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9 janv. 2012

Média 2012 : Mensonges Et Diversion A La Poursuite De L’agenda Du Nouvel Ordre Mondial (3eme Partie)

L'information mensongère diffusée  à travers les média, cette parure moderne de Satan et de ses troupes, est la source de la majorité des maux qui accablent l'humanité. Sans le mensonge, les prétextes justifiant la violence, les fraudes, les usurpations, les spoliations, les injustices, les guerres et les abominations de tout genre, ne pourraient être envisagés, et ceux qui le diffusent n'espéreraient pas usurper la confiance et l'approbation de l'opinion. L'analyse de l'information sert à la poursuite de la connaissance, mais la volonté de savoir ne suffit pas, au risque de voir le chercheur se transformer en un récipient inerte et le déversoir de tous les boniments qui "pollue" le champ informationnel. On se heurte à l'obstacle de reconnaissance de la pertinence, de l'authenticité, et de l'intégrité des données qui nous submergent. La tache n'est pas aisée si l'on considère que même les vérités scientifiques sont souvent manipulées à des fins politiques, idéologiques ou religieuses.
 La "Théorie de l'évolution des espèces" en est une illustration. Depuis deux siècles pas un seul exemple de fossile n'a pu être découvert réconfortant les hypothèses et les sketches que les adeptes du Darwinisme continuent de défendre et tentent d'imposer à l'humanité.  Harun Yahya (Lien), ridiculise le darwinisme et ses adeptes, dans d'innombrables publications et sur le site de son "Invitation à la vérité", dont un chapitre " L'EFFONDREMENT DE LA THÉORIE DE L'ÉVOLUTION EN 20 QUESTIONS", ou encore " LE MENSONGE DE L'ÉVOLUTION ", il démontre la bouffonnerie de la théorie de l'évolution.
 Le darwinisme, un dogme religieux érigé en vérité scientifique absolue, affirmée comme irréfutable, est l'exemple du pouvoir de Satan et de ses partisans à diffuser le mensonge, à l'élever au rang de certitude, à tyranniser la raison, et à bâtir un monde irréel, virtuel, qui rappelle le mirage, à partir duquel des sciences naturelles sont élaborées et enseignées à tous les niveaux de l'éducation; à l'image de la biologie; mais également de la philosophie et des sciences humaines et les ex-croissances  athéisme-matérialisme-marxisme-sécularisme.La multitude de "ismes",  piliers des idéologies à l'origine du malheur et des catastrophes qui accablent l'humanité.

