17 août 2013

Algérie : La Face Cachée Et Occulte De L'Histoire Contemporaine .(4em Partie)

Boukharouba, traître à la nation et éradicateur des moudjahidines et des grandes figures de la révolution, a renié le sermon solennel des martyrs et tous les engagements contenus dans les déclarations du congrès de la Soummam. La décision du "Conseil national de la révolution algérienne"(CNRA) représentant tous les vrais responsables, fut rejetée par Ben Bella parce que qu'elle stipulait la "primauté du politique sur le militaire et celle de l'intérieur sur l'extérieur" :
«La délégation extérieure installée au Caire et dirigée par Ahmed Ben Bella remettra en cause certaines décisions d'ordre politique telles la primauté du politique sur le militaire et celle de l’intérieur sur l’extérieur. La stratégie adoptée par le congrès de la Soummam dans le respect de la déclaration du 1er novembre 1954 s'oppose à toute forme de tutelle extérieure notamment la mainmise du nassérisme sur la révolution algérienne. L'influence égyptienne sur la révolution algérienne sera effective dès le CNRA du Caire d’août 1957 et l'assassinat au Maroc d'Abane Ramdane en décembre de la même année. La direction de la révolution algérienne connaîtra des conflits (entre pro-nassériens et indépendantistes) et des purges (assassinats des colonels Lamouri, Aouachria, Nouaouria... par Boumedienne en novembre 1958)» 
Quelle démonstration de mauvaise foi de la part  de Ben Bella qui remettait en cause le bien fondé de ce choix collectif, qui aurait du lui convenir en tant que politicien, mais la primauté "de l'intérieur sur l'extérieur" rendant à la lutte sur le sol algérien son mérite et son crédit, ne convenait pas aux "frontaliers", un groupe sur lequel planait l'ombre de l'obscure Boukharouba, alias "André" !
Lors de la COMMÉMORATION DU CINQUANTENAIRE DE L’EMG 
dont un résumé est fourni au Lien, on peut lire :
«Cela a été précisément le cas, hier, au forum d’ El Moudjahid qui a abrité une commémoration du cinquantenaire de la création de l’EMG et où le commandant Azzedine a relaté la vérité historique telle que vécue. Non seulement cela mais aussi la vérité historique dans ses prolongements futurs, ses implications post-indépendance. Il en ressort, en définitive, que l’état-major général, dirigé à l’époque par Houari Boumediene, s’est inscrit, dès sa mise sur pied, dans la logique de la prise de pouvoir. Aussi ce dernier s’était-il attelé à gripper la machine du Gouvernement provisoire de la république algérienne (GPRA) et à sectionner les cordons de cohésion du Conseil national de la révolution algérienne (CNRA). En fait, plus prosaïquement, l’état-major général, dès sa création, activait à couper l’herbe sous le pied des structures intérieures de la Révolution, c’est-à-dire les wilayas de l’intérieur, et ce, dans la perspective de mettre main basse sur le pouvoir une fois l’indépendance acquise.» 
Les intrigues sournoises personnelles d'ambitieux acteurs ont miné le mouvement de libération national jusqu'à l'exposer à l'échec. Les manœuvres pour la prise de contrôle de la révolution ont été recensées et classées par de nombreux témoins et historiens. Celle engagée par Boukharouba a réussi,  grâce à ses puissants alliés de Paris-Sion et aux franc maçons qu'il consultait en secret. Partenariat qui se poursuivra longtemps, après l'indépendance ! 
Première preuve : Cette affirmation peut être démontrée lorsqu'on relève les accords secrets, que les analystes dévoilent jour après jour, qui ont trait aux concessions faites par le Rais à la France pour permettre la poursuite de ses expériences d'armes atomiques et chimiques durant plusieurs années après 1962 ! Le plus grave, ce que je dévoile dans un article ancien (Lien) ou d'un document  téléchargeable "israéliens à reggane.pdf" est que l'inavoué bénéficiaire de cette "coopération" militaire qui a ruiné la santé et la vie de tant d'Algériens, était l'état sioniste, Israél !
Une seconde preuve de l'existence d'une collaboration entre Boukharouba et ses maîtres parisiens apparait à la suite des événements de 1967, consécutifs à la tentative de renversement dirigé par le chef d'état major Tahar Zbiri contre le tyran. Appréhendant toute nouvelle tentative de suppression de son totalitarisme militaire et de la chute de son trône, Boukharouba apeuré et dans un état de panique fit appel à ses alliés de la "fraternité" qui rassemblèrent des dizaines d'actifs de l'armée française, d'origine algérienne mais toujours en exercice dans les casernes françaises. Ces nouvelles recrues rejoignirent secrètement les rangs de l'ANP sous couvert d'un accord de coopération et suite à une prétendue amnistie offerte par l'état algérien.
