans la nécessité de prélever de nouveaux impôts, non pas
pour liquider l'emprunt, mais pour en payer les intérêts. Ces impôts ne sont donc qu'un passif qui couvre un autre passif...
/03- Arrive ensuite le moment ! Les conversions : elles ne font que diminuer le taux d'intérêt sans supprimer les dettes. De plus, les conversions ne peuvent se faire sans le consentement des prêteurs ; en les annonçant, on offre de restituer leurs fonds à ceux d'entre eux qui n'accepteraient pas la conversion proposée. S'ils exigeaient tous le remboursement, le gouvernement se trouverait pris dans son propre piège, piège qu'il avait tendu pour attraper les autres, et il se trouverait dans la situation d'un débiteur insolvable. Heureusement, les goyim, ignorants en matière de finances, ont toujours préféré les pertes au change et la baisse du taux à l'ennui de se mettre à la recherche de nouveaux placements ; ils ont ainsi fourni à leurs gouvernements la possibilité de combler maintes fois des déficits s'élevant à plusieurs millions. Mais aujourd'hui, avec les emprunts étrangers, on ne peut jouer de semblables tours, car les goyim savent que s'ils annonçaient une conversion, nous exigerions le remboursement intégral des capitaux.
/04- La banqueroute qui s'ensuivrait serait la meilleure preuve démontrant aux peuples qu'il n'existe aucun lien d'intérêts communs entre eux et leurs souverains.»

«J'attire tout particulièrement votre attention sur ce qui suit :
«/05- A l'heure actuelle, tous les emprunts nationaux sont consolidés par ce qu'on appelle la dette flottante, c'est-à-dire une dette dont le remboursement est à plus ou moins brève échéance. Cette dette se compose des sommes versées à la Caisse d'épargne ou à d'autres Caisses. Comme les fonds restent longtemps à la disposition du gouvernement, ils s'évaporent en paiements d'intérêts des emprunts étrangers et sont remplacés par une somme équivalente en titre de rente sur l'État. C'est cette rente qui comble tous les déficits dans les caisses publiques des goyim
/06- Après notre avènement sur le trône de l'univers, tous ces expédients financiers disparaitront totalement, parce qu'ils seront contraires à nos intérêts. Nous supprimerons également les bourses de valeurs, car nous n'admettrons pas qu'on puisse ébranler le prestige de notre pouvoir par la variation des prix de nos valeurs; ils seront fixés par nos lois, sans fluctuation possible. La hausse entraîne la baisse : nous avons commencé par faire la hausse pour les valeurs des goyim et nous n'avons pas tardé à passer à la baisse.
/07- Nous remplacerons les Bourses par d'immenses institutions de crédit officiel, dont le rôle sera de taxer les valeurs industrielles, conformément aux indications gouvernementales. Ces institutions seront à même de lancer en une seule journée pour 500 millions de valeurs industrielles sur le marché ou d'en acheter autant. Ainsi, toutes les entreprises industrielles dépendront de notre gouvernement. Vous pouvez imaginer quelle puissance nous acquerrons par ce moyen.»

-«Chap26/
/01 Nous créerons bientôt d'importants monopoles, réservoirs d'immenses richesses, dont dépendront à ce point les plus grosses fortunes des goyim qu'elles sombreront en même temps que le crédit de l'État, au lendemain du cataclysme politique. Vous tous, messieurs, ici présents, qui êtes économistes, veuillez peser toute la portée d'une pareille combinaison.
La suprématie de notre Super gouvernement ira grandissant; on le considérera comme le protecteur, l'introducteur et le rémunérateur du libéralisme. 

