9 juil. 2010

Kamel DaÔud : Illuminé Francophile ou Kamikaze de la Plume.

La pompeuse nouvelle star de la presse et de la littérature (sic), qualifiée d'iconoclaste pour son verbe irrespectueux  de la culture arabe et des valeurs musulmanes, Kamel DaÔud, inonde l'espace médiatique de ses attaques subtiles d'écrivain laïque qui règle des comptes avec l'Islam, les Musulmans, les Arabes et l'arabité. Son discours subversif agresse les mentalités et les valeurs arabo-musulmanes, sous couvert de la liberté d'expression, de la libre pensée en accord avec le subterfuge du culte et dogme religieux de la laïcité et  ses campagnes multiples de tolérance permissive, défense de la confusion des genres (calamité humaine de l'homosexualité), de la monstruosité de l'égalité femme-homme et de son appendice le mariage "gay", etc...
- Affirmation tirée par les cheveux  ? Oui, pour les somnambules qui vivent d'illusions et s'imaginent que le "clash des civilisations" est une fable imaginée par les "conspirationnistes", pour meubler leur temps perdu et produire de la littérature de fiction !
Pendant ce temps le vrai complot judéo-talmude progresse à petit pas. Leur agenda gagne du terrain, chaque jour, une nouvelle conquête s'ajoute à la liste des territoires conquis. Il suffit de scruter l'horizon médiatique et constater l'avance des malédictions qui frappent la société et cause la ruine des fondements de l'organisation millénaires naturelle (divine) de l'humanité.
Exemple (parmi les milliers) qui défraient quotidiennement la chronique internationale, Titre "libération.fr" :
«Mariage gay: l'état des lieux en Europe : «Alors que le Parlement portugais vient d'adopter le mariage homosexuel en première lecture, où en sont les autres pays de l'Union?» «Des militants des droits des homosexuels mettent en scène une cérémonie de mariage devant le Parlement portugais à Lisbonne le 10 octobre 2008.» «Ce vendredi, au Portugal, pays de tradition catholique et conservatrice, les députés ont adopté en première lecture un projet de loi légalisant le mariage homosexuel mais ont rejeté les propositions de l'extrême gauche et des verts en faveur de l'adoption.»
Notez la position des partis politiques laïques, de la gauche et des verts, la progéniture des penseurs rabbiniques héritiers de Lev Davidovitch Bronstein, dit Léon Trotsky. Quelle tolérance à sens unique, lorsque nos laïcs s'accordent à propager leur perversion sexuelle et l'ériger en norme protégée par la loi, et combien leur laxisme se transforme en rigueur militante agressive lorsqu'ils s'en prennent à la liberté des gens qui défendent leur pudeur par le port d'un foulard ! Tolérants ces soldats de Satan ? Jugez en vous même.
Ce qui nous ramène à nos laïcs algérianisés, tapis dans les couloirs des associations, loges, organisations humanitaires, fondations, média "indépendants", partis démocratiques, de la francophonie impérialiste (des singes imitateurs dressés pour les cirques littéraires décadents).  Majoritairement, complices de l'agenda du Nouvel Ordre Mondial.
Inconscients ou consentants, intéressés ou leurrés par la gloire, ils embrassent les objectifs tracés par les maîtres de la perfidie, la juiverie talmudique. Comment ? En adhérant et défendant les utopies propagées par l'éternel conspirateur. La laïcité qui se drape de tolérance, est la négation de la foi et un stratagème pour détruire furtivement la religion. Tolérance dévouée à l'athéisme et à l'abomination de l'homosexualité et de la "culture" gay. Visitez "le manifeste des libertés'  (Lien) pour vérifier la véracité de l'idéologie-culte de la laïcité, de la fréquentation de certains de nos hommes de lettres, et de leur militantisme au profit de l'offensive contre l'Islam.
90 % des collaborateurs de cette mouvance (le manifeste) sont de confession juive sioniste, toute origine confondue séfarade-ashkénaze !  Consultez la liste alphabétique des signataires, et marrez-vous de la bouffonnerie de nos brebis galeuses et écervelées d'Afrique du Nord qui pensent faire bon ménage avec les loups-à toison-d'agneau de la juiverie internationale (notez le nombre d'opportunistes juifs d'origine "arabophone", dont l'allégeance régionale feinte sert de camouflage à leur instinct de prédation et leur égocentrisme sectaire ! Vérifier les patronymes, ils sont révélateurs ).
Kamel DaÔud est l'archétype de l'agent provocateur, qui prêche le faux pour avoir le vrai.
Ses attaques sournoises sont destinées à briser les tabous que la majorité des Algériens tient pour inviolables et que la constitution protège, les constantes nationales et les valeurs qui en dérivent : Islam, langue arabe, l'intégrité territoriale, les emblèmes nationaux, et récemment le dialecte amazigh et sa promotion au rang de langue nationale.  Comment opère ce kamikaze de la pensée armé du Français, la langue étrangère ? Langue que l'école algérienne a eu tort de lui enseigner, au vue de l'utilisation malveillante qu'il en fait par son agression verbale grave répétée qui soulève des questions sur son algérianité, par le manque d'égards et de respect envers la religion, la langue arabe, l'Histoire et la mémoire collective, les illustres hommes à la stature historique universelle. Cet écrivain "faisant l'âne pour avoir du foin" (la gloire), ne respecte rien en piétinant les valeurs et repères millénaires d'une nation, dévoile sa propre nature cynique, effrontée (typique de la chutpaz juive), insolente et profanatrice du sacré. Un échantillon de son impertinence :
-1- De sa défense de l'offensive généralisée d'évangélisation chrétienne en Algérie, campagne appuyée par des moyens financiers, humains et médiatiques colossaux (tout y est, TV, presse, sites internet).
«Pendant que l’Etat tape sur les protestataires, un courant conservateur fort fait sa chasse aux protestants (allusion aux chrétiens protestants), même s’ils n’existent pas (1er mensonge). Les Algériens ayant si peu d’infos sur les chrétiens mis à part leur croix et leur Christ, la chasse se fait donc généralement à tous les chrétiens, toutes tendances confondues, luthériens, réformistes ou évangélistes.»
Ce possédé par le laïcisme, connait lui le christianisme, au point de se citer en avocat des églises et attaquer l'Islam, aux pays des Musulmans. Musulmans qui appelant l'Histoire en témoin, ont subis une tentative de génocide colonial  et subissent toujours, aujourd'hui,  les attaques armés et le prosélytisme organisé du "judéo-christiannisme". Et là debout, nu dans sa plaidoirie, ce renégat crache son indignation et tente par une tournure de son verbiage de renverser la situation, la vérité flagrante devenant fausse et le mensonge vrai. D'agressés il fait de nous des belligérants ignorants, ne pouvant saisir les "vertus mystiques" de l'église et ses bienfaits. Ce discours est une application des techniques sémantiques classiques enseignées dans les écoles rabbiniques du talmudisme, techniques qui visent à confondre l'adversaire en le plaçant dans une position défensive et d'accusé, là où en fait il est la victime ! Ce que les analystes appellent le "Chutpaz", terme employé par la gente talmude pour décrire les exploits accomplis aux dépens des Goyim-Gentiles !

