Translate

29 nov. 2010

Wassyla Tamzali Possédée Par Le Démon De La Laïcité : A Défaut D'Arguments, Blasphème Et Injure Stigmatisent La Gâté De L'UNESCO.

Donc pour des Droits sur mesure ?
Extrait d'un débat diffusé sur "radio-canada" ( Lien ) l'avocate du Diable a perdu toute sa retenue morale et sombre dans le gigantisme. En agent de l'UNESCO chargée des basses besognes des promoteurs du Nouvel Ordre Mondial qui ciblent les pays musulmans, en pointant les armes idéologiques de la laïcité-laxisme contre la forteresse familiale bâtie autour de la femme musulmane. Indépendamment de la question de savoir si le choix vestimentaire, d'une fraction très marginale de femmes musulmanes, est adéquat ou inapproprié, les débordements de langage sont en contradiction avec les principes utopiques prêchés par le dogme de la laicité dans sa formule "liberté de conscience". Notre "Waswassa" n'arrête pas de s'apitoyer sur le sort de la femme musulmane car son plus grand malheur est l'adhésion à certains principes de la religion, plus particulièrement de l'Islam. Pour la défendre, elle se doit de la rallier à sa propre vision des "us et coutumes", des goûts et des couleurs, de la croyance ou de l'impiété, de la coupe des cheveux, de la tenue vestimentaire, etc...
"Allégée" de ses particularités, la femme musulmane devrait emboiter le pas à Aayan Harsi ( voir brève biographie à  l'article suivant: lien ) et se fondre dans le modèle de la femme moderne, libre et heureuse, sans retenue contraignante, sans la pudeur, sans les vêtements trop volumineux, et dans le meilleur des cas et pourquoi pas, nue sur la couverture de quelque magazine kosher qui aurait la générosité de dévoiler ses charmes ? Je ne comprend toujours pas l'obsession qui hante ces défenseurs des droits et libertés avec le voile, le foulard, le nikab ou autre accoutrement, qui constitue un choix personnel. La liberté est apparemment de leur unique prérogative. Pourquoi défendent-ils ce privilège qu'ils refusent à autrui. N'est-ce pas une attitude contradictoire ? La contradiction n'est-elle pas la mort de la pensée ? 
Notre Wasswassa embarquée pour le Québec dans le cadre de la promotion commerciale de son livre qui reçoit tant d'attention des média (dois-je préciser juifs-sionistes ?), se devait bien sûr de meubler ses déclarations de quelques remarques salées pour faire "mondain" et "à la page". Et quoi mieux que les thèmes de l'Islam, du Coran, de la femme musulmane opprimée, en ces temps de "clash des civilisations", pour s'assurer une audience et un minimum d'écoute ? Comme dénoncée dans un article plus ancien, cette avocate du Diable mène depuis qu'elle 40 ans une vendetta contre l'Algérie sous couvert d'action humanitaire menée de l'étranger, son obsession est de venger la mort de son père exécuté par un membre du FLN pendant la guerre de libération! Elle n'a d'Algérienne que son certificat de naissance et tout son activisme politique a été dirigé contre la forteresse qui protège l'Algérie : l'Islam, et le pilier de la famille: la femme.
Ce n'est pas une algérienne ! C'est une transfuge franco-française au service du sionisme, dans sa version "lite", qui manipule les administrations d'ONG à façade humanitaire, mais aux objectifs réels génocidaires !
Pour les incrédules qui se bercent d'illusions, lisons ce qu'elle a de manière arrogante et défiante craché à la face des 35 millions d'Algériens qui la connaissent (je n'inclurais pas les 950 millions de musulmans du reste de la planète qui l'ignorent):
  (Extraits de (Lien)  et  (Lien))
-«Le combat que vous menez ici pour la laïcité m'intéresse beaucoup. Car l'Europe, la France et le Canada aussi, peut-être, sont en ce moment des laboratoires pour l'islam modéré. Or l'islam modéré, ça n'existe pas.»