Toutes, sources de dissension et d'antagonisme, et dissimulant les objectifs des éternels prédateurs auteurs des "protocoles des démons de Sion" (Lien) dans lesquels ils déclarent  : " Quand notre pouvoir sera reconnu et le gouvernement international établi, le rôle des utopistes sera terminé ; mais pour l'instant, ils nous sont encore utiles, parce qu'ils orientent les esprits vers des théories fantastiques, soi-disant avancées, et les détournent de la réalité. Nous avons réussi à tourner toutes les têtes par l'idée du progrès.
II ne s'en est pas trouvé une seule chez les goyim capable de s'apercevoir qu'il n'y a qu'une seule vérité et, qu'en tant que vérité, elle ne peut progresser; que le progrès est un éloignement de la vérité chaque fois qu'il ne s'agit pas d'inventions matérielles ; que le progrès sert à cacher la vérité afin que personne ne puisse la connaître, sauf nous, les Élus de Dieu, les gardiens de la vérité sur le mystère des relations humaines et de leur bien, de cette vérité que nous tenons cachée jusqu'au moment de notre victoire définitive et de notre conquête pacifique de l'univers."
Ceci est révélateur de l'art du mensonge cultivé chez les Rabbins depuis Babylone, puis transmis sous forme de savoir ésotérique (Kabala et bla-bla-bla) résumé dans le Talmude que pratiquent les sionistes et l'élite mondialiste se réclamant de la juiverie suprématiste internationale (pas de la race, qui n'existe pas !). Les banquiers Shylock sont les dépositaires privilégiés et les premiers rentiers de ce "nouvel ordre", car ces perfides illusionnés monopolisent le "vénéré" métal jaune symbolisant pour eux le pouvoir ultime (sic). Dans le même registre du mensonge et de l'effronterie, consultez les arguments d'historiens authentiques, dont ceux de l'AAARGH,  qui sur des bases scientifiques, de statistiques, de relevés civiles, de registres de gestion des camps allemands de prisonniers, de témoignages intègres et neutres, etc…, autorisent la réfutation totale de l'Holocauste-Shoah, le rite imposé par la domination talmude au reste du monde. Une panoplie de lois scélérates, votées par les gouvernements de l'Occident colonisé et  judaïser, interdisent l'étude de l'histoire de la 2nde Guerre Mondiale, sous tous ses aspects, lorsque l'approche méthodologique diffère de l'officielle, celle dictée par la tyrannique juiverie internationale ! En vous gargarisant de démocratie occidentale, vous perdez la voix ! Nombreux en ont perdu la liberté, et même la vie !  
 Note : L'Histoire est en réalité facile à lire et à comprendre sous l'angle des enseignements divins. Ceux-ci sont  hélas dédaignés et dévalorisés par les victimes de l'aliénation conditionnée par les théories frauduleuses et mensongères. Le mensonge répété ad infinitum, et déversé massivement et intensivement dans l'esprit des Goyim, par les réseaux de la Kosher Nostra, fini par être perçu comme vérité. Les puissants outils, sous leur contrôle, de la culture, de l'enseignement et des médias, sont les véhicules de cette déception.   
Qu'advienne-t-il de la situation des Goyim en ce début d'année 2012, devant le torrent d'annonces et de flashes d'événements déprimants qui désorientent l'opinion plus qu'ils ne l'informent ? Le déluge de statistiques morbides plonge l'opinion dans la grisaille, en ciblant ses émotions, tout en le privant de données fiables qui stimuleraient la réflexion et sa capacité d'appréhender l'avenir. De la pure kabala en pratique, de l'occulte distillé par les réseaux de communications sophistiqués, électroniques et informatiques, en application des règles du Talmude révisé et adapté au 21em siècle, schématisé dans les "protocoles" !
- Syrie ! Iran ! Irak ! Crises ! Debt ! Euro ! Élections ! Fukushima !  Clament les média, sapant le moral des moutons pris entre la gueule des loups de l'usurerie et la poigne des cartels de l'armement (donc de la guerre). L'ingénierie sociale mise en pratique sur la masse des Goyim, exacerbe les émotions et gèle la pensée.  Les techniques utilisées(*) sont connues des cercles fermés de la hiérarchie talmude et de leurs agents affectés aux activités sensibles ayant un impact sur l'opinion: les média, l'éducation et la scène politique. Elles peuvent parfois être enseignées à des groupes régionaux, lorsque la présence de juifs ne pèse pas suffisamment dans la balance des forces en présence et ne permet pas d'organiser un pouvoir parallèle.
En Algérie, le travail de sape est livré aux collaborateurs que le sionisme international a recruté dans les associations affiliées à la franc-maçonnerie(**), les ONG et certains partis politiques. Tous ces mercenaires enfourchent un même cheval de Troie : la nébuleuse des harkis de la plume, tous média confondus. Tous se réclament de la démocratie et se déclarent partisans des droits de l'homme, prétexte de leur agitation subversive que j'expose extensivement tout au long de ce blog. A travers une nouvelle visite nous tenterons de recenser les changements éventuels dans les contenu présenté par quelques acteurs de la presse et tenterons d'élucider les manigances que ces idiots utiles (au service tacite du talmudisme mondial ) trament volontairement contre leur pays et leurs concitoyens.
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(*) Amplement documentée sur le Net (Lien important: dont le titre se traduit : "Armes Silencieuses pour Guerres tranquilles")
Description d'une arme silencieuse :
«Tout ce qui est attendu d'une arme ordinaire est attendu d'une arme silencieuse par ses créateurs, mais seulement dans sa propre manière de fonctionnement. Elle tire des situations, au lieu de balles, propulsée par le traitement des données, au lieu d'une réaction chimique (explosion); provenant de bits de données, au lieu de grains de poudre; lancée d'un ordinateur, au lieu d'un fusil; exploitée par un programmeur informatique, au lieu d'un tireur d'élite; sous les ordres d'un magnat de la banque, au lieu d'un général militaire.
Elle ne fait aucun bruit d'explosif, ne provoque pas de blessure évidente physique ou mentale, et n'a pas l'apparence évidente de nuire à qui que ce soit, ni à
la vie sociale quotidienne. Pourtant si, elle produit un "bruit" incomparable, cause des dommages physiques et mentaux uniques, et interfère indubitablement avec la vie sociale quotidienne, c'est à dire sans équivoque aux yeux d'un observateur qualifié, celui qui sait ce qu'il faut chercher. Le public ne peut pas comprendre cette arme, et donc ne peut pas croire qu'ils sont attaqués et ciblés par une arme. Le public peut instinctivement sentir que quelque chose va mal, ceci en raison de la nature technique de l'arme silencieuse, ils ne peuvent pas exprimer leurs sentiments de façon rationnelle, ou traiter le problème avec intelligence. Par conséquent, ils ne savent pas comment crier à l'aide, et ne savent pas comment s'associer avec d'autres pour se défendre contre elle. Lorsqu'une arme silencieuse est appliquée graduellement, le public ajuste / s'adapte à sa présence et apprend à tolérer son empiètement sur ​​leur vie jusqu'à ce que la pression (psychologique, via économique) devienne trop grande et ils craquent. Par conséquent, l'arme silencieuse sert à un type de guerre biologique. Elle attaque la vitalité, les options, et la mobilité des individus d'une société en connaissant, comprenant, manipulant, et attaquant leurs sources d'énergie sociale et naturelle, et leurs forces physiques, mentales, et émotionnelles, et aussi leurs faiblesses.»

