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30 juin 2010

Panique Générale et Vent De Folie: Des Amazigh Racistes Inventent La Machine à Remonter Le Temps.

Il n'y a point de contrainte en Islam, et les "peuples du livre" devraient en témoigner, pour avoir durant 15 siècles, vécu et prospéré au sein de communautés majoritairement musulmanes. 
Hélas, leur ingratitude notoire les en empêche, et leur animosité aveugle conditionne leurs campagnes actuelles de génocide contre des peuples dont le tort réside à professer l'unicité et la grandeur d'Allah. Avant d'aborder le thème de cette agression permanente, révisons les étapes qui précédèrent la déclaration de guerre prononcée par G.W. Bush, après le fameux attentat du 9/11.
Le Sionisme international et ses agences de subversion, CIA-MOSSAD-MI6, avec la complicité de régimes fantôches installés dans la périphérie de l'ex-empire Ottoman, ont créé, structuré, financé, dirigé, des groupes de mercenaires qu'ils ont parés du rite wahabite-salafiste prêché à Riad. Axé exclusivement sur la guerre sainte (le djihad) le rite innovateur saoudien détient une particularité, ses faits d'armes que l'histoire semble ignorer: les premiers massacres collectifs perpétrés contre les populations de Mecca, Medina, Taif et Hidjaz, lors de la conquête de la péninsule arabique au début du 20éme siècle ! Ultérieurement la participation saoudienne dans le plan dressé par Brezjinski pendant la présidence Carter, de déstabilisation de l'URSS, a consisté à financer et endoctriner une génération de moudjahidines qui s'avéreront des vecteurs de trouble dans leur pays d'origine une fois la guerre d'Afghanistan achevée. Les média sionistes lancèrent consécutivement une campagne de dénigrement contre l'Islam, le confondant avec terrorisme grâce à l'amalgame wahabisme=Islam. Cet événement signale le début de la conspiration qui a pour dénouement le mythe et subterfuge "Talibans-Ben Laden-El Qaida" que le sionisme maintient en vie comme alibi de sa politique de belligérance permanente et d'occupation illégale "par proxy" de pays musulmans. Dés lors une campagne d'agression orchestrée de Tel Aviv--New York contre les Musulmans et l'Islam fut lancée. L'accusation de fanatisme religieux et de terrorisme après la conspiration du 9/11 rendit propice l'annonce d'une guerre totale contre "l'axe du Mal", selon l'expression du criminel de guerre, G.W. Bush. L'Irak, le Liban, l'Afghanistan, le Pakistan, la Palestine, le Yemen, l'Iran, les pays musulmans de l'ancienne URSS, le Soudan, la Somalie, les pays de l'Afrique sub-saharienne, etc...subissent la vindicte nourrie par la rancune millénaire de l'éternel transgresseur et conspirateur, le juif sioniste et son pouvoir planétaire. Dirigée par l'oligarchie des banquiers et formulée par les commandements des rabbins talmudes, cette guerre, déclarée sous prétexte de lutte contre le terrorisme, a mobilisé les média qui l'ont promue et publiée pour conditionner les peuples et leurs armées à servir de proxy, de relais, d'intermédiaires, de chair à canon, dans cette entreprise de destruction et de génocide.

Dans les pays n'offrant aucun prétexte à l'ingérence ou à l'agression, car affichant des politiques internationales "modérées", ou possédant des ressources naturelles indispensables aux économies et cartels occidentaux, la stratégie de déstabilisation a pris une tournure différente, celle de guerre subversive générant des révolutions "colorées" locales. La stratégie est axée sur la création de dissensions basées sur les différences existant entre les minorités locales, dissensions préparant éventuellement une agression dans le cadre d'actions "humanitaires" que l'ONU homologue assidument, sous les injonctions d'une majorité de représentants de pays de l'assemblée, pays sous soumission ou représentatifs des intérêts, de la dictature sioniste. La Turquie, l'Algérie, l'Égypte, le Maroc, etc..., sont des pays offrant un potentiel exploitable pour l'agitation de conflits à caractère religieux, communautaires ou la confrontation de minorités locales. Les Kurdes, les Berbères-Amazighs, les Coptes sont les cibles de manipulations et subissent un travail de sape pour les amener à militer contre les pouvoirs centraux de leur pays d'origine. La stratégie de déstabilisation transite par le pourrissement des relations inter-communautaires sous prétexte de revendications multiformes. Les parties impliquées dans cet affrontement reçoivent des traitements adaptés à la nature du système politique, l'histoire, la religion, la composition raciale, les langues des pays visés par ce stratagème. Israël, ses moyens humains et matériels, la Diaspora sont placés en alerte et mobilisés pour accomplir les basses besognes militaires, ou celles du renseignement et de la guerre psychologique. Sa position géographique et son soutien logistique international la prédestine pour cette mission de proximité, position capitale pour la réussite des opérations sur le terrain. La présence locale d'agents provocateurs est indispensable pour activer la dissension et magnifier les divergences. Pour ce qui concerne l'Algérie deux foyers de discorde ont été créés, l'un relatif à la culture avec ses différent paramètres, l'autre religieux. Preuve que ces foyers de tension sont fomentés et cultivés artificiellement est l'inexistence (durant 15 siècles de cohabitation, ou plutôt de fusion des peuples) de querelles ou de divergences occasionnées par l'opposition fictive de la culture amazigh nord-africaine à la culture universelle arabo-musulmane. La colonisation et ses agents juifs ont été les architectes et les inventeurs de cette chimère (lire article au Lien1, Lien2, Lien3, Lien4) . Ce mensonge à caractère historique a pris une dimension politique depuis la naissance de groupes culturels réunis autour de personnalités suspectes, de par leur éducation, leur biographie, leurs affinités. Leur mission est essentiellement de s'affairer à donner une consistance et un contenu culturelle à un projet subversif qui avait pour objectif l'affaiblissement des pays dont la puissance redoutable résidait dans leur unité, raciale, religieuse, géographique, et culturelle. En un mot «diviser pour régner». Les principaux rentiers de cette opération de déstabilisation fondée sur l'ingénierie sociale opérée par les agents de la colonisation et aujourd'hui les média (spécialement Internet), sont les éternels conspirateurs judéo-talmudes. La preuve de ce "détournement du capital historique" réside dans le fait que certains penseurs berbères tentent de mendier un "lien de parenté" et une affinité raciale avec la diaspora kosher. Race dont l'existence est sans fondement,  est exclusivement dogmatique et scientifiquement désapprouvée (1). Elle est maintenue en vie que grâce à des assertions spéculatives et fausses propagées par les média, le clergé rabbinical et les historiens "officiels" !

L'origine (obscure) de personnages mythologiques qui "auraient" adopté la religion judaïque, parce que leur statut d'esclaves le leur dictait est le point départ d'un autre canular ! Consultez le web (*) et constater la controverse qui entoure ce sujet, abordé sous les angles, historique, religieux, culturel, racial, ethnologique, et même génétique. La "Bulle" idéologique de la propagande sioniste s'est rapidement dégonflée, la pointe affilée de la vérité l'ayant percée ! Seuls nos luminaires amazighs dans leur état de trouble mental avancé et d'exaltation narcissique persistent aveuglément dans leur folie de défendre leur origine juive et leur particularité "génétique" berbère, thèse réfutée par un métissage de population irréversible, scellé par 4000 ans (au moins) d'histoire. Cette nouvelle mythologie amazigh qui frôle le fascisme délirant n'est qu'une facette de l'offensive lancée à partir des salons de la conspiration kosher de Tel Aviv et New York. Salons dont les participants doivent se rompre le cou de sarcasmes au dépend de  leurs cousins "présumés" d'Afrique du Nord, qui bercés par l'illusion de retrouvailles familiales se sont embarqués allégrement et aveuglément dans le rafiot du "clash de civilisations". Un sujet qui fait couler beaucoup d'encre et mobilise les plumes acerbes des écrivains en mal de prestige est le terrorisme. Nombre de romanciers, d'écrivains, de journalistes et de scribouillards investissent le champ littéraire pour servir à l'opinion leur contribution à l'amalgame Islam-terrorisme et déverser leurs larmes sur les dangers de l'islamisme et de l'islam tout cours. Les publications de qualité médiocre et de contenu pathétique inondent les rayons des éditeurs. Tous s'acharnent sur l'Iran-l'Irak-Afghanistan-Ghaza comme dépositaires du mal et du danger menaçant la planète Terre. Aucune compassion pour leurs populations soumises au génocide, car elles sont Musulmanes. Ces nouveaux croisés ne s'encombrent d'aucunes préoccupations démocratiques et humanitaires au profit des musulmans exterminés, uniquement des utopies des libertés et "ismes" que leurs dictent les maitres de la nébuleuse juive internationale. La gratuité de leur haine contre les musulmans-arabes et les abominations qu'ils leurs dédient, dévoilent leur état d'aliénation et le barbarisme de leur idéologie. Rien sauf la rancune juive traditionnelle traduite dans le vocable de ces mercenaires nord africains ne peut justifier un tel état d'esprit et d'adversité. Naviguez sur le web et visitez les sites amazighs, pour constater l'étendue de l'animosité et de la malveillance contre-nature de ces tarés incultes sortis du barbarisme de l'antiquité . Examinons un exemple de personnage de la culture berbère qui servent l'antagonisme fictif opposant amazigh et arabes.

