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29 nov. 2010

Wassyla Tamzali Possédée Par Le Démon De La Laïcité : A Défaut D'Arguments, Blasphème Et Injure Stigmatisent La Gâté De L'UNESCO.

Donc pour des Droits sur mesure ?
Extrait d'un débat diffusé sur "radio-canada" ( Lien ) l'avocate du Diable a perdu toute sa retenue morale et sombre dans le gigantisme. En agent de l'UNESCO chargée des basses besognes des promoteurs du Nouvel Ordre Mondial qui ciblent les pays musulmans, en pointant les armes idéologiques de la laïcité-laxisme contre la forteresse familiale bâtie autour de la femme musulmane. Indépendamment de la question de savoir si le choix vestimentaire, d'une fraction très marginale de femmes musulmanes, est adéquat ou inapproprié, les débordements de langage sont en contradiction avec les principes utopiques prêchés par le dogme de la laicité dans sa formule "liberté de conscience". Notre "Waswassa" n'arrête pas de s'apitoyer sur le sort de la femme musulmane car son plus grand malheur est l'adhésion à certains principes de la religion, plus particulièrement de l'Islam. Pour la défendre, elle se doit de la rallier à sa propre vision des "us et coutumes", des goûts et des couleurs, de la croyance ou de l'impiété, de la coupe des cheveux, de la tenue vestimentaire, etc...
"Allégée" de ses particularités, la femme musulmane devrait emboiter le pas à Aayan Harsi ( voir brève biographie à  l'article suivant: lien ) et se fondre dans le modèle de la femme moderne, libre et heureuse, sans retenue contraignante, sans la pudeur, sans les vêtements trop volumineux, et dans le meilleur des cas et pourquoi pas, nue sur la couverture de quelque magazine kosher qui aurait la générosité de dévoiler ses charmes ? Je ne comprend toujours pas l'obsession qui hante ces défenseurs des droits et libertés avec le voile, le foulard, le nikab ou autre accoutrement, qui constitue un choix personnel. La liberté est apparemment de leur unique prérogative. Pourquoi défendent-ils ce privilège qu'ils refusent à autrui. N'est-ce pas une attitude contradictoire ? La contradiction n'est-elle pas la mort de la pensée ? 
Notre Wasswassa embarquée pour le Québec dans le cadre de la promotion commerciale de son livre qui reçoit tant d'attention des média (dois-je préciser juifs-sionistes ?), se devait bien sûr de meubler ses déclarations de quelques remarques salées pour faire "mondain" et "à la page". Et quoi mieux que les thèmes de l'Islam, du Coran, de la femme musulmane opprimée, en ces temps de "clash des civilisations", pour s'assurer une audience et un minimum d'écoute ? Comme dénoncée dans un article plus ancien, cette avocate du Diable mène depuis qu'elle 40 ans une vendetta contre l'Algérie sous couvert d'action humanitaire menée de l'étranger, son obsession est de venger la mort de son père exécuté par un membre du FLN pendant la guerre de libération! Elle n'a d'Algérienne que son certificat de naissance et tout son activisme politique a été dirigé contre la forteresse qui protège l'Algérie : l'Islam, et le pilier de la famille: la femme.
Ce n'est pas une algérienne ! C'est une transfuge franco-française au service du sionisme, dans sa version "lite", qui manipule les administrations d'ONG à façade humanitaire, mais aux objectifs réels génocidaires !
Pour les incrédules qui se bercent d'illusions, lisons ce qu'elle a de manière arrogante et défiante craché à la face des 35 millions d'Algériens qui la connaissent (je n'inclurais pas les 950 millions de musulmans du reste de la planète qui l'ignorent):
  (Extraits de (Lien)  et  (Lien))
-«Le combat que vous menez ici pour la laïcité m'intéresse beaucoup. Car l'Europe, la France et le Canada aussi, peut-être, sont en ce moment des laboratoires pour l'islam modéré. Or l'islam modéré, ça n'existe pas.»
Un journaliste écrit, tout en jubilant devant l'agressivité de notre wasswassa déchainée qui attaquait de front, en territoire étranger, ce sujet de tant de controverses stériles, le niqab :
«Elle n'est pas islamophobe (sic). Wassyla Tamzali est née dans une famille musulmane en 1941, dans l'Algérie coloniale. Une famille de marchands et d'industriels prospères aux lointaines origines ottomanes. Elle est la fille aînée d'un Algérien éduqué et d'une Espagnole, et la petite-fille d'une aïeule respectée qui se voilait de blanc pour ne pas être vue et reconnue dans la rue. Le voile, c'était la tradition. Mais cette même grand-mère (pauvre mémé, qui renia ce symbole de dignité de la femme) refusera que ses filles et ses petites-filles se voilent. Aussi, Wassyla Tamzali est-elle renversée et alarmée de constater que, dans son Algérie natale, aujourd'hui, « 65 % des femmes et 57 % des adolescentes sont voilées ». 
Les applaudissements aidant, la Wasswassa s'emballe et dans un état second, presque de transe démentielle, car sous l'influence de son "maitre" l'ange déchu qui conseilla Adam et Ève, elle s'engouffre corps et âme dans le blasphème  :
«Quant aux femmes qui disent se voiler par choix, Wassyla Tamzali rejette tous leurs arguments. L'idée que ces femmes respectent une tradition, évoquée par le prophète dans le Coran, la met en émoi. «J'en ai assez de me battre contre des bouts de chiffon. J'en ai assez d'interpréter le Coran. Le Coran est un livre ouvert qui dit tout et son contraire (!!). Et je peux vous répondre très longuement sur le contraire. Mais je ne le ferai pas, parce que ça suffit.» [...] Enfin, que répondre à une femme montréalaise qui dit porter le niqab par soumission à Dieu? «Oui! Sauf que le dieu est dans son lit le soir, raille-t-elle. C'est ça le problème!»
Le gigantisme et la folie des grandeurs lorsqu'ils prennent possession de leur victime la mènent d'illusion en illusion vers sa perte, pire vers sa faillite morale.  Tamzali le reconnait et s'en accommode car l'essentiel c'est de vendre son livre, elle est la bas pour le promouvoir, avec le patronage de ses sponsors-souteneurs des éditions judéo-talmudes. 
Ce que rapporte Anne Marie Le Comte  de radio canada (sympathique la mignonne journaliste. Aucun lien avec la noblesse française, mais kosher, pure et juive ) :