 Notez ensuite le mépris et la moquerie envers l'Algérien moyen et ses convictions :
«Non, mais cela occupe un peu les esprits, donne à certains l’occasion d’affirmer une foi qui est devenue trop vacante ces temps-ci.»
Même "vacante" la foi est un don divin, une qualité, une récompense, qui n'est pas attribuée aléatoirement, Allah sachant placer sa bénédiction dans le cœur d'hommes humbles et réservés, jamais dans ceux d'ambitieux et de cyniques. Les bourdes de ce vaniteux ont pour origine son éducation défectueuse, centrée sur la culture française et les idées qu'elle véhicule et qu'elle transpose dans l'esprit de ses adorateurs. Malfait connu de la psychologie, la lecture affecte inévitablement la pensée et distille des opinions et des idées qui orientent la réflexion, surtout durant l'adolescence.
Les défaillances mentales qui affectent les victimes de l'éducation française décadente sont connues; les révoltés contre Dieu du  "siècles des lumières" et les libres penseurs ont inondé de leur écrits la culture française et le nombre de victimes de leurs spéculations philosophiques et métaphysiques,  est incalculable. Pour ne citer que quelques psychopathologies résultant de l'excès de l'absorption de cette intoxication de l'esprit :
-Troubles de l'humeur, altération grave du sommeil (notre David devrait d'urgence se soumettre au diagnostique du psychiatre)
-Conduite asociale et perturbation des relations (son dénigrement de la société en général, et des musulmans surtout, sont des signes révélateurs de ce dysfonctionnement sociopathique) ,
-Altération de la personnalité (de musulman à laïque laxiste),
-Troubles du jugement (cognitifs et décisionnels, ne sachant plus à quel diable se vouer),
-Altération de la perception du réel, hallucinations, "folie des grandeurs". (les prix frauduleux qui montent à la tête, et les applaudissements du lectorat crédule du QUOTIDIEN; son "Ô" de l'islamÔphÔbie drapée de divagatiÔns pÔliticÔ-histÔriques !  ).
Quelques autres échantillons de ses troubles sociopathiques et des idées fixes dévalorisant Arabes, Musulmans, religion, culture arabe :
«Cela permet de prouver qu’on est plus musulman que l’Islam, plus arabe que l’arabité, plus nationaliste que l’ensemble de la nation. Il s’agit d’une guerre ridicule, menée avec des moyens de bricolages, ressemblant à une fièvre psychotrope, mais elle s’explique depuis le 11 septembre 2001 : chaque camp sur cette terre, défend ses intérêts en faisant semblant de défendre son Dieu.»