-Les personnages de l'antiquité : 
Kahina ou Dihya.
(lien1 à "afriquedunord .com "un des sites les plus virulents et parmi les plus nauséabonds, maitre de l'insulte et de la haine gratuite réservé à l'Islam , apanage des sionistes et psychopathes servant l'état d'Israél.)

12 novembre 2006 .
«Dihya, surnommée la Kahina, n’est pas la première à avoir unifié les berbères et elle ne sera pas la dernière. Avant elle, il y eut Jugurtha contre Rome, Donat contre l’église de Saint Augustin, Khattabi contre le colonialisme français. Tous voulaient l’affranchissement du peuple amazigh de toute tutelle...
(pour changer de maitre, selon la règle"imiter le vainqueur")

«Par son nouveau livre portant sur la Kahina (1), Gisèle Halimi vient de rejoindre la collection des auteurs qui se projettent dans des personnages historiques à la recherche d’une identité mythique et de symboles pour continuer à [sur]vivre.»
«Dihya, surnommée la Kahina, est une Femme, chawie, féministe (le ridicule à son apogée ) ,libre, guerrière, stratège politique et de surcroît Reine. Reine des Aurès. Reine des Berbères.
(glorification ou déification ?) Reine des femmes et des hommes qui se battent pour leur dignité. Dihya est morte dignement, et ses assassins étaient lâches. Elle les a humiliés en leur infligeant des défaites militaires ; elle les a humiliés en rendant l’âme comme une berbère, fidèle à elle même. Gisèle Halimi ne nous apprend rien !»«Dans son roman, Khaled cherche à connaître et à découvrir la Kahina. Ce n’est pas une coïncidence si Khaled est le seul prisonnier arabe, un neveu du chef de l’armée arabo-musulmane, à ne pas avoir été libéré par Dihya et qu’elle adopta par la suite. En retour, il la trahissait en communiquant à son clan, et en permanence, les informations stratégiques sur le camp berbère. Cette confusion de genre et de personnage n’est pas innocente.»
«Au fil du roman [historique], Gisèle Halimi met en avant la judaïcité de la Kahina au détriment de sa berbérité. D’ailleurs était-elle vraiment juive ?»
La grenouille ne se limitant pas à vouloir se faire plus grosse que le bœuf, elle s'est embarquée dans la machine à remonter le temps !
Le mensonge répété incessamment est perçu comme vérité, une règle de la perfidie juive-talmude. Pour ceux qui auraient des doutes sur l'authenticité de ce genre d'absurdités, qu'ils visitent brièvement les sites militants amazigh islamophobes, je précise "brièvement", car en s'y attardant les lecteurs risquent d'être traumatisés, par la virulence des propos et la haine démentielle vomie contre l'Islam et ses nobles symboles. Preuve de leur aliénation irréversible, leur mépris acharné de la majorité (99%) des Algériens Berbères et Amazighs qui depuis 15 siècles vivent harmonieusement leur culture berbère et leur attachement à l'Islam, qu'ils défendent d'ailleurs avec acharnement depuis Tarek Ibnou Ziyad.
Comme précisé au début de cet article, ces déchainés, vrais Frankeinstein libérés des laboratoires "pavloviens" , occupent l'espace nord africain, sévissent en Algérie et y cultivent les ferments de la discorde. Cette mouvance a infiltré les associations diverses et vise surtout les média. Donnons en un exemple :
«Quand les Algériens sont malades de l’islam» (9 août 2008).
«Le moral des Algériens est au plus bas. Le changement du système, à la fois politique et religieux, reste la seule planche de salut si on veut réellement sauver le pays.»
 
Publié dans "Afriquedunord.com", naturellement et conforme à ligne rédactionnelle de ce site sioniste. Ce qui est troublant est que l'article est une synthèse de celui publié par "Le Quotidien d’Oran" sous la plume de Yazid Haddar, un provocateur professionnel qui de sa plume empoisonnée défie et vilipende à longueur d'année 35 millions d'Algériens Musulmans, voir dans la suite du texte : 
«...et la dissolution du ministère des affaires religieuses : assez de propagandes en terre de liberté !»«Il ne suffit pas d’avoir un pays, un drapeau, un hymne pour dire qu’il y a un État. Gouverner, c’est prévoir. L’État algérien paraît plus virtuel que réel. Le citoyen ne le voit nulle part. Le despotisme, les passe-droits, la corruption, le trafic d’influence sont monnaie courante et leurs acteurs politiques ne semblent pas s’inquiéter outre mesure. Comme si l’État n’affiche aucune ambition à rattraper le concert des nations développées*. Alors, il développe son sous-développement : l’Islam, avec la bénédiction de ses pseudo-intellectuels et les pseudo-sages musulmans qui devraient tous être jugés par le TPI pour inoculation et propagation du virus anti-humain et violation mentale des peuples sous régime arabo-musulman.» «L’Islam en pays dits musulmans est un véritable frein penser…» «Devant cette escalade de destructions, certains analystes, comme les gouverneurs, parlent du manque d’encadrement associatif, d’irrationalités collectives et de contagion. Certains expliquent cette violence par l’étouffement social. Au début du XXe siècle, Gustave Le Bon fut le premier à comparer la propagation des troubles sociaux à une infection microbienne (Cf. La psychologie des Foules de Gustave Le Bon)*. Ici nous nommerons la principale infection est celui de l’Islam «Dans quelles conditions les groupes deviennent-ils violents ? On constate souvent que les facteurs latents de la violence sont : la dévalorisation (chômage, stigmatisation et discrimination), l’incohérence des statuts (diplômé sous-employé), la justification morale de la violence (doctrinale, religieuse, ...), des normes sociales délinquantes et violentes, des faiblesses au niveau des compétences verbales et de l’insertion sociale. Tout ceci est le résultat d’une société abandonnée à l’obscurantisme et au défaitisme que les différents gouverneurs ont bien voulu instaurer depuis l’accès de ce pays à l’indépendance : affaiblir par l’endoctrinement pour mieux régner* (Ici l’Islam).»

L'écrivain, psychologue-conseiller à ses heures perdues , aborde son thème favori :
«Prenons la sexualité comme exemple : les jeunes se marient de plus en plus tard (Cf. 33,5 ans pour les hommes et 29,9 ans pour les femmes, selon le dernier rapport du CNES, 2008, cela n’est que pure fantaisie, car la réalité est bien loin du compte : les femmes à plus de 45 ans sont encore vierges, les hommes ne savent pas s’ils sont hétéro ou homo par manque total de sexualité) pas de logement, pas de travail. Cependant, nous savons tous que hors mariage, les rapports sexuels sont interdits, ce qui a pour effet de créer un déséquilibre au niveau personnel dans les deux formes de contrôle : contrôle interpersonnel (qui réduit la liberté d’intégrer les valeurs sociales, mais aussi augmente les frustrations et une forme de violence, que les psychanalystes nomment pulsion violente) et contrôle interne (ou moral). Interdiction absolue de communiquer ou de recevoir une d’éducation sur la sexualité au sein de ces sociétés*(Ici l’Islam).» «Soljenistyne avait raison quand il dit : laissons les arabes à leur sort : ils ont l’Islam… (seul patrimoine qu’ils ont légué à la moitié de la terre pour mieux l’annihiler).»