Ce groupe de "repentis" rassemblait une pléiade d'agents au passé incertain, voir carrément des collaborateur (harkis) qui se retrouvèrent affectés à différentes tâches en Algérie, telle la filature et surveillance d'anciens moudjahidines des Willaya historiques III-IV-I-VI, et le quadrillage de l'administration militaire ! En un mot une Sécurité Militaire parallèle que ne contrôlait pas Kasdi Merbah, mais que le chef de la SM n'en ignorait pas pour autant l'existence.
Une troisième preuve:
Le maintien en poste dans l'administration civile, locale, ministérielle, gouvernementale, de tous les renégats dont les fameux agents de la SAS (Sections Administratives Spécialisées) qui avaient servi d'une manière ou d'une autre la France. Une majorité de secrétaires généraux de mairie, de sous-préfecture, de préfecture, de ministère et au plus haut échelon du gouvernement avaient repris en main les affaires administratives du pays et sa gestion. Ces agents constituaient le support administratif de la dictature et il a fallut attendre le fameux coup de maître de Chadli, un traité d'accord d'indemnisation qu'il avait signé avec Mitterrand, pour qu'ils deviennent "visibles". Une pension délivrée à la poste leur était accordée, faisant d'eux la risée de la population qui découvrait le passé de ces taupes. Beaucoup n'ont pas survécu à la crise cardiaque qui les terrassa !
La "coopération" franco-algérienne établie par Boukharouba ne se limitait pas à ces forfaitures
subversives, elle se poursuivit jusqu'à la fin de son règne. L'intrigant "n'enfilait pas une aiguille" sans consulter De Gaulle (devant lequel il s'était maintes fois prosterné cérémonieusement), ou avant l'assurance de son consentement. 
Révérence d'un despote criminel à un président criminel de guerre !
Les grandes décisions historiques du tyran n'étaient prises qu'après avoir reçu l'aval des "Chers frères" de Paris lorsque n'entrevoyant aucun préjudice, surtout financier ou économique.
Les prestigieuses nationalisations des hydrocarbures illustrent parfaitement la connivence existante entre les "chers frères" d'Alger et de Paris ! Ce dernier point sera plus clairement et amplement analysé dans la suite de la rétrospective de la saga Boukharouba.
La franc-maçonnerie de Paris lui rendait fidèlement la contre partie des services rendus en mobilisant ses média et en construisant une "aura" révolutionnaire et un prestige international qui réconfortaient le pouvoir de la dictature du "compagnon" en Algérie, pays mené vers la faillite généralisée et placé sur un plateau à la portée des banquiers-prédateurs du Nouvel Ordre Mondial juif. Car à propos de la dette, qualifiée "d'aide" par les banques talmudes, elle était injectée quotidiennement dans l'économie, et les titres en première page d'El Moudjahid (archivé et consultable) témoignent de cette frénésie d'endettement dans des projets pharaoniques sans perspective économique et dont le lourd tribut usurier devint un levier de pouvoir juif qui faillit réduire la population à l'esclavage, dans le années '90.  


Avec cette arrière plan historique révoltant en mémoire, on ne peut que condamner et fustiger les auteurs de  biographies fabriquées et d'oraisons funèbres sensationnelles qui n'en finissent pas de défrayer la chronique pour "immortaliser", "faire revivre"; "rappeler l'importance--le rôle primordial--la grandeur--et le mérite" de Boukharouba, l'intrigant du EMG
S.Chitour, MC. Mesbah, A. Mebroukine, P. Balta,
et tous les serviteurs d'un système frauduleux de gouvernance, destructeur d'hommes et de leurs valeurs morales, foyer de toutes les carences et défaillances que l'Algérie endure aujourd'hui, sont les ennemis de la vérité et les receleurs de l'injustice qui a régné dans ce pays pendant des générations.  

 Abusant de la naïveté de nombreux lecteurs, ils dirigent leur unique réquisitoire contre Bouteflika (sans motif et inlassablement depuis 1999), tandis que leur absolution est réservée à Boukharouba l'artisan de la catastrophe nationale.