Allah assurant sa propre défense, qui assure celle de ce déculotté impudent et plein d'arrogance ? Sa notoriété surfaite ?  Les prix administrés par des fondations scélérates d'universitaires faussaires et usurpateurs de droits d'auteur, fondations versant dans le racket intellectuel (Lien et Lien) ?
Les distinctions réservées aux adeptes assidus de la secte occulte du Rotary International, cheval de Troie du Nouvel Ordre Mondial Juif, introduit frauduleusement chez nous par la porte des "actions humanitaires" à obédience maçonnique (Lien) ?
Subversion classique sous couvert "d'humanisme" sélectif non accessible aux musulmans, sauf s'ils troquent leur âme pour un visa ou un pécule en Euros-Dollars ?
  Ou tente-t-il de plonger dans le "genre littéraire" de la dissension religieuse qui a valu la célébrité à d'autres écrivains en exile, aujourd'hui sous protection de la police, et les feux des média de la maffia  judéo-talmude qui apprécie leur rôle de provocateur ? Ou encore, les apatrides et "contestataires" issus de pays musulmans, qui reçoivent un accueil chaleureux une fois leur blasphème homologué par les maisons d'édition juives ?  N'est-ce pas Salman Rushdie ? Taslima nasreen ? Wassila Tamzali ? Boualem Sansal ?  Ou l'ancienne correspondante d’El Watan à Montréal, Djemila Benhabib et sa "Vie à contre Coran". Née en Ukraine de père algérien et de mère chypriote grecque et vivant actuellement au Canada, cette panachée culturelle s'illustre par la citation :«Je suis de culture musulmane, mais je ne suis pas de religion musulmane.»« L’auteure Djemila Benhabib fait de la laïcité un incontournable dans la société, en Amérique comme au Maghreb ou en Europe.». Résumé de l'idéologie et de l'agenda du laïcisme ? 
Dans quel camp se situe DaÔud ? Il semble prendre son élan vers "l'immortalité" et la gloire avec persévérance, mais en procédant à petit pas. Charcutant un peu de "l'Arabe" par ci,
du Musulman par là, du Ô ici, du "mythe médinois" (*) là bas, pour gravir les marches du marketing culturel. Sa notoriété et stature ne sont pas encore celles de ces monstres masqués de laïcité qui peuvent s'afficher sur les blogs:  "ex-musulmans.over-blog.com/""Islam " la" (= non) : Blog des apostats de l'islam orthodoxe",  "sisyphe.org""manifeste des libertés.org", etc...
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(*) Ses propres mots : «Et c’est toujours amusant et dramatique que de constater que les Algériens musulmans ont, avec les juifs et les chrétiens, des problèmes que leur religion n’a pas depuis son utopie médinoise (notez la profanation verbale)  et presque jusqu’au siècle de l’Emir Abdelkader.»
Kamel Daoud, Quotidien d’Oran (25 mars  2008)
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 «Pourtant, même à l’époque de sa puissance qui lui permettait tout les abus, l’Empire musulman ne semblait pas avoir connu ce genre de turpitudes intolérantes avec fermeture d’églises, chasses aux « gens du Livre » et explication par poteaux et protège-cahiers sournois.» 
 Une demi-vérité hors contexte. Car, DaÔud occulte le fait qu'à cette époques les écrivains n'avaient pas encore ingurgité du Voltaire, du Rousseau, du Marx, du Lénine, et embrassé allègrement les doctrines accommodant les laxismes moraux et les abominations laïcs dissimulant l'athéisme, la confusion des genres (gay), etc.... Calamités punissables de mort, même chez nos voisins chrétiens !
A partir d'un texte seulement, il est possible de dégager un profile de cet écrivain francophone, de culture musulmane mais de confession laïque. Il est le symbole de toute une classe d'intellectuels ayant adopté les modes de pensée véhiculés par cette civilisation décadente occidentale. Victimes de leur manque de perspicacité et de maturité, ils se sont convertis en décharges idéologiques de l'occident conquérant, dirigé par le sionisme-talmudisme orchestrant son offensive du "clash des civilisations". Consentants et complices, inconscients et aveugles, ils sont des agents tacites d'un complot planétaire, dont ils prétendent ignorer les desseins, se contentant des broutilles que leurs maitres daignent leur servir. La langue française, une "monture" capricieuse qu'ils auraient du harnacher et dominer pour se diriger dans les avenues de la connaissance, est devenue une idole devant laquelle ils se prosternent, au sacrifice de  leur héritage spirituel et de leur obligations envers Allah. "Allah", un mot qui les irrite.
«Lui Seul  guide ceux qu'Il veut vers le savoir et le juste chemin.»
En comparaison, combien il est rafraichissant de découvrir la multitude de témoignages, filmés et diffusés sur le web (LIEN !!!!) ou (LIEN !!!), de tous ces "enfants d'Adam" qui par la grâce d'Allah retrouvent leur ancrage réel dans la religion authentique des prophètes, celle de Sidna Ibrahim, Sidna Moussa, Sidna Issa et de Sidna Mohammed, le sceau des Prophètes et des Messagers, soit sur eux la Paix et le Salut d'Allah.  Dans une déclaration courte mais chargée d'émotion et de sens indescriptibles, ils annoncent solennellement: "Il n'y a de Dieu qu'Allah, et Mohammed est son Prophète". Ils sont de :
-toutes les nationalités: Américains, Français, Allemands, Sud-koréans, Japonais,
-de toutes confessions: juifs, chrétiens, bouddistes, athées, 
-de toute les races: européens, asiatiques, blancs, noirs, etc, etc...
Quel mérite ils ont de vouloir péniblement lire la Fatiha et accomplir leurs obligations envers le Créateur. Sublime leur enthousiasme à "renaitre" et être soumis à Allah et se prosterner devant Lui. La langue Arabe sacrée est abordée avec respect et révérence, c'est la clé du Message d'Allah. Comment oserait-on la dévaloriser, puisqu'Allah l'a élue pour transmettre son message éternel ? 
Aucun n'a été la cible de prosélytisme marchand, ou de pression et chantage économique. D'eux-mêmes, sous l'inspiration d'Allah ils ont découvert la vérité et ont saisi l'opportunité. Ils sont issus de tous les horizons ( inimaginable !), des sionistes citoyens d'Israél ! Regardez leur visage illuminé et leur sens de la dignité retrouvée, d'esclaves d'Allah, pas de démons révoltés de la plume, arrogants et prétentieux.
Ceux à l'opposé, autres "fils d'Adam", en faillite et  imbus de leur égarement intellectuel découvrent la laïcité et s'y amarrent,  naufragés humains qu'Allah a affligés de cécité.
Un triste destin, mais fatal, car Allah mène vers le droit chemin qui Il veut, et en détourne qui Il veut !      

