Translate

19 avr. 2010

Les Autonomistes Amazigh: Un Cas D'Ecole de l'Ingérence Juive En Afrique du Nord.


L'action politique est toujours soutenue par la propagande, dont le contenu est défini pour promouvoir une doctrine, une idéologie, créer une opinion publique et gagner le soutien d'un groupe ou d'une population de citoyens, à l'intérieur ou l'extérieur d'une nation.  Elle est initiée par des personnes, un parti ou un appareil d'état se réclamant d'un système de pensée, d'une idéologie. L'Histoire nous enseigne l'existence de nombreuses idéologies apparues au cours des temps, toutes centrées autour d'un concept central à caractère religieux, racial, économique, philosophique, nationaliste ou internationaliste. L'Histoire contemporaine est riche en exemples de ces mouvements de pensée ayant affecté positivement ou négativement les hommes. Une remarque s'impose, celle d'affirmer qu'ils ont été majoritairement négatifs car souvent source de conflits et d'affliction pour les hommes, pour ceux qui y ont adhéré ou ceux qui en ont subi les revers. La raison principale de cette malédiction est que les idéologies ont été réfléchies et conçues dans ce but: diviser les peuples et enflammer les passions génératrices de conflit et de destruction.
Seuls bénéficiaires, ceux qui versant l'huile sur le brasier, offrent leurs conseils et leur "aide" pour financer les guerres, les banquiers juifs.
Une idéologie singulière qui occupe les débats et les écrits des observateurs depuis plus de 50 ans, est celle du Sionisme. Quoiqu'en réalité initiée et programmée depuis des siècles, cette idéologie ne s'est imposée à l'opinion que depuis la création d'Israël et les conflits qui perdurent au Moyen-Orient.
Elle est perçue à travers deux exposés:
-1- celui insufflé et inoculé par les champions juifs du Sionisme, leurs puissants moyens de propagande et leurs alliés investis de la mission de justifier la création d'un état-refuge pour un peuple persécuté, lors de la Shoah (sous le régime nazi) et des pogroms infligés à la diaspora depuis l'exode entamé sous l'Empire Romain. Ses fondements sont religieux, politiques, raciaux et font appel aux arguments plaidoyant en faveur de la création d'Israël principalement sur la base:
-de la rhétorique religieuse, la promesse divine faite au peuple juif d'un retour ré-unificateur à Jérusalem
-de la solution politique, un refuge remède aux souffrances endurées lors des tentatives (européennes) de génocide et de la Shoah.

-2- celui publié par les opposants à la doctrine sioniste qu'ils  condamnent pour divers raisons:
-la violation des droits des Palestiniens et la réfutation -des mythes "ethnocentristes" et religieux, leurs justificatifs archéologiques, bibliques et politiques menant à une injustice, la spoliation d'un pays et l'expulsion de son peuple,
-le mythe de la Shoah, fraude historique canonisée, promulguée mondialement, et défendue par une législation abusive et répressive,
-la présence funeste des Juifs en tant qu'acteurs occultes, subversifs et nocifs dans les événements marquants de l'Histoire ancienne et contemporaine de la planète (guerres mondiales, crises économiques majeures, esclavagisme et génocides) et,
-la xénophobie et le racisme caractérisant les lois religieuses du Judaïsme-Talmudisme, lois écrites (Talmud) mais pratiquement inédites et secrètes,  qui conditionnent cette idéologie  et la cautionnent.
 Les deux thèses du Sionisme sont extensivement discutées par les protagonistes respectifs dans une multitude de publications qui inondent les média et déferlent sur le web en particulier.  Car le web est seul champ ouvert  au militantisme des activistes et aux débats de chercheurs indépendants qui s'y réfugient pour effectuer librement leurs travaux, tout en demeurant constamment sous la menace de l'accusation «d'antisémitisme», délit collé aux contestataires des théories officielles du Sionisme. 
Le but de cet article n'est pas d'exposer l'une ou l'autre thèse, ou de les confondre car les documents y réferrant sont largement disponibles.  Il est d'aborder dans une étude comparative, la doctrine qui a fait son apparition dernièrement (quatre décennies) et qui prêche le particularisme ethnique, ethnographique (culture, mœurs et coutumes), religieux (juif-chrétien), et historique des peuples Amazigh, ou Berbères, d'Afrique du Nord et du Sahel. Doctrine véhiculée par une minorité d'activistes, militants de l'autonomie de la Kabylie, ou comme récemment déclaré,  de son indépendance! 
L'objectif de cette modeste étude historique est  de démontrer la similitude des techniques de manipulation et d'endoctrinement utilisées par le Sionisme, et celles adoptées par ce mouvement marginal amazigh.