Chitour dans une parade  rampante écœurante nous livre son commentaire d'un remake,
un film d'horreur dont il tente de nous faire croire que le scénario est celui d'un conte de fées où l'Algérie (la Belle au bois dormant) est séduite par le Prince charmant (Boukharouba) venu à sa rescousse pour la sauver des mains de la Sorcière (le sous développement), mais a été incapable d'accomplir sa mission ayant rendu l'âme en chemin ! "
Incroyable baliverne que ce message publié par Chitour ! Un relent de propagande socialiste ou un blanchiment d'une arnaque historique aux implications désastreuses ?
Il est incroyable et révoltant que ce "professeur à polytechnique" supposé pouvoir traiter de questions scientifiques sérieuses et intellectuellement exigeantes, sombre dans le surréalisme politique lorsqu'il s'aventure dans la chronique de ce personnage célèbre par l'opacité de toute sa biographie et de son œuvre. Son récit nous rappelle la littérature dédiée à "l'épopée soviétique" qui glorifiait les maîtres du Kremlin en les divinisant. Ceci dans le but d'absoudre leurs crimes génocidaires et leur dévouement à l'instauration d'un pouvoir talmude, après la prise en otage de la Russie pour en faire un abattoir de Goyim ! (Lien ou Éduquez-vous !).
Les balbutiements de Mr Chitour pour présenter l'apologie de "notre Lénine" nous rendent perplexes et nous amènent à examiner son état mental signalant une panne cérébrale importante. Serait-elle due à l'injection d'une surdose d'endoctrinement socialiste dispensée lors de ses randonnées au sein du volontariat estudiantin qui s'Ébranlait dans nos campagnes lors de la révolution agraire ? Ou serait-ce un retour de manivelle incontrôlable déclenché par le mécanisme de conditionnement communiste que dispensait le régime aux cercles d'étudiants des années 60-70 ? Ce déclic l'aurait apparemment plongé dans un état comateux que la nostalgie provoque chez certains amnésiques et épileptiques. Ceci en assumant naturellement qu'il est de bonne foi, n'a aucun intérêt personnel, ni de lien de parenté avec le juge-bourreau de la guerre d'indépendance, ni d'affinité occulte le liant aux loges-districts maçonniques. Ce qui serait très flatteur pour sa réputation au vu de sa montée médiatique suspecte.
 Dans son oraison funèbre tardive notre Chitour endosse le témoignage de Paul Bata et Ali Mebroukine, deux personnages énigmatiques qui partagent leur adulation de Boukharouba et se targuent de leurs relations passées intimes avec le Rais et même avec sa femme la charmante Anissa-Esther (Lien).    
Ce que l'on note à la lecture du billet de Chitour est l'exclusive insistance de l'auteur sur la description du caractère du Rais, de ses qualités imaginaires (qu'il fignole subjectivement), de sa vision (sic), de ses intentions, de ses rêves, de sa modestie, de sa pudeur, et blablabla..., en un mot en caressant le caractère émotionnel et non rationnel du lecteur, une méthode classique de manipulation talmude !
Mr Chitour, vous nous chantez une sérénade qui sonne à nos oreilles comme une cacophonie !
L'homme que vous décrivez n'est pas un prétendant à la main de votre fille que vous tentez de convaincre de l'accepter comme époux !
Qu'il soit beau, gentil, aimable, studieux, imposant, sérieux, ne sont pas les critères d'évaluation et du bilan du règne du plus grand tyran que l'Algérie ait enduré de son histoire moderne. "Un arbre est jugé  par ses fruits, pas par son ombrage !"
Les faits, Mr Chitour ! Donnez nous les faits sur   -les projets industriels pompeux et inopérants qu'il a lancés ! 
-Sur les décisions économiques désastreuses qu'il a prises! 
-Sur la terreur qu'il a fait régner! 
-Sur les privations qu'il a imposées au peuple pour "économiser de l'argent" qu'il dilapidait ailleurs pour se construire une image d'icône de la révolution internationaliste talmude ! 
-Ou encore régler les problèmes des autres, ce que le peuple n'avait pas à assumer ! 
-Sur le fiasco de la révolution agraire et la nationalisation des biens licites des citoyens ! 
-Sur la ruine de l'agriculture, à savoir celle d'un pays exportateur de fruits, de légumes et de viandes, devenu importateur de tomate en conserve ! 
Pour remuer quelques souvenirs désagréables que vous semblez avoir répudiés, permettez-moi de vous rappeler l'injustice qui régnait à l'université où les étudiants indigents issus du peuple recevaient 100 DA de bourse par mois, pendant que certains de leurs camarades, ceux recrutés par la SM, menaient un train de vie d'enfants d'Onassis avec 3000 DA / mois (N'est-ce pas Mr Chafik MESBAH ?).  