Un journaliste écrit, tout en jubilant devant l'agressivité de notre wasswassa déchainée qui attaquait de front, en territoire étranger, ce sujet de tant de controverses stériles, le niqab :
«Elle n'est pas islamophobe (sic). Wassyla Tamzali est née dans une famille musulmane en 1941, dans l'Algérie coloniale. Une famille de marchands et d'industriels prospères aux lointaines origines ottomanes. Elle est la fille aînée d'un Algérien éduqué et d'une Espagnole, et la petite-fille d'une aïeule respectée qui se voilait de blanc pour ne pas être vue et reconnue dans la rue. Le voile, c'était la tradition. Mais cette même grand-mère (pauvre mémé, qui renia ce symbole de dignité de la femme) refusera que ses filles et ses petites-filles se voilent. Aussi, Wassyla Tamzali est-elle renversée et alarmée de constater que, dans son Algérie natale, aujourd'hui, « 65 % des femmes et 57 % des adolescentes sont voilées ». 
Les applaudissements aidant, la Wasswassa s'emballe et dans un état second, presque de transe démentielle, car sous l'influence de son "maitre" l'ange déchu qui conseilla Adam et Ève, elle s'engouffre corps et âme dans le blasphème  :
«Quant aux femmes qui disent se voiler par choix, Wassyla Tamzali rejette tous leurs arguments. L'idée que ces femmes respectent une tradition, évoquée par le prophète dans le Coran, la met en émoi. «J'en ai assez de me battre contre des bouts de chiffon. J'en ai assez d'interpréter le Coran. Le Coran est un livre ouvert qui dit tout et son contraire (!!). Et je peux vous répondre très longuement sur le contraire. Mais je ne le ferai pas, parce que ça suffit.» [...] Enfin, que répondre à une femme montréalaise qui dit porter le niqab par soumission à Dieu? «Oui! Sauf que le dieu est dans son lit le soir, raille-t-elle. C'est ça le problème!»
Le gigantisme et la folie des grandeurs lorsqu'ils prennent possession de leur victime la mènent d'illusion en illusion vers sa perte, pire vers sa faillite morale.  Tamzali le reconnait et s'en accommode car l'essentiel c'est de vendre son livre, elle est la bas pour le promouvoir, avec le patronage de ses sponsors-souteneurs des éditions judéo-talmudes. 
Ce que rapporte Anne Marie Le Comte  de radio canada (sympathique la mignonne journaliste. Aucun lien avec la noblesse française, mais kosher, pure et juive ) :

 «Wassyla Tamzali soutient ne pas avoir peur des mots
 "morale" et "patriarcat".»
«Cette femme née en 1941 insiste pour dire qu'en 2010, elle ne jouera pas le jeu d'interpréter les religions et les mythes pour avoir « un jugement moral » sur la condition des femmes. Selon elle, on ne remet pas les radicaux religieux à leur place par souci de paix sociale. « Cette paix sociale là se fait sur le dos des femmes », dénonce-t-elle.

28 nov. 2010

Les Économistes Académiciens Sont des Prêtres Hérétiques au Service des Banksters (banquiers-gangsters)

Une excellente analyse de Gabriel Donohoe (Lien-Fr) et (Lien-En),  qui élucide de manière pertinente le rôle néfaste des économistes et universitaires qui adhèrent aux écoles contemporaines des sciences économiques, en constituant un paravent aux intrigues et malversations des banquiers. Le pouvoir de l'ombre qui contrôle l'éducation et impose ses théories frauduleuses meublant des programmes universitaires consensuels mais inaptes à objectivement décrire et analyser la vie économique. Rarement critiques de l'oligarchie financière, les économistes qui sortent des "grandes écoles" adoptent l'approche qui leur est enseignée et ne dévient jamais du cadre limité des vues favorables à l'ordre régnant, celui de la suprématie des banksters. De l'économie politique il ne reste qu'un semblant de science sociale qui ne cesse de s'élargir par le nombre de spécialités qui se créent, mais demeurent purement théoriques et se distancent de la réalité. Des utopies sont publiées sur la base de travaux volumineux, sur le plan littéraire, mais inefficaces pour l'analyse des crises et de l'énoncé de solutions.
