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25 avr. 2010

Le Mythe de L'Adversité Berbère Envers L'Islam Et La Langue Arabe.

-Chapitre 3-
Existe-il un antagonisme entre l'Arabe et le dialecte Amazigh ? 
En complément du chapitre 2, la question énoncée dans le titre de ce chapitre  nous dirige vers l'étude de la nature et relation entre ces langues. Une fois l'Islam adopté en Afrique du Nord chaque idiome remplit une fonction particulière, l'Arabe comme langue du Coran (donc primordiale pour la religion) et du savoir, le Berbère-Amazigh celle de la communication orale et véhicule de la culture et des traditions populaires. Les deux langues s'appropriant des caractéristiques géographiques et des formes dialectales régionales multiples. Elles cohabitèrent harmonieusement et furent préservées dans le temps grâce à leur rôle respectif, collectivement accepté et n'engendrant ni conflit, ni animosité. Seuls des stéréotypes populaires se collèrent sous forme de surnoms ou sobriquets, la plus part du temps sans sous-entendu racial ou sectaire. L'islam étant le ciment consolidant la nation et stratifiant les valeurs et mêmes les classes sociales, dont le statut s'échelonnait selon l'appréciation collective de la vertue et du savoir, de l'intégrité morale et de probité religieuse. Les Saints étaient vénérés, indépendamment de leur origine régionale ou  ethnique, pour leur droiture, leur foi exemplaire et leur sagesse.  Les "Chorfas" ou "Sharifs" pour leur affiliation au Prophète (ASWS), paradoxalement, même des tribus entières de "chorfas" avaient pour idiome de communication unique le Berbère, tout en gardant un sens de la citoyenneté musulmane inébranlable.  Harmonie et entente scellèrent le pacte d'alliance des membres de cette communauté et les unirent dans les grandes réalisations historiques qui marquèrent plusieurs siècles de l'humanité. Dans le besoin, cette unité s'exprimait dans la défense du pays et de l'Islam. Les divisions existaient que dans le cadre de divergences politiques, économiques ou parfois religieuse (rites), jamais ethniques ou raciales. Comment d'ailleurs pouvait-il en être différent lorsqu'on observe le tissu ethnique de la société présente à l'arrivée de l'Islam et des Arabes, et le brassage des peuples qui s'était opéré durant des millénaires et qui s'amplifia avec l'expansion de la dernière religion révélée. L'islam prêchant impérativement l'adhésion sincère à la foi et au respect des lois, comme attributs nécessaires à l'individu qui aspirerait au privilège de noblesse récompensant ceux qui craignent Allah, indépendamment de la race ou de l'origine. C'est ce caractère universel de l'Islam qui a été, et demeure, la force motrice de son expansion.  Malgré la corruption de ce principe par les souverains dont la préoccupations étaient parfois trop mondaines, la majorité des nord africains reconnaissaient la prédominance du caractère religieux sur toutes autres considérations. Ceci jusqu'au 19em siècle et l'arrivée de la colonisation, qui allait initier ses projets de remodelage de la société, par les moyens qui seront revus dans la suite de l'article.
 
A partir de 1789, débute la prise de pouvoir, par les juifs et leurs mercenaires franc-maçons, de la France royaliste, et parallèlement de l'Europe. De l'Espagne contrôlée par les Marrenos (crypto juifs feignant la conversion au Christianisme), de l'Angleterre subjuguée par les Rothschild, les changements historiques prennent une nouvelle tournure pour l'Afrique septentrionale pour laquelle sonne le glas de la colonisation. L'Afrique du Nord, obstacle à la domination juive en Méditerranée et province lointaine de l'Empire Ottoman (qui était la cible ultime, par le démantèlement du Khalifat musulman, sous l'instigation de l'éternel conspirateur et de leurs sous-fifres maçonniques), allait subir les méfaits des complots juifs.
Comme le démontrent les historiens modernes non-conformistes (qualifiés de révisionnistes par les pouvoirs dominants juifs et leurs suppôts médiatiques), la colonisation est le fruit des ambitions démesurés des banquiers juifs, qui motivés par leur cupidité insatiable, allaient planifier cette entreprise criminelle en la fardant d'utopies et parfois de ferveur religieuse chrétienne. L'esclavagisme, les génocides et les spoliations territoriales devenaient dogme religieux servant la mission "civilisatrice" de l'Occident, toutes menées au profit des banquiers juifs, ces nouveaux oligarques qui avaient soit détrôné la royauté européenne, l'avait infiltrée par des alliances diverses et l'inter-mariage, ou avait corrompu ses vassaux. Instaurant des régimes "démocratiques" et laïques, monopolisant graduellement les média, ils prennent en main  les destinées de ces nations, rédigeant les lois et les votant dans les hémicycles parlementaires burlesques, vitrines de la démocratie et écho des décisions prises par les pouvoirs occultes.  
Comment procéder et œuvrer, après la victoire militaire, à la consolidation de la domination et perpétuer l'exploitation de ces territoires nouvellement conquis ? C'est cette mission qu'entament les missionnaires mobilisés officiellement par le ministère de la guerre, et occultement par les membres des sociétés maçonniques sous les ordres de leur hiérarchie, l'oligarchie juive-talmude regroupant les banquiers et leurs alliés-coreligionnaires.  Le contrôle par la franc-maçonnerie de l'administration civile et militaire française en Algérie, dés 1831, a été relevé  dans "chap.1" et appuyé par l'extrait d'un texte publié au lien (loges), il prépare le terrain à la prédation juive. Illustrons les procédés utilisés à travers l'examen de Oscar Mac Carthy:
«Oscar Mac Carthy (1825 - 1913) est un géographe et explorateur d'origine irlandaise. Il fut l'un des premiers explorateur de l'Algérie, allant presque jusqu'à Tombouctou. Il dirigea la Bibliothèque Nationale d'Alger de 1869 à 1890.»
Dans une étude exhaustive "Géographie de l'Algérie", qu'il rédige «chargé par le ministère de la Guerre, d'une mission d'exploration des territoires algériens», ce «correspondant du ministère de l'Instruction Publique pour les travaux historiques, membre de la Société Historique d'Alger, de la Société Archéologique de Constantine, etc, etc, etc,..., de la Société de Géographie de Paris (1)..» 
  Au début le prétexte:
« Il y a quinze ans que la France a accompli  une grande et  noble action de plus. Depuis trois siècles un ramas de forbans, sorti de l'écume de l'empire turk, osait faire la loi à l'Europe entière, aux premières nations du monde. Elle a mis un terme à ce honteux scandale; elle a, de plus, vengé l'humanité sans cesse violée dans ses principes les plus sacrés. Mais là ne devait pas s'arrêter l'œuvre qu'elle venait de commencer si glorieusement. Tout se tient dans la marche incessante de la civilisation; elle ne saurait rien entreprendre d'isolé, d'incomplet, sans manquer au plus impérieux des devoirs que lui impose sa mission.»
 Il nous dévoile enfin ses objectifs et sa mission, contractés au prés "des hommes dont la bienveillance nous honore, dont l'amitié nous est précieuse":
«On ne marche hardiment aux destinées qui vous sont promises qu'alors qu'on s'est apprécié dignement. En occupant l'Algérie, cette région que Rome regardait jadis comme sa plus belle conquête, nous découvrîmes, non sans quelque étonnement, qu'elle nous était presque inconnue. On nous a vu alors faire ce que nous avions déjà exécuté tant de fois, on a vu la guerre servir à l'agrandissement de la science; quinze années de combats ont été aussi quinze années d'études, de recherches en tous genres qui se poursuivent encore sans relâche. La géographie a eu la plus large part dans cette investigation, et cela devait être le point de départ de toute appréciation d'un pays, c'est à elle que l'on rapporte tout, parce que c'est elle qui se lie le plus intimement à l'étude dés sociétés humaines. Depuis le moment où l'orgueilleuse ville des Barberousse nous ouvrit ses portes, chaque jour, chaque année ont été signalés par de nouvelles acquisitions, et actuellement l'Algérie nous est connue dans son ensemble, ici autant qu'elle peut l'être, là d'une manière satisfaisante sinon complète. Il est vrai que les matériaux par lesquels on peut arriver à cette connaissance sont ou trop volumineux ou sans liaison et presque toujours inaccessibles à ceux auxquels ils seraient le plus nécessaires. Il fallait les résumer pour leur donner toute leur utilité, toute leur valeur. Prenant un à un tous les ouvrages publiés jusqu'à ce jour sur l'Algérie; guidés, dans une étude qui nous ait devenue familière, par une critique consciencieuse, nous les avons analysés de manière à leur demander tout ce qu'ils pouvaient nous dire. De cette analyse approfondie est sorti une nomenclature aussi riche que variée, à laquelle sont venus se rattacher naturellement tous les détails géographiques, économiques et politiques qui pouvaient lui donner de l'intérêt; la description du pays et de ses grandes divisions physiques et administratives, celle des villes et de toutes les autres localités, marabouts, sources, routes, marchés, ports, montagnes. vallées, plaines, etc. des notices sur toutes tes tribus (au nombre d'environ 1200) et leurs fractions, leurs forces matérielles, leurs ressources; des études sur les diverses races; des recherches sur l'état ancien du pays, sur tous les points cités par les écrivains de l'antiquité, des notions étendues sur les moeurs, les coutumes, les langues, les religions, le gouvernement, l'administration, les lois, les monnaies, l'industrie de l'Algérie; ses relations commerciales avec les régions voisines, Maroc, Tunis, le Sahara, l'Afrique centrale l'Europe etc. Un lexique de tous les mots employés dans la géographie géographie algérienne, une introduction développée, des tables chrono logiques complètent ce vaste ensemble.».  «Dans ce long travail nous avons été puissamment secondé par des hommes dont la bienveillance nous honore, dont l'amitié nous est précieuse et auxquels nous avons témoigné tout ce que nous devons. En outre pas un mot dont l'origine soit cachée, pas un fait dont l'auteur ne soit cité. C'était le seul moyen de donner à notre œuvre ce caractère sérieux qu'elle devait avoir. Nous l'avons compris. C'est ainsi qu'a été fait ce livre qui sera, nous le pensons, utile à ceux dont le désir est de connaître l'Algérie, à ceux dont les destinés sont liées aux siennes de quelque manière que ce soit, soldats, administrateurs ou colons
0. MACCARTY .              ( 5 Mai 1846).
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 (1) A propos de cette "Société" et tant d'autres européennes "scientifiques", dans «Geography and imperialism, 1820-1940», par Morag Bell, Robin Alan Butlin, Michael J. Heffernan, et au Chapitre 9 'The spoils of Wars: The Société de Géographie de Paris and the French Empire, 1914-1919", Michael Heffernan écrit dans son Introduction : « La géographie et l'impérialisme français étaient des sujets intellectuels et idéologiques liés. Durant le Premier Empire Napoléonien, relevés cartographique  et topographiques occupaient une place  significative dans le système éducatif réformé principalement pour leur importance stratégique et militaire.»
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Résumé : 
Le texte laborieux de ce chapitre n'a pas pour ambition de rendre son contenu rébarbatif  ou inutilement volumineux, mais de partager avec le lecteur la complexité du travail de recherche des missionnaires de la colonisation et des moyens mobilisés pour atteindre les objectifs fixés par les futurs bénéficiaires de l'occupation. Il est exclu qu'il ait été conçu par les "bidasses" ou les politiciens des assemblés de députés et des membres de gouvernement dont les préoccupations sont plus terre à terre, et la vue réduite par leurs préoccupations économiques, politiques et sociales du moment. Ce modèle stratégique élaboré dans le détail le plus minutieux ne peut être l'œuvre que de personnes à l'intelligence hors du commun et dotés d'une connaissance approfondie des sciences sociales et des évolutions historiques, savoir basé sur une base de données accumulées sur plusieurs siècles et vérifiée à travers des expériences à grandes échelles, de la nature de la Révolution Française, et de celles qui succédèrent lors des bouleversements historiques des 19em et 20em siècle.  
Le détail et l'acuité des "relevés géographiques" de cette fin du 19em siècle nous esquissent un tableau de la nature des données utilisées et des méthodes employées par le "pouvoir" occulte  dans son travail de domination et de prédation, devant mener ultérieurement à son objectif de "globalisation". 
Ce constat nous amène à réviser fondamentalement notre perception de la nature de la colonisation, qui ne se limite pas à son usage de la force physique, de la violence militaire brutale ou de l'exploitation économique, elle contient un volet important basé sur le recensement des données socio-économico-politiques obtenues de l'observation de toutes les caractéristiques d'une nation. La connaissance détaillée de ces paramètres permet à quiconque désirant s'en servir le pouvoir de les altérer à son avantage et de les manipuler pour orienter le cours de l'histoire, la nature et la composition d'une société. C'est ce phénomène de manipulation complexe qui a été opéré pendant 132 ans, avec les outils traditionnels que collectionnaient les missionnaires du 19em grâce aux travaux d'investigation ciblant diverses compartiments des sociétés (ethnique, langues, races, religions) ,  et avec ceux plus récents de l'ingénierie sociale et des mass-média. 
Seuls les crédules et les ignorants, les mal intentionnés et les malhonnêtes, ou ceux servant des intérêts douteux, peuvent imaginer que les pays d'Afrique du nord, l'Algérie en particulier, est au 21em siècle identique à celle qui précédait le début de la colonisation. De grandes transformations ont été initiées par les destinataires-commanditaires des travaux de "géographie" effectués par de nombreux missionnaires. L'apparence de ces pays a changé dans le sens voulu par le pouvoir de l'ombre (pas l'officiel !) et les résultats observés aujourd'hui doivent être examinés judicieusement pour y déceler l'authenticité des apparences ou la corruption des réalités. Il est triste de constater combien naïfs
sont beaucoup de citoyens de ces pays en engageant leur militantisme dans des voies tracées par les tenants du "diviser pour régner" qui n'ont jamais cesser d'agir dans leur intérêts et qui persistent à développer des syndromes qui ne servent que leurs objectifs de domination.
Dans le chapitre 4, nous étudierons quelques travaux qui ont servi à manipuler les événements et à moduler les opinions dans le but de créer des symptômes conflictuels fictifs basés sur des appréciations frauduleuses de la réalité nord-africaine, ceci à travers l'examen de la situation particulière de l'Algérie. 