Vous souffrez d'amnésie sélective, vous qui détaillez les goûts artistiques de vôtre Saint-des- Saints mais perdez de vue les forfaits de sa dictature militaire et de la discrimination sociale des castes, au sommet la soldatesque (tous grades confondus), à la base la paysannerie et les "intouchables" réactionnaires  !  
 Votre compte rendu de la vie de votre idole est en décalage par rapport à celui de sources respectables (Ferhat Abbas, Benkhedda, Boudiaf,  etc...).  Le criminel aux méfaits reconnus et à la perfidie établie en toute objectivité par les observateurs et témoins intègres de l'histoire ne correspond pas au personnage que vous décrivez en termes si complaisants !  
Chitour endossant Balta (Lien) :
"Discret mais efficace, timide mais fier, réservé mais volontaire, autoritaire mais humain, généreux mais exigeant, prudent dans l´audace, voilà comment m´est apparu Boumediène lorsque j´ai eu à le connaître et à l´observer. Homme du soir, il aimait se retrouver, de temps à autre, tant qu´il était encore célibataire, avec quelques amis auprès desquels il se montrait enjoué et rieur, selon ce que m´ont affirmé plusieurs d´entre eux.»
Quel tableau séduisant du commanditaire de l'assassinat de tant d'Algériens patriotes dont le tort avait été de s'opposer à ses putches militaires de 1962 et 1965, ou d'avoir mérité la gloire par leur abnégation et leurs sacrifices au combat contre la France, sur le territoire national, pas hors des frontières !
A propos de ses revenus : 
Un révolutionnaire sans le sous n'a pas besoin d'un homme d'affaire millionnaire, Mr Zeggar, comme confident et représentant aux États Unis, auprès de Rockefeller. 
-Que sont devenues les 5/6-em des recettes des hydrocarbures (gaz naturel) après que la socièté El Paso n'ait payé que 1/6-em du prix du gaz dans un "contrat du siècle" que Boukharouba avait signé en personne ! 
-Et l'achat des 50 Boeing, également négociés par lui ?
Ce n'est pas Mr Chafik Mesbah, tant introduit auprès de sources "fiables"  qui nous donnera les réponses, car lui aussi nage dans la vénération virtuelle orchestrée par le pouvoir occulte (Photo)
qui s'accoude sur le système légué par la Zaim postiche !
Siège SONATRACH : L'empreinte digitale de la franc-maçonnerie symbolisant "Babel", la capitale mythique des Rabbins talmudes héritiers de la Babylone antique, capitale qu'ils espèrent ré-établir à Jérusalem. Une autre agence de Satan a ouvert ses portes. A croire que ses arrogants adeptes "illuminés" s'affichent aux yeux de l'opinion. «Combien ruineux est leur négoce !» (Coran)
Les réalisations ruineuses et les dégâts multisectoriels irréparables causés par la politique mensongère, la démagogie chimérique et l'utopie stérile de Boukharouba seront abordés prochainement.

                                          A Suivre......

15 août 2013

Algérie : La Face Cachée Et Occulte De L'Histoire Contemporaine .(3em Partie)

Le hold-up militaire opéré par Boukharouba et ses DAF au détriment de la révolution et du peuple avait été pressenti par de nombreuses personnalités de premier plan dont Ferhat Abbas, Benyoucef Benkhedda, Cherif Kheiredine, Mohamed Boudiaf, Mohamed Chaabani, etc...,
De nombreux militants intègres avertirent chacun à sa manière des risques et des dérives de cette usurpation de pouvoir.