(**)
de longue date déjà, puisque les loges furent introduites par les premiers officiers de l'armée française, dés le début de la colonisation en 1830.
                                                                                                                   A suivre………………

5 janv. 2012

Média 2012 : Mensonges Et Diversion A La Poursuite De L’agenda Du Nouvel Ordre Mondial (2ème Partie)

Comme mentionné dans la 1ère Partie, une campagne mensongère semblable à celle ayant précédé la colonisation de la Libye a été lancée par tous les média affilés au NOM talmude. Al-Jazeera, propriété de l'émirat de Qatar, nouvelle recrue de l'impérialisme, que certains qualifient de "proxy sioniste" (insinuant peut être "un pays qui travaille pour un proxènéte juif ") est le fer de lance de l'offensive mondialiste contre les pays musulmans non-affiliés au gouvernement mondial des Rothschild.
Justes ou injustes, démocratiques ou pas, légitimes ou dictatoriaux, représentatifs ou non de leur peuple, les gouvernants des pays ciblés par les armées de l'OTAN-Israél-USA sont critiqués pour leur contrôle et monopole du pouvoir. Prétendant être soucieux d'aider les peuples persécutés par des responsables qui ne se plient pas aux normes (élastiques) de la démocratie virtuelle clamée par l'oligarchique "communauté internationale" (sic) et regroupée autour de l'hypocrite ONU et les banquiers shylock (dont FMI et BM), les défenseurs des droits de l'homme devraient consulter les peuples et connaitre leur opinion sur un choix de système de gouvernance. Pourquoi ces pays devraient- ils accepter un modèle étranger véhiculant des valeurs allogènes ? N'est-ce pas là une forme de dictat hégémonique,  oppressif et contredisant les déclarations frauduleuses des porte paroles mondialistes (ONG et gouvernements sous joug talmude). Nul besoin de souligner que ces campagnes sont menées étrangement par la classe des arrogants criminels de guerre de la trempe des Bush, Obama, Sarkosy, Pérés, Cameron, qui eux défient toutes les lois et conventions internationales, sans craindre d'être accusés, jugés, encore moins d'être condamnés pour leurs décisions politiques meurtrières. Car couverts et protégés par les chaines de télé, les agences (Reuters, AFP, etc..) la presse écrite et leurs «miroirs  on-line», majoritairement et traditionnellement liés aux réseaux juifs sionistes. Les média n'ont pas de marge de manœuvre, ils exécutent les instructions des services spécialisés, gérés par les experts de la communication des Mossad-CIA-MI6. Ceci est une opération complexe associant les équipes de scientifiques maitrisant l’ingénierie sociale à un degré insoupçonné du public. Pauvre public, balloté d’un "événement" à l’autre au gré du programme de l’heure dicté par les orientations des élites du NOM et des mises en forme grand public produites par les ouvriers des centres de reflexion (think-tank). Mensonges, oxymores, diversions, manipulations psychologiques et souvent occultes, les "tubes digestifs" sont soumis à un bombardement de données erronées au point où la confusion suprême règne dans leur esprit. Et si les effets recherchés ne sont pas perceptibles (lors de sondages), les plateaux des débats recrutent des hordes de "personnalités" accréditées, dont l'autorité servira à "convaincre", entendre dérouter les récalcitrants à l'idéologie officielle, les "révisionnistes" potentiels. Une technique médiatique actuelle de manipulation, très en vogue, consiste à minimiser la situation mondiale critique en maintenant le public dans le "faire croire" en un semblant de bien être et de bonheur illusoire; et en l'isolant des "mauvaises nouvelles" (réservées à la famine en Somalie) et en présentant toujours l'information par la voix de journalistes dont le visage est figé derrière un sourire idiot, même lors d'annonce de catastrophes de tout genre, économiques, financières, fiscales, et même météorologiques ! Rennes de l'humeur de l'opinion, les flash d'information ou les journaux télévisés ont pour rôle d'éviter d'inquiéter la populace. L’inquiétude suivie de peur risque de stimuler la réflexion, peut être même d'encourager la pensée indépendante, un danger pour l'oligarchie qui répugne l'individualisme créatif qui dévierait de la ligne officielle et de l'encadrement de la matrice sociale confectionnée par les démons de Sion. Parallèlement, l'insistance est sur les émotions canalisées dans les faits divers, d'intérêt mineur. Un assassinat, un suicide d'adolescent, un cambriolage, un règlement de compte; ces événements mobilisent la nébuleuse du mensonge qui orchestre les réactions et se joint aux pleureuses, en déversant ses sanglots et larmes de crocodile, orientant le mécontentement et le…racisme. Toujours loin des enjeux réels: la dilapidation des finances publiques au profit des banques (trop importantes pour être abandonnées à la faillite, parce-que kosherisées); des budgets militaires extravagants, secrets, et desservant les intérêts nationaux; des affaires de corruption impliquant les talmudistes, sinon leurs idiots utiles (les très chers frères des loges maçonniques); la mainmise de la gente talmudipède sur les média; la défense privilégiée des intérêts d’Israël au détriment de ceux du pays concerné, etc… Une autre technique, élaborée et testée dans les laboratoires d'ingénierie sociale, est celle de la fabrication de bulles médiatiques, gonflées par la pression verbale de la tromperie "des auto-élus", virtuoses millénaires de la calomnie, de l'imposture et de la sournoiserie. Elle consiste donc à amplifier un événement anodin, lui attribuant une importance fictive, et drainant dans son sillage l'opinion embarquée dans des polémiques et des débats sans fin, et sans fond, jusqu'à épuisement des énergies cérébrales et l'éreintement des protagonistes. Le médiateur, un cousin journaliste en charge, conclut alors, et débite l'information mijotée et préconçue, destinée à marquer et à demeurer dans le subconscient de l'assistance. Fin des débats stériles, le message est passé, et la démo-crétinerie en est réconfortée.