Chap 1 /Chap 2 / Chap 4 /.../ Chap 5.

Réponse au commentaire de "N":
Merci à "N" pour enrichir ce modeste article de ses remarques pertinentes qui m'ont réconforté et encouragé dans le travail de recherche que je souhaite partager avec tous, en vue d'initier (sans prétention) des échanges d'idées et relever le niveau de réflexion sur tout sujet qui concerne l'Afrique du Nord, et particulièrement L'Algérie.
Point par point :
-1- Concernant le langage des politiciens et celui du FLN, Il y a des groupes distincts, selon l'idéologie qu'ils véhiculent individuellement ou par adhésion à un consensus. 
-Un groupe, visiblement ignorant et borné, loin de la réalité historique et ethnique, trempe dans un extrémisme identique à celui de l'autre rive, les autonomistes-indépendantistes amazigh, par le rejet de l'autre, ils sombrent dans le sectarisme cru. Ils exaspèrent le conflit et réjouissent inconsciemment le "pouvoir de l'ombre", ceux que vous nommez talmudo-mondialistes.
-Le second groupe reconnaît l'autre (la composante arabo-berbère), mais sans conviction ni connaissances des réalités, par pur calcul politique et tactique, se dissimulant derrière un patriotisme de façade qui sert uniquement leur intérêts et le statu quo, refusant de tacler ce syndrome qui prend des proportions inquiétantes car géré par des forces aux moyens non négligeables et une logistique fondée sur la manipulation et la communication qu'elles contrôlent en amont et en aval, grâce aux média en particulier.
-un 3em, plus compétent, reconnaît la nécessité d'une solution harmonieuse, intelligente, répondant aux réalités et aux aspirations de tous et garantissant la cohésion et le dialogue constructif, au besoin innovateur, mais national et démocratique. Ce dernier groupe possède en face des interlocuteurs, partisans d'un réveil culturel berbère non discriminatoire-sectaire, avec une approche académique du sujet et des intentions saines visant un enrichissement de la société et évitant d'actionner le levier de la discorde ou du conflit.
Ce que j'essaie de démontrer est que les talmudistes sont depuis longtemps engagés dans leur travail de sape, et pour attiser les flammes de la discorde ne veulent absolument pas voir ce genre de dialogue constructif (3em groupe) prendre forme, libre d'émotions et de passions destructives. Ce qui arrange leurs plans, est l'action-réaction (thèse/anti thèse) des extrémistes des deux camps. C'est pour celà que Ferhat et ses MAKisards conviennent si bien aux plans de subversion du prédateur juif-talmude. Les excès dogmatiques contenus dans le discours des partisans de la rupture servent parfaitement les ambitions des ennemis de l'Algérie. Deux coups sérieux ont été portés aux chances de dialogue, l'offensive contre l'Islam et la langue Arabe, puis celui contre l'unité nationale. Le reste n'est que prétexte. "L'éternel conspirateur" doit se réjouir des positions extrémistes du MAK, car elles coupent cours à toute possibilité de concession ou dialogue. Je ne sais si le MAK est conscient de la gravité de ses actes et propos, et de l'escalade ruineuse qu'il provoque au sein de la nation. A mon avis il est certainement inconscient, sinon il faudrait croire que sa compromission est telle qu'il ne dispose plus de liberté de manœuvre ou de pouvoir de décision, et s'avère totalement contrôlé par ses "associés", qui l'actionnent à leur guise et selon leur désir.
-2- Le problème des victimes est le résultat de la provocation d'une partie et de la réponse disproportionnée qui lui a été opposée. Ignorance et naïveté des deux parties, mais n'est pas exclue la participation de forces manipulatrices, provocatrices et exaspératrices, derrière les deux rangs des antagonistes!
Par ailleurs ma conviction est que les déclarations d'apaisement de Bouteflika sont sincères et son officialisation de "l'amazighité" de l'Algérien n'est pas simulée mais le fruit d'une réflexion sereine pour l'apport d'un début de solution à la question. Hélas les "oulech asmah Oulech" non pas répondu favorablement à sa tentative de réconciliation.
D'accord sur le triste constat que les victimes ont été "gaspillées", au détriment de l'intérêt du pays et n'ont servi que de catalyseur à la discorde, dans les mains de ceux qui la souhaite, ou peut être même ceux qui avaient besoin de martyrs pour renforcer la contestation. En résumé beaucoup d"hypothèses peuvent être avancées, sans circonscrire définitivement la vérité, tant la situation est confuse, et vue la complexité et la diversité des forces qui y sont engagées.
-3- La gestion apparemment maladroite et banalisée de ce paradigme s'explique par :
-soit l'incompétence des acteurs chargés de diffuser l'information sur les troubles potentiels ou ceux déjà existants.
-soit le souhait de remédier au mal et de parer aux risques, par le silence. Méthode obsolète héritée du socialisme défaillant et assimilable à la politique de l'autruche, dont les déconvenues sont connues.
-la retenue devant les dimensions de ce phénomène et des forces en présence, retenue qui s'impose par le choix stratégique de la temporisation car ne divulguant pas ses propres intentions et ne dévoilant pas ses moyens de combat. Cette méthode relèverait du secret d'état, en assumant que l'intelligence existe et s'active à parer à toute éventualité, dans l'intérêt général, au  détriment de "l'ennemi". Les techniques, dont celle que vous mentionnez, existent. Il suffit d'un peu de volonté, d'imagination, et de savoir-faire dans l'art de l'ingénierie sociale "positive", pour battre les comploteurs et ruiner leurs manigances sulfureuses.         