Benkhedda dans un discours archivé à l'INA et reproduit sur Youtube :
Or, certains officiers qui ont vécu à l'extérieur n'ont pas connu la guerre révolutionnaire comme leurs frères du maquis. Guerre basée essentiellement sur le peuple et dont l'ALN a été le fer de lance. Le peuple a été l'artisan principal de l'indépendance. Les officiers qui sont restés pendant la durée de la guerre aux frontières tunisiennes et marocaines ont souvent tendance à ne compter que sur la force des armes. Cette conception dangereuse conduit à sous-estimer le rôle du peuple voir à le mépriser et créer le danger de voir naitre une féodalité d'une caste militariste tel qu'il en existe dans certains pays sous-développés notamment en Amérique latine. La révolution n'est pas l’œuvre d'une fraction du peuple mais elle basée sur la mobilisation de tout un peuple. »
Quatorze ans plus tard il déclarait dans le "Manifeste du 10 Mars 1976" (Lien) :
« le pouvoir personnel, aujourd'hui consacré, toutes les institutions nationales et régionales du parti et de l'état se trouvent à la merci d'un seul homme qui confère les responsabilités à sa guise, fait et défait selon une tactique malsaine et improvisée les organismes dirigeants, impose les options et les hommes selon l'humeur du moment, les caprices et le bon plaisir ».«Hélas ce coup d'état n'a rien réglé. Le culte de la personnalité est toujours en honneur. Le pouvoir personnel s'exerce sans contrôle. Il dispose à son gré du destin de notre pays, de nos ressources, du budget. Il impose a nos enfants un système éducatif de son choix. Il nous soumet à une idéologie hostile aux valeurs morales et spirituelles de l'Islam. Cet Islam pour lequel un million et demi d'algériens sont morts.» «Il est seul juge du maintien de la paix ou de la guerre. Le peuple n'est jamais consulté; pas plus d'ailleurs que les responsables algériens, y compris les membres du conseil de la révolution. A notre époque, un tel pouvoir est un anarchisme.»
Réagissant aux accusations lancées par ses détracteurs contre sa gouvernance despotique, Boukharouba ne trouva jamais le moyen d'y répondre dignement, intelligemment, car la justesse des arguments châtiant son pouvoir totalitaire était si manifeste, qu'il ne pouvait en débattre en privé ou publiquement, préférant se réfugier dans la censure et dans la répression brutale d'authentiques patriotes au passé glorieux. Au fur et à mesure qu'il éliminait toute opposition à sa dictature, son art de la perfidie et sa fourberie lui dictèrent de changer de personnage, en se construisant une nouvelle image au sens propre et figuré du terme. Les manipulations d'esthéticiens experts et les collections de couturiers renommés furent nécessaires pour transformer progressivement le rustre colonel en un président imposant et tiré aux quatre épingles. Sa quête de l'adoration du peuple atteignait enfin son but, aidée en celà par son verbiage populiste et démagogue qui martelait la populace embarquée dans des hystéries collectives et des galas politiques, après avoir été rassemblée, manu militari des heures durant, sur les places des meetings ou le long des trottoirs espérant le passage du Rais !  
Un système digne héritier des régimes antiques romains ou pharaoniques mais aux contours apparents d'un 20-èm siècle !
Ce dernier parvint à effacer de la mémoire collective la popularité de Ben Bella.
Pour perpétuer l'autocratie imposée à un peuple aux repères dévastés par la longue nuit coloniale, des plans de développement "horizon 70" furent élaborés pour entretenir l'espoir, fut-il mensonger. La "ligne qu'on atteint jamais" étant la carotte tendue à l'âne trottant docilement, pendant que le bâton de la SM veillait sur la bête en cas d'indiscipline !
Un monde d'illusions, de mythes et d'utopies fut bâti en abusant de la naïveté et de l'ignorance du peuple.
"Président de la république", "secrétaire général du parti", "ministre de la défense", "grand héro de la révolution", "prodigieux idéologue du socialisme spécifique", "leader du tiers monde et des pays non-alignés", "combattant suprême contre l'impérialiste", "avocat du nouvel ordre économique mondial", "porte voix des opprimés et des colonisés", etc... S'allongeait de jour en jour la longue liste de titres et d'honneurs dont ne taraient les média, même internationaux et d'allégeance juive sioniste sponsorisor du nouveau champion du marxisme d'essence talmudique. En poursuivant sa mission d'instauration d'une société communiste basé sur la création d'un " nouvel homme " (Errajoul El-djadid), l'agent des loges de Paris s'engageait dans une série de reformes embrassant tous les secteurs d'activité du pays dans le but de détruire les fondements séculaires, sociologiques-culturels-économiques-spirituels-religieux. Le même projet qu'avait entrepris Attaturk en Turquie, mais de manière plus subtile et discrète, fut mis en chantier pour mettre à genoux un peuple résigné, abruti par le travail de sape psychologique élaboré dans les laboratoires marxistes juifs. 
Contraindre les jeunes algériennes à parader en robe courbe (photo) devant les délégations étrangères à l'occasion de son 19 Juin ou du 5 juillet, dans un acte d'humiliation des Algériens. Décence que même la brutale force du colonialisme français n'aurait jamais osé enfreindre. 