Édifiant, n'est-ce pas ? Tout le répertoire "néo-con", "clash des civilisations », compressé dans cette déclaration-profession de foi de ce démon de Yazid Haddar

Publiée par qui ? Par un quotidien national ! Le Quotidien d'Oran. Un nid de reptiles gardé par Kamel Daoud, une vipère rampante du zoo littéraire francophone. Zoo renfermant quelques espèces de lézards,  fort heureusement en voie de disparition car très venimeux.
Dans un article à venir, je décrirais prochainement la nature et les méfaits de cette espèce animale locale aux caractéristiques semblables à celle vivant en Jewland.  

En dépit de leur agression soutenue contre le peuple, ces téméraires de la plume se plaignent des entraves à la liberté d'expression. 
Une liberté que ce ghaddar (traitre) piétine de ses bottes d'éclaireur talmude en agressant avec effronterie les valeurs chères à un peuple, à la manière des Kamikazes, mais plus subtile car sans explosifs. Mais tout autant efficace pour créer le désarroi et la colère dans les esprits. Ce personnage étrange est visiblement programmé pour attaquer de front l'opinion musulmane, sans pudeur ni retenue, et pour peut être inscrire son nom sur la liste des martyrs sans lesquels ces mouvements contestataires n'accèdent pas à la notoriété. Déconcertantes les provocations de cet élève en psychiatrie freudienne, habité par "l'esprit" cartésien le hantant et qui l'a affligé de cécité, le privant de vérités spirituelles.
Exemples ces extraits d'articles publiés par une pléthore de sites web, le support médiatique de sa "mission" et de celle  des "célébrités" algériennes de la littérature francophone, Babes, Tamzali, Sansal, Ghazali, etc..., toutes acoquinées aux réseaux proxénètes sionistes  de France et citées en tant qu'experts de l'Islam, qu'elles abhorrent ! Elles ne ratent jamais l'occasion pour saigner du musulman ou de l'arabe, dans un exhibitionnisme intellectuel indécent qui verse dans la mendicité, la main tendue vers leurs maitres, qui trouvent toujours au fond de la poche un petit Prix international à leur offrir, pour services rendus à la "l'axe du bien". Fatalité de l'histoire qui semble enfanter avec chaque génération son lot de harkis, de la pensée dans ce cas, et armés d'une plume.  Défiant et arrogant, ignorant l'histoire des Arabes et leur langue, le Kamikaze écrit : 
«Il est indispensable que nous restions vigilants face aux distorsions que subissent insidieusement notre histoire et notre identité. Si nous n’y prenons garde, un jour nos ancêtres deviendront arabes !».....
«La civilisation arabe et musulmane est omniprésente dans l’enseignement scolaire au détriment de la civilisation berbère et ses influences dans le bassin méditerranéen et dans la civilisation arabo-musulmane. Cela constitue une lacune édifiante et sans doute volontaire qui laisse les jeunes algériens à la merci des manipulations de certains courants idéologiques» 
(consultez impérativement l'historien Pierre Rossi et son œuvre monumentale "La cité d’Isis, histoire vraie des Arabes", disponible en librairie, enag-Algérie).
Pierre Rossi répond aux déclarations mensongères, aveugles, et chauvines de ce pantin Israélite (voir capture d'écran ci dessus)  :

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Gardons à l'esprit le fait que le traitre qui s'est infiltré parmi nous, n'ignore pas ces vérités historiques mais les dissimule, sa mission d'agent provocateur l'y contraint. Par un lapsus, il dévoile ses affinités naturels lorsque prosterné devant la déesse "Diaspora", il disserte sur Jacques Derrida, qu'il glorifie de juif algérien (un honneur) dont il nous fait découvrir l'enfance (lien).  
Ne manquez pas de lire ce qu'il pense de Zemmour la nouvelle star du sionisme de France, au (Lien), et l'introduction élogieuse qu'il reçoit de son complice Akram B. du "Quotidien D'Oran" ! Très révélateur du stade avancé d'égarement et de dépravation affectant ce "Français" d'adoption, notre Yazid Haddar, alias Yashimoun Hadarokh.
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(*) Une invention appelée «Le peuple juif" (Lien-Anglais)

«La Déclaration d'indépendance d'Israël stipule que le peuple juif est né sur la terre d'Israël et a été exilé de sa patrie. Chaque écolier israélien apprend que cela s'est produit pendant la période de la domination romaine, en 70 CE. La nation est restée fidèle à sa terre, à laquelle elle a commencé à retourné après deux millénaires d'exil. Faux, dit l'historien Shlomo Zand, dans un des livres les plus fascinants et stimulants publiés depuis longtemps. Il n'y a jamais eu de peuple juif, seulement une religion juive, aussi l'exil ne s'est également jamais produit - par conséquent, il n'y a pas eu de retour. Zand rejette la plupart des histoires Bibliques de la formation d'une identité nationale , celle de l'exode d'Égypte et plus affirmativement celle des horreurs de la conquête sous Josué. C'est entièrement de la fiction et un mythe qui a servi de prétexte à la création de l'État d'Israël, affirme-t-il..»
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(*) Le Monde diplomatique prend également le relais et expose la controverse (Lien-français):