/03- II faut qu'en même temps nous protégions activement le commerce et l'industrie; surtout la spéculation dont le rôle est de servir de contrepoids à l'industrie. Sans la spéculation, l'industrie accroîtrait les capitaux privés, ce qui pourrait avoir comme effet d'améliorer le sort des agriculteurs en affranchissant les terres hypothéquées de leurs dettes envers les établissements de crédit foncier. Il nous faut, au contraire, que l'industrie arrive à drainer toutes les richesses agricoles et fasse passer en nos mains, par la spéculation, toute la fortune mondiale, en rejetant tous les goyim dans les rangs des prolétaires. C'est alors qu'ils s'inclineront devant nous, rien que pour obtenir le droit d'exister.
/04- Afin de ruiner l'industrie des goyim, aidant en cela l’oeuvre de la spéculation, nous introduirons dans les usages des goûts de luxe effrénés, d'un luxe absorbant tout.
/05- Nous élèverons les salaires, ce qui cependant ne laissera aucun profit aux ouvriers, parce que nous élèverons simultanément le prix des objets de première nécessité, en prétextant la décadence de l'agriculture et de l'élevage.
/07- Afin que les goyim ne voient pas le dessous des choses avant le moment voulu, nous le dissimulerons sous notre prétendu désir de servir les classes laborieuses – et les grands principes économiques proclamés par les théories économiques.

-«/09- Tandis que, au contraire, nous avons tout intérêt à voir notre ouvrier affamé et débile, parce que les privations l'asservissent à notre volonté et que, dans sa faiblesse, il ne trouvera ni vigueur ni énergie pour nous résister.
/10- La famine confère au capital des droits plus puissants que n'en a jamais conféré à l'aristocratie le pouvoir du souverain. Par la misère et par les haines envieuses qu'elle suscite, nous manoeuvrons les masses et nous nous servons de leurs mains pour écraser ceux qui nous gênent.

/16- Nous avons convaincu les goyim que le progrès les conduirait au règne de la Raison. Notre despotisme sera de nature à pouvoir pacifier par de sages rigueurs toutes les révoltes ; il éliminera le libéralisme de toutes nos institutions.
/17- A mesure que nous inculquions aux goyim des idées de libéralisme, les peuples s'aperçurent qu'au nom de la Liberté le pouvoir faisait des concessions et accordait des arrangements. Ils en conclurent qu'ils constituaient une force avec laquelle on comptait; et, croyant leurs droits égaux aux siens, ils se ruèrent contre le pouvoir ; mais, semblables à tous les aveugles, ils se heurtèrent alors à d'innombrables obstacles et se précipitèrent à la recherche d'un guide : tombant entre nos mains, ils déposèrent leur mandat aux pieds de nos agents.

/21- Le mot « Liberté » met en conflit l'humanité avec toutes les puissances, même avec celles de Dieu et de la nature. C'est pourquoi, à notre avènement au pouvoir, nous devrons effacer le mot même de « Liberté » du vocabulaire humain, comme étant le symbole de la force bestiale qui transforme les foules en fauves altérés de sang. II est vrai, cependant, qu'une fois rassasiés de sang les fauves s'endorment et qu'il est facile alors de les enchaîner, tandis que si on ne leur donne pas de sang ils ne dorment pas et se débattent.»


Bonne longue lecture, en attendant la suite prochainement qui consistera à jeter un regard sur certains personnages du monde économique algérien dopés par la culture talmude qu'ils ont ingurgitée, et dont ils tentent de nous en intoxiquer.

25 nov. 2013

Algérie. Des Intellectuels De La Subversion Souhaitent Un Changement Politique Même Au Prix D'Une Faillite Générale ( Ordo Ab Chaos).