7 juil. 2010

LaGrandeMaison Sur La Prairie Francophile, La Saga de L'Association Du Culte Laique Reformé.

Le Prix " Mohamed Dib" serait patronné par une fondation scélérate, "la grandemaison " de Tlemcen, qui a usurpé les droits d'auteur de l'oeuvre de l'écrivain algérien défunt Mohammed Dib (Consultez le site Lien). On découvre une félonie opérée par l'association culturelle de Tlemcen qui s'est accaparée illégalement et frauduleusement tous les droits d'auteur protégeant l'œuvre littéraire de Mohamed Dib, sans l'accord et le consentement juridique de ses héritiers ! Le monde doré de la culture tente de s'intégrer en force dans l'économie de marché, mais les procédures commerciales employées ne semblent pas adhérer à l'éthique et régles définies par la loi !  
L'information publiée par Fayçal Dib, Pour la famille DIB,  date de 2008 mais est toujours d'actualité pour qui souhaiterait s'immerger dans l'atmosphère de la littérature algérienne, qui compte de nombreux auteurs tous versés dans l'analyse politique et sociale du pays, mais sont surtout des virtuoses du sermon moral, de la défense de la laïcité, des libertés démocratiques (sans limites) et la diatribe contre le "système" (dont ils sont paradoxalement partie prenante lorsqu'il alimente leur budget). Pour revenir à Fayçal Dib, soulignons que ses déclarations sont appuyées de documents écrits, de photos et de témoignages appuyant ses accusations. Ce qui fait de lui une victime (d'un déni de justice) aux mains de l'association de malfaiteurs "la grandemaison", dirigée par Benmansour, Yelles (notre sympathique érudit, le "sonfils" de la francophonie-francophilie), et des professors de l'université de Tlemcen (garant de l'éducation de nos enfants !)
  Lisons ce qu'écrit Faiçal :  (Lien)

«Je suis le neveu de feu Mohammed Dib, je vous signale que la fondation Dib n'existe pas et n'a jamais existé..»
 «Je vous suggère de vous rapprocher de l'association culturelle la grande maison dont la présidente Benmansour Sabéha bafouillait des explications incompréhensibles à la juge d'instruction quant aux ventes de documents au nom d'une fondation Dib imaginaire..» 
«De plus je vous signale que les invitations qui nous ont été remises mentionnent bien association culturelle la grande maison, de même le siège social dont l'enseigne fondation Mohammed Dib a été ôtée et remplacée par l'enseigne Association culturelle la Grande Maison». 
Dans une page originale (LIEN) ou sa copie sur ce blog (LIEN)
«La conclusion de l’Appel confirme le verdict de la première instance, Mme Benmansour Sabéha, après avoir affirmé en première instance que des fonds générés par les ventes de la revue "Rencontres", auteur "Fondation Dib", sont détenus par la maison d'édition IdLivre, en France,   a nié les faits reprochés en appel et affirmé qu’elle est Présidente d’une association activant sous le nom de “La Grande Maison et non sous le nom de “Mohammed Dib“, ainsi il n’y a aucune trace de la création par Mme Benmansour Sabéha d’une Fondation Mohammed Dib ou d'une Fondation Dib. La partie civile (représentée par M. Fayçal Dib) n’étant pas arrivée à produire la preuve de l’utilisation du nom Fondation Mohammed Dib.  »

 Très impliquée dans l'écriture et les arts, notre grandemaison de la prairie culturelle marque de son sceau la pensée universelle à résonance laïque.  Dans ce cadre et sous les auspices de cette association de professors universitaires et d'intellectuels  nous examinerons son lauréat pour l'année 2008, la star menteuse, pardon montante, de la littérature algérienne d'expression francophone, le francophile et adversaire de l'arabité et de ses connotations ("Islam et Musulmans"), l'iconoclaste Kamel DaÔud.


A bientôt.

Les Dessous de La Culture et le Génie de Nos Erudits Francophiles.


Note: Les juifs -talmudes américains peuvent se vanter de posséder des génies (jinns) de la finance, tel ce fameux Maddof.
La notoriété de Wall street est en déclin, il y a chez nous des petites maisons et des ateliers qui se font une place au soleil et qui étonnent par leur ingéniosité commerciale :
le ponzi scheme littéraire. 