Introduction:
L'offensive lancée contre l'Islam et la culture Arabe, principalement sur le Net, par des partis "politiques" se réclamant de l'amazighrité,  mobilise des ressources humaines et matérielles conséquentes qui dévoilent le soutien dont ils bénéficient de la part des maîtres des média, les éternels conspirateurs, les ennemis des Musulmans et des Arabes. Ceux que le Coran qualifie de «semeurs de discorde de part le Monde», ou « qui travestissent la vérité en mensonge»: les Juifs. Ils agissent directement par l'intervention d'Israël ou par leurs proxies interposés. Leur contrôle sans partage des gouvernements occidentaux et de leurs armées (OTAN), autorise leur offensive au delà du moyen Orient, en Irak, en Afghanistan, au Pakistan, au Soudan, au Yémen et dans les pays musulmans de l'ex-URSS. L'Islam et les Musulmans sont la cible de l'idéologie du "Clash des Civilisations" initié par les néo-conservateurs juifs de New York. L'alibi de la lutte contre le terrorisme a été fabriqué grâce à Ben Laden et El Qaida, qui ont été enfantés et supervisés par  la CIA et son clone le MOSSAD, avec le patronage de Brejzinsky. Le Monde Musulman, dernier écueil à l'hégémonie planétaire juive est harcelé de toutes parts. Tacitement, les  associations amazigh qui sèment la dissension et prêchent la division, entrent (volontairement ou  inconsciemment) dans la logique de participation à cette machination. Les faits marquants démontrant cette collaboration résident dans:
-la couverture médiatique massive  (juive-sioniste) généreusement accordée à ce groupe minoritaire,  non-représentative et sans base populaire, qui revêt l'apparence de «La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Bœuf»,
-la reconnaissance officielle par les officines internationales et ONG's sionistes,
-la reconnaissance tacite et cynique , par des gouvernants occidentaux, Français, Canadiens, Allemands, lors d'entrevues officielles accordées au "président" auto proclamé. Ceci,  à contre- courant de la défense des intérêts nationaux que ces responsables  assument dans les accords divers gouvernementaux contractés avec l'Algérie, cible principale de ces manœuvres subversives,
-la légitimation, en contradiction des lois internationales, d'activités subversives et d'incitation à distance de trouble et de conflit social, exposant des innocents, inconscients des vrais enjeux de cette campagne futile et des risques de confrontation avec les autorités locales.
Notons que pour leurs actions légitimes de soutien aux luttes des peuples Palestinien et Libanais contre les monstruosités et les crimes de génocide d'Israël, des pays musulmans (Iran, Syrie, Yémen, Lybie, Soudan), subissent la vindicte occidentale, l'embargo, les menaces militaires, et les sanctions. 
Hier, refuge du terrorisme islamiste et de ces commanditaires, lorsque les victimes étaient musulmanes, certaines capitales occidentales affichent aujourd'hui beaucoup de complaisance envers les incitateurs à la haine raciale et aux fauteurs de trouble, soient-ils Kurdes, Darfouriens, Amazighs ou Coptes. Amour de la démocratie et de la liberté des minorités ? Les idiots utiles qui embrassent ces utopies sélectives, distillées par le nouveau impérialisme juif, répondront affirmativement.
Il est important de préciser que de nombreuses associations à caractère culturel et scientifique concentrent leurs efforts dans la renaissance de l'identité berbère sans escalader les marches de la discorde et semer la haine de l'Islam et de la culture Arabe. Elles contribuent par leur modération et esprit de tolérance, à enrichir l'héritage arabo-berbère commun et indissociable, qui règne en Afrique du Nord, depuis 15 siècles. Ces associations ne sont pas ciblées par cette étude car participant à l'activité académique universelle de recherche scientifique objective et libre de toute utopie dogmatique sectaire.  
Celles que je souhaite démasquer et dénoncer sont visibles à travers l'exposé des complots qui se trament dans les coulisses des organisations culturelles, politiques, ethniques ou religieuses qui font de leur cheval de bataille, l'insulte abjecte de tous les concepts et valeurs associés à l'Islam et nourrissent une haine extrême envers, les Musulmans et leur civilisation,  les Arabes et leur culture. 
____________________________________________________
 Chapitre 1: 