Rappel : La nébuleuse de la subversion.
Réalité élucidée maintes fois à travers les articles de ce blog, les forces de la subversion existent et ne montrent aucun répit dans leur quête de contrôle du pouvoir.
Média, politiciens, la fraternité maçonnique (criarde sous la bannière du Rotary, et sourde sous celle des Loges), les tenants de la laïcité satanique, les régionalistes sectaires, les agents des services étrangers, et les intellectuels-charlatans.  Ils constituent de manière non exhaustive le clan des prédateurs qui s'activent ouvertement  dans la société et intensivement dans l'ombre à la poursuite de l'agenda dressé par le pouvoir suprême du Nouvel Ordre Mondial Juif. Cette nébuleuse est bien présente dans l'ensemble des secteurs d'activité du pays et oeuvre sous différent prétexte à assoir l'autorité des Illuminati, disciples de Satan et précurseurs du Dejjal. Leurs méfaits sont multiples mais leur présence est dissimulée.
Théorie Conspirationniste ? Fantasme ? 
Les algériens curieux qui explorent ce sujet, les "Illuminati", tournent le regard vers l'Occident pour y discerner l'influence de la société secrète à travers les innombrables écrits disponibles sur le Web, et tentent d'appréhender l'importance de cette organisation, source de tous les désagréments endurés par l'humanité. "Ce qui arrive aux autres" n'est alors qu'un exercice cérébrale. Beaucoup découvrent que tous les maux qui tourmentent les habitants de la planète ont pour origine les décisions de responsables siégeant à la tête de gouvernements ou d'organisations influentes. Les dis-fonctionnements majeurs qui affectent la planète sont intentionnellement provoqués dans le but de préparer la dictature des Illuminati. Pouvoir qui résultera d'un "Ordo abe chaos", étape ultime à franchir au préalable par la machination orchestrée depuis des siècles par les prédateurs de l'humanité. L'oligarchie mondialiste, tenants du suprématisme de classe se destine à gouverner le reste de l'humanité, entendre les êtres des castes inférieures de ceux auxquels Kissinger refère avec mépris aux "Tubes digestifs".
Le dogme "religieux" de cette secte prêche la supériorité raciale et intellectuelle de ses membres prédestinés à gouverner le Monde sans partage et à s'accaparer les richesses de la planète. Calqueé et transposée de la légende talmude du "peuple élu", la conviction constitutive de cette auto proclamée élite pivote autour de la croyance en une divinité baptisée "grand architecte", image de la déité juive "Yawheh". Les "chers frères" sont choisis et recrutés parmi les membres de la multitude d'organisations (à façade public innocente) se réclamant de toutes les crédos : politiques, apolitiques, sociales, humanitaires, et autres fraternités professionnelles mises en place depuis des siècles ou celles plus récentes, depuis des décennies, telles les Rotary/Lyons Clubs.
La foi en un suprématisme racial, social, ou intellectuel est le crédo des Illuminati qui l'utilisent également comme argument et appât pour le recrutement de nouveaux candidats. L'élitisme étant le dogme satanique par excellence traduisant la rébellion de Satan résumée dans l'arrogante «Ana Kheiroun minhou» (Je suis supérieur à lui, Adam). Cet appât-subterfuge est largement utilisé pour attirer les naïfs écervelés qui sont jugés utilisables par la cause et donc séduits par la doctrine et les "raisons sociales" de ces organisations dont l'activité officielle est souvent faussement dédiée à la charité et aux bonnes œuvres. La chimère de" l'élitisme" n'est pas présent dans le discours public et n'est divulgué qu'aux initiés. La part visible du crédo de ce mandarinat est identifiable dans :