Des Algériennes agressées dans leur honneur et dignité contraintes de s'exhiber devant la foule et les délégations étrangères, à la gloire du Rais !
Parallèlement, était créée une oligarchie axée autour des cercles des compagnons (franc-maçonnerie) et des comparses soutenant la dictature et bénéficiant de privilèges exclusifs économiques, sociaux, et politiques. Le partage des richesses s'effectuant au profit du "pouvoir" de la caste : les militaires (DAF et les recrues de l'Est algérien), les "révolutionnaires" du Parti, et les alliés intéressés de Boukharouba. L'occupation de postes de responsabilité dans l'administration du pays constituant une autre porte d'entrée aux prédateurs qui accouraient pour servir le "Père des Algériens" et bénéficier des fastes réservés à la nomenklatura. Nombres de fortunes actuelles ont pour origine cette période opaque de pillage économique, de fraude politique, d'abus de pouvoir, et de manipulation massive de la population.
Au peuple, le tyran distribue des promesses d'une vie meilleure ici bas, et un ventre plein une fois dans l'au delà (déclaration blasphèmeuse à la conférence islamique de Karachi; formule répétée dans un article du Le Monde sous la plume de Paul Balta) !
Des mesures dictatoriales sont décrétées pour atteindre les "objectifs" assignées à la révolution selon les visions cauchemardesques du tyran :
-L'austérité économique est instaurée pour mieux astreindre le peuple à des activités avilissantes et les contraindre à investir leur temps et leurs énergies dans la recherche de solutions à la pénurie et à l'abstinence.
Dans la semaine qui suivit le "redressement révolutionnaire"(1965), les produits de large consommation importés avaient disparu des étalages. La pénurie affectait tous les secteurs, la santé, l'éducation, le sport, l'alimentation, l'habillement, l'hygiène, le bâtiment, le transport. La misère administrée et gérée par le socialisme planait sur le pays; la disette était suspendue périodiquement au gré des campagnes de "satisfaction des besoins de la population", ceci afin d'éviter tout saut d'humeur populaire qui menacerait le trône du potentat. Au grand mépris du peuple, le raffinement extravagant qui avait saisi le despote lui accordait le privilège d'importer des "Habanas" avec lesquels il narguait ses audiences et pouffait la fumée au visage de ses interlocuteurs.
Le peuple, crédule naïf et innocent, fut embrigadé dans un système stalinien qui ne nécessitait pas, pour perdurer, des mesures draconiennes répressives semblables à celles introduites en Russie par les bolcheviks talmudes. Ces derniers avaient à confronter une société organisée autour d'une église structurée et des patriotes éduqués, ce qui nécessita des mesures radicales génocidaires où les opposants russes furent liquidés physiquement, par millions!.(Lien, Lien, Lien, Éduquez-vous !, Éduquez-vous !.......). Ce volet de l'histoire du marxisme-communisme est complètement occulté des manuels d'histoire, raison pour laquelle des idiots utiles du Nouvel Ordre Mondial juif persistent à militer pour un modèle de développement communiste. Des crétins gâteux se réclamant de cette idéologie ne se sont toujours pas relevés des campagnes de "vaccination socialiste" massive et d'intoxication marxiste, que l'édition, la presse et l'éducation dispensaient dans ce pays.
Le déferlement marxiste sur le plan idéologique et culturel fut accompagné de mesures économiques et politiques qui bouleversèrent l'organisation et le fonctionnement de toutes les activités du pays, encouragèrent des comportements irrationnels, incontrôlés, irresponsables et la démobilisation générale. Un bilan plus détaillé sera présenté schématiquement dans un article ultérieur qui sera réservé au recensement des méfaits causés par la gouvernance de Boukharouba et sa cabale d'ennemis de l'Algérie. Ennemis animés essentiellement par une cupidité insatiable et agissant au service d'intérêts allochtones étrangers. La Franc maçonnerie dominée par la juiverie internationale représentant le fer de lance de l'offensive conçue et dirigée par les "enfants de Satan" ! Les carences et les insuffisances qu'éprouvent aujourd'hui le pays et la société sont le résultat de cette dictature à laquelle Allah Miséricordieux n'a heureusement accordée que 18 ans d'existence officielle (1962-1980). Le "système" que les observateurs fustigent n'est pas celui qu'ils devraient désigner comme responsable. Le "DRS et les généraux", le "clan d'Oujda", 'le clan Bouteflika", sont des boucs émissaires que la Franc maçonnerie a intérêt à utiliser comme subterfuge, comme mythes 
délusoires et détourner l'opinion du pouvoir de l'ombre affilié au culte de Satan. Cette secte de Satan et du culte du "grand architecte" a enregistré une avancée certaine au point où certains édifices publiques ont été marqués par ses symboles et la toile" ne manque pas de le dévoiler à travers des blogs et des forum qui en "s'éduquant" découvre l'étendue de la présence du culte satanique (Lien, Lien, Lien). 