Les Protocoles des Démons de Sion décrivent ce truc comme "tourner l'opinion en bourrique", "la mener par le nez", "la conduire par l'oreille". Au fait j'oubliais de rappeler que le manuel de la subversion kosher, le Talmud, instruit ses adeptes de traiter le public Goyim comme un "troupeau d'ânes", auquel est réservé, naturellement le traitement "du bâton et de la carotte".



A Suivre…….

4 janv. 2012

Média 2012 : Mensonges Et Diversion A La Poursuite De L’agenda Du Nouvel Ordre Mondial.(1ère Partie)


Énumérons les thèmes principaux qui alimentent l’actualité et examinons le contenu et l’appréciation offerte par différents commentateurs et observateurs.
On constate que la réalité prend diverses formes, en fonction de la source qui la présente. Un choix s’impose, celui de distinguer les motifs et les intérêts, connus ou cachés qui conditionnent le travail des rédactions à l’origine de l’information.
La crise financière et économique mondiale est le premier sujet qui fait couler beaucoup d’encre dans les chroniques spécialisées, de la plume d’experts et de commentateurs avisés. Beaucoup d’autres, par contre, diffusent leurs idées comme support d’une manipulation voulue des masses dont le mécontentement gronde, ce que les banquiers craignent et tentent de neutraliser. Les experts s’accordent sur la gravité de la situation économique internationale et par déduction, de l’état de la planète menacée par les conflits déclenchés par le NOM, en rupture avec toutes les règles régissant les relations entre états. Justice et légalité sont ignorées par les USA et ses alliés, proxy des banquiers talmudes, par la multiplication de centres de tension ou d’agressions directes pour s’accaparer les ressources naturelles et installer des gouvernements fantoches.
Pour les activistes engagés dans le combat pour la vérité, il ne s’agit pas de jouer à l’oracle du désespoir en voulant prévenir l’opinion des dangers qui pointent à l’horizon, mais de la réveiller et l’éduquer en revendiquant :   
-la dignité humaine,
-la vérité sans fard, libre de la manipulation et de l’intox,
-les droits définis par les décrets divins et non ceux, déceptifs et discriminatoires, promulguées par les ONG scélérates,
-la justice pour tous, et des normes universelles respectées par tous, pas la loi du plus fort ou du plus riche,
-et toutes autres valeurs promotrices de l’homme, non celles propagées par l’élite satanique qui œuvre à la destruction morale, spirituelle et physique de l’humanité.
L’année 2012 s’annonce avec en arrière plan, le pire scénario d’une 3eme guerre mondiale, au vu des manœuvres militaires de l’OTAN qui ont lieu dans les zones sensibles de tous les continents, selon un plan de déploiement que beaucoup d’observateurs jugent alarmant, sinon follement hasardeux et provocant, puisque même la Chine et la Russie n’échappent pas à l’encerclement belliqueux des bases de l’OTAN-US.
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Remarque et conseil :
Une lecture incontournable : les articles d’autorités, auteurs, historiens, analystes exposant les grandes lignes de politique internationale et les événements majeurs marquant l’avenir de l’humanité et de la planète est disponible entre autres, sur les sites Globalresearch.ca (Anglais), ou son site mirroir Mondialisation.ca (Français), Tarpley.net , voltairenet.org.
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- James Petras (Mondialisation.ca) «La perspective économique, politique et sociale de 2012 est profondément négative. Quasiment tous les économistes orthodoxes de la pensée dominante sont pessimistes en ce qui concerne l’économie mondiale. Bien que, là aussi, leurs prédictions sous-estiment l’étendue et la profondeur de la crise, il y a de grandes raisons de croire que 2012 sera le début d’un déclin plus important que celui engendré par la Grande Récession de 2008-2009. Avec moins de ressources, plus de dette et une résistance populaire croissante, les gouvernements ne pourront pas sauver le système
- Bob Chapman (Globalresearch.ca) «Sombres perspectives économiques pour 2012: bouleversements sociaux, défaillance des banques et chaos financier»
