Rohingyas: Rachid Nekkaz expulsé de Birmanie (Vidéo)
Une équipe gagnante qui va pulvériser le gouvernement Birman et dans la
foulée écraser la sangsue Aung San Sui Kyi, puis sauver les Rohynghyas. 1- Zorro héro du niqab, et pédale à ses temps libres, 2- Hafizzzzzz bicyclette, une chouette célèbre pour ses "olalalaaaaa, mutée en politicien par l'injection de pétro dollars, 3- le Députain Hassen l'arriviste, du parti DRS /Toufik (Messie pour les intimes), récemment converti au djihad en pantoufles, compagnon de Nekkaz en route pour la Birmanie, un aperçu de son CV d'Islam-mimique : -- https://www.youtube.com/watch?v=tZeTMWM0oXc
Le colonialisme à deux visages. Il est FAUX de limiter la colonisation UNIQUEMENT à son aspect militaire, hégémonique, géographique-physique. Le pouvoir judéo-maçonnique-jésuite (JMJ) est l'instigateur de toutes
les campagnes historiques de colonisation, depuis les découvertes des
Amériques. Il exploitait les souverains, les États (gouvernement,
institutions, armée), comme ..proxies ou suppôts ! La colonisation, une invasion, sous sa forme militaire, a été suivie de l'installation graduelle
d'un pouvoir occulte, parallèle, calqué sur celui de la métropole.
Graduelle, parce que nécessitant une sélection des candidats, ciblée,
stricte, et rigoureuse. En Algérie, ce pouvoir de l'ombre s'est formé autour
des franc-maçons présents dans l'armée et parmi les colons, puis s'est
étendu à l'intelligentzia-militaires-administrateurs-lavigeristes
locaux. La guerre de libération déclenchée, le pouvoir a naturellement infiltré la résistance anti-coloniale, et préparé l'avenir.
En Algérie, le pouvoir occulte s'est formé autour des intellectuels
éduqués dans l'école française, les universités et les institutions,
spécialement ...La Sorbonne ! À l'indépendance nos diplomates, nombre de
politiciens, étaient majoritairement de cette classe de
révolutionnaires en pantoufles. Appuyés par l'armée des frontières et
ses DAF, ils ont formé le noyau du pouvoir occulte, définitivement établi durant le règne du grand
maitre Boukharouba ! L'indépendance et l'intronisation de ce pouvoir
devaient nécessairement s'effectuer qu'après la liquidation de tous les
vrais combattants et résistants glorieux, ceux motivés spirituellement par leur
patriotisme et leurs convictions religieuses traditionnelles (Islam et
djihad). Ce déblayage des vrais adversaires du colonialisme fut accompli
avant et après l'indépendance ! Ceci est connu et documenté.
L'indépendance dans tous les ex-pays colonisés n'a été que partielle,
"officielle", le pouvoir judéo-maçonnique-jésuite y étant toujours
actif, et son allégeance réaffirmée, à l'ex colonisateur source de toutes les
déconvenues, abus, injustice, guerres civiles, faillite économique et
financière ! En Algérie le pouvoir de l'ombre (appuyé sur la SM/
DRS) est, aujourd'hui et depuis 1999, menacé par les mesures authentiquement démocratiques, liberté d'expression, diversification de la presse, partis indépendants .
La liberté dérange le pouvoir de l'ombre, parce que lui s'assoit sur
une dictature subtile non officielle, enrobée de discours démagogiques
trompeurs. Un aperçu de la panique de ce pouvoir est remarquable,
dernièrement, sous couvert de propagande acharnée contre le plan de
financement non-conventionnel, contraire aux intérêts des banksters, une
succursale de la JMJ. Tous ses agents sont mobilisés, media, "experts",
partis politiques, personnages publiques ! "Ceux qui ont peur de l'Histoire étaient du mauvais coté des évènements" ! L'Histoire est un patrimoine, sans lequel bâtir l'avenir est une péripétie incertaine. L'écriture objective de l'Histoire, en rapportant les faits fiables, est
indispensable afin d'espérer atteindre le seuil de la connaissance,
compréhension et appréhension du présent. Pas dans le but de régler des comptes ou
provoquer des polémiques stériles servant à diviser mais pour saisir
les enjeux et les défis présents réels, et non les fausses illusions miroitées par l'intox de
l'ennemi. Prenons en exemple les "ennuis" d'un témoin central du MALG, Abderrahmane Berrouane qui rapporte que l’idée d’écrire sur le MALG remonte
à 1973. La proposition a été faite au colonel Houari Boumediène. «La réponse laconique de Si Boumediène tomba comme un couperet : il est trop tôt pour écrire l’histoire.» Le colonel
Boumediène, arrivé au pouvoir par un coup d’Etat contre Ahmed Ben Bella, a tout fait pour interdire l’écriture de l’histoire du mouvement
national pour des raisons politiques évidentes. Encouragé par son ami
Hadj Belkacem Boudouh, ancien consul d’Algérie en Arabie Saoudite,
Abderrahmane Berrouane a décidé de «passer à l’acte» d’écriture. Note : Le vrai Boukharouba au Caire, une fois recruté par la loge de Misraim, ancien rite Égyptien affilé à la loge du Grand Orient (Paris), plus élégant et mieux fringué qu'un ministre, la fortune lui souriant, sa carrière est alors tracée : la prise de contrôle de l'ALN et le hold up de l'indépendance sous la supervision de la Judéo-maçonnerie-jésuiterie, à laquelle il ouvrira les portes du pays une fois président (photo) !