La définition erronée des facteurs structurelles et des forces agissant de manière significative dans l'ensemble de la sphère économique engendre une fausse perception des problèmes rencontrés et bien sûr enfante de mauvaises solutions. En exemple réside dans le fait qu'aucun manuel scolaire ou universitaire n'enseigne le rôle joué par les banques centrales dans le pillage des richesses des nations pour la simple raison que celles-ci sont perçues comme "nationales", donc "publiques", alors qu'elles sont majoritairement aux mains d'intérêts privés ! La majorité des Américains aux USA pensent  que la Federal Reserve System appartient au gouvernement. Ils seraient stupéfiés d'apprendre qu'elle est la propriété exclusive d'un cartel de 12 banques dominées par l'oligarchie financière européenne des Rothschild.        
 Gabriel Donohoe qui cite Stephen Zarlenga dans «The Lost Science Of Money » :
 «Les maitres de l'économie politique sont devenus le sacerdoce de la nouvelle aristocratie bancaire, servant souvent comme un appareil de propagande pour blanchiment de la structure du pouvoir financier. Ils mettent en avant des idées fausses et des écrans de fumée sur la vraie nature de la monnaie, des concepts  qui aident à réconforter les banquiers.»
«Zarlenga blâme la crise de l'économie mondiale sur "l'établissement financier et leurs économistes" et décrit ces derniers comme étant les porte-paroles du "pouvoir de l'argent". La raison pour laquelle la corruption du système bancaire moderne sévit depuis si longtemps en dépit de sa piètre performance est parce que les économistes professionnels presque jamais pointent du doigt les banksters ni contestent le caractère frauduleux de la création par les banksters de la monnaie basée sur la dette ou l'escroquerie scandaleuse du prêt effectué sur des réserves fractionnaires.»
Pour qui souhaiterait éclaircir la pratique autorisée, par les banques, des "réserves fractionnaires", l'article au lien "wikipedia" offre une introduction du sujet, quoique n'élaborant pas sur les déficiences et les vices de cette régulation que la banque centrale (aux mains d'intérêts privés) gère exclusivement à son avantage et toujours au dépend des souscripteurs à une dette,  nommée "prêt", "aide" ou "crédit" ! 
«Les économistes sont scolarisés dans les départements d'économie d'universités financés par les Banques où ils sont complètement endoctrinés dans les théories monétaires. Le pouvoir de l'argent veille à ce que les économistes soient méthodiquement formés dans le langage et la pensée économiques, et sont programmés pour  brailler la version entérinée et approuvée, officielle. La manipulation est le nom du jeu et les questions litigieuses sont ignorées ou déformées. L'évaluation correcte de l'histoire et le rôle de la banque ne sont jamais autorisés parce que ce serait admettre des vérités qui dérangeraient l'ordre établi. Zarlenga compare l'économie politique aux médecins médiévaux qui "théorisaient" sur la manière dont l'organisme fonctionne, sans jamais oser le disséquer et découvrir ce qu'il s'y passait réellement.» 
Une dernière flèche lancée par Gabriel Donohoe l'auteur de l'article :
«Tout comme les mulets sont les descendants stériles d'ânes et de chevaux, les économistes sont les descendants stériles des banksters et des corporatistes. Ils sont impuissants quand il s'agit de produire des idées nouvelles ou des nouvelles idées en dehors du système monétaire actuel. Les économistes semblent être tout à fait incapables d'innovation monétaire significative et ne peuvent concevoir d'autres solutions systémiques au-delà de celles qu'on leur a clouées dans la tête lors du passage dans les écoles des banksters. Bien qu'ils se considèrent comme une espèce différente des banksters, ils sont en vérité une seule et même créature. Quand le père est un âne, il lui est impossible de cacher son pedigree, les deux ayant de grandes oreilles et braillant les mêmes sons . Les économistes peuvent polémiquer et se vanter et apparaitre souvent critiques des banksters, mais pour tous leurs "hi-hans" ils n'ont jamais réussi à pousser un seul cri de guerre.» 