«2012 va être une année de la chute d’économies, au Royaume-Uni, en Europe, aux Etats-Unis, en Chine, au Japon et dans le reste de l'Asie. L'Amérique latine et le Mexique en comparaison devraient généralement se porter assez bien. L’Angleterre est prise dans une spirale de la mort. L’Europe suivra ; les États-Unis ne sont pas loin derrière ; la Chine et le Japon vont bientôt rejoindre le groupe d’écartelés. Nous nous apprêtons à assister à la fin d’une aire historique qui s’est développée depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Cette fin s’opérant économiquement, financièrement, socialement et politiquement. La transition vers l'avenir va naitre après le chaos. Si vous avez le moindre doute il suffit de regarder la récente loi votée aux États-Unis permettant au président d’arrêter et d'incarcérer les dissidents, les torturer ou les assassiner. Les Américains pouvant être étiquetés de « terroristes » pour n’importe quelle prétexte imaginaire si le gouvernement le décide.»
Les commentaires analysant la situation passée et offrant des prévisions pour l’année qui débute ne manquent pas, il est recommandé pour tout citoyen consciencieux et doté d’un brin de respect de soi même, de s’informer impérativement en consultant des sources fiables de la Toile. Les média dominants sont inévitablement amarrés à la machine de propagande juive talmude qui maintient l’opinion dans l’aliénation et l’illusion chimérique, pendant que se trament des complots aux dimensions planétaires en se jouant de la crédulité populaire et acheminant les goyim vers l’étape décisive planifiée par les tenants du NOM : la dictature des des banquiers talmudipèdes. Les enjeux majeurs et les défis qui confrontent les citoyens du monde est un sujet qui n’est pas abordé pas la machine à mensonge regroupant les chaines de Tv, la presse, et les sites internet des réseaux contrôlés par la Kosher Nostra. Mondialement ou localement, les gens doivent apprendre à distinguer les agences d’information inféodés au NOM et à se départir du conditionnement culturel préconisant de croire en tout ce que publient les journaux ou annonce la télé.
Thèmes actuels soumis à un tapage médiatique suspect :
Après la campagne libyenne, la machine à mensonges s’est tournée vers d’autres horizons, à savoir la Syrie, l’Iran, la Somalie, le Yémen, les élections présidentielles prévues en France, aux USA, la crise économique et financière, etc…
La Syrie cible du NOM est sujet de la même campagne que celle précédente, dirigée contre la Lybie, menée par les acteurs OTAN + Israél + USA + ONG + ONU + Pays du Golf (Qatar !!),  accompagnés par les agences sionistes + Aljazeera + les média locaux partisans des printemps arabes (en Algérie, El Watan, El Khabar, Echhourouk,…). Pour les partis engagés traditionnellement dans les conflits meurtriers visant les Musulmans-Arabes, la propagande et les prétextes avancés sont prévisibles et visibles car provenant de l’ennemi de toujours, le sionisme-talmudisme international et ses proxies, « de mes ennemis je me charge ». Mais là où la méfiance s’impose est dans le traitement de l’info produite par l’ennemi de l’intérieur, dans ce cas : « protège moi de mes amis ». Les pays arabes du Golf et Moyen Orient inféodés aux USA-GB, et depuis peu à Israél (relations et accords secrets) , sont passés du rôle de simples alliés logistiques offrant des bases militaires de soutien à la machine de guerre de l’OTAN-US, à celui de partenaires à part entière, sur le plan militaire, politique et diplomatique. Les prophéties se confirment concernant l’avénement du Qarn-Eshaitan au Najd, la région actuelle des 6 (666 !) pays du Conseil de Coopération du Golfe.  Sur le plan médiatique, la chaine Aljazeera est l’outil de propagande agissant comme diffuseur de mensonges et d’agitateur des foules, un rôle prévu par ses fondateurs les frères David et Jean Frydman, qui rapelons-le, sont deux juifs franco-israéliens (Lien, voltaire.net) qui s’associèrent à l’émir du Qatar pour lancer la chaine ! (Lire impérieusement texte intégral ci-dessus, publication de voltairenet.org