Ibn Khaldoun, l'illustre historien et encyclopédiste, est la référence universelle du sujet traitant de la généalogie des peuples, dont ceux du Moyen Orient et d'Afrique septentrionale. Son «Histoire des Berbères et des Dynasties de l'Afrique Septentrionale» (traduction disponible rédigée par Le Baron De Slane, Lien 1, Lien 2, Lien 3, Lien 4) est la source incontournable de tout chercheur ou étudiant souhaitant s'immerger dans cet océan de savoir que seul le génie Arabe a su léguer à l'humanité.  L'encyclopédique «Histoire des Berbères» présente la preuve irréfutable de la malversation fabriquée par certains courants politiques minoritaires amazigh qui propagent des théories raciales frauduleuses pour vernir leurs ambitions personnels ou leurs plans subversifs inavoués. Les mythes ethniques ou religieux énoncés en vue d'un "retour aux sources", chrétiennes ou juives, est un appel à l'inconnu, et l'acheminement vers l'irréparable. Aucuns arguments scientifiques, saufs ceux relatifs aux caractéristiques culturelles propres à l'Afrique Du Nord (caractéristiques qui s'imbriquent avec celles prédominantes, héritées de l'Islam), ne justifient ou n'appuient les revendications de ces groupes fanatiques sectaires, qui embaument la doctrine du «retour aux origines», d'absurdités, de mensonges et de contre vérités historiques. Il est évident qu'ils font le jeu de l'ingérence de forces subversives judéo-chrétiennes dont les visées sur les pays musulmans ne datent pas d'aujourd'hui, visées ayant fait l'objet de stratagèmes engageant d'énormes ressources et nécessitant de patientes manœuvres étalées sur des siècles. La dimension de cette «bulle» civilisationnelle amazigh ne trouve de comparable que les fraudes historiques initiées par les juifs sionistes qui depuis des siècles promotionnent le tourment de leur oppression par les goyim, et occultent ses causes : la réaction défensive des peuples goyim contre le dynamisme destructeur que le dogme du Talmud enseigne sous forme de lois de la prédation licite et de l'extermination du non-juif (gentil). La Shoah est l'exemple, dernier en date, de ces manipulations frauduleuse de l'Histoire autorisant les  Juifs a développer un dogme pour décevoir la communauté internationale, dissimuler leurs crimes et génocides (voir site de l'AAARGH),  et asseoir la dictature planétaire du "peuple élu".
Ibn Khaldoun, dans son encyclopédie,  relate les moindres détails des événements marquants de cette région du Monde, et trace la généalogie de tous les peuples, dont ceux d'Afrique du Nord  et ceux ayant transité par, ou envahi la région. Avant et après l'avènement de l'Islam et de la civilisation musulmane d'occident la région était perpétuellement déchirée par les conflits et guerres. Après le démembrement des khalifat Ommeyade et Abbasside, de l'Andalousie aux frontières orientales de l'Égypte, les conflits confessionnels (rites musulmans) ou militaires, illustrés par les vendettas opposant princes et émirs,  jaillissaient de toutes parts et leur méfaits retentissaient  le  long de la courbe de  décadence de cette civilisation illustre. Contrairement à la période de l'antiquité, les Berbères œuvraient dans l'espace Nord Africain et Andalusien  sans jamais se distancer, même instinctivement, des Arabes et agissaient au sein de la communauté musulmane avec leur conviction de croyants, réservant leurs griefs à des différences confessionnelles (rites sunni, chiâa, kharedjite, etc..), politiques ou d'intérêt matériel, jamais ethniques. 
D'où surgit donc ce revirement, qui est marginal, mais bénéficie d'un vacarme médiatique amplifié ? La réponse se révélera d'elle-même au cours du cheminement suivi par le recensement et l'analyse des événements parfois anciens (début-fin de la colonisation française), souvent récents (post indépendance) qui dévoilera le paradigme de ce mouvement et la naissance du berbérisme sectaire.
Le Début de l'Offensive:
Confrontés à la puissance de l'empire Ottoman et de ses provinces autonomes, les banquiers juifs devaient surmonter cet obstacle pour prendre le contrôle des pays sous l'autorité du Khalifat d'Istanbul. Un plan était dressé pour le démantèlement de cette forteresse de l'Islam afin d'en faciliter la pénétration et 
asseoir une main mise sur ses richesses. L'ouverture de nouvelles routes pour le commerce vers l'Europe, à travers la route stratégique des Indes et les bifurcations reliant l'Afrique, l'Asie et  la Méditerranée. Pays après pays, les régions à caractéristiques ethniques ou religieuses furent ciblées par des missionnaires et des espions chargés de réunir des données significatives et les informations devant permettre aux cercles occulte des banquiers Juifs, les Rothschild de Londres et de Paris, d'affiner leur connaissance de l'empire et aiguiser les sabres qui devaient le tailler en  pièces. Les études détaillées cernant les événements et recensant les acteurs impliqués dans cette campagne sont accessibles sur le Net. Le lecteur averti découvrira les intrigues que la version "officielle" des historiens confectionnant les manuels scolaires, ne dévoilent pas. Le mercenariat des banquiers juifs,  la franc-maçonnerie, est le bras brandissant la massue de démolition de l'empire Ottoman. 