Donohoe précise cependant que :
«Heureusement, pas tous les économistes se nourrissent  au creux de l'auge des banksters ». Il y a beaucoup de réformateurs de l'économie qui sont dignes de louange et d'attention. En feuilletant les notes de cet article, l'auteur s'est arrêté à un certain Larry Bates, ancien professeur d'économie, président de banque pendant onze ans, membre de la Chambre des Représentants du Tennessee, président d'un comité permanent des banques et du commerce,
et l'auteur du best-seller, The New Economic Disorder. » 
Larry Bates déclare : «Le plus grand choc de cette décennie est que plus de gens sont sur le point de perdre plus d'argent qu'à un tout autre moment de l'histoire, mais le deuxième plus grand choc sera la quantité incroyable d'argent qu'un groupe relativement restreint de personnes accumulera simultanément. Voyez-vous, dans les périodes de bouleversements économiques, en période de crise économique, la richesse n'est pas détruite, elle est simplement transférée.»
Il ajoute : «La Fed est vraiment plus puissante que le gouvernement fédéral. Elle est plus puissante que le président, le Congrès ou les tribunaux ... La Fed détermine combien le consommateur moyen paiera pour sa voiture et sa maison, s'il aura un emploi, ou non. Je vous soumets l'affirmation  : ceci est un contrôle total ... » 
Selon Donohoe «Larry Bates nous assène un coup sur la tête, avec son "Contrôle total". Les banksters souhaitent garder le contrôle total. Ils veulent que les gens demeurent dans l'ignorance. Ils ne veulent pas qu'ils sachent qu'il y a une alternative beaucoup plus heureuse,  plus salutaire. Ils veulent garder l'ensemble de l'humanité soumise, à leurs pieds, dans l'esclavage à vie dû à la dette . Et surtout, ils sont en quelque sorte terrifiés par la possibilité que les gens prennent conscience de leur collusion scandaleuse et criminelle.» 

26 nov. 2010

Nordine Grim "Le Sinistre", Oracle En Mal D'Inspiration, Prédit La Famine Au Peuple Algérien !

Il est devenu pratiquement impossible de garder son sérieux et de ne pas rire en survolant  les média, la presse en particulier, à cause du nombre croissant de chroniqueurs effrontés promus experts en économie,  qui échouent misérablement dans leur bricolage intellectuel.  Cet échec provenant de leur incompétence à discerner entre les données produites par l'observation de phénomènes pratiques réels, servant à l'analyse objective, et les jugements personnels pervertis par le subjectivisme, servis à l'opinion dans des manœuvres décevantes . La propagande chez beaucoup de nos commentateurs financiers et plus généralement économiques, a pris le dessus sur le bon sens et l'honnêteté intellectuelle et se traduit par la publication de mensonges et d'impostures auxquelles est attribué le titre d'analyse économique. Une tentative assez récente (2009), publiée et clamée par nos média "indépendants", est celle de Benbitour relative à la richesse des hydrocarbures qui exportée, résultait en l'importation de la pauvreté. D'où l'équation virtuelle : richesse = pauvreté. Enivré par les flatteries de ses complices des média, l'imposteur et agent de la banque mondiale s'est investi dans une autre tentative d'escroquerie, celle de détourner la matière grise nationale en la canalisant dans une opération subversive de regroupement politique centrée autour de l'utopique "intelligentsia". Selon le précepte juif du "diviser pour régner", et non pas de "l'union fait la force" !
"Experts" du FMI-Banque Mondiale et leur support médiatique.
J'ai essayé de démontrer que les propagateurs de ces idées trompeuses étaient majoritairement liés par d'étroits intérêts personnels à la bête immonde et monstre insatiable, le cartel international des banques "kosher" contrôlant le FMI et la Banque Mondiale. Ces penseurs sont des chevaux de Troie et des "agents dormants". 
 Les dernières révélations et scandales sur les pillages des ressources de Sonatrach par Chakib Khellil, un autre "expert" étasunien, ne font que corroborer mes analyses sur la nécessité d'observer de la prudence et beaucoup de méfiance devant les "spécialistes" des entourloupes intellectuelles qui sillonnent le paysage médiatique et qui sont promus par nombre d'organes, pour semer la discorde et la désinformation.