21 avr. 2010

Les Autonomistes Amazigh: Le Fruit du Stratagème Juif du Démantélement de L'Afrique du Nord.


-Chapitre 2-
Existe-il des différences religieuses ?
Le "montage" et la promotion d'un syndrome séparatiste régional nécessite la présence de facteurs susceptibles d'être mis en évidence et développés pour préparer le terrain à la division. Essayons d'en recenser quelques uns, dans le contexte du début de la colonisation française de l'Algérie, en 1830,  :
Différences religieuses ? Marginales, sinon globalement inexistantes pour la majorité de la population. A l'exception d'une minorité juive ancienne, numériquement faible (30 000) et économiquement puissante, socialement distincte de la  majorité Arabo-Berbère et dont le génie conspirateur prouva être fatal, jusqu'à causer des litiges entre la régence d'Alger et la France à propos des dettes impayées. Wikipédia: «Des commerçants juifs de Livourne, installés à Alger au milieu du XVIIIe siècle, les Bacri et les Busnach ont alors livré d'importantes quantités de grains pour nourrir les soldats participant avec Bonaparte (futur Napoléon Ier) à la campagne d'Italie. Bonaparte refuse de régler la facture qu'il juge excessive.» Un complot classique de la cupidité juive et de la malveillance de ces prédateurs à apparence d'agneaux. Jacob Isaac Crémieux fait publier le décret Crémieux, « Les Israélites indigènes des départements de l'Algérie sont déclarés citoyens français.»(wiki). Les Juifs Algériens deviennent Français, alors que les Amazighs qui avaient été les opposants les plus acharnés contre la colonisation, sont massacrés. Les tribus de Lala Fatma N'Soumer(1857), du cheikh El Mokrani (1871) subissent des pertes importantes et beaucoup d'entre eux s'exilent au Machrek. Des Syriens d'origine algérienne, utilisent toujours le dialecte berbère, aujourd'hui en 2010 ! Démontrant leur attachement à l'Islam, la langue Arabe et à l'amazighrité, sans trouvé d'incompatibilité entre ces différentes composantes culturelles ou religieuses ! Où sont les Amazigh juifs (ou chrétiens) ? Le décret Crémieux aurait fait surgir cette communauté du néant. Seuls les juifs-juifs (indigènes israélites), attachés à leur judaïsme depuis les exodes successifs de l'Antiquité, s'inscrivirent pour bénéficier des nouvelles dispositions du décret promulgué par leur coreligionnaire Crémieux. Aucuns ne se sont enfuis d'Algérie, encore moins vers d'autres pays musulmans !
D'où ont donc surgi ces Juifs amazighs qui pronent (en 2010 !), l'autonomie-indépendance de la Kabylie ?
-Réponse anticipée: ils sont, le fruit du travail de sape et de l'ingénierie sociale programmée et élaborée patiemment par les "experts de l'intrigue" et sont les enfants illicites d'une écriture de l'Histoire orientée et d'une manipulation émotionnelle. Ces "intellectuels" formés à l'école judéo-française, sont de mauvaise foi et dotés d'une cervelle d'oiseau dont le mérite se limite  à répéter fidèlement la propagande juive inculquée par leurs nouveaux maîtres, les prédateurs sionistes-talmudes !

Un article «La Kabylie n’est qu’une mythologie coloniale française», réconfortant par sa pertinence, fut publié par El Watan (2004) ( surprenant de la part de ce quotidien chauvin du berbérisme), l'auteur (Abdesselam Kadi) réfute les avis non fondés d'un certain professeur de sociologie nommé Lahouari Addi.(1). Dont extrait: «La découverte d’un demi-millier de stèles du sanctuaire phénicien d’El Hofra à Constantine au printemps 1950 a bien prouvé que Massinissa et ses trois fils utilisaient le phénicien comme langue de travail et d’administration (documents archéologiques du gouvernement général de l’Algérie, service des antiquités n° 1506, publiés à Paris en 1955 par les Arts et Métiers graphiques). Massinissa qui a régné durant 50 ans environ n’a laissé aucune trace d’une langue avec un alphabet. Il avait pourtant la liberté de le faire par décret s’il le fallait, si elle existait. Scientifiquement on ne peut parler que de faits dialectaux. Une littérature abondante milite pour cette thèse.»
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 (1)Un expert-maître de la critique du "système" et de la diffamation des acteurs politiques, d'une arrogance douteuse qui n'épargne rien de l'Algérie, ni gouvernants ni institutions; il sillonne le champ médiatique avec une assurance provocatrice douteuse, car rappelons-le, le sociologue est appuyé et sponsorisé par les puissants de la planète. Modèle du collaborateur de la branche locale des organisations humanitaires new-yorkaises (des Zbignew Brejzinsky et Henry Kissinger), il est typiquement un "agent provocateur" de  l'Institut
d' Etudes Politiques Université Lumière, Lyon2, et Professeur invité à UCLA, Californie, USA.  Tirant visiblement son assurance de sa position de protégé de la nébuleuse juive internationale, et opérant sous son aile sociale, entendre "ingénierie sociale". Effronterie n'est pas à confondre avec courage, une qualité qu'il lui attribuerait l'opinion crédule. Il montre généralement aucune miséricorde envers les acteurs politiques algériens qu'il charcute à la moindre occasion. Son indulgence et sa compassion, sont réservées à la Shoah fraude-historique et à l'ancienne puissance coloniale:  
-Sa réponse, utopique et chimérique: «La valorisation du passé et la transmission de la mémoire à la jeunesse n'excluent pas d'établir des rapports amicaux avec la France dans l'intérêt mutuel des deux peuples. L'Algérie a besoin de la coopération avec la France, puissance économique, pour implanter des usines de fabrication de voitures, pour former une main-d'oeuvre capable de maîtriser la gestion des supermarchés (sarcasme envers les tubes digestifs), puisque les Algériens semblent adorer Carrefour et Auchan, pour renforcer le potentiel scientifique de ses universités, etc. L'Algérie a aussi besoin de la France, membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU, pour aider les Palestiniens à avoir un Etat.»
-Ou : «Demander des excuses après avoir remporté une victoire, c'est prolonger la guerre pour un enjeu symbolique, et ce n'est pas dans l'intérêt de l'Algérie. A moins que le nif soit plus important que tout, même si les harraga, de plus en plus nombreux, essaient de trouver refuge dans le pays qui nous aura présenté des excuses. En nif oual khsara. Ercham ya Abdelaziz archam !»
Notez la grandeur d'âme de cette plume empoisonnée dans son hymne à la gloire de la Puissante France Sionisée, et son revirement instantané avec "retour du naturel, au galop" dans le langage péjoratif réservé à "l'ennemi" Bouteflika (Lire interview de Addi par El Quds Al Arabi, le journal publié à ...Londres !)
-«Aidez les Palestiniens » :  leurre classique juif dans ses œuvres; anesthésier l'Arabe avant de lui trancher la gorge !
Le Professeur Addi devrait retourner au banc de l'école et recevoir des leçons d'Histoire de Louisette Ighil AHRIZ par exemple, une dame  qui déclara  au forum  d'El Moudjahid :« La France doit demander pardon aux millions d’Algériens, aux martyrs pour les crimes contre l’humanité commis contre un peuple qui n’espérait que retrouver sa dignité piétinée, massacrée par les tortionnaires durant la guerre de l’Indépendance.»  «Quarante-neuf ans après, cette moudjahida a eu gain de cause, la justice française vient de prononcer un jugement en sa faveur, dans le cadre du procès l’ayant opposé à son propre tortionnaire, le général Shmitt.»(Lien)
-Quand à la vérité sur 130 ans de génocide français (consultez lien pour un avant-goût des crimes commis et des statistiques démographiques y réferrant ), elle est occultée par ce cobra sous contrôle de charmeurs juifs. Il y voit un négligeable "enjeu symbolique"; traduire "un jeu enfantin". Ce genre d'écrits indécents et sournois abonde dans notre presse et sur le Net, il est de notre devoir de les déceler, d'en découvrir le caractère subversif et de les dénoncer, notre avenir et notre dignité d'hommes libres en sont menacés.
Moralité : Pour ceux qui souhaitent s'informer et s'instruire la prudence et la perspicacité sont de rigueur face à l'intox qui pollue les esprits et corrompt notre perception de la réalité. L'occupation du champ médiatique algérien par un nombre important de serpents venimeux devrait éveiller notre attention. Dans les coulisses, des charmeurs de serpents maîtrisent ces reptiles, au son de flûtes des "gratifications" de tous genres: les "prix internationaux", les rétributions matérielles, l'entre-aide maçonnique, tous visent à recruter de nouveaux "intellectuels" (qualifiés Outre-Atlantique de "media Whores"), qui gonflent les effectifs des mercenaires de la plume. L'outil est l'ingénierie sociale, destinée à "moduler" l'opinion (endoctrinement-conditionnement du public). C'est l'enjeu du pouvoir destructeur des média. Seuls les naïfs ou ceux déjà victimes de cette manipulation, refuseront de mettre en doute les théories des "ismes" ou les utopies sociales et historiques qui circulent localement en parfaite harmonie avec les plans du Nouvel Ordre Mondial Juif. 
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Dans le chapitre-3, sera effectué un recensement  des facteurs qui pourraient justifier une divergence d'intérêt ou une division des communautés au sein de la nation algérienne, en particulier, et nord-africaine en général. 
Il sera prouvé l'inexistence d'arguments fiables,  seule demeure l'hypothèse d'une invention orchestrée pendant 130 ans de colonialisme par les maîtres de l'intrigue siégeant  au conseil de l'Alliance Israélite Universelle.