«Déconstruction d’une histoire mythique,

Comment fut inventé le peuple juif.
(Par Shlomo Sand
«Les Juifs forment-ils un peuple ? A cette question ancienne, un historien israélien apporte une réponse nouvelle. Contrairement à l’idée reçue, la diaspora ne naquit pas de l’expulsion des Hébreux de Palestine, mais de conversions successives en Afrique du Nord, en Europe du Sud et au Proche-Orient. Voilà qui ébranle un des fondements de la pensée sioniste, celui qui voudrait que les Juifs soient les descendants du royaume de David et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars.
»«Tout Israélien sait, sans l’ombre d’un doute, que le peuple juif existe depuis qu’il a reçu la Torah ( 1) dans le Sinaï, et qu’il en est le descendant direct et exclusif. Chacun se persuade que ce peuple, sorti d’Egypte, s’est fixé sur la « terre promise », où fut édifié le glorieux royaume de David et de Salomon, partagé ensuite en royaumes de Juda et d’Israël. De même, nul n’ignore qu’il a connu l’exil à deux reprises : après la destruction du premier temple, au VIe siècle avant J.-C., puis à la suite de celle du second temple, en l’an 70 après J.C.»
...«S’ensuivit pour lui une errance de près de deux mille ans : ses tribulations le menèrent au Yémen, au Maroc, en Espagne, en Allemagne, en Pologne et jusqu’au fin fond de la Russie, mais il parvint toujours à préserver les liens du sang entre ses communautés éloignées. Ainsi, son unicité ne fut pas altérée. A la fin du XIXe siècle, les conditions mûrirent pour son retour dans l’antique patrie. Sans le génocide nazi, des millions de Juifs auraient naturellement repeuplé Eretz Israël (« la terre d’Israël ») puisqu’ils en rêvaient depuis vingt siècles.» «Vierge, la Palestine attendait que son peuple originel vienne la faire refleurir. Car elle lui appartenait, et non à cette minorité arabe, dépourvue d’histoire, arrivée là par hasard. Justes étaient donc les guerres menées par le peuple errant pour reprendre possession de sa terre ; et criminelle l’opposition violente de la population locale.»....«D’où vient cette interprétation de l’histoire juive ? Elle est l’œuvre, depuis la seconde moitié du XIXe siècle, de talentueux reconstructeurs du passé, dont l’imagination fertile a inventé, sur la base de morceaux de mémoire religieuse, juive et chrétienne, un enchaînement généalogique continu pour le peuple juif. L’abondante historiographie du judaïsme comporte, certes, une pluralité d’approches. Mais les polémiques en son sein n’ont jamais remis en cause les conceptions essentialistes élaborées principalement à la fin du XIXe siècle et au début du XXe.Le judaïsme, religion prosélyte.» 
....«Bref, en soixante ans, l’histoire nationale a très peu mûri, et elle n’évoluera vraisemblablement pas à brève échéance. Pourtant, les faits mis au jour par les recherches posent à tout historien honnête des questions surprenantes au premier abord, mais néanmoins fondamentales.»
...«Les historiens sionistes n’ont cessé, depuis, de réitérer ces « vérités bibliques », devenues nourriture quotidienne de l’éducation nationale.»
..«Mais voilà qu’au cours des années 1980 la terre tremble, ébranlant ces mythes fondateurs. Les découvertes de la « nouvelle archéologie » contredisent la possibilité d’un grand exode au XIIIe siècle avant notre ère. De même, Moïse n’a pas pu faire sortir les Hébreux d’Egypte et les conduire vers la « terre promise » pour la bonne raison qu’à l’époque celle-ci... était aux mains des Egyptiens. On ne trouve d’ailleurs aucune trace d’une révolte d’esclaves dans l’empire des pharaons, ni d’une conquête rapide du pays de Canaan par un élément étranger.» 
..«Il n’existe pas non plus de signe ou de souvenir du somptueux royaume de David et de Salomon. Les découvertes de la décennie écoulée montrent l’existence, à l’époque, de deux petits royaumes : Israël, le plus puissant, et Juda, la future Judée. Les habitants de cette dernière ne subirent pas non plus d’exil au VIe siècle avant notre ère : seules ses élites politiques et intellectuelles durent s’installer à Babylone. De cette rencontre décisive avec les cultes perses naîtra le monothéisme juif.»
«L’exil de l’an 70 de notre ère a-t-il, lui, effectivement eu lieu ? Paradoxalement, cet « événement fondateur » dans l’histoire des Juifs, d’où la diaspora tire son origine, n’a pas donné lieu au moindre ouvrage de recherche. Et pour une raison bien prosaïque : les Romains n’ont jamais exilé de peuple sur tout le flanc oriental de la Méditerranée. A l’exception des prisonniers réduits en esclavage, les habitants de Judée continuèrent de vivre sur leurs terres, même après la destruction du second temple.» «Une partie d’entre eux se convertit au christianisme au IVe siècle, tandis que la grande majorité se rallia à l’islam lors de la conquête arabe au VIIe siècle. La plupart des penseurs sionistes n’en ignoraient rien : ainsi, Yitzhak Ben Zvi, futur président de l’Etat d’Israël, tout comme David Ben Gourion, fondateur de l’Etat, l’ont-ils écrit jusqu’en 1929, année de la grande révolte palestinienne. Tous deux mentionnent à plusieurs reprises le fait que les paysans de Palestine sont les descendants des habitants de l’antique Judée (2).» 
...«A défaut d’un exil depuis la Palestine romanisée, d’où viennent les nombreux Juifs qui peuplent le pourtour de la Méditerranée dès l’Antiquité ? Derrière le rideau de l’historiographie nationale se cache une étonnante réalité historique. De la révolte des Maccabées, au IIe siècle avant notre ère, à la révolte de Bar-Kokhba, au IIe siècle après J.-C, le judaïsme fut la première religion prosélyte. Les Asmonéens avaient déjà converti de force les Iduméens du sud de la Judée et les Ituréens de Galilée, annexés au « peuple d’Israël ». Partant de ce royaume judéo-hellénique, le judaïsme essaima dans tout le Proche-Orient et sur le pourtour méditerranéen. Au premier siècle de notre ère apparut, dans l’actuel Kurdistan, le royaume juif d’Adiabène, qui ne sera pas le dernier royaume à se « judaïser » : d’autres en feront autant par la suite.» ...«Les écrits de Flavius Josèphe ne constituent pas le seul témoignage de l’ardeur prosélyte des Juifs. D’Horace à Sénèque, de Juvénal à Tacite, bien des écrivains latins en expriment la crainte. La Mishna et le Talmud (3) autorisent cette pratique de la conversion — même si, face à la pression montante du christianisme, les sages de la tradition talmudique exprimeront des réserves à son sujet.»
...«La victoire de la religion de Jésus, au début du IVe siècle, ne met pas fin à l’expansion du judaïsme, mais elle repousse le prosélytisme juif aux marges du monde culturel chrétien. Au Ve siècle apparaît ainsi, à l’emplacement de l’actuel Yémen, un royaume juif vigoureux du nom de Himyar, dont les descendants conserveront leur foi après la victoire de l’islam et jusqu’aux temps modernes. De même, les chroniqueurs arabes nous apprennent l’existence, au VIIe siècle, de tribus berbères judaïsées : face à la poussée arabe, qui atteint l’Afrique du Nord à la fin de ce même siècle, apparaît la figure légendaire de la reine juive Dihya el-Kahina, qui tenta de l’enrayer. Des Berbères judaïsés vont prendre part à la conquête de la péninsule Ibérique, et y poser les fondements de la symbiose particulière entre juifs et musulmans, caractéristique de la culture hispano-arabe.» 
...«La conversion de masse la plus significative survient entre la mer Noire et la mer Caspienne : elle concerne l’immense royaume khazar, au VIIIe siècle. L’expansion du judaïsme, du Caucase à l’Ukraine actuelle, engendre de multiples communautés, que les invasions mongoles du XIIIe siècle refoulent en nombre vers l’est de l’Europe. Là, avec les Juifs venus des régions slaves du Sud et des actuels territoires allemands, elles poseront les bases de la grande culture yiddish (4).»
...«Ces récits des origines plurielles des Juifs figurent, de façon plus ou moins hésitante, dans l’historiographie sioniste jusque vers les années 1960 ; ils sont ensuite progressivement marginalisés avant de disparaître de la mémoire publique en Israël. Les conquérants de la cité de David, en 1967, se devaient d’être les descendants directs de son royaume mythique et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars. Les Juifs font alors figure d’« ethnos » spécifique qui, après deux mille ans d’exil et d’errance, a fini par revenir à Jérusalem, sa capitale.» 
...«Les tenants de ce récit linéaire et indivisible ne mobilisent pas uniquement l’enseignement de l’histoire : ils convoquent également la biologie. Depuis les années 1970, en Israël, une succession de recherches « scientifiques » s’efforce de démontrer, par tous les moyens, la proximité génétique des Juifs du monde entier. La « recherche sur les origines des populations » représente désormais un champ légitimé et populaire de la biologie moléculaire, tandis que le chromosome Y mâle s’est offert une place d’honneur aux côtés d’une Clio juive (5) dans une quête effrénée de l’unicité d’origine du « peuple élu ». 
....«Cette conception historique constitue la base de la politique identitaire de l’Etat d’Israël, et c’est bien là que le bât blesse ! Elle donne en effet lieu à une définition essentialiste et ethnocentriste du judaïsme, alimentant une ségrégation qui maintient à l’écart les Juifs des non-Juifs — Arabes comme immigrants russes ou travailleurs immigrés.»
....«Ecrire une histoire juive nouvelle, par-delà le prisme sioniste, n’est donc pas chose aisée. La lumière qui s’y brise se transforme en couleurs ethnocentristes appuyées. Or les Juifs ont toujours formé des communautés religieuses constituées, le plus souvent par conversion, dans diverses régions du monde : elles ne représentent donc pas un « ethnos » porteur d’une même origine unique et qui se serait déplacé au fil d’une errance de vingt siècles.»
 
«Le développement de toute historiographie comme, plus généralement, le processus de la modernité passent un temps, on le sait, par l’invention de la nation. Celle-ci occupa des millions d’êtres humains au XIXe siècle et durant une partie du XXe. La fin de ce dernier a vu ces rêves commencer à se briser. Des chercheurs, en nombre croissant, analysent, dissèquent et déconstruisent les grands récits nationaux, et notamment les mythes de l’origine commune chers aux chroniques du passé. Les cauchemars identitaires d’hier feront place, demain, à d’autres rêves d’identité. A l’instar de toute personnalité faite d’identités fluides et variées, l’histoire est, elle aussi, une identité en mouvement.»
Shlomo Sand
: Historien, professeur à l’université de Tel-Aviv, auteur de "Comment le peuple juif fut inventé".
(1) Texte fondateur du judaïsme, la Torah — la racine hébraïque yara signifie enseigner — se compose des cinq premiers livres de la Bible, ou Pentateuque : Genèse, Exode, Lévitique, Nombres et Deutéronome.
(2) Cf. David Ben Gourion et Yitzhak Ben Zvi, « Eretz Israël » dans le passé et dans le présent (1918, en yiddish), Jérusalem, 1980 (en hébreu) et Ben Zvi, Notre population dans le pays (en hébreu), Varsovie, Comité exécutif de l’Union de la jeunesse et Fonds national juif, 1929.
(3) La Mishna, considérée comme le premier ouvrage de littérature rabbinique, a été achevée au IIe siècle de notre ère. Le Talmud synthétise l’ensemble des débats rabbiniques concernant la loi, les coutumes et l’histoire des Juifs. Il y a deux Talmud : celui de Palestine, écrit entre le IIIe et le Ve siècle, et celui de Babylone, achevé à la fin du Ve siècle.
(4) Parlé par les Juifs d’Europe orientale, le yiddish est une langue slavo-allemande comprenant des mots issus de l’hébreu.
(5) Dans la mythologie grecque, Clio était la muse de l’Histoire.
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( A suivre.....)