La Tour SONATRACH, Bentalha, Hotel Hilton, Hubble, la tête de taureau sur les billets de 100DA, le prosélytisme arrogant des Rotary-Lyons (1), etc..., confirment la présence dans les hautes sphères du pouvoir d'adeptes aguerris du culte. L'Algérie menacée par les méfaits de la franc-maçonnerie est le résultat du travail accompli par le Cheval de Troie Boukharouba et l'instauration de son option politique communiste, fruit du matérialisme abject et satanique du talmude, codifié dans l'idéologie marxiste .
Le travail subversif du rais a été récompensé par la réputation et le prestige que lui réservent l'histoire officielle et les nombreux complices de son règne. Les ministres et les membres de sa diplomatie d'alors louent ses qualités de "rajjal", "homme" qui ironiquement, se fit épinglé par ses maîtres qui lui désignèrent comme épouse "Anissa", une Esther ou taupe talmude qui n'a pas eu le temps de causer trop de tord  !
Le plus grave dans le parcours de notre adepte du culte de Satan après initiation au Caire, est le développement dans la personnalité de l'adorateur du "Grand architecte" d'un narcissisme mégalomaniaque et exubérant qu'il révèle dans maintes interviews accordés à ses porte voix. Paul Balta (Le Monde) étant un grand confident du Rais, il nous a légué l'enregistrement de scènes de narcissisme baignant dans l'indécence et l'auto congratulation, dans des documents disponibles sur youtube. Des auteurs, des historiens, des pauvres citoyens au cerveau lessivé, lui dédient toujours des oraisons funèbres d'adulateurs, entretenant le mythe du plus grand forfait historique enregistré en Algérie depuis la nuit des temps. Chems-Eddine Chitour (Lien) lui accorde un panégyrique humiliant qui insulte la mémoire des témoins et victimes de la dictature, et démontre le pouvoir de l'endoctrinement exercé envers la population dans son ensemble, et en particulier envers nombre d'intellectuels parmi lesquels ceux supposés rompus aux complexités des sciences exactes mais qui sombrent dans la folie et dans le délire une fois confrontés à l'observation de phénomènes humains. Preuve qu'on ne peut  maîtriser tous les savoirs et que les ingénieurs qui s'aventurent imprudemment dans l'analyse politique s'exposent souvent au ridicule par leur contorsion cérébrale et leur verbiage. Un article sera dédié  à Chitour et à sa séance de lèche bottes qu'il offre à titre posthume dans un article re-posté sur "alterinfo.com".

Pour résumer mon article présent, j'affirme que
Boukharouba a été la pièce maîtresse de la prise de pouvoir maçonnique en Algérie. Les séquelles de son règne résident dans toutes les carences qui frappent le pays, le pouvoir de l'ombre en étant l'instigateur en vue uniquement de satisfaire ses convoitises et asseoir sa domination. Gardons en mémoire que le culte maçonnique prêche à ses adeptes le suprématisme social, à savoir qu'à l'image des juifs "Élus de Dieu", les "très chers frères" sont convaincus qu'ils représentent une classe d'élites prédestinée à gouverner la populace et à jouir de tous les privilèges et droits qu'ils usurpent au reste des "tubes digestifs". Le pillage des richesses  et des biens collectifs ne sont qu'un volet des passe-droits que leur accorde le "Grand architecte". Par leur affiliation et soumission à la hiérarchie maçonnique internationale (juive) ils sont une épée plantée dans le cœur de la nation et du peuple et n'ont aucune allégeance et pas un grain de nationalisme envers leur pays. La "liberté-égalité-fraternité" est un slogan et un aphorisme qu'ils cultivent publiquement mais en réservent la pratique à eux seuls et jamais au "bétail", voué à l'esclavage. Dans ce chapitre et pour illustrer cette affirmation il faut savoir que le "service national" consistant en la conscription des jeune algériens sous l'autorité de l'ANP,  et naturellement des DAFs qui l'ont conçu, n'a jamais eu pour objectif la construction du pays ou son développement, mais l'instauration d'une couveuse d'esclaves où était dispensés, la brimade, l'insulte, le mépris et l'humiliation dans le but d'accoutumer des générations "d'appelés"  à la servitude et à l'obéissance, à la crainte et à l'effroi, et bien sûr en la vénération de l'autocrate au commande, dans ce cas Boukharouba.