- "l'excellence" dispensée par certains établissements universitaires (marketing, grandes écoles) aux étudiants bernés par des conseillers véreux qui les livrent aux centres d'endoctrinement étrangers après le passage à l’émigration,
- l'entre-aide inconditionnée des adhérents des Rotari/Lyons clubs garant de leur réussite sociale et professionnelle,
- les clubs et fédérations des "champions de l'économie et de l'industrie" qui pillent l'économie, ruinent santé publique et environnement, et sont les chevaux de Troie des banksters et shylocks,
- la société civile (organisations humanitaires et groupes laïcs) clamant à haute voix leur rôle d'avocat et de guide de l'humanité en occultant leurs engagements idéologiques et religieux (marxisme, athéisme, laxisme, mondialisme),
- les partis politiques et leaders s'érigeant en représentants du peuple pour se saisir des rennes du pouvoir et assoir les conditions favorables à l'établissement du NOM, tout en détournant le bien publique, ruinant le pays et le soumettant aux ennemis extérieurs (banques, OTAN, puissances occidentales)  
- les intellectuels intoxiqués par la culture et la pensée occidentale judéo-chrétienne, actuellement plus juive que chrétienne, souvent embrigadés dans quelques loges des capitales occidentales et des universités qui les emploient comme courtiers de la propagande juive (Sorbonne, et grandes universités)    
- Etc...
La "nébuleuse" en Algérie :
Qu'on s'entende donc sur le principe qui est de ne pas confondre celle-ci avec l'entité mythique que les média de la subversion utilisent comme leurre et camouflage et désignent par l'appellation de "système". Ce dernier ne regroupe que quelques opportunistes politiques ou agents économiques réunis autour d'intérêts communs, ne disposant pas d'une organisation occulte hiérarchisée, et chez lesquels la corruption est le levier de pouvoir et l'outil de pénétration dans les institutions.
Nous sommes essentiellement concernés par l'existence d'une organisation secrète opaque, aux motifs inavoués et aux objectifs dictés par un agenda d'origine étrangère allochtone. Ses membres sont détectables par leur travail de sape, comme l'arbre est reconnaissable par ses fruits. Les carences aux origines obscures et aux causes irrecevables sont l'indice signalant leur présence. Les lois scélérates, les décisions absurdes, la gestion confuse, la corruption, la bureaucratie, le gaspillage, sont les empreintes de leurs délits. L'organisation, la justice, la bonne gouvernance, l'utilisation efficace des ressources, et tous les bienfaits qui profitent à la majorité de la "populace" sont des entraves à leur contrôle de la société. Leur milieu de prédilection est le désordre, l'anarchie, les maux sociaux, les crises sociales, la division sociale, la discordance, les révolutions, et toutes les déficiences qui nécessitent souvent l'instauration d'un régime dictatorial répressif, une tyrannie officielle ou tacite, dans laquelle leur solidarité est l’assise solide et le support d'un contrôle de la majorité.       
Exemple de leurs méfaits et de leur œuvre destructrice : la dépréciation de l'éducation.
L'éducation a été détournée de sa noble mission émancipatrice et de formation multidisciplinaire en celle d'une usine à fabriquer des citoyens robotisés dénués de capacité de réflexion. Les élèves sont victimes de méthodes dites "pédagogiques" qui ont été prouvées basées sur un conditionnement pavlovien et entravant l'inspiration de la réflexion et freinant l'intelligence.