                                       …..A suivre  ----> 2em Partie



Wadah Khanfar, Al-Jazeera et le triomphe de la propagande télévisuelle


Al-Jazeera, la chaîne d’information qatariote qui s’est imposée en 15 ans dans le monde arabe comme une source originale d’information, s’est soudainement engagée dans une vaste opération d’intoxication visant à renverser les régimes libyen et syrien par tous les moyens. Ce revirement, démontre Thierry Meyssan, n’est pas le fruit de la conjoncture, mais a été préparé de longue date par des personnalités qui ont su cacher leurs intérêts personnels au grand public. Révélations…

Réseau Voltaire | Beyrouth (Liban)

Wadah Khanfar 
La chaîne qatariote Al-Jazeeraa annoncé la démission de son directeur général, Wadah Khanfar, et son remplacement par un membre de la famille royale, cheikh Hamad Ben Jassem Al-Thani, le 20 septembre 2011.
Cheikh Hamad est un cadre de Qatargas. Il a travaillé pendant un an à Paris-La Défense au siège de Total. Il présidait par le passé le Conseil d’administration d’Al-Jazeera.
Cette nouvelle est présentée dans la presse atlantiste de trois manières différentes : soit comme une démission forcée et une reprise en main de la chaîne par l’État, soit comme une vengeance de l’Autorité palestinienne après la diffusion des Palestinian Papers, soit enfin comme une conséquence des fuites de Wikileaks exposant certaines des connexions de M. Khanfar avec les États-Unis.
Si toutes ces interprétations peuvent contenir une part de vérité elles masquent la raison principale : le rôle du Qatar dans la guerre contre la Libye. Ici, un retour en arrière est nécessaire.

L’origine d’Al-Jazeera : une volonté de dialogue

Al-Jazeera a été conçu par deux personnalités franco-israéliennes, les frères David et Jean Frydman, après l’assassinat de Yitzhak Rabin, dont ils étaient proches. Selon David Frydman [1], l’objectif était de créer un média où des Israéliens et des Arabes pourraient débattre librement, échanger des arguments, et apprendre à se connaître, alors que ceci était interdit par la situation de guerre et bloquait toute perspective de paix.
Pour créer la chaîne, les frères Frydman bénéficièrent d’un concours de circonstances : la compagnie saoudienne Orbit avait conclu un accord avec la BBC pour créer un journal télévisé en arabe. Mais les exigences politiques de la monarchie absolue saoudienne se révélèrent vite incompatibles avec la liberté de travail des journalistes britanniques. L’accord fut résilié et la majorité des journalistes arabisants de la BBC se retrouvèrent au chômage. Ils furent donc récupérés pour fonder Al-Jazeera.
Les frères Frydman tenaient à ce que leur télévision soit perçue comme une chaîne arabe. Ils parvinrent à convaincre le nouvel émir de Qatar, Hamid bin Khalifa al-Thani, qui, avec l’aide de Londres et de Washington, venait de renverser son père —accusé de sentiments pro-Iraniens—. Cheikh Hamad bin-Khalifa comprit rapidement les avantages qu’il pouvait tirer à se trouver au centre des discussions israélo-arabes, qui duraient depuis un demi-siècle déjà et s’annonçaient encore longues. Au passage, il autorisa l’ouverture à Doha d’un bureau du ministère israélien du Commerce, à défaut de pouvoir ouvrir une ambassade. Surtout, il vit l’intérêt pour le Qatar de concurrencer les riches médias saoudiens pan-arabes et de disposer d’un média qui critique tout le monde, sauf lui.
Le montage financier initial prévoyait à la fois une mise de fonds des frères Frydman et un prêt de l’émir de 150 millions de dollars sur 5 ans. C’est le boycott des annonceurs organisé par l’Arabie saoudite et l’absence de revenus significatifs de la publicité qui a conduit à modifier le schéma initial. En définitive, l’émir est devenu le bailleur de fonds de la chaîne et donc son commanditaire.

Des journalistes exemplaires

Durant des années, l’audience d’Al-Jazeera a été tirée par son pluralisme interne. La chaîne s’enorgueillissait de laisser dire une chose et son contraire. Sa prétention n’était pas de dire la vérité, mais de la faire surgir du débat. Son émission phare, le talk show de l’iconoclaste Faisal al-Qassem, intitulé « L’Opinion contraire », se régalait à bousculer les préjugés. Chacun pouvait trouver des motifs de se réjouir de certains programmes et d’en déplorer d’autres. Peu importe, ce bouillonnement interne a eu raison du monolithisme de ses concurrents et a bouleversé le paysage audio-visuel arabe.
Le rôle héroïque des reporters d’Al-Jazeera en Afghanistan et durant la troisième guerre du Golfe, en 2003, et leur travail exemplaire contrastant avec la propagande des chaînes satellitaires pro-US, transforma l’image de la chaîne d’une station polémique en média de référence. Ses journalistes payèrent au prix fort leur courage : George W. Bush hésita à bombarder les studio de Doha, mais fit assassiner Tareq Ayyoub [2], arrêter Tayseer Alouni [3] et incarcérer Sami el-Hajj à Guantanamo [4].