19 avr. 2010

Les Autonomistes Amazigh: Un Cas D'Ecole de l'Ingérence Juive En Afrique du Nord.


L'action politique est toujours soutenue par la propagande, dont le contenu est défini pour promouvoir une doctrine, une idéologie, créer une opinion publique et gagner le soutien d'un groupe ou d'une population de citoyens, à l'intérieur ou l'extérieur d'une nation.  Elle est initiée par des personnes, un parti ou un appareil d'état se réclamant d'un système de pensée, d'une idéologie. L'Histoire nous enseigne l'existence de nombreuses idéologies apparues au cours des temps, toutes centrées autour d'un concept central à caractère religieux, racial, économique, philosophique, nationaliste ou internationaliste. L'Histoire contemporaine est riche en exemples de ces mouvements de pensée ayant affecté positivement ou négativement les hommes. Une remarque s'impose, celle d'affirmer qu'ils ont été majoritairement négatifs car souvent source de conflits et d'affliction pour les hommes, pour ceux qui y ont adhéré ou ceux qui en ont subi les revers. La raison principale de cette malédiction est que les idéologies ont été réfléchies et conçues dans ce but: diviser les peuples et enflammer les passions génératrices de conflit et de destruction.
Seuls bénéficiaires, ceux qui versant l'huile sur le brasier, offrent leurs conseils et leur "aide" pour financer les guerres, les banquiers juifs.
Une idéologie singulière qui occupe les débats et les écrits des observateurs depuis plus de 50 ans, est celle du Sionisme. Quoiqu'en réalité initiée et programmée depuis des siècles, cette idéologie ne s'est imposée à l'opinion que depuis la création d'Israël et les conflits qui perdurent au Moyen-Orient.
Elle est perçue à travers deux exposés:
-1- celui insufflé et inoculé par les champions juifs du Sionisme, leurs puissants moyens de propagande et leurs alliés investis de la mission de justifier la création d'un état-refuge pour un peuple persécuté, lors de la Shoah (sous le régime nazi) et des pogroms infligés à la diaspora depuis l'exode entamé sous l'Empire Romain. Ses fondements sont religieux, politiques, raciaux et font appel aux arguments plaidoyant en faveur de la création d'Israël principalement sur la base:
-de la rhétorique religieuse, la promesse divine faite au peuple juif d'un retour ré-unificateur à Jérusalem
-de la solution politique, un refuge remède aux souffrances endurées lors des tentatives (européennes) de génocide et de la Shoah.

-2- celui publié par les opposants à la doctrine sioniste qu'ils  condamnent pour divers raisons:
-la violation des droits des Palestiniens et la réfutation -des mythes "ethnocentristes" et religieux, leurs justificatifs archéologiques, bibliques et politiques menant à une injustice, la spoliation d'un pays et l'expulsion de son peuple,
-le mythe de la Shoah, fraude historique canonisée, promulguée mondialement, et défendue par une législation abusive et répressive,
-la présence funeste des Juifs en tant qu'acteurs occultes, subversifs et nocifs dans les événements marquants de l'Histoire ancienne et contemporaine de la planète (guerres mondiales, crises économiques majeures, esclavagisme et génocides) et,
-la xénophobie et le racisme caractérisant les lois religieuses du Judaïsme-Talmudisme, lois écrites (Talmud) mais pratiquement inédites et secrètes,  qui conditionnent cette idéologie  et la cautionnent.
 Les deux thèses du Sionisme sont extensivement discutées par les protagonistes respectifs dans une multitude de publications qui inondent les média et déferlent sur le web en particulier.  Car le web est seul champ ouvert  au militantisme des activistes et aux débats de chercheurs indépendants qui s'y réfugient pour effectuer librement leurs travaux, tout en demeurant constamment sous la menace de l'accusation «d'antisémitisme», délit collé aux contestataires des théories officielles du Sionisme. 
Le but de cet article n'est pas d'exposer l'une ou l'autre thèse, ou de les confondre car les documents y réferrant sont largement disponibles.  Il est d'aborder dans une étude comparative, la doctrine qui a fait son apparition dernièrement (quatre décennies) et qui prêche le particularisme ethnique, ethnographique (culture, mœurs et coutumes), religieux (juif-chrétien), et historique des peuples Amazigh, ou Berbères, d'Afrique du Nord et du Sahel. Doctrine véhiculée par une minorité d'activistes, militants de l'autonomie de la Kabylie, ou comme récemment déclaré,  de son indépendance! 
L'objectif de cette modeste étude historique est  de démontrer la similitude des techniques de manipulation et d'endoctrinement utilisées par le Sionisme, et celles adoptées par ce mouvement marginal amazigh.

Introduction:
L'offensive lancée contre l'Islam et la culture Arabe, principalement sur le Net, par des partis "politiques" se réclamant de l'amazighrité,  mobilise des ressources humaines et matérielles conséquentes qui dévoilent le soutien dont ils bénéficient de la part des maîtres des média, les éternels conspirateurs, les ennemis des Musulmans et des Arabes. Ceux que le Coran qualifie de «semeurs de discorde de part le Monde», ou « qui travestissent la vérité en mensonge»: les Juifs. Ils agissent directement par l'intervention d'Israël ou par leurs proxies interposés. Leur contrôle sans partage des gouvernements occidentaux et de leurs armées (OTAN), autorise leur offensive au delà du moyen Orient, en Irak, en Afghanistan, au Pakistan, au Soudan, au Yémen et dans les pays musulmans de l'ex-URSS. L'Islam et les Musulmans sont la cible de l'idéologie du "Clash des Civilisations" initié par les néo-conservateurs juifs de New York. L'alibi de la lutte contre le terrorisme a été fabriqué grâce à Ben Laden et El Qaida, qui ont été enfantés et supervisés par  la CIA et son clone le MOSSAD, avec le patronage de Brejzinsky. Le Monde Musulman, dernier écueil à l'hégémonie planétaire juive est harcelé de toutes parts. Tacitement, les  associations amazigh qui sèment la dissension et prêchent la division, entrent (volontairement ou  inconsciemment) dans la logique de participation à cette machination. Les faits marquants démontrant cette collaboration résident dans:
-la couverture médiatique massive  (juive-sioniste) généreusement accordée à ce groupe minoritaire,  non-représentative et sans base populaire, qui revêt l'apparence de «La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Bœuf»,
-la reconnaissance officielle par les officines internationales et ONG's sionistes,
-la reconnaissance tacite et cynique , par des gouvernants occidentaux, Français, Canadiens, Allemands, lors d'entrevues officielles accordées au "président" auto proclamé. Ceci,  à contre- courant de la défense des intérêts nationaux que ces responsables  assument dans les accords divers gouvernementaux contractés avec l'Algérie, cible principale de ces manœuvres subversives,
-la légitimation, en contradiction des lois internationales, d'activités subversives et d'incitation à distance de trouble et de conflit social, exposant des innocents, inconscients des vrais enjeux de cette campagne futile et des risques de confrontation avec les autorités locales.
Notons que pour leurs actions légitimes de soutien aux luttes des peuples Palestinien et Libanais contre les monstruosités et les crimes de génocide d'Israël, des pays musulmans (Iran, Syrie, Yémen, Lybie, Soudan), subissent la vindicte occidentale, l'embargo, les menaces militaires, et les sanctions. 
Hier, refuge du terrorisme islamiste et de ces commanditaires, lorsque les victimes étaient musulmanes, certaines capitales occidentales affichent aujourd'hui beaucoup de complaisance envers les incitateurs à la haine raciale et aux fauteurs de trouble, soient-ils Kurdes, Darfouriens, Amazighs ou Coptes. Amour de la démocratie et de la liberté des minorités ? Les idiots utiles qui embrassent ces utopies sélectives, distillées par le nouveau impérialisme juif, répondront affirmativement.
Il est important de préciser que de nombreuses associations à caractère culturel et scientifique concentrent leurs efforts dans la renaissance de l'identité berbère sans escalader les marches de la discorde et semer la haine de l'Islam et de la culture Arabe. Elles contribuent par leur modération et esprit de tolérance, à enrichir l'héritage arabo-berbère commun et indissociable, qui règne en Afrique du Nord, depuis 15 siècles. Ces associations ne sont pas ciblées par cette étude car participant à l'activité académique universelle de recherche scientifique objective et libre de toute utopie dogmatique sectaire.  
Celles que je souhaite démasquer et dénoncer sont visibles à travers l'exposé des complots qui se trament dans les coulisses des organisations culturelles, politiques, ethniques ou religieuses qui font de leur cheval de bataille, l'insulte abjecte de tous les concepts et valeurs associés à l'Islam et nourrissent une haine extrême envers, les Musulmans et leur civilisation,  les Arabes et leur culture. 
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 Chapitre 1: 