Ce phénomène de dégénérescence de l'éducation est perceptible localement et à l'échelle planétaire, en ligne avec le plan mondialiste satanique de la secte de la franc-maçonnerie/juiverie. 
Aux USA (Lien, Lien ), l'état de l'enseignement est désastreux et les voix fusent de partout pour dénoncer le "dumping of education". La faillite de l'éducation provient de son avilissement programmé et institutionnalisé. Signalé également en France ( Lien, Lien ). Il n'y a pas de pays, sauf ceux de Scandinavie, où ce syndrome scolaire n'est pas pointé du doigt. L'Algérie est positionnée dans ce camp de la faillite, et les personnalités publiques qui se plaignent inlassablement des carences de l'école connaissent pertinemment les causes de cette déchéance,qui est le résultat de l'exécution des directives de la hiérarchie maçonnique-juive qui œuvre à l'établissement du NOM ! 
Une partie du corps enseignant est également impliquée dans la kabale maçonnique.  L'université est gangrénée par le favoritisme de "l'ordre", le règne du copinage au profit du compagnonnage, la complaisance de l'attribution des droits et privilèges (voir article antérieur), et même du passage aux examens discriminatoire.
Occultées par l'action perverse des média qui véhiculent une culture de la décadence et de l'aliénation, les directives (révélées noir sur blanc dans les "Protocoles" et dénoncées depuis un siècle) ont achevé leurs desseins. Ici, en Algérie, les exécutants de l'agenda juif ont commencé à être recrutés depuis longtemps, plus précisément depuis 1830. Ils sont parmi nous, membres des loges et des clubs élitistes. Leurs "réformes" successives ont atteints l'objectif principal visé : la dévaluation et la dépréciation de l'outil de promotion de l'homme. Les jeunes, particulièrement les garçons qui sont victimes d'une discrimination subtile au profit des filles sous le label de la promotion du féminisme  (voir Makow), boycottent pratiquement l'école qu'il abhorrent et répugnent. Évidence de ce travail démoniaque : 72 % des lauréats du bac sont des filles !
- Autre insanité du système : la mixité. Elle a été introduite et imposée sans débat, ni consultation des parties concernées (parents, enseignants, pédagogues), par les communistes et laïcs-laxistes mal inspirés de théorie prêchant "l'ouverture de l'esprit" (sic). Sans évidence scientifique ni données empiriques les appuyant, sans qu'aucune étude appropriée n'ait été menée, ces orientations et choix éducationnels stratégiques ont été imposées politiquement au temps du Grand Maitre Boukharouba.
Preuve de l'inconsistance de cette mesure, il existe de nombreux cas d'organisations parentales américaines qui ont poursuivi en justice leurs autorités locales de l'éducation, exigeant des tribunaux l'autorisation de la réintroduction de la séparation des genres à l'école. Les défendeurs des "same-sex schools " ont eu gain de cause ! Ainsi, des écoles et des collèges dispensent des cours dans des classes où filles et garçons sont séparés et où les sondages démontrent que tous les intéressés avouent préférer ce système scolaire (ancien retrouvé). Plus important et persuasif est le résultat des relevés statistiques  :
Les performances et résultats académiques sont nettement supérieurs à ceux du système de mixité !  En effet des études détaillées appuyées de statistiques démontrent l'avantage des écoles séparant les genres par rapport à celles des "co-éducation", à savoir "mixtes". (voir exemple au Lien).
Ces observations ne doivent pas nous éloigner du sujet traité ici, repérer les responsables de cet avilissement volontaire et planifié du rôle de l'école, regroupant les forces occultes tapies dans l'ombre et infiltrant les rouages de la société et de l'état. Le travail de sape n'est pas uniquement le fruit fortuit de l'incompétence des personnes publiques chargées de la gestion de ce secteur, car le mal occasionné est énorme et persistant et aucune initiative pour tenter d'y remédier n'est entamée. Tout le monde est conscient des lacunes, mais les mesures correctives sont ignorées ou gelées. Par qui ? Par ceux qui se targuent d'envoyer leur enfants à l'étranger encadrés et financés par la "fraternité internationale" aux sein d'institutions dédiées à l'excellence (la devise des élites Illuminati). Leur objectif étant  "d'assurer leur relève" alimentée par leur propre progéniture ou par les recrues du compagnonnage, victimes du prosélytisme maçonnique.
Conclusion :
Le monde est un endroit bien différent de celui que nous présentent les média corrompus complices de cette conspiration. (voir article " Guerre Tranquille Et Armes Silencieuses : Éducation Détournée Et Pillage Organisé").
Il est temps de réviser nos convictions puisées dans la propagande dont nous abreuvent les média, qui détournent notre attention, en dénigrant Bouteflika ou l'évasif "système"qu'ils brandissent comme épouvantail fictif.
L'éducation est la première victime de l'agression dont nous sommes l'objet. Des experts véreux, que les média glorifient, prétendent élucider les causes de la déroute de l'école mais nous dissimulent la réalité car esquivant les causes du mal et l'énoncé de remèdes. Le problème n'est pas d'ordre pédagogique, mais est le résultat d'actions préméditées de sabotage, cyniquement orchestrées par "l'ennemi de l'intérieur".
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Dans l'article qui suit, je tenterais d'aborder le sujet de l'économie et de ses controverses, sujet de débats aliénants qui détournent l'opinion des vrais enjeux et des stratégies appropriées pour assurer un avenir prospère au pays.