La franc-maçonnerie fut introduite en Égypte par Napoléon Bonaparte, plus tard relayé par El Afghani et ses élèves Abdou et le Syrien Rida, les "réformistes" dont la "formation" avait été complértée sur les bords de la Seine. De  manière générale certaines sectes condamnée par l'orthodoxie musulmane avaient été réanimées et revitalisées ainsi que, le nationalisme local, l'hérésie Bahai et le Wahabisme, au Liban, dans la péninsule Arabique et partout où les espions français et anglais des loges maçonniques de Paris et Londres avaient relevé des divergences de rites ou de confession. Sans trop se perdre dans les détails, soulignons le fait que le mouvement des "frères musulmans" est une ex-croissance des réformistes, et tout le monde sait combien leur idéologie a "servi" à la promotion d'un de leurs adeptes, Ben Laden, pour dénigrer l'Islam et préparer la voie à l'actuelle colonisation juive de l'Irak-Afghanistan.
Les études académiques détaillées de ces mouvements et de leurs commanditaires-promoteurs sont disponibles en accès libre sur le Net. Pour revenir au sujet nous concernant, l'Afrique du Nord, remarquons  que la particularité de la région est l'inexistence de sectes permettant de développer la stratégie utilisée ailleurs. Le colonialisme français à l'instigation des cercles occultes juifs qui l'ont pensé, programmé et financé en Algérie,  adopta une approche différente : le foyer potentiel de division et dissension serait la disparité linguistique et culturelle qui fictivement et artificiellement séparait deux communautés.  L'impossibilité de les distinguer globalement, selon l'ethnologie, la géographie, la généalogie, l'ethnographie,  n'était pas un obstacle dans l'esprit des coreligionnaires d' Issac-Jacob Crémieux (plus connu sous le nom d'Adolphe Crémieux, ministre de la justice et membre fondateur de "l'Alliance Israélite Universelle"(Lien).(Lien Gallica: pdf  à télécharger pour une rétrospective des méfaits juifs lors de la colonisation et comment fut promulguer le décret Crémieux, et ses objectifs).
_________________________________________________________
«La brochure 2010 des Célébrations nationales vient de paraître. L’anniversaire de l’AIU y trouve naturellement sa place, grâce à un article signé Simone Veil.» Très révélateur pour reconnaître le stade avancé de la main-mise juive sur la France sionisée ).         
Photo: Jeunes Marocaines dansant à Mogador (futur Essaouira), le 16 juin 1935 pour le 75e anniversaire de l’Alliance © Alliance israélite universelle
_________________________________________________________
Le "diviser pour régner" et le plan de ralliement des communautés juives
d 'Afrique du Nord, pouvaient se passer de ces considérations méthodologiques.   Pour préparer le terrain : (Lien): «En ce qui concerne l'Algérie dont la conquête débute en 1830, la première loge, «Cimus», loge militaire du 10° régiment d’infanterie légère, s'installe fin 1831. En mai 1833 est créée la loge «Bélisaire» à Alger. En juin 1833 est créée la loge «Ismaël» à Bône, puis en juin 1836 «l’Union Africaine» à Oran. La loge d’Alger joue le rôle de loge-mère par essaimages successifs : à Blida en 1844 «les Frères de l’Atlas», à Cherchell en 1845 «Julia Caesarea». A Mostaganem en 1844 «les Trinosophes Africains» sont installés sous l’égide de la loge d’Oran. Le nombre de francs-maçons va régulièrement progresser, de 80 frères en 1833 à 850 frères en 1851.»
La franc-maçonnerie, cheval de Troie du judaïsme, fut donc dés 1831 sellée pour ouvrir la porte en Algérie (tout comme dans le reste de l'Afrique du Nord), aux "prédateurs". Soulignons l'importance de l'Algérie dans le plan de l'Alliance Israélite, puisque le décret Crémieux fut voté uniquement pour faire bénéficier les juifs algériens du statut civil de Français naturalisé, officialisant leur collaboration à la colonisation. Collaboration dont ils allaient remplir le contrat avec enthousiasme et beaucoup de zèle en fournissant les plus grands criminels de guerre civils et militaires, durant 130 ans. Les chroniques révélant l'implication des juifs, originaires de la métropole et les "pieds noirs", dans le génocide des populations autochtones musulmanes, sont dissimulées par "l'Histoire officielle", mais facilement accessibles sur le Web, il suffit de chercher pour découvrir la malveillance juive envers les musulmans avant 1830 (nombreux incidents) et jusqu'à 1962 (OAS et les essais nucléaires du Sahara).  La vindicte n'est pas terminée.