La réorganisation de 2005

Cependant les meilleures choses ont une fin. En 2004-05, après le décès de David Frydman, l’émir décida de réorganiser complètement Al-Jazeera et de créer de nouveaux canaux, dont Al-Jazeera English, alors que le marché mondial se transformait et que tous les grands États se dotaient de chaînes d’information satellitaires. Il s’agissait clairement d’abandonner l’effervescence et les provocations du début, de capitaliser une audience atteignant désormais les 50 millions de téléspectateurs, pour se positionner comme un acteur du monde globalisé.
Cheikh Hamad bin-Khalifa fit appel à un cabinet international qui lui avait dispensé une formation personnelle en communication. JTrack s’était spécialisé dans l’entraînement des leaders arabes et d’Asie du Sud-Est pour leur apprendre à parler le langage de Davos : comment donner aux Occidentaux l’image qu’ils ont envie de voir. Du Maroc à Singapour, JTrack a ainsi formé la plupart des responsables politiques soutenus par les États-Unis et Israël —souvent de simples fantoches héréditaires— pour en faire des personnalités médiatiquement respectables. L’important n’est pas qu’ils aient quelque chose à dire, mais qu’ils sachent manier la langue de bois globale.
Toutefois, le Pdg de JTrack, ayant été appelé à de hautes fonctions gouvernementales en Afrique du Nord, il dût se retirer avant d’avoir achevé la transformation du Al-Jazeera Group. Il confia la suite des opérations à un ancien journaliste de Voice of America qui travaillait depuis plusieurs années déjà pour la chaîne qatariote et appartenait à la même confrérie musulmane que lui : Wadah Khanfar.
À la fois professionnellement compétent et politiquement sûr, M. Khanfar s’attacha à donner une couleur idéologique à Al-Jazeera. Tout en donnant la parole à Mohamed Hassanein Heikal, l’ancien porte-parole de Nasser, il fit de cheikh Yusuf al-Qaradawi —qui avait été déchu de sa nationalité égyptienne par Nasser— le « conseiller spirituel » de la chaîne.

Le virage de 2011

C’est avec les révolutions en Afrique du Nord et dans la péninsule arabique que Wadah Khanfar a brutalement modifié la ligne éditoriale de sa rédaction. Le Groupe a joué un rôle central dans l’accréditation du mythe du « printemps arabe » : les peuples, avides de vivre à l’occidentale, se seraient soulevés pour renverser des dictateurs et adopter des démocraties parlementaires. Rien ne distinguerait les événements de Tunisie et d’Égypte, de ceux de Libye et de Syrie. Quant aux mouvements du Yémen et de Bahreïn, ils n’intéresseraient pas les téléspectateurs.
En réalité, les Anglo-Saxons se sont efforcés de surfer sur des révoltes populaires pour rejouer le vieil air du « printemps arabe » qu’ils avaient organisé dans les années 1920 pour s’emparer des anciennes provinces ottomanes et y installer des démocraties parlementaires fantoches sous contrôle mandataire. Al-Jazeera a donc accompagné les révoltes tunisienne et égyptienne pour écarter la tentation révolutionnaire et légitimer de nouveaux gouvernements favorables aux États-Unis et à Israël. En Égypte, il s’est même agi d’une véritable récupération au profit d’une seule composante de la contestation : les Frères musulmans, représentés par le prêcheur star de la chaîne… cheikh Yusuf al-Qaradawi.
Indignés par cette nouvelle ligne éditoriale et par le recours de plus en plus fréquent au mensonge [5], certains journalistes comme Ghassan Ben Jedo claquent la porte.

Qui tire les ficelles de l’info ?