Ibn Khaldoun, l'illustre historien et encyclopédiste, est la référence universelle du sujet traitant de la généalogie des peuples, dont ceux du Moyen Orient et d'Afrique septentrionale. Son «Histoire des Berbères et des Dynasties de l'Afrique Septentrionale» (traduction disponible rédigée par Le Baron De Slane, Lien 1, Lien 2, Lien 3, Lien 4) est la source incontournable de tout chercheur ou étudiant souhaitant s'immerger dans cet océan de savoir que seul le génie Arabe a su léguer à l'humanité.  L'encyclopédique «Histoire des Berbères» présente la preuve irréfutable de la malversation fabriquée par certains courants politiques minoritaires amazigh qui propagent des théories raciales frauduleuses pour vernir leurs ambitions personnels ou leurs plans subversifs inavoués. Les mythes ethniques ou religieux énoncés en vue d'un "retour aux sources", chrétiennes ou juives, est un appel à l'inconnu, et l'acheminement vers l'irréparable. Aucuns arguments scientifiques, saufs ceux relatifs aux caractéristiques culturelles propres à l'Afrique Du Nord (caractéristiques qui s'imbriquent avec celles prédominantes, héritées de l'Islam), ne justifient ou n'appuient les revendications de ces groupes fanatiques sectaires, qui embaument la doctrine du «retour aux origines», d'absurdités, de mensonges et de contre vérités historiques. Il est évident qu'ils font le jeu de l'ingérence de forces subversives judéo-chrétiennes dont les visées sur les pays musulmans ne datent pas d'aujourd'hui, visées ayant fait l'objet de stratagèmes engageant d'énormes ressources et nécessitant de patientes manœuvres étalées sur des siècles. La dimension de cette «bulle» civilisationnelle amazigh ne trouve de comparable que les fraudes historiques initiées par les juifs sionistes qui depuis des siècles promotionnent le tourment de leur oppression par les goyim, et occultent ses causes : la réaction défensive des peuples goyim contre le dynamisme destructeur que le dogme du Talmud enseigne sous forme de lois de la prédation licite et de l'extermination du non-juif (gentil). La Shoah est l'exemple, dernier en date, de ces manipulations frauduleuse de l'Histoire autorisant les  Juifs a développer un dogme pour décevoir la communauté internationale, dissimuler leurs crimes et génocides (voir site de l'AAARGH),  et asseoir la dictature planétaire du "peuple élu".
Ibn Khaldoun, dans son encyclopédie,  relate les moindres détails des événements marquants de cette région du Monde, et trace la généalogie de tous les peuples, dont ceux d'Afrique du Nord  et ceux ayant transité par, ou envahi la région. Avant et après l'avènement de l'Islam et de la civilisation musulmane d'occident la région était perpétuellement déchirée par les conflits et guerres. Après le démembrement des khalifat Ommeyade et Abbasside, de l'Andalousie aux frontières orientales de l'Égypte, les conflits confessionnels (rites musulmans) ou militaires, illustrés par les vendettas opposant princes et émirs,  jaillissaient de toutes parts et leur méfaits retentissaient  le  long de la courbe de  décadence de cette civilisation illustre. Contrairement à la période de l'antiquité, les Berbères œuvraient dans l'espace Nord Africain et Andalusien  sans jamais se distancer, même instinctivement, des Arabes et agissaient au sein de la communauté musulmane avec leur conviction de croyants, réservant leurs griefs à des différences confessionnelles (rites sunni, chiâa, kharedjite, etc..), politiques ou d'intérêt matériel, jamais ethniques. 
D'où surgit donc ce revirement, qui est marginal, mais bénéficie d'un vacarme médiatique amplifié ? La réponse se révélera d'elle-même au cours du cheminement suivi par le recensement et l'analyse des événements parfois anciens (début-fin de la colonisation française), souvent récents (post indépendance) qui dévoilera le paradigme de ce mouvement et la naissance du berbérisme sectaire.
Le Début de l'Offensive:
Confrontés à la puissance de l'empire Ottoman et de ses provinces autonomes, les banquiers juifs devaient surmonter cet obstacle pour prendre le contrôle des pays sous l'autorité du Khalifat d'Istanbul. Un plan était dressé pour le démantèlement de cette forteresse de l'Islam afin d'en faciliter la pénétration et 
asseoir une main mise sur ses richesses. L'ouverture de nouvelles routes pour le commerce vers l'Europe, à travers la route stratégique des Indes et les bifurcations reliant l'Afrique, l'Asie et  la Méditerranée. Pays après pays, les régions à caractéristiques ethniques ou religieuses furent ciblées par des missionnaires et des espions chargés de réunir des données significatives et les informations devant permettre aux cercles occulte des banquiers Juifs, les Rothschild de Londres et de Paris, d'affiner leur connaissance de l'empire et aiguiser les sabres qui devaient le tailler en  pièces. Les études détaillées cernant les événements et recensant les acteurs impliqués dans cette campagne sont accessibles sur le Net. Le lecteur averti découvrira les intrigues que la version "officielle" des historiens confectionnant les manuels scolaires, ne dévoilent pas. Le mercenariat des banquiers juifs,  la franc-maçonnerie, est le bras brandissant la massue de démolition de l'empire Ottoman. 
La franc-maçonnerie fut introduite en Égypte par Napoléon Bonaparte, plus tard relayé par El Afghani et ses élèves Abdou et le Syrien Rida, les "réformistes" dont la "formation" avait été complértée sur les bords de la Seine. De  manière générale certaines sectes condamnée par l'orthodoxie musulmane avaient été réanimées et revitalisées ainsi que, le nationalisme local, l'hérésie Bahai et le Wahabisme, au Liban, dans la péninsule Arabique et partout où les espions français et anglais des loges maçonniques de Paris et Londres avaient relevé des divergences de rites ou de confession. Sans trop se perdre dans les détails, soulignons le fait que le mouvement des "frères musulmans" est une ex-croissance des réformistes, et tout le monde sait combien leur idéologie a "servi" à la promotion d'un de leurs adeptes, Ben Laden, pour dénigrer l'Islam et préparer la voie à l'actuelle colonisation juive de l'Irak-Afghanistan.
Les études académiques détaillées de ces mouvements et de leurs commanditaires-promoteurs sont disponibles en accès libre sur le Net. Pour revenir au sujet nous concernant, l'Afrique du Nord, remarquons  que la particularité de la région est l'inexistence de sectes permettant de développer la stratégie utilisée ailleurs. Le colonialisme français à l'instigation des cercles occultes juifs qui l'ont pensé, programmé et financé en Algérie,  adopta une approche différente : le foyer potentiel de division et dissension serait la disparité linguistique et culturelle qui fictivement et artificiellement séparait deux communautés.  L'impossibilité de les distinguer globalement, selon l'ethnologie, la géographie, la généalogie, l'ethnographie,  n'était pas un obstacle dans l'esprit des coreligionnaires d' Issac-Jacob Crémieux (plus connu sous le nom d'Adolphe Crémieux, ministre de la justice et membre fondateur de "l'Alliance Israélite Universelle"(Lien).(Lien Gallica: pdf  à télécharger pour une rétrospective des méfaits juifs lors de la colonisation et comment fut promulguer le décret Crémieux, et ses objectifs).
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«La brochure 2010 des Célébrations nationales vient de paraître. L’anniversaire de l’AIU y trouve naturellement sa place, grâce à un article signé Simone Veil.» Très révélateur pour reconnaître le stade avancé de la main-mise juive sur la France sionisée ).         
Photo: Jeunes Marocaines dansant à Mogador (futur Essaouira), le 16 juin 1935 pour le 75e anniversaire de l’Alliance © Alliance israélite universelle
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Le "diviser pour régner" et le plan de ralliement des communautés juives
d 'Afrique du Nord, pouvaient se passer de ces considérations méthodologiques.   Pour préparer le terrain : (Lien): «En ce qui concerne l'Algérie dont la conquête débute en 1830, la première loge, «Cimus», loge militaire du 10° régiment d’infanterie légère, s'installe fin 1831. En mai 1833 est créée la loge «Bélisaire» à Alger. En juin 1833 est créée la loge «Ismaël» à Bône, puis en juin 1836 «l’Union Africaine» à Oran. La loge d’Alger joue le rôle de loge-mère par essaimages successifs : à Blida en 1844 «les Frères de l’Atlas», à Cherchell en 1845 «Julia Caesarea». A Mostaganem en 1844 «les Trinosophes Africains» sont installés sous l’égide de la loge d’Oran. Le nombre de francs-maçons va régulièrement progresser, de 80 frères en 1833 à 850 frères en 1851.»
La franc-maçonnerie, cheval de Troie du judaïsme, fut donc dés 1831 sellée pour ouvrir la porte en Algérie (tout comme dans le reste de l'Afrique du Nord), aux "prédateurs". Soulignons l'importance de l'Algérie dans le plan de l'Alliance Israélite, puisque le décret Crémieux fut voté uniquement pour faire bénéficier les juifs algériens du statut civil de Français naturalisé, officialisant leur collaboration à la colonisation. Collaboration dont ils allaient remplir le contrat avec enthousiasme et beaucoup de zèle en fournissant les plus grands criminels de guerre civils et militaires, durant 130 ans. Les chroniques révélant l'implication des juifs, originaires de la métropole et les "pieds noirs", dans le génocide des populations autochtones musulmanes, sont dissimulées par "l'Histoire officielle", mais facilement accessibles sur le Web, il suffit de chercher pour découvrir la malveillance juive envers les musulmans avant 1830 (nombreux incidents) et jusqu'à 1962 (OAS et les essais nucléaires du Sahara).  La vindicte n'est pas terminée.