 «Wassyla Tamzali soutient ne pas avoir peur des mots
 "morale" et "patriarcat".»
«Cette femme née en 1941 insiste pour dire qu'en 2010, elle ne jouera pas le jeu d'interpréter les religions et les mythes pour avoir « un jugement moral » sur la condition des femmes. Selon elle, on ne remet pas les radicaux religieux à leur place par souci de paix sociale. « Cette paix sociale là se fait sur le dos des femmes », dénonce-t-elle.

28 nov. 2010

Les Économistes Académiciens Sont des Prêtres Hérétiques au Service des Banksters (banquiers-gangsters)

Une excellente analyse de Gabriel Donohoe (Lien-Fr) et (Lien-En),  qui élucide de manière pertinente le rôle néfaste des économistes et universitaires qui adhèrent aux écoles contemporaines des sciences économiques, en constituant un paravent aux intrigues et malversations des banquiers. Le pouvoir de l'ombre qui contrôle l'éducation et impose ses théories frauduleuses meublant des programmes universitaires consensuels mais inaptes à objectivement décrire et analyser la vie économique. Rarement critiques de l'oligarchie financière, les économistes qui sortent des "grandes écoles" adoptent l'approche qui leur est enseignée et ne dévient jamais du cadre limité des vues favorables à l'ordre régnant, celui de la suprématie des banksters. De l'économie politique il ne reste qu'un semblant de science sociale qui ne cesse de s'élargir par le nombre de spécialités qui se créent, mais demeurent purement théoriques et se distancent de la réalité. Des utopies sont publiées sur la base de travaux volumineux, sur le plan littéraire, mais inefficaces pour l'analyse des crises et de l'énoncé de solutions.
La définition erronée des facteurs structurelles et des forces agissant de manière significative dans l'ensemble de la sphère économique engendre une fausse perception des problèmes rencontrés et bien sûr enfante de mauvaises solutions. En exemple réside dans le fait qu'aucun manuel scolaire ou universitaire n'enseigne le rôle joué par les banques centrales dans le pillage des richesses des nations pour la simple raison que celles-ci sont perçues comme "nationales", donc "publiques", alors qu'elles sont majoritairement aux mains d'intérêts privés ! La majorité des Américains aux USA pensent  que la Federal Reserve System appartient au gouvernement. Ils seraient stupéfiés d'apprendre qu'elle est la propriété exclusive d'un cartel de 12 banques dominées par l'oligarchie financière européenne des Rothschild.        
 Gabriel Donohoe qui cite Stephen Zarlenga dans «The Lost Science Of Money » :
 «Les maitres de l'économie politique sont devenus le sacerdoce de la nouvelle aristocratie bancaire, servant souvent comme un appareil de propagande pour blanchiment de la structure du pouvoir financier. Ils mettent en avant des idées fausses et des écrans de fumée sur la vraie nature de la monnaie, des concepts  qui aident à réconforter les banquiers.»
«Zarlenga blâme la crise de l'économie mondiale sur "l'établissement financier et leurs économistes" et décrit ces derniers comme étant les porte-paroles du "pouvoir de l'argent". La raison pour laquelle la corruption du système bancaire moderne sévit depuis si longtemps en dépit de sa piètre performance est parce que les économistes professionnels presque jamais pointent du doigt les banksters ni contestent le caractère frauduleux de la création par les banksters de la monnaie basée sur la dette ou l'escroquerie scandaleuse du prêt effectué sur des réserves fractionnaires.»
Pour qui souhaiterait éclaircir la pratique autorisée, par les banques, des "réserves fractionnaires", l'article au lien "wikipedia" offre une introduction du sujet, quoique n'élaborant pas sur les déficiences et les vices de cette régulation que la banque centrale (aux mains d'intérêts privés) gère exclusivement à son avantage et toujours au dépend des souscripteurs à une dette,  nommée "prêt", "aide" ou "crédit" ! 