Quoi qu’il en soit, il faut attendre l’épisode libyen pour que les masques tombent. En effet, le patron de JTrack et mentor de Wadah Kanfhar n’est autre que Mahmoud Jibril (le "J" de "JTrack", c’est "Jibril"). Ce manager aimable, brillant et creux, avait été conseillé à Mouammar Kadhafi par ses nouveaux amis états-uniens pour piloter l’ouverture économique de la Libye après la normalisation de ses relations diplomatiques. Sous le contrôle de Saif el-Islam Kadhafi, il avait été nommé à la fois ministre du Plan et directeur de l’Autorité de développement, devenant de facto le numéro 2 du gouvernement, et ayant autorité sur les autres ministres. Il mena au pas de charge la dérégulation de cette économie socialiste et la privatisation de ses entreprises publiques.
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Mahmoud Jibril avec son ami et partenaire en affaires Bernard-Henri Lévy, dans Tripoli conquise.
À travers l’activité de formation de JTrack, Mahmoud Jibril avait noué des relations personnelles avec presque tous les dirigeants arabes et d’Asie du Sud-Est. Il disposait de bureaux à Bahreïn et à Singapour. M. Jibril avait aussi créé des sociétés de négoce, dont une chargée du commerce du bois de Malaisie et d’Australie avec son ami français Bernard-Henri Lévy.
Mahmoud Jibril avait suivi ses premières études universitaires au Caire. Il y avait fait la connaissance de la fille d’un des ministres de Nasser et l’avait épousée. Il avait poursuivi ses études aux États-Unis, où il avait adopté les thèses libertariennes qu’il essaya d’introduire dans l’idéologie anarchiste d’el-Kadhafi. Surtout, M. Jibril avait rejoint la confrérie des Frères musulmans en Libye. C’est à ce titre qu’il avait placé les Frères Wadah Kanfhar et Yusuf al-Qaradawi à Al-Jazeera.
Durant le premier semestre 2011, la chaîne qatariote est devenue l’instrument privilégié de la propagande pro-occidentale : elle a nié autant que possible l’aspect anti-impérialiste et anti-sioniste des révolutions arabes et a choisi dans chaque pays les protagonistes qu’elle soutenait et ceux qu’elle conspuait. Sans surprise, elle a soutenu le roi de Bahreïn —un élève de Mahmoud Jibril— qui faisait tirer sur la foule, tandis que cheikh al-Qaradawi appelait à l’antenne au Jihad contre el-Khadafi et el-Assad, accusés mensongèrement de massacrer leur propre peuple.
M. Jibril étant devenu le Premier ministre du gouvernement rebelle libyen, le sommet de la mauvaise foi aura été atteint avec la construction dans des studios à Doha de répliques de la Place verte et de Bab el-Azizia où furent tournées de fausses images de l’entrée des « rebelles » pro-Us dans Tripoli. Que n’ai-je lu comme insultes lorsque j’ai annoncé cette manipulation dans les colonnes de Voltairenet.org ! Pourtant Al-Jazeera et Sky News diffusèrent ces fausses images le second jour de la bataille de Tripoli, semant le désarroi parmi la population libyenne. Ce ne fut en réalité que trois jours plus tard que les « rebelles » —presque exclusivement les Misrata— entrèrent dans Tripoli dévastée par les bombardements de l’OTAN.
Il en va de même avec l’annonce par Al-Jazeera de l’arrestation de Saif el-Islam Kadhafi et de la confirmation de cette capture par le procureur de la Cour pénale internationale Luis Moreno-Ocampo. Je fus le premier, sur les ondes de Russia Today, à démentir cette intoxication. Et là encore, je fus l’objet de quolibets dans certains journaux jusqu’à ce que Saif el-Islam vienne réveiller en personne les journalistes enfermés au Rixos et les conduise sur la vraie place Bal el-Azizia.
Interrogé sur ces mensonges par le canal arabe de France24, le président du Conseil national de transition (CNT), Mustafa Abdul Jalil revendiqua une ruse de guerre et se réjouit d’avoir ainsi accéléré la chute de la Jamahiriya.

Quel avenir pour Al-Jazeera ?

Le détournement d’Al-Jazeera en instrument de propagande pour la recolonisation de la Libye ne s’est pas fait à l’insu de l’émir de Qatar, mais sous sa houlette. C’est le Conseil de coopération du Golfe qui, le premier, a appelé une intervention armée en Libye. Le Qatar a été le premier membre arabe du Groupe de contact. Il a acheminé des armes pour les « rebelles » libyens, puis a envoyé son armée au sol, notamment lors de la bataille de Tripoli. En échange, il a obtenu le privilège de contrôler tout le commerce des hydrocarbures effectué au nom du Conseil national de transition.
Il est encore trop pour savoir si la démission de Wadah Khanfar marque la fin de sa mission au Qatar, ou si elle annonce une volonté de la chaîne de retrouver la crédibilité qu’elle avait mis 15 ans à gagner et 6 mois à perdre.
[1] Cf. entretiens avec l’auteur.
[2] « La guerre contre Al-Jazeera », article de Dima Tareq Tahboub résumé dans notre ancienne rubrique « Tribunes et décryptages », Réseau Voltaire, 6 octobre 2003.
[3] « La presse arabe dans la ligne de tir », Réseau Voltaire, 15 septembre 2003.
[4] Voir notre dossier Sami el-Hajj.
[5] Par exemple : « Al-Jazeera met en scène une manifestation monstre à Moscou contre Bachar el-Assad », Réseau Voltaire, 2 mai 2011.