Fin de chap.1........... Chap.2 / Chap.3 / Chap.4 / Chap.5

13 avr. 2010

FMI: Est-il Vraiment Dans Le Besoin ? (2eme Partie)

En complément de "Partie 1", les références suivantes apportent quelques détails supplémentaires à ce dossier volumineux que de nombreuses compétences de la scène internationale dissèquent depuis des décennies, réfutant les vues et concepts propagés par les médias dominants, les sphères gouvernementales et académiques officielles.
Un océan de publications, objectives authentiquement éducatives et caractérisées par l'intégrité politique de leurs auteurs, inonde le Net. Seuls les chercheurs souffrant de cécité aigue peuvent ignorer et omettre de mentionner ce trésor d'informations traitant du sujet des banques et de la finance au sens large. Nos "experts" économistes de la presse indépendante, à leur tête ceux d'El Watan, se qualifient, par leur infirmité, à l'aide des services sociaux du ministère d'Ould Abbés au vue de leur handicape physique causé par à une alexie irrémédiable (" Incapacité, liée à une lésion cérébrale localisée, de reconnaître le sens des mots à la lecture"). Leurs analyses confortent sans cesse les concepts et les préceptes des organismes internationaux officielles, et sont souvent des plaidoiries de l'intérêt du cartel financier juif-talmude (FMI, Banque Mondiale, groupes financiers étrangers), ce qui les placent dans le rôle de chevaux de Troie plutôt que d'ignorants, tant ils persistent à refuser de voir ou d'entendre la tempête contestataire qui déferle sur la scène mondiale clairement percevable sur le Net (d'un simple clic de souris.)
Quand à nous, profitons du sursis offert à la disponibilité d'une multitude de sources autoritatives pour nous "éduquer", dont quelques extraits : 