29 juin 2010

Une Fatalité Historique Algérienne: Chaque Génération Produit Son Lot De Harkis Et Rénégats.


Déniché sur le Net un article révélateur en prélude à mon article suivant, plus détaillé.(lien)

« : Le bloc note de Yazid Haddar »

(Mercredi 2 juin 2010.)

Monologue du fana de Zemmour


 Je viens de lire cette article, avec une semaine de retard, mais..! je le trouve très intéressant, car il aborde une question de l’immigration d'une manière manqueuse et réflexive..à vous de jugerPar Paris : Akram B.(dans le quotidien d'oran )  


 haddar yazid:
«Oui, c'est à  vous que je parle puisque vous me regardez de travers. Ça vous plait pas ? Je dis ce que je veux. Je suis chez moi ! On est chez nous ! Y'en a marre de nous complexer. Ça fait une demi-heure que j'attends le bus et vous savez pourquoi il n'en arrive pas ? Parce qu'ils sont tous en RTT et qu'ils prennent leurs congés alors qu'ils savent que les gens sont en vacances et qu'ils ont des trains à prendre. J'ai essayé d'arrêter trois taxis, vous l'avez bien vu, hein ? Vous savez ce qu'il m'a dit le dernier ? J'prends pas les clients avec des chiens. Il voyait bien que c'était un petit caniche et qu'en plus il était dans sa cage. Mais, non ! Il m'a dit, c'est à cause de l'odeur, ça incommode les clients. Tu parles ! Le chien on le lave tous les mois ! »
(Note:  Bizarre, l'hommelette avec son caniche dans les rues de Paris, il risque de se faire embarqué! )

«C'est pas la première fois que ça nous arrive. Et je vais vous dire pourquoi. Dans ce pays, les chauffeurs de taxi sont tous musulmans ou presque. C'est connu que les musulmans n'aiment pas les chiens. En plus, mon clebs est noir, alors ça, pour les Arabes, ça peut pas marcher. Résultat, on va rater notre train. C'est pas vrai que les Français ne veulent pas faire le taxi. Y'en a plein qui aimeraient bien mais on leur fait comprendre que c'est pas pour eux et ils finissent par revendre leur licence. Je le sais, j'ai un beau-frère qui travaille à la préfecture. Et c'est la même chose pour d'autres jobs. Les Noirs et les Arabes les contrôlent et empêchent les Français de les avoir. Ça vous plait pas ce que je dis ? Tant mieux. Si tout le monde avait le courage de parler comme moi, on n'en serait pas là !»

  «Ah, elle est belle la France ! Vous verrez. Demain, tous les chauffeurs de bus seront barbus et il y aura des speakerines voilées à la télé. Et nous, on n'aura plus qu'à prendre le maquis ou à aller vivre ailleurs. On n'a rien demandé. Ils ont voulu leur indépendance et maintenant, ils viennent travailler chez nous. On a construit leur pays, on a ouvert des routes, on les a sorti de la misère mais ensuite ils nous ont dit merci, c'est bon, maintenant vous pouvez partir. On aurait dû tout détruire avant de se barrer. Remarque ça leur a tellement bien réussi leur indépendance qu'ils se mettent à nous envahir.»

  «Ils deviennent Français pour les allocations familiales, tout le monde le sait. Ils chanteront jamais la Marseillaise mais ils disent pas non au fric. Dans leurs pays, y peuvent pas être polygames, ça coûte trop cher. Mais ici, y'a de l'argent puisque c'est nous qu'on paye. Le gars de Nantes, quatre femmes grâce à l'argent du contribuable, c'est pas en Algérie qu'il pourrait se le permettre. Y'a des fois où j'ai vraiment envie de foutre le camp. J'irai chez les Flamands. Chez eux, ça se passe pas comme ici. Le propriétaire du pays, il sait se faire respecter. Il fait pas semblant d'aimer le rap et toutes ces conneries d'art africain que personne ne comprend.»

  «Non ! Non, je ne suis pas raciste ! Je respecte les gens, moi monsieur. J'ai jamais dis que le Français il est supérieur aux autres. J'dis simplement que chacun doit rester chez soi. Moi j'ai pas envie d'aller vivre au Maghreb. Je vois pas pourquoi les Maghrébiens (sic) viendraient chez nous. Ou alors, il faut qu'ils deviennent comme nous. Il a raison monsieur Zemmour. Pourquoi est-ce qu'ils prennent pas des prénoms français ? Et pourquoi est-ce qu'ils deviennent pas chrétiens comme nous ? Ils veulent être Français, alors il faut qu'ils acceptent de changer. Sinon, qu'ils restent chez eux. Ça devrait être dans la loi. Tant que ce sera pas comme ça, on sera envahis.»

  «Zemmour, j'en suis fana. C'est le meilleur des journalistes. C'est pas une chiffe molle comme tous les autres avec leurs brushings. Il dit les choses que personne n'ose dire. Moi, je lui serrerais bien la main pour le remercier. Quand je l'entends parler à la télé le samedi soir, il me fait du bien. Je vais me coucher en m'disant qu'il y a de l'espoir. Que c'est pas encore foutu. On devrait virer tous ceux qui ne sont pas d'accord avec lui. La dictature, j'chui pas contre tant que c'est bien pour le pays. Ça sert à quoi la République, si elle devient islamiste ? Faudrait un bon coup dans la fourmilière. Ca réveillerait tout le monde.»

« Tiens regardez ce taxi, là. Il me nargue. Ça fait deux fois qu'il passe. Il sait que je suis pressé mais y veut pas de mon chien. Si ma femme portait le voile, il s'arrêterait ! La dernière fois, on a pris un taxi à la Gare du Nord. Le gars écoutait une radio arabe. Je lui ai demandé de changer de chaîne parce qu'il n'avait pas à m'obliger à écouter du charabia. Il a fait semblant de ne pas entendre. J'ai gueulé. Vous savez ce qu'il a fait ? Il m'a dit : « maintenant, tu descends ». Y'a dix ans, jamais un chauffeur de taxi arabe n'aurait fait ça. Maintenant, ils n'ont peur de rien. Normal : ils sont chez eux, non ? »

  «Un jour, on va se réveiller et il n'y aura plus de nation française. Y'aura des burqas partout et on pourra plus manger de cochon. Moi, les burqas, j'hésiterais pas. La bonne femme qui se balade avec, je le lui enlève dans la rue, devant tout le monde. Et s'il le faut, je la fout à poil, comme ça elle s'en souviendra et elle recommencera plus. C'est que comme ça qu'on se fera respecter. En plus, il paraît qu'il y a plein de mecs qui se baladent sous la burqa. Des clandestins, des gens qui ont des trucs à se reprocher et que la police n'arrive pas à repérer. C'est ça, haussez les épaules. Allez, tirez-vous, va ! Je suis chez moi. Je dis ce que je veux. Je suis chez moi ! » 
                      
  Par Haddar Yazid.

23 juin 2010

Boualem Sansal : Ecrivain-Caméléon, Algérien Ou Diasporachik ?