Fin de chap.1........... Chap.2 / Chap.3 / Chap.4 / Chap.5

13 avr. 2010

FMI: Est-il Vraiment Dans Le Besoin ? (2eme Partie)

En complément de "Partie 1", les références suivantes apportent quelques détails supplémentaires à ce dossier volumineux que de nombreuses compétences de la scène internationale dissèquent depuis des décennies, réfutant les vues et concepts propagés par les médias dominants, les sphères gouvernementales et académiques officielles.
Un océan de publications, objectives authentiquement éducatives et caractérisées par l'intégrité politique de leurs auteurs, inonde le Net. Seuls les chercheurs souffrant de cécité aigue peuvent ignorer et omettre de mentionner ce trésor d'informations traitant du sujet des banques et de la finance au sens large. Nos "experts" économistes de la presse indépendante, à leur tête ceux d'El Watan, se qualifient, par leur infirmité, à l'aide des services sociaux du ministère d'Ould Abbés au vue de leur handicape physique causé par à une alexie irrémédiable (" Incapacité, liée à une lésion cérébrale localisée, de reconnaître le sens des mots à la lecture"). Leurs analyses confortent sans cesse les concepts et les préceptes des organismes internationaux officielles, et sont souvent des plaidoiries de l'intérêt du cartel financier juif-talmude (FMI, Banque Mondiale, groupes financiers étrangers), ce qui les placent dans le rôle de chevaux de Troie plutôt que d'ignorants, tant ils persistent à refuser de voir ou d'entendre la tempête contestataire qui déferle sur la scène mondiale clairement percevable sur le Net (d'un simple clic de souris.)
Quand à nous, profitons du sursis offert à la disponibilité d'une multitude de sources autoritatives pour nous "éduquer", dont quelques extraits : 


«Notre système de la monnaie n'est pas celui qu'on a fait croire. La création de la monnaie a été privatisée, ou accaparée par des bailleurs de fonds privés. Thomas Jefferson les qualifia " d'aventuriers ruinés et effrontés prétendant avoir de l'argent". A l'exception des pièces de monnaie, tout notre argent est maintenant émis sous forme de prêts fournis par des institutions bancaire privées, parmi lesquelles la Federal Reserve, un organisme privé. Les banques créent le principal mais pas l'intérêt,  frais du service de l'emprunt. Pour régler cet intérêt, de nouveaux emprunts doivent être contractés, l'offre monétaire s'amplifie, haussant les prix(inflation) et vous dérobant de la valeur de votre argent.»
Ellen Brown (Lien : webofdebt.com) :
 «A travers un réseau de toiles d'araignée financières anonymes seuls une poignée Banquiers-Rois globalistes possèdent et contrôlent entièrement la monnaie. Tous, peuple, entreprises, État et nations étrangères sont devenus des esclaves enchainés au cordage de l'emprunt auprès des banquiers.»
«Feu Dr.  Carrol Quigley, un écrivain et professeur d'Histoire à l'université de Georgetown, où il supervisa le président Bill Clinton, écrivit de part sa connaissance d'une clique de banquiers globalistes de l'élite s'évertuant à contrôler le Monde».  «Leur objectif, et pas des moindres, disait-il, est de créer un système mondial de contrôle financier aux mains du privé capable de dominer le système politique de chaque nation et de l'économie mondiale en général».   «Ce système devrait être contrôlé selon un modèle féodal par les banques centrales de tous les pays agissant en coordination, et être régi par des accords secrets. Il nomma cette clique simplement " banquiers internationaux".»
«L'essence de ce projet n'est pas basée sur la race, religion , ou nationalité, mais essentiellement sur le désir de contrôle d'autres créatures humaines. La clé de leur réussite était qu'ils contrôleraient et manipuleraient le système monétaire d'une nation tout en le prétendant contrôlé par le gouvernement.» 
Crise économique : le FMI persiste et signe  
Par Damien Millet Secrétaire général du CADTM France (Comité pour l’Annulation de la Dette du Tiers Monde).
Et   Eric Toussaint, Président du CADTM Belgique (Comité pour l’Annulation de la Dette du Tiers Monde).


«Pourquoi changer une politique qui conduit à la faillite, lorsque les victimes sont les autres ? Telle est la question qui se pose au Fonds monétaire international et à laquelle il ne répondra pas. Au contraire, sous la houlette de Dominique Strauss-Kahn, le FMI entend utiliser la crise pour réduire. un peu la marge de manœuvre des États pauvres. Pour Damien Millet et Eric Toussaint, responsables du CADTM (Comité pour l’annulation de la dette du tiers-monde), il faut dissoudre sans attendre une institution internationale qui a conçu ses prêts comme un moyen de domination



«Outil au service des grands créanciers, le FMI piétine les droits humains fondamentaux pour imposer ses politiques néolibérales au Nord comme au Sud.»

«Les grandes puissances ont profité de la crise actuelle pour remettre le Fonds monétaire international (FMI), fortement délégitimé depuis des années, au centre du jeu politique. De concert avec l’Union Européenne, il impose sa politique de rigueur en Europe comme au Sud. Voulant passer en force, il poursuit imperturbablement la même politique néolibérale qu’il distille depuis les années 1980 aux pays en développement avec ses « plans d’ajustement structurel », baptisés au Nord « plans de rigueur » ou « mesures d’austérité ». En cas de refus ou d’insoumission, comme par exemple en Argentine en 2001, en Ukraine ou en Roumanie l’année dernière, le FMI accroît la pression en bloquant ses prêts, indépendamment des conséquences sociales. Pourtant, les échecs retentissants de ces politiques ont maintes fois été démontrés : partout les inégalités se creusent et la pauvreté gagne du terrain.»
« Si l’on examine le FMI comme si son objectif était de servir les intérêts de la communauté financière, on trouve un sens à des actes qui, sans cela, paraîtraient contradictoires et intellectuellement incohérents. »
Joseph Stiglitz, prix Nobel d’économie en 2001, La grande désillusion (2002).
Les grandes puissances contrôlèrent le FMI dès sa création
«Le FMI, tout comme son institution jumelle la Banque mondiale, est né à Bretton Woods (Etats-Unis) en juillet 1944. Aujourd’hui, 186 pays sont membres de ces deux organisations qui siègent à deux pas l’une de l’autre, près de la Maison Blanche à Washington. Mais le voisinage n’est pas uniquement géographique, il est aussi idéologique : elles promeuvent toutes les deux le fameux Consensus de Washington |1| dont les dix commandements sont prescrits aux pays surendettés à travers les plans d’ajustement structurel en contrepartie de nouveaux prêts. Le fonctionnent selon la règle « 1 dollar = 1 voix » permet aux pays riches de contrôler ces deux puissantes institutions, notamment les Etats-Unis qui à eux seuls disposent d’une minorité de blocage. En ce qui concerne le FMI, une règle tacite veut que le poste de directeur général élu pour cinq ans soit réservé à un Européen, tandis que celui de directeur général adjoint le soit à un Etats-Unien.»
«Nombre de pays en développement qui étaient auto-suffisants en produits alimentaires (tel Haïti avec le riz) au début des années 1980 importent aujourd’hui les denrées nécessaires à leur population. L’agriculture subventionnée des pays occidentaux a inondé les pays du Sud, ruinant des dizaines de milliers de familles paysannes et les chassant de leurs terres vers les bidonvilles. Le Sénégal doit importer la totalité des ingrédients du plat national, le Yassa poulet, et Haïti importe le riz qu’il cultivait autrefois en quantité suffisante pour nourrir sa population… Lorsque les spéculateurs se ruent sur ces produits à la bourse de Chicago comme on l’a vu en 2008, les prix de ces produits explosent sur les marchés locaux et des dizaines de pays connaissent des situations dramatiques de famine.»
La contestation n’a cessé de s’amplifier
«Conséquence directe de l’abandon des subventions aux produits de première nécessité imposée par le FMI, les oppositions à ses experts ultralibéraux se sont multipliées depuis un quart de siècle. Les « émeutes FMI » éclatent à intervalles réguliers au Sud. Citons l’exemple du Pérou en 1991 où le prix du pain est multiplié par 12 en une nuit, ou celui du Caracazo (3 jours d’émeutes occasionnant de nombreux morts) au Venezuela en 1989 suite à l’application d’un plan d’ajustement structurel…
Devant l’impopularité des conditions liées à ses prêts, plusieurs pays (Brésil, Argentine, Uruguay, Indonésie, Philippines, Turquie…) ont remboursé anticipativement leur dette envers le FMI au milieu des années 2000, afin de se débarrasser de sa tutelle encombrante. L’encours des crédits du FMI s’est effondré et, au printemps 2008, l’institution a été contrainte de se séparer de 380 de ses 2634 employés et de vendre une partie de son stock d’or. Par ailleurs, l’institution est confrontée à une grave crise de légitimité et les trois derniers directeurs du FMI ont démissionné avant la fin de leur mandat.»
Le FMI et la crise
«Suite au G20 de Londres du 2 avril 2009, le FMI a vu ses ressources tripler afin qu’il puisse multiplier ses prêts tous azimuts. Partout les conditions sont sévères : réduction ou gel des salaires de la fonction publique, réduction des pensions de retraite, privatisations des entreprises publiques, etc.
Une dizaine de pays d’Europe de l’Est ont ouvert une ligne de crédit avec le FMI en moins d’un an, une délégation du Fonds est attendue en Ukraine à la fin du mois de mars. Si la Lettonie veut continuer à recevoir les financements du FMI et de l’Union européenne, elle doit décider une réduction de 20% des salaires des fonctionnaires et de 10% des pensions de retraite. Ces politiques suscitent des réactions de la population qui descend dans la rue : grève générales se succèdent en Grèce, manifestations d’enseignants en Lettonie, de fonctionnaires en Roumanie, plus de 90 % des Islandais refusent par référendum de rembourser une dette jugée illégale...
John Lipsky, n°2 du FMI et ancien haut responsable de la banque JP Morgan, a prévenu les pays développés qu’ils doivent préparer leurs opinions publiques aux mesures d’austérité à venir, comme la baisse des allocations santé et retraite |2|. Si les peuples ne s’opposent pas farouchement et immédiatement aux exigences du FMI et des gouvernements du Nord au service des marchés financiers, d’importantes régressions sociales auront lieu et il est urgent de les empêcher.»