Selon une stratégie identique, une autre catégorie de jeunes est en gestation, celle des surdoués de l'école et de l'université qui doivent succéder aux papas-et-mamans de la franc maçonnerie ou simplement gonfler les rangs des loges. Des milliers d'innocents étudiants et diplômés au grand mérite intellectuel et académique sont la proie d'une manipulation purement démoniaque consistant en l'initiation feutrée aux concepts de la franc maçonnerie dont une des plus perverses intrusions psychiques est l'élitisme, soit le sentiment d'appartenir à une caste spéciale, celle des "futurs dirigeants" et du "gratin de la société". Ce qui les noie dans l'arrogance et leur fait adopter des airs hautains et méprisants. C'est l'attitude typique de Satan transcrite dans la phrase "Ana kheiroun minhou".  Ces futurs petits démons recrutés par les grandes écoles et les instituts "d’excellence" traitant de préférence du marketing-Kabalah, auront définitivement acquis un caractère démoniaque et développé une affinité-relation avec le "pouvoir occulte". Un séjour en France ou au Canada présente une étape décisive et avantageuse pour la promotion sociale et l'ascension dans les "degrés" des loges.
Le système mis en place mérite définitivement le qualificatif de satanique car fonctionnant selon un mode subversif qui est d'ailleurs défini en détail dans les "Protocoles de Sion".
Notons que tout service rendu à Satan, le "grand architecte" vénéré par le culte, est récompensé par l'octroi de gratifications matérielles illimitées et pour certains hauts dignitaires de la secte, une consécration honorifique, où la gloire et l’immortalité sont inscrites. Une autre forme de gratitude de Satan à ses plus studieux enfants, consiste en l'envoi symbolique d'un trône (sous forme d'un grand fauteuil blanc), installé par un groupe "d'illuminés" affranchis aux règles des cérémonies maçonniques sataniques et qui est offert à un membre promu à un degré supérieur, (certainement une "grande maîtrise").
Dans la scène du documentaire enregistré lors du fameux "discours à l'ONU", qui montre Boukharouba pénétrant dans la salle de conférence,  Kurt Waldheim (grand maître) et les hauts responsables de l'ONU (siège de la LUCIE-Trust, le "fond" de Lucifer) accompagne le nouveau promu et l'invitent à s'asseoir sur le trône du Grand architecte (le fauteuil blanc). 


Ceci n'est qu'une l'illustration des pratiques occultes opaques de la secte, et la preuve de la nature réelle de cette conférence-cérémonie maçonnique, et ceci devant une audience complice majoritairement adepte du culte !!
Dans un article en préparation, le règne de Boukharouba sera disséqué plus en détail par secteur d'activité et son œuvre dévastatrice mise à nu. Le préjudice porté au pays par ses décisions irréfléchies et sa politique insouciante et mensongère sera plus évident après une revue de son "programme" politique.  
Un trait dominant ce phénomène de l'histoire d'Algérie est le degré de perfidie atteint par le régime "Boukharouba" qui est parvenu à convertir la trahison en acte de dévouement à la nation. L'ascendance latente de ce pouvoir sur l'opinion illustre le degré de nocivité de la propagande et de la manipulation exercées contre l'individu et les masses, spécialement en étant entretenues périodiquement (Chitour !).  Un enseignement tiré de ce paradigme est que le mensonge et l'oxymore sont des outils exploités adroitement par la franc maçonnerie qui réussit à falsifier la réalité et à aliéner l'opinion. 
Comme l'affirmait Boudiaf questionné sur son éventuel retour en Algérie et sa candidature à la magistrature suprême du pays : «Je ne souhaite pas diriger un peuple qui a pleuré l'homme qui l'a tenu sous ses bottes pendant 15 ans !»
Que des personnes intéressées le défendent au titre d'anciens collaborateurs de sa tyrannie est concevable, mais que des gens, sans affinités avec son régime, le glorifient toujours est inadmissible et signalerait leur active participation à l'omerta entourant le complot criminel.
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(1)Note:«Au Caire les maçons se retrouvent discrètement sous le couvert du Rotary ; les frères algériens ou d’autres pays arabes ne peuvent assister à des tenues (réunions secrètes) qu’en France ou dans le reste de l’Europe.»
(source : http://www.grandorientarabe.org/) !!
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