AKADEM :  Le campus numérique juif.
-"Qui sont-ils ? " : AKADEM est une initiative du Fonds Social Juif Unifié. Avec le soutien financier de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah.
Le campus définit clairement sa mission et il n'y a qu'à survoler leur site pour confirmer son rôle de porte parole du "judaisme de façade" et du "talmudisme-sionisme d'arrière boutique ". L'image publique du judaisme officiel, présentée à travers son contenu religieux, philosophique, politique, social, en un mot l'organisation du pouvoir juif dans sa domination graduelle, progressive du Monde. Un résumé de l'impression qui se dégage de cette intrusion dans les couloirs de cette hégémonie planétaire, qui se confirme de manière si insolente au début de ce millénaire, revient à reconnaitre combien assidu le juif est dans son entreprise égo-centriste de recherche de la cohésion communautaire sur des fondements raciaux-religieux, et son mépris du reste de l'humanité. Les juif- talmudes justifient cette égoïsme comme réponse aux persécutions, la fictive Shoah, et leurs méfaits contre les '"Goyim" comme légitime défense pour la sauvegarde de leur droit à l'existence. Israël est le point de ralliement et un repère dans l'idéologie politique, le sionisme, qui permet d'alimenter le nationalisme qui manquait pour cimenter les liens de la communauté juive dispersée sur les 5 continents. Il est faux d'y voir un refuge pour les juifs, qui n'ont aucune intention de s'y installer, sauf pour les coreligionnaires des couches sociales politiquement et économiquement  défavorisées, les fanatiques religieux, les banques-recèles des richesses détournées dans le monde, et surtout ceux en charge de leur technocratie militaire qui gère les armes de destruction massive, dont le nucléaire, cette lourde menace contre le reste de l'humanité. C'est la raison principale justifiant l'insistance des juifs à maintenir leur monopole sur cette arme au dépens de leurs voisins, de l'Iran en particulier. L'arme nucléaire est l'épée de Damoclès brandie par le prédateur juif au dessus de la tête de ses voisins musulmans, un levier du contrôle sur la région et gage de l'impunité de sa belligérance permanente gratuite. 
Akadem offre un large éventail de documents (essentiellement en langue française) qui permettent de pénétrer superficiellement le monde du sionisme-talmudisme et d'en déchiffrer les préceptes à travers les conférences vidéo, les exposés des penseurs de la diaspora, ses réseaux internationaux, ses agents luminaires attitrés et ceux invités-collabos agissant dans l'ombre, derrière leur rôle de personnalité publique planant comme des vautours sur le champ médiatique. N'oublions pas les écrivains-historiens-journalistes-militants des droits de l'homme. Beaucoup sont originaires d'horizons traditionnellement non soumis à la présence dominante juive. C'est le cas Boualem Sansal, un écrivain algérien ! Ce personnage très adroit dans ses écrits et ses romans, dissimule son parti pris de crypto juif et n'affiche jamais ses convictions ou sa loyauté à la nébuleuse sioniste. Il dissimule ses armes sous l'apparence de textes fictifs qui ne sont pas pour autant neutres ou distants des vues prônées par les penseurs du "clash des civilisations". Sous prétexte de dénoncer l'extrémisme religieux des islamistes il brille dans l'art du dénigrement subtile de l'Islam dont il fait l'amalgame avec terrorisme.
Il aborde les sujets d'actualité du genre immigration clandestine (harraga) non sous l'angle de l'analyse sociologique mais en y étalant la stratégie du pourrissement des valeurs et des idéaux selon la technique d'ingénierie sociale martelée par les "défenseurs" des libertés et les laïques "démocrates" experts de la fabrication et diffusion du désespoir social. Au cours  d'un débat-rencontre littéraire chez  "Littera05" (Lien), il étale son "savoir".
L'introduisant la speakerine kosher Anne-Marie Smith annonce :
« Il fait alors de la littérature une arme pour combattre toutes les formes d'amnésie et les révisionnismes de toutes sortes.» (combat contre le négationnisme-révisionnisme qui réfute l'holocauste sioniste, mais défend son propre révisionnisme, l'existence de liens de la révolution algérienne avec le nazisme hitlérien !)  
«En 2003, vous avez été limogé de votre poste en raison de vos prises de position critiques sur l'arabisation de l'enseignement et l'islamisation de l'Algérie»
«Encouragé par votre ami le romancier Rachid Mimouni, vous commencez à écrire et publiez votre premier roman, Le serment des barbares (Gallimard, 1999), à l’âge de cinquante ans.»
 Dans un verbiage propre à ces dégénérés désemparés qui tentent de manipuler l'opinion grâce à la maitrise du verbe véhiculant leur idées perversives, Sansal répond : (extraits)
-«Il fallait chercher ailleurs. Il fallait rentrer dans l’intimité de l’être humain, de l’Algérien et on se rend compte que ça va chercher loin dans l’histoire, dans la psychologie, dans la culture et la littérature permettait de comprendre. L’être humain n’est pas dans la rationalité ; il est dans la passion, le mystère, la magie.»  
(Notez la diversion et le non-sens: mystère ? Magie ?)
-«La littérature permet d’approcher la vérité.»  (Plutôt diffuser le mensonge et bercer l'opinion d'illusions et souvent distiller la corruption morale et religieuse )
-«C’est ce que j’ai fait dans Le serment des Barbares où j’ai essayé de comprendre toute cette violence dans laquelle on peut basculer, même si on apparaît très pacifique. Regardez le peuple allemand, l’un des peuples les plus cultivés d’Europe, les plus structurés, comment il est tombé. Pour comprendre, il faut chercher très loin dans le mystère de l’être humain.»
Là, Sansal fait allusion à sa contribution au mythe de la Shoah, au parallèle nazi-islam cher à la propagande sioniste, et revient sur ce "mystère de l'être humain" pour confondre les malheureuses victimes parmi ses lecteurs qui le suivraient sur la voix de la déraison. Déraison feinte, car Sansal est un homme intelligent et rationnel qui n'écrit pas ce charabia par conviction, mais pour remplir fidèlement une mission. Laquelle ?
Son œuvre est axée sur 3 thèmes différents mais tous associés avec la stratégie du Nouvel Ordre Mondial Juif  ciblant entre autres l'Algérie et ses spécificités: Islam-nationalisme-arabité.
1-pour l'Islam, l'implantation du terrorisme islamiste wahabiste (allié des CIA-MOSSAD) comme "action", face à sa "réaction" le laïcisme laxiste qu'adopte Sansal,
2-le militantisme révolutionnaire hypocrite et crapuleux, face à la mouvance démobilisatrice défaitiste (Sansal) qui commercialise le désespoir (chômage marginal , harraga, corruption, tous les maux sociaux "amplifiés" par la presse "démocratique"):
3- l'arabisation dogmatique sans vision "civilisationnelle" intentionnellement modulée pour être agressive et non pédagogique, face à sa réaction l'amazighité chauvine et disproportionnée soutenue par les média locaux et internationaux (juifs) pour exacerber les divisions potentielles fictives et irrationnelles( Sansal)
Trois thèmes dans lesquels Sansal excelle tout en apportant une touche personnelle par l'introduction du mythe de la Shoah, dont il s'est fait un porte parole. Son "œuvre"  démontre son militantisme au service de la propagande sioniste du "génocide" fictif et  martyr du peuple juif. Il le dit avec passion :
-«A Sétif, on m’a expliqué que c’était le village de l’Allemand. Dans ce village vivait un ancien SS allemand qui avait fait les camps de la mort mais  héros de la guerre de libération. Plus tard, ayant décidé d’écrire ce livre, j’ai refait le parcours de cet homme-là. C’était un ancien chimiste qui avait participé comme expert à la fabrication du Zyklon B ; Après la débâcle allemande, il avait fui par la filière du Moyen-Orient et avait été exfiltré vers l’Egypte. Il avait été récupéré par les services secrets du roi Farouk, puis s’était rapproché de Nasser. Au moment de la guerre de libération en Algérie, Nasser l’avait envoyé auprès du Colonel Boumediene comme conseiller technique pour former des officiers. A l’indépendance, il était resté en Algérie où il s’était marié et s’était converti à l’islam. Il est mort de sa belle mort en 1995. C’est cette histoire que j’ai voulu raconter mais pas de cette manière-là. Raconter l’histoire d’une crapule ne m’intéressait pas.» 
(Notez le courroux de notre écrivain: "crapule"; de la bouche d'un Cohen le mot serait compréhensible, mais de Sansal c'est un lapsus qui cacherait son "chassé le naturel...)
Il déballe toutes les contre vérités que la propagande de la Shoah divulgue depuis 60 ans pour justifier sa colonisation de la Palestine, la fabrication de la fraude historique des chambres à gaz (zyklon B), etc... Les historiens intègres et objectifs, experts de la question, maitres du sujet de la 2eme guerre mondiale, dénoncent comme la plus grande fraude de l'histoire du 20 èm siècle, cette mythologie de l'holocauste (Voir Faurisson et  l'AAARGH ).
Sansal plaide donc non seulement pour la sacralisation de ce dogme de la Shoah, mais insère son poignard dans le dos de la révolution algérienne en introduisant des doutes sur ses dirigeants et son encadrement, énonçant un nouveau révisionnisme calqué sur la propagande sioniste.
Durant son débat à  (Lien) «la rencontre s’est terminée par la lecture du poème de Primo Levi, que Boualem Sansal a introduit dans son livre à la page 68 (poème imagée dédié à l'holocauste) :
     «...Qui ne connait pas de repos,
       Qui se bat pour un quignon de pain,
       Qui meurt pour un oui pour un non.
       Considérez si c'est une femme
       Que celle qui a perdu son nom et ses cheveux
       Et jusqu'à la force de se souvenir,
       Les yeux vides et le sein froid
       Comme une grenouille en hiver.
       N'oubliez pas que cela fut,
       Non, ne l'oubliez pas:
       Gravez ces mots dans votre coeur.
       Pensez-y chez vous, dans la rue,
       En vous couchant, en vous levant;
       Répétez-les à vos enfants.
»