Fin des citations.

11 avr. 2010

Compassion Pour Nos Compatriotes: Victimes De La Propagande Et De La Manipulation Maçonnique. L'Âme N'a Pas De Prix. Sauvez La Vôtre !

Pour éviter tout plagiat et surtout honorer le courage et le mérite de Paul Copin-Albancelli, au lien Wikipédia., je reporterais intégralement le texte de l'article sans commentaires afin de permettre à qui le souhaite l'étude de ce document révélateur sur le mythe qui entoure la Franc-maçonnerie et les fausses abstractions qui l'encensent pour abuser le public et les adhérents à la "fraternité" tout en dissimulant ses fondements dogmatiques qui sont ceux d'une religion occulte satanique.

Biographie (Paul Copin-Albancelli)

Parcours maçonnique

Franc-maçon dès 1884[1], de la loge l'Avant-Garde maçonnique[2] de Paris[3] appartenant à l'obédience maçonnique du Grand Orient de France[4]. Il accomplit successivement les offices de secrétaire, d'orateur et de premier surveillant dans sa loge[5]. En 1887, il intègre un chapitre des hauts grades maçonniques dit Rose-Croix[6] du nom de La clémente amitié, dont le frère Amiable était le président portant le titre de Très-Sage[7]. Il en sera le secrétaire[8]. Par la suite des ouvertures lui sont faites pour un passage au grade de chevalier kadosh[9]. Dès 1889, encore dans la maçonnerie, il dénonce en tant que journaliste ses agissements dans une campagne électorale à Vervins, opposant un conservateur, Godelle, à un député gouvernemental sortant et franc-maçon, Dupuy. Il accuse alors publiquement la maçonnerie d'intolérance, de fanatisme antireligieux et d'ingérence occulte dans les affaires politiques. Godelle l'emporte[10]. Il est alors frappé d'une peine de mise en sommeil de quelques mois, au terme de laquelle il donne sa démission de sa loge, courant janvier 1890[11].

Parcours anti-maçonnique

Copin-Albancelli use de son expérience pour se faire l’un des plus violents dénonciateurs de la franc-maçonnerie qu’il associe, comme plusieurs antidreyfusards de l’époque, à un complot juif, avant de faire évoluer sa position. Il débute une série de conférences en France, dont la première fut devant les membres de la Ligue de la patrie française avec le soutient de Jules Lemaître et la seconde devant les membres de l'Action française[12].
Au tournant du XXe siècle, il fonde les journaux antimaçonniques et antisémites À bas les tyrans (avec André Baron/Louis Dasté), et La Bastille. Il dirige l'Union française antimaçonnique, qui fusionne en 1906 avec deux ligues crées par Émile Driant. La nouvelle entité prendra alors le nom de Ligue française anti-maçonnique[13] qu'il animera également. Elle éclate en 1909 et Copin-Albancelli fonde la Ligue de défense nationale contre la franc-maçonnerie[14]. Il s'occupera aussi de la société d'édition "La Renaissance française".
Parallèlement à ces activités, Copin-Albancelli collaborait également à la Revue Internationale des Sociétés Secrètes de Mgr Ernest Jouin, célèbre contempteur de la franc-maçonnerie et dénonciateur de supposées conspirations liées à des forces occultes.
Craignant la ruine de la France au profit de puissances étrangères par le moyen de la franc-maçonnerie et autres sociétés secrètes, dont la Grande-Bretagne, le pangermanisme et la communauté juive en utiliseraient les effectifs, Copin-Albancelli dénoncera jusqu’à sa mort les sociétés secrètes, la propagande anti-française et les différents complots qui interfèrent, selon, lui dans la politique mondiale.
Le 28 février 1922, il exposa ses théories dans une lettre adressée au premier ministre britannique Lloyd George, qui en accusa réception[15], et dans laquelle il proposa que les sociétés secrètes soient inscrites au programme du désarmement au même titre qu'une arme ou qu'un régiment[16]. Il fit cela dans un but de dénonciation[17].

Action Française

Après avoir été boulangiste, Copin-Albancelli fut également l’un des premiers militants nationalistes et royalistes de l'Action française. Il collabora à la Revue d’Action française qui devient L'Action françaiseMouvement de défense des traditions nationales (ou Entente nationale), regroupant plusieurs royalistes de l'Action française ou indépendants. Il a contribué au livre de Maurras Enquête sur la monarchie dont il a écrit un chapitre.

 

Fin..."De Biographie",

lire la suite et l'article  (Plus D'Info)......





Algérie: Economistes Néo-Libéralistes Plus Royalistes Que Le Roi.