                Monsieur  le  Procureur de la République de Tlemcen,

Nous avons l’honneur de venir déposer plainte pour préjudice moral profond, contre Mme BENMANSOUR Sabéha née BENKALFATE, Présidente de l’association culturelle régionale « la grande maison ».

Cette plainte est relative à l’utilisation illégale de notre nom de famille DIB et ce, par le fait que l’association culturelle ayant agrément de la Wilaya de Tlemcen, avec dénomination juridique : « association culturelle la grande maison », se soit redénommée, depuis 2001, Fondation DIB et Fondation Mohammed DIB sans qu’un nouvel agrément des autorités compétentes (information confirmée par la Wilaya de Tlemcen en 2005) vienne justifier ce nouveau statut juridique qui rentre ainsi dans le cadre d’une activité clandestine ; pour M. le WALI de Tlemcen : « il n’existe pas de Fondation DIB » . De plus, une Fondation devant son existence juridique à une affectation irrévocable de biens droits ou ressources (Habous ou Waqf en droit musulman),  or feu M. Mohammed DIB n’avait fait et n’a laissé aucun legs à Mme BENMANSOUR Sabéha née BENKALFATE.

Sous le nom juridique et sous la forme clandestine de Fondation DIB Mme BENMANSOUR Sabéha née BENKALFATE active depuis 2001, et ce,  en prenant de l’ampleur, en :

-          L’an 2003 : par la publication de revues intitulées "Rencontres", auteur : "Fondation DIB" mises en vente depuis 2003 au travers du réseau Internet à 2,95 euro et 3.95 dollars, et dont le partenaire éditorial:  IDLIVRE, partenaire étranger activant hors de la Wilaya de Tlemcen, en France, pour le compte de l'association culturelle régionale.
-          en l’an 2004 : par la création d’un site internet « Fondation DIB »  site web : www.fondation-dib.com  conçu en 2004 par la société médiaWeb, dont le Gérant est M. DENDANE et, utilisant les informations données par Mme BENMANSOUR Sabéha.
-          en l’An 2006 : par les différents articles de la presse nationale, publiés depuis 2002 et, dont le dernier date du 02 mai 2006 rédigé sur El-Watan par M. C. BERRIAH et ce, malgré le démenti de la famille DIB qui date du 06 octobre 2005 sur le même journal.

 Mme BENMANSOUR Sabéha née BENKALFATE n’a pas d’autorisation du défunt pour l’utilisation de son nom et de son prénom,
- la famille DIB, blessée, ne tolère pas les abus et manipulations dont fait objet son nom,
- la famille DIB, par voie de presse et, sur le journal national « Djazaïr News » en date du 06 mars 2006, a averti Mme BENMANSOUR Sabéha quant aux actions en justice dont elle ferait l’objet si elle ne mettait pas un terme définitif à l’utilisation du nom DIB ce, en vain.

Aujourd’hui la famille DIB, suite au préjudice moral, profond, causé par cette imposture qui a dépassé nos frontières vient demander et,  par voie de justice, de mettre un terme définitif à l’utilisation illégale de son patronyme, n’ayant de choix qu’au travers du chemin de la justice, à laquelle elle s’en remet, confiante quant aux Institutions de sa Patrie.

Veuillez agréer, Monsieur le Procureur de la République de Tlemcen, l’expression de notre parfaite considération.                                                                          

                       Pour  la Famille DIB.

                                                                                                                 
                       M.   Fayçal DIB                                                  Signé:   Fayçal Dib          
Signé:  Taleb Bendiab Khadidja née Dib
                                                                            
                                                          Directeur Technique.
                                                Neveu de feu M. Mohammed DIB.

Copies adressées :  - M. le Ministre de l’Intérieur et des Collectivités Locales.
                                - M. le Ministre Délégué auprès du Ministère de l’Intérieur.
                                - M. le Ministre de la Jeunesse et des Sports.
                                - M. le Directeur de la Culture de la Wilaya de Tlemcen.
                                - M. le Wali de la Wilaya de Tlemcen.
                                - M. le DRAG , wilaya de Tlemcen.  
                          
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Le 25 juillet 2007/ après convocations du commissariat central de Tlemcen adressées à M. Fayçal Dib (27/12/2006), Mme Benmansour Sabéha, et M. Benama Mohamed Directeur de l’Agence de Tlemcen de l’Office National des Droits d’Auteur (ONDA), et après dépositions signées par chacun, après aussi, la convocation de Mme Veuve Taleb Bendiab et sa déposition au commissariat central de Bel-Abbès. Après cette procédure ordonnée par le Procureur de la République, le Juge d’Instruction décide le 25 juillet 2007 d’instruire l’affaire au Tribunal Pénal.  


Première instance : (en date du 30 décembre 2007)

 Jugement en première audience prononcé le 03 mars 2008, le Ministère Public (représenté par le Procureur de la République) ayant requis une amende de 1 million de dinars algérien ( ~ 10 000 euros) contre Benmansour Sabéha, la partie civile que je représente ayant réclamé 01 Da symbolique (~ 0,01 euro) pour l’utilisation illégale et illicite du patronyme Dib. La juge d’audience ayant demandé à l’ONDA de se constituer étant plus habilité à défendre l’intérêt des ayants droits (les héritiers directs) relativement à la publication d’extraits des œuvres de feu Mohammed Dib.