Durant son interview à "Akadem", notre "penseur" : 
«Les systèmes dominants, le capitalisme, l’Eglise, la Mosquée produisent le discours.»
«Nous, nous ne faisons qu’entendre et on se laisse positionner. Dans les pays démocratiques, ce conditionnement se fait mais on a la liberté de choisir : choisir un parti politique, militer, entrer en débat …»
Demandez Mr Sansal, aux militants qui luttent contre la dictature juive-sioniste en France et ailleurs, et défendent leur droit démocratique d'étudier et d'analyser scientifiquement et rationnellement l'histoire de la 2ème guerre mondiale, si la possibilité leur est offerte de débattre publiquement de l'holocauste et du dogme religieux de la Shoah ! La plus part sont emprisonnés, harassés, menacés physiquement et agressés, limogés des universités, soumis au déluge de feux des média Kosher, ces mêmes presse-télévision-site internet qui vous offrent leur crachoir pour "récupérer" le venin qui dégouline de votre typique Chutzpah (effronterie) de crypto juif.
«Dans un système totalitaire, non. Une autorité produit le discours qui vous dit qui vous êtes, ce que vous devez penser…et le seul choix qu’on vous laisse c’est celui d’exécuter. En Algérie, depuis l’indépendance, nous sommes dans un système totalitaire avec un parti unique dont le discours nous a dit : le peuple algérien est arabe, le peuple algérien est musulman… et vous devez être ce qu’on vous dit.»
(Notez l'amalgame : capitalisme, système totalitaire, parti unique, arabe, musulman..., les mots ne sont pas fortuits et l'association qu'on en fait également, le conditionnement de la pensée en est une résultante, a force de répétition Islam est devenu dans la conscience populaire de la masse des moutons de la planète lié à terrorisme-attentat-bombe-etc...) 
Il ajoute dans le même registre : «Les Algériens se sont laissé piéger par ce système totalitaire qui au départ vous impose des définitions ; vous finissez par y croire et vous êtes convaincu. Le système totalitaire n’a plus besoin de vous surveiller : vous vous définissez vous-même comme étant arabe, musulman …etc… Et là vous devenez votre propre bourreau, vous devenez un relais du système totalitaire. Dans cette lettre, je dis à mes compatriotes : réveillez-vous ! Je prends les éléments l’un après l’autre pour démontrer qu’ils sont faux. Par exemple, le premier point : dire que l’Algérien est un Arabe. Avant le jour de l’indépendance, nous étions français, de culture française. Avant l’arrivée des Français nous étions ottomans. Avant encore nous étions sous la domination du Caire, de Damas … et avant ça nous étions Byzantins, et avant nous étions Romains et encore avant des Berbères… On est passé par toutes ces étapes. Je prends comme ça ce que le gouvernement appelle « les constantes nationales » et je les décortique… Je dis à mes compatriotes de refuser les définitions. Il appartient à l’individu de se réapproprier cette liberté de se définir lui-même, sachant qu’on peut changer sa définition au fil des années.» 
N'oublions pas que Sansal critique avec virulence les "constantes nationales", se gargarisant de sa perspicacité et bon sens, mais est si généreux et tolérant envers "l'inconstant, inconsistant et capricieux, majoritairement sectaire et raciste mystification" de l'épopée mythologique berbère qu'il glorifie dans son livre "Petit éloge de la mémoire. Quatre mille et une années de nostalgie." 
Sansal excelle donc dans tout le répertoire musical des instruments jouant la division et  la propagande qui menace la cohésion nationale en Algérie, il n'est ni le premier ni le dernier, un parmi les nombreux "prix internationaux' qui sillonnent les média juifs à bord de la navette "Laicité-démocratie-amazighité-droits de l'homme". Il est cependant un des rares à recevoir tant de soutien moral et financier (pour son verbiage qualifié de publication littéraire) de la part de l'oligarchie juive, dont son hôte convivial et chaleureux, "Akadem.org" est un représentant significatif !  Retour glorieux parmi les siens ou pure exhibitionnisme intellectuel, pour ne pas dire strip tease ? Un avis qui soulèvera des réprobations parmi nos amis intellectuels de la laïcité et tolérance baisse culotte, dont la largesse d'esprit ne s'embarrasse pas de ces considérations "conspirationnistes" flirtant avec l'antisémitisme, un péché capital en ces temps de tyrannie juive. 

Pour confirmation et analyse plus détaillée consultez la vidéo au lien "akadem.org", ou téléchargez l'enregistrement audio (MP3). 

19 juin 2010

Crise Financière Icelandaise: Cas D'École De La Prédation Judéo-Talmude.