(Note : Mea culpa, après révision de son article et à la lumière des dernières révélations concernant le DRS, l'auteur admet sa défaillance concernant Chakib Khellil, la désinformation cynique massive contre l'ex-ministre ayant biaisé son analyse. Nul n'est faillible, l'erreur venant des déclarations de magistrats supposés intègres et qui s'avèrent être impliqués dans le complot contre Chakib.). 
A l'image des "Tam-Tam" qu'El-Watan aime à faire résonner pour nous décevoir et nous inoculer son intox. Toutes les campagnes menées par cet agent rothschildien, fut-elles politiques, économiques, médicales (vaccin H1N1), sont toujours menées  et dissimulées derrière un leurre ou "cosmétique"  psychologique cachant l'avis frauduleux d'un expert, "doctor", "professor" ou universitaire-chercheur.  Alors que ce dont a besoin le pays, consiste à développer le bon-sens et l'esprit pratique, tous deux fondés sur l'intégrité et l'honnêteté !
L'intelligence sous toute ses formes n'est qu'un outil performant, à double tranchant, utile lors-qu’exploité pour le bonheur de l'humanité entière, destructrice dans les mains de criminels sectaires et égocentriques. De manière générale si les hommes de science, dont l'intelligence était prouvée avaient, grâce à l'éducation, acquis un niveau élevé de moralité et de sagesse, le monde serait un endroit plus plaisant à vivre, sans menaces de destruction massive ! Hélas, le contraire est observable : science sans conscience est la norme admise dans les laboratoires de recherche, mêmes ceux fabricant des médicaments ! En aucun cas doit-on leur reconnaitre d'office un quelconque statut d'arbitre dans les questions qui nous concernent tous. La vague de rapports et d'enquêtes parlementaires en Europe dénonçant la scandaleuse collusion-complicité, de l'OMS-Ses experts-L'industrie pharmaceutique-Les universitaires-chercheurs, autour de la fraude du vaccin de la grippe porcine, renforce le scepticisme et la méfiance envers les opinions que certains média fantaisistes, coupables de désinformation tacite ou intentionnelle, tentent de nous imposer. 
Pour ce qui concerne la dernière en date d'agression et de tentative de viol de l'opinion, El Watan présente dans son supplément économique (comme si son quotidien ne produisait pas assez d'âneries et qu'il devait ajouter ce papier hygiénique hebdo) une série d'articles apocalyptiques, signés par un couple d'oiseaux de mauvaise augure, Nordine Grim (D'origine Anglaise ? grim = sinistre !) et Fella Medjek ( la félonne ?).
1-«Le gouvernement tourne le dos aux générations futures»: selon l'auteur, l'article est supposé dénoncer l'inconsistance et l'incohérence de la loi «n° 10-03 du 15 août 2010 fixant les conditions et les modalités d’exploitation des terres agricoles des domaines de l’État, attribuées aux secteur privé », mais les erreurs contenues dans le texte démontrent la mauvaise foi de l'ignorante félonne par sa méconnaissance de l'agriculture qu'elle observe de sa fenêtre de bureau à la maison de la presse.
«A titre indicatif, les arboriculteurs récoltent les fruits de leurs cultures qu’au bout de 20 à 30 années, alors que les oléiculteurs doivent attendre une dizaine d’années pour voir leurs projets arriver à maturité. Donc la perpétuité de la population agricole se pose sérieusement puisqu’elle verra le fruit de son labeur qu’une à trois récoltes, au mieux, durant les 40 ans. »
Les arbres fruitiers atteignent maturité et sont en réalité productifs en moyenne, 5-7 ans après plantation ! 
Un exemple qu'on peut juger futile, mais qui est symptomatique des méthodes employées dans la poursuite et harcèlement du gouvernement initiateur de la loi, indépendamment de sa pertinence, et en utilisant toujours le mensonge et des données corrompues, pour imposer ses vues et son verdict :"si ce n'est pas toi, c'est ton frère" ! 