L’ONDA qui lors de la procédure judiciaire a été convoqué au commissariat central de Tlemcen pour faire sa déposition, suite à la requête du Procureur de la République, a affirmé devant la juge d’audience l’illégalité totale de l’utilisation du nom de l’auteur sans acte notarié ainsi que de l’utilisation de l’œuvre, néanmoins prétextant un écrit des héritiers directs de feu Mohammed Dib pour une intervention de l’ONDA à l’effet de mettre un terme à cette imposture.

Le jugement prononcé en première Instance est : l’innocence de Mme Benmansour Sabéha.

Ayant pris en compte les propos de l’ONDA, j’ai avisé les ayants droits qui ont formulé le 30 décembre 2008, par écrit certifié à l’ONDA, Office National de protection des Droits d’Auteur et droits voisins, Agence de Tlemcen et Direction Générale Alger, avec recommandée et accusé de réception que nul ne pouvait disposer des droits d’auteurs qui restaient leur propriété incontestable et absolue, ainsi toute utilisation du nom de l’auteur et de son œuvre reste soumise aux textes de loi relatifs à la protection des droits d’auteurs.

La justice ayant qualifié cette affaire par les articles de loi relatifs à la contre- façon, et atteinte aux droits d’auteur, a statué par manque de preuves, malgré que Mme Benmansour Sabéha a reconnu dans sa déposition au commissariat central de Tlemcen, les faits reprochés, à savoir l’utilisation du nom de l’écrivain et la publication des extraits de son œuvre revendus à 2 Euro (selon son affirmation) par une maison d’édition basée en France et, la création du Site Internet www.fondation-dib.com,  moi-même ayant déposé les éléments relatifs aux faits reprochés, cela au commissariat central de Tlemcen, de même qu’une déposition a été faite par la sœur du défunt au niveau du commissariat de Bel-Abbès.

Appel de la décision première Instance au niveau de la Cour de Tlemcen /(introduit en date du 05 mars 2008)

L’ONDA ayant été appelé comme témoin à la barre en première audience, ne s’est pas présenté à l’appel introduit relatif au premier verdict, ce malgré la convocation émise par la Cour de Tlemcen et, la lettre certifiée des ayants droits, portant cachet de l’ONDA qui en a accusé réception, lettre datée du 30 décembre 2008, appel en date du 27 janvier 2009.

La conclusion de l’Appel confirme le verdict de la première instance, Mme Benmansour Sabéha, après avoir affirmé en première instance que des fonds générés par les ventes de la revue "Rencontres", auteur "Fondation Dib", sont détenus par la maison d'édition IdLivre, en France,   a nié les faits reprochés en appel et affirmé qu’elle est Présidente d’une association activant sous le nom de “La Grande Maison et non sous le nom de “Mohammed Dib“, ainsi il n’y a aucune trace de la création par Mme Benmansour Sabéha d’une Fondation Mohammed Dib ou d'une Fondation Dib. La partie civile (représentée par M. Fayçal Dib) n’étant pas arrivée à produire la preuve de l’utilisation du nom Fondation Mohammed Dib.

Le Procureur de la République représentant le Ministère Public ayant demandé l’application de la loi relative aux droits d’auteurs.

Après m’être déplacé à l’agence de l’ONDA Tlemcen, juste après avoir quitté l’enceinte de la Cour de Tlemcen, le jour même, le 27 janvier 2009 à 11h du matin, pour m’enquérir de l’absence du Directeur M. Benama Mohamed, ce dernier, bien dans son bureau, m’apprend que l’ONDA a établi un écrit destiné à toutes les maisons d’éditions algériennes les mettant en garde contre toute publication des extraits de l’œuvre de feu Mohammed Dib par une Fondation Dib ou Fondation Mohammed Dib qui n’a pas d’existence juridique légale.
Par contre aucune explication sur l’absence de l’ONDA ne m’a été donnée, l’ONDA étant témoin dans cette affaire, ayant eu un dossier contenant toutes les preuves relatives à l’activité illicite au nom de la Fondation imaginaire: des extraits de la revue mensuelle portant photographie de feu Mohammed Dib en couverture et nom d’auteur La Fondation Dib, d'une copie intégrale du site www.Fondation-Dib.com avant sa suppression et son remplacement par un autre site portant la même adresse Web, des sites Internet et leurs adresses Web qui mettent en vente les publications de la Fondation imaginaire. En connaissance dans les moindres détails de l’affaire judiciaire et des dépositions de chacun, M. Benama Mohamed ayant entendu lors de la première instance Mme Benmansour Sabéha reconnaître devant la juge d’audience avoir vendu des extraits des œuvres de feu Mohammed Dib. Moi même ayant affirmé qu'à l'adresse indiquée par Mme Benmansour Sabéha, concernant le siège de la Fondation Dib ou Fondation Mohammed Dib, il n'existe qu'une association culturelle régionale du nom d'association culturelle la grande maison, photographie à l'appui.