Beaucoup d'encre a coulé sur l'escroquerie du siècle opérée par Bernard Maddof  (voir excellent article au Lien ) selon le schéma frauduleux ou "ponzi scheme", mais très peu de commentaires associent la faillite de l'Islande (Iceland)   avec les méfaits des prédateurs juifs, parmi eux des Israéliens.
(Toute la nébuleuse Talmude est exposée dans le détail au Lien , édifiant et révélateur!)
Un article dans RebelNews (Lien) et (Lien) éveilla ma curiosité en mentionnant le fait que la " première dame " d'Islande, Dorrit Moussaieff  l'épouse du président Islandais est une juive israélienne:
«L'israélienne Dorrit Moussaieff la "fabuleusement riche mondaine épouse du Président de l'Islande." Alors pourquoi une "richissime" Juive israélienne se marierait avec le président d'une petite nation nordique de l'Atlantique Nord?»
Un pays de 320000 habitants comprenant une centaine de juifs, n'a pas été épargné par les ambitions talmudes de contrôle pour le pillage (et la dépravation morale  ). -Comment ?
-Simplement en prenant contrôle des banques  (Glitnir, Landsbanki et Kaupþing) à distance (via les liens existants avec la finance de la communauté kosher du Danemark (un réservoir kosher) d'Israél et des USA !), et des principaux partis politiques, en mobilisant leur média (déjà sous leur emprise en1886 !) et en désolidarisation la société (chrétienne) par la destruction des moeurs, coutumes et valeurs morales traditionelles. La présence américaine aidant (base de l'Otan) et l'élection de personnalités juives dans les gouvernements successifs (premiers ministres: David Oddsson (1), Johanna Sigurðardóttir (2)) L'Islande a récemment arrêté plusieurs anciens dirigeants de la banque Kaupthing (*), la plus grande banque islandaise, impliquées dans l'effondrement de l'économie islandaise à l'automne 2008. Les banques Kaupthing et autres sont responsables du pillage d'une grande partie de la richesse de l'Islande (et d'autres pays). Deux des anciens dirigeants de la banque ont récemment été détenu en isolement cellulaire pour faciliter l'enquête islandaise.
Le Premier ministre Johanna Sigurdardottir (une correligionnaire talmude qui va convenablement aider à couvrir les arrières dans l'opération et étouffer les poursuites judiciaires) a solennellement déclaré (pour la galerie bien sûr) :
«Le  Procureur spécial de l'Islande étudie un certain nombre de cadres anciens de Kaupthing pour les manipulations de marché et des falsifications présumées.»
Avant son effondrement, Kaupthing a prêté plus de 12 milliards de dollars dans des affaires louches qui ont été "sinon pas illégales, mais contraire à l'éthique tout court." (notez l'euphémisme).
Lorsque Kaupthing, Glitnir Bank, Landsbanki Islands et se sont effondrés en Octobre 2008, ils avaient amassé des dettes équivalentes à 12 fois le produit intérieur brut de l'Islande. Après avoir pris le contrôle des trois banques, le gouvernement a été contraint de demander 4,6 milliards de dollars de prêts du Fonds monétaire international-pour maintenir l'économie à flot. Si les agence ou organisme gouvernementaux étrangers de "renseignement"  étaient impliqués dans la faillite de l'Islande, qui est membre de l'OTAN, ces agissements devraient être considérés comme un acte de guerre. Le portefeuille des prêts de la Kaupthing (info obtenue par fuite sur Internet) montre que près d'un tiers de ces 20 milliards de dollars accordés aux sociétés avaient en fait échoué dans le cercle d'une petite élite connectée aux propriétaires de la banque et ses administrateurs. Un des propriétaires de Kaupthing, le plus gros débiteur de la banque (on n'est jamais mieux servi que par soi-même) est le Juif Robert Tchenguiz, precédemment en faillite en Irak et en Iran. Les livres comptables de la banque de crédit  (document publié grâce à une fuite) montre que Tchenguiz avait emprunté un montant de 3 milliards de dollars à la banque pour financer ses investissements privés. Tchenguiz et son frère Vincent sont des magnats des affaires basés à Londres. Robert était propriétaire de Kaupthing et l'un des principaux actionnaires de EXISTA, une entreprise qui a été le principal actionnaire de la banque.
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(*) Landsbanki Islands a été transformé en société anonyme le Janvier 1, 1998. L'entreprise a ensuite été privatisée par étapes entre 1998 et 2003. Samson Holdings est devenu le principal actionnaire.  Samson Holdings était détenue par Bjorgolfur Thor Bjorgolfsson et son père (homme d'affaire kosher basé à Londres).Landsbanki se positionne comme le principal fournisseur de l'Islande en services financiers spécialisés aux individus, aux personnes morales et aux institutions. La banque détient une part de marché de plus de 30% dans tous les segments d'affaires et a le réseau national de succursales le plus étendu. En fin d'année 2006, Landsbanki fournissait près de 40% des prêts aux entreprises en Islande, et pour environ 60% des sociétés cotées à la Bourse OMX Islande Stock, Landsbanki était leur banque principale ou l'une des deux banques avec lesquelles on "faisait" des affaires. Le principal fournisseur de M & A, les produits dérivés, d'équité et de services à revenu fixe, Landsbanki a également un plus de 40% du marché FX. En outre, Landsbanki offre une gamme complète de services de gestion d'actifs, avec une part de 34 marchés dans le secteur des fonds nationaux%.
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(1)Un autre agent prédateur, premier ministre, ministre des finances , gouverneur de la banque centrale (au moment du crash islandais, par coincidence)
Gouverneur de la Banque centrale (2005-2009)
En Octobre 2005, David a été nommé gouverneur de la Banque centrale d'Islande. Après l'effondrement du système bancaire islandais à l'automne de 2008, la nation a été contrainte de demander de l'aide financière au Fonds Monétaire International et à des nations amies. Sauf pour quelques amis, les îles Féroé étant le premier, suivi par des amis peu probables, mais solides comme la Pologne dont l'aide ne s'est pas matérialisée. Certains blâment l'effondrement du système sur des facteurs externes, principalement un défaut structurel dans l'accord EEE, et la brutalité du gouvernement britannique qui a mis les institutions financières
islandaises sur la liste des organisations terroristes. Autres facteurs sur lesquels rejeter le blâme sont les politiques économiques suivies par le Parti de l'indépendance sous la direction de David, tels que la libéralisation des marchés et la privatisation.
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(2)Wikipedia : «Le 30 janvier 2009, elle est chargée de former le gouvernement, suite à la grave crise économique qui, sous la pression populaire, a entraîné la démission de Geir Haarde. Elle est la première femme à accéder au poste de Premier ministre en Islande, ainsi que la première chef de gouvernement au monde à s'être déclarée ouvertement homosexuelle.»«Elle a une sœur jumelle. D'abord mariée avec Þorvaldur Steinar Jóhannesson elle a avec lui deux garçons nés en 1972 et 1977.» 
«En 2002, Jóhanna épouse en union civile sa compagne, la femme de lettres et journaliste Jónína Leósdóttir (une juive bien sûr), de douze ans sa cadette.» !!!
«Jónína Leósdóttir est une femme de lettres et dramaturge islandaise née en 1954, auteur d'une douzaine de pièces de théâtre.
Elle est "l'épouse" de Jóhanna Sigurðardóttir, la chef de gouvernement sociale-démocrate d'Islande.»(wikipedia)
L'habituel "cafouillage" de la moralité juive-talmude qui, soulignons-le par conviction, sème la dépravation et le satanisme, dogme que ces "enfants de Satan" digèrent avec le lait maternel. 
L'Islande prise en otage, moribonde et quadrillée par la Cosa Nostra juive n'a aucune chance d'échapper aux vautours. Quelques agents exemplaires de cette infiltration kosher :

 -les Tchenguiz (Lien) «Alors, comment étaient les vaillants Vikings d'Islande pillée? Le hold-up islandais a été réalisé de la même manière que le pillage du Trésor des États-Unis en 2008-2009, grâce à une "bulle économique" non-réglementée, régime très semblable à un fonds d'investissement Bernard Madoff.
-Comment fonctionne le système
-C'est assez simple : Une entité, en l'occurrence une banque privée, est artificiellement "sur-évaluée" (généralement en bourse) pour apparaitre comme évoluant positivement et ayant de bonnes perspectives. Comme les fonds Madoff, l'apparence de réussite financière apporte de nouveaux investisseurs tout en conservant l'image - et le fonctionnement - d'une institution en croissance continue. L'image de la richesse et la prospérité est, cependant, seulement une fausse façade qui est utilisée pour attirer plus d'argent dans l'opération.
En réalité, les criminels comme Madoff exécutent l'opération en épongeant les fonds jusqu'au dernier sou - dans ce cas d'énormes prêts non-garantis sont accordés aux scélérats de la trempe de Robert Tchenguiz - «Le plus grand client de la banque Kaupthing, ainsi que directeur et  principal actionnaire." La formule Tchenguiz pour les bonnes affaires d'immobilier est celle de Larry Silverstein: s'endetter lourdement pour acheter la propriété, puis augmenter le loyer aux occupants pour rembourser le prêt. (Silverstein, qui a obtenu le contrôle des Twin Towers à la fin de Juillet 2001, augmenta les loyers des locataires de 40 pour cent.) Tchenguiz aurait emprunté plus de 1,7 milliards d'euros (plus de 2 milliards de dollars) de Kaupthing pour financer ses investissements privés. Mais comment se fait-il qu'un seul individu, un ressortissant étranger, puisse emprunter quelque $ 2,5 milliards d'une banque islandaise de prêts sans garantie,  et provoquer son effondrement? Tchenguiz, un fraudeur effronté sans pudeur, tente maintenant de poursuivre les banques islandaises.»
Réponse: Grâce aux complicités locales, les David Oddsson et son ami intime Kjartan Gunnarsson (photo)

Miam ! Miam !
(ou photo)---->



 
 Dernière Mise à jour du scandale: Plus de 40 milliards d'euros, sous forme de 28167 réclamations faites contre la Banque Kaupthing, ce 3 Mar 2010 !
(Lien) Date de publication: 17 mars 2010Résumé :« Le présent document contient une mise à jour d'une liste de 28167 demandes, soit un total de plus de 40 milliards d'euros, déposée contre la banque islandaise la "Kaupthing Bank hf". Le document est important parce qu'il révèle des milliards en liquidités, obligations et autres biens détenus par Kaupthing par un grand nombre d'investisseurs et de détenteurs occultes d'actifs, dont Goldman Sachs, Deutsche Bank, Credit Suisse, Morgan Stanley, Exista, Barclays, Commerz-bank AG, etc... Il a été délivré en toute confidentialité et mis à la disposition des demandeurs par le Commission des liquidations de Kaupthing. » 
Les réclamations sont émises par les grands prédateurs banquiers juifs internationaux, et les Islandais victimes de l'opération frauduleuse vont devoir serrer très fort la ceinture pour pouvoir payer cette dette que leurs propres dirigeants bénévoles (politiciens juifs) vont leur nouer au cou et leur faire supporter, pendant une ou deux générations à venir. 
Imprudents les Islandais qui oseraient pointer du doigt vers cette conspiration juive, les lois internationales interdissent et punissent l'antisémitisme, un canon du dogme de la Shoah !  

Constat : Un vrai pillage colonial a été achevé, appuyé sur les moyens modernes de subversion, à savoir la conception et la gestion de mirages financiers ("oeuvres d'art" holographiques ) qui se substituent finalement aux ressources réelles des nations ciblées. Un acte d'effronterie judéo-talmude traditionnelle, brandissant l'arme de destruction massive de l'usure bancaire, le tout contrôlé par ordinateur.