«Notre système de la monnaie n'est pas celui qu'on a fait croire. La création de la monnaie a été privatisée, ou accaparée par des bailleurs de fonds privés. Thomas Jefferson les qualifia " d'aventuriers ruinés et effrontés prétendant avoir de l'argent". A l'exception des pièces de monnaie, tout notre argent est maintenant émis sous forme de prêts fournis par des institutions bancaire privées, parmi lesquelles la Federal Reserve, un organisme privé. Les banques créent le principal mais pas l'intérêt,  frais du service de l'emprunt. Pour régler cet intérêt, de nouveaux emprunts doivent être contractés, l'offre monétaire s'amplifie, haussant les prix(inflation) et vous dérobant de la valeur de votre argent.»
Ellen Brown (Lien : webofdebt.com) :
 «A travers un réseau de toiles d'araignée financières anonymes seuls une poignée Banquiers-Rois globalistes possèdent et contrôlent entièrement la monnaie. Tous, peuple, entreprises, État et nations étrangères sont devenus des esclaves enchainés au cordage de l'emprunt auprès des banquiers.»
«Feu Dr.  Carrol Quigley, un écrivain et professeur d'Histoire à l'université de Georgetown, où il supervisa le président Bill Clinton, écrivit de part sa connaissance d'une clique de banquiers globalistes de l'élite s'évertuant à contrôler le Monde».  «Leur objectif, et pas des moindres, disait-il, est de créer un système mondial de contrôle financier aux mains du privé capable de dominer le système politique de chaque nation et de l'économie mondiale en général».   «Ce système devrait être contrôlé selon un modèle féodal par les banques centrales de tous les pays agissant en coordination, et être régi par des accords secrets. Il nomma cette clique simplement " banquiers internationaux".»
«L'essence de ce projet n'est pas basée sur la race, religion , ou nationalité, mais essentiellement sur le désir de contrôle d'autres créatures humaines. La clé de leur réussite était qu'ils contrôleraient et manipuleraient le système monétaire d'une nation tout en le prétendant contrôlé par le gouvernement.» 
Crise économique : le FMI persiste et signe  
Par Damien Millet Secrétaire général du CADTM France (Comité pour l’Annulation de la Dette du Tiers Monde).
Et   Eric Toussaint, Président du CADTM Belgique (Comité pour l’Annulation de la Dette du Tiers Monde).


«Pourquoi changer une politique qui conduit à la faillite, lorsque les victimes sont les autres ? Telle est la question qui se pose au Fonds monétaire international et à laquelle il ne répondra pas. Au contraire, sous la houlette de Dominique Strauss-Kahn, le FMI entend utiliser la crise pour réduire. un peu la marge de manœuvre des États pauvres. Pour Damien Millet et Eric Toussaint, responsables du CADTM (Comité pour l’annulation de la dette du tiers-monde), il faut dissoudre sans attendre une institution internationale qui a conçu ses prêts comme un moyen de domination



«Outil au service des grands créanciers, le FMI piétine les droits humains fondamentaux pour imposer ses politiques néolibérales au Nord comme au Sud.»