2- «Nous sommes en permanence en situation de vulnérabilité alimentaire» de Omar Bessaoud, enseignant chercheur au CIHEAM. Notre Doctor se lance dans une analyse personnelle jonchée de fausses interprétations et d'inconsistances historiques. Jugez vous-mêmes,  en n'oubliant pas que l'article est daté du 22.11.2010, donc supposé être à jour; ce qui n'est pas le cas, au vu de la confusion du chercheur qui ne semble n'avoir toujours pas trouvé la vérité sur l'état actuel de l'agriculture en Algérie.
a-«Nos rendements de blé sont les plus bas du bassin méditerranéen. La norme est de 12 à 14 quintaux à l’hectare en moyenne, alors que l’Algérie tourne autour de 10 quintaux en moyenne, voir moins.» Faux !  Les rendements actuels ont dépassé, pour certaines régions, les 35 quintaux et ceci depuis 3 années ! Les années de récolte catastrophique correspondent à la période de l'auto-gestion et du socialisme spécifique dont il est le produit et dont il fait l'éloge. 
Preuve :
-Q :«Qu’en est-il de l’industrie agricole en Algérie ?»
-R: «La cohérence (sic) de la politique dans les années 1970 avec la réforme agraire. Un ensemble industriel s’était mis en place pour la production d’engrais avec les complexes de Skikda, Arzew et une industrie mécanique à Constantine, à Sidi Bel Abbès. L’abandon de ce secteur industriel. Les politiques d’ajustement structurel sont passées par là, mais il y a 20 ans, c’est terminé, elles ont fait des dégâts mais nous avons les moyens humains, matériels et technologiques possibles. L’Algérie n’a pas le capital humain des années 1970 puisqu’elle a formé. Elle exporte même ses compétences à l’extérieur. Comment reprendre tout cela en main et construire.»
Première  erreur, le montage avec un taux d'intégration nul n'a jamais était un signe d'industrialisation, c'est un faux concept que trimbalent des sorciers-économistes vantant le choix désastreux d'usines clé en main et qui crée encore plus de dépendance incontrôlable envers l'importation : celle des équipements, de la pièce détachée, de l'entretien, de la gestion, de la formation et du savoir-faire technologique.
Un seul bénéficiaire marginal : la main d’œuvre qualifiée et les "cols bleus" qui acquièrent de "l'expérience" et de la dextérité manuelle, mais sont livrés aux aléas de la dépendance extérieure qui les rend vulnérables. Tout mauvais fonctionnement de l'activité industrielle enclenche des révolutions sociales qui peuvent déstabiliser un pays et le ruiner (voir octobre 1988, et la zone industrielle de Rouiba). Quand aux coûts d'une telle entreprise et les prix unitaires des produits, ils sont tellement élevés, mesurés en monnaie locale ou en valeur réelle à l'importation, qu'il aurait mieux valu les importer "finis" en premier lieu, plutôt que de les fabriquer ! L'utopie du socialisme qui ne veut toujours pas se dissiper. Par contre une intervention intelligente de l'état, non contraignante, alliée aux mécanismes libres des forces du marché (offre-demande) est la meilleure approche; la preuve en a été faite depuis 3 ans concernant la pomme de terre et les céréales.  Le dirigisme économique du socialisme est condamné à l'échec, même si parallèlement le système éducatif  forme, disons 30 000 "Doctors" par an.  Par contre, trente mille fellah analphabètes, exploitant chacun 1 hectare de culture et libres de la commercialiser, sont, dans ce contexte particulier, plus utiles au pays que les 30 000 thèses de doctorants classées dans les archives des instituts. La différence est que les uns produisent et les autres débattent de la production. C'est le comble de la situation dans lequel s'était engouffrée l'Algérie "socialiste", un mirage que les enthousiastes révolutionnaires des campagnes de volontariat apercevaient dans la fumée des cigares "havana" que "pouffait" l'initiateur de la révolution agraire !
Une autre intervention de Bessaoud au blog "agroalgerie" dévoile un parti pris du scientifique et sa démesure tant son
inconscience dégénère en un regrettable réquisitoire contre la politique agricole du pays, lorsqu'il déclare impudemment
en réponse à la question  
Cette dépendance est-elle réversible ? »
«Pour ces produits stratégiques, notre dépendance est malheureusement installée dans la durabilité. S’agissant des besoins en céréales, sucre et huiles végétales…, »
«il n’y a aucune chance pour que le pays puisse assurer son autosuffisance.» 