Sommes-nous en droit de nous questionner sur la protection  fictive qu’offre l’ONDA à nos auteurs algériens ?, que pourrait, alors, offrir cet office aux auteurs étrangers quant à la garantie de protection des droits d’auteur et aux conventions établies avec les organismes de protections étrangers, cela en référence à la Loi qui elle existe bien, parfaite, mais a quoi ne manque que son application.       

Loi n°03-17 du 9 Ramadhan 1424 correspondant au 4 novembre 2003 portant approbation de l’ordonnance n° 03-05 du 19 Joumada El Oula 1424 correspondant au 19  juillet 2003, relative à la protection des droits d’auteur. Un décret exécutif n°05-356 du 17 Chaabane 1426 correspondant au 21 septembre 2005, pris en application de l'ordonnance du 19 juillet 2003, relative aux droits d'auteur et aux droits voisins ayant pour objet:
- Le réaménagement des statuts, de l'organisation et du fonctionnement de l'Office national des droits d'auteur et des droits voisins (ONDA), à l'effet notamment, de mieux organiser les mesures de protection et de défense des intérêts moraux et matériels des auteurs et d'encourager la création d’œuvres
 Je rappelle que même les traductions (Voir onglet / Benmansour Sabéha et la définition de la fondation), d'une oeuvre ou de l'extrait d'une oeuvre, selon la loi sur les droits d’auteur, sont soumises à cette législation qui interdit formellement toute édition, publication et commercialisation en dehors du cadre réglementaire des droits d'auteur, droits reconnus et protégés à l'échelle nationale et internationale. (Art. 5 / Loi n°03-17 - / Voir onglet / Ordonnance relative aux droits d'auteur et droits voisins).

L’Inexistence de la Fondation Dib est un fait établi, la préférence de l’association culturelle la Grande Maison pour cette redénomination ne s’explique pas, l’association est soumise à la loi 90-31 que je n’ai pas besoin de rappeler, loi interdisant formellement une quelconque redénomination, le nom d’existence étant celui défini par l’agrément. De plus l’agrément étant délivré par le Wali (l’équivalent du Préfet) l’association est par conséquent régionale et ne peut prétendre à une activité hors des frontières de la wilaya. A cet effet, l’enseigne Fondation Mohammed Dib a été ôtée par les services de la Wilaya de Tlemcen et remplacée par l’enseigne Association Culturelle la Grande Maison.

 La dérive de l’association culturelle régionale la Grande Maison lèse profondément tous les artistes et auteurs d’œuvres, dont les droits et la garantie à leur protection s’en trouvent ainsi fragilisés par cette situation naissante, qui n’a d’équivalent nulle part.

Pour la famille Dib,
Fayçal Dib, neveu de Mohammed Dib.
                    Directeur Technique,  Ingénieur d’Etat.

5 juil. 2010

Hommage A Pierre Rossi et Révérence A Son Monument "Histoire Vraie Des Arabes"