«Les grandes puissances ont profité de la crise actuelle pour remettre le Fonds monétaire international (FMI), fortement délégitimé depuis des années, au centre du jeu politique. De concert avec l’Union Européenne, il impose sa politique de rigueur en Europe comme au Sud. Voulant passer en force, il poursuit imperturbablement la même politique néolibérale qu’il distille depuis les années 1980 aux pays en développement avec ses « plans d’ajustement structurel », baptisés au Nord « plans de rigueur » ou « mesures d’austérité ». En cas de refus ou d’insoumission, comme par exemple en Argentine en 2001, en Ukraine ou en Roumanie l’année dernière, le FMI accroît la pression en bloquant ses prêts, indépendamment des conséquences sociales. Pourtant, les échecs retentissants de ces politiques ont maintes fois été démontrés : partout les inégalités se creusent et la pauvreté gagne du terrain.»
« Si l’on examine le FMI comme si son objectif était de servir les intérêts de la communauté financière, on trouve un sens à des actes qui, sans cela, paraîtraient contradictoires et intellectuellement incohérents. »
Joseph Stiglitz, prix Nobel d’économie en 2001, La grande désillusion (2002).
Les grandes puissances contrôlèrent le FMI dès sa création
«Le FMI, tout comme son institution jumelle la Banque mondiale, est né à Bretton Woods (Etats-Unis) en juillet 1944. Aujourd’hui, 186 pays sont membres de ces deux organisations qui siègent à deux pas l’une de l’autre, près de la Maison Blanche à Washington. Mais le voisinage n’est pas uniquement géographique, il est aussi idéologique : elles promeuvent toutes les deux le fameux Consensus de Washington |1| dont les dix commandements sont prescrits aux pays surendettés à travers les plans d’ajustement structurel en contrepartie de nouveaux prêts. Le fonctionnent selon la règle « 1 dollar = 1 voix » permet aux pays riches de contrôler ces deux puissantes institutions, notamment les Etats-Unis qui à eux seuls disposent d’une minorité de blocage. En ce qui concerne le FMI, une règle tacite veut que le poste de directeur général élu pour cinq ans soit réservé à un Européen, tandis que celui de directeur général adjoint le soit à un Etats-Unien.»
«Nombre de pays en développement qui étaient auto-suffisants en produits alimentaires (tel Haïti avec le riz) au début des années 1980 importent aujourd’hui les denrées nécessaires à leur population. L’agriculture subventionnée des pays occidentaux a inondé les pays du Sud, ruinant des dizaines de milliers de familles paysannes et les chassant de leurs terres vers les bidonvilles. Le Sénégal doit importer la totalité des ingrédients du plat national, le Yassa poulet, et Haïti importe le riz qu’il cultivait autrefois en quantité suffisante pour nourrir sa population… Lorsque les spéculateurs se ruent sur ces produits à la bourse de Chicago comme on l’a vu en 2008, les prix de ces produits explosent sur les marchés locaux et des dizaines de pays connaissent des situations dramatiques de famine.»
La contestation n’a cessé de s’amplifier
«Conséquence directe de l’abandon des subventions aux produits de première nécessité imposée par le FMI, les oppositions à ses experts ultralibéraux se sont multipliées depuis un quart de siècle. Les « émeutes FMI » éclatent à intervalles réguliers au Sud. Citons l’exemple du Pérou en 1991 où le prix du pain est multiplié par 12 en une nuit, ou celui du Caracazo (3 jours d’émeutes occasionnant de nombreux morts) au Venezuela en 1989 suite à l’application d’un plan d’ajustement structurel…
Devant l’impopularité des conditions liées à ses prêts, plusieurs pays (Brésil, Argentine, Uruguay, Indonésie, Philippines, Turquie…) ont remboursé anticipativement leur dette envers le FMI au milieu des années 2000, afin de se débarrasser de sa tutelle encombrante. L’encours des crédits du FMI s’est effondré et, au printemps 2008, l’institution a été contrainte de se séparer de 380 de ses 2634 employés et de vendre une partie de son stock d’or. Par ailleurs, l’institution est confrontée à une grave crise de légitimité et les trois derniers directeurs du FMI ont démissionné avant la fin de leur mandat.»
Le FMI et la crise
«Suite au G20 de Londres du 2 avril 2009, le FMI a vu ses ressources tripler afin qu’il puisse multiplier ses prêts tous azimuts. Partout les conditions sont sévères : réduction ou gel des salaires de la fonction publique, réduction des pensions de retraite, privatisations des entreprises publiques, etc.
Une dizaine de pays d’Europe de l’Est ont ouvert une ligne de crédit avec le FMI en moins d’un an, une délégation du Fonds est attendue en Ukraine à la fin du mois de mars. Si la Lettonie veut continuer à recevoir les financements du FMI et de l’Union européenne, elle doit décider une réduction de 20% des salaires des fonctionnaires et de 10% des pensions de retraite. Ces politiques suscitent des réactions de la population qui descend dans la rue : grève générales se succèdent en Grèce, manifestations d’enseignants en Lettonie, de fonctionnaires en Roumanie, plus de 90 % des Islandais refusent par référendum de rembourser une dette jugée illégale...
John Lipsky, n°2 du FMI et ancien haut responsable de la banque JP Morgan, a prévenu les pays développés qu’ils doivent préparer leurs opinions publiques aux mesures d’austérité à venir, comme la baisse des allocations santé et retraite |2|. Si les peuples ne s’opposent pas farouchement et immédiatement aux exigences du FMI et des gouvernements du Nord au service des marchés financiers, d’importantes régressions sociales auront lieu et il est urgent de les empêcher.»

Fin des citations.