 Avis exprimé le 07 Jan 2010, infirmé par les campagnes céréalières 2008-2007. Erreur signalant le ridicule et la malhonnêteté du personnage.
«Cela fait 20 ans que l’Algérie ne peut décider de ses options économiques sans injonctions des institutions internationales.»
 Faux ! Affirmation mensongère car l'Algérie a rétabli son indépendance financière et économique en 2004 après la liquidation de la dette extérieure.
Et de quelle manière ? Par anticipation !
 «La facture alimentaire a atteint des niveaux jamais égalés, soit plus de 8 milliards de dollars en produits alimentaires. Cela représente 4 fois la facture d’il y a 10 ans !»
Où est le tort ou l'anomalie ? Les causes objectives sont la croissance démographique et l'augmentation du pouvoir d'achat, combiné à une augmentation des richesses du sous sol convenablement gérées ! Si, si, "convenablement gérées", malgré les fuites et détournements de ces responsables, fripouilles enfantés par la malédiction du socialisme spécifique
b-«Sans le pétrole, l'Algérie crierait famine » (Lien) ! S'exclame notre Miss Doom, oracle du malheur, Fella Midjek. 
Disons alors que sans eau les gens mourraient de déshydratation, et que selon la logique fella-sioniste : l'eau est une vraie calamité pour l'humanité. Comme le pétrole est une malédiction pour l'Algérie !  On croirait que notre doctor Benbitour fait des émules parmi l'intelligentsia qu'il tente de capter dans ses "cercles"qui ne tournent pas rond.   
c- «Le mythe de l’autosuffisance alimentaire» ! C'est sous ce titre que le "sinistre" Grim s'embarque cette fois pour annoncer quelque nouveau malheur aux crédules lecteurs. Le spécialiste des prédictions apocalyptiques: « Avec une dotation foncière à usage agricole d’à peine 0,3 hectare par habitant et des rendements sans doute les plus bas du bassin méditerranéen, la question de l’autosuffisance alimentaire de l’Algérie qui revient de façon récurrente dans les programmes d’action des gouvernements successifs est en réalité un objectif illusoire. Un slogan à usage exclusivement politique.»  Revenu très confiant de sa visite chez Doctor Bessaoud de Montpellier, de qui il a reçu quelques excellentes leçons sur "comment confondre l'opposition politique par le pédantisme et le verbiage savant",  il a lancé un nouveau projet de sape sociale basé sur la crainte de la famine et la peur de la croissance démographique. Un slogan que Bill Gate avait repris récemment lorsqu'il déclarait s'être engagé dans la vaccination massive pour réduire la population mondiale ("googlez" "Bill Gate + Génocide" pour découvrir ce que le père de Windows mijote avec Melinda et Rockefeller pour parer au surnombre humain sur la planète !). La peur et la panique deux outils essentiels pour faire passer les décisions politiques impopulaires au sein de l'opinion !  Ces techniques de sape sociale adroitement manipulées peuvent produire l'adhésion massive de la populace à des projets autrement inconcevables. Tel est le cas de la politique de génocide.
_________________________________________________
Les charlatans cités dans ce qui précède, sont un spécimen du nombre effrayant d'imposteurs effrontés et prétentieux qui défilent à longueur d'année sur les ondes et dans la presse écrite pour déballer leurs grossièretés intellectuelles.
 Cette série d'articles d'El-Watan sur l'agriculture est pertinente dans ce qu'elle dévoile comme âneries et mensonges, toujours en contre courant de la vérité historique et de la situation actuelle réelle
Et ceci afin de  :
-semer le doute dans l'esprit de l'opinion sur l'authentique marche en avant qui a lieu dans toutes les sphères de l'activité économique, sociale, économique et politique, et
- de diffamer le "système".
 Question : Quelle politique est en préparation, par le pouvoir subversif qui tire les ficelles d'El Watan et de ses pantins de scribouillards, au vu du déferlement actuel de textes apocalyptiques ? Pourquoi l'insistance, depuis 20 ans, sur cette ligne éditoriale du scepticisme aveugle  ?
  La peur, la méfiance, le pessimisme et peut être la panique, servent-elles quelque projet obscur ?
A méditer.