Découvrir Pierre Rossi et son oeuvre magistrale "La Cité d'Isis, Histoire Vraie des Arabes" est une expérience dont il est difficile d'en décrire les sensations tant elle affecte une multitude de convictions et   bouleverse des certitudes que la "culture universelle" nous dicte et nous inculque. Combien de vérités historiques ont été imposées depuis des siècles par des scribes au service «de partis pris confessionnelles et politiques». Un exemple concernant l'hébraïsme, une mythologie associée à la fabrication de la race juive, fondement de l'idéologie raciste du sionisme.
 Cet ouvrage scientifique, un vrai séisme dans l'univers des légendes enseignées dans les écoles, et des nombreuses matières qui prêchent des certitudes scientifiques indéniables servant d'outils d'endoctrinement confessionnel et politique. Pierre Rossi démantèle
et remet en cause de manière radicale l'approche à la méthodologie de la connaissance et de ses branches qui inter agissent, aussi vastes que l'archéologie, l'ethnologie, l'histoire.  La manipulation et la distorsion de l'histoire est connue et nombre d'écrivains la dénoncent, mais très peu ont pénétré les fondements et les mécanismes et disséqué les étapes de l'entreprise de déception du scientisme, ou religion de la science.  Pierre Rossi dévoile cette mystification des sciences, dans un discours révélateur du contexte des débats d'actualité sur les choix de civilisation que les forces judéo-sionistes imposent aux destinés de l'humanité à travers le projet occulte et subversif du Nouvel Ordre Mondial.
La lecture impérieuse de l'ouvrage est plus que recommandée, spécialement pour les "apologistes" de la culture occidentale qui vont mendier une reconnaissance de leur assiduité à digérer et assimiler les utopies diffusées par les tenants de l'hégémonie mondiale talmude. Ces remarques visent les écrivains et auteurs littéraires, qui par leur servitude ( cas de la francophonie) et leur adhésion aveugle aux doctrines erronées publiées, destinées à la propagande et à l'aliénation. Pire, ils consentent à remplir la fonction de caisse de résonance modulée à distance, et deviennent des partisans et militants de vues contrefaites de notre propre histoire et véhiculent à leur tour des abstractions qui corrompent et empêchent la diffusion du savoir fondé sur les faits réels et la vérité, non sur l'indigestion de calomnies "scientifiques".
Le mot "Arabe" et tout ce qu'il évoque fut pris en otage par les alchimistes juifs, maitres de l'imprimerie et des média (voir le rôle de Hollywood dans le cinéma), pour le charger de préjugés, stéréotypes, euphémismes, tous dévalorisants et diffamatoires. Une offensive  millénaire qui a tissé un filet de perceptions erronées dans la pensée de l'occident et plus déplorable,  a influencé des générations de "réformateurs" arabes. Réformateurs séduits par le modernisme et l'avancé technique et scientifique des puissances militaires européennes qui, à travers le colonialisme, avaient pris en main les destinées de la civilisation arabe.  L'éducation prenant le relais du fusil, le combat s'est transformé en une lutte pour l'esprit et l'âme de l'intellectuel arabe, graduellement recyclé en agent servile de la culture du vainqueur. Les fruits de cette entreprise subtile sont aujourd'hui mûres et près pour la grande distribution. Il suffit de lire les insultes et les diatribes des Larbi, Messaoud,  Da Said et autres "Arab" contre la culture arabe et par prolongement, contre le message de l'Islam. Sous des accoutrements raffinés et une approche plus subtile, les nouveaux recrus de la culture "universelle" judéo-chrétienne (écrivains et auteurs du Maghreb), adoptent allégrement ce concept fictif confectionné par le sionisme qui dissimule ses prolongements idéologiques. En Algérie, les premières couvées de la francophonie, produites par "hybridation" coloniale, ont livré plusieurs espèces de perroquets dont le riche vocabulaire atteint des milliers de mots, s'ajoutant à ceux des dictionnaires. Certains élèves des missions chrétiennes ont parallèlement adopté la confession de leurs maitres d'école, d'autres moins engagés dans leur "modernisation", sont devenus adeptes des philosophies et utopies de la puissance culturelle  dominante. Les loges maçonniques aidant et perpétuaient l'allégeance de la "fraternité" au dogme de l'internationale socialiste dans un premier stade (19-20 eme siècle), puis à celle de la laïcité, dans un second (après la déconvenue du communisme). Toutes obédience confondues, toujours sous la supervision et le regard bienveillant du judéo-talmudisme-sionisme international, nombre d'intellectuels sont devenus, en bons oiseaux imitateurs, des fervents prosélytes des idéologies de la démocratie modulable occidentale, de la tolérance religieuse et de la confusion des genres (calamité visant l'anéantissement de l'humanité, et que les lois renégates du "monde civilisé" protègent, au point de condamner ceux qui la dénoncent, de discrimination et d'homophobie). Voir à ce propos "Le Manifeste des Libertés", site disponible pour une revue de la laïcité et des signataires du manifeste: 90 % de juifs Séfarades et Ashkénazes  ! Rendez-vous au passage à LHD-Toulon, pour un complément de la  revue. 
Le terme de perroquet est lié à la faculté de répéter les mots sans en saisir le sens. Encyclopédie "wikipédia", en ligne,  nous offre (Lien): 
« Le terme perroquet désigne d'une manière générique l'ensemble des espèces d'oiseaux de l'ordre des Psittaciformes.... Cette catégorie d'oiseaux est connue du grand public pour la faculté de certains spécimens d'imitation de la voix humaine, d'où l'expression commune "perroquet" désignant une personne répétant les mots de quelqu'un d'autre.
Dans un prochain article, une séance d'observation des perroquets sillonant le ciel littéraire algérien sera tentée. La tentative précédente d'étude de ces bêtes à plumage (ornithologie) était très superficielle et n'a qu'effleuré le sujet, uniquement sous l'angle historique (article de ce blog). Deux spécimens y sont mentionnés, Kamel DaÔud et Mourad Yelles (dit "Son fils"), deux oiseaux rares de l'ordre royal des perruches qui seront prochainement l'objet de plus d'attention. Et si la chance est au rendez vous, d'autres perroquets pourraient surgir de leur refuge et éveiller notre curiosité.
A bientôt, donc !     
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Opinion : Une éloge posthume du professeur Pierre Rossi relève du devoir et de l'obligation des honnêtes chercheurs et défenseurs de la connaissance et de la vérité. Il est révoltant de constater l'anonymat qui entoure son travail lorsqu'on mesure la pertinence qui marque le sujet qu'il élucide. Mais il est normal qu'il soit intentionnellement ignoré par les rédactions mobilisées en d'autres lieux et sont régies par l'agenda  des idéologies utopiques, de l'islamo-phobie, et l'exacerbation des divergences ou conflits  régionaux.  Les partenaires de l'instauration du NOM-NWO doivent détester la confrontation aux idées et arguments contrariant leurs mythes et actes de foi, la judéo-chrétienté et l'hébraïsme racial.  Le message authentiquement humaniste du professeur Rossi:

«Quand nous aurons appris à peser l'exact poids des mondes qui nous entourent, nous découvrirons peut être, outre la vraie fraternité, tout à la fois nos horizons et nos limites.»
est dérangeant et fatal pour la doctrine du "clash des civilisations"  en préparation.  Aujourd'hui absente des débats, son œuvre devrait être inclue dans le cursus scolaire de l'éducation, tant sa justesse et son bien-fondé sont d'actualité. Pour ne pas dire devrait être célébrée, dans le monde....musulmano-chrétien.
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