Scrutés en rétrospective: certains commentaires "d'experts" économiques prêtent à rire par leur naïveté ou soulèvent des questions sur la compétence de leur travaux ou l'honnêteté de leur avis sur des questions économiques importantes et souvent cruciales. Sans grands efforts et avec seulement un peu d'imagination, toute personne intéressée par l'information économique peut deviner où trouver ce genre d'écrit et ceux qui les diffusent: notre presse "indépendante" subversive, avec à leur tête El Watan. Sans jamais faire preuve de retenue ou de prudence le quotidien s'est spécialisé dans la divination économique et s'est converti en conseiller économique, défenseur de l'intérêt général dont l'expertise se résume à tenter d'induire en erreur le gouvernement et l'opinion publique sur des questions d'actualité et à le conduire dans des avenues hasardeuses et souvent catastrophiques pour ceux qui s'y hasarderaient. Tout le monde doit avoir en mémoire la campagne dirigée par El Watan et sa pléiade "d'experts" nationaux et internationaux qui accusèrent les autorités financières algériennes de négligence et d'incompétence dans la gestion des réserves excédentaires en devises accumulées (garantis par le gouvernement des États Unis) auprès du trésor américain. Nombre de conseilleurs algériens et étrangers suspects, «qui ne sont jamais les payeurs», chantaient d'une seule voix le refrain «de la nécessité de la diversification des placements des réserves en devise, dans la multitude de valeurs financières internationales négociées sur les marchés des bourses» de Londres, New York,, etc... Un piège que l'Algérie contourna par miracle (et grâce à la vigilance de surveillants avisés).
La crise du crédit qui se profilait à l'horizon coïncidait par hasard avec cette effusion de recommandations "désintéressées" et de conseils gratuits. La campagne d'El Watan fut abrégée par l'impact de la crise qui dévoila toutes les horreurs des malversations et des combines frauduleuses régissant les marchés financiers, que les vrais experts dénonçaient (depuis longtemps) comme organismes gérés par une pègre (dominée par les "banksters" judéo-talmudes), selon les mêmes règles qui régissent les casinos de Las Vegas, sinon pires.  Périodiquement, les agents de propagande engagèrent des campagnes de désinformation enrobées d'arguments "économiques" (dogmatiques et superficiels) ciblant la crédulité ou l'ignorance du lecteur, et ayant uniquement pour but de créer la zizanie dans l'opinion qui réagirait par le mécontentement et par l'opposition au gouvernement. Citons l'exemple de la libéralisation de l'économie ou économie de marché, que nos diffuseurs d'utopie économico-financière vantaient sans relâche, en réponse (résonance) à la tendance mondiale véhiculée par les néo-conservatifs de G.Bush. Le criminel de guerre chargé de la défense des intérêts de ses maîtres, les banquiers juifs de New York et de Londres. Ajoutez à cette nébuleuse occulte les experts des organismes internationaux, FMI et Banque Mondiale.
Localement, tous les "experts" d'El Watan s'accordaient à promouvoir les bienfaits de l'ouverture du marché algérien au partenariat étranger, dans le but de résoudre TOUS les problèmes macro-économiques (chômage, inflation, déficits en infrastructures, etc..) par la réalisation de projets gigantesques, donc par le biais d'investissements colossaux pour nous atteler au progrès économique mondial et nous sortir DÉFINITIVEMENT du sous développement. El Watan, désigné porte parole de la mondialisation (par ses sponsors de NY), inonda l'opinion de théories économiques toutes aussi convaincantes et alléchantes que celles propagées par les officines américaines et européennes. Toujours selon La Méthode: Intox véhiculée par un bombardement médiatique ininterrompu, servant la devise «plus le mensonge est réitéré, plus il aura de chance de devenir une vérité» (voir son site pour la profusion d'articles sur les bienfaits de la mondialisation et le libéralisme économique). Cet enthousiasme, débordant d'arguments proposés par les nombreux "doctors" et spécialistes, semblait cette fois réconforter la politique gouvernementale d'ouverture économique, pour adhérer à l'OMS, se conformer aux nouvelles règles du commerce international et peut être même éviter d'attirer l'attention des néo-cons juifs de NY, commanditaires de la politique belliqueuse de G. Bush, qualifiée de "nouvelle croissade contre le Mal" (traduire par "le monde musulman").
L'expérience de l'ouverture du marché s'est avérée grossièrement désastreuse pour le pays. Le pillage effectué par nos "chers" partenaires au détriment de notre balance des paiements qui fut "saignée" un-scrupuleusement par des boucaniers internationaux spécialistes de l'incursion à court terme et au maximum de profits. Que dans le langage populaire on qualifie pertinemment de " Achrab oua Harab". D'autre part le désistement d'investisseurs potentiels et l'abandon de leur participation dans des projets importants, conduisirent à la conclusion et à l'arrêt de cette entreprise de libéralisation sauvage. Déconfiture politique ou économique, le Président Bouteflika en fit un bilan négatif et condamna publiquement ses imperfections et les dangers menaçant le pays qui en proviennent.  Il promit de corriger les erreurs commises en ré-orientant le pays vers l'auto suffisance et la réhabilitation du secteur publique. Une politique pragmatique doublée d'une réduction de la dépendance envers le secteur privé étranger, l'Algérie ayant les moyens de cette nouvelle politique. La loi complémentaire des finances 2009, la révision des dispositions fiscales et un réaménagement de tous les outils de politique économique, suivirent, dans une conjoncture mondiale critique. Les premières résistances à la loi 2009 eurent pour origine les parties directement touchés par les nouvelles mesures. Réaction logique et un bon indicateur de la justesse de ce changement de cap. Les réserves avancées par le FMI sont surprenantes et doivent être examinées attentivement, car inhabituelles, précipitées et abusant de ses prérogatives. Mais l'intrigante tournure qu'a pris l'événement se situe essentiellement dans un fait inattendu : la  levée de boucliers de la presse spécialisée indépendante dans la défense des sociétés et groupes financiers étrangers affectés par les mesures gouvernementales (souveraines) qui étaient dictées par la nécessité de  protéger l'économie nationale (car atténuant les abus et les dérives causés par des règles économiques et commerciales préjudiciables). Un droit d'intervention gouvernemental que tous les pays jouissant d'un minimum d'indépendance se réservent dans ce genre de situation, mêmes chez les états-champions du libéralisme sauvage.
La crise financière actuelle illustre parfaitement ce état de fait, nombreux sont les pays occidentaux dans lesquels une multitude de mesures protectionnistes sont introduites pour leurs  propres intérêts, au mépris d'accords multilatéraux souvent contraignant, tels ceux liant la communauté européenne, par exemple.
Comment expliquer les déclarations faites par Nordin Grim, d'El Watan, (Lien) dans un article intitulé :
« Loi de finances complémentaire : Des conséquences désastreuses pour l’économie du pays»
«La loi de finances complémentaire pour l’année 2009 porte en elle de nombreuses dispositions visant à casser la dynamique d’ouverture économique et sociale lancée à la fin des années 1980.»
 -Quels arguments présente-t-il pour faire
un tel pronostique :
«Elle remet en cause des (1)principes fondamentaux de l’économie de marché comme l’autonomie de gestion des entreprises publiques économiques ayant le statut de société par actions (cas des banques auxquelles on interdit de pratiquer certaines formes de crédits), l’obligation de résultats (cas des EPE insolvables dissoutes que l’Etat a décidé de remettre sur selle) et la commercialité (cas de l’obligation de consommer en priorité des produits locaux sans référence au rapport qualité-prix). C’est toute la philosophie des réformes économiques(2) de 1988 qui est ainsi battue en brèche, déviant du coup le cap(3) de la transition à l’économie de marché.»

-(1)«Principes fondamentaux»? Des lois divines immuables ? Ou les règles dictées par la pègre juive et livrées pour consommation aux goyim crédules et idiots utiles sous forme de théories utopiques emballées dans les manuels pour retardés mentaux se réclamant des sciences économiques? Ou complices sponsorisés par les dirigeants du Nouvel Ordre Mondial? Ou des renégats mercenaires de la plume, de la trempe de certains de nos journalistes qui demeurent aveugles ou ferment les yeux devant le pillage orchestré par les banques et leurs succursales industrielles, le pouvoir économique et financier occulte qui dirigent le Monde sous couvert d'organisations douteuses mobilisées pour des objectifs prétendus humanitaires, fictifs et frauduleux ?
-(2)«Philosophie» ? Pourquoi pas dogme métaphysique préparant l'instauration de la dictature juive ? Ou doctrine religieuse prêchant la supériorité de la race juive et le droit de s'accaparer de la planète et de toutes ses richesses ?
-(3)«déviant du coup le cap» ? Sortir du droit chemin? Celui régi par les lois Talmudiques au détriment des goyim, leur réservant le droit de souffrir en silence de l'abus et du vol de leurs biens, au profit du peuple élu pour qui la rapine du goyim est kosher (licite) ? Une version talmude du "Tarik al Mustakim" ?
Notre "lumière éteinte" semble ignorer, ou intentionnellement occulter les méfaits de cette économie de marché, fondée sur un principe fondamental: la raison du plus fort et du plus puissant qui dicte aux faibles les règles du jeu, se réservant le privilège de les transgresser à volonté, selon ses caprices ou sa convenance personnel. Ce que nous recommande le traître est la soumission à cette tyrannie furtive et l'abandon de toute résistance ou initiative pour tenter d'éviter le traquenard que les prédateurs internationaux nous ont tendu. Soulignons pour rappel, la complicité des "réformateurs" de 1988 qui ont livré le pays aux FMI-Banque Mondiale !
«L’immobilisme qui a déjà fait beaucoup de mal à notre économie est, par conséquent, appelé à sévir encore plus, avec pour résultats de nets reculs en matière d’investissement, de croissance industrielle et d’approvisionnement des usines et des chantiers de construction.»  
Remarquez la technique d'ingénierie sociale, d'infusion de la crainte et d'injection de la panique, que notre scribouillard tente de transmettre au lecteur, manipulant ses émotions et omettant les arguments fiables qui l'informeraient. Vaine tentative de manipulation ! Qui dévoile la nature réelle des méthodes employées à travers ces analyses subjectives et irrationnelles vernies de "verbiage scientifique", pour s'introduire dans l'esprit du lecteur et y semer la peur et la confusion.  Consécutivement, pour le rendre émotionnellement vulnérable et apte au mécontentement, à la dissension et éventuellement à la révolte. Car il s'agit de créer le chaos social précédant l'ordre, le "Nouvel Ordre Mondial Juif" proclamé du haut des tribunes internationales par l'oligarchie qui dirige le Monde. (Lire la déclaration de D. Rockefeller,  ICI ou ICI ).
Quelques jours plus tard (08 Août 2009),  le ministre des finances, Karim Djoudi, répondit clairement aux dénigrements de la presse indépendante et des groupes d'intérêts étrangers qui avaient exprimé leurs
"préoccupations". (Consulter le lien).
Ell Watan ne s'est point rétracté ou corrigé. L'intox continue. Elle abordera d'autres sujets et tentera d'autres astuces. Nous en avons dénoncée une, celle de la campagne lancée par El Watan au profit du FMI qui tentait  une ingérence  (Lien) et (Lien).
Entre temps, la caravane passe. Et poursuivra son chemin, Incha Allah.