«Les économistes sont scolarisés dans les départements d'économie d'universités financés par les Banques où ils sont complètement endoctrinés dans les théories monétaires. Le pouvoir de l'argent veille à ce que les économistes soient méthodiquement formés dans le langage et la pensée économiques, et sont programmés pour  brailler la version entérinée et approuvée, officielle. La manipulation est le nom du jeu et les questions litigieuses sont ignorées ou déformées. L'évaluation correcte de l'histoire et le rôle de la banque ne sont jamais autorisés parce que ce serait admettre des vérités qui dérangeraient l'ordre établi. Zarlenga compare l'économie politique aux médecins médiévaux qui "théorisaient" sur la manière dont l'organisme fonctionne, sans jamais oser le disséquer et découvrir ce qu'il s'y passait réellement.» 
Une dernière flèche lancée par Gabriel Donohoe l'auteur de l'article :
«Tout comme les mulets sont les descendants stériles d'ânes et de chevaux, les économistes sont les descendants stériles des banksters et des corporatistes. Ils sont impuissants quand il s'agit de produire des idées nouvelles ou des nouvelles idées en dehors du système monétaire actuel. Les économistes semblent être tout à fait incapables d'innovation monétaire significative et ne peuvent concevoir d'autres solutions systémiques au-delà de celles qu'on leur a clouées dans la tête lors du passage dans les écoles des banksters. Bien qu'ils se considèrent comme une espèce différente des banksters, ils sont en vérité une seule et même créature. Quand le père est un âne, il lui est impossible de cacher son pedigree, les deux ayant de grandes oreilles et braillant les mêmes sons . Les économistes peuvent polémiquer et se vanter et apparaitre souvent critiques des banksters, mais pour tous leurs "hi-hans" ils n'ont jamais réussi à pousser un seul cri de guerre.» 
Donohoe précise cependant que :
«Heureusement, pas tous les économistes se nourrissent  au creux de l'auge des banksters ». Il y a beaucoup de réformateurs de l'économie qui sont dignes de louange et d'attention. En feuilletant les notes de cet article, l'auteur s'est arrêté à un certain Larry Bates, ancien professeur d'économie, président de banque pendant onze ans, membre de la Chambre des Représentants du Tennessee, président d'un comité permanent des banques et du commerce,
et l'auteur du best-seller, The New Economic Disorder. » 
Larry Bates déclare : «Le plus grand choc de cette décennie est que plus de gens sont sur le point de perdre plus d'argent qu'à un tout autre moment de l'histoire, mais le deuxième plus grand choc sera la quantité incroyable d'argent qu'un groupe relativement restreint de personnes accumulera simultanément. Voyez-vous, dans les périodes de bouleversements économiques, en période de crise économique, la richesse n'est pas détruite, elle est simplement transférée.»
Il ajoute : «La Fed est vraiment plus puissante que le gouvernement fédéral. Elle est plus puissante que le président, le Congrès ou les tribunaux ... La Fed détermine combien le consommateur moyen paiera pour sa voiture et sa maison, s'il aura un emploi, ou non. Je vous soumets l'affirmation  : ceci est un contrôle total ... » 
Selon Donohoe «Larry Bates nous assène un coup sur la tête, avec son "Contrôle total". Les banksters souhaitent garder le contrôle total. Ils veulent que les gens demeurent dans l'ignorance. Ils ne veulent pas qu'ils sachent qu'il y a une alternative beaucoup plus heureuse,  plus salutaire. Ils veulent garder l'ensemble de l'humanité soumise, à leurs pieds, dans l'esclavage à vie dû à la dette . Et surtout, ils sont en quelque sorte terrifiés par la possibilité que les gens prennent conscience de leur collusion scandaleuse et criminelle.»